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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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30 juin 2016

Les cristaux de magnétite du corps humain

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Les cristaux de magnétite du corps humain
 
Un chercheur américain, le professeur J. Kirshvink, a démontré qu'il existe dans le cerveau humain, par gramme de tissu, environ 5 millions de petits cristaux de magnétite (aimantnaturels). Les enveloppes méningées qui entourent le cerveau contiennent, quant à elles, plus de 100 millions de ces cristaux de magnétite par gramme de tissu.
Chaque cristal de magnétite (FE3O4) auquel est associé un peu
de maghémite (FE3O4) est protégé par une membrane et constitu
avec elle un "magnétosome".
La membrane du magnétosome est formée de diverses sortes de lipides et de protéines dont certaines sont spécifiques à cette membrane.
Les magnétosomes sont répartis dans le tissu nerveux par groupes de 50 à 100 éléments.
La magnétite est un matériau très bon conducteur de l'électricité; environ 6000 fois plus conducteur que n'importe quel autre matériau biologique.
La magnétite est donc sensible aux champs électromagnétiques. Les magnétosomes sont en quelque sorte des organes des sens capables de percevoir les variations des champs électromagnétiques ambiants.
Les champs électromagnétiques des micro-ondes sont porteurs d'une énergie importante. Les cellules qui ne contiennent pas de cristaux de magnétite se laissent facilement traverser par des micro-ondes et n'absorbent qu'une infime partie, environ 0,046 % , de l'énergie de ces micro-ondes. Il n'en est pas de même des cellules qui contiennent des cristaux de magnétite. Ces cellules peuvent absorber jusqu'à 30 % de l'énergie des micro-ondes qui les traversent.
Les atomes de tout réseau cristallin sont capables de vibrer collectivement.
Dans les cristaux de magnétite, les micro-ondes, par un effet magnéto-acoustique, donnent naissance à des ondes acoustiques de même fréquence.
 
Sous l'effet des micro-ondes, ce sont des ultrasons, les phonons, qui apparaissent, sons que l'oreille humaine n'entend pas.
Ces ultrasons dissipent leur énergie dans les structures cellulaires entourant les magnétosomes. Ils provoquent également des ouvertures transitoires dans la membrane des magnétosomes.
Mis à nu, le cristal de magnétite entre ainsi en contact avec les autres constituants de la cellule. Les atomes de fer de la maghémite qu'il contient s'oxydent alors en provoquant l'apparition de radicaux libres. Ces radicaux libres peuvent altérer toutes les membranes cellulaires et endommager l'ADN, l'acide nucléique de nos cellules, porteur de nos gènes et support de notre hérédité.
Les micro-ondes 900 MHz et 1800 MHz, utilisées par la technologie GSM et DCS de la téléphonie mobile, sont des ondes pulsées et modulées en amplitude. Ce sont en fait des bouffées de micro-ondes qui sortent des antennes.
La fréquence de ces bouffées est une basse fréquence (217 Hz). Ainsi, aux champs électromagnétiques propres des micro-ondes, ils se superposent en champ électromagnétique à basse fréquence.
Les micro-ondes 2100 MHz utilisées par la technologie UMTS de la téléphonie mobile, ne sont pas des ondes pulsées, elles sont émises de manière continue.
Tel que mentionné précédemment, tous ces champs électromagnétiques agissent sur les cristaux de magnétitdu corps humain. Outre la fréquence de 217 Hz, on rencontre dans les ondes émises par la téléphonie mobile, du fait de la complexité des systèmes utilisés, des ondes de 8 Hz et de 2 Hz, qui, quant à elles, peuvent interférer avec les ondes alpha et delta émises par notre cerveau.
Une onde qui est pulsée semble être plus nocive qu'une onde non pulsée de même fréquence, aussi bien lorsqu'il s'agit d'ondes de basse fréquence pulsées que de micro-ondes pulsées.

Pour le professeur J. Kirshvink, les cristaux d'aimants naturels présents dans le cerveau humain permettent d'expliquer la sensibilité de l'homme aux champs électromagnétiques ambiants, que ce soient des champs de basses fréquences, comme ceux induits par le réseau électrique 50 Hertz, des champs de moyennes fréquences ou des champs de fréquences élevées, comme ceux induits par les micro-ondes.

 

Dans un monde « connecté » où de plus en plus d’objets du quotidien vont se voir attacher à une IP, quelle sera la place de l’homme dans cet environnement ? Et si toute cette technologie, fort utile au demeurant, nous coupait du monde ? En voulant surexploiter le virtuel, passons-nous à côté d’une autre réalité ?

Une autre réalité ?

Matériel_de_la-FoyeS’il y a un milieu ancré dans « le réel » et que je connais bien : c’est le monde agricole. J’en suis issu et j’y ai fait mes études. Sans jeu de mots, les agriculteurs ont véritablement « les pieds sur terre ». De par leurs préoccupations : les cycles biologiques, le climat, les maladies du bétail et des cultures, se sont des personnes factuelles et concrètes.

J’ai pu visiter à de nombreuses reprises, des exploitations de la région picarde. Mais je fus souvent surpris par l’utilisation, aux seins de leurs fermes, de certaines pratiques étranges et anciennes : rebouteux, barreurs de feu, sourciers…

Je me souviens d’un exploitant agricole du Santerre qui avait tout misé sur un sourcier pour détecter une nappe d’eau souterraine afin  d’irriguer ses champs : la recherche avait été un succès…

Si des gens comme ça utilisent ces méthodes, c’est forcément que ceux qui tiennent les pendules, les baguettes de coudriers ou réalisent ces étranges gestes « magnétiques » ont des résultats et sont en contact avec quelque chose que nous ne comprenons pas encore.

Soigner les animaux avec des planchettes de bois.

Matériel de Jean De La Foye

Le matériel utilisé par Monsieur De La Foye : la bouteille « champegnoise » à gauche,  le « Disque équatorial » au centre et les « cercles réciproques » à droite

Dans son livre « Ondes de vie, ondes de mort », aux éditions Robert Laffont, Jean de la Foye, un ingénieur agronome français, tenta d’expliquer ces faits curieux au sein des fermes. Il fut aidé dans sa démarche par un des pionniers en la matière : le Conte André de Bélizal.  Après de nombreuses années, non seulement il échafauda sa théorie, mais toute sa vie il pratiqua ces étranges soins chez les agriculteurs.

Ainsi, il intervenait chez des éleveurs qui connaissaient des baisses de production laitière inexpliqués. Pendule à la main, il posait de petites « planchettes rainurées » dans un bâtiment, faisait déplacer une vieille herse rouillée de quelques mètres et dans les jours suivants le troupeau retrouvait sa production initiale ! Effet placebo ? Je ne pense pas que les vaches avaient conscience de tout cela ?!

La « radiesthésie », le mot est lancé. Nous avons tous en tête les aventures de Tintin et de son ami le professeur Tournesol, agitant cette petite boule dorée au bout d’un fil. Mais y a-t-il eu au moins un véritable scientifique qui se soit penché sur ce sujet ? La réponse est oui et c’était, là encore, un français.

De la magnétite dans le corps humain.

Yves Rocard

Le Professeur Yves Rocard

Yves Rocard (le père de Michel Rocard), scientifique renommé, père du programme nucléaire français, profita de sa retraite pour étudier minutieusement la radiesthésie et le biomagnétisme humain. Ses conclusions furent surprenantes :

Dans l’ABC de la radiesthésie, aux éditions Jacques Grancher, il est dit : « On croyait que les baguettisants et les pendulisants ressentaient la présence d’eau à l’aide de leurs instruments. En réalité, Yves Rocard a démontré qu’ils détectent non pas l’eau mais la présence d’une anomalie dans le champ magnétique local, anomalie qui va agir sur le sourcier lui-même… »

Le Professeur Rocard détermina que ces différentiels magnétiques étaient détectés aux moyens de cristaux d’aimant (Fe3 04 ou magnétite) présents à l’état naturel dans les différentes articulations du corps humains : coudes, genoux, nuques…

Tout comme de nombreux animaux (pigeons, abeilles…), l’homme est donc naturellement connecté avec son environnement, ressentant inconsciemment, les subtiles variations locales du courant magnétique terrestre. Le pendule et la baguette ne jouent qu’un rôle d’amplificateur des micros mouvements nerveux et musculaires : l’inconscient fournissant ainsi les informations au conscient.

Trouver de l’eau avec une baguette pourquoi pas… Mais peut-on trouver d’autres choses par cet étrange moyen ? Existe-t-il de véritables radars humains ?

La réponse est encore oui et l’exemple le plus typique s’appelle Jean-Louis Crozier.

Jean-Louis Crozier

Monsieur Jean-Louis Crozier, radiesthésiste et magnétiseur, présentant son pendule spécialement créé pour réaliser des recherches sur cartes

Jean-Louis Crozier était un radiesthésiste et magnétiseur Ardéchois. Surnommé le « radar humain », il travailla de longues années avec la gendarmerie nationale. Sur ses 1188 recherches lancées, 259 personnes furent retrouvées par ses soins, dont une grande majorité de cadavres, 158 échecs et 771 missions en attente.

En prenant pour base les réussites et les échecs, et en occultant les affaires en attentes, on obtient un résultat positif à plus de 62%.

Le radiesthésiste expliquait sa méthode comme suit : « J’émets une onde chargée de la fréquence du disparu. Lorsque ma question entre en résonnance avec lui, sa présence est confirmée lorsque le pendule ou ma main survolent un lieu donné sur la carte (IGN). Je ressens alors un écho, un signal, qui fait réagir le pendule ou qui crée une vibration particulière dans ma main ».

Chercher de l’eau, détecter les nocivités locales impactant un troupeau de bovins, rechercher la signature magnétique d’une personne disparue sur un plan ! Comment expliquer ces phénomènes très concrets, aux résultats indéniables ? De quelle nature est « l’information » captée ou envoyée ?

Un début de réponse se trouve peut-être dans une remarque, faite par un de ces radiesthésistes, l’abbé Alexandre Perraud : « Pendant l’éclipse de soleil du 11 août 1999, je perdis ma sensibilité radiesthésique au dessus de deux courants d’eau …». Le soleil ?  Et si la réponse venait du ciel ?

Aide-toi et le ciel t’aidera.

Les ondes de formes vues par un physicien

Le livre du Docteur Laurent Souriau

C’est de nouveau dans un livre que l’on peut trouver une explication. Dans « Les ondes de forme vues par un physicien, aux éditions Servranx», le Docteur en physique, Laurent Souriau, reprit les petites planchettes de bois rainurées de Jean de la Foye, celles avec lesquelles l’ingénieur agronome arrivait à corriger les perturbations magnétiques locales. Une en particulier, « le disque équatorial », était selon son constructeur un émetteur « d’ondes bénéfiques et correctrices » appelées aussi « ondes de forme »…

Le Docteur Laurent Souriau raconte : « J’ai compris que les émissions de forme sont des neutrinos. Or en cherchant le mécanisme d’attraction et d’émission de neutrinos par les formes, j’ai compris qu’en fait ce qu’on appelle les émissions de forme ne pouvaient fonctionner qu’avec des monopoles magnétiques et non pas avec des neutrinos.

La nuance est subtile, mais importante. Un monopole magnétique est un neutrino magnétiquement chargé. Sans charge magnétique, un neutrino ne peut être attiré et émis par une forme.

Disque équatorial de Jean De La Foye

Un simple disque de bois percé en son centre, dans lequel on place une tige de cuivre : le fameux « disque équatorial »

Je me suis donc dit que si les ondes de forme sont des monopoles magnétiques, en plaçant un morceau d’aluminium à la sortie de mon « disque équatorial » et en le laissant suffisamment de temps, je devrais réussir à l’aimanter. Et c’est ce qui s’est passé à ma grande surprise. J’avais du mal à y croire. »

Ainsi Laurent Souriau venait de découvrir la particule détectée par les radiesthésistes : le neutrino et plus précisément le neutrino chargé magnétiquement.

Mais que sont les neutrinos ? D’où viennent-ils ?

Les neutrinos sont des particules élémentaires, de masse pratiquement nulle. Elles sont engendrées par des réactions nucléaires. Tandis que les étoiles et autres phénomènes approchants produisent des neutrinos de basse énergie, les neutrinos de haute énergie sont produits par des cataclysmes cosmiques lointains et extrêmement violents tels que les trous noirs, les supernovas et le Big-Bang.

On émet l’existence du neutrino que très tardivement, en 1930, puis la communauté scientifique confirme son existence en 1956. Parce que sa découverte est récente et parce qu’ils interagissent faiblement avec la matière, de nombreuses expériences sont consacrées à connaître ses propriétés exactes.

Dans ce cadre, Laurent Souriau émet une nouvelle hypothèse. Si les neutrinos n’ont aucune interaction directe avec la matière, certaines de ses particules, véhiculées notamment par notre soleil, se chargent magnétiquement (soit avec un seul pôle positif, soit avec un seul pôle négatif) au contact du magnétisme terrestre et deviennent des « monopoles magnétiques ».

Ces particules chargées interagissent alors avec la matière, les objets, les formes, un peu comme le feraient les photons sur un prisme de verre.

Si on reprend la remarque de l’abbé Alexandre Perraud sur la perte de ses capacités radiesthésiques lors d’une éclipse solaire et que l’on applique la théorie du Docteur Souriau, nous pouvons faire l’hypothèse suivante :

L’homme a la capacité de se connecter à son environnement, proche ou lointain, aux moyens de particules cosmiques, chargées par le champ magnétique terrestre. Se faisant, il accède, comme un émetteur-récepteur, à « l’information » qu’il souhaite analyser.

La voilà donc cette fameuse réalité ! Nous croyons avoir besoin d’être connecté à nos ordinateurs, à nos smartphones pour comprendre le monde… Nous croyons aussi avoir inventé un nouvel univers « multi-connecté » alors que la nature nous a déjà précédés.

En prendre conscience c’est un peu nous retrouver nous-mêmes.

Jean-Christophe, pour le GEEPI

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28 juin 2016

Jose Delgado – Contrôle physique de l’esprit : Vers une société psychocivilisée

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« Nous avons besoin d’un programme de psychochirurgie pour le contrôle politique de notre société. Le but est le contrôle physique de l’esprit. Chacun qui dévie de la norme donnée peut être chirurgicalement mutilé. L’individu peut penser que la réalité la plus importante est sa propre existence, mais c’est seulement son point de vue personnel. Même si cette attitude libérale est très séduisante, ceci manque de perspective historique. L’homme n’a pas le droit de développer sa propre façon de penser. Nous devons contrôler le cerveau électriquement. Un jour, les armées et les généraux seront contrôlés par stimulation électrique du cerveau. »Jose Delgado, physiologiste à l’Université de Yale, Procès verbal des séances du Congrès américain, numéro 26, vol. 118, le 24 février 1974.

Chers amis,

Je vous annonce une bonne nouvelle : l’horrible livre de l’ignoble savant José Delgado, « Physical Control of the Mind : Toward a Psychocivilized Society » est désormais accessible à tous sur le web, et ce sur plusieurs sites et via plusieurs moyens !

C’est une « bonne » nouvelle car à présent, la PREUVE que des savants-fous sont parvenus à CONTRÔLER les individus CORPS ET ÂME est disponible pour tous ET NE POURRA PLUS ÊTRE IGNORÉE !!!

Certes, je n’ai pu trouver que des versions incomplètes, mais le principal y est.

Ce livre a été écrit il y a PLUSIEURS DÉCENNIES, en 1969 pour être précis (voir sur Amazon)…

Demandez-vous donc OU ON EN EST ARRIVE AUJOURD’HUI (presque 40 ANS PLUS TARD) AU NIVEAU DU CONTRÔLE MENTAL DES INDIVIDUS ET DES PEUPLES ? Une pensée qui donne le vertige… et la nausée.

Vous pouvez par exemple trouver le livre (en anglais) sur le site suivant.

Vous allez le voir, le contrôle physique de l’esprit EST UN FAIT SCIENTIFIQUE AVÉRÉ, et le contrôle de l’individu, CORPS ET ÂME, via un IMPLANT CÉRÉBRAL actionné à distance par RADIOFRÉQUENCES, est une RÉALITÉ !!!

Certaines personnes de mauvaise foi ou très mal informées croient encore que Delgado n’a pas fait d’expérience sur des êtres humains… Ceux-là vont avoir un fameux choc et vont être forcés d’ouvrir les yeux et l’esprit à ce danger immense que représentent les puces implantables !

Vous ne comprenez pas l’anglais ? CE N’EST PAS GRAVE ! Je vais vous poster, dans les prochains jours, des traductions en français des passages importants de ce livre ! Restez donc tous bien en ligne les jours qui viennent…

Afin de vous donner un petit aperçu de ce qui va suivre, voici déjà un extrait, traduit pour vous en français.

A bientôt pour la suite…

Vic.


CHAPITRE NEUF : EVOLUTION HISTORIQUE DU CONTRÔLE PHYSIQUE DU CERVEAUA) Fait expérimental : les muscles d’une grenouille se contractent lorsqu’ils sont stimulés par électricité. Volta, 1800 ; Galvani, 1791 ; DuBoisReymond, 1848.

Implication : les « esprits vitaux » ne sont pas essentiels pour les activités biologiques. Les stimuli électriques contrôlés par l’homme peuvent être à l’origine du contrôle et de la modification des processus vitaux.

B) Fait expérimental : la stimulation électrique du cerveau auprès d’un chien anesthésié a provoqué les mouvements localisés de son corps et de ses membres. Fritsch et Hitzig, 1870.

Implication : Le cerveau est excitable. La stimulation électrique du cortex cérébral peut produire des mouvements.

C) Fait expérimental : la stimulation du diencéphale auprès de chats non anesthésiés a provoqué des effets moteurs bien organisés et des réactions émotionnelles. Hess, 1932.

Implication : des manifestations motrices et émotionnelles peuvent être provoquées chez des animaux éveillés.

D) Fait expérimental : chez des animaux seuls, l’apprentissage, le conditionnement, les réponses instrumentales, la douleur et le plaisir ont été provoqués ou inhibés par stimulation électrique du cerveau chez les rats, les chats et les singes. Delgado et collègues 1954 ; Olds et Milner, 1954 ; voir bibliographie dans Sheer, 1961.

Implication : des phénomènes psychologiques peuvent être contrôlés par stimulation électrique de certaines régions du cerveau.

E) Fait expérimental : dans les colonies de chats et de singes, l’agression, la domination, mountIng, et d’autres interactions sociales ont été provoqués, modifiés ou inhibés par radio stimulation de zones cérébrales spécifiques. Delgado, 1955, 1964.

Implication : le comportement social peut être contrôlé par stimulation radio de zones spécifiques du cerveau.

F) Fait expérimental : chez des patients, la stimulation du cerveau lors d’interventions chirurgicales ou avec des électrodes implantées pendant plusieurs jours ou mois a bloqué le processus de la pensée, a entravé la parole et le mouvement, ou dans d’autres cas, a provoqué la joie, le rire, la convivialité, la production verbale, l’hostilité, la peur, des hallucinations et des souvenirs. Delgado et collègues 1952, 1968 ; Penfield et Jasper, 1954 ; voir bibliographie dans Ramey et O’Doherty, 1960.

Implication : les fonctions mentales humaines peuvent être influencées par stimulation électrique de certaines régions du cerveau.

Résumé

Les fonctions autonomiques et somatiques, le comportement individuel et social, les réactions affectives et mentales peuvent être provoqués, maintenus, modifiés ou inhibés, à la fois chez les animaux et chez l’homme, par stimulation électrique de certaines structures cérébrales. Le contrôle physique de nombreuses fonctions du cerveau est un fait prouvé, mais les possibilités et les limites de ce contrôle sont encore peu connues.

Pages 70-71


Chers amis,

Voici ci-dessous, traduit pour vous en français, la partie finale du livre du savant malade José Delgado, un véritable nazi qui a testé sur des animaux ET SUR DES ÊTRES HUMAINS LES IMPLANTS CÉRÉBRAUX A RADIOFRÉQUENCE QUI PERMETTENT LE CONTRÔLE DU CORPS, DE L’ESPRIT ET DU COMPORTEMENT.

CETTE PARTIE NOUS PROUVE SANS LE MOINDRE DOUTE POSSIBLE QUE LE CONTRÔLE PHYSIQUE DU COMPORTEMENT EST BIEN RÉEL ET A DÉJÀ ÉTÉ TESTE !!!

Ceci nous signale aussi les DANGERS INFINIS LIES A CETTE TECHNOLOGIE LIBERTICIDE, TOTALITAIRE ET NAZIE !

PIRE : l’utilisation de ces implants démoniaques comme une ARME potentielle est également RECONNUE, puisque ces implants peuvent par exemple « RETARDER UN BATTEMENT DU COUR » !!! Il est donc possible de retarder ce battement… jusqu’à la mort !!!

Nous allons nous apercevoir que Delgado est un MATÉRIALISTE FORCENÉ, pour qui l’être humain se réduit finalement à un tas de matière. Delgado rejette, en définitive, toute conception spirituelle et repousse toute opposition ou objection (théologique, morale, éthique, philosophique) à l’application de sa technologie dictatoriale !

Nous allons voir la façon absolument perfide dont il tente de justifier la « nécessaire » utilisation de son abominable technologie… et aussi la façon absolument répugnante dont il retourne le problème : au lieu que ce soient les autorités qui prennent la décision (décision totalitaire, bien entendu, ce qui est toujours le cas et ce qui dénote la volonté immonde des dirigeants vendus au Nouvel Ordre Mondial), lui part du principe que ce sont des personnes (des malades mentales, dans l’exemple repris dans l’extrait ! ) qui lui « réclamaient » le contrôle de leur esprit via stimulation électrique du cerveau par le biais d’un implant cérébral !!! Ben voyons !

Nous allons voir également, dans l’extrait qui suit, comment de SIMPLES BAGARRES constituent, pour lui, une « raison suffisante » pour CONTRÔLER ET DIRIGER LE CERVEAU ET LE COMPORTEMENT DE L’INDIVIDU, SUPPRIMANT TOUTE FORME DE LIBRE ARBITRE ! Atroce…

Point intéressant : l’argumentation pseudo-médicale et policière utilisée par Delgado aujourd’hui est EXACTEMENT LA MÊME que celle qui est reprise aujourd’hui par d’autres crapules nazifiantes qui tentent d’imposer les puces implantables, telles que, par exemple, le sénateur belge et neurochirurgien Jacques Brotchi qui, quel « hasard », a proposé la puce implantable de contrôle comportemental pour les pédophiles !

Nous pouvons donc constater que selon les ignobles individus de ce genre, la MOINDRE INFRACTION au code que les dirigeants imposent constituent une « raison suffisante » pour SUPPRIMER LES LIBERTÉS PREMIÈRES DE L’INDIVIDU : le libre choix, le libre-arbitre et la liberté de pensée !!!

TOUT CECI NOUS INDIQUE UNE FOIS DE PLUS LA NÉCESSITÉ DE RENDRE TOTALEMENT ILLÉGALE ET INTERDITE DE GENRE DE TECHNOLOGIE LIBERTICIDE !

Sans quoi, nous finirons dans un société dans laquelle AUCUN CHOIX, AUCUN LIBRE-ARBITRE ET AUCUNE LIBERTÉ NE NOUS SERONT LAISSES !

Nous avons vu que le « crime de pensée » est désormais en train d’entrer en scène, via les dernières lois iniques et liberticides mises en place par le maléfique et totalitaire gouvernement des U.S.A. … LE MÊME RISQUE DE SE PRODUIRE CHEZ NOUS, nous l’avons vu aussi ! Sans ce contexte nazi de crime de la pensée, le CONTRÔLE DE L’ESPRIT ET DU COMPORTEMENT DEVIENNENT UNE ÉVIDENCE, ET L’UTILISATION DES PUCES IMPLANTABLES DE CONTRÔLE COMPORTEMENTAL ÉGALEMENT.

IL NE NOUS RESTE QUE TRÈS PEU DE TEMPS POUR RÉAGIR…

L’extrait, ci-dessous… Davantage d’extraits traduits en français suivront dans les prochains jours.

BONNE RÉVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


MANIPULATION ÉLECTRIQUE DE LA PSYCHÉL’aspect le plus inquiétant de la stimulation électrique du cerveau est que la réactivité psychologique peut être influencée en appliquant quelques volts dans une zone déterminée du cerveau. Ce fait a été interprété par de nombreuses personnes

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comme une inquiétante menace à l’intégrité de l’homme. Dans le passé, l’individu pouvait faire face à des risques et des pressions tout en préservant sa propre identité. Son corps pouvait être torturé, ses pensées et ses désirs pouvaient faire face à des défis via des pots-de-vin, des émotions et via l’opinion publique, et son comportement pouvait être influencé par des circonstances environnementales, mais il avait toujours le privilège de décider de son propre destin, de mourir pour un idéal sans changer d’idée. La fidélité à notre passé affectif et intellectuel donne à chacun de nous un sentiment de stabilité transcendantale – et peut-être d’immortalité – ce qui est plus précieux que la vie elle-même.

La nouvelle technologie neurologique, toutefois, possède une efficacité raffinée. L’individu est sans défense contre la manipulation directe du cerveau parce qu’il est privé de ses mécanismes les plus intimes de réactivité biologique. Durant les expériences, une stimulation électrique d’intensité appropriée l’a toujours emporté sur le libre-arbitre ; et, par exemple, la flexion de la main provoquée par la stimulation du cortex moteur ne peut pas être évitée de son plein gré. La destruction des lobes frontaux a produit des changements dans l’efficacité qui sont au-delà de tout contrôle personnel.

La possibilité scientifique de l’annihilation de l’identité personnelle, ou même pire, son contrôle délibéré, a parfois été considérée comme une menace future plus terrible que l’holocauste atomique. Même les médecins ont exprimé des doutes quant à la propriété de la manipulation de la psyché, maintenant que l’identité personnelle devrait être inviolable, que toute tentative visant à modifier les comportements des individus est contraire à l’éthique, et que la méthode et la recherche qui y est associée – qui peuvent influencer le cerveau humain – devraient être interdits. La perspective d’un degré de contrôle physique de l’esprit provoque toute une série d’objections : des objections théologiques parce qu’elle affecte le libre-arbitre, des objections morales parce qu’elle affecte la responsabilité individuelle, des objections éthiques car elle peut bloquer les mécanismes d’autodéfense, des objections philosophiques, car elle menace l’identité personnelle.

Ces objections sont toutefois discutables. Une interdiction de l’avancée scientifique est évidemment naïve et irréaliste. Elle ne pourrait pas être imposée universellement, et, plus important encore, ce n’est pas

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la connaissance elle-même, mais sa mauvaise utilisation qui doit être réglementée. Un couteau n’est ni bon ni mauvais ; mais il peut être utilisé soit par un chirurgien, soit par un assassin. La science devrait être neutre, mais les scientifiques devraient prendre parti (242). L’esprit n’est pas une entité statique, innée appartenant à l’individu et autosuffisante, mais l’organisation dynamique des perceptions sensorielles du monde extérieur, corrélée et remodelée grâce à la structure anatomique interne et fonctionnelle du cerveau. La personnalité n’est pas une façon de réagir intangible, immuable, mais un processus souple en évolution continue, affectée par son milieu. La culture et l’éducation sont destinées à façonner des modes de réaction qui ne sont pas innés dans l’organisme humain ; elles sont destinées à imposer des limites à la liberté de choix. Les codes moraux peuvent différer complètement d’une civilisation à une autre. La polygamie était acceptable dans les temps bibliques, et est encore pratiquée chez les musulmans, mais elle est rejetée par de nombreux autres civilisations avec de fortes pressions sociales, juridiques, religieuses, éducatives afin d’obtenir un comportement monogame. Bien sûr, il n’y a pas d’obstacle physique à l’acquisition d’une demi-douzaine de femmes – du moins jusqu’à ce que la loi ou les dames entrent en jeu -, mais ensuite nous entrons dans un jeu de force, dans l’équilibre dynamique entre tous les éléments qui déterminent le choix du comportement. S’il y a de très fortes raisons de réagir d’une manière particulière (par exemple, de n’avoir qu’une seule femme), les chances de vivre selon une autre coutume sont tellement minces qu’elles sont négligeables.

C’est précisément le rôle de la stimulation électrique du cerveau : ajouter un nouveau facteur à la constellation d’éléments déterminants du comportement. Le résultat, comme on le voit de façon expérimentale chez les animaux, est une somme algébrique, avec la stimulation cérébrale qui prévaut habituellement sur les réactions. La pratique médicale visant à essayer de modifier les réactions antisociales ou anormales des malades mentaux est admise. La psychanalyse, l’utilisation de médicaments tels que les tranquillisants et les énergisants, l’application d’insuline ou d’électrochocs, et d’autres variétés de soins psychiatriques sont toutes destinées à influencer la personnalité anormale du patient dans le but de changer ses caractéristiques mentales indésirables. L’utilisation possible, par conséquent, d’électrodes implantées dans les malades mentaux ne devrait pas

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poser de complications éthiques inhabituelles médicales acceptées si les règles médicales acceptées sont suivies. Peut-être que l’efficacité limitée des procédures standard en psychiatrie constitue une raison pour laquelle elles n’ont pas provoqué d’alarme parmi les scientifiques ou les profanes. La psychanalyse nécessite une longue durée, et une personne peut facilement retirer sa coopération et refuser d’exprimer ses pensées intimes. Les électrochocs sont une méthode rudimentaire à l’efficacité douteuse chez les personnes normales. Bien que la stimulation électrique du cerveau en est encore au stade initial de son développement, elle est en revanche beaucoup plus sélective et puissante ; elle peut retarder un battement du coeur, déplacer un doigt, amener un mot à la mémoire, ou définir un ton comportemental déterminé.

Lorsque les indications médicales sont claires et que les procédures thérapeutiques standard ont échoué, la plupart des patients et des médecins sont prêts à tester une nouvelle méthode, à condition que la possibilité de succès soit supérieure au risque d’aggraver la situation. La décision cruciale pour commencer à appliquer une nouvelle méthode thérapeutique à des patients humains exige une combinaison d’évaluation intelligente des données, de connaissances en neurophysiologie comparative, de prévoyance, d’intégrité morale et de courage. Une agressivité excessive chez un médecin peut entraîner des dommages irréparables, mais une trop grande prudence peut priver les patients de l’aide nécessaire. La procédure chirurgicale de la lobotomie fut peut-être appliquée à de nombreux malades mentaux trop rapidement, avant que ses dangers et ses limites fussent compris ; mais la pallidectomie et la thalamotomie dans le traitement de la maladie de Parkinson rencontrèrent une redoutable opposition au départ avant d’avoir atteint leur reconnaissance actuelle et leur statut respecté.

Bien que le traitement pharmacologique et chirurgical des personnes atteintes de maladie mentale soit accepté comme bon, les personnes ayant d’autres écarts de comportement posent un autre type de problème éthique. Elles peuvent être dangereux pour elles-mêmes et pour la société lorsque leurs fonctions mentales sont maintenues dans les limites normales et que l’un des aspects de leur conduite personnelle est socialement inacceptable. Les droits d’un individu à obtenir un traitement approprié doivent être pesés avec une évaluation professionnelle de ses problèmes comportementaux et de leur éventuelle base neurologique, ce qui nécessite un jugement de valeur par rapport au comportement de la personne en comparaison

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avec les normes acceptées. Un exemple pour illustrer ces considérations.

Au début des années 1950, une patiente dans un hôpital psychiatrique d’état nous approcha, le Dr Hannibal Hamlin et moi-même, et nous demanda de l’aide. Elle était une belle femme de 24 ans, d’intelligence et d’éducation moyenne, et qui avait un long passé d’arrestations pour trouble de l’ordre. Elle avait été impliquée à plusieurs reprises dans des bagarres de café dans lesquelles elle incitait les hommes se battre contre elle et elle avait passé la plus grande partie des quelques années précédentes en prison ou dans des établissements psychiatriques. La patiente exprimait un vif désir, de même que l’impossibilité de modifier son comportement, et parce que le traitement psychiatrique avait échoué, elle et sa mère demandèrent instamment qu’une certaine forme de chirurgie cérébrale soit effectuée afin de contrôler son comportement peu scrupuleux et impulsif. Elles demandèrent en particulier que des électrodes soient implantées afin d’orienter la possible électrocoagulation d’une zone limitée du cerveau ; et si cela n’était pas possible, elles voulaient la lobotomie.

Les connaissances médicales et l’expérience, à l’époque, ne pouvaient pas savoir si l’électrostimulation du cerveau ou l’application de lésions cérébrales pourraient contribuer à résoudre ce problème du patient, et l’intervention chirurgicale fut donc rejetée. Lorsque cette décision fut expliquée, la patiente et sa mère réagirent avec les mêmes commentaires anxieux, demandant : « Quel est l’avenir ? La prison ou l’hôpital uniquement ? N’y a-t-il aucun espoir ?  » Ce cas révéla les limites de la thérapie et le dilemme d’un possible contrôle du comportement. En supposant que la stimulation à long terme d’une structure cérébrale déterminée pourrait influencer les tendances d’un patient à boire, flirter, et inciter des bagarres, serait-il éthique de changer ses caractéristiques personnelles ? Les gens changent leur caractère par l’automédication via la prise de drogues hallucinogènes, mais ont-ils le droit d’exiger que les médecins leur administrent un traitement qui va radicalement modifier leur comportement ? Quelles sont les limites des droits de l’individu et des obligations des médecins ?

Comme la science semble approcher la possibilité de contrôler de nombreux aspects du comportement de façon électronique et chimique, ces questions doivent être posées. Si, comme dans le cas de cette patiente, la déviation du comportement entre en conflit de façon si grave que la société

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la prive de sa liberté personnelle, une intervention médicale pourrait être justifiée. La conduite de cas criminels habituels est un autre exemple de ce type de problème. Exclamation Les décisions thérapeutiques liées à la manipulation psychique requièrent de l’intégrité morale et une éducation éthique. La formation scientifique se concentre principalement dans le domaine des sciences naturelles et néglige souvent l’étude et l’assimilation des codes de déontologie, considérant qu’ils sont au-delà du domaine de la science. Peut-être oublie-t-on souvent que l’enquêteur a besoin d’un ensemble de convictions et de principes, non seulement pour gérer l’argent des subventions, pour donner un véritable crédit au travail des autres, et afin d’être civilisé avec ses collègues, mais surtout pour orienter sa vie et ses recherches, et afin de prévoir les conséquences de ses propres découvertes.


Chers amis,

Voici une autre partie du livre de l’infect savant-fou Jose Delgado traduite pour vous en français.

Deux choses transparaissent de façon absolument limpide dans cet extrait :

1) Delgado fut le précurseur des actuelles puces cérébrales, telles que la M.M.E.A. (multiple micro electrode array) sur laquelle je vous avais déjà posté un article édifiant.

2) Les expériences actuelles menées à l’université de Reading (UK) par Kevin Warwick (un autre savant-fou transhumaniste qui se considère lui-même comme le premier « cyborg » et dont je vous avais déjà parlé) reprennent les expériences de Delgado afin de les amener plus loin encore.

Bref, Delgado a fait des émules… preuve s’il en est que, comme le disait Einstein, la science est devenue criminelle !

Les extraits ci-dessous nous parlent notamment de « communication radio bidirectionnelle avec le cerveau »… « Qu’est-ce que cela signifie ? », pourrait se demander le profane ou le novice.

Ce que cela signifie, c’est ce que l’article sur la M.M.E.A. que je vous avais déjà posté expliquait de façon très claire : qu’un individu auquel on a implanté une puce cérébrale activée par radiofréquence peut se servir de cette puce pour agir sur l’extérieur, mais que l’extérieur peut aussi intervenir sur l’individu, ce qui permet de le contrôler physiquement et spirituellement ! Dans les deux sens, donc…

Vous allez pouvoir constater que le CONTRÔLE de l’individu via ces implants démoniaques est total : comportemental, physique, biologique. Et ce qui est décrit ici a été développé et testé sur des humains il y a presque 40 ANS !

