Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
rusty james news
rusty james news
  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog

 

90243223_3015402811831487_8561877086778687488_o (1)

3323033

coronavirus-patentes

images (19)

219-2199429_love-heart-beautiful-wallpapers-happy-valentines-day-nature

1025600_652515874786871_1894874949_o


nVskOPKB

téléchargement (100)

universal-biometric-identity-1024x576

91848411

téléchargement (11)

tree_horizon_sunset_128367_5000x2830

f04543b60ef77267e2b31c5f3920fbb0

photo-1542805700-2fadb851b97a

qxJUj0O

 

pIHMc8u

7kKizZj

ZcuYl3V


sea-beach-sunset-boats-red-sky-1080P-wallpaper-middle-size

night-sky-background-7047

sky-wallpaper-38

18557077_1435376306500820_5842715664996553589_n

 

 

798041343248-national-geographic-wallpaper-zealand-photo-waikawau-desktop-bigest-images

Firefox_Screenshot_2017-02-18T13-56-14

16195622_1077703329024709_5740688279216232976_n

sf

 

Pyramides-Gizeh

atlantide-compressor

Ancien-arbre-1

Ancien-arbre-2 - Copie

Ancien-arbre-3 - Copie

h21

h25

h25

h26

h27

SDSDS

SZSDFZFS

ZDZD

931270ecd7_50010171_bohr-heisenberg-aip-niels-bohr-library

don

 

1a686c3b37ddba12f5e282679288047b

62e74d09a526f5250c3c16f5bbb7d342

3a2057e1930aac61c9451db179973253

5aa85f74b15975d75e8a6d4e547b40b0

5c3e0b7842f37a0d63504d0a032ca422

5f6fce1a34d9027bdedb78ef0658a5af

9dbf5fc4a80275b619f44e3e7a8314d2

a37cf9c85664975cf3660c8f21f70899

a96a954487d536bd6f75942a6d02f5b9

a977356a4e04ae0cdaf4c67ca90d1939

ad9ee9f2e4a1d0e83945b78313c60f27

b7e27913185d0679a669ce0f634d95f0

Archives
26 août 2015

La fertilité des français en baisse d’un tiers en 20 ans

fertilite baisse

Selon une étude publiée mercredi, la concentration en spermatozoïdes du sperme français a baissé d’un tiers depuis 1989.

• Le chiffre. 49,9 millions. C’était le nombre moyen de spermatozoïdes présents dans un millilitre de sperme français en 2005, selon une étude publiée mercredi. Un chiffre en très nette baisse depuis 1989, puisqu’il était à l’époque de 73,6 millions/ml. Pour les chercheurs, la concentration du sperme a connu une baisse continue de l’ordre de 1,9% par an depuis 1989, mais reste toutefois bien au-dessus du seuil de fertilité, fixé par l’OMS à 15 millions/ml.
Quel est le responsable ? Si l’importance de l’environnement est mise en avant depuis de nombreuses années comme principal facteur de la baisse de qualité du sperme, il est très difficile de pointer du doigt un élément plutôt qu’un autre. « L’homme est souvent confronté à une multi-exposition », explique Le professeur Louis Bujan, spécialiste de la reproduction au CHU de Toulouse.
Phtalates (utilisés dans les cosmétiques), bisphénol A, tabac, obésité pourraient ainsi tous expliquer, au moins en partie, la diminution du nombre de spermatozoïdes. « Il y a tout un ensemble de facteurs, les pesticides (…), les téléphones portables, les ordinateurs, le stress, qui jouent tous sur la production de spermatozoïdes », ajoute le professeur François Olivennes, spécialiste de la fertilité interrogé sur Europe 1.
Eviter Paris. L’étude met également en avant des disparités selon le lieu de vie. A Paris, notamment, « un homme produit deux fois moins de spermatozoïdes que son grand-père », explique le professeur René Habert, de l’université Paris-Diderot.
Un phénomène généralisé. L’appauvrissement du sperme n’est d’ailleurs pas un phénomène franco-français. Depuis le début des années 90, les chercheurs n’ont pas cessé de s’interroger sur ce phénomène, qui semble toucher l’ensemble de la planète. A une exception : Au Danemark, une étude menée entre 1996 et 2010 sur 5.000 jeunes de 18 ans a fait ressortir une hausse de la concentration en spermatozoïdes.source : europe1.fr
Comment la nourriture peut devenir une arme de destruction massive, et en l'occurrence de stérilisation massive Alex Jones nous explique preuves a l'appuie que la majeur partie des grands groupes agroalimentaires ne sont en réalités que des assassins en puissance..


La NOURITURE comme ARME DE STERILISATION... par streettelevirtuellecompt3
La NOURRITURE comme ARME DE STERILISATION... par streettelevirtuellecompt3

Publicité
Publicité
26 août 2015

La prophétie du Pr. Henry Kissinger sur la 3e guerre mondiale

henry-kissinger-control-oil-and-you

« Les Etats-Unis sont en train de donner des coups à la Chine et à la Russie, mais le « dernier coup d’ongle » sera pour l’Iran qui est le principal objectif d’Israël, dit-il. D’ailleurs l’Europe a compris que l’épreuve de force arrive et se dépêche de se constituer en un seul Etat cohérent. Oh, combien j’ai rêvé de ce délicieux moment ! Et d’ajouter plus loin : « la prochaine guerre sera si sévère que seule une superpuissance peut gagner et ce sera nous. Et si vous êtes un homme ordinaire, il faut vous préparer à cela en vous repliant dans une ferme à l’intérieur des terres, mais n’oubliez pas d’emporter des armes avec vous pour vous défendre des hordes affamées. Quant aux élites, elles seront à l’abri dans des paradis protégés » (sic).

« Quant à nos militaires, poursuit M. Kissinger, nous leur avons demandé de mettre la main sur sept pays du Moyen-Orient pour leurs ressources naturelles et ils ont accompli le travail. Reste cependant l’Iran. Mais c’est quand l’Ours russe et la Faucille chinoise se réveilleront, qu’Israël doit se battre avec toutes ses armes et tuer autant d’arabes qu’il pourra. Si tout se passe bien, la moitié du Moyen-Orient sera israélien ».
M. Kissinger conclut cette interview sinistre en prédisant : « De ces cendres nous construirons une nouvelle société et il ne restera qu’une seule superpuissance et ce sera l’avènement du gouvernement mondial. N’oubliez pas, les Etats-Unis ont les meilleurs armes et du matériel qu’aucune autre nation n’a et nous montrerons ces armes au monde quand le moment sera venu ».
Même si ces « prophéties » peuvent prêter à sourire vu l’état actuel de la puissance américaine, elles sont à méditer car à 89 ans Henry Kissinger reste, à l’instar de son  collègue Zbigniew K. Brzezinski, un inspirateur actif de toutes les stratégies de domination mondiale développées depuis la Seconde guerre, par les Etats-Unis et par les centres de pouvoirs occultes qui écument la géopolitique mondiale. D’ailleurs, l’évolution de la situation géopolitique du Moyen-Orient et autour de l’Iran, commencent à corroborer les prédictions de M. Kissinger. La désarticulation de l’Irak, la mise sous contrôle militaire des pays du Golfe et de leurs réserves de pétrole, la mainmise sur la Libye et son pétrole, la tentative d’iraquisation de la Syrie et de récupération des « printemps arabes », sont autant de coups sur l’échiquier qui s’inscrivent parfaitement dans cette vision kissingérienne. Cependant le grand jeu ne fait que commencer par petits pas et la 3ème Guerre mondiale aussi.

Les ingrédients de la conflagration 

Le facteur iranien

Avec l’arrivée au pouvoir de la révolution islamique en 1979, l’Iran et son pétrole ont échappé à la sphère d’influence anglo-saxonne. Mais, originalité de la révolution iranienne, ce pays, au lieu de tomber sous la coupe d’une autre sphère de puissance, a préféré s’ériger lui-même en puissance régionale. Alors que le nouveau régime n’avait qu’un an d’existence, l’Iraq fut encouragé à lui déclarer une guerre atroce qui dura huit ans et au cours de laquelle toutes les armes disponibles à l’époque chez les deux belligérants, furent utilisées, y compris l’arme chimique. La paix revenue,  le pouvoir à Téhéran s’est attelé pendant plus de trois décennies à se doter d’une recherche scientifique et d’une industrie militaire puissantes et d’une économie boostée par l’instinct de survie car ayant pu tenir tête à un dur embargo imposé par le monde occidental. Sur le front des idées, le régime iranien s’est servi avec virtuosité et conviction du ciment religieux et du sentiment nationaliste comme idéologie unificatrice et mobilisatrice, pour maintenir la cohésion nationale face aux attaques psychopolitiques et asymétriques externes.
Plus que cela, le régime iranien s’est mis dans l’idée de se lancer à la conquête de l’énergie nucléaire, pour des besoins civils, ne cesse-t-il d’assurer, mais sans réussir à convaincre Israël et ses alliés occidentaux, les Etats-Unis en tête. Le plus curieux dans cette affaire, c’est que de l’avis de tous les spécialistes militaires de l’armement nucléaire, une éventuelle maîtrise par l’Iran du nucléaire militaire (la production d’une ou de plusieurs bombes atomiques) ne peut en aucun cas représenter une menace réelle pour Israël qui possède déjà et depuis longtemps, entre 200 et 300 ogives nucléaires avec des vecteurs de toutes sortes pour les délivrer sur site. D’un autre côté, en admettant qu’un jour l’Iran arrive à se doter d’une puissance nucléaire militaire significative et opérationnelle, il n’aura aucun intérêt à  l’utiliser car ce serait d’une part suicidaire et contre-productif sur le plan stratégique ; et d’autre part inutile puisque tout le monde sait que les salves de missiles à charges conventionnelles, peuvent suffire pour porter des coups décisifs au cœur de la puissance israélienne. En conséquence, le leitmotiv  qui dit que l’Iran cherche à se doter de l’arme nucléaire et présentera un danger « existentiel » pour Israël, est pour le moins exagéré pour ne pas dire désinformant. Il est vrai qu’il y a danger mais il est ailleurs, à savoir qu’un Iran devenu puissance nucléaire va nécessairement acquérir une stature géopolitique telle qu’il deviendra un acteur régional et international incontournable ; confisquant du même coup le leadership acquis par Israël après sa victoire de 1967. Les enjeux sont donc moins cruciaux que ne les laissent percevoir les guerres psychologiques que se livrent mutuellement les différents acteurs de ce conflit, qui menace de se transformer en conflit armé de dimension universelle. Au stade actuel des choses, seules les opinions publiques qu’elles soient nationales ou internationales, sont les victimes de cette guerre psychologique croisée et tous azimuts.

                                                 300_iran_cible_dr_edito040212.jpg                                                                                  Photo: Guysen International News

Le facteur israélien

De tous les adversaires actuels de l’Iran (et ils sont nombreux dans le camp occidental), Israël est le plus acharné. Les leaders israéliens, toutes couleurs politiques confondues, sont unanimes pour estimer qu’un Iran nucléaire représenterait un danger « existentiel » pour leur pays. Les déclarations outrancières et maladroites du président de la république iranienne Ahmadi Najad concernant      « l’inéluctabilité de la disparition de l’Etat juif », ont pour effet de crédibiliser ce crédo. Néanmoins, tous les experts savent que vu le rapport des forces conventionnelles et de destruction massive (nucléaires notamment) ne permettent pas à l’Iran de détruire Israël, même s’il le voulait. Par contre, Israël peut faire un mal terrible à l’Iran lors d’une première frappe, surtout si les armes atomiques ou à neutrinos sont utilisées.
Vu l’état d’esprit des dirigeants israéliens actuels, le recours aux armes de destruction massive à un stade ou à un autre contre l’Iran est envisageable, pourvu  que les dirigeants de ce pays commettent l’erreur fatale d’être les premiers à commencer les hostilités ou que, à un stade ou à un autre des opérations militaires, les salves de missiles iraniens infligent des dégâts insupportables aux zones industrielles stratégiques de l’axe Tel-Aviv / Haïfa.

Le facteur américain  

Israël n’ayant pas les moyens de terrasser tout seul la puissance militaire iranienne dès la première frappe, celle-ci ne peut se réaliser que si les Etats-Unis et derrière eux les pays de l’OTAN, sont impliqués. Or, de fortes résistances se manifestent aussi bien au niveau de la haute hiérarchie militaire, que dans les milieux politiques américains qui échappent à l’influence de l’AIPAC pour que leur pays ne soit pas entrainé dans un conflit pouvant avoir des conséquences incalculables sur le futur des Etats-Unis en tant que puissance mondiale. En réalité, psychologiquement, économiquement et militairement, les dirigeants américains ne peuvent se lancer de leur propre chef dans une guerre  contre l’Iran, sauf s’ils y sont entraînés par une provocation sous faux drapeau, genre dans lequel  les services secrets israéliens excellent. A ce propos, Marc Femsohn écrit pour le site israélien Guysen International News: « même s'il ne faut pas leur faire confiance aveuglément, on sent actuellement la pleine détermination des Américains et des Européens à faire plier l'Iran.  En cas de frappe israélienne, ils interviendront contre Téhéran bon gré mal gré, parce qu'ils n'ont pas le choix ». Une désinformation de ce genre sera d’ailleurs  difficile à monter, d’une part parce que le précédent iraquien avec l’histoire des « armes de destruction massive » qu’aurait possédées Saddam Hussein rend désormais difficile de faire avaler des couleuvres du même genre à l’opinion publique américaine et internationale. D’autre part, à chaque fois que la guerre psychologique israélienne, relayée par les caisses de résonance occidentales, atteint son paroxysme et menace de provoquer le point de rupture psychodynamique, les dirigeants iraniens communiquent et jettent du lest. Et, de nouveau on est reparti un autre round de négociations sur le programme nucléaire; ce qui a pour effet de dégonfler momentanément la crise. Avec le temps qui passe, la « menace » iranienne se banalise et les cris « au loup !» israéliens ont tendance à perdre de leur crédibilité. 

Le facteur européen  

La crise économique et systémique profonde a enlevé à l’Europe l’envie de jouer aux « va-t-en-guerre ». Néanmoins, le Président français M. Sarkozy et la Chancelière allemande Mme Merkel veulent bien participer à l’action psychologique générale contre l’Iran, tant que cela n’implique pas d’engagement militaire ou financier. L’Union européenne étant au bord de l’éclatement et la monnaie européenne étant menacée de disparition, ne peut courir le risque de se laisser entraîner dans une guerre contre l’Iran qui verrait se tarir le pétrole en provenance de ce pays et de la région du Golfe de façon générale. Certes les ministres des affaires étrangères européens se sont réunis et ont déclaré qu’ils allaient arrêter leurs importations de brut iranien, mais que ce boycott ne commencerait cependant qu’en juin prochain. Les Iraniens, en bon psychopoliticiens, ont rétorqué par la voix de quelques uns de leurs parlementaires que l’Iran allait prendre les devants et arrêter d’elle-même toute exportation de pétrole vers l’Europe et qu’une décision dans ce sens allait être prise par le Majliss (Parlement) iranien. Depuis,  on n’entend plus parler des menaces européennes et des contre-menaces iraniennes. Pourquoi ? Vous l’avez deviné : tout simplement parce que des pays européens se sont dépêchés de faire savoir secrètement au gouvernement iranien, qu’ils souhaitaient continuer d’acheter son pétrole. C’est du moins ce qu’a laissé entendre le ministre iranien des Affaires étrangères, M. Salehi, dans une interview diffusée le samedi 4 février 2012 par la chaîne de télévision du Hizballah « Al Manar ». 

 MAE iranien Ali Akbar Salehi dans son interview à Al Manar

Le facteur russe et chinois

Le rôle de la Russie et de la Chine sur la scène internationale est en train de muter de façon accélérée et les occidentaux n’ont pas l’air de s’en apercevoir, ce qui risque de leur réserver des surprises désagréables dans un proche avenir. En effet, ces deux puissances montantes viennent d’affirmer leur volonté d’endiguer l’expansion impériale occidentale, en opposant d’un seul élan leur ferme véto à une résolution contre la Syrie concoctée par les occidentaux, lors d’une séance du Conseil de sécurité de l’ONU tenue le samedi 4 février 2012.

UN.jpg                                 Les délégués chinois et russe levant la main pour voter contre la résolution (Photo:Donia Alwatan)

Cette séance du Conseil de sécurité et ce vote solidaire des Russes et des Chinois, entrera dans l’Histoire car il aura inauguré une nouvelle ère dans les relations internationales, à savoir leur multipolarisation après une phase de monopolarisation sous leadership américain, qui aura duré de l’invasion de l’Iraq en 2003 au retrait des troupes occidentales de ce pays en décembre 2011. Ce déclin de la puissance occidentale va être consolidé par le prochain retrait d’Afghanistan, l’échec de la tentative de désarticulation de la Syrie, la renaissance de l’Iraq qui deviendra une puissance régionale militaire et économique dans les dix ans à venir grâce à ses propres potentialités et à l’aide multiforme généreusement accordée par l’Iran. Il est à prévoir que dès que l’actuel premier ministre iraquien M. Malki aura consolidé son pouvoir et éliminé les hommes des Etats-Unis et de la Grande Bretagne (le leader sunnite M. Hachemi est déjà sur la touche et M. Allaoui et sur le même chemin), les Etats-Unis vont être invités à faire un second retrait, cette fois-ci d’une grosse partie de leur 15.000 « agents » diplomatiques. Le récent appel du leader shiite Moktada Sadr, contre la présence des drones de la CIA dans le ciel iraquien, est le signe avant-coureur de cette évolution.
Entre-temps, les Russes et les Chinois qui comptent bien faire payer aux occidentaux le tour qui leur a été joué en Libye, peuvent se payer le luxe de voir tout un édifice géopolitique s’effriter petit-à-petit.

Le facteur « Pays du Golfe »

Pour la première fois de leur histoire, ces pays d’habitude prudents et frileux politiquement, ont accepté le rôle que leur ont demandé de jouer les Etats-Unis dans la recomposition géopolitique du nouveau Moyen-Orient cher à Israël et aux néoconservateurs américains. Ce rôle consiste essentiellement à financer et à procurer une couverture diplomatique aux projets occidentaux dans la région. C’est ce qui fut fait en Libye, au Soudan et c’est ce qui est en train de se faire contre le régime syrien. Néanmoins, la terre est en train de bouger sérieusement sous les pieds des deux principaux béliers de tête engagés dans cette aventure, à savoir l’Arabie saoudite et le Qatar. Outre les problèmes que posent les processus de succession politique et de passation des pouvoirs entre les générations de dirigeants, ce qui entraine ipso facto une fragilité politique des régimes en place, ces deux pays risquent gros en se hasardant sans stratégie de recul dans une mêlée de titans. Les dirigeants iraniens ont été clairs : au cas où leur territoire et leurs intérêts vitaux comme la capacité d’exporter leur pétrole, seraient attaqués  par Israël ou par une coalition comme celle qui a envahi l’Iraq, les pays riverains du Golfe arabo-persique ne seront pas épargnés. Le fait est que tous les centres névralgiques (centrales de désalinisation d’eau, centrales électriques, raffineries de pétrole et autres infrastructures pétrolières ou gazières, etc.) sont à portée de missiles iraniens. Selon ce scénario apocalyptique, seule la Mecque restera intact, sauf si les Israéliens la bombarde par un faux avion ou missile iranien, ce qui serait une opération sous faux drapeau qui viserait à monter l’opinion arabe et musulmane contre l’Iran.

http://ledessousdescartes.info/index.php/post/2012/02/05/Vent-de-guerre-sur-le-Moyen-Orient-%3A-La-3%C3%A8me-guerre-mondiale-serait-elle-d%C3%A9j%C3%A0-en-marche

26 août 2015

La vision prophétique de Rudolph Steiner sur l' incarnation d' Ahriman. Suite

 

 

ahriman

La tête d’Ahriman sculptée par Rudolf Steiner.

SA VISION EST PLUS QUE réaliste

facesen 2001 SON VISAGE EST APPARU DANS LA FUMEE DES TOURS APR7S LE SACRIFICE DU 11 SEPTEMBRE QUI MARQUE LE DEPART DE SA VENUE  STEINER AVEZ VU JUSTE DES DECENNIES PLUS TOT..........

Les 7 courants renforçant l’Incarnation d’Ahriman .

1 – développer la science de l’esprit ou anthroposophie

 

2 – se diviser en petits groupes (nationalismes, idéologies)

2 – cultiver l’élément humain universel

 

3 – instaurer la suprématie de l’économie (le marché mondial)

3 – créer un Etat purement juridique et une Instance purement spirituelle

 

4 – comprendre le christianisme uniquement d’après les Evangiles (fondamentalistes chrétiens)

4 – comprendre le christianisme par l’anthroposophie (Christologie)

 

5 – consommer l’esprit inconsciemment par la nourriture (bons vivants matérialistes)

5 – accueillir consciemment la connaissance de l’esprit

 

6 – favoriser la vie intellectuelle dénuée d’enthousiasme (universités)

6 – connaître de tout son être

 

7 – utiliser les chiffres pour décrire le réel (statistiques, partis politiques)

7 – se baser sur l’expérience pour comprendre le réel

 

SUR LA PISTE DE L’INCARNATION D’AHRIMAN :

D’après Rudolf Steiner :

Ahriman s’incarnera en Occident au début du 3e millénaire (2001 étant la 1ère année du 3e millénaire). Il apprendra aux hommes ce qu’il faut boire et manger pour devenir très intelligent. Il donnera aux hommes une clairvoyance purement individuelle, empêchant les hommes d’être d’accord sur leurs visions. Il cherchera à ce que les hommes ne veulent plus se réincarner. (1)
D’après Soloviev :

La Chine et le Japon pénétreront en Europe. L’Europe les repoussera. Alors Ahriman (appelé l’Antéchrist) instaurera une paix mondiale (les casques bleus ou rouges de l’ONU en sont une préfiguration), un partage mondial (comme il concentrera tous les capitaux, la répartition sera aisée). Ahriman pénétrera dans le Temple de Jérusalem, reconstruit pour la 3e fois et instaurera une religion universelle. (2)
D’après Lievegoed :

Steiner aurait dit selon Lievegoed que les Démons de Mars, agissant en Mongolie et en Chine, se réveillent tous les 800 ans :

Vers 400 : Attila

Vers 1200 : Gengis Khan

Vers 2000 : ?

D’après Nostradamus :

Celui-ci parle du Grand Roi d’Effrayeur pour l’année 1999.

D’après St Malachie :

Le Pape actuel serait le dernier ou l’avant-dernier Pape, avant celui appelé Pierre II. A l’époque de ce dernier Pape, Rome sera détruite.

 

D’après Benjamin Creme :

Ahriman (appelé le Christ Maitreya) va bientôt s’adresser aux hommes via les média américains.

A l’objection : « Steiner  a parlé du retour du Christ comme étant son apparition dans le monde éthérique », Creme a répondu : « Steiner n’ a pas connu 1945 et le Christ (Ahriman), devant cette souffrace humaine, a décidé de revenir sur Terre. »(4)

D’après la crise actuelle commencée fin 2008 :

La période est idéale pour Ahriman pour fonder un Nouvel Ordre Mondial.

D’après certains anthroposophes :

Le World Wide Web (WWW=VAV des Hébreux=666) serait l’Incarnation d’Ahriman ou le support physique de son Incarnation.

1998/1999 pourrait être l’année de la Conception de l’homme destiné à recevoir l’esprit d’Ahriman et l’année 2033 pourrait être celle de l’Incarnation d’Ahriman dans cet homme. 2033 se situant 100 ans après l’apparition du Christ dans l’éthérique et l’année où Hitler devient Chancelier.

2012 est également une date à ne pas négliger puisqu’elle revient souvent dans les courants New Age.

 D’après les visions d’Elichaazel :
Troisième vision
J’étais devant un écran de télévision. Un homme habillé en complet, souriant, parlait en anglais. Il
ressemblait à un présentateur de journal télévisé. Je savais que je regardais une chaîne de télévision qui
émettait, sans limites, sur toutes les nations du globe terrestre.
Cet homme présentait des informations, mais, contrairement à nos journalistes contemporains; il
donnait de bonnes nouvelles. Il parlait de travail, de paix, de joie mondiale. Cet homme était revêtu d’une
force démoniaque qui lui permettait d’hypnotiser ceux qui l’écoutait. Sa puissance était dans ses yeux.

Huitième vision
L’Esprit me fit voir une femme. Elle avait la peau de la couleur du bronze, avait des cheveux d’or. Tout
son corps brillait.
Elle était couchée à terre. Elle était en train de mettre au monde un enfant. Son vagin était recouvert
d’une sorte de pâte verdâtre.
L’enfant sortit. Tout son corps était recouvert de la même souillure verte et, chose étrange, il était
rattaché à sa mère par un cordon qui lui sortait du haut du crâne.
J’entendis alors une voix. Elle me dit que cet enfant était le fruit d’une alliance entre une femme et un
démon. A ce même moment, je vis cette femme, couchée sur un lit, recouverte d’un esprit : Satan ! Ils
étaient en train de forniquer.
Le Saint-Esprit révèle ici la naissance de l’Antichrist, maudite engeance, fruit d’une femme et du
serpent. Cet être viendra par la volonté de son père, Satan.
Dieu me dit que l’avènement du règne de cet être maudit était très proche, que les serviteurs du
diable s’activaient à préparer son arrivée. Les plans sont déjà prêts à être appliqués au signal que donnera
Satan. Ces choses sont gardées secrètes aux peuples de ce monde, qui sont manipulés par ces serviteurs
des ténèbres.
Ce prince est déjà là ! Attendant le signal de son père, il se tient dans le silence recevant l’instruction
de ses maîtres. Avant de monter sur le trône, il doit être instruit dans tous les mystères de son père et
devenir maître dans l’art du pouvoir, de la manipulation, de la séduction, de la magie. Cet enseignement lui
est actuellement donné par de grandes puissances démoniaques, des esprits supérieurs. L’Esprit de Dieu
me dit que cet être avait une très grande intimité avec tous les démons et que depuis sa naissance, il
manifestait des capacités naturelles qui équivalaient aux pouvoirs que les plus grands sorciers accumulaient
après toute une vie de service à Satan.

L’Esprit appuya sur le fait que cet être sera d’une très grande puissance; que depuis les temps
anciens jusqu’aux temps de la révélation de Jésus, nul homme n’aura une telle puissance démoniaque et un
tel pouvoir de séduction sur ses semblables. Satan fait chair !
Malheur à la génération qui se soumettra à son règne, elle aura la même fin que ce roi.
Neuvième vision
Je vis un bâtiment de forme circulaire. Il portait sur le toit, différents drapeaux. Il était fait de verre, et
ressemblait à nos constructions modernes. Devant ce bâtiment, il y avait un jardin très beau, très agréable. Il
semblait que c’était un bâtiment officiel.
L’Esprit me montra l’intérieur de l’édifice.
Je vis un trône au milieu d’une salle circulaire. Il était de couleur blanche.
Un homme était assis sur ce trône. Son visage reflétait une assurance et une arrogance. Il semblait
véritablement apprécier sa position.
Derrière lui, se tenait un pape qui était revêtu d’une soutane de couleur rouge vif. Il semblait avoir une
très grande complicité avec ce roi. En effet, à certains moments, il lui chuchotait des mots à l’oreille; le roi lui
répondait par des sourires et des signes de la tête.
Ils étaient entourés d’une très grande foule de rois, de reines, de chefs d’états. Certains d’entre eux
étaient même agenouillé devant lui. Cette foule le regardait avec un respect mêlé de crainte. Je vis ce roi
faire des discours dans un parfait silence de l’auditoire. Des traités, des alliances furent signés. Il n’y avait
aucune discussion ni protestation de la part de la foule.
Son pouvoir était total.
L’Esprit de prophétie me dit que cet édifice était celui des Nations-Unies, que ce roi était l’Antichrist. Il
tiendra tous les rois de cette terre dans sa main et ceux-ci seront ses sujets. Ils se soumettront
volontairement à son pouvoir. L’Antichrist sera soutenu dans son règne par un serviteur de Satan revêtu de
puissance : un pape, chef religieux qui confessera des paroles de séduction et manifestera par sa main de
puissants miracles par la puissance pure de Satan. Ce pape amènera une foule nombreuse après lui. Ces
deux êtres seront remplis, entourés de la présence de leur père et maître.
L’Esprit me porta une révélation importante :
Le peuple du témoignage de l’Agneau de Dieu, Jésus-Christ, connaîtra de grandes douleurs et
souffrira des flèches enflammées de Satan.
Le pape qui succédera au successeur du pape Jean-Paul II portera cette tribulation contre le peuple
de Dieu, ceux qui ont reçu le témoignage du sang. Cette tribulation sera manifestée par la promulgation
d’une loi contre la véritable Eglise de Christ, gardienne de ses commandements. L’Eglise visible sera
manifestement divisée. D’une part seront ceux qui accepteront de collaborer et de se compromettre; de
l’autre part sera les véritables enfants de Dieu qui seront fidèles au Roi et qui souffriront de la part de leurs
« frères » à cause de leur intransigeance.
Telle est la parole de L’Esprit de prophétie : « Levez les yeux vers les cieux, de nombreux signes s’y
manifesteront ! Persévérez ! Soyez unis ! Enseignez vos enfants ! »