Vous allez voir également que Delgado, dans son livre abominable, NIE ou MINIMISE les dangers de cette puce cérébrale implantable qu’il a testée sur les humains , et considère que les « avantages » à en tirer (notamment au point de vue de la santé… on retrouve donc exactement le même prétexte pseudo-médical que celui mis en avant par VeriChip) sont plus importants que les dangers potentiels de manipulation des esprits, de suppression des libertés et de dictature orwellienne qu’elle représente ! Immonde !!!

Un petit détail encore : si vous souhaitez voir les tristes et répugnantes images liées à cette traduction, rendez-vous donc sur le lien original, en anglais…

Bonne lecture, ET BONNE INSURRECTION, SURTOUT ! Vic.


PARTIE III CONTRÔLE EXPÉRIMENTAL DES FONCTIONS CÉRÉBRALES SUR DES SUJETS DE BONNE CONDUITECHAPITRE DIX : CONTRÔLE EXPÉRIMENTAL DES FONCTIONS CÉRÉBRALES SUR DES SUJETS DE BONNE CONDUITE

Dans notre environnement technologique actuel, nous sommes habitués à l’idée que les machines puissent être contrôlées à distance par le biais de signaux radio.

Les portes de garage peuvent être ouvertes ou fermées en poussant un bouton dans la voiture ; les chaînes et le volume d’un téléviseur peuvent être ajustés en appuyant sur les boutons correspondants d’une petite télécommande sans bouger d’un bon fauteuil confortable ; et même les satellites en orbite peuvent être dirigés à partir de stations de pistage sur Terre. Ces réalisations devraient nous familiariser avec l’idée que l’on peut également contrôler à distance les fonctions biologiques des organismes vivants. Les chats, les singes ou les êtres humains peuvent être amenés à fléchir un membre, à rejeter de la nourriture ou à ressentir une excitation émotionnelle sous l’influence d’impulsions électriques qui atteignent les profondeurs de leur cerveau via des ondes radio intentionnellement envoyées par un investigateur.

Cette réalité a introduit une série de questions philosophiques et scientifiques, et a permis de mieux comprendre l’importance, les possibilités et les limites du contrôle du cerveau ; il convient de passer brièvement en revue la base de l’activité comportementale normale et la méthodologie pour sa potentielle modification artificielle, et ensuite d’examiner quelques exemples représentatifs du contrôle électrique du comportement, à la fois chez les animaux et chez l’homme.

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Nos connaissances actuelles des bases physicochimiques de l’activité biologique, qui possèdent une vaste bibliographie (23, 182, 203), permet d’énoncer les principes suivants :

(1) Toutes les manifestations comportementales, y compris leurs aspects mentaux, nécessitent l’existence d’ondes de négativité accompagnées par des changements électriques et chimiques au niveau cellulaire.

(2) Une dépolarisation membranaire, artificiellement induite par des moyens chimiques ou électriques, peut être suivie par des manifestations comportementales observables.

(3) Bien que la complexité de ces réponses soit extraordinaire et que bon nombre de leurs aspects soient inconnus, les explications sur l’activité motrice du comportement et sur l’activité psychique ne nécessitent pas « d’esprits vitaux » ni aucun autre principe métaphysique parce qu’elles sont liées à des lois physiques et chimiques qui peuvent être étudiées expérimentalement.

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Dans les investigations sur le cerveau ainsi que sur les muscles, l’activation électrique est préférable, car elle n’est pas nocive pour les cellules et permet l’étude répétée des mêmes processus biologiques. En appliquant de l’électricité, nous pouvons activer les mécanismes fonctionnels préétablis d’une structure et découvrir son éventuel rôle dans le comportement spontané. Par le biais de l’ESB (Electric Stimulation of the Brain, ou stimulation électrique du cerveau), il est possible de contrôler une variété de fonctions, un mouvement, les sécrétions d’une glande ou une manifestation mentale spécifique, en fonction de la cible. La méthodologie nécessaire et des exemples de résultats sélectionnés seront examinés dans les chapitres suivants.

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(…)

Communication radio bidirectionnelle avec le cerveau

La technologie électronique a atteint un haut degré de sophistication, et la communication radio bidirectionnelle avec les automobiles, les avions, et les véhicules spatiaux est courante, aujourd’hui. Le décalage notable dans le développement d’une instrumentation similaire pour la communication avec les profondeurs du cerveau reflète l’évolution déséquilibrée déjà évoquée de notre civilisation technologique, qui semble plus intéressée par l’accumulation de pouvoir que par le fait de comprendre et d’influencer les mécanismes fondamentaux de l’esprit humain.

Cette lacune est à présent comblée, et les figures 4 et 5 montrent qu’il est déjà possible d’équiper des animaux ou des êtres humains avec de minuscules instruments appelés « stimoceivers » pour la transmission radio et pour la réception de messages électriques vers et à partir du cerveau auprès de sujets complètement débridés. La microminiaturisation des composants électroniques de cet instrument permet le contrôle de tous les paramètres

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d’excitation pour la radio-stimulation de trois points différents à l’intérieur du cerveau et aussi l’enregistrement télémétrique de trois canaux de l’activité électrique intracérébrale. Chez les animaux, le stimoceiver peut être ancré au crâne, et les différents membres d’une colonie peuvent être étudiés sans perturber leurs relations spontanées au sein d’un groupe. Un comportement tel que l’agression peut être provoqué ou inhibé. Chez les patients, le stimoceiver peut être arrimé à des bandages placés autour de la tête, permettant la stimulation électrique et la surveillance de l’activité intracérébrale sans perturber les activités spontanées.

Les stimoceivers offrent de grandes promesses pour l’investigation, le diagnostic et la thérapie des troubles cérébraux chez les humains. L’information préliminaire concernant leur utilisation chez des patients souffrant de crises d’épilepsie au lobe temporal (voir figure 4) a démontré les avantages suivants par rapport aux autres méthodes d’exploration intracérébrale (60) :

(1) Le patient est instrumenté simplement, en branchant le stimoceiver dans la prise qui est vissée dans sa tête

(2) Il n’y a pas de perturbation de la spontanéité de l’individu ou du comportement social du patient.

(3) Le sujet est sous surveillance médicale continue, et les stimulations et leurs enregistrements peuvent être effectués de jour comme de nuit.

(4) Les études sont menées au cours des interactions sociales spontanées en milieu hospitalier, sans introduire des facteurs d’anxiété ou de stress.

(5) Chez les patients gravement perturbés, le cerveau peut être exploré sans le confinement d’une chambre d’enregistrement.

(6) Puisque le raccordement à des fils n’est pas nécessaire, il n’y a pas de risque que les électrodes soient délogées durant un comportement anormal.

(7) La stimulation thérapeutique programmée du cerveau peut être prolongée pendant le temps qui est nécessaire.

Il est raisonnable de supposer que dans un proche avenir, le stimoceiver pourra fournir le lien essentiel depuis l’homme vers l’ordinateur, puis à nouveau vers l’homme, avec un feedback réciproque entre les neurones et les instruments, feedback qui représente une nouvelle orientation pour le contrôle médical des fonctions neurophysiologiques. Par exemple, il est concevable que l’activité électrique anormale et localisée qui annonce l’imminence d’une crise d’épilepsie puisse être captée par l’extrémité des électrodes implantées, télémétrée vers une salle des instruments distante,

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enregistrée sur cassette et analysée par un ordinateur capable de reconnaître les schémas électriques anormaux. L’identification de la perturbation électrique spécifique pourrait déclencher l’émission de signaux radio afin d’activer le stimoceiver du patient et appliquer une stimulation électrique dans une zone inhibitrice déterminée du cerveau, bloquant ainsi le début de l’épisode convulsif.

Cette spéculation est supportée par les expériences suivantes achevées en juin 1969, en collaboration avec les Drs. Johnston, Wallace, et Bradley. Le chimpanzé Paddy (Figure 3), tandis qu’elle libre dans sa cage, fut équipée d’un stimoceiver afin de télémétrer l’activité cérébrale des noyaux amygdaloïdes droit et gauche vers une pièce voisine, où ces ondes furent reçues, enregistrées sur cassette, et analysées automatiquement par un ordinateur analogique en ligne. Cet instrument était chargé de reconnaître un schéma d’ondes spécifique, une rafale de petits faisceaux, qui est normalement présent dans les deux noyaux amygdaloïdes pendant une seconde, plusieurs fois par minute. L’ordinateur était également chargé d’activer un stimulateur, et à chaque fois que les faisceaux apparaissaient, des signaux radio étaient renvoyés vers le cerveau de Paddy afin de stimuler un point dans sa formation réticulée, connue pour avoir des propriétés de renforcement négatif. De cette façon, la stimulation électrique d’une structure cérébrale était subordonnée à la production d’un schéma spécifique d’électroencéphalogramme par une autre région du cerveau, et l’ensemble du processus d’identification de l’information et du contrôle de l’action était décidé par l’ordinateur en ligne.

Les résultats ont montré qu’environ deux heures après que le feedback cerveau-vers-ordinateur-vers-cerveau ait été établi, l’activité des faisceaux du noyau amygdaloïde était réduite à 50% ; et six jours plus tard, avec des périodes quotidiennes de 2 heures de feedback, les faisceaux étaient drastiquement réduits à seulement 1% de l’occurence normale, et le chimpanzé était plus calme, moins attentif et moins motivé pendant les essais comportementaux, bien que capable d’accomplir des tâches olfactives et visuelles sans commettre d’erreur.

L’ordinateur était ensuite déconnecté, et deux semaines plus tard, l’électroencéphalogramme et le comportement de Paddy revenaient à la normale. L’expérience a été répétée plusieurs fois avec des résultats similaires, soutenant

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les conclusions qu’une communication directe peut être établie entre le cerveau et l’ordinateur, contournant les organes sensoriels normaux, et aussi que l’apprentissage automatique est possible en envoyant des signaux directement dans les structures neuronales spécifiques sans participation consciente.

L’un des facteurs limitants dans ces études était l’existence de fils allant du cerveau au stimoceiver en dehors du cuir chevelu. Les fils représentaient une porte d’entrée potentielle pour les infections et pouvaient constituer un frein aux soins de la chevelure en dépit de leur petite taille. Il serait évidemment beaucoup plus souhaitable d’employer des instruments minuscules qui pourraient être implantés complètement sous la peau. A cet effet, nous avons mis au point dans notre laboratoire un petit stimulateur à trois canaux qui peut être implanté en sous-cutané et qui a pour but final d’être implanté dans le cerveau (Figure 6).

L’instrument est à l’état solide, ne possède pas de piles, et peut fonctionner indéfiniment. L’énergie électrique nécessaire, le contrôle à distance des paramètres de la stimulation, et le choix des canaux sont fournis par couplage transdermique, à l’aide d’une petite bobine qui est activée par la modulation de la fréquence de signaux radio. En février 1969, une expérience a commencé avec le singe Nona et le chimpanzé Suzi qui étaient équipés de stimulateurs sous-cutanés afin d’activer leur cerveau de temps en temps pour le reste de leur vie. Les contacts du terminal étaient situés dans les voies motrices, de façon à provoquer la flexion de la jambe controlatérale, un effet assez simple que pour pouvoir être observé et quantifié sans difficulté. L’étude de Nona et Suzi et les investigations enquêtes préliminaires effectuées auprès d’autres animaux ont démontré que l’instrumentation sous-cutanée est efficace, fiable et bien tolérée. Les réponses comportementales étaient cohérentes, et l’excitabilité motrice locale n’était pas modifiée par la répétition de l’expérimentation. Donc, les problèmes techniques concernant la stimulation des zones du cerveau aussi longtemps que nécessaire en l’absence de fils conducteurs traversant la peau ont été résolus, les possibilités scientifiques et thérapeutiques ont été multipliées et le confort des sujets a été considérablement accru.

La prochaine étape technique consistera à combiner la stimulation transdermique du cerveau avec la télémétrie transdermique de l’électroencéphalogramme.

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Figure 6

Les deux côtés d’un stimulateur transdermique à trois canaux. Cet instrument n’a pas de piles, est activé par ondes radio, et peut être utilisé à vie, de sorte que le cerveau peut être stimulé indéfiniment. Le Chimpanzé Suzi (à droite) dispose de deux unités (six canaux) implantées sous la peau de son dos.

Dans ce cas, le stimoceiver ne sera pas situé à l’extérieur de la peau, comme c’était le cas pour Paddy (Figure 3), et il ne sera pas limité à la seule stimulation transdermique (Figure 6) comme c’était le cas pour Nona et Suzi : l’instrument tout entier sera totalement sous-cutané. Cette technologie utilisée pour la communication non sensorielle entre le cerveau et les ordinateurs via la peau intacte est déjà à portée de la main, et ses conséquences sont difficiles à prédire. Dans le passé, les progrès de la civilisation ont considérablement amplifié la puissance de nos sens, de nos muscles et de nos compétences. A présent, nous ajoutons une nouvelle dimension : l’interface directe entre le cerveau et les machines. Bien que vraie, cette déclaration est peut-être un peu trop spectaculaire, et elle exige des éclaircissements prudents.

Nos connaissances actuelles concernant le codage de l’information, les mécanismes de la perception, et les bases neuronales du comportement sont tellement élémentaires qu’il est hautement improbable que les mises en corrélation électriques des pensées ou des émotions puissent être recueillies, transmises et

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appliquées par électricité à la structure appropriée d’un autre individu afin d’être reconnues et de déclencher des pensées ou émotions apparentées. Il est cependant déjà possible d’induire une grande variété de réponses, depuis des effets moteurs jusqu’à des réactions émotionnelles et des manifestations intellectuelles, par stimulation électrique directe du cerveau. De plus, plusieurs enquêteurs ont appris à identifier des schémas d’activité électrique (qu’un ordinateur pourrait également reconnaître) localisés dans des zones spécifiques du cerveau et liés à des phénomènes déterminés tels que la perception des odeurs ou la perception visuelle des bords des objets et des mouvements. Nous avançons rapidement dans la reconnaissance des formes des mises en corrélation électriques du comportement et dans la méthodologie pour la communication radio bidirectionnelle entre le cerveau et les ordinateurs.

On a exprimé la crainte que ces nouvelles technologies portent avec elles la menace d’éventuels contrôles à distance des activités cérébrales de l’homme par d’autres hommes, des contrôles non désirés et non éthiques, mais comme on le verra plus tard, ce risque est tout à fait improbable et est contrebalancé par les avantages cliniques et scientifiques qui en sont attendus. Les connaissances en électronique et la microminiaturisation ont tellement progressé que les limites semblent plutôt biologiques que technologiques. Notre plus grand besoin consiste à obtenir plus d’informations sur l’expérimentation des mécanismes neuronaux liés au comportement et aux processus mentaux, et la recherche auprès de sujets non réprimés promet d’aboutir à une nouvelle compréhension des esprits normaux et à des thérapies plus efficaces pour les cerveaux dérangés.

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CHAPITRE DOUZE :

STIMULATION ELECTRIQUE DU CERVEAU (ESB)

La commande générale de contrôle de l’ensemble de l’organisme réside dans le cerveau, et la nouvelle méthodologie des électrodes implantées a fourni un accès direct aux centres qui régissent la plupart des activités du corps. Le cerveau constitue également le substrat matériel des fonctions mentales, et en explorant ses neurones en plein travail, nous avons la possibilité d’étudier de façon expérimentale certains des problèmes classiques de mise en corrélation de l’esprit et du cerveau. En plus de nouvelles réponses, l’implantation d’électrodes a introduit de nouveaux problèmes : est-il faisable de provoquer des performances de type robotique chez les animaux et les humains en poussant les boutons d’un radio stimulateur cérébral ? Les pulsions, les désirs et les pensées pourraient-ils être placés sous le contrôle artificiel de l’électronique ? La personnalité peut-elle être influencée par stimulation électrique du cerveau ? L’esprit peut-il être contrôlé physiquement ?

Dans la littérature scientifique, il existe déjà une importante quantité de renseignements démontrant les remarquables effets induits par la stimulation électrique du cerveau. Le cour, par exemple, peut être arrêté quelque temps, être ralenti ou accéléré par une stimulation appropriée de structures corticales et sous-corticales déterminées, illustrant la réalité physiologique que c’est le cerveau qui contrôle le cour, et non l’inverse. La fréquence et l’amplitude respiratoires ont été contrôlées par stimulation électrique du cerveau ; les sécrétions gastriques et la motilité ont également été modifiées par stimulation cérébrale ;le diamètre de la pupille peut être réglé à volonté (Figure 7), depuis sa constriction maximale jusqu’à sa dilatation maximale, comme s’il s’agissait d’un appareil photographique ; il suffit de changer l’intensité du bouton de d’un stimulateur électrique connecté à la zone hypothalamique du cerveau (61).

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Figure Sept

Le diamètre de la pupille peut être commandé électriquement comme s’il s’agissait du diaphragme d’un appareil photographique. Ci-dessus, des yeux normaux, et en dessous, une constriction de la pupille droite provoquée par la stimulation de l’hypothalamus. Certains effets de la stimulation électrique du cerveau tels que celui-ci sont infatigables et peuvent être maintenus pendant plusieurs jours, aussi longtemps que la stimulation est appliquée (61).

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La plupart des fonctions viscérales ont été influencées par stimulation électrique du cerveau, de même que les perceptions sensorielles, les activités motrices, et les fonctions mentales. Plutôt que d’étudier chaque type de découverte en détail, nous avons choisi quelques exemples pour illustrer les principaux aspects du contrôle électrique du cerveau et de ses conséquences sur le comportement.


Chers amis,

Nous allons voir aujourd’hui comment le NAZI Delgado présente son horrible invention et comment il tente, de façon sournoise et perfide, nous persuader du « bienfondé » et de la « nécessité » de ces puces cérébrales…

Vous allez voir qu’en réalité, il s’autopersuade lui-même (c’en est presque de l’auto-hypnose), sans doute afin de NIER ce que sa conscience lui criait : qu’implanter des puces dans le cerveau d’animaux et d’êtres humains est une abomination !

Delgado essaie même de nous faire croire que ces puces cérébrales ne sont pas si dangereuses et qu’elles ne sont pas désagréables à porter, et qu’il est tout à fait « éthique » de planter des puces dans le cerveau des gens !!! Quel CULOT, quel MENSONGE et quelle MANIPULATION !!! Toute personne qui sait ce qu’est une trépanation réalise pleinement les DOULEURS HORRIBLES qu’ont dû endurer les personnes pucées. Sans même parler de ce que la « stimulation électrique » du cerveau peut provoquer…

Vous allez voir les prétextes pseudo-médicaux invoqués afin de « justifier » ces implants diaboliques.

Tout cela peut sembler, AU PREMIER ABORD Exclamation , « positif »…

Dans les jours qui suivent, je vous posterai la traduction concernant le CONTRÔLE PHYSIQUE DE L’INDIVIDU que ces puces infernales permettent, puis le TRÈS DANGEREUX CONTRÔLE DE L’ESPRIT, DU COMPORTEMENT, DE ÉMOTIONS ET DES SENSATIONS qu’elles permettent.

Vous constaterez alors que les buts véritables de Delgado étaient bien différents de prétendus buts « thérapeutiques »…

La traduction en français, pour vous, ci-dessous…

BONNE INSURRECTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


DES ELECTRODES DANS LE CERVEAU HUMAINNos connaissances actuelles sur le système nerveux central se fondent principalement sur des enquêtes menées sur les animaux. L’expérience a montré que l’on peut répondre à de nombreuses questions sur l’implantation dans le corps humain, telle que celle de la tolérance biologique des électrodes par les tissus neuraux, et que l’on peut répondre à ces questions en recourant à des chats ou à des espèces inférieures. Certains des événements électrochimiques de la conduction neurale peuvent être analysés de façon tout aussi adéquate chez calamars que chez les mammifères, et pour certaines études de la mémoire, le poulpe s’est avéré un excellent sujet. Le rat a été – et reste – l’animal préféré des psychologues expérimentaux, car il s’agit d’un mammifère petit et peu coûteux qui peut être utilisé en grandes quantités afin de fournir des résultats comportementaux convenables pour une évaluation statistique. Le répertoire comportemental limité de ces animaux, cependant, ne peut être comparé aux activités complexes des singes et des primates. Ces espèces, les plus proches parents de l’homme, sont des sujets qui sont plus appropriés pour l’étude neurophysiologique du comportement intelligent, et lorsque nous voulons enquêter sur les plus hautes fonctions psychologiques du cerveau, fonctions qui impliquent la communication verbale, il n’y a pas de substitut possible à l’homme lui-même.

Le cerveau humain, comme toute autre partie du corps, risque de souffrir d’accidents traumatiques, de tumeurs ou de maladies, et il a souvent été nécessaire d’explorer les zones affectées afin d’identifier les structures, d’évaluer l’anomalie des tissus, de tester l’excitabilité et

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d’apprendre où sont localisées les fonctions importantes qui ne devraient pas être perturbées au cours des procédures chirurgicales. La participation consciente du patient fut nécessaire dans certaines de ces explorations afin, par exemple, de déterminer si l’aura des attaques épileptiques pouvait être déclenchée par la stimulation électrique d’un point spécifique du cortex, fournissant ainsi des informations sur la source possible de décharges épileptiques, source qui pourrait être supprimée via chirurgie. Pour ce genre d’enquête, le cerveau était placé sous anesthésie locale, ce qui représente une occasion exceptionnelle d’étudier les réponses comportementales et psychologiques provoquées par stimulation électrique du cerveau auprès de sujets pleinement éveillés. Les plus importants travaux dans ce domaine ont été effectués par Penfield et ses associés, à Montréal (174), et un nombre considérable d’études similaires ont été réalisées par d’autres neurochirurgiens aussi (2, 8, 97, 124, 163, 215).

L’exploration d’un cerveau ainsi exposé possède, toutefois, certaines limites évidentes. Elle doit être brève afin d’éviter la prolongation de la chirurgie ; les électrodes sont généralement maintenues en place manuellement, causant des différences au niveau de la pression mécanique qui est appliquée ; le cerveau ainsi exposé est sujet à de potentiels traumatismes thermiques, mécaniques et chimiques ; les aires corticales sont identifiées seulement par inspection visuelle ; et le stress physique et psychologique du patient qui subit l’opération crée des facteurs difficiles à contrôler. La plupart de ces handicaps peuvent être évités avec l’utilisation d’électrodes implantées, et compte tenu de l’expérience provenant de l’expérimentation animale, il était naturel que des enquêteurs consciencieux envisagent l’application de cette méthodologie pour des patients et dans des buts thérapeutiques et de diagnostic (19, 59, 9Cool.

Les neurochirurgiens avaient déjà prouvé que le système nerveux central n’est pas aussi délicat que la plupart des gens le croient, et au cours d’opérations chirurgicales thérapeutiques, des parties de tissu cérébral ont été coupées, congelées, cautérisées ou enlevées avec des effets négatifs négligeables pour les patients. L’introduction exploratoire d’aiguilles dans les ventricules cérébraux est une procédure clinique bien connue et relativement sûre, et puisque les électrodes sont plus petites que le diamètre de ces aiguilles, leur introduction dans le cerveau devrait être encore moins traumatisante. L’expérience a confirmé la sûreté et l’utilité de l’implantation à long terme d’électrodes chez l’homme, et la procédure a été utilisée dans des centres médicaux spécialisés tout autour du

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monde pour aider des milliers de patients souffrant d’épilepsie, de mouvements involontaires, de douleurs intraitables, d’anxiété névrotique et d’autres troubles cérébraux. En général, plusieurs assemblages de fines électrodes comptant un total de vingt à quarante contacts sont placés à la surface et/ou dans les profondeurs du cerveau, avec les connecteurs terminaux qui ressortent à travers le cuir chevelu et qui sont protégés par un petit bandage placé autour de la tête (voir la figure 4). Dans certains cas, les électrodes sont restées (implantées) pendant près de deux ans, avec une excellente tolérance.

Laisser des fils à l’intérieur d’un cerveau qui pense peut paraître désagréable ou dangereux, mais en réalité, les nombreux patients qui ont subi cette expérience n’ont pas été préoccupés par le fait d’être câblé, ni n’ont ressenti de l’inconfort dû à la présence de conducteurs dans leur tête. Certaines femmes ont prouvé leur capacité d’adaptation féminine face à ces circonstances en portant des chapeaux ou des perruques attrayants afin de dissimuler leur équipement crânien électrique, et de nombreuses personnes ont pu jouir d’une vie normale en tant que patients externes, retournant périodiquement à la clinique pour être examinées et stimulées. Dans un petit nombre de cas dans lesquels les contacts (des électrodes) sont situés dans des zones agréables, les patients ont eu l’occasion de stimuler leurs propres cerveaux en appuyant sur le bouton d’un instrument portatif, et l’on a rapporté que cette procédure a des bienfaits thérapeutiques.

Les électrodes implantées chroniquement permettent à de minutieuses explorations de diagnostic d’être effectuées sans limite de temps, et des excitations électriques répétées ou des coagulations bien contrôlées peuvent être mesurées selon les réactions du patient. En prime, des informations importantes sur les corrélations psychophysiologiques, fournissant des connaissances directes sur les bases cérébrales du comportement humain, sont en cours d’acquisition. Dans nos études (60, 109, 150), une situation d’interview a été choisie comme la méthode la plus susceptible d’offrir une alimentation continue en données verbales et comportementales. Alors que l’activité électrique de huit paires de points cérébraux était en train d’être enregistrée, nous avons mis sur cassette environ une heure de conversation entre le thérapeute et le patient. Des notes sur le comportement observable ont également été prises. Durant l’interview, les stimulations électriques du cerveau étaient appliquées pendant 5 secondes, avec des intervalles de trois minutes ou plus, et chaque point important fut étudié à plusieurs reprises.

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Figure 4 Deux jeunes filles qui souffrent de crises d’épilepsie et de perturbations comportementales nécessitant l’implantation d’électrodes dans le cerveau à des fins thérapeutiques et de diagnostic. Sous leur couvre-chef, chaque patiente porte un « stimoceiver », utilisé afin de stimuler le cerveau par radiofréquence et afin d’envoyer les signaux électriques de l’activité cérébrale par télémétrie alors que les patientes sont complètement libres au sein de l’hôpital (60). Un exemple d’enregistrements électriques est illustré à la figure 17.


Chers amis,

Voici un article qui va vous prouver que, DES LES ANNÉES 1960, le CONTRÔLE PHYSIQUE DES INDIVIDUS VIA DES PUCES CÉRÉBRALES FONCTIONNANT PAR RADIOFRÉQUENCE ÉTAIT DÉJÀ ACQUIS !

NOUS ALLONS VOIR ÉGALEMENT QUE LA VOLONTÉ DE L’INDIVIDU EST IMPUISSANTE FACE A CETTE INVASION IGNOBLE DE SON ESPRIT !!!

Bien entendu, à l’heure actuelle, on arrive à enregistrer sur ordinateur chaque schéma électromagnétique des mouvements bien coordonnés, des sensations, des émotions, voire des pensées… et à les transférer de manière précise au cerveau. Voir à ce sujet l’article que je vous avais traduit et posté sur ce forum et concernant la puce cérébrale M.M.E.A. (multiple micro electrode array, disponible également en anglais ici : http://www.angelfire.com/d20/philad… ).

Je vous poste aujourd’hui un autre extrait du livre de l’infect José Delgado (un hybride entre Viktor Frankenstein et du Dr. Mengele) afin de vous prouver sans le moindre doute que ces puces sont un DANGER ÉNORME pour toutes nos libertés !

Je terminerai de poster les extraits de ce livre dans les quelques jours qui viennent, avec la preuve du CONTRÔLE DE L’ESPRIT (émotions, sensations) VIA CES PUCES IMPLANTABLES DANS LE CERVEAU ! Ensuite, nous retournerons à l’actualité des puces implantables…

La traduction en français, pour vous, ci-dessous…

BONNE INSURRECTION… OU BON ESCLAVAGE ! Vic.


CHAPITRE 13 : RÉPONSES MOTRICESLe comportement est le résultat d’activités motrices, qui vont de la simple contraction musculaire jusqu’à la création d’une ouvre d’art. Si nous considérons les compétences qui sont impliquées dans la construction d’un nid, dans les stratégies d’animaux qui se battent ou dans la précision requise pour jouer du piano, il est évident que ces activités ne sont pas uniquement le résultat des processus physiques et chimiques de la contraction musculaire, mais dépendent d’une direction consciente – la complexité raffinée de leur commande cérébrale.

Très peu de choses sont connues sur les aspects automatiques des actes volontaires, sur la façon dont le but est lié à la performance, ou sur le fait de savoir comment les contractions (musculaires) sont organisées dans le temps et l’espace. La méthodologie actuelle, cependant, a placé certaines de ces questions à la portée de l’expérimentation. Le fait que la stimulation électrique du cerveau puisse induire des mouvements simples a été découvert au XIXe siècle, et, aujourd’hui, nous savons que l’organisation de la motilité cérébrale est localisée principalement dans le cortex du lobe pariétal. La stimulation de ce secteur provoque des mouvements du côté opposé du corps, tandis que sa destruction entraîne la paralysie. Ces découvertes ont été exprimées via des diagrammes attractifs montrant les zones motrices du cerveau sous la forme d’un « homoncule » couché la tête en bas dans le cortex pariétal, avec un grand visage et un gros pouce, en guise de caricature d’un petit homme en charge de la motilité. Cette image a été en partie responsable du fait que l’on considère le cortex comme étant l’organisateur suprême et intelligent du comportement.

Toutefois, d’autres études ont démontré que les réponses motrices obtenues à partir de ce cortex sont plutôt rudimentaires et que d’autres zones

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dans les profondeurs du cerveau possèdent un rôle déterminant dans l’organisation de la motilité qualifiée. Les concepts modernes suggèrent que le cortex ne devrait pas être considéré comme la plus haute structure hiérarchique du système moteur ou même comme le point de départ des impulsions motrices, mais plutôt comme une station routière, comme un autre maillon dans les boucles des corrélations sensori-motrices. La multiplicité et la complexité de la représentation motrice est logique lorsqu’on considère l’extraordinaire variété des formes de comportement qui constituent le seul moyen de communication entre l’individu et son environnement. Cette relation requiert une performance motrice avec une coordination temporelle et spatiale précise parmi de nombreuses unités fonctionnelles et le traitement d’une grande quantité d’informations pour l’adaptation et l’orientation des mouvements, et pour l’adaptation instantanée aux changements de circonstances. En raison de la complexité de ces mécanismes, on a supposé que la stimulation électrique artificielle ne pourrait jamais provoquer une performance motrice raffinée et dans un but déterminé. Le fait étonnant est que, en fonction de son emplacement, la stimulation électrique du cerveau est capable de provoquer non seulement des réponses simples, mais aussi un comportement complexe et bien organisé qui peut être très difficile à distinguer de l’activité spontanée.

(…)

Effets moteurs chez l’homme

L’effet le plus courant obtenu par stimulation électrique du cerveau humain est une simple réaction motrice, telle que la contraction d’un membre. Cet effet est souvent accompagné de l’absence d’un contrôle volontaire des muscles impliqués, et parfois il est limité à une paralysie sans autres symptômes observables. En général, les contractions provoquées sont simples au niveau des performances, de caractère artificiel, sans but, et sans l’élégance de la motilité spontanée. Par exemple, chez l’un de nos patients, la stimulation du cortex pariétal gauche grâce à des électrodes implantées a provoqué une flexion de la main droite en commençant par la contraction des deux premiers doigts et de la poursuite de la flexion des autres doigts. Le poing fermé fut ensuite maintenu pendant le reste de cette stimulation de 5 secondes. Cet effet n’est pas désagréable ni inquiétant, et il s’est développée sans interrompe le comportement ou la conversation spontanée en cours. Le patient était conscient du fait que sa main avait bougé de façon involontaire, mais il n’avait pas peur et c’est seulement sous notre questionnement qu’il a expliqué qu’il sentait que son bras était « faible et étourdi ». Lorsque le patient fut averti de l’arrivée de la stimulation et qu’on lui demanda d’essayer de garder ses doigts étendus, il ne put pas empêcher le mouvement provoqué et dit : « J’ai l’impression, docteur, que votre électricité est plus forte que ma volonté. »

Si cette stimulation était appliquée pendant que le sujet était en train d’utiliser volontairement sa main, par exemple pour tourner les pages d’un magazine, cette action n’était pas bloquée, mais la flexion provoquée de la main déformait la performance provenant de la volonté de la personne et entraînait le froissement ou le déchirement des pages. Dans notre expérience, et dans les rapports effectués par d’autres enquêteurs, la stimulation électrique du cortex moteur n’a pas provoqué des mouvements précis ou habiles, et dans tous les cas, les réponses provoquées ont été maladroites et anormales.

L’excitation d’une zone motrice supplémentaire, située à proximité du cortex moteur principal, peut produire trois types d’effets (174) :

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(1) Il peut y avoir des changements de posture, dans lesquels le mouvement commence lentement et atteint un point final déterminé avec, plus ou moins, l’implication générale de l’organisme.

(2) Les mouvements peuvent avoir un caractère phasique tel que le fait de donner des coups avec la main, faire un pas avec le pied ou fléchir et étendre les doigts ou le poignet.

(3) La réponse peut se composer de mouvements non coordonnés. La possibilité d’activer des membres paralysés par le biais de la stimulation électrique du cerveau possède un intérêt particulier. Par exemple, un patient souffrait d’une soudaine paralysie du bras et de la jambe gauche, paralysie probablement causée par une embolie, et au bout de quatre ans, il avait commencé à ressentir une douleur brûlante dans le côté gauche de son corps, douleur qui était exacerbée lorsqu’on touchait son thorax ou son bras gauche. Après l’échec des autres traitements, deux interventions chirurgicales furent effectuées afin de procéder à l’ablation des parties du cortex sensorimoteur, et on observa que la stimulation électrique effectuée dans la zone motrice supplémentaire produisait la vocalisation, la levée du bras paralysé, et d’autres réponses motrices. Ces effets étaient similaires à ceux provoqués chez d’autres patients non paralysés. Donc, il est clair que la zone supplémentaire du cortex indépendant possède des voies d’accès indépendantes des voies d’accès classiques et que les mouvements provoqués peuvent être indépendants de l’intégrité de la représentation motrice principale dans le cortex.

La stimulation électrique du cerveau produit apparemment des résultats similaires, qu’elle soit appliquée à la zone motrice d’un enfant ou d’un adulte, d’un travailleur manuel ou d’un artiste accompli. Les compétences et mouvements raffinés ne sont pas créés afin d’être représentés dans le cortex, ou du moins ils n’ont pas été suscités par cette stimulation électrique. Le cortex moteur est probablement un grand clavier situé sur le côté afférent, qui traite la sortie de l’activité, qui est en mesure de jouer les cordes de la contraction musculaire et de produire des mouvements, mais qui exige la direction d’autres structures cérébrales, qui sont encore peu connues à ce jour.

En contraste avec ces effets, la stimulation électrique du cerveau peut provoquer des réponses plus élaborées. Par exemple, chez l’un de nos patients, la stimulation électrique de la partie rostrale de la capsule interne produisit un tour de tête et un lent déplacement du corps de chaque côté et avec une séquence bien orientée et apparemment normale, comme si le patient

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était à la recherche de quelque chose. Cette stimulation fut répétée six fois sur deux jours, avec des résultats comparables. Le fait intéressant est que le patient considérait l’activité provoquée comme spontanée et offrait toujours une explication raisonnable pour celle-ci. Lorsqu’on lui demanda « Que faites-vous ? », les réponses furent : « je cherche mes pantoufles », « j’ai entendu un bruit », « je suis inquiet », et « je cherchais sous le lit ». Dans ce cas, il était difficile de déterminer si la stimulation avait provoqué un mouvement que le patient tentait de justifier, ou si une hallucination avait été suscitée ce qui, par la suite, amenait le patient à se déplacer et à explorer les environs.

Il y a très peu de rapports cliniques de mouvements complexes provoqués par stimulation électrique du cerveau et qui sont comparables aux réponses séquentielles observées chez les singes, ce qui pourrait indiquer que l’organisation cérébrale est moins stéréotypée chez l’homme que chez les animaux. La stimulation du lobe temporal chez l’homme a provoqué des automatismes incluant le tâtonnement maladroit avec des draps chirurgicaux ou avec les propres mains du patient, et des mouvements bien organisés visant à dégager la table d’opération.

Généralement, les patients n’ont pas de souvenir de ces automatismes provoqués. Des vocalisations et un discours plus ou moins intelligible peuvent également être inclus parmi ces réponses motrices complexes, bien qu’ils représentent l’activation des mécanismes moteurs et liés aux idées. Des vocalisations ont été obtenues par stimulation de la zone motrice dans le gyros précentral et aussi par stimulation de l’aire motrice supplémentaire dans les deux hémisphères. La réponse se compose habituellement d’un cri soutenu ou interrompu avec le son d’une voyelle qui a parfois une consonne comme composante (174).

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Chers amis,

Voici aujourd’hui pour vous, en français, l’EXTRAIT (tiré du livre de José Delgado « Physical control of the mind : toward a psychocivilized society« ) qui vous prouve SANS LAISSER PLANER LE MOINDRE DOUTE que la MANIPULATION DU COMPORTEMENT via des puces cérébrales actionnées par radiofréquence est une REALITE !!!

Ceci date d’il y a presque 40 ans… A L’HEURE ACTUELLE, TOUT CECI A ÉTÉ RAFFINE, DÉVELOPPÉ, ANALYSE, AMÉLIORÉ afin de pouvoir, via les puces cérébrales CONTRÔLER L’ESPRIT HUMAIN.

CECI A DÉJÀ ÉTÉ TESTE SUR DES HUMAINS !!!

L’EXTRAIT CI-DESSOUS, AINSI QUE LES AUTRES EXTRAITS QUE JE VOUS AI POSTES DE CE LIVRE ABOMINABLE, LE PROUVENT : LE MENTAL ET LE COMPORTEMENT DE L’ÊTRE HUMAIN PEUVENT COURT-CIRCUITER SA VOLONTÉ, SON LIBRE-ARBITRE, SA FAÇON D’AGIR ET DE PENSER !!! ON A DÉJÀ OSE MENER DES EXPÉRIENCES A CE SUJET IL Y A BIEN LONGTEMPS… ET AUJOURD’HUI, DES COMPAGNIES ET DES CENTRES « MÉDICAUX » SPÉCIALISÉS PROMEUVENT CETTE MÉTHODE DE NAZIS !!!

LES PUCES CÉRÉBRALES PEUVENT DONC CONTRÔLER UN INDIVIDU PHYSIQUEMENT (cf. l’article ci-avant) AINSI QUE SON MENTAL ET SON COMPORTEMENT (voir ci-dessous)… ON PEUT MEME LES UTILISER COMME ARMES (retarder les battements du coeur – cf. articles précédents – mais aussi provoquer de la douleur chez les individus – voir l’extrait ci-dessous) !!!

LES PUCES IMPLANTABLES (sous-cutanées, neurales, cérébrales) SONT UN DANGER ABOMINABLE. NOUS EN AVONS TOUTES LES PREUVES !

Nous nous devons d’ARRÊTER CES DISPOSITIFS DIABOLIQUES, ET RENDRE ILLÉGALES ET INTERDITES LES PUCES IMPLANTABLES POUR HUMAINS (et pour animaux aussi, d’ailleurs) !!!

BONNE REVOLUTION… OU BON ESCLAVAGE !!! Vic.


CHAPITRE QUATORZE : L’ENFER ET LE PARADIS DANS LE CERVEAULES SYSTÈMES DE SANCTION ET DE RÉCOMPENSE

Lorsque l’homme a évolué et s’est élevé au-dessus des autres puissants animaux, la taille et la complexité de son cerveau ont augmenté, en lui donnant une intelligence supérieure mais aussi plus d’angoisse, un chagrin plus profond et une plus grande sensibilité que n’importe quel autre être vivant. L’homme a également appris à apprécier la beauté, à rêver et à créer, à aimer et à haïr. Dans l’éducation des enfants ainsi que dans la formation des animaux, la punition et la récompense constituent les plus puissantes motivations pour apprendre. Dans notre orientation hédoniste de la vie visant à minimiser la douleur et à rechercher le plaisir, nous attribuons souvent ces qualités à l’environnement sans nous rendre compte que les sensations dépendent d’une chaîne d’événements qui aboutit à l’activation de mécanismes intracérébraux déterminés. Les dégâts physiques, la perte d’un enfant chéri, ou une catastrophe apocalyptique ne peuvent pas nous faire souffrir si certaines de nos structures cérébrales ont été bloquées par anesthésie. Le plaisir ne réside pas dans le fait d’être caressé sur la peau ou d’avoir le ventre plein, mais quelque part à l’intérieur de la boîte crânienne.

En même temps, la douleur et le plaisir ont d’importantes composantes culturelles et psychiques liées à l’histoire de l’individu. Des hommes inhibés par une sortie extraordinaire tribaux ou formation religieuse à endurer l’inconfort ont été torturés à mort sans montrer des signes de souffrance. On sait aussi qu’en l’absence de blessure physique, l’élaboration mentale de l’information peut produire la pire forme de souffrances. Le rejet social, les sentiments de culpabilité, et

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d’autres tragédies personnelles peuvent produire des manifestations autonomiques, somatiques et psychologiques plus grandes que la douleur physique.

Il existe une forte réticence à accepter que de telles interprétations personnelles et raffinées comme le fait d’avoir peur et d’être amoureux sont subordonnées à la dépolarisation de la membrane de groupes de neurones déterminés, mais ceci est un aspect des phénomènes émotionnels qui ne devrait pas être ignoré. Après une lobotomie frontale, des patients atteints du cancer ont indiqué que la douleur persistait sans faiblir, mais que leur souffrance subjective était radicalement réduite, et ils ne se plaignaient pas ni ne demandaient autant de médicaments qu’avant l’opération. Les patients lobotomisés réagissaient autant à des stimuli nociceptifs, sinon plus, qu’avant leur opération, sursautant lorsqu’on les piquait avec une aiguille et répondant rapidement aux tests objectifs de chaleur excessive, mais ils présentaient une diminution d’inquiétude. Il semble que dans les lobes frontaux, il existe un mécanisme de potentialisation de l’évaluation des souffrances personnelles, et après la lobotomie, la sensation initiale de douleur n’est pas modifiée, alors que la composante réactive à ce sentiment est fortement réduite. Ce mécanisme est assez spécifique des lobes frontaux ; la destruction bilatérale des lobes temporaux ne parvient pas à modifier les souffrances personnelles.

Les questions importantes à résoudre sont les suivantes : est-ce que certaines structures cérébrales possèdent le rôle spécifique d’analyser des types précis de sensations ? Est-ce que le codage de l’information au niveau des récepteurs est indispensable à l’activation de ces structures ? Il n’y a pas si longtemps, beaucoup de scientifiques auraient rejeté comme naïf le fait déjà démontré selon lequel la punition et la récompense peuvent être provoqués à volonté en manipulant les commandes d’un instrument électrique connecté au cerveau.

Perception de la souffrance

Dans les manuels scolaires et les articles scientifiques, des termes comme « récepteurs de la douleur », « fibres de la douleur », et « voies de la douleur » sont fréquemment utilisés, mais il convient de préciser que les nerfs périphériques ne sont pas porteurs de sensations. Les voies neuronales transmettent seulement des schémas d’activité électrique

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avec un message qui doit être déchiffré par le système nerveux central, et en l’absence de cerveau, il n’ya pas de douleur, même si certaines réactions de réflexe moteur peuvent encore être présentes. Une grenouille décapitée ne peut rien ressentir, mais elle sautera avec une assez bonne coordination motrice lorsqu’on lui pince les pattes arrière. Durant les sports de compétition ou sur le champ de bataille, l’émotion et le stress peuvent temporairement bloquer la sensation de douleur chez l’homme, et souvent les blessures ne sont pas immédiatement remarquées. L’interprétation cérébrale des signaux sensoriels est tellement décisive qu’un même stimulus peut être considéré comme agréable ou désagréable selon les circonstances. Un fort choc électrique sur les pieds effraie un chien et inhibe la sécrétion de sa salive. Si, toutefois, la même excitation « douloureuse » est suivie pendant plusieurs jours par l’administration de nourriture, l’animal accepte le choc, remuant la queue joyeusement et salivant par anticipation de la récompense de la nourriture. Certains de ces chiens ont été entraînés à appuyer sur un levier afin de déclencher le choc électrique qui précède l’alimentation. Pendant les relations sexuelles chez l’homme, les morsures, les égratignures et d’autres sensations potentiellement douloureuses sont souvent interprétées comme agréables, et certains déviants sexuels recherchent les châtiments corporels en tant que source de plaisir.

Le paradoxe est que, alors que la peau et les viscères possèdent plein de terminaisons nerveuses pour la réception sensorielle, le cerveau ne possède pas ce type d’innervation. Chez les patients sous anesthésie locale, le tissu cérébral peut être coupé, brûlé, déchiqueté ou congelé sans causer d’inconfort. Cet organe tellement insensible à sa propre destruction est, toutefois, le capteur exquis des informations reçues depuis la périphérie. Chez les espèces animales plus élevées, il y a une différentiation sensorielle impliquant les récepteurs périphériques spécialisées qui codent l’information externe en impulsions électriques et des analyseurs internes qui décodent les sensations entrantes qui circulent dans le but d’accroître la perception des sensations.

La plupart des messages sensoriels voyagent à travers les nerfs périphériques, les racines dorsales, la moelle épinière et la moelle vers les noyaux thalamiques dans le cerveau, mais à partir de là nous perdons leurs traces et nous ne savons pas où l’information est interprétée en tant que douloureuse ou agréable, ni la manière dont les composantes affectives sont attribuées à une sensation (212, 220).

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Bien que les investigations anatomiques indiquent que les fibres thalamiques se projettent vers le cortex « sensoriel » pariétal, la stimulation de ce secteur ne produit pas de douleur chez les animaux ni chez l’homme. Aucune gêne n’a été rapportée après l’excitation électrique de la surface ou de la profondeur des zones motrices, des lobes frontaux, des lobes occipitaux, de la circonvolution cingulaire et de nombreuses autres structures, alors que la douleur, la rage et la peur ont été provoquées par l’excitation du tegmentum gris central, et de quelques autres régions.

Les animaux partagent avec l’homme l’aspect expressif des manifestations émotionnelles. Quand un chien remue la queue, nous supposons qu’il est heureux, et quand un chat siffle et crache, nous supposons qu’il est furieux, mais ces interprétations sont anthropomorphes et, en réalité, nous ne connaissons pas les sentiments de quelque animal que ce soit. Plusieurs auteurs ont essayé d’établir une corrélation entre les manifestations objectives et les sensations ; par exemple, la stimulation de la cornée de l’oeil provoque une lutte, la dilatation de la pupille et la montée de la pression sanguine (87), mais ces réponses ne sont pas nécessairement liées à la prise de conscience des sentiments, comme cela est clairement démontré par la capacité défensive de la grenouille décapitée. L’étude expérimentale des mécanismes de la douleur et du plaisir chez les animaux est handicapée par leur absence de communication verbale, mais heureusement, nous pouvons déterminer si un animal aime ou n’aime pas la sensation perçue via l’analyse instrumentale de ses réponses. Les rats, les singes et d’autres espèces peuvent apprendre à appuyer sur un levier pour recevoir une récompense telle qu’une boulette de nourriture ou apprendre à éviter quelque chose de désagréable tel qu’un choc électrique sur la peau. Via l’acte volontaire de la manipulation d’un instrument, un animal exprime si oui ou non la nourriture, les chocs, ou la stimulation cérébrale sont désirables, ce qui permet une qualification objective de la sensation. De nombreuses structures cérébrales ont été étudiées de cette façon en vue d’identifier leurs propriétés de renforcement positives ou négatives.

À l’heure actuelle, il est généralement admis que des zones spécifiques du cerveau participent à l’intégration des sensations de la douleur, mais le mécanisme est loin d’être clair, et dans nos expérimentations animales, nous ne savons pas si nous stimulons les voies ou des centres d’intégration plus élevés. Le concept d’une conduction directe des messages de la douleur

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depuis la périphérie vers le système nerveux central était trop élémentaire. Les messages qui arrivent sont probablement traités à de nombreux niveaux avec des retours qui modifient la sensibilité et le filtrage de l’information à de nombreuses étapes, y compris au niveau des récepteurs périphériques. L’excitation du cerveau, par conséquent, peut avoir une incidence sur la transmission tout comme sur l’élaboration des ordres entrants et la rétroaction de la modulation. Les stimuli électriques ne transportent pas de message précis car ils sont une répétition monotone d’impulsions semblables, et le fait qu’ils constituent un élément déclencheur acceptable de la perception centrale de la douleur signifie que la réception d’un code sous forme de schémas n’est pas nécessaire, mais seulement l’activation non spécifique des ressources neuronales qui sont accessibles pour l’étude. En plus de l’importance de ces études pour trouver de meilleures thérapies pour l’atténuation de la douleur, il y a un autre aspect qui a beaucoup d’intérêt social : les relations possibles entre la perception de la douleur et la violence.

L’anxiété, la peur et la violence provoquées par stimulation électrique du cerveau chez les humains

L’anxiété a été considérée comme l’alpha et l’oméga de la psychiatrie. Elle est l’un des thèmes centraux de la philosophie existentielle, et elle nuance la vie normale – et anormale – de la plupart des êtres humains. Plusieurs états émotionnels peuvent être classés sous la rubrique de l’anxiété, notamment la peur, l’effroi, la panique et la terreur, qui sont des variantes de la même expérience. L’un des troubles mentaux les plus complexes, l’anxiété déraisonnable ou excessive, y compris les phobies et obsessions compulsives, souvent, ne répond bien souvent pas aux standards et, dans certains cas, il a été amélioré par électrocoagulation de zones discrètes du pôle frontal. Grey Walter (234) a signalé une récupération sociale totale de 85% chez un groupe de soixante malades atteints d’anxiété et d’obsessions traités avec des coagulations soigneusement dosées et effectuées via des électrodes implantées dans les lobes frontaux.

Sans entrer dans des discussions sémantiques, nous pouvons considérer que l’anxiété est un état émotionnel d’une tension consciente ou inconsciente, liées à des menaces réelles ou imaginaires, contre l’intégrité psychologique ou physique de l’individu. Un faible degré d’anxiété peut mobiliser, alors que des niveaux excessifs peuvent paralyser l’activité mentale et somatique. Au-delà d’une certaine limite, l’anxiété possède des caractéristiques fort déplaisantes. Dans des circonstances normales, elle est produite, de même que toute autre émotion,

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par les apports sensoriels de l’environnement et par des souvenirs, qui tous deux exigent une élaboration mentale de messages qui peuvent être influencés par des facteurs neuronaux et liés à l’humeur. En outre, il existe des preuves abondantes que l’anxiété et la peur peuvent être provoquées en tant que catégorie de réponse soit primaire, soit secondaire, par stimulation électrique du cerveau. La perception ou l’attente de la douleur peuvent être effrayantes, et dans certains cas, lorsque la stimulation électrique du cerveau a produites un malaise (inconfort) généralisé ou localisé, les patients ont exprimé leur inquiétude concernant la poursuite de l’exploration des procédures. En plus de la peur naturelle de la possibilité d’un nouvel inconfort, il pourrait y avoir eu une composante de l’anxiété primaire qui serait difficile à évaluer.

La destruction de parties discrètes du thalamus produit un soulagement de l’anxiété névrotique et de la névrose obsessionnelle compulsive qui est probablement lié à l’interruption des parcours toniques vers les lobes frontaux.

La stimulation du noyau thalamique, cependant, produit très rarement de l’anxiété, et les rapports des patients sont limités à des sentiments de faiblesse, d’être différent, de tournis, de flottement, et de quelque chose de semblable à l’intoxication par l’alcool (214).

Des manifestations plus claires de la provocation directe de la peur, sans autres sensations qui les accompagnent, ont été rapportées par plusieurs enquêteurs. Des lésions dans le thalamus médian donnent un soulagement efficace de la douleur avec un minimum de perte de sensibilité, et pour cette raison, cette zone a souvent été explorée électriquement chez les patients atteints du cancer. Dans certains cas, elle a produit des crises d’angoisse aiguë, qu’un patient décrit de façon frappante comme suit : « C’est un peu comme le sentiment d’avoir été manqué de peu par une voiture et d’avoir bondi en arrière vers la bordure (du trottoir) et de s’être dit « Brrr ». » Quelque chose au plus profond de lui donnait une impression très déplaisante, très inhabituelle, et il ne voulait certainement plus ressentir cela (73). Le fait surprenant est que la désagréable sensation de peur fut ressentie d’un côté du corps, du côté contraire à celui de la stimulation cérébrale. Sweet (221) a rapporté le cas d’un patient très intelligent, le doyen d’une université, qui, après une sympathectomie unilatérale afin de soigner l’hyperhidrose de ses membres supérieurs, a révélé que sa précédente et coutumière sensation de frisson en écoutant un émouvant passage de musique se produisait dans un seul côté (du corps), et il ne pouvait

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pas être ému dans la moitié de son corps qui avait reçu la sympathectomie. Ces cas étaient intéressants car les émotions sont généralement expérimentées de façon assez diffuse et bilatérale, sauf si l’innervation a été spécifiquement interrompue.

Le rôle du thalamus dans l’intégration de la peur est également suggéré par l’étude d’une patiente dont les attaques d’anxiété spontanées et paralysantes d’une intensité écrasante avaient mené à plusieurs tentatives de suicide et à un état chronique de dépression et d’agitation assez réfractaire aux médicaments et à la psychothérapie. La stimulation du noyau dorsolatéral du thalamus provoquait précisément le même type d’attaque à un niveau de la symptomatologie directement proportionnel à l’intensité appliquée. Il a été possible de trouver le seuil électrique pour une légère anxiété ou de l’augmenter à des niveaux supérieurs en tournant simplement le cadran d’un stimulateur. « On pouvait s’asseoir avec sa main sur le bouton et contrôler le niveau de son angoisse » (73).

Chez l’une de nos patientes, la stimulation d’une zone similaire dans le thalamus provoqua une expression typique de peur, et elle se tournait des deux côtés, explorant visuellement la pièce derrière elle. Lorsqu’on lui demanda ce qu’elle faisait, elle répondit qu’elle ressentait une menace et pensait que quelque chose de terrible allait se produire. Cette sensation de peur était perçue comme réelle, et elle avait la prémonition d’une catastrophe imminente de cause inconnue. Cet effet fut fiable durant plusieurs jours et ne fut pas altéré par l’utilisation de l’éclairage et d’une caméra destinés à documenter les découvertes. Son activité motrice et le choix des mots variaient en fonction de l’environnement naturel, mais l’expression de son visage et la sensation aiguë d’une peur non spécifique, inexplicable, mais réelle était similaire suivant les différentes stimulations. La réponse commençait avec un délai de moins d’une seconde, durait aussi longtemps que la stimulation, et ne laissait pas de séquelles observables. La patiente se souvenait de sa peur, mais n’était pas bouleversée par ce souvenir.

Certains patients ont affiché de l’anxiété et de l’agitation lorsque le pallidum fut stimulé à des fréquences supérieures à 8 cycles par seconde, et ils ressentaient également de la chaleur ou une constriction dans la poitrine (123). Quelques-uns ont rapporté une « anxiété vitale dans le côté gauche de la poitrine »,

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et criaient de façon anxieuse si la stimulation était répétée. Des réactions émotionnelles intenses furent provoquées par stimulation du noyau amygdaloïde, mais les réponses varièrent auprès du même patient, même avec les mêmes paramètres de stimulation. L’effet était parfois la colère, parfois la peur. Un patient a expliqué, « Je ne sais pas ce qui m’a pris. J’avais l’impression d’être un animal de l’air « (100).

La sensation de peur, sans aucune douleur concomitante a également été observée à la suite de la stimulation électrique du cerveau au niveau du lobe temporal (230). Cet effet peut être classé comme une « illusion de la peur » (174) car il n’y avait manifestement pas de véritable raison d’avoir peur en dehors de l’activation électrique artificielle de certaines structures cérébrales. Dans tous les cas, cependant, la crainte est une interprétation cérébrale de la réalité qui dépend d’une multitude de facteurs culturels et de l’expérience, avec des raisons logiques ou illogiques. Le fait qu’elle puisse être éveillée par la stimulation d’un petit nombre de zones du cerveau permet l’exploration des mécanismes neuronaux de l’anxiété, et comme hypothèse de travail, nous pouvons supposer que les qualités émotionnelles de la peur dépendent de l’activation de structures déterminées situées probablement dans le thalamus, le complexe amygdalien, et quelques autres centres encore non identifiés à ce jour. Cette activation dépend généralement de l’évaluation symbolique de données entrantes sensorielles et codées, mais le seuil de cette activation peut être modifié – et aussi atteint – par l’application directe de la stimulation électrique du cerveau. La connaissance des mécanismes intracérébraux de l’anxiété et de la peur permettra la mise en place d’un traitement pharmacologique et psychiatrique plus rationnel de la souffrance de nombreux patients, et pourra aussi aider à comprendre et à améliorer le niveau croissant d’anxiété dans notre civilisation.

On sait aussi que dans certains cas tragiques, des processus neurologiques anormaux peuvent être le facteur déterminant d’une violence déraisonnable et incontrôlable. Les personnes qui en sont atteintes peuvent souvent blesser ou même tuer soit des étrangers, soit des membres proches de la famille généralement traités avec affection. Un exemple typique était J.P., charmante et jolie jeune fille de 20 ans qui avait un passé médical incluant une encéphalite à l’âge de dix-huit mois et de nombreuses crises du lobe temporal et des attaques épileptiques de type grand mal durant les dix dernières années (6o). Son principal problème social consistait en de fréquents et imprévisibles accès de rage

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qui, à plus d’une douzaine de reprises, aboutirent à une agression contre une autre personne telle que planter un couteau dans le myocarde d’un étranger, ou une paire de ciseaux dans la cavité pleurale d’une infirmière. La patiente fut enfermée dans un service pour les gens atteints de folie criminelle, et des électrodes furent implantées dans son complexe amygdalien et son hippocampe pour l’exploration d’éventuelles anomalies neurologiques. Comme elle était plutôt impulsive, le confinement dans la salle d’enregistrement de l’électroencéphalogramme était impraticable, et elle devint l’un des premiers cas cliniques équipé d’un stimoceiver, ce qui permit d’étudier l’activité intracérébrale sans retenue (voir figure 4). Les enregistrements en profondeur pris alors que la patiente se déplaçait librement dans le service démontrèrent des anomalies électriques marquées dans les deux amygdales du complexe amygdalien et l’hippocampe. Les périodes spontanées de marche sans but coïncidaient avec une augmentation du nombre d’ondes fortes de haute tension. D’autres fois, le discours de la patiente était spontanément inhibé pendant plusieurs minutes au cours desquelles elle ne pouvait pas répondre à quelque question que ce soit, même si elle conservait une compréhension et une conscience partielles. Ces périodes coïncident avec des rafales de pics d’activité localisées au rayonnement optique (fig. 17). L’excitation émotionnelle transitoire était liée à une augmentation en nombre et en durée de salves de 16 cycles par seconde ; mais la patiente lisait les journaux, conversait avec les autres personnes, et se promenait sans causer de modifications notables dans l’activité électrique intracérébrale qui était télémétrée.

Au cours d’explorations approfondies, il a été démontré que des crises de comportement agressif, semblables aux éclats de colère spontanés de la patiente, pouvaient être suscitées par la stimulation radio de 3 contacts dans l’amygdale cérébrale de droite. Une excitation d’1,2 milliampère de cette zone fut appliquée pendant qu’elle jouait de la guitare et à chantait avec enthousiasme et compétence. À la septième seconde de la stimulation, elle jeta la guitare et, dans un élan de rage, lança une attaque contre le mur, et ensuite fit des va-et-vient sur le sol pendant plusieurs minutes, après quoi elle se calma progressivement fait silence et reprit son comportement joyeux habituel. Cet effet fut répété sur deux jours différents. Le fait que seul le contact situé dans le complexe amygdalien induisait la rage suggérait que le terrain neuronal

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Figure 17 L’enregistrement télémétrique de l’activité électrique du cerveau chez une des patientes illustrées en figure 4. Les emplacements des contacts étaient les suivantes : Canal 1 : noyau amygdaloïde ; Canal 2 : rayonnement optique antérieur ; Canal 3 : rayonnement optique postérieur. A : les salves spontanées apparaissant dans le Canal 1 étaient plus importantes lorsque le patient était psychologiquement excité. B : l’arrêt soudain et spontané du discours a coïncidé avec des rafales de pic au Canal 3. C : les enregistrements de contrôle n’ont pas été modifiés par le comportement amical ou par les différents types d’activité motrice telles que la marche et la lecture (60).

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autour du contact 3 était impliqué dans le problème comportemental du patient, et cette constatation est d’une grande signification clinique dans l’orientation de traitement ultérieur par coagulation locale.

La démonstration que la stimulation du complexe amygdalien peut provoquer des comportements violents a également été fournie par d’autres chercheurs. King (128) a décrit le cas d’une femme ayant des sentiments de dépression et d’aliénation, avec un ton vocal extrêmement plat et une expression faciale qui était vide et immuable au cours des interviews, et qui lors de la stimulation du complexe amygdalien avec 5 milliampères avait beaucoup changé ses inflexions vocales et avait montré une expression de colère. Pendant ce temps, elle avait dit : « J’ai l’impression que je veux me lever de cette chaise ! Ne me laissez pas le faire, s’il vous plaît ! Ne me faites pas cela, je ne veux pas être méchante ! « . Lorsque l’intervieweur a demandé si elle voulait le frapper, la patiente a répondu : « Oui, je veux frapper quelque chose. Je veux tenir quelque chose et le déchiqueter, tout simplement. Prenez-le, de façon à ce que je ne le fasse pas ! » Elle remit ensuite son foulard à l’intervieweur qui lui donna une pile de papier, et sans aucun échange verbal, elle la déchira en lambeaux en disant : « Je n’aime pas me sentir comme ça. » Lorsque le niveau de la stimulation fut réduit à 4 milliampères, son attitude changea en un large sourire, et elle expliqua : « Je sais que c’est idiot, ce que je suis en train de faire. Je voulais me lever de cette chaise et courir. Je voulais frapper quelque chose, déchiqueter quelque chose – n’importe quoi. Pas vous, juste n’importe quoi. Je voulais juste à me lever et déchiqueter. Je n’avais pas de contrôle sur moi-même.  » Une augmentation de l’intensité jusqu’à 5 milliampères donna lieu à nouveau à de semblables manifestations d’agressivité, et elle leva le bras, comme si elle allait frapper.

Il est remarquable que, bien que les patients paraissaient être hors de contrôle dans ces deux cas d’agression provoquée par électricité, ils n’attaquaient pas l’intervieweur, indiquant qu’ils étaient conscients de leur situation sociale. Cette constatation n’est pas sans rappeler le comportement des singes que l’on avait stimulés et qui dirigeaient leur agressivité en fonction de leur expérience antérieure et de leur rang social et n’osaient pas défier l’autorité bien établie des chefs. Apparemment, la stimulation électrique du cerveau peut provoquer un état de réactivité violente accrue qui est exprimé conformément à la structure individuelle et aux circonstances environnementales. Nous pouvons donc conclure que

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le changement émotionnel provoqué artificiellement n’est qu’un élément de plus dans la constellation des éléments qui déterminent le comportement.

(.)(Source : myweb et marialerouxi, merci à Ambre

28 juin 2016

Liste des 400 MEDICAMENTS CANCERIGENES, DONT LA BIAFINE ET LE RHINATHIOL ?

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400 MEDICAMENTS CANCERIGENES, DONT LA BIAFINE ET LE RHINATHIOL ?

UNE LISTE DE 400 MEDICAMENTS CONTENANT DES PARABENES, UN COMPOSE CHIMIQUE POUVANT AVOIR DES EFFETS CANCERIGENES, A ETE DEVOILEE AUJOURD'HUI PAR LE QUOTIDIEN LE MONDE.

CES CONSERVATEURS SONT LARGEMENT UTILISES DANS LES COSMETIQUES MAIS AUSSI DANS DES MEDICAMENTS ET CERTAINS ALIMENTS.

LE MONDE A PUBLIE AUJOURD'HUI SUR SON SITE UNE LISTE "DES 400 PRODUITS PHARMACEUTIQUES CONTENANT DES PARABENES". ON Y TROUVE "DE NOMBREUX COSMETIQUES POUR BEBE", des crèmes comme la Biafine, "DE NOMBREUX SIROPS CONTRE LA TOUX" (Clarix, Codotussyl, Drill, Hexapneumine, Humex, Pectosan, Rhinathiol), DES PANSEMENTS GASTRIQUES (Maalox, Gaviscon)...

LES PARABENES SONT EGALEMENT PRESENTS DANS CERTAINS ANTIBIOTIQUES (Josacine, Zinnat), ET DANS DES MEDICAMENTS CONTRE LA DOULEUR ET LA FIEVRE (FORMES GENERIQUES D'IBUPROFENE ET DE PARACETAMOL).

DE NOMBREUSES ETUDES ONT DEMONTRE QUE CES SUBSTANCES CHIMIQUES PERTURBENT LE FONCTIONNEMENT DU SYSTEME HORMONAL, EN PARTICULIER CELUI DE LA REPRODUCTION. ELLES POURRAIENT ETRE UNE DES CAUSES DE LA BAISSE DE LA FERTILITE MASCULINE ET DU DEVELOPPEMENT DE CANCERS.

Le 3 mai dernier, les députés avaient adopté contre l'avis du gouvernement une proposition de loi du Nouveau Centre interdisant l'utilisation des produits considérés comme des perturbateurs endocriniens, dont les phtalates et les parabènes.

IL EST CEPENDANT POSSIBLE QUE LE GOUVERNEMENT NE FASSE PAS INSCRIRE LE TEXTE A L'ORDRE DU JOUR DU SENAT, LE MINISTRE DE LA SANTE AYANT JUGE "PREMATURE" LE TEXTE DU NOUVEAU CENTRE.

ANNEXE : LA LISTE DES 400 MEDICAMENTS CANCERIGENES EN QUESTION (sources :
http://s1.lemde.fr//mmpub/edt/doc/20110523/1525968_fb80_parabenes_1_.pdf , http://www.zinfos974.com/attachment/276676/ ou http://www.terrafemina.com/images/1809716.pdf ) :