Dixième vision
Je vis l’antichrist au milieu de la cathédrale Saint-Pierre de Rome. Elle était remplie de monde. Il y
avait dans ce lieu, un luxe que je n’avais jamais vu auparavant.
Une grande réception était faite en l’honneur de l’élu de Satan : l’antichrist.
Il était assis sur le siège du pape. Un siège travaillé avec art, recouvert d’un fin tissu de velours rouge.
Cette couleur dominait dans ce lieu.
Je vis alors, le pape s’approcher de lui. Il se mit à genoux, baissa la tête et lui remit sa crosse
argentée.
Ce moment était solennel.
Les télévisions du monde entier étaient présentes. Elles retransmettaient cet événement sur tout le
globe.
L’Esprit me montra ensuite une autre scène. Elle se déroulait dans une salle immense, pleine de
monde.
L’antichrist était assis sur un trône. Le pape était debout derrière lui. Des hommes et des femmes
s’approchèrent de lui, un à un. Il s’agissait des chefs de nation. Ils déposèrent à ses pieds leurs couronnes.
Je notai la présence des télévisions mondiales qui couvraient événement.
L’antichrist parla. Je ne distinguai pas ce qu’il disait mais je vis l’effet que son discours eu sur
l’auditoire. Les hommes étaient absorbés par ce qu’ils entendaient. Leurs yeux étaient fixés sur lui. Ils
étaient ensorcelés, hypnotisés ! Une voix me dit que cet homme avait son pouvoir de séduction dans sa
langue.
Je vis alors, le pape rentrer en scène.
Il était très puissant ! Il leva l’index vers le ciel. Des signes se manifestèrent dans un bruit de tonnerre,
avec beaucoup de lumière. Je le vis approcher de personnes mortes, il pointa sur elles son index; elles se
réveillèrent. Il accomplit encore de grands miracles. Il éveillait la crainte des hommes et l’adoration aussi.
Une chose me frappa : la présence de la télévision à chacune de ses prestations.
Bibliographie : (1)« Lucifer et Ahriman »,  Rudolf Steiner(éditions anthroposophiques romandes)

26 août 2015

Ahriman ou la naissance du mal

ahrimann

ahrimansculptGrande

face1

INCARNATION D'AHRIMAN



« Des esprits éclairés d’aujourd’hui considèrent comme superstitieux de voir des puissances spirituelles à l’œuvre dans les phénomènes naturels. Ils ne se doutent pas le moins du monde que des esprits démoniaques sont actifs dans tout le domaine de la technologie créée par la race humaine. Il leur sera difficile de le voir, parce que ces puissances agissent dans la volonté – et je vous ai souvent dit que la volonté est endormie. Elles agissent à un niveau inconscient et s’emparent de l’esprit humain.
En voici la conséquence : dans le passé, les êtres humains possédaient au moins une certaine conscience des puissances démoniaques. Aujourd’hui, les puissances démoniaques remuent à leur gré dans tous les produits de la technologie : leurs activités s’étendent jusque dans la sphère de la volonté humaine, mais les êtres humains ne sont pas encore prêts à le reconnaître… Dans les anciens temps, les esprits perçus dans les phénomènes de la nature étaient lucifériens ; les esprits actifs dans les machines, dans tous les produits de la technologie, sont ahrimaniens.

Les êtres humains s’entourent donc eux-mêmes d’un monde ahrimanien qui se développe de façon tout à fait autonome. Vous percevrez cette tendance dans l’évolution humaine. D’un monde luciférien qui influence encore leurs esprits conscients et détermine leurs destinées, les êtres humains sont entraînés dans un monde ahrimanien. Et aujourd’hui, cela se produit à une vitesse très rapide.

Ce monde ahrimanien agit sur la volonté humaine, et l’intellectualisme de la science moderne ne permet pas aux gens de devenir immédiatement conscients de la volonté. Le grand danger est que le monde ahrimanien s’empare de la volonté humaine et que les êtres humains se trouvent complètement désemparés parmi les puissances démoniaques présentes dans les produits de la technologie.»

« …Avant qu’une partie seulement du troisième millénaire de l’ère post-chrétienne se soit écoulée, il y aura, à l’Ouest, une incarnation véritable d’Ahrimane : Ahrimane en chair et en os. L’humanité sur Terre ne peut pas échapper à cette incarnation d’Ahriman. Elle va inévitablement survenir.

Mais ce qui importe, c’est que les hommes trouvent le point de vue juste pour le confronter. Partout où des préparatifs ont lieu pour de telles incarnations, nous devons être très vigilants face à certaines tendances de l’évolution. Un être comme Ahrimane, qui va s’incarner à l’Ouest dans les temps à venir, prépare son incarnation à l’avance. En vue de cette incarnation sur terre, Ahrimane dirige certaines forces de l’évolution de manière à ce qu’elles le servent le mieux possible. Un mal en résulterait si les hommes vivaient ces événements à moitié endormis, incapables de reconnaître certains phénomènes de la vie comme des préparatifs pour l’incarnation d’Ahrimane dans le physique. On ne peut trouver l’attitude juste qu’en reconnaissant dans l’une ou l’autre série d’évènements la préparation que fait Ahrimane pour son existence terrestre»(ou exktraterrestre)

« Cette incarnation d’Ahriman ne pourra pas être évitée. Elle est inévitable, car il faut que les hommes se trouvent face à face avec Ahriman. Il sera l’individualité qui montrera aux hommes à quel niveau inouï d’intelligence ils peuvent parvenir, s’ils font appel à toute l’aide que les forces terrestres peuvent leur apporter pour développer l’intelligence et l’ingéniosité. Au milieu des catastrophes qui frapperont l’humanité dans un proche avenir, les hommes vont devenir extrêmement inventifs; l’homme découvrira toutes sortes de forces et de substances dans l’univers qu’il utilisera pour se nourrir. Mais toutes ces découvertes montreront au même moment que ce qui est matériel est lié aux organes de l’intellect, pas aux organes de l’esprit. Les gens apprendront ce qu’il faut manger et boire pour devenir très intelligents. On ne peut pas développer sa spiritualité en mangeant et en buvant, mais on peut, par contre, acquérir une intelligence raffinée.

Les hommes ne connaissent pas encore ces secrets; non seulement ils chercheront à les percer à jour, mais ces connaissances seront le résultat inévitable des catastrophes qui auront lieu dans un proche avenir. Certaines sociétés secrètes – dans lesquelles des préparatifs sont déjà en cours – vont appliquer ces choses de manière à créer les conditions nécessaires pour une incarnation véritable d’Ahriman sur terre.»

« En usant d’artifices prodigieux, il donnera aux hommes toute la connaissance clairvoyante qui jusque là ne pouvait être acquise qu’au moyen d’un travail et d’un effort intenses.
Les hommes pourront vivre en matérialistes ; ils pourront manger et boire, et ils n’auront besoin de faire aucun effort spirituel. Les courants ahrimaniens se développeront sans entrave. Quand Ahriman s’incarnera à l’Ouest au moment fixé, il créera une grande école occulte pour la pratique des arts magiques les plus grandioses, et ce qui, autrement, ne peut être acquis que par un effort énergique, sera donné à l’humanité.

N’imaginez jamais qu’Ahriman va apparaître comme une sorte de prestidigitateur, jouant des tours malicieux aux êtres humains. Non, vraiment pas ! Ceux qui aiment la facilité, qui ne veulent rien avoir à faire avec la science spirituelle, seront victimes de sa magie, car au moyen de prodigieux artifices, il sera capable de rendre un grand nombre d’êtres humains prophètes – mais de telle manière que la clairvoyance de chacun sera strictement individuelle. Ce qu’une personne verra, une seconde et une troisième personnes ne le verront pas. La confusion régnera et, malgré le fait d’avoir accès à la sagesse clairvoyante, les hommes vont inévitablement entrer en conflit à cause de la totale diversité de leurs visions.
Cependant, en fin de compte, ils seront tous satisfaits de leur propre vision particulière, car chacun sera capable de voir dans le monde spirituel. De cette manière, toute culture sur la terre deviendra la proie d’Ahriman. Les hommes succomberont devant Ahriman, simplement pour n’avoir pas acquis par leurs propres efforts ce qu’Ahriman sera prêt à leur donner. Il n’y aura pas de plus mauvais conseil que de leur dire : « Restez exactement ce que vous êtes ! Ahriman va vous rendre tous clairvoyants si vous en avez envie. Et vous le souhaiterez parce que le pouvoir d’Ahriman sera très grand.»
« Le résultat sera l’établissement du royaume d’Ahriman sur Terre et la ruine de tout ce que la culture humaine a pu produire jusqu’ici. Toutes les tendances désastreuses, inconsciemment les plus entretenues aujourd’hui, auront libre cours.»
« Mais maintenant, dans la cinquième époque Post-Atlantéenne, il [l'être humain] est sur la voie du déclin, il est un être devenant physiquement faible, et il n’aurait plus la force de percevoir le monde comme les Grecs le faisaient.»
« L’effondrement de la culture post-atlantéenne proviendra du manque de moralité. La race Lémurienne fut détruite pas le feu, la race Atlantéenne par l’eau; la vôtre sera détruite par la « Guerre de Tous contre Tous », par le mal, par le combat des hommes entre eux.»

Prophéties de Rudolf STEINER

 

23 août 2015

Nos états d'âme modifient notre ADN

 

 

A contre-pied du déterminisme implacable du « tout génétique », de nombreux chercheurs constatent aujourd’hui que nos expériences, nos émotions, nos actions façonnent l’expression de nos gènes en permanence.

Influence des stress
adn
  Si l’on sait depuis longtemps que le stress et les traumatismes psychiques influent à la fois sur les comportements et sur la santé, les récents travaux montrent qu’ils attaquent directement l’ADN.
adn
Violences, mauvais traitements, abus sexuels, abandon et autres traumatismes psychologiques laissent une trace indélébile à l’âge adulte, comme l’avait déjà observé Sigmund Freud il y a plus d’un siècle. Depuis, une multitude d’études cliniques l’ont confirmé : ceux qui ont subi de grands traumatismes dans l’enfance sont globalement plus sujets à la dépression, à la toxicomanie, aux comportements asociaux, mais aussi à l’obésité, au diabète et aux maladies cardiovasculaires. Pis, ce mal-être s’ancre parfois en nous… avant la naissance ! Car d’autres études montrent que les enfants dont la mère a subi un stress psychologique prolongé ou un traumatisme psychique intense pendant la grossesse ont plus de risques que les autres d’être anxieux, dépressifs, voire schizophrènes.
adn
C’est un fait que la psychologie a établi et qui fait consensus : il existe un lien entre traumatismes psychiques et comportements. Quel lien ? Comment des expériences négatives peuvent-elles s’inscrire dans l’organisme, au point d’affecter durablement le comportement ou la santé ?

L'effet de l'esprit sur le corps
adn
Le secret de cette empreinte biologique serait niché au cœur de nos cellules, là où les effets du stress perturbent l’organisme en s’attaquant à l’ADN. Ce pouvoir étrange de l’esprit sur le corps, la biologiste australo-américaine Elizabeth Blackburn, prix Nobel de médecine 2009, et Elissa Epel, psychiatre à l’université de Californie, l’ont montré en 2004 en comparant l’ADN de mères d’enfants en bonne santé à celui de mères d’enfants atteints d’une maladie grave et chronique, comme l’autisme ou un handicap moteur et cérébral. Eh bien, chez ces dernières, soumises au stress psychologique chronique, l’ADN présente des signes de vieillissement précoce… Comme s’il était « rongé » par l’angoisse.
adn
adn Plus précisément, c’est l’extrémité des chromosomes qui est atteinte. En effet, au cœur des cellules, l’ADN est condensé sous forme de chromosomes, à l’extrémité desquels se trouvent des « capuchons » appelés télomères qui les protègent de l’érosion au fil des divisions cellulaires. Cependant, ils raccourcissent progressivement au fur et à mesure que la cellule vieillit. Or, chez ces mères angoissées, les télomères sont anormalement courts, reflétant un vieillissement accéléré de 9 à 17 ans ! « Nous observons ainsi un lien direct entre les émotions et ce qui se passe dans la cellule, précise Elissa Epel. Et nous avons aussi constaté que lorsque le niveau de stress diminue la longueur des télomères augmente ! » Comment le stress pourrait-il raccourcir les télomères ? « On ne comprend pas encore le mécanisme, reconnaît Elizabeth Blackburn. Nous cherchons du côté des interactions entre le cortisol, l’hormone du stress, dont le taux élevé est associé à une réduction de l’activité de la télomérase, la molécule chargée de l’entretien des télomères. »
adn
Fixés aux extrémités de chaque chromosome, les télomères raccourcissent progressivement au fil de l’âge. Mais un stress chronique peut les réduire de manière anormale, jusqu’à accélérer le vieillissement cellulaire de plusieurs années.

Un résultat fascinant
adn
Les changements de méthylation temporaires sont visibles sur l’hippocampe d’un rat soumis à un stress important. A dr., les groupements méthyles, en noir, sur les gènes des neurones, ont disparu.
Mais ce n’est pas tout. Car non content de s’attaquer aux télomères, l’état de stress inscrit sa marque directement sur nos gènes, modifiant de façon ciblée et durable certains de nos comportements. Cette action relève d’un phénomène biologique dont l’importance se dévoile de plus en plus aujourd’hui : l’épigénétique, terme désignant les modifications chimiques qui affectent l’ADN, autres que les mutations qui touchent la structure même de la molécule. Ces modifications épigénétiques sont comme de petites « étiquettes » – des groupements méthyles – qui indiquent à la machinerie cellulaire quels gènes elle doit utiliser ou, au contraire, ignorer. A la clé ? La méthylation empêche physiquement l’expression des gènes en se plaçant sur l’ADN (voir infographie).
adn
Or, les biologistes constatent que stress et traumatismes psychiques entraînent des erreurs d’étiquetage épigénétique dans la zone cérébrale qui gère les émotions, l’hippocampe… Une équipe menée par Michael Meaney, à l’université McGill (Canada), l’a montré en 2004 en comparant le cerveau de bébés rats cajolés par leur mère à ceux de ratons délaissés. adn Le délaissement induit des modifications épigénétiques qui bloquent le gène utilisé pour produire le récepteur aux corticoïdes dans l’hippocampe. Or, ce récepteur contrôle la réponse au stress en réduisant le taux sanguin de cortisol, l’hormone libérée en cas de stress. En clair, les rats délaissés possèdent moins de récepteurs au cortisol, et sont alors moins armés pour faire face au stress. Perpétuellement angoissés, ils souffrent de troubles de la mémoire et d’un comportement dépressif. Même à l’âge adulte, le moindre dérangement prend chez eux des proportions alarmantes…
adn
Ces deux souris Agouti sont dotées d’un gène de la couleur du pelage identique. Selon le degré de méthylation de ce gène, lié au stress, l’une est jaune, avec même une susceptibilité à l’obésité, et l’autre brune et sans problème de santé.

Ce fascinant résultat peut-il être extrapolé à l’homme ? Oui, répondent les mêmes chercheurs qui, en mars 2009, ont publié les résultats de l’analyse du cerveau de personnes décédées par suicide, certaines ayant été victimes de sévices sexuels dans l’enfance, d’autres non. Chez celles ayant subi des abus, le gène du récepteur aux corticoïdes est bloqué par une méthylation de l’ADN des neurones… de l’hippocampe, tout comme chez les rats abandonnés. « Ces personnes ont donc naturellement un taux de cortisol élevé, ce qui est souvent associé à un état dépressif majeur », explique Moshe Szyf, l’un des auteurs de l’étude. Ainsi, en affectant les gènes qui permettent de lutter contre les tensions, les traumatismes précoces altèrent durablement la capacité à surmonter les difficultés, favorisant le risque suicidaire.
adn

HP001_adn-emotions

 Depuis deux ans, les études qui confirment le rôle de l’environnement et du vécu dans l’apparition des troubles mentaux se multiplient. En 2008, des chercheurs canadiens du Centre de l’addiction et de la santé mentale, à Toronto, ont comparé le cerveau de personnes atteintes de schizophrénie ou de troubles bipolaires à celui de témoins. Chez les premières, 40 gènes présentaient une méthylation anormale. Or, ces gènes s’avèrent pour la plupart impliqués dans le développement cérébral ou la transmission des messages entre les neurones.
adn
Certes, les scientifiques sont encore loin de pouvoir faire la part du biologique dans les maladies psychiatriques. Mais certaines données sont troublantes : c’est parfois en remontant très loin dans l’histoire d’un individu, avant sa naissance, que l’on trouve la « source » de la maladie. Ainsi, en 2008 également, une étude danoise menée sur 1,38 million de femmes a montré que le fait d’être confronté à la maladie ou au décès d’un proche juste avant ou pendant la grossesse augmente de 67 % le risque de schizophrénie chez l’enfant à naître.  En outre, lorsqu’une femme est dépressive ou anxieuse pendant sa grossesse, le bébé a tendance à présenter un marquage épigénétique anormal sur le gène du récepteur aux corticoïdes. Avec pour conséquence un nourrisson au taux de cortisol élevé, très sensible au stress. La preuve que nos gènes gardent la cicatrice des événements vécus avant même la naissance !
adn
« Je pense que la plupart des maladies chroniques comme l’asthme, le cancer, le diabète, l’obésité et des maladies neurologiques (autisme, troubles bipolaires, schizophrénie) résultent en partie d’une mauvaise régulation épigénétique lors des premiers stades de développement », estime Randy Jirtle, directeur du laboratoire d’épigénétique à la Duke University, aux Etats-Unis. Alors que le génome d’un individu reste très stable au cours de sa vie, l’ensemble des marques épigénétique qui régulent l’eHP001_adn-cosmos-1xpression des gènes – son « épigénome » – varie constamment, en réaction aux variations extérieures… Et c’est justement son rôle : « L’épigénome est une interface entre nos gènes, qui sont statiques, et notre environnement, variable », explique Randy Jirtle. Ainsi, la « partition »génétique reste la même, mais son interprétation peut varier au cours de la vie, en fonction de son marquage épigénétique.

Des empreintes positives
adn
Mais alors, si le marquage épigénétique est dynamique, serait-il réversible ? L’expérience de chercheurs de l’université Rockefeller, à New York, le laisse penser. Ils ont réussi en novembre 2009 à « annuler » les effets épigénétiques causés par le stress dans le cerveau de souriceaux, en leur donnant… du Prozac, un anti-dépresseur. Mieux, la trichostatine A, un médicament proche du valproate, utilisé pour réguler les troubles de l’humeur dans certaines psychoses, a permis de supprimer le marquage épigénétique anormal et de corriger le comportement de rats adultes ayant été négligés par leur mère à la naissance.
adn
  En outre, les émotions positives peuvent heureusement, elles aussi, laisser leur empreinte. En 2008, des travaux menés au Massachusetts General Hospital ont montré que huit semaines de relaxation suffisaient à modifier l’expression de plusieurs centaines de gènes, selon un profil totalement opposé à celui induit par le stress. Par ailleurs, une nouvelle étude menée à l’université de Saarland, à Hambourg, vient de montrer que l’activité physique ralentit le raccourcissement des télomères dans les globules blancs. De son côté, Elissa Epel lance une étude pour étudier les effets de la méditation sur la longueur des télomères.
adn
« En fait, le message de l’épigénétique est optimiste. Ses empreintes peuvent être inversées, et nous cherchons maintenant à utiliser des médicaments agissant sur ce marquage pour soigner les maladies mentales », explique Moshe Szyf. Il y a aussi des chances pour que le soutien social et psychologique suffise à corriger le marquage épigénétique chez les personnes à risque ». Ainsi, contrairement à ce qu’affirmaient les scientifiques dans les années 1990, nous ne sommes pas uniquement le produit de nos gènes. Nos expériences, nos émotions, nos actions façonnent l’expression de ces gènes en permanence. Avec la certitude que rien n’est irrémédiable.

Marine Corniou
pour Source-Ressources et Science et Vie
www.source-ressource.comhttp://www.energie-sante.net/fr/hp/HP001_nos-etats-ame-modifient-notre-adn.php

 

Publicité
Publicité
19 août 2015

Histoire & Sciences Occultes Paris secret et codée de ses monuments

Le Temple secret
du Champ de Mars

monument-drts-de-l-homme

Il est là, paisible, tapi dans un recoin du Champ de Mars avec pour témoins de ses mystères, les jeux des enfants. Et pourtant, ce ne sont pas les secrets qui manquent sur ses quatre murs! Le monument érigé par François Mittérand en 1989,

à l’occasion du bi-centenaire de la Déclaration des Droits de l’Homme, a toutes les apparences d’un petit temple antique. Ses façades incrustées de triangles, de cercles et de pyramides inversées, représentent une véritable encyclopédie de la connaissance ésotérique et maçonnique ! Rien d’étonnant, direz-vous puisqu’ils témoignent de ce moment historique où la pensée maçonne a été le fondement même du politique! La porte du temple est encadrée par les “colonnes de Boaz et Jachim”, répliques du temple de Salomon. Or la tradition maçonnique est bâtie entre autre, sur la légende d’Hiram, l’architecte du temple Salomon, assassiné. La forme du monument censé rappeler le tombeau d’Hiram, cacherait-elle une salle souterraine qui pourrait être une sépulture? De discrètes grilles d’aération disséminées à intervalles réguliers, témoignent de l’existence d’une salle souterraine! En levant la tête, on découvre au dessus de la porte, un oeil de boeuf et un serpent qui se mord la queue. En alchimie, l'Ouroubos. Ce symbole représente, s’il est seul, l’unité de la matière, la vie éternelle, la régénération. Certains vont même jusqu’à y voir le signe de la sagesse, du pouvoir et de l’énergie créatrice. Le médaillon central donne au monument son caractère définitivement maçonnique : une poignée de main symbolisant la fraternité entre franc-maçons. Dessous une corne d’abondance censée représenter le vase sacré ou Graal, croise avec un caducée, emblème d’Hermes. Autour, de multiples médailles commémorent les franc-maçons les plus illustres. Faisons le tour et plaçons nous à l’opposé. En mettant en oeil contre le triangle divin, on admire la face cachée de la connaissance réservée aux seuls initiés ! Observation plus étrange: l’ alignement du monument avec le temple solaire de l’Observatoire de Paris, la grande Arche de la Défense et la pyramide du Louvre!

Voici un film documentaire réalisé par Shulmeister , qui nous propose un parcours dans la géométrie codée et sacrée à Paris, les monuments issu de la franc maçonnerie, ainsi qu'un décryptage du texte et des monuments représentant "les droits de l'homme".

- Le Serpent
- La Colonne de Juillet, le Soleil
- Le Monument des droits de l'homme, la Lune
- L'Observatoire de Paris, la porte vers les étoiles
- Les Axes Géographiques occultes
- Le Temple d'Isis
- La Société des Angéliques

Histoire & Sciences Occultes - Un secret d'Initiés PARTIE 1

Histoire & Sciences Occultes - Un secret d'Initiés PARTIE 2

Histoire & Sciences Occultes - Un secret d'Initiés PARTIE 3

16 août 2015

Chimiotherapie et Diabete : AHCC, un puissant immunostimulant issu de la recherche japonaise

sante

La recherche montre que l'AHCC, Active Hexose Correlated Compound, aurait des effets bénéfiques dans la prévention et le traitement du diabète, de l'hyperlipidémie et de l'hépatite. Il aurait également une action antitumorale et atténuerait les effets secondaires de la chimiothérapie. Au Japon, l'AHCC est utilisé dans plus de 600 hôpitaux dans le traitement du cancer, d'hépatites et d'autres maladies chroniques.


L'AHCC est un extrait fermenté du mycélium d'un hybride de différents types de champignons utilisés dans la médecine traditionnelle japonaise. Il se distingue d'autres suppléments nutritionnels à base de champignons par son faible poids moléculaire (5 000 daltons), obtenu par un processus enzymatique, qui facilite son absorption par voie orale.


Les principes actifs de l'AHCC sont des ingrédients que l'on trouve dans de nombreux types de champignons et certains sont des dérivés d'alpha et de bêta-glucane, des polysaccharides connus pour leur action bénéfique sur le système immunitaire.

Ils ont un effet de modulation sur le système immunitaire, ils augmentent la concentration en lymphocytes T et B, stimulent l'activité des macrophages renforçant ainsi les défenses de l'organisme contre l'action des virus, des bactéries, des parasites ou des cellules néoplasiques.
L'Active Hexose Correlated Compound (AHCC) a fait l'objet de plus de 200 études cliniques principalement conduites au Japon. Des recherches sont aujourd'hui en cours dans plus de 150 centres de recherches et hôpitaux universitaires au Japon et aux États-Unis. Depuis 1994, chaque année, plus de 300 médecins et chercheurs sont rassemblés à Sapporo au Japon à l'occasion du symposium de l'Association pour la recherche sur l'AHCC.

Les sentinelles du système immunitaire


Découvertes dans les années 1980, les cellules tueuses naturelles (NK) sont un type de globules blancs ; elles sont considérées comme les cellules « sentinelles » du système immunitaire. Telles les sentinelles d'un fort, elles sont les premières à affronter l'invasion des virus, des bactéries ou des malignités émergentes. Elles ont une capacité innée ou naturelle à faire la distinction entre les « bons » et les « méchants » et peuvent tuer simultanément ou en successions rapides de multiples cibles. Lorsqu'elles fonctionnent à plein régime, les organismes pathogènes sont étouffés dans l'œuf avant qu'ils ne s'enracinent ; le reste du système immunitaire a tendance à être régulé à la baisse, à se reposer et à être mieux préparé à répondre si l'on fait à nouveau appel à lui.

Chez des individus en bonne santé, les cellules NK tuent systématiquement les cancers lorsque les tumeurs sont microscopiques et avant qu'elles ne soient détectables.
La mesure du fonctionnement de tueuses de cancer des cellules NK est considérée comme l'un des principaux indicateurs du pronostic clinique. Des recherches montrent que ce fonctionnement est souvent très faible chez des personnes avec des antécédents familiaux de cancer, qu'il décline avec l'âge, expliquant ainsi l'augmentation de l'incidence du cancer avec le vieillissement. Il est également affaibli par l'ablation d'un cancer, les radiations ou la chimiothérapie, ce qui pourrait apporter une explication au fait que les métastases cancéreuses se propagent de façon encore plus agressive après ces traitements.
Stimuler le fonctionnement des cellules NK et soutenir la première ligne de défense du système immunitaire font partie des possibilités les plus prometteuses de la prévention et du traitement du cancer.

Stimulation de l'activité des cellules NK

 
Depuis 1986, 29 études scientifiques ont été publiées concernant l'action de l'AHCC sur l'activité de tueuses de cancer des cellules NK.
Une étude a examiné les effets de l'AHCC sur l'activité des cellules NK de trois patients souffrant de différents types de cancers avancés (myélome multiple, rhabdomyosarcome ou cancer du sein). Ils ont reçu 3 à 6 g par jour d'AHCC pendant deux semaines avant que la cytotoxicité de leurs cellules NK soit mesurée.
Chez le patient atteint de rhabdomyosarcome, le traitement par l'AHCC a eu pour résultats une augmentation significative de l'activité des cellules NK comme effecteur (de 91 à 135 %) et une multiplication par deux de la population des cellules NK. L'augmentation de ces paramètres a été observée à la fin de la période de traitement et s'est poursuivie à haut niveau pendant une semaine pour décliner deux semaines après la fin du traitement. L'activité anticancéreuse des cellules NK a été augmentée de manière similaire dans le cas du myélome multiple (87 %) et du cancer du sein (93 %). De plus, une multiplication par deux ou trois de la population des cellules NK a été observée chez ces deux patients.
Les chercheurs en ont conclu que l'AHCC était un immunomodulateur prometteur et que son action stimulante de la cytotoxicité des cellules NK pourrait expliquer l'un des mécanismes par lequel il exerce son action anticancéreuse1.
17 patients cancéreux atteints de différentes malignités avancées [carcinome des ovaires (3), myélome multiple (2), estomac (2), seins (5), poumons (2), rhabdomyosarcome (1) et prostate (2)] ont été inclus dans une étude définie pour examiner la fonction immunomodulatrice de l'AHCC.
Les patients ont reçu 3 g par jour d'AHCC pendant 2 à 6 mois. Les résultats de l'examen de l'activité des cellules NK ont montré une augmentation dès la deuxième semaine de traitement. Cette activité a été encore augmentée ultérieurement et jusqu'à 6 mois après le traitement. L'AHCC semble activer les cellules NK en renforçant leur capacité de liaison aux cibles cellulaires tumorales (multipliée par 2) et également en accroissant la granularité des cellules NK. La conclusion des chercheurs a été que l'AHCC est un puissant immunomodulateur susceptible d'être utile dans l'immunothérapie du cancer2.

Favorise la production de cytokines spécifiques

 
Les cytokines sont des messagers chimiques du système immunitaire. Des recherches scientifiques ont montré que l'AHCC augmente la production de certaines d'entre elles :

• l'interféron, qui inhibe directement la réplication des virus et d'autres parasites tout en augmentant l'activité des cellules NK ;
• le facteur nécrosant de tumeur (TGF), un groupe de protéines favorisant la destruction des cellules cancéreuses en déclenchant l'apoptose (mort cellulaire programmée) ;
• les interleukines IL-2 et IL-12, qui affaiblissent la production du facteur de croissance tumorale, stimulent une activité encore plus élevée des cellules NK et accélèrent la différenciation et la prolifération des cellules T.

Renforce le système immunitaire


Une autre étude a enrôlé trois patients avec un cancer de la prostate ; trois autres, un cancer des ovaires ; deux avec un myélome multiple et trois avec un cancer du sein. Leur antigène tumoral associé a été mesuré avant, pendant et après qu'ils ont pris de l'AHCC. Les résultats ont montré :

• un déclin significatif du niveau de PSA chez tous les patients avec un cancer de la prostate ;
• les niveaux de CA 15 ont chuté significativement chez 2 des 3 patientes souffrant d'un cancer de l'ovaire ;
• chez l'un des deux patients avec un myélome multiple, les niveaux de BJP ont diminué de façon significative et se sont légèrement abaissés chez l'autre ;
• chez les patientes souffrant d'un cancer du sein, les niveaux de CA 15-3 étaient faibles et n'ont pas changé avec le traitement.
Chez 9 des 11 sujets, l'AHCC a augmenté de façon très importante l'activité des cellules NK ainsi que celle des cellules T et B. En d'autres termes, la réduction des marqueurs de la tumeur était en corrélation avec l'augmentation de la force de leur système immunitaire, justifiant le fait qu'un système immunitaire résistant peut aider à combattre le cancer3.