•ACTI 5 sol buv
•ACTISOUFRE sol p pulv bucc/nasal
•ACTIVOX LIERRE sirop
•ADAPALENE TEVA 0,1 % crème
•ADAPALENE TEVA 0,1 % gel
•ADAPALENE WINTHROP 0,1 % crème
•ADAPALENE WINTHROP 0,1 % gel
•ALFA-AMYLASE BIOGARAN 200U.CEIP/ml sirop
•ALFATIL 250 mg gél
•ALGINATE DE SODIUM/BICARBONATE DE SODIUM BIOGARAN 250mg/133,5mgp5ml susp
buv
•ALGINATE DE SODIUM/BICARBONATE DE SODIUM EG 250mg/133,5mg p 5ml susp buv
•ALGINATE DE SODIUM/BICARBONATE DE SODIUM SANDOZ 250mg/133,5mg p 5ml susp buv
•ALGINATE DE SODIUM/BICARBONATE DE SODIUM TEVA 250mg/133,5mg pour 5ml susp buv
•ALLOPURINOL RATIOPHARM 300 mg caps
•ALLOPURINOL TEVA 100mg caps molle
•ALLOPURINOL TEVA 200mg caps molle
•ALLOPURINOL TEVA 300mg caps molle
•AMBROXOL BIOGARAN 0,6 % sol buv sans sucre
•AMBROXOL EG 0,6 % sol buv
•AMBROXOL MYLAN 0,6 % sol buv
•AMBROXOL RATIOPHARM 0,6 % sol buv
•AMBROXOL TEVA 0,3 % sol buv
•AMBROXOL TEVA 0,6 % sol buv
•ANTARENE 20 mg/ml susp buv enfant nourrisson
•APHILAN DEMANGEAISONS 0,5 % crème
•ARGININE VEYRON sol buv
•ARGININE VEYRON sol buv en ampoule
•ARNICAN 4 % crème
•AROMASINE 25mg cp enr
•ARPHOS sol buv
•ARTANE 0,4% sol buv
•ARTHRODONT 1% pâte gingiv
•ARTISIAL sol p pulv endobucc
•BACTRIM susp buv pédiatrique
•BETESIL 2,25mg emplâtre médicamenteux
•BETNESOL 5 mg/100 ml sol rect
•BETNEVAL LOTION 0,1 % émuls p appl cut
•BIAFINE émuls p appl cut
•BIAFINEACT émuls p appl cut
•BIOCALYPTOL 6,55 mg/5 ml sirop sans sucre
•BIOTINE BAYER 0,5% sol inj IM
•BRONCALENE SANS SUCRE sirop ad
•BRONCALENE sirop ad
•BRONCALENE sirop enf
•BRONCATHIOL ENFANT sol buv
•BRONCATHIOL EXPECTORANT sol buv ad
•BRONCHOKOD 2 % sirop enfant
•BRONCHOKOD 2 % sol buv sans sucre enfant
•BRONCHOKOD 5 % sol buv sans sucre adulte
•BRONCHOKOD sirop adulte
•BRONCOCLAR sirop adulte
•BRONKIREX 2 % sirop sans sucre enfant
•BRONKIREX 5 % sirop sans sucre adulte
•CALMIXENE sirop
•CARBOCISTEINE ARROW 5 % sol buv sans sucre adulte
•CARBOCISTEINE BIOGARAN 2 % sol buv sans sucre enfant
•CARBOCISTEINE BIOGARAN 5 % sol buv sans sucre
•CARBOCISTEINE EG 2 % sirop Enf
•CARBOCISTEINE EG 5 % sol buv sans sucre adulte
•CARBOCISTEINE MYLAN 2 % sirop Enf
•CARBOCISTEINE MYLAN 2 % sol buv sans sucre enfant
•CARBOCISTEINE MYLAN 5 % sirop Ad
•CARBOCISTEINE MYLAN 5 % sol buv sans sucre adulte
•CARBOCISTEINE RATIOPHARM CONSEIL 2 % sirop enfant
•CARBOCISTEINE RATIOPHARM CONSEIL 5 % sol buv sans sucre adulte
•CARBOCISTEINE SANDOZ CONSEIL 2 % sirop enfant
•CARBOCISTEINE SANDOZ CONSEIL 5 % sol buv sans sucre adulte
•CARBOCISTEINE SANDOZ CONSEIL 5% sirop Ad
•CARBOCISTEINE SANDOZ CONSEIL sans sucre 2 % sol buv enfant
•CARBOCISTEINE TEVA CONSEIL 2 % sirop enfant
•CARBOCISTEINE TEVA CONSEIL 2 % sol buv sans sucre enfant
•CARBOCISTEINE TEVA CONSEIL 5 % sirop adulte
•CARBOCISTEINE TEVA CONSEIL 5 % sol buv sans sucre adulte
•CARBOCISTEINE WINTHROP 5 % sirop sans sucre adulte
•CEFUROXIME BIOGARAN 125mg cp pellic
•CEFUROXIME BIOGARAN 250mg cp pellic
•CEFUROXIME BIOGARAN 500 mg cp pellic
•CELLCEPT 1g/5ml pdre p susp buv
•CELLTOP 100 mg caps
•CELLTOP 25 mg caps
•CELLTOP 50 mg caps
•CETAVLON 0,5 % crème
•CETIRIZINE ARROW 10mg/ml sol buv en gte
•CETIRIZINE BIOGARAN 10mg/ml sol buv en gte
•CETIRIZINE TEVA 10mg/ml sol buv en gte
•CHOPHYTOL 20 % sol buv
•CHOPHYTOL cp enr
•CHROMARGON sol p appl loc
•CICATRYL pom
•CITRARGININE sol buv
•CITRATE DE BETAINE CRISTERS 2g/5ml sol buv
•CITROCHOLINE sol buv
•CLAIRODERMYL 10% pom
•CLAIRODERMYL 5% pom
•CLARIX EXPECTORANT CARBOCISTEINE 2 % ENFANTS sirop
•CLARIX EXPECTORANT CARBOCISTEINE 5 % ADULTES SANS SUCRE sol buv
•CLARIX EXPECTORANT CARBOCISTEINE ADULTES SANS SUCRE 750 mg/10 ml sol buv
•CLARIX sirop
•CLARIX TOUX SECHE PENTOXYVERINE 0,15 % ENFANTS sirop
•CLARIX TOUX SECHE PHOLCODINE ERYSIMUM ADULTES SANS SUCRE sirop
•CODEDRILL SANS SUCRE 0,1 % sol buv
•CODENFAN 1mg/ml sirop
•CODOTUSSYL TOUX SECHE ADULTES, sirop
•CODOTUSSYL TOUX SECHE sirop Enf
•COLOFOAM mousse rect
•COLPOTROPHINE 1 % crème
•COLPOTROPHINE 10mg caps vagin
•CORTAPAISYL 0,5 % crème
•CORTISAL crème
•COZAAR 2,5 mg/ml pdre/solv susp buv
•CREME 3 FLEURS D' ORIENT 10% pom
•CYCLO 3 crème
•DEBRUMYL sol buv
•DEFILTRAN crème
•DEPAKINE 57,64 mg/ml sirop
•DEPO-PRODASONE 250 mg/5 ml susp inj
•DEPO-PRODASONE 500 mg/3,3 ml susp inj
•DEPOPROVERA susp inj
•DEPURATIF PARNEL sirop
•DEROXAT 20mg/10ml susp buv
•DESINTEX CHOLINE sol buv
•DESINTEX sol buv
•DEXERYL crème
•DEXIR sirop adulte
•DEXIR sirop enfant
•DEXTRARINE PHENYLBUTAZONE pom
•DEXTROCIDINE 0,3% sirop
•DIFFERINE 0,1 % crème
•DIFFERINE 0,1 % gel p appl cutanée
•DIGOXINE NATIVELLE 5μg/0,1ml sol buv
•DIMEGAN 0,04% sirop
•DIMETANE SANS SUCRE 133mg/100ml sirop
•DIPIPERON 40mg/ml sol buv
•DIPROSTENE susp inj en seringue préremplie
•DISTILBENE 1mg cp enr
•DOGMATIL 0,5 g/100 ml sol buv sans sucre édulcorée au cyclamate de sodium
•DOLGIT 5 % crème
•DOLIRHUME THIOPHENECARBOXYLATE 2 % sol p pulv nasal
•DOLKO 60mg/2ml sol buv
•DOMPERIDONE ARROW 1mg/ml susp buv
•DOXORUBICINE ACTAVIS 2mg/ml pdre p sol p perf
•DRAGEES FUCA cp enr
•DRAINACTIL sol buv
•DRILL EXPECTORANT 5 % sirop ad
•DRILL EXPECTORANT SANS SUCRE 5 % sol buv ad
•DRILL TOUX SECHE SANS SUCRE 15 mg/5 ml sirop ad
•DRILL TOUX SECHE SANS SUCRE 5 mg/5 ml sirop enf
•DROSETUX sirop
•DULCIPHAK collyre
•DYNAMISAN 3g/10ml sol buv
•EFFORTIL sol buv
•EFUDIX 5 % crème
•ELGYDIUM pâte dentifr
•ELIXIR SPARK sol buv
•EMTRIVA 10mg/ml sol buv
•ENERGITUM 2,5 g/10 ml sol buv
•EPIRUBICINE ACTAVIS 2 mg/ml pdre p sol p perf
•EPIVIR 10 mg/ml sol buv
•ERGIX EXPECTORANT SANS SUCRE 5 % sol buv
•ERGIX MAL DE GORGE collut
•ERGIX TOUX SECHE sirop ad
•ERGIX TOUX SECHE sirop enf
•ESBERIVEN crème
•ESOMEPRAZOLE BIOGARAN 20 mg, gélule gastro-résistante
•ESOMEPRAZOLE EG 20 mg, gélule gastro-résistante
•ESOMEPRAZOLE MYLAN 20 mg, gélule gastro-résistante
•ESOMEPRAZOLE MYLAN 40 mg, gélule gastro-résistante
•ESOMEPRAZOLE SANDOZ 20 mg, gélule gastro-résistante
•ESOMEPRAZOLE SANDOZ 40 mg, gélule gastro-résistante
•ESOMEPRAZOLE WINTHROP 20 mg, gélule gastro-résistante
•ESOMEPRAZOLE WINTHROP 40 mg, gélule gastro-résistante
•ETIZOL 20 mg, gélule gastro-résistante
•ETIZOL 40 mg, gélule gastro-résistante
•EUCALYPTINE LE BRUN sirop
•EUPHON sirop
•EUPHYTOSE cp enr
•EXOTOUX sol buv
•EXPANFEN 200 mg cp enr
•FARLUTAL 500mg/2,5ml susp inj LP
•FARMORUBICINE 10mg pdre p sol p perf
•FARMORUBICINE 150 mg pdre p sol inj
•FARMORUBICINE 50mg pdre p sol p perf
•FASTENYL sol buv
•FERROSTRANE 0,68% sirop
•FLAGYL 4% susp buv
•FLECTOR TISSUGEL HEPARINE 1 g/40 000 UI pour 100 g emplâtre médicamenteux
•FLECTORTISSUGELEP 1% emplâtre
•FLOGENCYL gel gingiv
•FLUDITEC 2 % sirop enfant
•FLUDITEC EXPECTORANT 5% sirop
•FLUIMUCIL 2 % sol buv adulte
•FLUIMUCIL 2 % sol buv enfant
•FLUOCARIL BI-FLUORE ANIS 250mg pâte dentifr
•FLUOCARIL BI-FLUORE MENTHE 250mg pâte dentifr
•FLUOCARIL BI-FLUORE MENTHE ADULTE 250mg gel dentifr
•FLUOCARIL BI-FLUORE MENTHE FORTE 250 mg pâte dentifr
•FLUODONTYL 1350 pâte dentifr
•FLUOREX 1 mg/ml sol buv
•FLUOSTEROL 0,25mg/800UI/dose sol buv
•FLUVERMAL 2% susp buv
•FUNGIZONE 10 % susp buv enf/nour
•FUNGIZONE 10% susp buv
•GALIRENE sol buv
•GAVISCON susp buv en flacon
•GAVISCON susp buv en sachet
•GAVISCON susp buv nourrisson
•GAVISCONELL SANS SUCRE MENTHE susp buv sachet-dose
•GELDOLOR gel
•GELOX susp buv en sach
•GENTALLINE 10mg sol inj
•GENTALLINE 160mg sol inj
•GENTALLINE 40mg sol inj
•GENTALLINE 80mg sol inj
•GENTAMICINE CHAUVIN 0,3% pom ophtalm
•GENTAMICINE DAKOTA PHARM 40mg/2ml sol inj
•GENTAMICINE DAKOTA PHARM 80mg/2ml sol inj
•GENTAMICINE PANPHARMA 10mg sol inj
•GENTAMICINE PANPHARMA 160mg sol inj
•GENTAMICINE PANPHARMA 40mg sol inj
•GENTAMICINE PANPHARMA 80mg sol inj
•GRINAZOLE pâte p us dent
•GYNO DAKTARIN 400 mg caps molle vagin
•HALDOL 2 mg/ml sol buv
•HALOPERIDOL RENAUDIN 0,05 % sol buv en goutte
•HELICIDINE 10 % sirop
•HEMEDONINE 5 mg/ml sol buv
•HEMOCLAR 0,5 % crème
•HEPANEPHROL sol buv
•HEPARINE SODIQUE PANPHARMA 25 000 UI/5 ml sol inj IV
•HEPATO-SOLUTINES sol buv
•HEPATOUM sol buv
•HEPT A MYL 30,5% sol buv
•HEPT A MYL 30,5% sol buv
•HEXAPNEUMINE sirop adulte
•HEXAPNEUMINE sirop enfant
•HEXAPNEUMINE sirop nourrisson
•HEXASPRAY collut
•HEXTRIL pâte dentifr
•HIRUCREME crème
•HUMEX 5 % EXPECTORANT SANS SUCRE sol buv Ad
•HUMEX EXPECTORANT CARBOCISTEINE 750 mg/10 ml ADULTES SANS SUCRE sol buv
•HUMEX EXPECTORANT sirop ad
•HUMEX TOUX SECHE PHOLCODINE sirop ad
•HUMEX TOUX SECHE PHOLCODINE sirop enf
•HYDROSOL POLYVITAMINE PHARMADEVELOPPEMENT sol buv en gte
•IBIS crème
•IBUPROFENE ARROW 200mg cp enr
•IBUPROFENE CRISTERS 200 mg cp enr
•IBUPROFENE ISOMED 200 mg cp enr
•IBUPROFENE MYLAN 200 mg cp enr
•IBUPROFENE QUALIMED 200mg cp enr
•IBUPROFENE RATIOPHARM 200mg cp enr
•IBUPROFENE RATIOPHARM CONSEIL 200 mg cp enr
•IBUPROFENE SANDOZ 200mg cp enr
•IBUPROFENE SANDOZ CONSEIL 200mg cp enr
•IBUPROFENE TEVA 200mg cp enr
•IBUPROFENE TEVA CONSEIL 200 mg cp enr
•IMIZINE 10% pâte p us dent
•IMODIUM 0,2 mg/ml sol buv enfant
•INSTILLAGEL gel urétral
•INTRAIT DE MARRON D'INDE "P" sol buv
•ITAX shampooing antipoux
•ITEM ANTI POUX lotion
•ITEM ANTI POUX shampooing
•JOSACINE 125mg/5ml glé p susp buv
•JOSACINE 250mg/5ml glé p susp buv
•JOSACINE 500mg/5ml glé p susp buv
•JOUVENCE DE L'ABBE SOURY sol buv
•KEAL 1g susp buv
•KEAL 2g susp buv
•KEPPRA 100mg/ml sol buv
•KETREL 0,05 % crème
•LAMIDERM 0,67 % émuls p appl cut
•LAMPRENE 100 mg caps
•LAMPRENE 50 mg caps
•LAROSCORBINE 1g/5ml sol inj IV
•LASILIX 10mg/ml sol buv
•LEVOCARNIL 100mg/ml sol buv
•LIDOCAINE 10 mg/ml ADRENALINE AGUETTANT sol inj
•LIDOCAINE AGUETTANT 5 % sol p pulv bucc
•LITHIAGEL susp buv
•LITHIODERM 8 % gel
•LOCACID 0,05 % crème
•LOCAPRED 0,1 % crème
•LOCOID 0,1 % crème
•LOCOID 0,1% émuls p appl loc fluide
•LOCOID crème épaisse
•LOMEXIN 600 mg caps vagin
•LUMIREM 175 mg/l susp buv/rectal
•MAALOX MAUX D'ESTOMAC susp buv en fl
•MAG 2 SANS SUCRE 122mg sol buv
•MAXIDROL pom ophtalm
•MAXILASE MAUX DE GORGE ALPHA-AMYLASE 200 UCEIP/ml sirop
•MEDIBRONC sirop enf
•MEDIBRONC sol buv adulte
•MEGAMYLASE 200 U/ml sirop
•METOPIRONE 250mg caps
•METVIXIA 168mg/g crème
•MICROPAQUE SCANNER susp buv
•MICROPAQUE susp buv/rect
•MICROTRAST pâte oral
•MONAZOL 2 % crème
•MOTILIUM 1 mg/ml susp buv
•MOXYDAR susp buv en sach
•MUCINUM A L'EXTRAIT DE CASCARA cp enr
•MUCOMYST 200mg/5ml pdre p susp buv
•MUXOL 0,3% sol buv
•MYCODECYL crème
•MYCOSTATINE 100 000 UI/ml susp buv
•NAUSICALM sirop
•NEO-CODION sirop adulte
•NEO-CODION sirop enfant
•NEO-CODION sirop nourrisson
•NERISONE 0,1 % crème
•NIFUROXAZIDE ARROW 4 % susp buv
•NIFUROXAZIDE EG 4 % susp buv
•NIFUROXAZIDE TEVA 4 % susp buv
•NOCTIUM sirop
•NODEX sirop ad en unidose
•NOOTROPYL 1 200 mg sol buv
•NOOTROPYL 20 % sol buv
•NOPRON 15 mg/5 ml sirop enf
•NORMACOL LAVEMENT sol rect adulte
•NORMACOL LAVEMENT sol rect enfant
•ONCOVIN 1mg sol inj
•OPTREX sol p lav ocul
•ORACILLINE 1 M UI/10 ml susp buv
•ORACILLINE 250 000 UI/5 ml susp buv
•ORACILLINE 500 000 UI/5 ml susp buv
•OSMOGEL gel p appl loc
•PADERYL 0,1 % sirop
•PANFUREX 4% susp buv
•PAPAINE TROUETTE PERRET sirop
•PAPAINE TROUETTE PERRET sol buv
•PARA SPECIAL POUX shampooing
•PARACETAMOL SMITHKLINE BEECHAM 2,4 % susp buv
•PARGINE 5 g/10 ml sol buv
•PASSEDYL sirop enf/nour
•PASSIFLORINE sol buv
•PAXELADINE 10 mg/5 ml sirop
•PECTOSAN EXPECTORANT 5 % sirop ad
•PECTOSAN TOUX SECHE ETHYLMORPHINE sirop
•PEPSANE gel buvable sachet-dose
•PERIDYS 1 mg/ml susp buv
•PHENERGAN 2 % crème
•PHOLCODYL sirop
•PHOSPHATE SODIQUE DE DEXAMETHASONE MYLAN 20 mg/5 ml sol inj
•PHOSPHATE SODIQUE DE DEXAMETHASONE MYLAN 4 mg/ml sol inj
•PHYTAT DB sirop
•PHYTOTUX sirop
•PIRACETAM ARROW 20 % sol buv
•PIRACETAM MYLAN 20 % sol buv
•PIRACETAM QUALIMED 20 % sol buv
•PIRACETAM SANDOZ 20% sol buv
•PIRACETAM TEVA 20% sol buv
•PNEUMOREL 0,2 % sirop
•PO 12 2 % crème
•POLARAMINE 0,01% sirop
•POLARAMINE 5mg/1ml sol inj
•POLERY sirop ad
•POLERY sirop enf
•POLERY sirop sans sucre adulte
•POLYSILANE UPSA gel oral en tube
•POLYSILANE UPSA gel oral sachet-dose
•POTASSIUM RICHARD 3% sirop
•POTASSIUM RICHARD 440 mg/15 ml sirop
•POVANYL 50 mg cp enr
•PREPULSID 1mg/ml susp buv enfant nourrisson
•PRIMADRILL sol p pulv bucc
•PRIMALAN sirop
•PRIMPERAN 0,1 % sol buv édulcoré adulte
•PRIMPERAN ENFANTS 2,6 mg/ml sol buv
•PRIMPERAN NOURRISSONS ET ENFANTS 2,6 mg/ml sol buv
•PROCTOLOG crème rect
•PYOREX pâte dentifr/gingiv
•QUINTONINE sirop
•QUITAXON 10mg/ml sol buv
•QUITAXON 10mg/ml sol buv
•QUOTANE 0,5 % crème
•REGRANEX 0,01% gel
•REMINYL 4mg/ml sol buv
•RESPILENE 3mg/5ml sirop enfant
•RETACNYL 0,025 % crème
•RETACNYL 0,05 % crème
•REVITALOSE sol buv
•RHINADVIL cp enr
•RHINATHIOL CARBOCISTEINE 2 % sirop expectorant enfant
•RHINATHIOL CARBOCISTEINE 2 % sirop sans sucre expectorant enfant
•RHINATHIOL CARBOCISTEINE 5 % sirop expectorant adulte
•RHINATHIOL CARBOCISTEINE 5 % sirop sans sucre expectorant adulte
•RHINATHIOL Pholcodine 0,06 % sirop toux sèche enfant
•RHINATHIOL PROMETHAZINE sirop
•RHINO SULFURYL sol p pulv nasal
•RHINOTROPHYL sol p pulv nasal
•RIFADINE 2 % susp buv
•ROCALTROL 0,25μg caps molle
•ROCGEL susp buv
•ROSICED 0,75 % gel p appl loc
•ROZAGEL 0,75 % gel p appl loc
•ROZEX 0,75% gel
•SANOGYL BLANC pâte dentifr
•SARGENOR 0,5g/5ml sol buv enfant
•SARGENOR 1g/5ml sol buv
•SARGENOR A LA VITAMINE C sol buv
•SCHOUM sol buv
•SEDATIF TIBER sirop
•SENSIVISION AU PLANTAIN 2 % collyre en unidose
•SEROPRAM 40 mg/ml sol buv
•SOLIAN 100 mg/ml sol buv
•SOLUTION STAGO DILUEE sol buv
•SOLUVIT pdre p sol inj
•SURELEN sol buv ad
•SURFORTAN sol buv
•SYMPAVAGOL cp enr
•SYNEDIL 0,5g/100ml sol buv
•TALOXA 600mg/5ml susp buv
•TEGRETOL 20mg/ml susp buv
•TELZIR 50mg/ml susp buv
•TERCIAN 40 mg/ml sol buv
•TERLOMEXIN 200 mg caps vagin
•THERALENE 0,05 % sirop
•THERALENE 4 % sol buv en gte
•TIAPRIDAL 5mg/gte sol buv
•TITANOREINE crème
•TITANOREINE lidocaïne 2% crème
•TOCLASE TOUX SECHE SANS SUCRE 0,213 % sol buv
•TOCO 500mg caps molle
•TONICALCIUM sol buv ad
•TONICALCIUM sol buv enf
•TONIQUE VEGETAL sol buv
•TOPAAL susp buv
•TRIDESONIT 0,05 % crème
•TRILEPTAL 60mg/ml susp buv
•TRIMETAZIDINE ARROW 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE BIOGARAN 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE EG 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE MYLAN 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE QUALIMED 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE RATIOPHARM 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE SANDOZ 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE TEVA 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE WINTHROP 20 mg/ml sol buv
•TRIMETAZIDINE ZYDUS 20 mg/ml sol buv
•TROLAMINE BIOGARAN 0,67 % émuls p appl cut
•TROSYD 1 % crème
•TRUE TEST disp transderm
•TUSSILENE 5 % sol buv sans sucre adulte
•TUSSILENE sirop Ad
•TUSSILENE sirop Enf
•TUSSISEDAL sirop
•ULCAR 1 g susp buv
•UN ALFA 0,1 μg/gte sol buv
•UROSIPHON 2g sol buv
•UVIMAG B6 sol buv
•VANIQA 11,5 % crème
•VASTAREL 20 mg/ml sol buv
•VEDROP 50 mg/ml sol buv
•VEPESIDE 50mg caps
•VERASKIN gel p appl cut
•VERMIFUGE SORIN 10 % sirop
•VERSATIS 5% emplâtre médicamenteux
•VIMPAT 15 mg/ml sirop
•VINCRISTINE TEVA 0,1 % (1 mg/1 ml) sol inj IV
•VIRAMUNE 50mg/5ml susp buv pédiatrique
•VIRLIX 10mg/ml sol buv
•VITA-DERMACIDE crème
•VOGALENE 0,1 % sol buv
•XOLAAM susp buv en fl
•XYLOCAINE NAPHAZOLINE 5% sol p appl loc
•XYLOCAINE NEBULISEUR 5 % sol p pulv bucc
•XYLOCAINE VISQUEUSE 2% gel oral
•ZADITEN 1mg/5ml sol buv
•ZEFFIX 5 mg/ml sol buv
•ZIAGEN 20mg/ml sol buv
•ZINNAT 125mg cp pellic
•ZINNAT 250mg cp pellic
•ZINNAT 500mg cp pellic
•ZOPHREN 4 mg lyoph oral
•ZOPHREN 8 mg lyoph oral
•ZOVIRAX 200 mg/5 ml susp buv
•ZOVIRAX 800 mg/10 ml susp buv
•ZYMADUO 150 UI sol buv
•ZYMADUO 300 UI sol buv
•ZYPREXA VELOTAB 10mg cp orodispers
•ZYPREXA VELOTAB 15mg cp orodispers
•ZYPREXA VELOTAB 20mg cp orodispers
•ZYPREXA VELOTAB 5mg cp orodispers
•ZYRTEC 10 mg/ml sol buv

28 juin 2016

L’huile de coco, un remède fabuleux pour le cerveau et les maladies neurodégénerative.

noix-de-coco-cerveauVous savez déjà que le régime cétogène agit efficacement contre l'épilepsie, les maladies d'Alzheimer, parkinson, les douleurs rhumatismales, la sclérose en plaques, le diabète, les maladies auto-immunes et même le cancer, et je pourrais ajouter, etc... mais aujourd'hui, je voudrais vous parler de ce témoignage que j'ai lu sur "Alternatif bien-être" sous le titre "Alzheimer, la fin du cauchemard", par la plume de Gaëlle Piton et Julien Venesson.

Le Dr Mary Newport a une théorie selon laquelle les corps cétoniques, que le corps fabrique lorsqu’il digère de l’huile de coco, peuvent être une énergie alternative pour le cerveau. Elle croit que l’huile de coco peut offrir d’immenses bénéfices dans la lutte contre la maladie d’Alzheimer. Si sa théorie est exacte, cela pourrait être l’une des plus grandes découvertes de santé naturelle depuis des années.


Son histoire

Le Dr Newport a sa propre histoire personnelle de la maladie d’Alzheimer. Son mari, Steve, a souffert de démence progressive pendant au moins 5 ans à partir de 55 ans, puis une IRM a confirmé le diagnostic clinique de la maladie d’Alzheimer. Elle raconte son histoire dans une étude de cas. « Très souvent, pendant plusieurs jours à la suite, il était dans le brouillard, ne pouvait pas trouver une cuillère ou se souvenir comment prendre de l’eau dans le réfrigérateur… Un jour, je lui ai demandé si j’avais reçu un appel téléphonique que j’attendais et il m’a dit ‘non’. Deux jours plus tard, il se rappelait le message de cette personne et ce qu’elle avait dit. »

Le Dr Newport a remarqué que son mari n’avait aucune mémoire à court terme, mais l’information était encore déposée quelque part dans son cerveau. Elle avait un pressentiment que son régime alimentaire y était pour quelque chose. Il a commencé à prendre des médicaments dans l’espoir que cela aiderait à ralentir le processus, mais il a commencé à déprimer, a perdu du poids, et oublié comment cuisiner, utiliser une calculatrice ou même effectuer une simple addition. Steve avait oublié comment assurer de nombreuses tâches courantes, mais passait toute la journée à travailler dans la cour ou dans son garage et restait en bonne forme physique.

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Trouver l’espoir

Quelques études sur l’utilisation potentielle des triglycérides à chaîne moyenne ou corps cétoniques pour non seulement traiter mais aussi prévenir la maladie d’Alzheimer a retenu l’attention du Dr Newport. Les trigylcérides à chaîne moyenne sont aussi considérés comme un traitement potentiel pour la maladie de Parkinson, la chorée de Huntington, la sclérose en plaque, l’épilepsie résistante aux médicaments et le diabète. Le Dr Newport explique, « Les corps cétoniques peuvent aider le cerveau à récupérer après une perte d’oxygène que ce soit chez le nouveau-né ou l’adulte, peuvent aider le coeur à se rétablir après une attaque grave, et peuvent réduire les tumeurs cancéreuses. Les enfants qui ont une épilepsie résistante aux médicaments répondent parfois à un régime cétogène avec très peu de glucides. »

Les cellules du corps peuvent être en mesure d’utiliser les corps cétoniques comme énergie de remplacement lorsque le glucose est indisponible. Les corps cétoniques ne circulent pas normalement dans le corps, à moins qu’il ait été affamé pendant quelques jours, ou si l’on suit un régime très faible en glucides, comme le régime Atkins. Le Dr Newport explique, « Lors de la maladie d’Alzheimer, les neurones de certaines régions du cerveau sont incapables d’ingérer le glucose en raison de la résistance à l’insuline, et meurent lentement… si ces cellules ont accès à des corps cétoniques, elles peuvent rester en vie et continuer à fonctionner. »

Les résultats

Pour résumer, le Dr Newport a commencé à donner une dose quotidienne d’huile de noix de coco à son mari, Steve. Au bout de seulement 60 jours de ce traitement, le Dr Newport se souvient que Steve était alerte et heureux, il bavardait et racontait des blagues, et le tremblement qu’il avait développé était moins perceptible. Il était capable de se concentrer sur une tâche au lieu d’être facilement distrait. Steve reçoit environ 2 cuillères à soupe d’huile de coco deux fois par jour, pour s’assurer qu’à tout moment, les corps cétoniques circulent dans le cerveau.

Au bout d’un an de ce traitement naturel, le Dr Newport dit que son mari est une personne différente. Elle remarque qu’il a encore quelques difficultés à trouver certains mots, mais il a reconnu les personnes de sa famille lors d’un voyage, il a participé activement aux conversations et ses expressions faciales étaient plus animées.

Elle ajoute, « Pour l’instant, nous sommes très heureux de ses progrès, et si l’huile de coco peut stopper ou ralentir le développement de cette maladie, chaque goutte qu’il a prise aura été précieuse. »

 

Coconut Oil Touted as Alzheimers Remedy - CBN.com.mp4

Traduction de la vidéo:

L’Alzheimer de Steve Newport s’est considérablement ralenti. Certains de ses symptômes se sont même inversés grâce à un traitement inhabituel prescrit par sa femme, le Dr Mary Newport, médecin qui dirige un service de néo-natalité dans un hôpital de Floride. Elle avait fermement décidé d’aider son mari lorsqu’il a échoué aux tests Alzheimer de l’horloge. Il a dessiné quelques cercles puis plusieurs nombres au hasard et le dessin ne ressemblait pas du tout à une horloge. Le Docteur m’a prise à part et m’a dit « vous savez, il est proche d’une sévère atteinte d’Alzheimer, au-delà de « modéré », c’était donc une nouvelle très perturbante.

Le Dr Newport a commencé à apprendre tout ce qu’elle pouvait au sujet de la maladie de son mari. Cela semble être une sorte de diabète dans le cerveau et c’est un processus qui commence à se produire au moins 10 ou 20 ans au moins avant de commencer à avoir les symptômes. C’est très similaire au diabète de type 1 ou 2 et l’on développe un problème avec l’insuline. Dans ce cas, les problèmes d’insuline empêchent les cellules du cerveau d’accepter le glucose, leur principale énergie et sans le glucose, les cellules finissent par mourir. Mais il y a une énergie alternative, les cétones, que les cellules acceptent facilement. Les cétones sont métabolisées dans le foie lorsque vous avez mangé des triglycérides à chaîne moyenne, que l’on trouve dans l’huile de coco.

Donc, le Dr Newport a ajouté de l’huile de coco dans les aliments de Steve. Juste deux semaines plus tard, il a refait le test de l’horloge et comme vous le voyez, il a fait preuve de merveilleuses améliorations. A ce moment-là, j’ai pensé que c’était juste de la chance, est-ce que ça venait de beaucoup de prières ou de l’huile de coco ? Et j’ai pensé, eh bien, on va continuer avec l’huile de coco. Puis, 3 semaines plus tard, il a fait le test de l’horloge une troisième fois et a continué à s’améliorer. Et pas seulement intellectuellement ; il s’est aussi amélioré émotionnellement et physiquement. Il n’était plus capable de courir, et il pouvait courir à nouveau ; il n’avait pas pu lire pendant un an et demi, et après environ deux ou trois mois, il pouvait lire à nouveau. Comme il était apathique, ne parlant pas beaucoup le matin, maintenant il avait de l’énergie, il parlait, plaisantait et il pouvait trouver son eau et ses ustensiles.

Le Dr Newport a décrit les succès de Steve dans un livre intitulé Alzheimer’s disease – What if there was a cure ? (Maladie d’Alzheimer – et s’il y avait un traitement ?). Elle a reçu des centaines de lettres de remerciements d’autres personnes qui avaient pu ainsi aider des êtres chers en suivant l’alimentation de Steve.

Et alors que l’huile de coco est un traitement encourageant, il y a en fait quelque chose de beaucoup plus puissant : une équipe de biochimistes conduite par le Professeur Keran Clark à l’Université d’Oxford, Angleterre, a développé un ester de cétone qui agit 10 fois plus que l’huile de coco. Il atteint des niveaux beaucoup plus élevés et vous pouvez atteindre les niveaux que vous voulez en fonction de la quantité que vous buvez. Le problème est qu’ils ont besoin de millions de dollars pour le produire en masse. C’est très cher et nous ne pouvons donc pas en produire beaucoup nous-mêmes. Et ce que nous voudrions, c’est qu’il y ait une fondation de façon à pouvoir vraiment en produire beaucoup plus, mais bien sûr, il n’y a pas vraiment de profit à manufacturer des produits comme ça. Donc, avant qu’un ester de cétone à haut potentiel soit disponible pour le public, l’huile de coco est tout de même une bonne source-clé de cétone. Assurez-vous seulement qu’elle est pure, non hydrogénée. Evitez toute huile hydrogénée qui est la même chose que l’huile trans dangereuse. Beaucoup de gens évitent l’huile de coco car ils pensent que ce n’est pas bon pour eux. Mais c’est en fait très sain.

Le Dr Beverly Teeter est chercheur à l’université de Maryland qui se spécialise dans les graisses alimentaires. Elle dit qu’il y a plusieurs années, l’huile de coco était critiquée pour élever le cholestérol. Mais les scientifiques, depuis, ont appris qu’il y a deux sortes de cholestérol : LDL, le mauvais cholestérol, et HDL qui est très bon pour vous. Et l’huile de coco justement fait augmenter le HDL. Ils ont donc émis le message que cela augmente le cholestérol, mais en vérité, cela aidait l’équilibre de ce cholestérol et cela n’a jamais été corrigé dans la presse publique et maintenant, je pense que c’est l’une des raisons pour lesquelles les gens ont une fausse impression à ce sujet. En fait, non seulement l’huile de coco améliore vos niveaux de cholestérol, mais le Dr Teeter dit que la façon dont elle aide le cerveau de quelques patients d’Alzheimer peut être appliquée aux personnes qui souffrent de la maladie de Parkinson, la maladie de Charcot (sclérose latérale amyotrophique), l’épilepsie, la démence et même la schizophrénie et l’autisme.

Et une dernière chose, l’huile de coco est un antibiotique naturel qui aide également à tuer les virus comme le HIV et l’herpès. L »‘huile de coco tend à réduire les bactéries si bien que si vous êtes attaqué par un virus, votre système immunitaire peut se concentrer sur le virus, il n’a pas besoin de s’occuper de 27 autres bactéries auxquelles vous pouvez avoir été exposé ce jour-là.

Par conséquent, considérez que l’huile de coco améliore votre santé globale et va peut-être même écarter des maladies menaçant votre vie. Oh oui, c’est vrai.

Lori Johnson – CBN News

Sources:
www.davidwolfe.com
www.sante-nutrition.org
www.sante-nutrition.org

28 juin 2016

Liste des laits infantiles 1er et 2e âge qui contiennent le moins d’aluminium !

bébé-allaitement

Deux études, l’une britannique menée par la Keele University, parue dans BMC Pediatrics, et l’autre française réalisée par 60 millions de consommateurs, alertent les jeunes mères de nourrisson sur la présence, en quantité inquiétante, d’aluminium dans le lait pour bébé 1er et 2ème âge.

En Grande Bretagne, il a été mesuré des quantités dans le lait infantile de 0.4 à 0.63 mg/litre soit trois fois plus de que ce qui est toléré pour l’eau du robinet (0.2 mg/l).

Avant 6 mois la barrière encéphalopathique de l’enfant n’est pas formée. Elle laisse alors pénétrer dans le cerveau des enfants de grandes quantités de ce produit. Comme l’aluminium reste dans les tissus, il va causer des maladies neurologiques graves à l’âge adulte.

Véhiculé par le sang lors de l’injection, l’aluminium finit son parcours dans notre cerveau où il est stocké… accumulé… pour toujours.

Il déclenche alors des pathologies lourdes comme la maladie d’Alzeihmer.

Plutôt effrayant :/

Une équipe de 60 millions de consommateurs a testé 38 laits infantiles, les résultats sont inquiétants, un enfant absorbe 30% environ de la dose hebdomadaire d’aluminium autorisée pour les laits les plus « pollués ». Pour les moins, il n’ absorbe « que » 4% de la dose tolérable.
Le plus édifiant : seuls 14 de tous les laits testés sont sans aluminium!

Voici la liste des laits testés :

Laits 1er âge:

Blédina Blédilait 1 dès la naissance
Blédina Blédilait 1 Relais
Blédina Blédilait premium 1
Gallia Calisma 1
Gallia Galliagest premium 1
Hipp Hipp Biologique 1
Nestlé Nidal dès la naissance
Nestlé Nidal Excel Ha 1
Nestlé Guigoz Baa
Modilac LCÉO 1
Milumel Lémiel
Nestlé Guigoz 1 dès la naissance
Lactel Milumel
Lactel Milumel Premium plus
Laboratoire France Bébé Nutrition Nébilia 1 Équilibre
Vitagermine Babybio Optima 1
Nestlé Guigoz Evolia relais 1 – transit Jusqu’à Euronord Novalac + 1
Modilac Doucéa

Laits 2e âge:

Blédina Blédilait 2e âge
Gallia Calisma 2
Gallia Gallia lait 2e âge
Nestlé Nidal 2 en relais de l’allaitement maternel
Lactel Milumel 2
Hipp Hipp biologique 2
Jusqu’à Euronord Novalac 2
Milumel Lémiel 2
Gallia Galliagest Premium 2
Nestlé Guigoz 2
Blédina Blédilait Premium 2
Candia Babylait 2
Nestlé Guigoz Evolia Relais 2
Laboratoire France Bébé Nutrition Nébilia 2 Équilibre
Nestlé Guigoz Baa 2
Nestlé Nidal 2 Formule épaissie
Nestlé Nidal Pelargon 2
Carrefour bébé 2
Nestlé Nidal Excel Ha 2.​

Liste des laits qui ont le moins d’aluminium

Laits 1er âge:

– Blédilait 1
– Blédilait 1 relais
– prime Blédilait 1
– Gallia Calisma 1
– Galliagest prime 1
– Hipp biologique 1
– Nestlé Nidal
– Nestlé Nidal Excel HA 1

Laits 2e âge:

– Blédilait 2e âge
– Gallia Calisma 1
– Gallia lait 2e âge
– Nestlé Nidal 2 en relais de l’allaitement maternel
– Milumel 2
– Hipp biologique 2

Un bon point tout de même à retenir, après ces découvertes effrayantes, c’est que la certification AB des laits bio garantie par son cahier des charges l’interdiction d’ajout d’aluminium sous toutes ces formes…

Source: sanslaitsansgluten.com

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27 juin 2016

Le secret de l’eurasie, la clef de l’histoire cachee et des evenements mondiaux

 

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Les sociétés secrètes et les confréries occultes ont-elles été actives derrière la scène des événements mondiaux depuis des milliers d’années ? Ces gardiens de la sagesse secrète déterminent-ils les progrès de la conscience humaine et influencent-ils le destin des nations ? Des maîtres cachés de la connaissance occulte animent-ils et infiltrent-ils certains mouvements politiques, culturels, spirituels et économiques, selon un plan ancien ? Se pourrait-il que les grandes avancées, guerres, et révolutions, de l’homme, ainsi que ses découvertes marquantes dans la science, la littérature, la philosophie et les arts, soient le résultat d’une « main cachée » ? Pouvons-nous décoder l’Histoire et trouver la mystérieuse interface entre la politique et l’occultisme, découvrant ainsi les véritables animateurs et agitateurs de notre monde moderne ?