Combat les effets secondaires des traitements anticancéreux

 
Plusieurs études animales ont montré que l'AHCC pourrait soulager certains effets secondaires de différents traitements anticancéreux.
Des travaux sur des souris traitées quotidiennement avec du fluorouracil (5-FU), de la cyclophosphamide ou les deux montrent que l'AHCC restaure de façon significative le poids, les globules rouges et la moelle osseuse lorsqu'il est administré de façon concomitante. De même chez des souris traitées avec du mercapto-purine (6-MP) et du méthrotrexate (MTX), l'administration concomitante d'AHCC améliore les diminutions de poids, l'albumine sérique et les fonctions hépatiques4. Une perte de cheveux, ou alopécie sévère, provoquée par la cytosine arabinoside (ARA-C) a été ramenée à légère lorsque l'AHCC a été administré simultanément avec l'agent anticancéreux5.

Des lésions de la fonction hépatique sont responsables de nombreux effets secondaires de la chimiothérapie. Une étude sur des souris utilisant du tétrachlorure de carbone comme un modèle de médicament induisant une lésion hépatique a montré qu'un cotraitement avec de l'AHCC prévenait le déclin de la fonction hépatique, stimulait le métabolisme, prévenait l'accumulation de composants carcinogènes et prévenait le développement de troubles hormonaux souvent associés à une insuffisance hépatique6.

La perte de cheveux est une conséquence fréquente, même temporaire, extrêmement stressante des traitements du cancer. L'effet protecteur exercé par l'AHCC à ce niveau a été confirmé par une autre étude dans laquelle 5 des 7 rats traités par une chimiothérapie à base d'ARA-C ont montré une alopécie sévère et les 2 autres une alopécie modérée. Les animaux recevant en même temps que leur chimiothérapie de l'AHCC ont été protégés. Une analyse microscopique a montré une perte sévère de follicules chez les animaux témoins alors que cette perte était légère chez ceux recevant de l'AHCC.

Renforce l'efficacité de la chimiothérapie

 
La capacité de l'AHCC à renforcer l'efficacité de la chimiothérapie a été démontrée chez des rats auxquels une lignée cellulaire d'adénocarcinome mammaire spontané avait été implantée. Trois groupes d'animaux ont été observés pendant 38 jours. L'un servait de témoin, un autre a reçu de l'UFT, une forme orale du fluorouracil, un médicament de chimio-thérapie, et le troisième a été traité avec de l'UFT associé à de l'AHCC.

La croissance de la tumeur était la plus importante dans le groupe témoin. Il y a eu un léger mais significatif retard de croissance de la tumeur dans le groupe prenant de l'AHCC par rapport à celui ne prenant que de l'UFT. La différence la plus importante a été observée sur la croissance des métastases distantes qui a été inhibée par le traitement associant l'AHCC et l'UFT et stimulée par l'UFT seul. Une explication de ce résultat pourrait être le fait que l'AHCC prévient l'affaiblissement de la fonction immunitaire provoquée par la chimiothérapie7.

Prévient la réapparition de cancers du foie


Une étude a été définie pour évaluer l'effet préventif de l'AHCC sur la réapparition de carcinomes hépatocellulaires de patients ayant subi un traitement chirurgical. Elle a enrôlé 121 patients avec un carcinome hépatocellulaire histologiquement diagnostiqué. 38 d'entre eux ont reçu 3 à 6 g par jour d'AHCC juste après l'opération (groupe A) et 18 ont commencé le traitement après que des réapparitions ont été vérifiées (groupe B). Les 65 autres constituaient le groupe témoin (groupe C). Pour chacun de ces groupes, les plus longues périodes de suivi ont été respectivement de 39, 65 et 56 mois. Entre les trois groupes, il n'y avait pas de différence significative concernant notamment la répartition de l'âge, du sexe, du stade clinique, une infection par le virus de l'hépatite B ou C, ou le volume de résection du foie. Dans le groupe A, les survivants sans maladie étaient significativement plus nombreux que dans le groupe C. Un an après l'opération, les niveaux sériques des marqueurs de la tumeur dans le groupe A étaient significativement plus faibles que dans les groupes B et C.
Cette étude rétrospective suggère que la prise d'AHCC a un effet préventif chez des patients ayant été opérés d'un carcinome hépatocellulaire. D'autres études sont nécessaires pour élucider son mécanisme d'intervention8.
Ces résultats ont été confirmés par une autre étude réalisée entre février 1992 et décembre 2001 sur 269 patients avec un carcinome hépatocellulaire diagnostiqué et ayant tous subi une ablation de leur tumeur. 113 patients ont reçu de l'AHCC après leur opération. Par rapport au groupe témoin, les résultats ont montré un allongement de la période sans réapparition de la tumeur et une augmentation globale du taux de survie. Cette étude montre ainsi que l'AHCC peut améliorer le pronostic postopératoire de patients atteints d'un cancer hépatique9.

AHCC et diabète


Des recherches ont montré que l'AHCC a des effets hépatoprotecteur et détoxifiant qu'il exerce par l'induction d'enzymes hépatiques et grâce à une action antioxydante.
Une étude a été définie pour examiner l'effet préventif de l'AHCC chez des rats sur le début d'un diabète induit par de la streptozotocine (STZ). Un diabète induit par de la STZ peut être considéré comme un modèle expérimental de diabète de type I. Cette étude a regardé l'effet préventif de l'AHCC sur la perturbation des îlots de Langerhans, responsables de la sécrétion d'insuline. Les résultats de cette étude montrent que l'AHCC peut prévenir le début de diabète induit par la STZ en prévenant la dégénération des cellules des îlots de Langerhans et en diminuant les lésions oxydatives sur les cellules de différents organes10.

 



Stress et fatigue chronique

 
Le lien entre le stress et la fatigue chronique résulte d'interactions du système immunitaire avec les systèmes nerveux et endocriniens. Confronté à un stress émotionnel ou physique, le cerveau produit un neurotransmetteur qui va aider à initier la réponse « de combat ou de fuite ». Il diminue directement le fonctionnement des cellules NK et d'autres aspects de l'immunité cellulaire liée à l'immunité innée11.
De nombreuses méthodes de réduction du stress, comme la pratique régulière d'exercice physique, la musique, les massages ou simplement sourire, peuvent augmenter l'activité des cellules NK. Et de nombreuses stratégies de stimulation des cellules NK peuvent réduire les effets du stress.
Ainsi, des recherches sur des modèles de stress induit physiquement ou chimiquement montrent que l'AHCC réduit la production de glucocorticoïdes généralement augmentée par le stress et diminue l'élévation des niveaux de sucre sanguins causée par les sécrétions d'épinéphrine induites par le stress 12. Des médecins et psychologues traitant des patients atteints du syndrome de fatigue chronique ont rapporté des améliorations de l'humeur, de l'énergie et de la douleur avec l'utilisation de l'AHCC, qui sont en cohérence avec les résultats obtenus sur le modèle.

--------------------------------------------------------------------------------------------------
1. Ghoneum Mamdooh et al., Enhancement of NK cell activity in cancer patients by AHCC, Adjuvant nutrition in cancer treatment symposium, Tulsa, Oklahoma, Nov 6-7, 1992.
2. Ghoneum Mamdooh, NK-immunomodulation by AHCC in 17 cancer patients, 2nd Meeting of the Society for natural immunity, Taormina, Italy, May 1994.
3. Ghoneum M. et al., Immunomodulatory and anticancer effects of AHCC, Int. J. Immunotherapy, 1995, XI (1) 23-28.
4. Sun B. et al., Reduction of side effects of anticancer drugs by AHCC, 90th Proceedings of the American association for cancer research, 1999.
5. Mukoda T. et al., AHCC protects against cytosine arabinoside induced alopecia in the newborn rat animal model, 57th annual meeting of the Japanese cancer association, 1998.
6. Sun et al., Protective effects of AHCC on carbon tetrachloride induced liver injury in mice, Natural medicines 51(4), 310-315 (1997) B.
7. Matsushita et al., Combination therapy of AHCC plus UFT significantly reduces the metastasis of rat mammary carcinoma, Anti-Cancer Drugs, 1998, 9, 343-350 K.
8. Kamiyama et al., Improving effect of AHCC on the prognosis of postoperative hepatocellular carcinoma patients, 34th Congress of European society for surgical research, Bern, Switzerland, 1999.
9. Matsui Y. et al., Improved prognosis of postoperative hepatocellular carcinoma patients when treated with functional foods: a prospective cohort study.
10. Wakame K. Protective effets of AHCC on the onset diabete induced by streptozotocin in rat. Biomedical research 20 (3) 145-152, 1999.
11. Glaser et al., Stress-associated immune modulation: relevance to viral infection and chronic fatigue syndrome, Am. J. Med., 1998, Sept 28, 105 (3A): 35S-42S.
12. Wang S. et al., AHCC on immobilization stress in rat: beneficial effects of Active Hexose Correlated Compound, Dokkyo Journal of Medical Sciences, 2001, p. 559 28(1): 559-565.

http://www.nutranews.org/sujet.pl?id=125

15 août 2015

L’Histoire de la Vitamine B17 (Laetrile)

zy4f909147

Dans les années 1940, le Dr. Ernst T. Krebs, Sr. et son fils (le Dr E.T. Krebs, Jr.) ont publié un document intitulé « La Thèse Unitaire ou Trophoblaste du Cancer », dans le Medical Record, de New York. Dans les années qui ont suivi, l’équipe formée par le père et le fils firent des recherches sur les co-enzymes et sur la possibilité que le cancer pourrait résulter d’une carence en vitamines. Dans le début des années 1950, ils émirent l’hypothèse que le cancer est causé par l’absence d’un composé alimentaire essentiel, manquant dans l’alimentation moderne de l’homme, identifié comme faisant partie de la famille des nitrilosides, qui se trouve dans plus de 1200 plantes comestibles. Ils apprirent, l’existence du royaume des Hunzas, dans les montagnes Himalayennes situées au nord du Pakistan, et où il était dit que ce peuple vivait « sans cancer ».

Les Docteurs Krebs savaient qu’ils mangeaient de grandes quantités d’abricots, mais ils ne croyaient pas que le fruit contenait des substances pouvant lutter contre le cancer … jusqu’à ce qu’ils ont apprennent que les Hunzakuts mangent également les semences contenues dans les noyaux d’abricot, qui sont riches en nitrilosides ! Les nitrilosides sont particulièrement répandues dans les graines d’abricots, les pêches, les pommes, le millet, les fèves germées, le sarrasin, et aussi dans d’autres fruits et noix, y compris les amandes amères. Les Dr. Krebs ont pu extraire certains glycosides des plantes qui contenaient les nitrolosides, et finalement, ont effectué une demande de brevet pour le procédé de production du métabolite formé par ces glycosides, en vue d’une utilisation clinique. Il nomma ceci « Laetrile ».

Il a fallu plusieurs années, et la réalité des essais cliniques effectués à travers le monde, avant qu’un modèle ne soit proposé afin de rationaliser l’utilité de la Laetrile dans la prévention, ainsi que pour le traitement du cancer, après tout ce temps, le nom de « vitamine B17″ fut reçu. Les Hunzakuts consomment entre 100-200 fois plus de B17 dans leur alimentation, que l’Américain moyen, en raison principalement du fait de manger les graines d’abricots, et aussi beaucoup de millet. Fait intéressant, l’argent n’existe pas, au Hunza. La richesse d’un homme se mesure par le nombre d’abricotiers qu’il détient. Et la nourriture la plus convoitée est la semence contenue dans les noyaux d’abricot, l’une des plus importantes sources de B17 sur la Terre. Les équipes visiteuses de médecins ont trouvé les Hunzacuts exempts de cancer. L’une des premières équipes médicales chargée d’étudier les Hunza, était dirigée par le chirurgien britannique de renommée mondiale, le Dr. Robert McCarrison. Écrivant dans le Journal AMA, du 7 janvier 1922, il a indiqua : « Les Hunza n’ont pas d’incidence connue avec le cancer. Ils bénéficient d’une abondante récolte d’abricots. Ils les sèchent sous le soleil, et les utilisent en grande partie dans leur alimentation ».

Mais pourquoi n’avez-vous pas entendu parler de la vitamine B17 ? Cela semble si simple ! Eh bien, la vérité sur cette question, c’est que l’Industrie du Cancer a supprimé cette information et a même ordonné le fait qu’il soit illégal de vendre la B17. La Mafia Médicale a monté avec grand succès, des campagnes «effrayantes», basées sur le fait que la vitamine B17 contient des quantités «meurtrières» de cyanure. Ceci est manifestement faux. Des études montrent que la vitamine B17 est inoffensive pour les tissus sains.

Voici pourquoi : chaque molécule de B17 contient une unité de cyanure d’hydrogène, une unité de benzaldéhyde et deux unités de glucose (sucre) bien verrouillés ensemble. Pour que le cyanure d’hydrogène devienne dangereux, il faut d’abord nécessairement déverrouiller la molécule qui le libérera, une astuce qui ne peut être effectuée que par une enzyme appelée bêta-glucosidase, qui n’est présente partout dans le corps humain, qu’en quantités infimes, mais par contre, en grande quantité dans un seul endroit : les cellules cancéreuses.

Ainsi, le cyanure d’hydrogène n’est déverrouillé que sur le site où se trouve le cancer, et ce, avec des résultats radicaux, qui deviennent tout à fait dévastateurs pour les cellules cancéreuses, puisque l’unité de benzaldéhyde se déverrouille en même temps. Les cellules cancéreuses obtiennent un double coup, à la fois de cyanure et de benzaldeyhde ! Le benzaldéhyde est un poison mortel en lui-même, mais quand il fait équipe avec le cyanure, le résultat en fait un poison 100 fois plus mortel que lorsqu’il agit seul. Les cellules cancéreuses sont littéralement oblitérées !

Mais tout ceci n’est-il pas sans danger pour le reste des cellules du corps ? Un autre enzyme, le rhodanese, toujours présent en quantités beaucoup plus imortantes que l’enzyme de déverrouillage beta-glucosidase dans les tissus sains, a la capacité de dégrader entièrement, à la fois le cyanure, et le benzaldéhyde, en thiocyanate (une substance inoffensive), et en salicylate (qui est un tueur de douleur semblable à l’aspirine). Fait intéressant, les cellules cancéreuses malignes ne contiennent pas de rhodanese du tout, ce qui les laisse complètement à la merci des deux poisons mortels. Tout ce processus est connu sous le nom de toxicité sélective, puisque seules les cellules cancéreuses sont spécifiquement ciblées et détruites.

Les centaines d’études cliniques menées par de nombreux médecins compétents dans le monde entier, y compris celles qui sont dirigées par le Dr. Ernesto Contreras à l’Oasis of Hope Hospital au Mexique, nous donnent toute confiance, que le traitement avec la thérapie B17 ne présente aucun danger pour les cellules normales. Ce sont de mauvaises nouvelles pour l’Industrie du Cancer. Les graines d’abricots ne sont pas chères … vraiment pas chères … pas aussi coûteuses que leur dernier cocktail médicamenteux de chimiothérapie.

‘‘J’ôtais les pépins et jetais les pommes. Maman récupérait les pommes de la corbeille et cuisinait des tartes’’.
~ Jason Vale

Mon ami, Jason Vale, a écopé d’une condamnation à mort par ses médecins, dans le milieu des années 1990, lorsqu’on a découvert qu’il avait un cancer en phase « terminale ». Il a appris, grâce à des recherches approfondies, que les gens qui avaient un cancer, découvraient des propriétés curatives dans les pépins de pommes et les noyaux d’abricots, lesquels, comme je l’ai mentionné ci-dessus, contiennent de grandes quantités de vitamine B17.

Jason a immédiatement commencé à se sentir mieux, en mangeant des pépins de pommes et des noyaux d’abricots, dans le cadre de son régime alimentaire quotidien. Dans un court laps de temps, le cancer de Jason a littéralement disparu. Lorsque l’histoire « Extraordinaire » de Jason fut diffusée à la télévision nationale, dans le milieu des années 1990, cela à provoqué une audience si grande que le même reportage a été diffusé une deuxième fois, la semaine suivante.

L’enthousiasme des spectateurs fut si grand que Jason se retrouva inondé d’appels téléphoniques, provenant de personnes résidant dans tout le pays. Au cours des années suivantes, Jason a littéralement aidé des milliers de gens, à traiter avec succès leur cancer, en consommant des semences de noyaux d’abricot.

Jason fut victime d’une opération coup de poing de « Gestapo », décidée par la FDA, il a été condamné le 18 juin 2004, à soixante-trois mois de prison et trois ans de liberté surveillée, par un tribunal de district des États-Unis dans le District Est de New York. Son crime ? La vente de graines d’abricot sur son site web, et de dire aux gens la VERITE sur leurs propriétés curatives. Bienvenue au « pays de la liberté et dans la patrie des braves ».

Après avoir purgé près de quatre ans de prison, Jason a été libéré de la maison d’arrêt au début de 2008. Le site web de Jason est www.ApricotsfromGod.info.http://www.cancersortezdelaboite.com/l%E2%80%99histoire-de-la-vitamine-b17-laetrile/

15 août 2015

Elisabeth Bathory La comtesse Sanglante

elizabeth-bathory-1


Il est impossible de s'intéresser au phénomène, réel ou imaginaire, du vampirisme sans se référer à un personnage qui défraya la chronique au XVIIE siècle en Hongrie et Transylvanie, et qui a provoqué, dans la mémoire des peuples, l'apparition d'une image surprenante, ambiguë, terrifiante, qui est loin de laisser indifférent : la comtesse Elizabeth Bathory est en effet une des incarnations les plus caractéristiques de ce que l'on a coutume de classer dans la catégorie des vampires humains, malgré les interférences inévitables qui se sont produites entre ce que l'on sait de sa vie et des zones d'ombre que l'on n'a pas osé dévoiler en plein jour. Ce fut une criminelle, assurément. Mais ce fut aussi une femme mystérieuse qui a emporté dans la tombe de lourds secrets qu'il est bien difficile de cerner en toute objectivité.

Elizabeth Bathory est née en 1560, d'une famille de sang royal, comptant dans ses proches parents le prince de Transylvanie, Sigismond Bathory, un oncle qui devint roi de Pologne, des gouverneurs de province, de hauts magistrats, des évêques et un cardinal. Cette famille remontait très loin dans le temps et comptait un certain nombre d'aventuriers hongrois descendant probablement des Huns et qui s'étaient imposés par le sang et la violence, comme il était de règle à ces époques troublées où la Hongrie allait passer d'un paganisme pur et dur à un catholicisme très inféodé à Rome. Du temps d'Elizabeth, rien n'était d'ailleurs vraiment net dans cette région bouleversée par l'apparition des Réformateurs luthériens et calvinistes et où le catholicisme romain se heurtait au Christianisme orthodoxe et aux innombrables communautés musulmanes disséminées par les Turcs. Sans parler des vestiges virulents d'un paganisme hérité du fonds asiatique :" L'ancienne terre des Daces était païenne encore, et sa civilisation avait deux siècles de retard 1 sur celle de l'Europe occidentale. Là, régnaient, gouvernées par une mystérieuse déesse Mielliki, les innombrables forces des grands bois, tandis qu'à l'Ouest, le vent habitait seul, la montagne de Nadas. Il y avait un dieu unique, Isten, et l'arbre d'Isten, l'herbe d'Isten, l'oiseau d'Isten... Dans les Carpates superstitieuses, il y avait surtout le diable, Ordôg, servi par des sorcières, elles-mêmes assistées de chiens et de chats noirs. Et tout venait encore des esprits de la nature et des fées des éléments ; de Delibab, la fée de midi aimée du vent et mère des mirages 2, des Tünders 3, sœurs de toutes merveilles et de la Vierge de la cascade peignant ses cheveux d'eau 4. Dans les cercles d'arbres sacrés, de chênes et de noyers féconds, se célébraient encore secrètement les anciens cultes du soleil et de la lune, de l'aurore, et du cheval noir de la nuit 5. C'est dans cette atmosphère très particulière, encombrée de sortilèges et de traditions ancestrales venus d'ailleurs, que se déroula l'enfance d'Elizabeth Bathory, et cela explique certainement beaucoup de choses concernant le comportement et le mode de pensée de cette comtesse qu'il faut bien se résoudre à qualifier de ", sanglante ".Il faut aussi prendre en compte la lourde hérédité d'Elizabeth : sa lignée ne comportait pas que des petits saints, bien au contraire. Un certain nombre de ses ancêtres avaient été des brutes sanguinaires, et dans sa parenté immédiate se trouvaient quelques homosexuels mâles notoires. Un de ses frères était un dépravé pour lequel tout était bon, la plus tendre fillette comme la plus ratatinée des femmes âgées. Une de ses tantes grande dame de la cour de Hongrie défrayait la chronique scandaleuse : lesbienne impénitente, on disait, tribade " à l'époque, elle était tenue pour responsable de la dépravation de douzaines de petites filles. Et puis, la propre nourrice d'Elizabeth, joIlona, qui deviendra son âme damnée, personnage trouble et inquiétant, pratiquant la magie noire et les sortilèges les plus pervers, eut une influence déterminante sur l'évolution de son esprit.

Elizabeth Bathory

Les descriptions qu'on possède d'Elizabeth Bathory, ainsi qu'un portrait qu'on en a conservé, nous la montrent d'une grande beauté : " Les démons étaient déjà en elle ; ses yeux larges et noirs les cachaient en leur morne profondeur ; son visage était pâle de leur antique poison. Sa bouche était sinueuse comme un petit serpent qui passe, son front haut, obstiné, sans défaillance. Et le menton, appuyé sur la grande fraise plate, avait cette courbe molle de l'insanité ou du vice particulier. Elle ressemblait à quelque Valois dessiné par Clouet, Henri Ill peut-être, en féminin 1. " Bref, quelque chose de mélancolique, de secret et de cruel. Le blason des Bathory n'était-il pas composé de trois dents de loup, d'un croissant de lune, d'un soleil en forme d'étoile à six pointes, le tout entouré d'un dragon qui se mord la queue ?

On ne sait pas grand-chose sur la jeunesse et l'adolescence d'Elizabeth, sinon qu'elle se réfugiait souvent dans une solitude farouche. Par ailleurs, depuis son plus jeune âge, elle souffrait de maux de tête parfois intolérables qui la faisaient se rouler par terre. Était-ce de l'épilepsie ? Il semble plutôt qu'Elizabeth était en proie à des crises d'hystérie qu'il serait tentant d'assimiler à des crises de possession démoniaque. 

Mais cette hystérie explique en partie sa déviance sexuelle : sa sensualité était exacerbée, mais morbide, et si elle ne refusa pas les contacts masculins, elle évolua toute sa vie dans des retraites peuplées uniquement de femmes ; elle ne sacrifia jamais un seul homme à ses débauches, mais uniquement des femmes, et elle était incontestablement homosexuelle. On prétend même que c'est sa tante Klara Bathory, qu'elle fréquentait assidûment, qui l'avait initiée au culte de Sapho.
Il faut dire que l'homosexualité était à la mode, en cette fin de XvIe siècle : à Paris, la cour des Valois donnait un exemple que s'empressaient de suivre les autres cours européennes, orientales autant qu'occidentales, celle de Rome ne faisant pas exception. Et le lesbianisme descendait même dans la rue :en Allemagne et dans tout le Saint-Empire, il y avait encore des héritières de cette étrange secte de triba des flagellantes qui parcouraient, au XlVe siècle, les villes et les villages, se mettant nues en public, se fouettant mutuellement, hurlant des chants et pratiquant des attouchements indécents. Vestiges d'un culte de la Déesse des Origines ? Probablement, mais avec des rituels érotiques sanguinaires. On peut toujours se demander si Elizabeth Bathory, si précocement initiée par sa tante Klara, n'a pas consacré sa vie à cette religion instinctuelle et viscérale tout entière vouée à l'adoration de la Grande Déesse des temps obscurs, celle qu'on a prisé trop hâtivement pour la terrible Hécate lunaire, divinité grecque des carrefours (où rôde également le Diable !), et qui n'est en réalité que l'image du Soleil rouge, divinité ô combien féminine, la fameuse et cruelle Artémis des Scythes, celle qui, dans la tragédie d'Euripide, Iphigénie en Tauride, réclame incessamment le sang des mortels pour nourrir son existence surnaturelle ? Il y a là un bel exemple de vampirisme 1. Mais l'homosexualité d'Elizabeth Bathory n'était pas exclusive. On lui prête plusieurs aventures masculines avant son mariage et après son veuvage. Toute jeune, immédiatement après sa puberté, elle aurait eu une petite fille d'un paysan. Elle avait quatorze ans et elle était déjà fiancée à Férencz Nàdasdy, un comte appartenant à la meilleure noblesse hongroise, redoutable guerrier qui devint illustre et mérita, par la suite, le titre de " Héros noir de la Hongrie ". Mais on sait ce que signifiaient les mariages dans la bonne société d'alors. Il semble que, se trouvant enceinte, elle demanda à Ursula Nàdasdy, mère de son fiancé, laquelle était chargée de sa " protection ", la permission d'aller dire adieu à sa propre mère, Anna Bathory, accompagnée d'une seule femme en qui elle avait toute confiance. On ne dit pas si Anna Bathory approuva le comportement de sa fille, mais elle fit contre mauvaise fortune bon cœur. Craignant le scandale et la rupture du mariage de sa fille, elle aurait amené secrètement Elizabeth dans un de ses châteaux les plus éloignés, du côté de la Transylvanie, laissant courir le bruit que sa fille, atteinte d'une maladie contagieuse, avait besoin de repos et d'isolement absolus. Elle l'aurait alors soignée, aidée d'une femme venue du château familial de Csejthe et d'une accoucheuse qui avait fait le serment de ne rien révéler. Une petite fille serait donc née, à laquelle on aurait donné également le prénom d'Elizabeth, et qui aurait été confiée., Moyennant pension, à la femme de Csejthe qui avait accompagné sa fille. Quant à la sage-femme, elle fut renvoyée de Roumanie avec de quoi vivre largement, mais interdiction de jamais revenir en Hongrie. C'est alors qu'Elizabeth Bathory et sa mère seraient parties directement pour Varanno où devaient êtres célébrés les noces de l'héritière des Bathory avec l'héritier des Nàdasdy.


Château de Csejthe

Ces noces eurent lieu le 8 mai 1575. Elizabeth avait quinze ans, et son mari en avait vingt et un. L'empereur Maximilien de Habsbourg assista lui-même au mariage. Le roi Matthias de Hongrie et l'archiduc d'Autriche envoyèrent de somptueux cadeaux aux nouveaux époux qui s'en allèrent passer leur lune de miel dans le château de Csejthe, dans le district de Nyitra, région montagneuse du nord-ouest de la Hongrie, encore célèbre aujourd'hui par la qualité de ses vignobles, mais aussi pour ses châteaux forts en ruines, ses histoires de fantômes et ses traditions vivaces de vampires et de loups-garous. Mais le séjour de Férencz Nàdasdy fut de courte durée. Ses devoirs de combattant l'appelaient à la guerre à travers toute la Hongrie et les pays avoisinants. Il laissa donc sa jeune et belle épouse régner sur le château de Csejthe et sur les vastes domaines qui l'entouraient. Que se passa-t-il donc alors ? Il est probable que la sensualité d'Elizabeth, fortement éveillée par son mari - qui lui fit d'ailleurs deux enfants - se sentit quelque peu frustrée. On lui prêta plusieurs intrigues amoureuses, mais sans lendemain, dont une avec un de ses cousins, le comte Gyorgy Thurzo, futur premier ministre de Hongrie et qui fut d'ailleurs, par la suite, son juge le plus sévère.

Cela ne veut pas dire que les époux ne s'entendaient pas bien : au contraire, leurs retrouvailles étaient toujours de nouvelles lunes de miel. Mais le seul tort du mari était d'être trop souvent absent. Et, un jour de 1586 ou 1587, alors que Férencz Nàdasdy était en plein combat contre les Serbes, on raconte qu'arriva au château de Csejthe (un grand jeune homme au teint cadavérique, dont le nom est resté perdu pour l'histoire. Il était habillé de noir, avait de profonds yeux noirs et de longs cheveux noirs tombant jusqu'aux épaules. Lorsque les servantes de la comtesse racontèrent au village de Csejthe qu'il avait aussi des canines qu'elles jugeaient anormalement longues, plus personne ne douta qu'un vampire s'était installé au château, et les villageois n'allèrent plus se coucher sans avoir soigneusement barricadé leurs portes et leurs fenêtres avec des planches 1 ". Cette histoire s'inscrit très bien dans le décor que suscite le personnage hors pair de la comtesse Bathory, mais elle est plus que suspecte. Toujours est-il qu'Elizabeth s'absenta pendant plusieurs semaines. Était-elle partie avec son " vampire " ? Les villageois murmurèrent, paraît-il, que la comtesse avait été littéralement " vampirisée " par le sombre inconnu. Il est plus vraisemblable de croire que cet homme était une sorte de sorcier, ou de prêtre plein, qui initia Elizabeth à certaines pratiques magiques. Car elle ne faisait pas mystère de ses fréquentations auprès des mages, des sorcières et autres personnages, toujours féminins, qui officiaient dans les forêts, à l'abri des regards indiscrets.