Le philosophe allemand Oswald Spengler mettait en garde contre un « puissant combat » entre des groupes d’hommes d’une « immense intelligence » que le « simple citoyen ne voit ni ne comprend ». Déjà en 1930, Ralph Shirley, l’éditeur de la London Occult Review, le principal journal britannique de sciences ésotériques, exprimait « le soupçon que les rangs de l’occultisme travaillent secrètement pour la désintégration et la révolution. Des preuves positives sous la forme d’un groupe d’occultistes travaillant avec cet objectif en vue sont récemment parvenues à la connaissance du présent auteur. »

Le major-général Fuller, un ancien disciple d’Aleister Crowley, qui avait des liens avec le Renseignement militaire britannique, parlait d’une force insidieuse utilisant « la Magie et l’Or » et luttant « pour parvenir à la domination du monde par un Messie vengeur, comme prédit par le Talmud et la Kabbale ». Crowley, l’ancien chef de Fuller, travailla comme agent secret à la fois pour la Grande-Bretagne et pour l’Allemagne, bien que ses employeurs britanniques notèrent son « manque de fiabilité », avertissant qu’il ne devait être utilisé dans des opérations d’espionnage qu’avec la plus extrême prudence. Pendant la Première Guerre Mondiale, le ministère allemand des Affaires Etrangères demanda secrètement à l’occultiste Gustav Meyrink d’écrire une nouvelle blâmant les Francs-maçons de France et d’Italie pour le déclenchement de la guerre.

Madame Blavatsky pensait que la société catholique des Jésuites avait transféré son quartier général en Angleterre, où ils complotaient pour plonger l’humanité dans l’ignorance passive et pour instituer le « despotisme universel ». La fondatrice de la Société Théosophique, femme d’une immense intelligence et ayant une expérience de première main des sociétés secrètes, avertissait :

« Les étudiants en occultisme devraient savoir que pendant que les Jésuites sont parvenus par leurs procédés à faire croire au monde en général et aux Anglais en particulier qu’il n’existe rien de tel que la magie, et à faire rire de la magie noire, ces comploteurs rusés et malins forment eux-mêmes des cercles et des chaînes magnétiques par la concentration de leur volonté collective, lorsqu’ils ont quelque objectif particulier à atteindre ou quelque personne précise et importante à influencer. » (2)

La Révolution Française, l’un des plus importants événements politique de l’histoire de l’Europe, fut en grande partie le travail de loges maçonniques acharnées au renversement de la monarchie et à la fin de la religion catholique établie. Dans Proofs of a Conspiracy [Preuves d’une conspiration] (1798), John Robison montra que pendant la Révolution les clubs politiques et les comités par correspondance, incluant le fameux Club des Jacobins, étaient issus de ces loges maçonniques.

L’influence sur l’Histoire du mysticisme, des sociétés occultes et secrètes est généralement écartée par les spécialistes occidentaux. Les historiens en vue choisissent d’ignorer cet aspect parce qu’ils pensent qu’il n’a pas de signification réelle pour la politique mondiale. En fait c’est seulement en reconnaissant le rôle et l’influence de « l’aspect occulte » que les événements mondiaux importants peuvent être pleinement compris et placés dans leur véritable perspective historique. 

Atlantisme contre Eurasisme

Les sociétés secrètes et les maîtres de la sagesse occulte font toujours remonter leurs origines à l’aube même de la civilisation. A l’intérieur de la culture judéo-chrétienne, les écoles secrètes parlent d’Adam, de Seth, de Moïse et des Patriarches comme étant des initiés à une sagesse divine soigneusement transmise d’une génération à l’autre. D’autres groupes occultes regardent vers l’ancienne Egypte et les Ecoles de mystères de la Grèce, vers le continent perdu de l’Atlantide. D’autres encore font remonter leur lignée à Sumer ou Babylone et aux plaines mystérieuses de Tartarie.

En examinant les mythes, les légendes et les histoires mystérieuses de l’humanité, nous rencontrons d’innombrables références à une civilisation primordiale disparue. Le brillant métaphysicien français René Guénon parlait d’une grande culture hyperboréenne qui s’épanouissait autour du Cercle Arctique, et de ses avant-postes Shambhala en Orient et l’Atlantide en Occident. Platon parla de l’Atlantide, la décrivant comme le cœur d’un grand et puissant empire qui, à cause du métissage sans discernement des « Fils de Dieu » avec les « enfants des hommes », subit de « violents tremblements de terre et déluges » et « disparut dans la mer ». Selon la tradition occulte, l’Atlantide prit fin après une longue période de chaos et de désastres survenus, selon les mots de Madame Blavatsky, parce que « la race de l’Atlantide devint une race de méchants magiciens ». L’Atlantide fut détruite par une conspiration de mauvais magiciens qui avaient pris le contrôle du puissant continent.

Longtemps avant la fin de l’Atlantide, de grandes migrations eurent lieu vers divers endroits de la Terre. Dans une légende on nous parle d’un groupe vertueux voyageant depuis le Cercle Arctique jusqu’à Shambhala, au fin fond de l’Asie Centrale. D’autres légendes suggèrent que des survivants Atlantes fondèrent l’ancienne civilisation égyptienne.

Victoria Le Page, auteur de l’une des études les plus sérieuses sur Shambhala, explique que l’Atlantide et Shambhala sont plus que de simples lieux géographiques :

« Dans le folklore, l’Atlantide et Shambhala sont implicitement liés comme des images charismatiques des désirs du cœur, deux brillants mirages se trouvant à l’horizon le plus lointain du désir humain, inatteignables, reculant toujours quand nous en approchons ; au mieux, rien de plus que des états de conscience idéaux jamais réalisés. Mais leur association semble avoir une base bien plus réelle et historiquement concrète que cela. La tradition initiatique affirme qu’ils ont tous deux véritablement existé, l’un dans la mer occidentale, l’autre dans les montagnes d’Orient, comme des survivances de ce qui fut autrefois un réseau de centres de sagesse situés sur une grande ligne de force s’étendant autour du globe. Plus, Shambhala existe toujours à l’intérieur d’une structure qui attend d’être réactivée. » (3)

Pour pouvoir identifier les activités historiques des sociétés secrètes, nous devons comprendre l’origine d’une très puissante idée. La tradition occulte parle de Shambhala comme du centre positif de la Fraternité de la Lumière, et de l’Atlantide comme du centre négatif des mauvais magiciens, les Frères de l’Ombre. Partout où nous regardons, nous voyons la division des sociétés secrètes et des activités occultes entre ces deux « Ordres » opposés. Tous les mouvements et enseignements occultes servent inévitablement soit « l’Ordre de l’Eurasie », soit « l’Ordre de l’Atlantisme », avec leurs centres symboliques respectifs de Shambhala et de l’Atlantide. Dissimulés derrière une multitude de formes différentes, et représentés par une quantité d’agents d’influence insoupçonnables, ces deux centres – Shambhala et l’Atlantide – représentent deux impulsions différentes de l’évolution humaine.

Vue selon la perspective de la géographie sacrée, dans notre présent cycle historique, l’Atlantide est le triomphe des éléments les plus destructeurs et les plus diaboliques dans la civilisation de l’Occident. Une autorité moderne de la géographie sacrée et de la géopolitique observe :

« La géographie sacrée, sur la base du ‘symbolisme spatial’, considère traditionnellement l’Orient comme la ‘terre de l’Esprit’, la terre du Paradis, la terre de la plénitude, de l’abondance, le ‘pays sacré des origines’, dans sa forme la plus complète et la plus parfaite. En particulier, cette idée se reflète dans la Bible, où la situation orientale de ‘l’Eden’ est mentionnée. 

Précisément, cette compréhension est également propre aux autres traditions abrahamiques (islam et judaïsme), et aussi à de nombreuses traditions non-abrahamiques – la chinoise, l’hindoue et l’iranienne. ‘L’Orient est la demeure des dieux’, dit la formule sacrée des anciens Egyptiens, et le même mot ‘Orient’ (‘neter’ en égyptien) signifie en même temps ‘dieu’. Du point de vue du symbolisme naturel, l’Orient est le lieu où se lève le Soleil, Lumière du Monde, symbole matériel de la Divinité et de l’Esprit.

L’Occident a la signification symbolique inverse. C’est le ‘pays de la mort’, le ‘monde sans vie’, le ‘pays vert’ (comme l’appelaient les anciens Egyptiens). L’Occident est ‘l’empire de l’exil’, le ‘gouffre des damnés’, selon l’expression des mystiques musulmans. L’Occident est ‘l’anti-Orient’, le pays de la décadence, de la dégradation, de la transition du manifesté au non-manifesté, de la vie à la mort, de la plénitude au besoin, etc. L’Occident est le lieu où se dirige le soleil, où il ‘s’engloutit’. » (4)
La Russie et l’Univers magique

La Russie, géographiquement le plus grand pays sur la Terre, occupe une position unique pour l’étude de l’histoire humaine, nous offrant une fenêtre ouverte sur le monde des sociétés secrètes, des maîtres occultes, et des courants politiques souterrains.

Les idées et les pratiques tirées de la magie et de l’occulte ont toujours fait partie de la vie russe. Au seizième siècle, le Tsar Ivan IV consultait des magiciens et était conscient de la signification occulte des pierres précieuses incrustées dans son sceptre. Son règne fut le point culminant du rêve de construire une civilisation prophétique, religieuse, dans la tradition chrétienne orientale de Byzance. Entouré d’ordres secrets de moines apocalyptiques, Ivan se voyait lui-même comme l’héritier des rois d’Israël et tenta de transformer la vie russe en accord avec sa vision magique de la réalité. Ivan était convaincu que la nation russe avait une mission spéciale à accomplir, rien de moins que la rédemption du monde.

En 1586, le Tsar Boris Godounov offrit l’énorme salaire de 2 000 livres anglaises par an, plus une maison et toutes les fournitures nécessaires, à John Dee, le mage et maître-espion anglais, pour qu’il entre à son service. Le fils de Dee, le Dr Arthur Dee, qui comme son père était un alchimiste et un rosicrucien, se rendit à Moscou pour travailler comme physicien. Mikhaïl Romanov, le premier tsar de la dynastie Romanov, monta sur le trône paraît-il avec l’aide du Dr Arthur Dee et du Service Secret britannique. Avant leur arrivée au pouvoir, les Romanov furent accusés par leurs ennemis de pratiquer la magie et de posséder des pouvoirs occultes.

Le légendaire comte de Saint-Germain, décrit comme un alchimiste, un espion, un industriel, un diplomate et un rosicrucien, fut impliqué dans plusieurs intrigues politiques en Russie et fut, selon Nicolas Roerich, « un membre de la Fraternité Himalayenne ». En 1775, il voyagea à travers l’Eurasie pour étudier les enseignements occultes, et pourrait même avoir visité le Tibet. On dit qu’alors qu’il étudiait l’occultisme en Asie Centrale, le comte fut initié aux rites secrets de la magie sexuelle tantrique, qui lui fournit une technique pour prolonger sa jeunesse. Il s’engagea aussi dans des opérations d’espionnage contre la fameuse Compagnie des Indes britannique. Saint-Germain fonda deux sociétés secrètes appelées « L’Inspiration Asiatique » et les « Chevaliers de la Lumière ». Dès 1780 il avertit Marie-Antoinette que le trône français était en danger du fait d’une conspiration internationale des « Frères de l’Ombre ». Des rumeurs continuèrent à circuler de nombreuses années après l’annonce de sa mort, selon lesquelles Saint-Germain était encore en vie, travaillant derrière la scène de la politique européenne ou étudiant des doctrines occultes en Asie Centrale.
L’Occident rencontre l’Orient

« Les pouvoirs occultes semblent être une question de tempérament national … La Russie tend à produire des mages – des hommes ou des femmes qui impressionnent par leur autorité spirituelle ; aucune autre nation ne possède l’équivalent spirituel de Tolstoï et Dostoïevski, ou même de Rozanov, Merejkovski, Soloviev, Fedorov, Berdiaev, Chestov. Certainement aucune autre nation n’a été sur le point de produire quelqu’un comme Madame Blavatsky, Gregory Raspoutine ou Georges Gurdjieff. Chacun est complètement unique. » (Colin Wilson, The Occult)

Le processus de synthèse des traditions occultes de l’Orient et de l’Occident apparaît dans l’œuvre de Helena Petrovna Blavatsky, fondatrice de la Société Théosophique [1875] et auteur du fameux livre La Doctrine Secrète. Née Helena von Hahn, fille d’une famille de militaires russes et cousine du futur Premier Ministre russe, le comte Witte, elle fut une véritable émissaire de l’Ordre Eurasien. Nevill Drury dit de l’occultiste russe :

« Sa principale contribution à la pensée mystique fut la manière dont elle chercha à synthétiser la philosophie et la religion orientales et occidentales, fournissant ainsi un cadre pour la compréhension des enseignements occultes universels. » (5)

Madame Blavatsky voyagea à travers l’Asie et l’Europe, rejoignit la milice révolutionnaire nationale de Garibaldi, combattant à la bataille de Mentana, où elle fut sérieusement blessée. A la fin des années 1870, peu après la publication de son premier livre Isis Dévoilée, dénonciation irrésistible de la religion occidentale contemporaine comme étant une faillite spirituelle, elle passa des Etats-Unis en Inde où le siège de la Société Théosophique resta jusqu’à aujourd’hui.

En 1891, le futur tsar Nicolas II, en compagnie du savant eurasien mystique, le prince Ukhtomsky, visita le siège de la Société Théosophique à Adyar. La description de la Société par le prince Ukhtomsky est révélatrice:

« Sur l’insistance de H.P. Blavatsky, une dame russe qui connaissait et qui avait vu beaucoup de choses, l’idée surgit de la possibilité, et même de la nécessité de fonder une société de théosophistes, de chercheurs de la vérité au plus large sens du mot, dans le but de recruter des adeptes de toutes croyances et races, de pénétrer plus profondément dans les plus secrètes doctrines des religions orientales, d’attirer des Asiatiques dans une vraie communion spirituelle avec des étrangers instruits de l’Occident, de nouer des relations secrètes avec divers grands prêtres, ascètes, magiciens, etc. » (6)

Madame Blavatsky voulait unir l’Asie Centrale, l’Inde, la Mongolie, le Tibet et la Chine, afin – avec l’aide de la Russie – de créer une grande puissance eurasienne pour s’opposer aux ambitions britanniques. Voyageant en Inde, Madame Blavatsky fit campagne contre la domination britannique et fut elle-même accusée par les autorités coloniales d’être une espionne russe. Le prince Ukhtomsky vit un soutien à l’Eurasie dans « l’empressement des Indiens à se grouper sous la bannière de l’étrange femme du Nord ». Il pensait que Madame Blavatsky avait été contrainte de quitter l’Inde à cause de la « suspicion des Anglais ».

Dès 1887, H.P. Blavatsky était devenue un sujet de débat dans le « Saint-Pétersbourg mystique » et reçut l’appui prestigieux de l’ami de Ukhtomsky, le mystérieux tibétain – le Dr Badmaiev, qui devait bientôt devenir célèbre pour les faveurs qu’il reçut à la Cour impériale russe et pour sa relation avec Raspoutine. La sœur de Madame Blavatsky affirma que le Métropolite russe orthodoxe de Kiev avait reconnu le don psychique de la jeune Helena, et lui avait recommandé d’utiliser ses pouvoirs avec discrétion, car il était sûr qu’ils lui avaient été donnés pour quelque but plus élevé.

Le Dr Stephan A. Hoeller, spécialiste des religions comparées et évêque de l’Eglise Gnostique, nous rappelle que H.P. Blavatsky,

« … était une vraie fille de la Mère Russie. Certains sentent que sa vie et son caractère correspondent fortement à l’archétype du traditionnel saint homme russe errant, connu sous le nom de staretz (littéralement « le vieux »), qui est un ascète, un pèlerin errant, non-clérical, qui voyage dans la campagne, exhortant les gens à se préoccuper de questions spirituelles, parfois d’une manière résolument non-orthodoxe. » (7)

Après la mort de H.P. Blavatsky à Londres en 1891, la Société Théosophique tomba sous le ferme contrôle des occultistes anglais Annie Besant et C.W. Leadbeater, un impérialiste britannique confirmé. L’orientation eurasienne donnée à la première Théosophie par H.P. Blavatsky fut compromise par l’influence de la Maçonnerie britannique et par le High Anglicanism ésotérique de Leadbeater. Dans le grand combat des magiciens, l’impulsion eurasienne trouva de nouveaux agents historiques en Occident, incluant le célèbre mage français Papus.
La Grande Bataille des Magiciens

« Quand le 19ème siècle sera arrivé à sa fin, l’un des Frères d’Hermès viendra d’Asie pour unir à nouveau l’humanité. » (Nostradamus)

Papus, avec Oswald Wirth et De Guaita, rêvait de réunir tous les occultistes dans une Fraternité Rosicrucienne rénovée, un Ordre occulte international dans lequel ils espéraient que l’Empire Russe jouerait un rôle dirigeant en tant que pont entre l’Orient et l’Occident.

Papus était le pseudonyme du Dr Gérard Encausse (1865-1916), un disciple de Joseph Saint-Yves d’Alveydre (1842-1910), un initié de l’Eglise Gnostique Française et souvent l’instigateur de nombreux groupes occultes de son époque. L’un des occultistes les plus célèbres du tournant du siècle, il fut le fondateur de l’Ecole Hermétique à Paris, qui attira de nombreux étudiants russes, et dirigea la principale revue occultiste française, L’Initiation. Papus fut aussi le dirigeant de deux sociétés secrètes, l’Ordre Martiniste et l’Ordre Kabbalistique de la Rose-Croix.

Quand le tsar et la tsarine russes visitèrent la France en 1896, ce fut Papus qui leur envoya un salut de la part des « Spiritualistes français », espérant que le tsar « immortaliserait son Empire par son union totale avec la Divine Providence ». Ce salut était une réminiscence des espoirs des mystiques au temps de la Sainte Alliance du tsar Alexandre 1er.

Papus fit sa première visite en Russie en 1901 et fut introduit auprès du Tsar. Il installa rapidement une loge de son Ordre Martiniste à Saint-Pétersbourg avec le Tsar comme Président des « Supérieurs inconnus » qui le contrôlaient. L’historien James Webb dit que Papus « faisait simplement revivre une dévotion envers une philosophie qui avait fleuri en Russie au tournant des 18ème et 19ème siècles avant d’être étouffée. »

En tant que principal élève de Saint-Yves d’Alveydre, Papus connaissait le rôle clé qui devait être joué par la Russie dans l’unification de l’Eurasie et sa destinée occulte en tant qu’Empire de la Fin, manifestation extérieure de l’énigmatique pouvoir de la « Shambhala du Nord ».

Par Papus, la famille impériale fit la connaissance de son ami et mentor spirituel Maître Philippe (Nizier Anthelme Philippe). Sincère mystique chrétien, il reçut un rang et des honneurs de la part du Tsar russe, et maintint le contact avec la Cour impériale jusqu’à sa mort en 1905.

Papus retourna à Saint-Pétersbourg en 1905, où la rumeur disait qu’en présence du couple impérial, il évoquait l’esprit du père du Tsar, Alexandre III, qui donnait des conseils pratiques pour résoudre la crise politique.

Maître Philippe et Papus jouèrent tous deux un important rôle politique à la Cour impériale. Ils ne conseillèrent pas seulement le Tsar pour les affaires de l’Etat mais maintinrent le contact avec des initiés russes influents de l’Ordre Martiniste, incluant deux oncles et de nombreux parents du Tsar. L’occultiste allemand Rudolf Steiner, qui avait ses propres disciples parmi l’Etat-major allemand, suivit la mission des deux Français, troublé par « l’influence étendue en Russie » de Papus. Avocat déterminé de l’alliance entre la France et la Russie, Papus avertit le Tsar d’une conspiration internationale visant à la domination mondiale.

Il pensait que le vaste Empire Russe était la seule puissance capable de contrecarrer la conspiration des « Frères de l’Ombre ». Il pressa aussi le Tsar à se préparer à la prochaine guerre contre l’Allemagne, alors machinée par des forces sinistres à Berlin. Selon un récit, il promit à la famille impériale que,

« la monarchie des Romanov serait protégée aussi longtemps que lui, Papus, serait en vie. Quand la nouvelle de sa mort atteignit Alexandra [la tsarine] en 1916, elle envoya une note à son mari (commandant à l’époque les armées russes sur le front, pendant la Première Guerre Mondiale), contenant les mots : ‘Papus est mort, nous sommes condamnés !’ » (8)

Papus développa son Ordre Martiniste pour contrer les loges maçonniques qui, pensait-il, étaient au service de l’impérialisme britannique et des syndiqués de la finance internationale. D’après ses papiers, on sait qu’il fournit aux autorités russes de la documentation sur les activités maçonniques en Russie et en Europe. Papus condamna la Franc-Maçonnerie comme athée, par opposition au christianisme ésotérique de l’Ordre Martiniste. Il dénonça « notre époque de scepticisme, d’adoration des formes matérielles, si désespérément en quête d’une franche réaction chrétienne, indépendante de tous les clergés ». Peu après son retour après sa première visite en Russie en 1901, une série d’articles, dont Papus était largement l’inspirateur, parut dans la presse française. Ils mettaient en garde contre une « conspiration cachée » dont l’existence était totalement inconnue du public, et contre les machinations d’un sinistre syndicat financier essayant de rompre l’alliance franco-russe. Le public était aveugle aux véritables forces de l’Histoire :

« Il ne voit pas que dans tous les conflits qui surviennent à l’intérieur des nations ou entre elles, il y a à coté des acteurs visibles des inspirateurs cachés qui par leurs calculs intéressés rendent ces conflits inévitables …

Tout ce qui arrive dans l’évolution agitée des nations est ainsi préparé en secret avec le but d’assurer la suprématie de quelques hommes ; et ce sont ces quelques hommes, parfois célèbres, parfois inconnus, qui doivent être recherchés derrière tous les événements publics.

Or, aujourd’hui, la suprématie est assurée par la possession de l’Or. C’est le syndicat de la finance qui tient en ce moment les cordons secrets de la politique européenne …

Il y a quelques années, fut ainsi fondé en Europe un syndicat financier, aujourd’hui tout-puissant, dont le but suprême est de monopoliser tous les marchés du monde, et qui pour faciliter ses activités doit acquérir de l’influence politique. »

Les articles inspirés par Papus dans L’Echo de Paris révélaient le rôle du Service Secret britannique, qui était dénoncé comme étant derrière la Franc-Maçonnerie britannique, pour isoler et affaiblir la Russie. En France les agents britanniques se concentraient sur la propagande anti-russe, pendant qu’en Russie ils utilisaient la « fraude financière » pour infiltrer tous les niveaux de la société. Tous les efforts étaient requis « pour préserver l’Empereur Russe – si loyal et si généreux – des maux [du] syndicat des financiers … qui à présent contrôle les destinées de l’Europe et du monde. »
Le mystérieux Tibétain

« Saint-Pétersbourg … en 1905 était probablement le centre mystique du monde. » (Colin Wilson, The Occult)

Shamzaran (Piotr) Badmaiev était un Bouriate mongol qui avait grandi en Sibérie et qui s’était converti à l’Orthodoxie Russe avec Alexandre III pour parrain. Il acquit une influence considérable sur le Ministère des Affaires Etrangères et le Tsar lui décerna le titre de Conseiller Privé. Badmaiev était renommé en tant que docteur en médecine tibétaine, herboriste, et guérisseur, qui traitait des patients de la haute société dans sa clinique à la mode de « médecine orientale » à Saint-Pétersbourg. Décrit par un historien russe comme « l’une des personnalités les plus mystérieuses du jour », et comme un « maître de l’intrigue », Badmaiev fut étroitement lié avec le guérisseur mystique Raspoutine.

Connu comme « le Tibétain », Badmaiev rêvait d’unir la Russie à la Mongolie et au Tibet. Il s’engagea lui-même dans d’innombrables projets, visant à la création d’un grand empire eurasien. La mission historique de la Russie, pensait-il, était en Orient, où elle était destinée à unir les bouddhistes et les musulmans pour contrer le colonialisme occidental. Badmaiev résuma sa vision en 1893 dans un rapport au tsar Alexandre III, intitulé « Les tâches de la Russie dans l’Est asiatique ». Sa compétence politique considérable assura l’appui des tribus mongoles lors de la guerre russo-japonaise.

Dans une lettre du 19 décembre 1896, Badmaiev écrivait au tsar Nicolas II : « … mes activités ont pour but que la Russie doit avoir une influence plus grande que d’autres puissances dans l’Orient mongol-tibétain-chinois ». Badmaiev exprimait une préoccupation particulière quant à l’influence de l’Angleterre en Orient, affirmant dans un mémorandum spécial :

« Le Tibet, qui – en tant que plus haut plateau de l’Asie – domine le continent asiatique, doit sans aucun doute être entre les mains de la Russie. En commandant ce point, la Russie sera sûrement capable de rendre l’Angleterre plus accommodante. »

Badmaiev connaissait la légende, populaire en Mongolie, en Chine et au Tibet, du « Tsar Blanc » qui viendrait du Nord (de la « Shambhala du Nord ») et restaurerait les traditions à présent décadentes du véritable bouddhisme. Il rapporta au tsar Nicolas II que « les Bouriates, les Mongols et particulièrement les lamas … répétaient toujours que le temps était venu d’étendre les frontières du Tsar Blanc vers l’Orient … »

Badmaiev avait d’étroites relations avec un Tibétain haut placé, le lama Agvan Dordzhiyev, tuteur et confident du 13ème Dalaï-Lama. Dordzhiyev identifiait la Russie au futur Royaume de Shambhala, annoncé dans les textes de Kalachakra du bouddhisme tibétain. Le lama ouvrit le premier temple bouddhiste en Europe, à Saint-Pétersbourg, significativement dédié à l’enseignement du Kalachakra. L’un des artistes russes qui travailla sur le temple de Saint-Pétersbourg était Nicolas Roerich, qui avait été initié à la légende de Shambhala et à la pensée orientale par le lama Dordzhiyev. Georges Gurdjieff, un autre homme mystérieux qui eut un immense impact sur l’ésotérisme occidental, connaissait le prince Ukhtomsky, Badmaiev, et le lama Dordzhiyev. Gurdjieff, accusé par les Britanniques d’être un espion russe en Asie Centrale, était-il un élève des mystérieux Tibétains ?

« Je suis en train d’entraîner de jeunes hommes dans deux capitales – Pékin et Saint-Pétersbourg – pour des activités ultérieures », avait écrit le Dr Badmaiev au tsar Nicolas II.
L’Anarchisme Mystique

L’influence du « Tibétain » allait au-delà de la Cour impériale, jusque dans l’intelligentsia russe et plus loin encore, dans le monde souterrain de l’espionnage et de la politique révolutionnaire. L’un des mouvements intellectuels à l’époque des bouleversements politiques de 1905 était nommé « l’Anarchisme Mystique ». Deux de ses principaux représentants étaient les poètes et écrivains Viacheslav Ivanov et George Chulkov, tous deux des relations du Dr Badmaiev. Chulkov, tout comme le « Tibétain », était décrit comme un médium inconscient transmettant de mystérieuses forces.

Doctrine politique radicale visant à réconcilier la liberté individuelle et l’harmonie sociale, l’Anarchisme mystique s’inspirait des idées de Friedrich Nietzsche. Cela n’est pas surprenant si nous considérons le regard positif de Nietzsche sur la Russie, antithèse de l’Occident décadent, et la sympathie du philosophe allemand pour le bouddhisme et la culture orientale.

Selon l’historien Bernice Glatzer Rosenthal, les Anarchistes mystiques, convaincus « que des forces invisibles guident les événements ici sur Terre, croyaient que la Révolution politique reflétait des réalignements dans la sphère cosmique, et qu’un nouveau monde de liberté, de beauté, et d’amour était imminent. »

Préconisant l’abolition de toutes les autorités externes et de toute contrainte de l’individu – gouvernement, loi, moralité, coutumes sociales –, ils étaient indifférents aux droits légaux comme étant de simples « libertés formelles » et s’opposaient aux constitutions et aux parlements, en faveur de la sobornost’. Par sobornost’, ils entendaient une communauté libre unie par l’amour et la foi, dont les membres conservent leur individualité (distincte de l’individualisme, de l’affirmation de soi en-dehors ou contre la communauté).

Ils fondaient cet idéal sur leur notion de la « personne mystique », l’âme ou psyché, qui cherche l’union avec les autres et se reconnaît comme un microcosme dans le macrocosme, distincte de la « personne empirique », le Moi ou l’Ego, qui s’affirme à part ou contre les autres. Susciter et développer cette « personne mystique » rendrait possible une « nouvelle société organique » unie par les liens intérieurs invisibles de l’amour (eros, pas agape), de « l’expérience mystique », et du sacrifice – le contraire même de la société libérale, basée sur le contrat social et l’intérêt mutuel, et caractérisée par un discours rationnel. (9)

L’Anarchisme Mystique est une idée sociopolitique entièrement eurasienne. Ici nous avons un très mystérieux motif sous une forme moderne : le grand combat de la civilisation occidentale empirique, ploutocratique, contre la culture mystique et sacrificielle de l’Eurasie. En termes occultes c’est le conflit entre l’impulsion de « Shambhala » et les renégats de la « civilisation atlantéenne ». La Fraternité de la Lumière du Nord combattant les Frères de l’Ombre, manifestation externe de la longue guerre entre les agents de l’Etre et du Non-Etre.

Nicolas Berdiaev, Dmitri Merejkovski, Zenaïda Hippius, Valery Briusov, Mikhaïl Kuzmin, Alexandre Blok, Vassili Rozanov, ainsi qu’une foule d’autres poètes, écrivains et artistes russes, transmirent divers aspects de l’Anarchisme mystique et de la vision eurasienne. Quand le maître soufi Inayat Khan visita la Russie dans les années précédant la Révolution, il loua beaucoup « le type oriental de pensée qui est naturel à cette nation ».

Merejkovski voyait la possibilité de faire naître une « nouvelle conscience religieuse » à partir des deux types russes particuliers représentés par Tolstoï et Dostoïevski. Tolstoï tenait pour un mysticisme panthéiste de la chair, et Dostoïevski pour des valeurs spirituelles plus ascétiques. « Dans cette Russie le ‘Dieu-Homme’ se manifestera dans le monde occidental, et ‘l’Homme-Dieu’ pour la première fois en Orient, et sera, pour ceux dont la pensée réconcilie déjà les deux hémisphères, le ‘Un dans le Deux’ ».

Après la Révolution Bolchevique, Blok opposa la nouvelle Russie à l’Occident. Il appelait la Russie « les Scythes », c’est-à-dire une nation jeune, fraîche, dont la destinée était de défier l’Occident décadent :

« Nous sommes les Scythes, nous sommes les Asiates. Des siècles de vos jours ne sont qu’une heure pour nous, pourtant comme des esclaves obéissants, nous avons tenu un bouclier entre deux races hostiles – l’Europe et les hordes mongoles … Quittez la guerre et l’horreur, venez dans nos bras ouverts, à l’étreinte fraternelle, écartez la vieille épée pendant qu’il est temps, saluez-nous, frères … Ah, Vieux Monde, avant de périr, rejoins notre fraternel banquet. »

Le poète Nikolaï Kliuev et son jeune ami Sergueï Esenin présentèrent des images occultes et des thèmes eurasiens dans leur œuvre. A la fin de 1917, Kliuev (1887-1937), prophète et émissaire de l’Eurasie, écrivit :

Nous sommes la foule des porteurs de soleil,
Au moyeu de l’univers
Nous érigerons une maison joyeuse, aux cent histoires,
La Chine et l’Europe, le Nord et le Sud
Viendront dans la chambre dans une ronde fraternelle
Pour rassembler l’Abysse et le Zénith
Leur parrain est Dieu Lui-même et leur Mère
Est la Russie.

Esenin (1895-1925), le protégé de Kliuev, désirait la fin du vieux monde et son remplacement par un nouveau, et proclama même une nouvelle tendance religieuse appelée « Angélisme », avec d’évidentes racines dans le gnosticisme russe. Il saluait à la fois le Christ et Gautama le Bouddha comme des génies, parce qu’ils étaient des hommes de « parole et d’action ». Dans une lettre à un ami, Esenin écrivit :

« Bonnes gens, regardez-vous, des Christs n’émergent-ils pas de vous, et ne pouvez-vous pas être des Christs ? Ne puis-je pas être un Christ par la puissance de la volonté ? Combien toute notre vie est absurde. Elle nous arrache au berceau, et au lieu d’une vraie personne, c’est une sorte de monstre qui émerge. »

Il avertit les Etats-Unis, pour lui symbole de toutes les sources non-russes et rationalistes, de ne pas commettre l’erreur de « l’incroyance » et d’ignorer le nouveau « message » de la Russie, puisque le chemin de la vie nouvelle passait seulement par la Russie. Un ami écrivit comment Esenin et ses compagnons poètes « scythes » voulaient « l’approfondissement de la révolution politique vers le social » et en venaient à regarder le marxisme russe comme « vulgaire ». Avant sa mort, Esenin devint convaincu que des « forces mauvaises » avaient usurpé la Révolution et que les Bolcheviks avaient trahi la mission de la Russie.

Le célèbre poète Nikolaï Kliuev connaissait à la fois le Dr Badmaiev et Grigory Raspoutine, et, comme ce dernier, il avait été initié dans une école secrète de mysticisme sexuel chrétien ayant des similarités avec le tantrisme tibétain et le shivaïsme indien. « Ils m’appelaient un Raspoutine », écrivit Kliuev dans un poème en 1918. La spiritualité de Kliuev était profondément enracinée dans la tradition des dissidents religieux russes comme les Vieux Croyants, les Khlysty et les Skoptsy, qui formaient un véritable courant souterrain parmi le petit peuple. Kliuev reconnut que, défié par un vieux Khlyst de « devenir un Christ », il fut introduit dans la communauté secrète de la « Fraternité de la Colombe ». Avec l’aide de « diverses personnes d’identité secrète », Kliuev voyagea dans toute la Russie, participant à des rituels secrets et s’imprégnant des traditions occultes de l’Orient russe.

Dans ses poèmes, Kliuev cherchait à transmettre l’esprit mystique de l’Eurasie. Il fut un prophète de Biélovodia, le nom donné par les Vieux Croyants russes au paradis terrestre attendu, similaire à Shambhala. Kliuev envisageait une transformation profonde de la Russie, qui amènerait une société sans classes où la culture paysanne triompherait de l’industrialisme, du capitalisme, et de la mécanisation générale de la vie. Dans une lettre à un ami en 1914, il exprimait son inquiétude à propos des dangers de la civilisation occidentale :

« Chaque jour je vais dans le bocage – et je m’assois là près d’une petite chapelle – et du pin vénérable, un doigt vers le ciel, je pense à toi … J’embrasse tes yeux et ton cher cœur … O Mère Nature ! Paradis de l’esprit … Combien haineux et sombre semble être le monde soi-disant civilisé, et combien je donnerais, quel Golgotha j’endurerais – pour que l’Amérique n’empiète pas sur l’aube aux plumes bleues … au-dessus de la cabane de conte de fées. »

Le philosophe russe Nicolas Berdiaev exprimait la vision partagée par les penseurs russes d’avant la Révolution ainsi que par l’élite culturelle, lorsqu’il parlait de la fin du rationalisme occidental et de la naissance d’une nouvelle ère de l’esprit qui serait témoin du combat du Christ et de l’Antéchrist. Il voyait la popularité des doctrines mystiques et occultes comme une preuve de l’approche de cette Nouvelle Ere, et appelait à une « nouvelle chevalerie ». « L’homme n’est pas une unité dans l’univers, faisant partie d’une machine non-rationnelle, mais un membre vivant d’une hiérarchie organique, appartenant à un ensemble réel et vivant ». Les attaques de Berdiaev contre les valeurs matérialistes occidentales ne faisaient que refléter une vision largement partagée par la société russe. Ecrivant en exil au début des années 30, il observa :

« L’individualisme, l’atomisation de la société, l’avidité démesurée du monde, la surpopulation illimitée et les besoins sans fin des gens, le manque de foi, l’affaiblissement de la vie spirituelle, celles-ci et d’autres sont les causes qui ont contribué à construire ce système capitaliste industriel qui a changé le visage de la vie humaine et brisé son rythme avec la nature ».
Voyage à Shambhala

« Nicolas Roerich était un homme qui apportait la gloire à notre peuple ; il est un représentant de notre civilisation et de sa culture, l’un de ses piliers. » (Mikhaïl Gorbatchev)

Nikolaï Konstantinovitch Roerich (1874-1947) avait découvert l’idée de Shambhala alors qu’il travaillait à la construction du premier temple bouddhiste construit en Europe. Personnellement en relation avec l’intelligentsia de la Russie pré-révolutionnaire, Roerich devint un artiste hautement respecté et prolifique. Ayant étudié les travaux de Madame Blavatsky, Roerich croyait en l’unité transcendante des religions – à l’idée qu’un jour les bouddhistes, les musulmans et les chrétiens comprendraient que leurs dogmes respectifs étaient des enveloppes dissimulant la vérité cachée à l’intérieur. Entre 1925 et 1928, Roerich entreprit cinq expéditions remarquables à travers l’Asie Centrale, se concentrant sur la région mystérieuse entre l’Oural et l’Himalaya, la zone considérée comme le cœur de l’Eurasie. Les traditions et les légendes rencontrées par Roerich dans ses voyages sont décrites dans ses livres Altaï-Himalaya, Au cœur de l’Asie et Shambhala.

Dans la tradition du bouddhisme tibétain, Shambhala est la terre cachée dans laquelle les enseignements de l’école tantrique du Kalachakra (la « Roue du Temps ») sont préservés dans leur forme la plus pure. Roerich découvrit que la Shambhala du bouddhisme tibétain n’est pas très différente de la légende de Biélovodia préservée par les mystiques chrétiens russes. Un ancien de la secte des Vieux Croyants confia à Roerich :

« Dans des contrées lointaines, au-delà des grands lacs, au-delà des plus hautes montagnes, se trouve un lieu sacré où toute la vérité fleurit. Là on peut trouver la connaissance suprême et le salut futur de l’humanité. Et cet endroit est appelé Biélovodia, signifiant les eaux blanches. » (10)

Nicolas Roerich raconta que lors d’une visite dans la capitale mongole Oulan-Bator dans les années 20, il entendit des soldats révolutionnaires chanter :

La guerre de la Shambhala du Nord
Mourons dans cette guerre
Pour renaître
Comme Chevaliers du Maître de Shambhala.

Par « Shambhala du Nord », il faut entendre la Russie-Eurasie. Dans son livre Au cœur de l’Asie, Roerich définit Shambhala non tant comme un royaume à venir mais comme un événement – une nouvelle époque pour l’humanité, dont Shambhala et Biélovodia sont des symboles éternels :

« Vous avez noté que le concept de Shambhala correspond aux aspirations de notre plus sérieuse recherche scientifique occidentale … Dans leurs efforts, les disciples orientaux de Shambhala et les meilleurs esprits de l’Occident, qui ne craignent pas de regarder au delà des méthodes désuètes, sont unis. »

Roerich ne douta jamais du rôle crucial que la Russie jouerait en associant la plus noble sagesse de l’Orient et de l’Occident. En Russie une nouvelle synthèse émergerait et un nouveau jour se lèverait pour l’humanité, ni exclusivement occidental ni complètement oriental, mais véritablement eurasien. En 1940, alors que le monde était plongé dans la guerre, Roerich discernait les premières lueurs d’une Nouvelle Ere et écrivait :

« Les Russes ont empilé de grosses pierres. A l’admiration de tous ils ont édifié non pas une tour de Babel mais une tour russe. Un Kremlin des porteurs de Soleil avec une centaine de tours ! Ecoutez : c’est l’avenir, et comme il est radieux ! »
Un an plus tard, en 1941, il commentait :

« Le monde entier se précipite vers Armaguédon. Tout le monde est troublé. Tout le monde doute de l’avenir. Mais les Russes ont trouvé leur voie et comme un puissant déluge ils se dirigent vers leur avenir radieux. »

« Vous devez faire attention à Moi, pour Me voir »

L’avenir radieux de l’humanité, comme Shambhala, est sur le seuil. Un invisible collège d’hommes et de femmes à toutes les époques et dans toutes les nations l’ont entrevu et ont répondu à son appel. Vivant dans les premières années d’un nouveau millenium, nous sommes les témoins de l’accomplissement d’un ancien plan. De même qu’il n’y a pas de jour sans nuit, il n’y a pas non plus de Nouvelle Ere authentique sans sa contrepartie. Et de même que l’obscurité doit faire place à la nouvelle aube, notre actuel Age Obscur disparaîtra dans la grande lumière de la « Shambhala du Nord ».

Derrière l’enchevêtrement des événements des jours actuels, l’ancienne bataille se termine. « En temps de guerre », a dit l’émissaire de l’Atlantisme Winston Churchill, « la vérité est si précieuse qu’elle doit toujours être entourée d’un rempart de mensonges ». Animées par les méchants Magiciens de l’Atlantide, les sociétés secrètes occidentales sont en état de guerre occulte contre l’Ordre de l’Eurasie.

Nous attendons l’arrivée de la Nouvelle Ere de Shambhala, l’expulsion des Frères de l’Ombre hors des centres gouvernementaux et financiers de la Terre, et la fin du mauvais karma hérité de la négativité de l’Atlantide.

Alice Bailey, qui définit Shambhala comme « le centre vital de la conscience planétaire » et la décrivit dans La seconde venue du Christ, prophétisa aussi le rôle spécial de la Russie dans l’avènement de la véritable Nouvelle Ere :

« De la Russie … émergera cette religion nouvelle et magique dont je vous ai si souvent parlé. Elle sera le produit de la grande et imminente Approche qui prendra place entre l’Humanité et la Hiérarchie. De ces deux centres de force spirituelle, dans lesquels la lumière rayonna toujours, l’Orient illuminera l’Occident ; le monde entier sera inondé par le rayonnement du Soleil de la Justice. Je ne me réfère pas ici, concernant la Russie, à l’imposition d’une quelconque idéologie politique, mais à l’apparition d’une religion grande et spirituelle, qui justifiera la crucifixion d’une grande nation et qui se manifestera et se concentrera en une grande et spirituelle Lumière qui sera proclamée par un véritable représentant russe de la vraie religion – cet homme que de nombreux Russes ont cherché, et qui sera la justification d’une très ancienne prophétie. » (11)

Notes

(1) Arthur Waite, The Real History of the Rosicrucians.

(2) Lettres de H.P. Blavatsky citées dans The Occult Establishment par James Webb.

(3) Victoria Le Page, Shambhala : The Fascinating Truth Behind the Myth of Shangri-la.

(4) Alexandre Dugin, De la géographie sacrée à la géopolitique.

(5) Nevill Drury, Dictionary Of Mysticism And The Esoteric Traditions, 1992.

(6) Cité dans The Harmonious Circle par James Webb.

(7) Stephen A. Hoeller, « H.P. Blavatsky : Woman of Mystery and Hero of Conciousness », dans The Quest.

Cet article est paru dans New Dawn N° 68 (septembre-octobre 2001).

Traduction française de Franz Destrebecq.

geopolitics 

Global
27 juin 2016

Un trou coronal solaire intrigue les scientifiques ? SIRIUS ET NIBURU

 

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Les trous coronaux sont des phénomènes normaux liés à l’évolution du Soleil. Celui qui a été filmé par le Solar Dynamics Observatory (SDO) tranche, par sa taille, avec ce qui est habituellement observé. Les experts du Grand Astre sont intrigués par un trou géant et qui a l’air de s’agrandir de plus en plus.

http://www.youtube.com/watch?v=ziTKCP5gu3s&feature=youtu.be

Les trous coronaux, phénomènes solaires normaux


Un trou coronal solaire correspond à une zone dont la température est beaucoup plus basse que le reste du plasma. Ces zones ont l’étiquette de « trou » parce qu’elles apparaissent sous forme de taches noires quand elles sont visualisées par infrarouge ou ultra-violet. Ce décalage thermique se produit lorsqu’il y a un changement dans l’activité du Soleil et plus précisément lors du passage d’une phase où elle est intense à une autre où elle est plus faible.

Images du SDO : un trou 10 fois plus grand que la Terre !

Des images animent la communauté des chercheurs de la NASA depuis qu’elles ont été prises par le SDO, entre le 17 et le 19 mai 2016. Elles dévoilent un trou beaucoup plus large que les autres zones coronales normales. Il s’agit d’une taille qui correspond à 10 fois celle de la Terre, la plus grande jamais observée. Cela pourrait avoir un impact sur notre planète puisque le taux réduit d’énergie et de gaz qui caractérise lesdits trous attire les flux des champs magnétiques. Résultat : des vents solaires se lèvent et peuvent entrer en contact avec la Terre et être à l’origine d’orages géomagnétiques.

 

quel est le but de cette infos si ce nest creér la peur et la perte de foi .......

comme la résurgence de la rumeur de neburu prophétisait soit disant par le coran une infos ecrite en 2011 et recyclées au gout du jour pour capter dans la toile de nouveaux visiteurs en quète de sensationnel largument s'appuit sur Sourate 86 : AT-TARIQ (L'ASTRE NOCTURNE)

Au nom d’Allah, le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux.

1. Par le ciel et par l'astre nocturne
(Par ce verset Dieu jure, il s'agit d'un serment.)

2. Et qui te dira ce qu'est l'astre nocturne ?

3. C'est l'étoile vivement brillante. NE PEUT ETRE niburu soit disant une naine brune qui n'emet pas de lumière visible cette sourate ne parle donc pas de niburu mais de sirius l'etoile la plus brillante qui a un compagnon comme sur cet image gif .

SZDSD

Le fait que le mot arabe chi'râ, l'équivalent de l'étoile Sirius, apparaît seulement dans la sourate an-Najm, verset 49, et signifie "étoile" est particulièrement frappant. Tenant compte de l'irrégularité dans le mouvement de Sirius, l'étoile la plus brillante du ciel, étant considéré comme le point de départ, les scientifiques ont découvert qu'il s'agissait d'une étoile double. Sirius est en effet un couple d'étoiles, Sirius A et Sirius B. La plus grande des deux, Sirius A, est aussi la plus proche de la Terre et la plus brillante étoile visible à l'oeil nu. Quant à Sirius B, elle ne peut être observée sans télescope.

 

Chacune des étoiles du couple Sirius décrit une ellipse autour d'un centre de gravité commun. La période orbitale de Sirius A & B autour de leur centre de gravité commun est de 49,9 ans. Cette donnée scientifique est aujourd'hui communément acceptée par les départements d'astronomie des Universités de Harvard, d'Ottawa et de Leicester.52 Cette information est ainsi rapportée par différentes sources :Sirius, l'étoile la plus brillante, est en fait une étoile double… Son orbite dure 49,9 ans.Comme nous le savons, les étoiles Sirius A et Sirius B orbitent autour d'elles-mêmes tous les 49,9 ans.

Le point qui requiert notre attention est la forme en arc de l'orbite des deux étoiles. Cependant, ce fait scientifique, dont l'exactitude n'a été établie qu'à la fin du 20ème siècle, a été miraculeusement indiqué dans le Coran, il y a 1.400 ans. Lorsque les versets 49 et 9 de la sourate an-Najm sont lus ensemble, le miracle devient apparent.ETOIL

 

… Et c'est Lui qui est le Seigneur de Sirius. (Coran, 53 : 49) ce passage est un rappel aux civilisations qui adorait sirius comme les egyptiens cela veut dire vous adorez une planete alors que je suis son seigneur .....et son createur....

… à une distance de deux portées d'arc - ou moins encore. (Coran, 53 : 9)

Cette description dans le verset 9 de la sourate an-Najm décrirait également comment ces deux étoiles s'approchent l'une de l'autre dans leurs orbites.

VOICI SIRIUS QUI SE lève avant le soleil qui se lève juste après

SIRIUS

27 juin 2016

Géométries Sacrées reptiliens et prédation énergétique

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Géométries Sacrées, tome 2

.A propos des réseaux : Nickel=Hartmann, Cuivre=Palm, Or=Peyré, Fer=Curry, Aluminium=Wissmann.

« Nous avons l’impression qu’il s’agit d’un phénomène électromagnétique naturel qui n’est pas de nature éthérique ou subtil. » Une sorte de « fractale d’un champ magnétique terrestre multipolaire. »

Pourquoi ? Parce qu’il y a une multitude de trames, un lien réseaux-métaux, une alternance de lignes positives/négatives… et aussi parce que le sous-sol influe sur les réseaux, qu’un champ magnétique déplace (écarte) les lignes, que les réseaux modifient la quantité des ions dans l’air…

Les ondes cérébrales doivent probablement entrer en résonance avec les réseaux (pour le déplacement des lignes par la pensée).

Les cheminées : elles naissent en poussant comme des fleurs. Les bras seraient un signe de maturité et il peut en fait y en avoir jusqu’à douze.

Les vortex : Ils ont tous la même taille, il n’y a pas de « petits » vortex. Il existe quelques vortex sans spirale, par contre. Les lieux sacrés sont pour les 3/4 situés sur des vortex. Ils ont des multiples propriétés, mais attention aux rencontres avec des entités négatives à ces endroits.

Avec un organomètre on peut détecter un effet sur les méridiens, équilibrant et bénéfique. Il faut pour cela rester une heure sur un vortex.

Les courants d’eau : Un cours d’eau souterrain peut diminuer le champ magnétique terrestre de 1,5% ! (et le champ vital de -30%).  »Le champ vital réagit proportionnellement au champ magnétique terrestre. » L’effet des cours d’eau est toujours négatif. Il provoque un relâchement des muscles, engendrant le mouvement de la baguette du sourcier. Cela est du au frottement de l’eau contre la roche. Si l’on reste sur un cours d’eau, le champ vital diminue jusqu’à -65%. Une personne s’épuise jour après jour et en quelques mois peut avoir une maladie grave.

Les failles : Elles sont dévitalisantes. L’effet est très négatif. Elles resserrent le réseau Nickel.

Le champ magnétique d’une bobine augmente le corps éthérique. Le maximum de l’augmentation est à 2,5 Hz (+150%).

Un objet a plus d’effet sur le champ vital s’il est relié à un champ de conscience « plus vaste ». Par exemple : Concentration d’énergie dans les os d’un saint, et encore davantage si ces os sont recouverts d’or (émetteur). Si l’objet est puissant, le plan équatorial du corps énergétique s’élève, l’énergie monte à la tête (euphorie).

Les tumuli : Tous les lieux anciens, consacrés aux morts, ont les mêmes particularités :
- Interaction de lignes négatives niv. 3 ou plus
- Cheminée cosmotellurique négative, ou fortement négative
- Réseau Nickel manipulé intentionnellement (barrière magique)
- Pas de lignes Nickel sur les tombes (zone neutre)
- Lieu géométrique, basé sur le nombre d’or, la racine de 2 ou de 3

Autre phénomène cosmotellurique non décrit dans le tome 1 : les « piliers du ciel ». Ils sont plus puissants que les vortex.
- Trou ovale dans le réseau Nickel, aligné est-ouest (environ 20/30m dans un cas).
- « Colonne » verticale comme une onde de forme, de 7 cm de diamètre
- Celui découvert était sur une pierre à cupule
- Possible origine : un gouffre cylindrique souterrain dont le rayonnement remonte à la verticale.

Les allées couvertes : On a une perte d’énergie à l’entrée puis le parcours produit un effet de charge jusqu’à la chambre terminale, qui elle, est positive.

Autre dispositif magique non décrit dans le tome 1 : Les portes astrales. Ce sont des cylindres de 80 cm de large sur 180 cm de haut, placés sur la spire d’un vortex. Elles permettent de se connecter à d’autres réalités, ce qui n’est pas toujours agréable. Attention aux entités. [Note : c'est peut-être ce que décrit Jan van Helsing quand il parle du monastère cistercien de Loccum.]

Comment améliorer une maison ? Il faut déplacer les cheminées négatives qui s’y trouveraient (on les remarque d’ailleurs lorsqu’il y a des colonnes de moucherons), et il faut caler les lignes telluriques dans les murs.

Les Elémentaux : Ils sont dans d’autres dimensions, comme dans des « rêves » différents. Le temps s’écoule différemment, la notion de temps diffère selon les entités. Les Elementaux sont perceptibles au Sonotest. Ils produisent une « charge ionisée ». Leur taille : 30 cm pour les nains, 60 pour les gnomes, 110/140 pour les trolls. Les Trolls sont plus solitaires, moins bavards. Les grands Elementaux font 3 ou 4 mètres, et ressemblent parfois à des divinités égyptiennes ou hindoues. Ils sont solitaires et dirigent parfois les entités plus petites. Ce sont des gardiens de sources, rochers, lacs, cavernes… peut-être instructeurs de l’humanité autrefois ? Certains font même 7 mètres, ce sont alors des gardiens de vallées ou montagnes.

Il y a une face obscure aux Elementaux. Certains sont « liés aux forces lucifériennes, celles qui ont créé la matière pour que l’Esprit puisse en faire l’expérience et progresser », mais d’autres enchaînent à la matière, ce sont alors des Elementaux noirs, des « démons ».

Comment aborder un lieu sacré ? Il faut une planche à dessin, un Sonotest, un géomagnétomètre, une boussole, des drapeaux de couleur, des baguettes (rad-master), un mètre pliable, et un appareil photo. Stéphane Cardinaux décrit la procédure de découverte des phénomènes cosmotelluriques et la manière de les localiser.

Géométrie sacrée : Il y a deux familles de proportions : celles basées sur une racine carrée (2 ou 3) et celles basées sur le nombre d’or et sa racine.

Il existait une « proto-géométrie véhiculée par un groupe d’initiés ». Les bases ont été développées entre 6000 et 2500 av. J.-C., ensuite, il n’y a pas de nouveautés. Peut-être ont-ils imités la nature. Les proportions basées sur la racine carrée de 2 par exemple, sont présentes dans la nature.

La pyramide maya de Chichen Itza ou le théâtre d’Avenches utilisaient quant à eux la division dorée.

Les tracés peuvent utiliser des techniques de bissection, de rotation…

En traçant les lignes d’un bâtiment, on découvre par statistiques quel est le tracé régulateur.

Les symboles peuvent aussi avoir un effet sur le champ vital. La svastika dextrogyre augmente le champ vital tandis que la sauvastika levogyre le diminue. Comme pour le Sri Yantra : mal tracé, il diminue le champ vital. Le principe de chiralité s’applique donc ici, sauf pour l’exception de la spirale d’or (elle augmente le champ vital dans un sens ou dans l’autre).

Bioénergie

Ce livre résulte de la tentative de trouver un lien, un pont, entre les plans. C’est une approche plus féminine que celle des précédents livres.

Tout a une influence sur le champ vital, que ce soit un phénomène ou la pensée… il n’y a pas de différence.

La « réalité » dépasse de beaucoup ce que l’on imagine. Tout est interconnecté et le champ vital varie même si l’on se projette mentalement à un endroit dans le passé ou dans le futur.

Il est difficile de cerner « scientifiquement » le champ vital. Même il est en rapport avec l’effet Kirlian et est détectable au Sonotest.

Champ vital proche : 20/25 cm
Champ vital médian : 1m50/2m50, moyenne à 1m65. Valeur minimale 85 cm, maximale 265 cm (en cas de grossesse, le bébé dans le ventre amplifie le champ vital).
Champ vital lointain : dizaines de mètres, plusieurs harmoniques. Les harmoniques sont comme un sonar qui capte les informations.

Le champ vital est une condensation de couches jusqu’au corps physique palpable, comme des vagues dans l’eau mais stationnaires. Ces couches sont de nature éthérique (ce n’est pas l’aura, qui est astrale).

Trois cloisonnements sont intéressants : le plan vertical, horizontal et latéral.
On peut ressentir les couches avec les mains : picotements, pression, résistance…

Le corps humain physique et surtout bioénergétique capte des informations : l’ADN et l’eau intracellulaire font le pont entre le subtil et le physique.

Le corps éthérique voit tout autant ou même plus que le corps physique, on le sait par des tests faits à l’aveugle sur des objets.

Les phénomènes positifs dilatent le champ vital, mais des phénomènes négatifs le comprime. Un champ vital dilaté est plus sensible à l’environnement.

Une personne ancrée est peu perméable. Quand une personne n’est pas ancrée, elle a des haut et bas énergétiques car le mental (6e chakra) accomplit une fonction de protection qui devrait plutôt revenir au corps (3e chakra). Les blocages émotionnels sur les chakra 1 à 3 augmentent le risque de maladie.

Le champ vital est composé de trois axes principaux qui se croisent au nombril. S’il y a un décalage de ce centre, cela pose un problème. Constater les décalages fournit un bon système de mesure. On peut mesurer le décalage avec les mains. Il y a différents types de décalages (mental, émotionnel, physique…) Trop de déséquilibre (comme par exemple en cas d’entité parasite) provoque des troubles d’équilibre, de vue, de coeur, jusqu’à la perte de conscience.

Les produits à chiralité dextrogyre ne sont pas adaptés au corps car ils décalent l’axe vertical à gauche. Même chose pour les champs électromagnétiques, alternatifs et pulsés, qui produisent aussi cet effet.

Un décalage se produit aussi en réaction à des perturbations du sous-sol, ou en réaction à des émotions négatives (les siennes ou celles de personnes autour de soi).

Les chakras sont audibles au Sonotest :

7 – magenta – fontanelle
Intermédiaire – pourpre – front
6 – indigo – sourcils
Intermédiaire – bleu – bouche
5 – cyan – pomme d’adam
Intermédiaire – turquoise – clavicules
4 – vert – coeur
Intermédiaire – pomme – estomac
3 – jaune – nombril
2 – orange – bas ventre
1 – rouge – périnée

Les déséquilibres indiquent des besoins non satisfaits, le sentiment de ne pas être comblé.

7 – Sentiment de ne pas exister / je suis heureux – besoin de spiritualité
6 – Sentiment de ne pas savoir / je suis libre – besoin de connaître
5 – Sentiment de ne pas être compris / je suis compris – besoin d’exprimer
4 – Sentiment de ne pas être aimé / je suis aimé – besoin d’amour
3 – Sentiment de ne pas être respecté / je suis respecté – besoin de réaliser
2 – Sentiment de ne pas être accepté / je suis accepté – besoin de sexualité
1 – Sentiment de ne pas avoir assez / je suis comblé – besoin de matérialité

Les personnes les plus équilibrées ont les chakras 1, 4, 6, 7 plus grands que la « bulle » du champ vital et les chakras 2, 3, 5 juste à l’intérieur du champ vital.

La polarité des chakras alterne. La polarité est perceptible avec un appareil Spinor.
Les chaînes humaines (donc également certaines danses traditionnelles) augmentent l’énergie par le lien des mains.

La vitalité dépend de l’activité des 3 premiers chakras.

Les chakras intermédiaires pomme et turquoise ont une fonction liée au chakra vert / 4e (relationnel et émotions).
Turquoise : lié à l’empathie, au guidage intérieur.
Pomme : il digère ce que capte le turquoise.

Le 7e chakra agit sur l’aspect vibratoire (le « flux« ). Le 1er chakra agit sur la quantité d’énergie globale.
Un bon équilibre cosmotellurique permet une meilleure défense contre les nuisances et la prédation énergétique. Or, 80% de la population n’est pas ancrée. Être ancré veut dire être en lien avec le tellurisme. Cela est lié au manque de confiance, à la honte. Le 1er chakra est important car il garantit la survie.

Il y a 6 profils types selon les tendances bioénergétiques. L’équilibre est rare (5%), lorsqu’à la fois on est relié horizontalement (relation harmonieuse entre soi et les autres) et verticalement (relation entre les idées et leur réalisation).

La fréquence de résonance se mesure en plaçant une bobine émettant un champ magnétique près du champ vital et la faire varier sur une plage de 10 à 60 Hz (à 400 nT).

Après des mesures sur 100 personnes, on obtient une courbe de Gauss. La fréquence de résonance des personnes varie peu dans le temps. Elle indique le « potentiel de conscience » de quelqu’un, et cette fréquence est toujours limitée par le système de croyance (ex : vision négative de soi).

[Note à propos de la fréquence de résonance : Dans les recherches de Laura Knight-Jadczyk, on retrouve ce même concept, qui est appelé "Vibration de la Fréquence de Résonance" (en anglais FRV). La FRV correspond au niveau de conscience d'une personne. Les changements drastiques dans la vie, au niveau mental, émotionnel et psychique sont symptomatiques d'un changement de la FRV. Par exemple, un changement de la FRV provoquera un désintéressement envers ses précédentes occupations. Par contre, les modulations de vibration de la résonance de fréquence peuvent être altérées ou modifiées de l'extérieur si l'on n'est pas assez prudent, lors d'attaques. Par exemple, des groupes secrets peuvent utiliser des moyens mécaniques et psychiques pour découvrir les personnes qui ont une FRV risquant de déstabiliser le pouvoir en place. Cela implique la détection de la "signature" atomique de la structure cellulaire d'un individu. La FRV est en rapport avec le corps éthérique, et elle peut être estimée par vision à distance. Un changement général de la FRV d'un grand nombre d'êtres provoque un changement sur la réalité. Un groupe ayant des FRV en correspondance peut, comme un orchestre, avoir un volume plus important et "créer un conduit" entre différents plans de la réalité. "L'enveloppe de fréquence a différentes applications."]

Les statistiques recueillies par Stéphane Cardinaux montrent 3 ou 4 pics dans la population. Ce sont comme des « paliers » de conscience.

Les pics de fréquence de résonance parmi la population. Image : Stéphane Cardinaux

Différentes problématiques sont associés aux différents paliers de conscience :

Vers 15 Hz : souffrir de ne pouvoir faire
Vers 23 Hz : apprendre et faire
Vers 33 Hz : expérimenter et faire
Vers 43 Hz : expérimenter et être
Vers 53 Hz : être et initier les autres
Vers 63 Hz : souffrir de ne pouvoir être

Les personnes qui ont la même fréquence (+/- 1 Hz) ont l’impression d’être sur la même longueur d’onde. Une différence de plus de 10 Hz produit une séparation dans un couple. « Changer de fréquence, c’est changer de paradigme. Les intérêts évoluent et les activités aussi. » Il y a aussi une diminution de 1 Hz tous les trois ans s’il n’y a pas de prise de conscience augmentant la fréquence de résonance.

« Statistiquement, plus la fréquence est élevée, plus le champ vital est grand. Entre 20 Hz et 55 Hz (80% des personnes), il y a un grain de 3 Hz par tranche de 10 cm de champ vital. Ainsi, lorsque nous voulons gagner du temps et nous épargner le protocole de mesure de la fréquence, nous nous contentons de mesurer la bulle du champ vital au niveau du nombril et de regarder à quelle fréquence cela correspond dans le graphique. Par expérience, sur plus de 60 personnes, cette précision est largement suffisante. »

La durée des cycles de vie varie aussi selon la fréquence de résonance, correspondant aux chakras (= 7 cycles). Entre un cycle à un autre, il y a aussi généralement un changement de vie. On peut ainsi dater précisément les évènements de la vie d’une personne. Cette méthode a été utilisée pendant 3 ans sur 800 cas. Exemples :

30 Hz : cycle de 5 ans : 7×5 = 35 ans, puis à 70 ans…
40 Hz : cycle de 3 ans : 7×3 = 21 ans, puis à 42 ans, 63 ans, 84 ans…
50 Hz : cycle de 1 an : 7×1 = 7 ans, puis à 14, 21, 28, 35, 42, 49, 56, 63, 70, 77 ans…

Si l’on remarque qu’un chakra est perturbé (petit), c’est qu’il y a eu un problème dans le cycle correspondant. Les problèmes se répercutent sur le chakra du cycle qui lui correspond. On peut déterminer à quel endroit se trouve l’énergie. S’il y a un blocage au niveau où se trouve l’énergie, apparaissent alors des fuites et des douleurs (ex : douleurs dorsales).

Le temps est une illusion. Il devient subjectif dans l’astral même s’il est mesurable dans le physique.

« Lorsque la conscience fait taire le mental et accède au non-temps, toute la réalité devient une vaste illusion où chaque chose, chaque événement prennent l’allure d’un signe pour qui sait l’interpréter. Le passé, le présent et le futur ne forment plus qu’un, les causes créent des effets et les effets des causes. Tout se superpose et c’est très dur pour notre mental habitué à tout classer. Le hasard n’existe pas, tout est synchronicité. Tout est inscrit à l’avance (futurs possibles), cependant tout peut être changé à chaque instant (le maintenant). Dans ce contexte, les notions de salut, de réincarnation, de vie éternelle prennent un tout autre sens. Le monde se crée en permanence. Nous nous incarnons sans cesse. Le salut est dans l’ici et maintenant. »

Les aspects transgénérationnels sont dues à des « résonances » (choisies lors de l’incarnation) avec les ancêtres.

Les chakras ont aussi leur fréquence de résonance. Chaque fréquence agit sur l’ADN. Les chakras sont comme des touches du piano. Ex : les cristaux agissent par résonance avec la personne.
La résonance est un élément clé de compréhension.

Pour déterminer la fréquence de résonance des chakras, on place la bobine sur le chakra. On cherche la « résonance fondamentale » (la première détectée à partir de 1 Hz). Cette fondamentale change selon les chakras. La fréquence de résonance du 1er chakra est égale à la fréquence de Schumann (fréquence de résonance de la Terre). Les fréquences de résonance des chakras suivent les lois de la nature (rapports musicaux de la gamme naturelle), sur une plage de 3 octaves.

Les ondes de forme des objets réagissent aussi au champ magnétique alternatif. On obtient des pics. On a donc la fréquence de résonance de différents cristaux… et surprise ! elle correspond à l’effet traditionnel de la pierre. Par exemple, l’or et le diamant sont les plus proches du 7ème chakra.

Le son aussi entre en résonance avec les chakras qui sont comme des sélecteurs de fréquence. Les sons graves font plutôt résonner le bas du corps et les sons aigus le haut du corps.
Entre 100 et 1000 Hz, le corps perçoit les sons à l’intérieur, au-delà la fréquence correspond à des points au-dessous du 1er chakra ou au-dessus du 7ème.
A noter que le O a une action sur les chakras du bas, le A sur ceux du milieu et le I sur ceux du haut.

On obtient une courbe qui peut avoir des différences selon les individus mais qui est toujours exponentielle, à l’instar de la courbe des résonances magnétiques des chakras.

Moyennes selon les chakras : 1er à 120 Hz, 2e à 130 Hz, 3e à 150 Hz, pomme à 170 Hz, 4e à 185 Hz, turquoise à 260 Hz, 5e à 350, 6e à 600 Hz, 7e à 850 Hz.

Nous avons aussi une résonance avec les couleurs. La couleur préférée est souvent la couleur de résonance et la couleur la moins aimée est la couleur complémentaire.

Stéphane Cardinaux avait commencé par faire des expériences avec des torches et filtres de couleur. Mais il s’est rendu compte qu’il suffisait de penser à une couleur et de l’émettre par la main droite pour qu’elle ait une action sur quelqu’un. On peut alors mesurer le changement sur le champ vital de la personne de la main gauche.

La grandeur du champ vital correspond aussi aux couleurs et à la fréquence de résonance. Quand on connaît la dimension du champ vital, on peut en déduire la fréquence de résonance et la couleur préférée d’une personne.

Les tubes extrasensoriels : Il y en a 7 autour de la tête, disposés en étoile, et rayonnant à partir d’un globe central. C’est un dispositif éthérique. On peut le mesurer avec la main, en la plaçant à 30 cm de la tête.

Ils sont visibles par clairvoyance comme des tubes jaunes dans l’éthérique, et comme des flammes de couleur variable dans l’astral. Ils correspondent aux sens physiques mais pour l’extrasensorialité.

Le tube vertical est le plus important : c’est celui de la « claire-information », de la médiumnité. Les autres tubes dépendent de celui-ci.

Intuition : tube à l’arrière de la tête
Claire-vision : devant la tête
Claire-audience : des deux côtés des oreilles
La claire-olfaction, claire-saveur et clair-ressenti (psychométrie) sont des cas plus rares.

Cependant, « c’est une illusion de croire qu’une meilleure clairvoyance élève l’esprit ».

Pour la moitié des personnes, au-delà de 40 Hz elles ont un don, et celui-ci s’active quand les 7e et 4e chakras se renforcent (c’est-à-dire le « coeur » et le « flux »).

La détection par les tubes est plus efficace que d’utiliser des instruments en géobiologie.

Entre les individus des tubes peuvent parfois relier deux chakras :
2e chakra : dans les danses/groupes
4e chakra : dans le cas de jumeaux/mère-enfant, etc
6e chakra : donne la télépathie, permet de sentir tout ce que l’autre ressent

Les canaux qui relient les chakras sont au nombre de 3. Un canal central est entouré de deux qui forment une double hélice (ida/pingala). L’énergie kundalini est bloquée par les kystes émotionnels : si elle parvient jusqu’à la tête, elle l’allume comme une ampoule. On peut aussi apercevoir cette clarté en méditation, en état d’inspiration, lors d’un concert, chez un thérapeute, etc. Cela forme une aura dorée.

L’éveil de la kundalini est dangereux car c’est une énergie sexuelle. Elle passe par trois étapes : 1- chaleur, 2- présence à soi, 3- lien transcendantal, qui permet la descente de l’énergie supérieure dans le coeur.

Les limites mentales, le manque d’intégration et le non-amour de soi-même ouvrent des portes aux attaques, et aux formes-pensées.

Il y a trois types d’entités dans le bas-astral : les défunts, les parasites astraux et les entités non-humaines.

Les défunts peuvent s’accrocher à notre énergie, à notre part d’ombre qui est en résonance avec eux.
Les parasites astraux sont des sortes de bêtes qui s’accrochent à une zone du corps et créent une perturbation détectable avec la main (froid, picotements…). Ex : kyste astral, méduse astrale, oursin astral…
Il peut y avoir des entités non-humaines comme des reptiliens, qui viennent en résonance à des pensée orientées « sur le pouvoir, la violence et la finance. »

Les trois premiers chakras sont liés au corps.
Le coeur et les 2 intermédiaires sont liés à l’âme et aux émotions/sentiments.
Les trois chakras du haut sont liés à la tête et à l’esprit.
Quand il y a une disharmonie, il y a une perturbation et un risque d’être parasité. C’est souvent le résultat de la relation avec le père ou la mère.

Les attributs karmiques : Ils sont visibles par clairvoyance. Ce sont des formes liées à la vocation/mission de la personne. Elles sont plus ou moins actives selon l’utilisation du don. Exemple d’attributs karmiques : flamme, cornes, boules, ailes, armures, ceinture, couronne… les couleurs sont variables.

Les « enfants indigos » : La majorité sont déjà adultes. Leur fréquence de résonance est de 30/60 Hz. Ce sont des personnes rebelles contre l’autorité, développant leur potentiel rapidement. Ce sont des personnes en marge, il y a un décalage entre leur idéal et celui de la société. Leur idéal est irréalisable à cause des autorités.
Les « enfants magenta » : Ils aiment le mouvement, le changement, cela peut exaspérer l’entourage. Leur mental interfère souvent avec la vie. Ils sont individualistes, idéalistes, ne supportent pas l’injustice, tombant parfois dans la dépression. Ils ont du mal à s’adapter, n’ont en général pas d’activité professionnelle et vivent aux crochets des parents, d’amis ou d’institutions (80% des cas). Ils ne supportent pas la hiérarchie et ont un problème d’ancrage.

Lorsque les enfants grandissent, ce sont les chakras du bas qui se développent d’abord. Le profil constitué à 7 ans reste fixé pour les 30 ans suivants. Le champ vital chute brutalement durant les premières années et décline après 65 ans. Vers 4/5 ans, le 4e chakra se développe un peu plus chez les hommes.  A la mort, le champ vital met 3 jours pour se désintégrer.

Le champ vital passe de 3 m à 2 m de 0 à 20 ans, puis de 2m à 1m50 de 20 à 60 ans, puis de 1m50 à 1m de 60 à 90 ans. Les grossesses augmentent l’ancrage et le 1er chakra. Les prises de conscience (= se voir tel que l’on est) contrebalancent l’effet du vieillissement. Les grossesses et les pèlerinages peuvent aussi fortement augmenter le champ vital (ex : de 1,40 m à 2m).

Deux polarisations sont possibles : L’intelligence peut être mise au service de l’ego ou du coeur (schéma 6/3 ou 7/4/1). Note : on peut parler de service-de-soi ou de service-des-autres. Ce processus a été décrit avec précision par Ra. 