Plus intrigante est la relation entretenue réellement par Elizabeth Bathory avec une mystérieuse inconnue, dont personne ne savait le nom, , et qui venait voir Elizabeth, déguisée en garçon. Une servante avait dit à deux hommes, - ils en témoignèrent au procès -, que, sans le vouloir, elle avait surpris la comtesse seule avec cette inconnue, torturant une jeune fille dont les bras étaient attachés très serrés et si couverts de sang qu'on ne les voyait plus ,. Ce n'était pas une paysanne, mais une femme de qualité qui, sans être masquée, éprouvait le besoin de se travestir, sans doute pour éviter de se faire reconnaître. " Cette visiteuse, pour laquelle on emploie le mot " dame ", était-elle une amie descendue de quelque château des environs pour ces fêtes à deux ? Amie ignorée et intermittente, en tout cas, puisqu'à Csejthe on connaissait à peu près tout le monde appartenant à la contrée. Une étrangère ? Alors, quelles étaient exactement les relations entre elle et Elizabeth ? Leurs sadiques plaisirs étaient-ils les seuls " Il est bien difficile de répondre, d'autant plus que si la comtesse Bathory a commis et fait commettre d'innombrables crimes de sang sur des jeunes filles, on a considérablement brodé sur son action. Et ce ne sont pas les minutes de son procès, pourtant fort précises quant aux témoignages recueillis, qui peuvent donner la solution des véritables motivations d'Elizabeth Bathory.

Cependant, Férencz Nàdasdy mourut soudainement en 1604. Devenue veuve, la comtesse semble n'avoir rien changé à son mode de vie. Les tortures qu'elle infligeait à ses servantes, elle les pratiquait depuis longtemps et son mari le savait parfaitement, considérant celles-ci comme de simples amusements de la part de sa femme. D'ailleurs, dans toutes les maisons nobles de ce temps, il était courant de fouetter les servantes pour un oui ou pour un non. L'état de servage n'existait plus en Hongrie, mais les vieilles habitudes ont du mal à disparaître, surtout quand elles sont acceptées, bon gré, mal gré, par celles qui en sont les victimes. L'un des témoignages du procès est catégorique : à la question de savoir depuis combien de temps la comtesse maltraitait les jeunes filles, un témoin répond : , Elle commença quand son mari était encore en vie, mais alors ne les tuait pas. Le comte le savait et ne s'en souciait guère. " On raconte une curieuse anecdote à ce sujet, non pas sur le début des sévices opérés par Elizabeth, mais sur la naissance de sa fascination pour le sang qui coule. " Un jour qu'elle avait frappé une servante assez violemment pour la faire saigner du nez, parce qu'elle lui avait tiré les cheveux en la peignant, un peu du sang de la jeune fille tomba sur le poignet d'Elizabeth. Un peu plus tard, la comtesse crut remarquer que la peau de l'endroit où était tombé le sang était devenue plus blanche et plus douce que la peau environnante. Intriguée, elle se baigna le visage avec le sang d'une des victimes de ses orgies sadiques. Son visage lui sembla rajeuni et revivifié par le traitement 1. "

Le souci primordial d'Elizabeth Bathory, depuis son plus jeune âge, avait été sa beauté: elle avait une peur atroce de vieillir et de s'enlaidir. Il n'en fallait pas plus pour s'imaginer qu'elle pouvait indéfiniment préserver sa beauté grâce à du sang frais de jeunes filles, de préférence vierges, donc revêtues de cette aura magique que confère la virginité. " Le sang, c'est la vie ! " répétait Renfield au docteur Seward. Mais pour Elizabeth Bathory, la vie, c'était la beauté et la jeunesse. Si l'anecdote est vraie, on comprend mieux ce goût du sang chez elle. Et cela nous ramène inévitablement au vampirisme.

Elizabeth Bathory passait son temps au château de Csejthe, faisant également de fréquents séjours à Presbourg et surtout dans la demeure qu'elle avait acquise à Vienne, non loin de la cathédrale, demeure qui semble avoir été marquée aussi par de sanglantes orgies. A Csejthe comme ailleurs, Elizabeth était toujours accompagnée de sa nourrice jo Ilona et de sa servante Dorottya Szentes, dite Dorko, deux femmes vieilles, vulgaires, sales, d'une totale immoralité ' et probablement sectatrices d'une de ces mystérieuses cohortes de sorcières avorteuses qui pullulaient encore dans les campagnes de l'Europe centrale. Il semble qu'elles aient été les principales pourvoyeuses de " chair freiche " de la comtesse, en même temps que ses "agents d'exécution " quand il s'agissait de frapper, de saigner, puis d'enterrer les malheureuses victimes. Autour de ce duo infernal, il y avait un homme à tout faire, Ujvari johanes, dit Ficzko, une sorte de nabot disgracieux, et une lavandière, Katalin Beniezky. Elizabeth vivait au milieu de cette troupe entièrement vouée à son service et à la satisfaction de ses instincts les plus bas. Cela constituait pour elle le personnel permanent et indispensable. Mais il y avait aussi le personnel " volant ", de belles jeunes filles dont elle faisait ses servantes, et parfois ses concubines, du moins tant qu'elle y trouvait une certaine nouveauté. Car ces " servantes " disparaissaient les unes après les autres, et il fallait bien que le " personnel permanent " se chargeât de renouveler un cheptel qui devait être toujours jeune et beau. Certes, il y en avait toujours en réserve. On prétend même que la comtesse veillait à ce que ces jeunes filles retenues prisonnières fussent bien nourries et engraissées, car elle croyait que plus elles étaient dodues, plus elles avaient de sang dans les veines, et que plus elles étaient bien portantes, plus la vertu de ce sang était efficace. Plus que jamais, le sang était la vie: Elizabeth Bathory croyait-elle pouvoir échapper au vieillissement et à la mort, et gagner ainsi une éternelle jeunesse ? Il semble qu'il faille prendre très au sérieux cette conviction.

Un autre personnage vint bientôt compléter la sinistre troupe, une certaine Darvulia Anna. On a largement brodé sur cette femme sous prétexte que son nom évoque celui de Dracula. Il n'est pas nécessaire d'en venir là, car il apparaît que Darvulia était une sorcière de la meilleure tradition, une magicienne noire qui connaissait des formules et des incantations sataniques et qui n'hésitait pas, comme le fera plus tard la Voisin, en France, au moment de l'affaire des Poisons, à procéder à des sacrifices humains pour obtenir l'aide des puissances démoniaques. Sans doute Darvulia Anna sut-elle convaincre Elizabeth Bathory, déjà quadragénaire mais toujours très belle, qu'elle connaissait les recettes infaillibles pour prolonger indéfiniment cette beauté. La comtesse ne put plus se passer de Darvulia, et il est établi que la présence de cette ( sorcière" ne fit qu'augmenter la fréquence des (, sacrifices " qu'Elizabeth offrait à la mystérieuse divinité assoiffée de sang qu'elle n'avait jamais cessé d'adorer depuis sa plus tendre enfance. Les plus belles filles de Transylvanie et de Hongrie, lorsqu'elles étaient repérées par les émissaires de la comtesse, prenaient le chemin du château de Csejthe. Tous les moyens étaient bons : menaces, intimidation, promesses d'argent, achat pur et simple dans certaines familles pauvres. Mais la plupart d'entre elles ne ressortaient jamais plus de la sinistre forteresse.

On a probablement fort exagéré les récits concernant les supplices infligés à ces innocentes jeunes filles par la comtesse Bathory et ses âmes damnées. Mais il en est de suffisamment établis pour se faire une idée de l'atmosphère malsaine et macabre qui régnait dans les souterrains du château de Csejthe. Les filles étaient frappées avec violence. Certaines avaient le cou percé selon la plus pure tradition vampirique. D'autres étaient liées avec des cordes qu'on tordait ensuite afin qu'elles puissent s'enfoncer dans les chairs, ce qui permettait de leur ouvrir les veines et de faire jaillir le sang sur la comtesse. On prétend même' qu'on remplissait parfois des baignoires de sang et qu'Elizabeth s'y baignait avec ravissement. Mais comme sa peau délicate ne supportait pas d'être essuyée avec des serviettes, ce sont d'autres filles qui devaient la débarrasser du sang en lui léchant tout le corps avec leurs langues. Celles qui, ne supportant pas une telle horreur, s'évanouissaient, étaient ensuite sévèrement châtiées avant de servir de victimes à leur tour. On imagine aisément le contexte érotique de ces rituels. Selon certaines sources, toujours quelque peu discutables, certaines de ces jeunes filles finissaient leur vie dans le lit même de la comtesse. Elizabeth faisait venir les filles qui lui plaisaient le mieux et s'abîmait avec elles des nuits entières dans des embrassements - et des embrasements - homosexuels, avant de les mordre cruellement, parfois jusqu'à la mort. On comprend que de telles relations aient pu intéresser au plus haut point un spécialiste de l'érotisme dans la souffrance comme l'a été Georges Bataille, et aussi inspirer un certain nombre de films plus ou moins érotiques, mais parfaitement sadiques.

Il y a aussi la fameuse "Vierge de Fer". Est-ce une légende ? Actuellement, cet automate monstrueux peut encore être vu au château de Riegersburg, en Styrie. Est-ce celui dont, paraît-il, se servait la comtesse Bathory? Il s'agissait d'une statue de bois articulée, avec des mécanismes de fer, en forme de femme. Image de la déesse cruelle qu'adorait Elizabeth ? Peut-être. Ce qu'il y avait de terrible dans cet automate, c'était les pointes acérées qui pouvaient transpercer les corps qu'on soumettait à l'étreinte de la " Vierge ,. Car il est possible que des filles aient été ainsi livrées à la Vierge de Fer: les bras de celle-ci se refermaient sur le jeune corps et le pressaient de plus en plus contre les pointes acérées, permettant au sang de couler en abondance, sous les yeux d'Elizabeth et de celles qui partageaient obligatoirement ses infernales jouissances. La comtesse Bathory eût certainement été très à l'aise dans l'élaboration d'un Musée des Tortures. Et même si cette histoire de Vierge de Fer est une légende racontée après coup, l'anecdote reste néanmoins significative: toute la vie d'Elizabeth était imprégnée de sang, parce que le sang, c'est la vie.

Cependant, même si l'on est un personnage considérable, même si l'on est apparenté aux plus nobles familles de Hongrie, de Roumanie et du Saint-Empire, même si l'on prend des précautions pour éviter que les langues se délient, de telles manoeuvres ne passent pas inaperçues. On n'empêche pas certaines personnes de murmurer. On n'empêche pas les allusions, et ces allusions se colportent de village en village. Trop, c'est trop... Des rumeurs incroyables parvinrent jusqu'à la cour de Vienne, et les autorités ecclésiastiques, sentant qu'il y avait sans doute des pratiques relevant de l'hérésie ou du paganisme, commencèrent à se livrer à de discrètes enquêtes. Mais comment faire pour savoir la vérité, alors qu'en principe, la belle comtesse Bathory était insoupçonnable et " intouchable " ?

Évidemment, personne n'osait porter officiellement plainte, pas même les parents des jeunes filles disparues qui craignaient trop les représailles, y compris celles de forces diaboliques qu'on disait être au service de la comtesse. Les Bathory et les Nàdasdy étaient bien trop puissants... Mais cela n'empêcha nullement le roi Matthias de Hongrie de prendre l'affaire en main. Convaincu, par certains témoignages, que l'héritière des Bathory était coupable de crimes de sang, il ordonna une enquête qu'il confia au gouverneur de la province, lui-même cousin d'Elizabeth. Le gouverneur se rendit secrètement à Csejthe et s'informa auprès de certaines personnes de confiance, en particulier le curé qui, sans avoir l'intention de le publier de son vivant, avait rédigé un long mémoire dans lequel il signalait quantités de faits pour le moins troublants. L'envoyé du roi Matthias fut très vite édifié, et, lorsqu'il eut fait son rapport, la décision du roi fut implacable: arrêter la comtesse Bathory et tous ses complices. Et cette tâche, il la confia à un autre cousin d'Elizabeth, et qui avait été un temps son amant, son premier ministre, le comte Gyorgy Thurzo.

Le 29 décembre 1610, à la tête d'une troupe armée et accompagné du curé de Csejthe - à qui il arriva d'ailleurs une curieuse aventure à cause d'un groupe de chats ! - et en présence des deux gendres d'Elizabeth Bathory, le comte Thurzo pénétra dans le grand château. La garnison n'opposa aucune résistance et les grandes portes étaient même entrouvertes. Tous purent donc pénétrer à l'intérieur sans aucune difficulté : " Ils allèrent à travers le château, et, accompagnés de gens munis de torches connaissant les entrées des escaliers les plus secrets, descendirent au souterrain des crimes, d'où montait une odeur de cadavre, et pénétrèrent dans la salle de tortures aux murs éclaboussés de sang. Là se trouvaient encore les rouages de la , Vierge de Fer ", des cages et des instruments, auprès des brasiers éteints. Ils trouvèrent du sang desséché au fond de grands pots et d'une sorte de cuve ; ils virent les cellules où l'on emprisonnait les filles, de basses et étroites chambres de pierre; un trou profond par où l'on faisait disparaître les gens; les deux branches du souterrain, l'une conduisant vers le village et débouchant dans les caves du petit château, l'autre allant se perdre dans les collines... Enfin, un escalier montant dans les salles supérieures. Et c'est là, étendue près de la porte, que Thurzo vit une grande fille nue, morte; celle qui avait été une si belle créature n'était plus qu'une immense plaie. A la lumière de la torche, on pouvait voir les traces laissées par les instruments de torture: la chair déchiquetée, les seins tailladés, les cheveux arrachés par poignées; aux jambes et aux bras, par endroits, il ne restait plus de chair sur les os 1. " Plus loin, toujours dans le souterrain, Thurzo et ses hommes découvrirent plusieurs douzaines de jeunes filles, d'adolescentes et de jeunes femmes. Certaines étaient affaiblies, presque complètement vidées de leur sang; d'autres, dans un état d'hébétude totale, étaient encore intactes : c'était le bétail réservé aux prochaines orgies. Par la suite, on exhuma une cinquantaine de cadavres de jeunes filles dans les cours et les dépendances du château.

Elizabeth Bathory ne se trouvait pas dans le château. Il est vraisemblable de penser qu'après une nuit d'orgie rituelle, elle s'était retranchée dans son repaire constitué par le petit château, son domaine réservé où peu de gens avaient le droit de s'introduire. Lorsque le comte Thurzo se présenta devant elle, elle ne songea pas un seul instant à nier l'évidence. Aux accusations que lui porta légalement son cousin et ex-amant, elle répondit que tout cela relevait de son droit de femme noble, et qu'elle n'avait de comptes à rendre à personne. Sans se laisser impressionner, Thurzo la fit mettre sous surveillance, et la comtesse s'enferma dans un mutisme hautain dont elle ne se départit jamais plus.

Mais la procédure de la justice était en marche et plus rien ne pouvait l'arrêter désormais. Le roi Matthias était décidé à aller jusqu'au bout, Gyorgy Thurzo et les membres des familles Bathory et Nàdasdy également, même s'ils craignaient de supporter les conséquences d'un étalage public des turpitudes de la comtesse. En fait, chacun se trouvait embarrassé, car tout cela éclaboussait la plus haute société austro-hongroise de l'époque. Matthias de Hongrie était le plus acharné à vouloir justice, le comte Thurzo le plus réservé, et aussi le plus calme. Il devait y avoir procès : il aurait lieu, mais on prendrait soin de n'y point faire paraître la principale inculpée, ce qui était une façon élégante de ne pas mouiller certains membres de l'aristocratie qui avaient, sans nul doute, d'une façon ou d'une autre, été complices de la meurtrière. Il fallait des accusés pour en faire des coupables. On se rabattit sur l'entourage immédiat d'Elizabeth. On savait que ceux-là, qui appartenaient aux classes les plus obscures de la société, n'étaient pas dangereux et que leur condamnation servirait d'exutoire.

On a retrouvé le procès-verbal des interrogatoires qui furent menés pendant l'instruction. On est en droit de se demander si ces dépositions ont été acquises au moyen de la torture, méthode pratiquée couramment à l'époque, et c'est pourquoi il convient de les prendre avec toutes les réserves qui s'imposent. Mais ces dépositions ne sont nullement en contradiction avec d'autres témoignages, et avec les bruits qui circulaient depuis fort longtemps sur les atrocités qui se commettaient aussi bien à Vienne qu'à Csejthe à la demande formelle de la comtesse Bathory. Et même s'il faut faire la part de l'exagération et du lavage de cerveau qu'ont subi les témoins, les récits sont hallucinants. Il y a là un accent de vérité qui ne trompe pas: ces témoins, participants actifs des turpitudes d'Elizabeth, donc motivés par une foi énigmatique d'origine païenne et ancestrale, sont parfaitement conscients de ce qu'ils racontent, et d'ailleurs, ils ne manifestent jamais le moindre remords, le moindre sentiment de culpabilité quant à ce qui leur est reproché. A les entendre, tout ce qui s'est passé au château de Csejthe est parfaitement naturel et ne souffre pas d'être discuté. Qu'on en juge sur pièces .

Ainsi, le premier témoin, Ficzko, après avoir avoue avoir tué trente-sept jeunes filles et participé à leur inhumation, est amené à parler de l'origine des victimes et du sort qui leur était réservé : (, Dorko et une autre allèrent en chercher. Elles leur dirent de les suivre dans une bonne place de service. Pour une de ces dernières, venant d'un village, il fallut un mois pour la faire arriver et on la tua tout de suite. Surtout des femmes de différents villages s'entendaient pour fournir des jeunes filles 2. Même une fille de l'une d'elles fut tuée; alors la mère refusa d'en amener d'autres. Moi-même, je suis allé six fois en chercher avec Dorko. Il y avait une femme spéciale qui ne tuait pas, mais qui enterrait... Une femme, Szabo, a amené des filles, et aussi sa propre fille, quoique sachant qu'elle serait tuée. jo Ilona aussi en a fait venir beaucoup. Kata n'a rien amené, mais elle a enterré toutes les filles que Dorko assassinait. " On voit ainsi que la comtesse sanglante avait constitué une véritable meute pour rabattre, par tous les moyens, les filles dont elle avait besoin pour assouvir ses passions, ou plutôt pour procéder à ces étranges sacrifices.

Où cela devient presque insupportable, c'est lorsque les témoins donnent des détails sur les supplices. C'est toujours Ficzko qui parle: " Elles (les complices d'Elizabeth) attachaient les mains et les bras très serrés avec du fil de Vienne, et les battaient à mort, jusqu'à ce que tout leur corps fût noir comme du charbon et que leur peau se déchirât. L'une supporta plus de deux cents coups avant de mourir. Dorko leur coupait les doigts un à un avec des cisailles, et ensuite leur piquait les veines avec des ciseaux... jo Ilona apportait le feu, faisait rougir les tisonniers, les appliquait sur la bouche et mettait le fer dedans. Quand les couturières faisaient mal leur travail, elles étaient menées pour cela dans la salle de torture. Un jour, la maîtresse elle-même a mis ses doigts dans la bouche de l'une et a tiré jusqu'à ce que les coins se fendent. Il y avait aussi une autre femme qui s'appelait Ilona Kochiska, et qui a aussi torturé des filles. La maîtresse les piquait d'épingles un peu partout; elle a assassiné la fille de Sitkey parce qu'elle avait volé une poire... La maîtresse a toujours récompensé les vieilles quand elles avaient bien torturé les filles. Elle-même arrachait la chair avec des pinces, et coupait entre les doigts. Elle les a fait mener sur la neige, nues, et arroser d'eau glacée; elle les a arrosées elle-même et elles en moururent... Dans le coche, quand la maîtresse voyageait, elles étaient pincées et piquées d'épingles. "

Le témoignage de la nourrice, jo Ilona, n'est pas moins édifiant: ", Elle battait les filles cruellement et Darvulia mettait les jeunes servantes dans l'eau froide et les laissait toute la nuit. La comtesse elle-même déposait dans leur main une clef ou une pièce d'argent rougie au feu. A Sravar, Elizabeth a, devant son mari Férencz Nàdasdy, dévêtu une petite parente de son mari, l'a enduite de miel et laissée un jour et une nuit dans le jardin pour que les insectes et les fourmis la piquent. Elle, jo Ilona, était chargée de mettre entre les jambes des jeunes filles du papier huilé et de l'allumer... Dorko coupait avec des ciseaux les veines des bras ; il y avait tant de sang qu'il fallait jeter de la cendre autour du lit de la comtesse, et celle-ci devait changer de robe et de manches. Dorko incisait aussi les plaies boursouflées et Elizabeth arrachait avec des pinces la chair du corps des filles... C'est de Darvulia qu'Elizabeth apprit les plus graves cruautés ; elles étaient très intimes. jo Ilona savait, et avait même vu, qu'Elizabeth a brûlé le sexe de certaines filles avec la flamme d'un cierge. " Tout cela est corroboré par Dorko : (, La comtesse torturait les filles avec des cuillères rougies au feu, et leur repassait la plante des pieds avec un fer rouge. Leur arrachait la chair aux endroits les plus sensibles des seins et d'ailleurs avec de petites pinces d'argent. Les mordait en les faisant amener au bord de son lit quand elle était malade. En une seule semaine, cinq filles étaient mortes. "

Le reste est à l'avenant et nous prouve que le marquis de Sade, dans son délire somme toute parfaitement inoffensif, n'a rien inventé. Car ces témoignages, quelles que soient les réserves qu'on peut émettre à leur propos, sont terriblement accablants. Et, sans trop risquer de se tromper, il faut bien se résoudre à accepter comme un minimum absolu le chiffre ahurissant de six cents jeunes filles sacrifiées par la comtesse Elizabeth Bathory et ses complices. La comtesse fut évidemment reconnue coupable par les juges qui se penchaient sur son cas. Mais la question se posait quant à la peine qu'elle devait encourir. On sait que le roi Matthias était résolu à condamner la comtesse à mort, quels que fussent ses liens avec l'illustre famille des Bathory. Mais la famille Bathory, et le comte Gyorgy Thurzo le premier, n'avaient aucune envie de salir leur nom en faisant procéder à l'exécution publique d'une des plus grandes dames de l'Empire. Il y eut des négociations, des compromis. On se dit qu'il valait mieux faire passer Elizabeth pour folle que pour une criminelle. Le verdict tomba: les principaux complices, Jo Ilona, Ficzko, Dorko et Katalin Beniezky furent condamnés à la décapitation et rapidement exécutés. Quant à la comtesse de sang royal Elizabeth Bathory, elle fut condamnée à être murée vive dans ses appartements privés du petit château de Csejthe. Sous la surveillance des juges et du comte Thurzo, des maçons murèrent donc les fenêtres et les portes de ses appartements, ne laissant qu'une petite ouverture par laquelle on passerait tous les jours de l'eau et de la nourriture. Elizabeth Bathory se laissa enfermer sans prononcer une parole. Elle vécut quatre ans dans la solitude et l'obscurité. Aux dires de ceux qui la virent dans son dernier sommeil, en dépit de son âge - très avancé pour l'époque - de cinquante-quatre ans, sa beauté était inaltérée. Et l'on retrouva, dans ses appartements, de nombreux grimoires, et surtout des invocations sataniques dans lesquelles elle conjurait le Diable de faire mourir ses ennemis, le comte Thurzo en tête, et de leur envoyer des démons sous forme de chats noirs. C'est ce qui était arrivé au curé de Csejthe Igrsqu'il avait accompagné les justiciers dans les souterrains du château. Coïncidence? Il est bien certain que la magie, et une magie des plus noires et des plus sinistres, est la seule explication plausible de l'invraisemblable comportement de la comtesse Elizabeth Bathory.

En fait., bien des questions se posent. Dans son invocation, faite la veille de son arrestation, Elizabeth Bathory implorait l'aide des puissances maléfiques, demandant particulièrement à Satan, qu'elle appelle le Suprême Commandeur des Chats, de lui envoyer quatre-vingt-dix-neuf chats contre ses ennemis. Or, le curé de Csejthe, auteur du mémoire qu'il espérait bien transmettre un jour, était l'un de ses plus ardents ennemis, bien qu'il fût réduit au silence par peur des représailles. D'après le témoignage du prêtre, lors de la perquisition dans le château, il fut assailli par six chats qui le griffèrent et le mordirent avant d'être chassés par les hommes d'armes et de dispar ECitre comme des fantômes. Hallucination ? Superstition ? Rien n'est bien clair dans cette histoire pourtant réelle de la comtesse Bathory.

Était-elle sorcière ? Incontestablement, ou du moins magicienne, prêtresse d'une religion noire et rouge héritée de la nuit des temps. Il serait vain de prétendre qu'elle était folle. Il serait stupide de ne voir en elle qu'une dépravée sexuelle assouvissant ses désirs pervers sous le couvert de ce qu'elle croyait être son impunité. Certes, la composante sexuelle, sadique et lesbienne, ne fait aucun doute dans son comportement. Mais ce n'est pas suffisant pour expliquer de telles horreurs. Et pourquoi n'a-t-elle sacrifié, ou fait sacrifier, à son culte sanguinaire que des femmes, des filles vierges ? Le sang des vierges a donc tant de vertu qu'il puisse procurer à ceux qui savent en profiter l'immortalité dans la beauté et le printemps éternel ?

Ici, la relation entre le personnage d'Elizabeth Bathory, personnage réel, rappelons-le, et le sinistre comte Dracula, personnage romanesque mais surgi d'une longue tradition et intégré dans un ouvrage de fiction initiatique, est absolument nette. Oui, la comtesse Bathory est une femme vampire se régénérant dans le sang des jeunes vierges qu'elle sacrifie en l'honneur d'une mystérieuse et cruelle déesse des anciens jours. Elle mordait ses victimes, nous dit-on. On n'ajoute pas qu'elle buvait leur sang, mais elle s'en inondait, ce qui revient au même. Aurait-elle pu survivre autant d'années, dans toute sa beauté, sans cette thérapeutique " quelque peu spéciale ?


Elizabeth Bathory a emporté son secret dans la tombe, si tant est qu'elle ait réellement une tombe. Car les vampires, c'est bien connu, ne meurent jamais vraiment.

 

12 août 2015

James Holmes, MK-Ultra et Hoolywood

mk-ultra

Y aurait-il un lien entre Holmes père et James Holmes, celui qui se serait prit pour le « Jocker » de Batman et aurait tué à l’aide d’un fusil d’assaut, 12 personnes et fait une soixantaine de blessés, dans un cinéma de la banlieue de Denver ?

On est en effet en droit de se poser la question…

Robert Holmes, était un analyste senior principal de FICO, et il devait témoigner en tant que dénonciateur dans les semaines à venir, concernant le scandale du LIBOR.

Il aurait été prêt à citer des GRANDS NOMS impliqués dans la fraude massive mondiale, ainsi que de fournir des preuves à la Commission bancaire du Sénat, reliant des cadres de haut niveau à leurs crimes !

Holmes père était un chef scientifique principal à FICO, la société américaine de notation de crédit. Il devait témoigner dans les prochaines semaines devant un jury du Sénat américain, qui enquête sur le scandale de la plus grande fraude de banque de l’histoire mondiale. Cette fraude bancaire menace de déstabiliser et de détruire le système bancaire occidental.

Robert Holmes a non seulement découvert la véritable intention de la fraude bancaire massive du LIBOR, mais aussi son modèle « d’algorithme prédictif », et il a également retracé les milliers de milliards de dollars « cachés » sur les comptes bancaires exacts des classes de l’élite qui les ont volés. En d’autres termes, Robert Holmes pourrait citer des noms !

Ces noms pourraient éveiller le monde entier sur la profondeur de la corruption morale du gouvernement, qui pourrait inclure des membres du Congrès, Wall Street, la Réserve fédérale et les dirigeants de l’UE, et pourraient même inclure des candidats à la présidentielle américaine, ainsi que la famille royale britannique.

Les motifs pour le massacre seraient les suivants :

1) Pour faire taire whistelblower Robert Holmes, dont le fils est maintenant face à une possible condamnation à mort.

2) Pour influencer le vote à venir sur l’ONU traité mondial sur les armes légères qui pourrait entraîner la confiscation des armes à feu et le désarmement des citoyens du monde. Le traité de l’ONU pourrait passer outre la souveraineté nationale et de donner une licence aux gouvernements fédéral de faire valoir les pouvoirs de contrôle des armes préventives sur l’État des pouvoirs de réglementation.

Et puis il y a cette information qui révèle que deux mois avant le massacre James Holmes a été renversé par une voiture dont ses occupants n’étaient autre deux membres de "Black Op".

Une Black Op est une opération secrète par un gouvernement, un organisme gouvernemental, ou une organisation militaire. Une opération de ce genre implique généralement un degré significatif de tromperie et de clandestinité, des activités illégales souvent hors du protocole militaire standard.

Les deux agents l’auraient drogué à l’aide de "la scopolamine" ou "Le Diable souffle".

Cette drogue est incolore, inodore et insipide. Les victimes deviennent si docile, et a notamment servis aux voleurs pour dépouiller les gens vider leurs comptes bancaires et a souvent été incriminé dans des affaires de viols et de prostitutions.

En outre, la scopolamine bloque complètement la formation des souvenirs, rendant impossible pour les victimes d’identifier leurs agresseurs. Sous hypnose, les gens peuvent normalement se rappeler ce qui leur est arrivé... "mais la scopolamine induit une amnésie parce que la mémoire n’a jamais été enregistré ", a déclaré le Dr Camilo Uribe, expert mondial sur la drogue.

C’est ce qui s’est passé à James Holmes. Il affirme qu’il n’a aucun souvenir de ce massacre. Un employé du Centre de détention du comté Arapahoe, où Holmes se trouve dans une cellule d’isolement, a déclaré à des sources : "Il prétend qu’il ne sait pas pourquoi il est en prison ".

James Holmes, MK-Ultra et cinéma...

 


James Holmes, MK-Ultra et cinéma... por JaneBurgermeister
Publicité
Publicité
1 2 > >>
Publicité