Le 6 (mental) avec le 3 (corps, égo, moi) forme un cercle vicieux. Entre le 6 et 3, le coeur au milieu est fermé.
Si l’on ajoute à ce schéma le 4 (coeur) entouré du turquoise (acceptation de soi) et du pomme (estime de soi), on redresse le cercle qui se relie au 7 (sens de la vie) et au 1 (réalité de la vie). C’est l’alignement.

Le mode 6/3/1 forme une séparation avec l’extérieur, une mentalité de combat, de compétition, où la peur est omniprésente (esprit de possession). Le coeur s’assèche. La confrontation avec la mort produit un changement et peut permettre au coeur d’être écouté. Cela augmente l’empathie.

Avec le 7/4/1, il y a une cohérence entre les pensées et les actes. Il y a une unité des plans de conscience, une reliance. Le passage du schéma 6/3/1 au schéma 7/4/1 est l’équivalent d’une « mort à soi-même », d’un parcours initiatique.

Les perturbations électromagnétiques : Elles sont nombreuses dans notre société, et induisent une diminution du bien-être, des troubles du sommeil, etc. Ces troubles diminuent si la puissance de l’émission diminue.
Pour un champ magnétique, l’idéal est 0/30 nT, en évitant d’être à 200 nT et ne jamais être à 500 nT.
Pour un champ électrique, l’idéal est moins de 30 V/m, en évitant d’être à 200 V/m et jamais 500 V/m.
Pour un champ EM, l’idéal est moins de 0,6 V/m, en évitant d’être à 1,5 V/m, et jamais 2 V/m (noter que la norme en France est de 41 V/m !)

Les antennes GSM ont un rayonnement particulier, il faut éviter d’être dans l’axe de l’émission. Il faut éviter d’être à moins de 160 à 200m/300m selon la nature du sol. L’impact est beaucoup plus fort si l’antenne se trouve sur une faille.

Il y a d’autres sources néfastes comme les téléphones sans fil DECT, les bornes Wi-Fi et les ordinateurs. Les écrans cathodiques sont aujourd’hui remplacés par des écrans plats qui n’ont aucune nuisance. Le seul problème avec les ordinateurs est donc le câblage électrique, et dans le cas des ordinateurs portables c’est la proximité du disque dur par rapport aux doigts (méridiens affectés).
Les portables et les téléphones DECT sont une nuisance, même en veille. En commun, ils font diminuer le champ vital de 30 à 70%. Même à 3m, ils diminuent le champ vital. Il faut une fois et demi le temps de la conversation pour revenir à la normale. Ils causent un champ de torsion gauche. La plus grave nuisance vient des bases des téléphones DECT qui émettent en permanence.

Les lignes haute tension ont une forte nuisance à moins de 40m, et la nuisance sur le champ vital s’étend jusqu’à 100m.

Les micro-ondes ont des problèmes de fuite au niveau de la porte. Il ne faut pas rester devant. De plus ils modifient le champ de torsion (le repoussent vers la gauche). Les aliments passés au micro-onde diminuent le champ vital de 40%.

Les appareils correcteurs n’agissent que sur l’information des champs de torsion. Il y a différentes solutions (Triskel, Spinor, Bioguard…). Les mesures de leur efficacité se font par organomètre.

C’est l’information éthérique d’une onde EM qui est surtout perturbante. Exemple : l’information « couleur bleue » d’une lampe a un impact même si la lampe est cachée.

Les failles : Elles sont souvent confondues avec les réseaux, mais elles sont mesurables au géomagnétomètre, car elles augmentent le champ magnétique terrestre en le déviant. Une « faille » est une discontinuité dans le sol, il y en a de nombreuses sortes. Les failles produisent un champ de torsion gauche (d’où les arbres tordus). Ainsi, si l’information « faille » est captée par l’eau et transmise au corps elle produira la même perturbation. Dans une zone au-dessus d’une faille, la santé se dégrade en quelques mois. Une faille resserre aussi les mailles du réseau Nickel et le repousse vers le haut.

Les cours d’eau : Il y a deux pics négatifs des deux côtés de la veine. Ils sont parfois associés à une faille. Ils ne produisent pas de perturbation s’ils sont à sec.

Les réseaux : C’est un phénomène éthérique et non électromagnétique. [Note : Stéphane Cardinaux revient donc sur l'avis émis dans Géométries Sacrées, tome 2]. Ils sont mis en évidence au Sonotest. « Les sons font le lien entre les plans et l’électromagnétisme reste limité à la matière physique. »
Les réseaux sont les « ondes de forme de la terre » activés par le champ magnétique, véhiculant les informations des métaux.
Ils sont un peu comme les dessins sur l’eau que l’on voit sous l’influence d’une fréquence. Il existe une similitude entre les ondes sonores et les réseaux telluriques, le comportement est le même en réaction à une influence.

Les lignes positives ont un champ de torsion droite, les lignes négatives un champ de torsion gauche. Elles réagissent aux champs de torsion. La polarité alterne. Les lignes sont une « concentration d’onde de forme », ce sont des ondes stationnaires.

On peut déterminer avec une bobine la fréquence de résonance des lignes. Les maxima correspondent à des multiples de 2 ou 3 selon les réseaux. Les pics se cumulent autour de 64 et 128 Hz. Il y a également une résonance avec les chakras.

Les cheminées cosmotelluriques : En terme d’énergie, elles sont moins intéressantes que les vortex ou les courants telluriques. Cependant, les cheminées donnent des particularités à un lieu.
Leur énergie est concentrée dans leurs harmoniques, qui forment plusieurs octaves. Les harmoniques les plus excentrées sont plus fortes (contrairement aux vortex où les harmoniques les plus proches du centres procurent le plus d’énergie).
Les cheminées négatives compriment le champ vital et son souvent polluées par des entités.
Chaque cheminée a une couleur, et une résonance avec un chakra. Quand elles sont associées à un autre phénomène (courant, vortex) d’une autre couleur, elles créent un courant dans le corps entre les chakras correspondants.
L’énergie des cheminées s’arrête souvent dans une zone bloquée du corps.
Les cheminées les plus intéressantes se trouvent dans les lieux du néolithique. Certaines ont une couleur qui est au-delà du spectre des couleurs visibles (infrarouge, blanc, argent, cristal, or, diamant…). Au-delà du 7e chakra elles sont liées au spirituel, et au dessous du 1er elles produisent une sensation de présence à soi et de purification.
La respiration des cheminées entraîne une variation des axes du champ vital, ce qui est peu favorable pour le corps. L’expir ou l’inspir ne change pas le fait que l’énergie descend toujours dans une cheminée (de haut en bas).

Les vortex ont une action plus large que les cheminées. Ils sont de deux types.
Niveau 1 : 3 spires, spirale de 24m de large, deux centres éloignés de 70/1500m.
Les spires sont parfois confondues avec les harmoniques des cheminées. Le centre du vortex est comme un jet d’eau ou d’air venant du sol. Il y a une entité vers 140m d’altitude, dans l’axe du vortex, celle-ci a une très forte énergie.
Niveau 2 : 7 spires, spirale de 240m de large, deux centres éloignés de 8km.
Elles augmentent le plan horizontal de 20 cm et 80 cm après activation. On a l’impression d’être saoul, et avoir du mal à rester centré. Pour ce faire, il faut renforcer le 1er chakra pour abaisser le plan horizontal.

Les vortex sont plus actifs quand la météo est bonne, et quand la lune est pleine. Comme les cheminées, les vortex ont une couleur. Les vortex sont favorables, ils sont rééquilibrants et agissent sur les blocages et points faibles.
90% des sites sacrés avant 1350 av. J.-C. ont un vortex. Associé à une pierre, il repousse le réseau Nickel et change la perception de l’espace-temps, provoquant une perte de repères. L’énergie circule mieux, et encore plus si l’on tourne autour de la pierre.

« Toutes les techniques giratoires, telles les danses où l’on tourne sur soi-même provoquent un résultat semblable. En tournant vite, l’énergie monte dans les chakras du haut mais, en même temps, il faut s’ancrer pour ne pas tomber. Non seulement on sent cette énergie circuler en soi, dans les mains surtout, mais on la rayonne aussi autour de soi. Tout objet physique tournant sur lui-même rayonne davantage qu’au repos. Dans les cas des menhirs la pierre est fixe, mais c’est l’énergie tournant dans le vortex qui crée l’effet par une action centripète. »

Sur un vortex activé, la fréquence de résonance augmente de 1,9x, les tubes de 1,7x, la densité de 2x, et le champ vital de 7x. Un vortex agit à la fois sur les chakras du bas et du haut.

Les courants telluriques : Ils peuvent être « tigre blanc » (yin) ou « dragon noir » (yang). Les premiers sont exploités dans abbayes en plaine, les second suivent les lignes de crête (donc on en rencontre dans des églises). Ils activent les chakras du bas (c’est pourquoi ils sont associés à un « dragon » tué pour réprimer ces instincts). Ils sont liés à la déesse. Ils sont comme des rivières énergétiques, et apportent bien-être et impression de chaleur. Par clairvoyance, ils sont de couleur rouge, sortant du sommet d’une montagne ou d’une grotte. Ils ont un champ de torsion droite (donc bénéfique). Les courants ont aussi un battement, comme des vagues. qui produit une fréquence de résonance et une couleur.

Les Lignes de Ley sont des phénomènes qui combinent les propriétés des courants et des réseaux. Ces lignes droites relient des monuments avec une précision étonnante. Elles ont un début net et une fin nette, et ne sont jamais négatives. Leur orientation est aléatoire. Ce ne sont pas des tubes magiques. Elles produisent une sensation de lourdeur, des picotements dans les pieds et les mains. Au travers de ces lignes passe un flux continu d’énergie. Elles sont probablement artificielles (même si le savoir pour les installer s’est perdu).

Les ondes de forme sont des ondes stationnaires qui entourent les objets de façon régulière. Elles répartissent « l’énergie-information ». La polarité alterne, dilatant et comprimant le champ vital. Les fuites négatives dans les angles ne sont pas appréciées, on les appelle « flèches secrètes » en Feng Shui. Elles sont propres à une architecture masculine.

Les objets émettent aussi une vibration qui contient les pensées/émotions, et des informations sur la structure de la matière. Les ondes de formes amplifient les phénomènes cosmotelluriques et l’effet des courants d’eau ou failles.

Dans une pyramide, l’énergie est concentrée à un point qui se trouve au tiers de la hauteur. Même chose dans un zome, il y a une concentration d’énergie, qui est positive et qui induit un fort champ de torsion droite. Cela neutralise les nuisances environnementales, et les cheminées s’y installent. Un zome est une excellente forme dynamisante, augmentant de 150 à 200% le champ vital. Il y a aussi au-dessous d’un zome une « sphère astrale », comme sur les pyramides et menhirs (boule jaune lumineuse).

Les polyèdres ont aussi un effet positive. Il est maximal lorsqu’il y a une base 3 et 12 côtés.
Les mandalas ont aussi un effet bioénergétique, de même que certaines sculptures, masques africains, etc. Cet effet peut-être positif ou négatif et concerner seulement certains chakras.

Les esprits de la nature : Ils ont un champ de torsion droite.

Les nains (30/40cm, 60/70 Hz, champ vital de 2,5/3m environ) ressemblent aux traditionnels « nains de jardin ». Ils puisent dans l’imagerie populaire pour projeter leur image. Ils ont plein de joie de vivre et d’humour, particulièrement communicatif. Ils ont un très bon 1er chakra, et de bons 6e et 4e. Ils sont ancrés, intelligents et altruistes. Certains animaux les voient (comme les chats).

Les trolls (130/150cm, 70/80 Hz, champ vital de 4/4,5m environ) sont maigres, musclés, avec un visage anguleux, un nez crochu et allongé, de longues oreilles, un sexe proéminent. Ils ne sont pas loquaces, sont solitaires, un peu bougons… Leur fréquence de résonance est plus élevée que les nains. Leur conscience est supérieure à la conscience humaine. Ils connaissent très bien le système énergétique de la terre.

Les fées (de quelques cm à 2m, 65 Hz, champ vital de 5m environ) sont diverses, avec des ailes, certaines ressemblant à des oiseaux, papillons, libellules…

Il y a aussi des gardiens élémentaires (48 Hz, champ vital de 2m), qui sont très grands et gardent des lieux (ex : « Anubis », 93 Hz, champ vital de 9m). A comparer avec un profil exceptionnel d’un humain dont la conscience est très haute : 77 Hz, champ vital de 4,8m).

Quand une entité s’approche, elle produit un effet de résonance (amplifiant ou diminuant le champ vital selon sa nature). Il est également possible de fusionner avec un élémental. Ex : l’élémental « vouivre » qui ressemble à un grand cobra peut activer la kundalini en passant dans le corps.

Les Elementaux ont un corps éthérique, astral, mental et causal. Il y a des cas où un humain peut manipuler des élémentaux, les détourner à son profit et les corrompre. Les Elementaux suivants sont négatifs :

Deux types de reptiliens. Image : Stéphane Cardinaux

Les reptiliens (12/13 Hz, champ vital de 3/4m) se nourrissent de notre énergie vitale (comme beaucoup d’autres élémentaux). Ils cotoient les humains depuis la nuit des temps. Ils vivent en clan avec un chef. Ces clans sont en guerre. Un reptilien squatte un humain pour vivre plus que 30 ans, jusqu’à quelques siècles. Son corps se densifie en se nourrissant, le haut du corps devient plus dense d’abord. Ils captent par leurs mains l’énergie des chakras 3, 4 et 5. Les reptiliens manipulent les humains en entretenant un état émotionnel et peuvent même posséder la personne, ce qui explique l’attitude de certaines personnes manipulatrices dans la société. Dans ce cas le champ vital de la personne passe de 2,2m à 1,5m et la fréquence de résonance de 45 Hz à 30 Hz environ.

Différents types de reptiliens et effet de la prédation énergétique. Image : Stéphane Cardinaux

Décalage des axes et effet d’un reptilien accroché dans le dos. Image : Stéphane Cardinaux

Les insectoïdes noirs (39 Hz, champ vital de 4m) sont des entités ailées de type « ptérosaures », de 3m50 de haut. Ils vivent en famille, sont organisés et prévoyants. Ils ciblent les déviances (rituels sataniques, initiations foireuses, drogues…) et les détectent de très loin. Ils s’y rendent en famille et laisse les jeunes se servir d’abord. Un tube sur le 4ème chakra leur permet de se nourrir des émotions et leur langue-trompe se branche sur le 7e pour aspirer la substance. Ils ont un très grand 6e chakra, ce sont des prédateurs rusés et intelligents. Ils peuvent couver un oeuf dans le thorax d’un humain. Le champ vital passe alors de 2m à 1,5 environ et la fréquence de résonance de 45 à 35 Hz environ.

Insectoïdes noirs et effet du squattage. Noter la ressemblance avec l’entité « Horus-Ra » décrite par Corrado Malanga. Noter aussi la similitude avec les « ropens » de Papouasie Nouvelle-Guinée. Image : Stéphane Cardinaux.

Les strégonoï (14 Hz, champ vital de 3m) sont des sortes de reptiliens ailés à tête effilée. Leur nom vient de stregoï = vampire. Ils sont non-terrestres. Ils empruntent des portes interdimensionnelles, venant sur Terre pour cacher leurs oeufs de leurs propres prédateurs sur leur planète. Quand la larve est éclose, elle est renvoyée. Ils sont toujours près des oeufs et des portes. Ils se nourrissent de l’énergie sexuelle des humains, mais uniquement quand le 2e chakra est petit et perturbé. Ils s’agrippent au cou de la victime, plante leur dard, et provoquent ce qui ressemble à un malaise pour les personnes non-clairvoyantes. La personne se met à hurler. Un humain squatté voit sont champ vital passer de 2 à 1m environ et la fréquence de résonance de 45 à 30 Hz environ.

Strégonoï et effet sur le profil bioénergétique. Image : Stéphane Cardinaux.

L’altitude et la profondeur (par rapport à la surface de la terre), fait varier le champ vital. Celui-ci augmente beaucoup dès 2km d’altitude, (80% à 10km, un pic maximum de 1160% à 100km), mais il se contracte beaucoup sous terre (seulement 70% à 20km de profondeur, et finalement une augmentation à l’approche du noyau, pic maximum de 1080% vers -6300 km). [Note : Cela pourrait expliquer les effets positifs de l'altitude en montagne ainsi que l'effet énergétique quand on est dans un avion].

Appareil russe IGA-1

L’appareil IGA-1 détecte les champs de torsion, mais dépend de l’opérateur. On sélectionne mentalement le type de phénomène désiré dans ce cas, pour les mesurer.

source : Stéphane Cardinaux – Synthèse – Géométries Sacrées, tome 1 (2004) tome 2 (2006)

http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie

27 juin 2016

Le corps éthérique, Les chakras sont des émetteurs récepteurs harmoniques

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Le domaine des énergies subtiles est un vaste champ d’étude, mais peut-être le plus essentiel de nos jours. L’art, la science et la religion buttent sur la compréhension de cette nature « fluide » de la réalité. Nous sommes sur le point de comprendre que la réalité est le fruit d’une interaction permanente avec la conscience. De plus, des niveaux de matière et d’énergie supérieures – « fines » – sont nécessaires pour expliquer les phénomènes matériels, et il se trouve qu’il est possible de les discerner et même, par une transmutation intérieure et un changement d’état de conscience, de se brancher sur cette réalité invisible qui unit à la fois l’objectivité et la subjectivité. Dans ce contexte, les livres de Stéphane Cardinaux sont exceptionnels. 


Editions Trajectoire, Image : Génie du Lieu

Dans cette synthèse, vous trouverez l’évolution de la démarche de Stéphane Cardinaux, depuis l’étude des lieux sacrés jusqu’à celui du champ vital et de ses variations. Entre le premier et le quatrième livre, la compréhension des phénomènes traités s’affine. Ces quatre ouvrages sont illustrés de magnifiques planches, que je vous invite à consulter (Références des livres sur Amazon : 1, 2, 3, 4). C’est un travail minutieux et remarquable que chacun devrait se procurer pour mieux comprendre le(s) monde(s).

Géométries Sacrées, tome 1

Stéphane Cardinaux explique que le sujet de son étude est la science éthérique, qui concerne les énergies non-électro-magnétiques. Ces énergies sont détectables au Sonotest, un appareil ressemblant à un gros diapason, qui révèle les ondes stationnaires éthériques par des variations acoustiques. Le son ferait ainsi le lien entre le plan physique et un niveau de réalité plus subtil.

Traditionnellement, entre l’esprit et la matière, il y a sept plans. Selon le degré de conscience, il y a davantage de séparation et de division ou davantage de lien et d’unification. Notre plan physique habituel est donc « généré » par un plan subtil qu’on peut diviser en trois parties : l’éthérique, l’astral et le mental. La réalité se crée et s’actualise en permanence depuis le plan mental, celui des « idées pures », pour prendre forme et se cristalliser petit à petit par un abaissement de fréquence. C’est ainsi que la matière est créée. Une idée peut prendre un « poids » astral, la forme-pensée astrale peut prendre un « poids » éthérique » (énergétique), et cette création éthérique peut finir par apparaître sur le plan matériel. L’ensemble des individus, des consciences, produit la « réalité » que nous partageons tous, la perception étant plus ou moins limitée selon le niveau de conscience de l’espèce, du groupe, ou de l’individu.

[Note de Camille ce propos : "Je pense que le fait que l'humain est un animal qui vit en collectivité, notre perception de la réalité est forgée en fonction du rapport qu'on a envers nous-mêmes et que partant de là on va omettre de voir certains aspect de la vie, ou tronquer une bonne partie de la réalité. Souvent ce qui n'est pas "artificiel" ou qui ne peut pas nous servir ne nous intéresse pas. En fait on "ne peut pas" regarder un arbre et le "comprendre" en tant qu'être pur. Parce qu'on a pas les "bases d'analyses" pour voir pleinement ce que l'arbre peut être en tant qu'arbre. Son existence nous dépasse, on ne peut que se projeter. Et je pense pour un arbre la plupart du temps, "on" va uniquement projeter ce qu'il est possible d'en faire et/ou lui donner une sorte d'image, une allégorie, anthropique et faussée. En fait on va oublier tout ce qui sort de notre cadre social, ou de ce qui dépend à priori de notre survie en tant qu'individu ou espèce. C'est une constituante d'instincts de survie oubliés et maquillés, des mécaniques psychologiques/physhiques/psychomoteurs égocentriques qui ne prennent en compte que ses intérêts de développement en tant qu'espèce."]

C’est donc par un processus de « pesanteur », par une « force centripète », que la matière est manifestée (« comprimée »). A l’inverse, la vie est une « spiritualisation », une « force centrifuge ». Comme nous sommes des êtres ayant « tout l’univers en nous », nous sommes potentiellement en résonance avec tous les plans, selon notre niveau de conscience. C’est-à-dire que nous pouvons accéder à l’essence de la manifestation, mais seulement en trouvant en nous-mêmes notre propre essence. C’est l’intégration de tous les aspects de notre individualité – et particulièrement ceux qui sont niés – qui permet finalement de toucher à l’unité.

Notre constitution énergétique permettant ces résonances avec la réalité est composée tout d’abord d’un « corps éthérique » et de « chakras ». Le corps éthérique se trouve environ à 50 ou 80 cm de la peau, c’est une sorte d’enveloppe de 1 ou 2 cm d’épaisseur. Il reflète notre état de santé. Par clairvoyance, il apparaît comme un scintillement argenté. Il varie selon l’environnement, les champs électriques et magnétiques. Les chakras sont quant à eux des émetteurs/récepteurs. Ils apparaissent devant et derrière le corps. Il y en a sept principaux. Ils sont reliés par des canaux énergétiques dans lesquels passe une énergie nommée « kundalini ». C’est une sorte de double hélice qui parcourt verticalement le corps, autour d’un axe principal.

Autour de la tête existent également des « tubes » éthériques, ressemblant à des antennes, d’un mètre de long et de 10 cm de large environ. Ils sont plus ou moins développés selon l’énergie globale du corps et correspondent à nos « sens subtils ». Il y a en aussi au niveau des mains. Ces tubes éthériques peuvent « matérialiser » des formes-pensées au niveau éthérique et ils sont audibles au Sonotest.

Le corps éthérique, cette enveloppe autour du corps, forme des harmoniques. La première octave de sept harmoniques atteint environ 10 m, la seconde 25 m, la troisième 50 m. Les harmoniques sont des zones où l’air est plus dense, comme des « murs énergétiques » audibles au Sonotest. Cela forme un « biochamp » dont la taille dépend de la vitalité/conscience. Il existe aussi des axes éthériques dans ce biochamp qui forment des cloisonnements. Ainsi le biochamp ressemble à un « quadrillage », comme une grille en 3D, une toile d’araignée. Parmi les axes longitudinaux, il y a un plan axial, latitudinal, et équatorial. Le plan axial (vertical) peut être décalé par un choc émotionnel, et le plan équatorial peut se décaler au-dessus ou en-dessous du nombril. A plus de 5 cm du nombril, cela pose un problème d’ancrage. Par exemple, dans les lieux sacrés où il y a une forte énergie, un centrage est indispensable.

L’échelle de Bovis, développée par Alfred Bovis, est souvent utilisée pour mesurer la qualité des aliments. Cependant, il s’agit d’une échelle relative et subjective. Il n’y a pas d’étalonnage, et on mesure quoi au juste ? Elle dépend aussi de la perception que les gens ont d’une énergie, elle est donc variable. Stéphane Cardinaux n’utilise donc plus les unités Bovis. Il existe une meilleure méthode : la valeur bioénergétique. Celle-ci est le rapport en pourcentage entre la dimension du corps éthérique et une valeur de base.

Le corps éthérique peut entrer en résonance avec une matière (ex : le fer). Il y aura moins de résonance si nous avons une carence en fer. On peut aussi penser à un objet pour provoquer une résonance active avec l’objet, plutôt qu’une résonance passive. Chaque chakra a aussi une fréquence de résonance propre avec les fréquences sonores, variant selon les individus. On utilise la biorésonance avec les métaux pour déterminer la nature d’une ligne tellurique, et la biorésonance couleur pour déterminer la nature d’une cheminée cosmotellurique. La matière subtile a en effet une « vibration-couleur ».

Si l’on prend le spectre des couleurs visibles, on peut le mettre en relation à un spectre de « vibrations-couleurs ». C’est ce qu’ont fait Chaumery et Bélizal. Ils ont réalisé un spectre circulaire des couleurs, et ont dit qu’entre le « noir » et le « blanc », il devait y avoir un « vert négatif » qui serait propre à une vibration très élevée, ayant une action puissante sur tous les niveaux de la nature. Stéphane Cardinaux explique qu’il est idiot de parler de « vert négatif » alors que ce n’est pas du vert. Pour lui, au-delà du spectre visible, au-delà du pourpre d’un côté et du magenta de l’autre, il y a un « blanc légèrement rosé » (en correspondance avec le 7ème chakra). C’est une vibration exploitée dans les pyramides, elle peut momifier et est négative pour les êtres vivants. Elle peut toutefois être transmutée et devient alors positive, comme dans la chambre du roi. Pour plus d’informations, voir l’article sur Tom C. Lethbridge. Ainsi, certains facteurs (comme des formes, sons, etc) peuvent créer une concentration d’énergie induisant une résonance avec une réalité supérieure (fréquence plus élevée), permettant d’agir directement de façon « magique » sur la réalité de ce plan matériel.

Un facteur particulier canalisant une énergie supérieure est « l’onde d’Isis ». Il s’agit d’une orientation d’un angle de 77° par rapport au nord, et 13° par rapport à la direction est-ouest. Des églises anciennes sont alignées sur cette direction. Cet angle bénéfique est toujours le même si l’on se positionne ainsi (effet immédiat sur le champ vital, au point où il est possible de se transformer en « boussole vivante » si l’on se fie à cet effet mesurable). Cet angle est associé au pourpre-magenta, la couleur de la spiritualité.

Plus l’eau est pure, plus elle peut contenir d’informations. La mémoire de l’eau est une réalité éthérique.

Le corps éthérique réagit aussi aux polarités d’un aimant ou d’une pile. Il réagit aussi selon les lignes telluriques (positives ou négatives). Les pierres ont aussi une polarité : le haut est le côté positif, le bas est le côté négatif. Les édifices et obélisques respectent cette polarité, qui existe aussi dans le bois des arbres. L’énergie se déplace mieux ainsi.

On peut détecter les lignes telluriques avec : des baguettes, un pendule, le Sonotest, les chakras (pied ou mains), ou un tube extrasensoriel.

Le Sonotest, disponible sur le site Sonotest Ines.

Les ondes de forme éthériques sont l’équivalent d’un biochamp mais pour les objets inanimés. Toute forme est une « condensation », la matière est du son cristallisé. Les ondes de forme sont détectables au Sonotest : elles forment un « trou » dans la courbe d’oscilloscope associé à un Sonotest.

Les objets avec des arêtes droites émettent des faisceaux convergeant avec effet de pointe, qui sont problématiques. On les appelle « flèches secrètes » en Feng Shui. Les objets pointus ont le même effet, ils déforment les couches du corps éthérique. Il vaut mieux avoir des courbes que des angles, pour avoir moins d’ondes de forme négatives.

Les réseaux telluriques seraient émis par les métaux de la terre. Ces réseaux forment des grilles, un quadrillage cubique. Il y a des réseaux orientés N-S/E-O et d’autres qui sont diagonaux NE-SO/NO-SE. La trame varie selon les lieux. Ils sont de nature « sonique », car ils réagissent au son et à la voix. Ils sont aussi sensibles aux aimants et à la pensée. Les « cloisons » (lignes) créent des variations infimes de la densité d’air. On les entend plus facilement au Sonotest quand l’air est immobile. On les trouve même à l’intérieur d’une cage Faraday, cela prouve qu’il sont de nature subtile, non électromagnétique.

Il y a quatre réseaux principaux : Hartmann (=nickel), Peyré (=or), Curry (=fer, diagonal), et Wissmann (=aluminium, diagonal). Les autres sont difficiles à trouver.

Ces réseaux forment différents croisements selon le type de ligne. Ces lignes peuvent être de niveaux 1, 2, ou 3. Les lignes 1 sont simples, les lignes 2 comportent deux lignes simples, les lignes 3 sont des lignes puissantes, encadrés par deux lignes 1. Si une ligne 3 est de polarité négative, elle est dangereuse. Les lignes 3 étant moins fréquentes que les lignes 2 et 1, la taille de la trame est différente. Pour le réseau Hartmann, la trame des lignes 3 fait plus de 100m, tandis que celle des lignes 2 fait environ 15m et celle des lignes 1 fait environ 2m. Pour le réseau Curry, les proportions sont un peu plus grandes. La vibration-couleur des lignes 1, 2 et 3 est différente.

Les lignes ont un pic énergétique au milieu, deux « bords » et des harmoniques autour. Le biochamp est le plus influencé par le pic central. On peut ressentir à la main l’octave de la ligne mais elle est plus faible. Chaque réseau a un effet sur un méridien d’acupuncture spécifique.

Les noeuds (croisements) négatifs sont pathogènes si l’on dort à ces endroits. Mais la journée, l’alternance des lignes positives et négative est équilibrante. Le fait de passer par des points positifs et négatifs de manière successive produit aussi un effet de charge.

La taille des lignes varie durant la journée, elles sont au maximum au levé du soleil. Il semble que l’angle du rayonnement solaire affecte ces lignes comme des élastiques.

Les émotions ont aussi une influence. Le jour des attentats du 11 septembre, il y a eu une diminution de 50% du corps éthérique de tous les humains sur terre et les lignes H (Hartmann) ont triplé de largeur sur 24h. Les éclipses et les alignements de planètes ont aussi un effet d’élargissement (3 ou 4x). Cela expliquerait pourquoi des « portails » peuvent s’ouvrir dans certains lieux.

Un géomagnétomètre

Les courants d’eau souterrains sont souvent confondus avec des lignes 3 négatives, ou avec des failles. Ils sont dévitalisants pour les êtres à la surface (-20/30% de l’énergie vitale). Les failles produisent en plus de la radioactivité et une variation mesurable du champ magnétique terrestre. Contrairement aux lignes, le bord énergétique d’une faille n’est jamais franc mais diffus. Les failles interrompent les réseaux telluriques.

Les courants telluriques sont quant à eux un peu comme des cours d’eau, mais positifs. Ils sortent par les failles, les grottes, les volcans… peut-être qu’ils proviennent du magma. On les appelle traditionnellement « vouivres » ou « dragons »... Ils sont utilisés dans les constructions mégalithiques jusque le XIIe siècle qui marque la fin du druidisme. Ils multiplient le corps éthérique par 2 ou 5… provoquent des fourmillements, des pieds au crâne, en 2/3 min.

Les cheminées cosmotelluriques sont des « entités » éthériques, conscientes, qui ont leur racine dans le sol et qui s’étendent verticalement dans l’air (noyau vers -100m, corolle vers 130m, hauteur variable). Elles ressemblent à une fleur ou un chakra. Elles captent les énergies cosmiques, elles « nettoient » la noosphère. Elles ont une conscience collective, et son attirées par les lieux ayant une atmosphère émotionnelle positive ou négative (selon le type de cheminée). Les cheminées sont réparties aléatoirement sur terre et ne sont pas immortelles. Elles ont des « bras » et émettent des harmoniques autour d’elles (entre 0 et 8 bras). L’énergie tournoie en spirale au centre. Les effets sur le corps sont des picotements, des effets de froid/chaleur/pression… On peut parfois les confondre avec des entités du bas astral comme des fantômes. Les cheminées « pulsent », elles « respirent », le cycle de respiration étant de 3min environ. L’énergie tourne dans un sens dextrogyre à l’inspiration, et lévogyre lors de l’expiration. Les personnes captent plus ou moins bien leur énergie, les personnes ayant des blocages arrivent vite à saturation. Les cheminées laissent parfois des marques dans les champs, on voit une trace circulaire sur l’herbe. Il y a souvent une fourmilière sous une cheminée négative. Les mammifères quant à eux préfèrent les cheminées positives.

Les vortex cosmotelluriques ont une apparence de spirale, un peu comme un grand ruban enroulé avec une corolle en entonnoir en haut. Ils sont toujours par deux, l’un et l’autre étant reliés et éloignés à une distance qui varie selon leur taille. Les vortex aiment bien les régions vallonnées. Leur densité est aléatoire. Ils sont souvent sur des croisements positifs de lignes de niveau 3 ou 4. Les vortex sont toujours accompagnés d’une cheminée qui les rejoint. Les lieux sacrés comportent souvent un vortex. Les églises sont souvent dimensionnées sur la taille des spires d’un vortex. Le centre des vortex, de 20 cm, donne la sensation d’un courant d’air vertical. Les mammifères aiment les vortex. Un vortex peut être « activé » selon une certaine technique. L’activation fait doubler les valeurs bioénergétiques du biochamp si l’on se trouve sur le centre ou sur une spire. Quand on se trouve sur un vortex activé, le corps énergétique est dix fois plus grand, ce qui démultiplie les perceptions. Il faut faire attention aux entités du bas astral que l’on peut alors voir, car elles peuvent modifier le comportement.

Les lignes telluriques sont déplaçables, et peuvent être adaptées à l’architecture. Les bâtisseurs calaient les lignes dans les murs, en les déplaçant par la pensée. Ce déplacement peut être confirmé par le Sonotest. C’était une connaissance initiatique universelle, depuis le néolithique, jusqu’à la Grande Peste de 1349. Les réseaux peuvent aussi être repoussés par une pierre dressée, ou coupés artificiellement pour former un espace « neutre ». Les lignes peuvent aussi être démultipliées pour correspondre à la largeur d’un mur ou pour former des carrés ou des zones « frontières » autour d’un lieu sacré. Elles peuvent être démultipliées par 3, 5, 7, ou 21, ce qui est rare, cela forme un « rempart invisible », une sorte de protection magique. On les retrouve autour de lieux très anciens, et cela permet de reconstituer l’apparence de lieux aujourd’hui disparus physiquement.

Il existe aussi dans l’éthérique des « carrés magiques ». Ils sont artificiels, créés par la volonté humaine, et composés de lignes H démultipliées. Ils sont un peu comme un gros Rubik’s cube, placé devant l’entrée d’un lieu sacré (3x3x3, 50cm/1m de côté pour chaque cube). Les carrés magiques peuvent activer un vortex, chaque case est d’une couleur différente. En s’y tenant dessus, elles rééquilbrent les chakras. Il n’y a jamais de pourpre ou de magenta, les couleurs correspondent plutôt aux couleurs des phénomènes cosmotelluriques du bâtiment.

Les tubes magiques sont un autre phénomène éthérique qui permet de relier les lieux sacrés. Ils ont un diamètre de 30cm à 2m. Ils permettent de véhiculer l’énergie des édifices religieux du lieu de culte principal vers tous les autres (transmission d’information). On peut les confondre avec les « lignes de Ley » .Les tubes ont été placés volontairement, par magie opératoire. Ils sont audibles au Sonotest, et « piquent » le bout des doigts. Ils sont de couleur jaune. Comme des robinets, ils peuvent être ouverts et font parfois perdre l’équilibre à ce moment-là. Les points élevés du paysage servent de relais. Il est possible de communiquer par les tubes (en utilisant un langage morse par exemple). Il est possible que des entités ou le « corps astral » puisse transiter par ces tubes également.

Les Elémentaux sont des êtres éthériques, qui peuvent avoir de nombreuses formes : fées, nains, gnomes, sylphes, sirènes, titrons, feu-follets, salamandres… Ils projettent l’image qu’ils veulent montrer. Ils apparaissent parfois sous forme de taches luminescentes sur les photos. Ils dégagent beaucoup d’énergie. Les Elementaux supérieurs sont des gardiens de lieux et surveillent les Elementaux inférieurs. Ils vivent très longtemps, ils ont une autre perception du temps. Ils peuvent rendre des services ou aider à trouver des objets. Ils ont un esprit joueur, et apprécient les cadeaux (nourriture). Par perception astrale, les Elementaux peuvent avoir des couleurs vives ou être gris/noir pour ceux du bas astral.

Les lieux telluriques les plus puissants sont les montagnes les plus hautes. Les anciens captent leurs énergies par des tubes magiques qui les canalisent vers des édifices religieux en plaine. Les lieux ainsi connectés peuvent avoir 40x plus d’énergie.

Les menhirs sont toujours des émetteurs, et ne sont jamais sur des lieux négatifs. Ils ont une « boule éthérique » au sommet, comme à la pointe d’une pyramide ou d’un obélisque. Les menhirs « pulsent » (toutes les 15/20 secondes, selon leur taille). Il veut mieux ne pas se mettre là où se trouvent leurs ondes de forme, mais se coller à eux, ou bien se placer à 1m. Comme tous les menhirs pulsent à un rythme différent, les menhirs alignés augmentent l’énergie et forment un flux continu.

Les cercles et cromlechs ont une autre fonction. Contrairement aux menhirs, on peut se mettre au centre. Peut-être qu’ils avaient une fonction thérapeutique ou initiatique. On peut aussi tourner autour des cercles par circumambulation. Cela provoque un effet de charge. Les cromlechs sont ensuite devenus des cloîtres.

Pour les dolmens, il peut y en avoir des positifs ou négatifs. C’est la dalle des dolmens qui capte l’énergie. Les dolmens sont reliés par des tubes. Un dolmen fonctionne comme un four à micro-onde. Les dolmens négatifs sont assez nombreux, ils se trouvent sur des croisements de ligne négative niv. 3 et ont une cheminée négative. Comme les sépultures, ils provoquent un « contact avec la mort », et vident notre énergie. Cela permet de révéler des traumas, des émotions, et de travailler dessus.

Il y a que deux manières de savoir si une pierre était vraiment un mégalithe. Il faut voir s’il y a des tubes, ou si elle est placée sur un croisement de ligne niv.3 (celles-ci sont difficiles à déplacer). Cela indiquerait une action humaine.

Stonehenge est sur un croisement de ligne H de niv.3 et de ligne C de niv.4. Même chose pour le menhir du Mont-Mourex, lequel est relié au Mont-Blanc par un tube.

Les blocs en gneiss/granite/grès contiennent du quartz (cristal de silice). La silice a un effet bénéfique sur le corps énergétique. Cet effet est amplifié par les terres rares (n°57 à 71 du tableau de Mendeleiev). L’énergie varie selon les cristaux de silice dans les pierres. Certains dolmens, lorsque totalement activés, sont extrêmement puissants (ex : +2500% de l’énergie vitale). Dans ce cas, on doit même se tenir à une pierre pour ne pas tomber et les lignes H peuvent se retrouver repoussée à plus de 500m.

En cas de vortex de type 2, l’effet est de +3500%, et le biochamp est multiplié par 35. Ils ont 2 à 7 spires, font 300m de diamètre, et les deux centres sont éloignés de 3 à 12 km. Ils produisent des effets acoustiques, la densité de l’air est modifiée à ces endroits (comme si l’on avait un casque). Les vortex permettent de faire des rêves éveillés.

Les pierres à cupules ne servaient pas aux immolations. Elles avaient probablement une correspondance avec des régions du ciel.

Pour les tumulus, les lignes H sont coupées. Ce sont des lieux négatifs, attention aux archéologues qui fouillent trop longtemps à ces endroits. De plus il y a un risque d’attraper une entité, qui produit ensuite une grande fatigue, une irritabilité, et une envie de ne rien faire.

Les Romains agençaient aussi leurs bâtiments selon le cosmotellurisme. Le centre était sur des croisements de ligne niv.3. Les cheminées étaient sur des points importants, ne débordant pas des murs. Des lignes de polarité négative étaient placés dans les murs extérieurs. Il n’y avait pas de mur porteur qui n’était pas soutenu par des lignes H ou C. Ils déformaient les réseaux naturels le moins possible. Ils plaçaient des carrés magiques devant les bâtiments initiatiques. Les plus anciens carrés magiques datent du 1er siècle av. J.-C.

Les temples gallo-romains favorisaient aussi la circumambulation. « La faculté de se charger ne dépend ni du sexe, ni du poids, ni de la taille, mais elle est en rapport avec la longueur du 1er chakra. » (Le premier chakra, le chakra rouge, est celui qui nous met en lien avec le sol).

Dans les grottes, on trouve la fréquence de résonance quand le son nous est renvoyé plus fort. Cela augmente le corps éthérique. Le couplage son+vortex augmente de 3000% le corps éthérique.

Dans les églises primitives, le réseau H est dévié en arc de cercle, formant une abside autour de la cheminée.

Les reliques ont aussi un effet important. Dans la cathédrale de Fribourg, une pierre près d’une relique augmente instantanément le corps éthérique de 400%. « La structure cristalline des os a la propriété de garder en mémoire la fréquence vibratoire d’une personne. Plus l’âme d’une personne est pure, plus ses os auront une fréquence élevée. Une énergie cosmotellurique circulant à travers le squelette d’une saint sert d’onde porteuse à cette vibration et lui permet de rayonner beaucoup plus loin. »

Les anciens édifices utilisent non seulement les phénomènes cosmotelluriques mais aussi la géométrie sacrée. Nous allons relever ici quelques éléments concernant cette partie du livre, très détaillée.

- Le rapport de nombre est lié aux proportions, les proportions aux formes et les formes à la matière.
- Le tracé d’un architecte doit toujours servir à positionner un élément architectural.
- Connaître par coeur les valeurs des rapports fait gagner du temps.
- On chercher d’abord le principe du tracé. Une oeuvre parfaite n’est régulée que par une seule série harmonique.

« L’omniprésence de l’angle droit et de la droite est typique chez l’homme et dans les sociétés patriarcales. A l’inverse, la courbe est le propre de la femme et des sociétés matriarcales. »
Carré/rectangle = masculin/tellurique, cercle = féminin/cosmique. L’équilibre des deux est la quadrature du cercle.

- Les rectangles harmoniques sont basés sur des racines carrées, le nombre d’or, ou des rapports musicaux.
- Le nombre d’or n’est pas utilisé pour des aspects esthétiques mais pour des propriétés holographiques (cela stimule par résonance notre ADN, et les mémoires éthériques).
- Les triangles sont liés à l’esprit. Les triangles sont aussi basés sur le nombre d’or dans les constructions. Il y a un lien entre racine de 5 et le nombre d’or.
- Le triangle 3-4-5 était déjà utilisé pour les mégalithes.

- Les ondes de formes négatives sont atténuées dans les constructions. Sous la toiture, elles sont coupées par le plafond. Dans les pyramides par contre, elles momifient.

- Les mandorles sont le symbole de l’union ciel-terre, et sont assimilés au biochamp (sous la forme du corps de gloire). Les symboles liés à la conscience sont puissants.

- Certaines constructions sont basées sur les rapports musicaux.
La gamme diatonique de Ptolémée est la suivante : DO 1,00 – 1/1, RE 1,125 – 9/8), MI 1,25 – 5/4, FA 1,333 – 4/3, SOL 1,5 – 3/2, LA 1,666 – 5/3, SI 1,875 – 15/8, DO 2 – 2/1.
Le « son primordial » produit 7 notes en traversant la matière.

Stéphane Cardinaux – Synthèse – Géométries Sacrées, tome 1

http://newsoftomorrow.org/arts/geobiologie/stephane-cardinaux-synthese-geometries-sacrees-tome-1-2004-tome-2-2006-bioenergie-2009-science-et-conscience-de-linvisible

27 juin 2016

Quels sont les signes d’un besoin de détoxication hépatique ?

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Dans notre organisme le foie est le principal organe en charge d’assurer la détoxication, et son activité s’adapte à la quantité de xénobiotiques qui lui est amenée. Ces xénobiotiques sont des molécules étrangères à notre organisme tels que les médicaments, les hormones, les métaux lourds, mais aussi les composés chimiques associés à la préparation des aliments (tels que les fameux corps de Maillard). Le foie est la principale usine « d’épuration » de l’organisme : il traite la plupart des molécules qui lui sont étrangères et filtre en permanence le sang. Les cellules qui le constituent – les hépatocytes – bénéficient pour ce faire d’une longue durée de vie, de l’ordre d’une année voire de 500 jours, et d’une capacité importante de régénération.

Comment votre foie élimine-t-il les xénobiotiques ?

Pour assurer l’élimination des xénobiotiques, le foie intervient en plusieurs étapes pour transformer la substance initialement toxique en un dérivé soluble, qui sera éliminé par les urines ou les matières fécales. Le foie va éliminer ces substances à travers plusieurs étapes complexes, dont le bon fonctionnement dépend du niveau d’exposition aux xénobiotiques mais également de la prédisposition génétique et du statut nutritionnel.

Quels sont les signes d’un besoin de détoxication hépatique ?

Quand le foie n’est plus en mesure d’éliminer efficacement les xénobiotiques, différents symptômes peuvent apparaître : fatigue chronique, difficultés de récupération, acouphènes, migraines, somnolences post-prandiales, mauvaise haleine, langue chargée, réveils nocturnes, teint pâle ou jaunâtre, nausées avec sensibilité accrue aux odeurs fortes, à l’alcool ou à la caféine, etc. Je vous conseille de vous référer à un professionnel de santé pour déterminer si ces symptômes sont en lien avec une surcharge hépatique, indépendamment de l’existence d’une perturbation des marqueurs biologiques.

En pratique, voici quelques conseils pour faciliter le travail du foie :

  • Favoriser l’apport de certains nutriments : antioxydants (vitamines C, E, bêta-carotène, polyphénols, flavonoïdes, caroténoïdes, zinc, manganèse, cuivre, sélénium), acides aminés (méthionine, glutamine), oligo-éléments (magnésium, vitamines du groupe B).
  • Faites une part belle aux végétaux frais à chaque repas, d’origine biologique, crus ou cuits à chaleur douce. De manière générale privilégiez des cuissons douces, à la vapeur, notamment pour éviter la formation des corps de Maillard (composés chimiques formés lors de la cuisson des grillades par exemple).
  • Hydratez-vous : au moins 1,5 voire 2 L d’eau par jour, pour permettre un fonctionnement optimal du foie et de son drainage des toxiques.
  • Certains aliments permettent de soutenir les fonctions de « détox » du foie : les brocolis, les choux, l’ail, le curcuma, le café (maximum 2 café par jour, d’origine biologique et avant 17h, traditionnel et non au percolateur favorisant le passage d’Aluminium), le radis noir, le romarin, les petites baies. L’artichaut est plutôt utilisé sous forme de complément alimentaire du fait de l’utilisation de la tige et non de la feuille.
  • Le desmodium (Desmodium adscendens) peut être utilisé en cas d’atteinte des cellules du foie, par exemple suite à une hépatite. La chlorella favorise elle l’élimination des métaux lourds.
  • Attention au millepertuis et au pamplemousse, qui peuvent interagir négativement avec le processus de détoxication hépatique. En cas de traitement médicamenteux, le plus simple est de demander conseil à votre médecin ou de lire l’article développé qui suit.

 

En conclusion, faut-il systématiquement réaliser une cure de détoxication ?

Au regard de l’environnement dans lequel nous évoluons, soulager les fonctions du foie par certains aliments semble en effet bénéfique. Si vous êtes notamment sujet(te) aux troubles fonctionnels évoqués précédemment, la fameuse cure de « détox » peut s’avérer nécessaire en complément d’une alimentation de qualité. Prenez-soin de votre foie, il le mérite !

Pour ceux qui veulent aller plus loin et découvrir le dossier complet, c’est par ici !

 

Faut-il se « détoxifier » ?

Jeûne, monodiète, drainage : info ou intox ? La détoxication est un thème indémodable pour les médias. Mais que se cache-t-il véritablement derrière ces termes ? Est-ce efficace, et vraiment nécessaire ? Sommes-nous exposés aux toxiques en permanence ? Faisons le point sur ces régimes « détox ».

Notre environnement est-il toxique ?

Médicaments, hormones et antibiotiques contenus dans les viandes animales industrielles, alcool, tabac, pilules contraceptives, pesticides, herbicides, gaz d’échappement, métaux lourds (pour ne citer que le Cadmium contenu dans le tabac ou encore le Béryllium présents dans certains amalgames dentaires, le Plomb, le Mercure, l’Arsenic, le Nickel ou l’Aluminium), phtalates, bisphénol A, additifs alimentaires, solvants, détergents, etc. Autant de substances totalement étrangères à l’organisme auxquels nous sommes régulièrement confrontés depuis quelques décennies et regroupées sous le terme de xénobiotiques (littéralement « molécules étrangères à la vie »). Notre environnement est devenu bien différent de celui dans lequel évoluaient nos ancêtres chasseurs-cueilleurs. Cette liste est malheureusement non exhaustive. On pourrait  la compléter par les composés issus des cuissons à haute température, les amines hétérocycliques formées lors des grillades ou des fritures, les corps de Maillard donnant ce fameux gout grillé aux aliments. Que des bonnes choses pour le palais, me direz-vous. Peut-être, tout est affaire de gout. Par contre votre organisme, lui, n’apprécie guère cette accumulation de toxiques. D’autres sources de pollutions, issues la plupart du temps d’un organisme vivant, peuvent exister : on parle de toxines endogènes quand elles sont produites par l’organisme humain (les métabolites hormonaux ou l’ammoniac par exemple) ou exogènes si elles proviennent d’un organisme étranger (comme la toxine botulique). Toutefois pour des raisons de simplification, nous regrouperons l’ensemble des substances sous le terme de « toxiques ».

Mais alors… Serions-nous tous condamnés face à cette invasion de toxiques ? Fort heureusement, non. La machinerie cellulaire est encore une fois formidablement organisée pour y répondre efficacement. L’organisme dispose en effet de plusieurs organes d’élimination, les émonctoires, pour traiter et éliminer les toxines. Il s’agit principalement des poumons, de la peau, des intestins et du foie. Toutefois, comme pour l’ensemble des fonctions cellulaires, tout est une question d’équilibre et d’homéostasie : en cas de défaut d’élimination ou d’excès d’exposition à ces toxiques, ceux-ci peuvent s’accumuler dans l’organisme.

La notion d’intoxication est complexe. Certaines substances peuvent en effet s’avérer hautement toxiques et engendrer des troubles endocriniens, une lésion de certains organes voire un décès. D’autres possèdent quant à eux des effets plus insidieux, du fait de leur accumulation progressive dans l’organisme. Ils peuvent être à l’origine d’un risque accru de cancer par mutation de l’ADN ou d’une perturbation des réactions enzymatiques des cellules, entraînant fatigue, perte de vitalité et troubles fonctionnels. Tout dépend de la dose, de la voie d’absorption, du type et de la gravité de l’exposition. Les effets à long terme de ces toxiques peuvent par ailleurs s’additionner pour créer une malencontreuse synergie, « l’effet cocktail », délicate à évaluer. Le système d’évaluation des risques est en effet avant tout fondé  sur l’établissement de Doses Journalières Admissibles (DJA) par l’organisme pour chaque polluant ou sur la mesure de biomarqueurs d’exposition dans les urines et dans le sang. La science relative à la toxicologie étant complexe mais en dehors du sujet, j’invite ceux qui souhaitent approfondir ces notions à explorer les ouvrages du Pr Narbonne, expert Français toxicologue et auteur du livre « Sang pour sang toxique ». Nous n’aborderons donc pas ici la toxicité aiguë des substances dangereuses pour l’organisme, mais davantage les effets insidieux sur la vitalité de tous ces xénobiotiques polluant le foie.

Le foie, un organe majeur pour notre santé

Imaginez une usine de retraitement des déchets active 24h sur 24, assurant plus de 500 fonctions différentes et en charge de filtrer tout ce que vous buvez, mangez ou faites pénétrer dans votre organisme. Cet organe, actif tout au long de votre vie et pesant 1,5 kg, c’est votre foie. C’est un organe essentiel au maintien d’un état de santé optimal et dont l’implication dans de nombreux troubles fonctionnels est souvent sous-estimée.  En effet, nos pensées pour le foie sont en général dédiées aux lendemains difficiles, après une soirée bien arrosée ou un repas copieux. Mais au delà de son rôle dans la digestion, le foie assure le dur labeur de traiter la plupart des molécules étrangères à l’organisme et de filtrer en permanence le sang circulant dans l’ensemble de l’organisme. Fort heureusement, les cellules qui le constituent – les hépatocytes – bénéficient pour ce faire d’une longue durée de vie, de l’ordre d’une année voire de 500 jours. Elles possèdent par ailleurs une capacité de renouvellement particulièrement étonnante. Le foie d’un rat se reconstitue par exemple en moins de 10 jours lorsque l’on réalise une ablation de 70% de celui-ci.  De manière schématique, vous régénérez votre foie environ une fois par an, en particulier la nuit. Pour l’anecdote, dans la mythologie, Prométhée fut condamné par Zeus à se faire éternellement dévorer le foie le jour par un aigle tandis qu’il se reconstituait la nuit, après avoir volé les Dieux en offrant le feu sacré à la race humaine. La capacité de régénération du foie semblait donc déjà connue des Grecs anciens !

Quels sont les signes d’un besoin de détoxication ?

Sans foie, point de vie. Au delà de son rôle de détoxication, le foie assure en effet bien d’autres fonctions. On peut ainsi citer la formation de la bile, la mise en réserve des glucides sous forme de glycogène, la participation au métabolisme des graisses, la formation de corps cétoniques (en cas de jeûne) et d’urée, la synthèse des enzymes, des protéines plasmatiques de l’inflammation, des facteurs de coagulation, etc. On comprend alors aisément que le foie soit un organe sans cesse en quête d’énergie !

Une sollicitation prolongée à travers une consommation importante de xénobiotiques peut s’avérer à l’origine de nombreux troubles fonctionnels non spécifiques, tels que :
  • Fatigue chronique,
  • Difficultés de récupération,
  • Acouphènes,
  • Migraines,
  • Somnolences post-prandiales,
  • Mauvaise haleine,
  • Langue chargée,
  • Réveils nocturnes (le foie étant particulièrement actif la nuit, les réveils entre 2 et 4h du matin seraient, selon la médecine chinoise, caractéristiques d’une faiblesse hépatique),
  • Teint pâle ou jaunâtre,
  • Nausées avec sensibilité accrue aux odeurs fortes, à l’alcool ou à la caféine, etc.

Si certains de ces symptômes vous concernent, que vous êtes soumis à un traitement médicamenteux ou hormonal, et que vous êtes d’amateur d’alcool, de café et peu attentif à l’origine (biologique ou non) des aliments que vous consommez, cet article vous sera utile ! Bien entendu, l’analyse et la pondération de ces troubles fonctionnels par un professionnel de santé demeurent indispensables pour déterminer leur lien possible avec une surcharge hépatique. Ces signes peuvent en effet ne pas être associés à une perturbation de la biologie classiquement utilisée comme marqueur d’une atteinte hépatique  (transaminases, gamma GT, bilirubine, phosphatases, etc.).  Pour autant votre foie peut s’avérer dépassé par cet afflux de xénobiotiques ou être en déficit de micronutriments indispensables à la bonne réalisation de ses fonctions. Par ailleurs, le métabolisme du foie étant étroitement lié à celui de l’intestin à travers ce que l’on appelle le cycle entéro-hépatique, il est fréquent qu’une perturbation du métabolisme de l’un des deux organes impacte celui du second.

Prenons l’exemple de Mme S., femme dynamique de 28 ans. Mme S. vit à Paris, est cadre et amatrice de café à longueur de journée pour compenser la fatigue liée à des soirées parfois bien arrosées. Sous pilule contraceptive et fumeuse, elle banalise la prise de paracétamol du fait de ses maux de tête répétés et de ses acouphènes qu’elle attribue à son rythme de vie stressant. Elle vient consulter car elle se sent fatiguée, sujette à des inconforts digestifs récurrents et à des réveils nocturnes. Elle attribue cette fatigue à une alimentation constituée de repas pris bien souvent à l’extérieur et sans petit déjeuner car elle n’a pas faim le matin, se réveillant nauséeuse. Elle est adepte des régimes détox dont elle entend régulièrement parler : après avoir testé le régime raisins, le jeûne, la monodiète et le régime sans gluten, elle souhaite s’inscrire dans une démarche globale, consciente que son hygiène de vie est étroitement liée à son état.

 

Comment votre foie élimine-t-il les xénobiotiques ?

Pour assurer l’élimination des xénobiotiques, le foie intervient en plusieurs étapes, dans l’objectif de transformer la substance initialement toxique en un dérivé soluble pouvant être éliminé par les urines et les matières fécales. La plupart de ces molécules toxiques sont en effet liposolubles, expliquant d’ailleurs qu’elles s’accumulent dans les cellules du tissu adipeux, les adipocytes. Pour cette raison, les poissons gras en fin de chaîne alimentaire tels que le saumon ou le thon peuvent accumuler des quantités significatives de métaux lourds, à l’inverse des petits poissons (sardines, maquereaux, anchois) qui sont donc à privilégier. La parenthèse étant refermée, revenons à notre foie qui doit donc éliminer ces substances à travers deux étapes, que l’on nomme « phases ». Courage, un peu de concentration s’impose :

  • La phase I est dite de fonctionnalisation. Les enzymes de cette phase, regroupées pour la plupart sous le terme de cytochromes P450, vont « oxyder » les toxiques liposolubles en leur ajoutant un radical chimique spécifique. Le stress oxydatif est généralement considéré comme responsable du vieillissement cellulaire, mais n’oublions pas qu’il assure des rôles essentiels au bon fonctionnement de l’organisme lorsqu’il est bien contrôlé, à l’instar de cette première phase. Il s’agit du système d’oxydation le plus puissant de l’organisme. Le statut en micronutriments est donc essentiel pour permettre à ces complexes enzymatiques de fonctionner de manière optimale : les vitamines B2, B3, B6, B9 et B12, le Magnésium, le Zinc, le Manganèse, le Chrome et le Cuivre sont particulièrement importants. L’activité des cytochromes est par ailleurs variable en fonction des individus du fait de l’existence d’un polymorphisme génétique important. A noter que les composés intermédiaires issus de cette première phase sont alors instables et peuvent s’avérer plus toxiques que les composés originels, notamment en cas de statut antioxydant insuffisant.
  • La phase II est dite de conjugaison. Elle est en charge, non pas de garantir une bonne syntaxe, mais de transformer les substances oxydées issues de la première phase en molécules hydrosolubles pouvant être ainsi éliminées par les urines et la bile. Cette transformation est assurée selon différents mécanismes en fonction de la nature des substances. On parle alors de sulfoconjugaison, de glucurono-conjugaison, de détoxication par méthylation ou par acétylation. Au-delà de leur dénomination technique, ces réactions sont dépendantes du statut nutritionnel, notamment en Glutathion, Taurine, Arginine, Glutamine, Ornithine, oligo-éléments, vitamines B2, B5, B6, B9, B12 et C. Par ailleurs, le début de cette seconde phase neutralise les dérivés oxydés issus de la première phase : l’organisme doit donc bénéficier d’un statut optimal en nutriments antioxydants et assurant le bon fonctionnement de certaines enzymes au nom soporifique de SOD (Super Oxyde Dysmutase) et GPx (Glutathion Peroxydase) : vitamines C, E, bêta-carotène, Sélénium, Cuivre, Manganèse, Zinc, flavonoïdes, etc.
  • Une dernière phase dite de solubilisation, en charge d’éliminer enfin les métabolites de l’organisme alors devenus hydrosolubles, grâce à la bile.

Le mécanisme de détoxication hépatique, complexe, est régi par l’équilibre entre les différentes phases. En fonction de notre génétique, notre capacité à transformer les toxiques en dérivés intermédiaires peut varier de manière significative. Par ailleurs, la première phase est dite « inductible » : les enzymes peuvent devenir de plus en plus efficaces et de plus en plus nombreuses en fonction du niveau d’exposition aux toxiques. Ce qui peut apparaître de prime abord comme un avantage certain : oui, à la condition essentielle que la seconde phase soit toutefois aussi efficace. En effet, rappelez-vous que les molécules intermédiaires peuvent être plus toxiques que les molécules originelles. C’est d’ailleurs une des raisons de toxicité de certains médicaments chez des personnes présentant un déséquilibre de fonctionnement entre ces deux phases de détoxication. Il peut par ailleurs exister une interaction entre ces dérivés et certaines protéines cellulaires à l’origine de la formation d’haptènes, molécules potentiellement impliquées dans des réactions inflammatoires ou immunitaires. Prenons pour exemple l’alcoolisme chronique : la première phase permet de métaboliser l’éthanol (l’alcool) en dérivés toxiques, notamment l’acétaldéhyde, qui doivent alors être solubilisés au cours de la seconde phase. Si cette dernière est déficiente, les métabolites intermédiaires seront à l’origine d’une atteinte des cellules du foie, voire d’une cirrhose en cas d’exposition chronique. Cette notion d’inductibilité enzymatique explique d’ailleurs la raison pour laquelle les personnes consommant régulièrement de l’alcool sont de moins en moins sujettes à l’ivresse, l’alcool étant rapidement métabolisé en acétaldéhyde. L’efficacité de la seconde phase est, quant à elle beaucoup moins inductible que la première et sous la dépendance de nombreux facteurs, dont :

  • La prédisposition génétique. Citons à titre d’exemple le président Churchill qui tolérait une grande quantité d’alcool sans déclencher pour autant de complications majeures pour sa santé.
  • Le statut en micronutriments, évoqué précédemment, et en particulier en acides aminés soufrés (méthionine, cystéine, taurine), substrats essentiels à la phase de conjugaison.

 

La Taurine, bon ou mauvais pour la santé ?

L’image de la Taurine est régulièrement mise à mal à travers son utilisation à forte dose dans les boissons énergisantes et suite à l’avis exprimé par l’organisme en charge de la sécurité sanitaire, l’ANSES (anciennement AFSSA). Rappelons pourtant que la Taurine, à dose physiologique, est un dérivé d’acide aminé soufré indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Il intervient dans les métabolismes cardiaques, musculaires, de détoxication, de production des acides biliaires et compose naturellement les viandes, les produits laitiers, les algues ou encore les huîtres. Les apports alimentaires représentent toutefois environ 200 mg/jour, soit 5 fois moins qu’une seule canette de boisson énergisante, cette dernière associant par ailleurs et surtout d’autres ingrédients tels que la caféine ou le glucuronolactone à forte dose. Ce cocktail peut alors provoquer des complications détonantes sur le plan cardiaque ou psychique.

Quels sont les effets de l’alimentation sur le foie ?

La consommation importante d’alcool, d’aliments riches en pesticides, additifs, hormones ou antibiotiques dans les viandes animales, une cuisson trop forte des aliments sous forme grillée (y compris tous les produits brunis par la réaction de Maillard : croûte de pain, biscuits, produits torréfiés, etc.) sont autant de facteurs alimentaires augmentant le travail de détoxication par le foie. Une consommation importante et chronique d’aliments glucidiques à fort index glycémique favorise également les risques de stéatose hépatique non alcoolique.

Faites-vous du foie gras ?

Nous parlons bien ici de votre foie et non de celui des oies ou des canards… Touchant de 20 à 40 % de la population adulte dans les pays occidentaux et près d’un adolescent sur 3, la stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD pour non-alcoholic fatty liver disease) peut progresser vers une fibrose à un stade avancé ou une cirrhose (21% des patients atteints selon une étude menée sur 132 patients) (1). Cette maladie est par ailleurs étroitement liée au diabète : plus de 90% des patients obèses souffrant de diabète présentent cette maladie. Le foie ayant une capacité de régénération importante, son atteinte sous forme de fibrose peut être réversible à la condition d’une prise en charge médicale et nutritionnelle adaptée. En revanche, la cirrhose est un stade plus avancé dans lequel les hépatocytes perdent leur capacité de régénération : elle devient alors irréversible.

Une sédentarité chronique, des repas trop riches, notamment en glucides à index glycémique élevé sont à l’origine d’une sécrétion accrue d’insuline par le pancréas. Or l’insuline agit sur une hormone (HSL, Hormone-Sensitive Lipase) favorisant la libération d’acides gras libres et leur diffusion dans le foie, tout en augmentant la conversion de glucose en acides gras, qui pourront alors former des triglycérides stockés sous forme de graisse dans le foie. Une telle accumulation peut générer un afflux de composés inflammatoires du fait d’un stress oxydatif, à l’origine de fibroses puis de la cirrhose.

Plusieurs études menées par le Dr Ludwig ont mis en évidence un risque accru d’accumulation de graisses dans le foie suite à la consommation d’aliments à index glycémique élevé, notamment ceux riches en amylopectine (2, 3)Pour rappel, l’index glycémique permet de quantifier l’effet des glucides présents dans un aliment sur l’élévation du taux de sucre, donc secondairement sur la sécrétion d’insuline (voir article).

Le fructose est un glucide possédant un index glycémique bas et a été de ce fait mis en avant pendant des années comme substitut idéal au sucre de table (saccharose). Consommé sous la forme de fruits ou de miel, il ne présente aucun risque pour la santé. A l’inverse, l’excès de fructose est à l’origine d’une accumulation de graisses dans le foie et de triglycérides dans le sang, d’un risque accru de diabète, d’obésité, voire d’hyperperméabilité intestinale (4, 5).

Or de nombreux produits industriels et sodas, en particulier issus d’Outre-Atlantique, contiennent du sirop de maïs riche en fructose (High Fructose Corn Syruputilisé pour ses propriétés industrielles en termes de liant et de pouvoir sucrant. Il s’agit là d’un exemple caractéristique de l’effet bénéfique d’un nutriment à faible dose et délétère lorsqu’il est consommé à l’excès.

Bonne nouvelle… ce mécanisme est réversible : réduire la consommation d’aliments à index glycémique élevé tout en veillant à un apport suffisant de graisses  (huiles d’olive, de colza, de noix, de lin, avocat, petits poissons gras, oléagineux) et de protéines de qualité est un geste particulièrement bienveillant pour le foie (6).

Le statut micronutritionnel est essentiel pour permettre aux enzymes en charge de la détoxication hépatique d’assurer leurs fonctions : antioxydants (vitamines C, E, bêta-carotène, polyphénols, flavonoïdes, caroténoïdes, Zinc, Manganèse, Cuivre, Sélénium), acides aminés (méthionine, cystine,  glutamine, arginine), oligo-éléments, magnésium, vitamines B (B1, B2, B3, B5, B6, B9 et B12). Une alimentation riche en végétaux frais, d’origine biologique, crus ou cuits à chaleur douce est donc le premier geste santé à réaliser pour prendre soin de son foie.

Certains aliments permettent de soutenir les fonctions de détoxication du foie : on peut ainsi citer le brocoli (7), les choux de Bruxelles, l’ail, le curcuma, la betterave, la pomme, le gingembre, les algues... Ils possèdent la propriété de stimuler les gènes des enzymes de la seconde phase, point intéressant pour les personnes présentant un génotype défavorable. Le brocoli (en particulier les jeunes pousses) est riche en sulforaphanes, reconnus pour leurs propriétés sur la prévention du cancer. Plus précisément, le brocoli contient un actif de la famille des glucosinolates et une enzyme, la myrosinase qui interagissent pour produire le sulforaphane, uniquement lorsque le végétal est croqué, la mastication permettant de mettre en contact les deux actifs.  Par ailleurs une étude publiée dans la revue Journal of Food Science en 2013 révèle que cette enzyme est inactivée par la cuisson ou la surgélation (8).

Rien de tel donc que de jeunes pousses de brocoli frais ! Vous pouvez également les agrémenter de radis (blanc ou noir), chou (rouge, chinois), roquette, cresson, moutarde forte ou wasabi, qui contient naturellement de la myrosinase.

Le café, riche en antioxydants et acide caféique, présente de nombreux bénéfices sur la santé, en particulier dans le cadre de la prévention de la maladie de Parkinson, d’Alzheimer, du diabète ou de certains cancers (pancréas). Boire quotidiennement du café semble également réduire les risques de maladies chroniques du foie (9). Toutefois, sa consommation mérite d’être modérée (environ 2 cafés par jour, d’origine biologique et avant 17h, traditionnel et non au percolateur favorisant le passage d’Aluminium) compte tenu des effets de la caféine sur le système nerveux.

Le jus de pamplemousse inhibe quant à lui l’activité des enzymes du complexe cytochrome P450 3A4 (ou CYP3A4) de la première phase du fait de la présence d’un composé spécifique, la naragénine. Le jus est donc à éviter en cas de surcharge hépatique ou chez les personnes sous traitement médicamenteux (statines, benzodiazépines, ciclosporine et cisapride notamment). A titre d’exemple, un seul verre de jus de pamplemousse peut modifier durant 72 heures la pharmacocinétique d’un médicament. Le Millepertuis traditionnellement utilisé dans  les compléments alimentaires pour le traitement des syndromes dépressifs ou des troubles du sommeil, majore lui l’activité des cytochromes P450, de même que le tabac, l’alcool et certains médicaments (anti-infectieux, anti-épileptiques).

Bien entendu, l’hydratation est un facteur essentiel pour assurer une détoxication hépatique efficace. Il est d’ailleurs bien connu que les lendemains de soirées bien arrosées sont particulièrement difficiles pour les personnes qui n’ont pas pris la peine de s’hydrater suffisamment (avec de l’eau !) pour compenser l’effet déshydratant de l’alcool. Boire au minimum 1,5 à 2 L d’eau par jour est donc essentiel.

 

L’effet délétère de l’alcool sur le foie n’est par ailleurs plus à démontrer. Mais qu’en est-il du vin ? Riche en resvératrol, un antioxydant particulièrement puissant pour protéger des maladies cardio-vasculaires et dégénératives, du cancer et du diabète, il expliquerait en partie le French Paradox. Toutefois, le vin peut également contenir de nombreux pesticides et de fortes quantités de sulfites, en particulier les vins blancs moelleux, majorant ainsi la surcharge en xénobiotiques du foie et réduisant la dégradation de l’alcool.  Attention donc à la qualité et à l’origine du vin. Les vins d’origine biologique sont à privilégier, pour votre foie autant que pour les viticulteurs, parole d’amateur !

Privilégier une chaleur douce pour la cuisson (vapeur) afin de limiter la production de composés toxiques (corps de Maillard, amines hétérocycliques produites lors des grillades notamment).

Quel est l’intérêt d’une complémentation et de la phytothérapie ?

De nombreux actifs végétaux peuvent être intéressants pour soutenir les fonctions hépatiques, voire stimuler la détoxication. Toutefois, plusieurs types d’actions peuvent être distinguées.

Certains extraits végétaux sont utilisés pour stimuler la sécrétion de bile (action cholérétique) ou son évacuation vers l’intestin (action cholagogue), afin de  « drainer » le foie en cas de surcharge ou de foie paresseux :

  • L’artichaut est riche en un composé amer, la cynaropicrine, que l’on trouve dans les feuilles, mais également en acides phénols comme la cynarine ou l’acide caféique. Les feuilles d’artichaut ont quant à elle la réputation de faciliter la digestion. La teneur de l’artichaut en acides phénols lui permet de protéger les hépatocytes contre le stress oxydant. Chez la femme allaitante la consommation d’artichaut est déconseillée, celui-ci pouvant inhiber le processus de lactation.
  • Le radis noir possède des propriétés similaires à celles de l’artichaut ainsi qu’une action cholagogue (il facilite l’évacuation de la bile vers l’intestin), de même que le romarin (10). Le radis noir contient des flavanoïdes et raphanol, ainsi que des glucosinolates pouvant se transformer en principes actifs, comme le sulforaphane, induisant lui-même les enzymes de détoxication de la phase II. Les cytochromes de la phase I sont inhibés par d’autres enzymes. Sa consommation permet donc d’optimiser les fonctions de détoxication du foie.
  • Le romarin contient, comme l’artichaut, des acides phénols (acides rosmarinique et caféique), des flavonoïdes, des dérivés terpéniques, quinones diterpéniques et essences aromatiques. Il peut être apporté sous forme d’infusion de feuilles.

 Les complexes micronutritionnels sont eux destinés à soutenir les fonctions de détoxication du foie à travers les enzymes de phase I et II.

 

D’autres actifs sont utilisés pour leurs qualités protectrices :

  • Le curcuma possède des propriétés hépato-protectrices. Son association à la pipérine, extraite du poivre, permet par ailleurs d’améliorer sa biodisponibilité (11). Riche en curcuminoïdes, le curcuma possède également des propriétés anti-oxydantes et anti-inflammatoires : il représente de ce fait un formidable allier pour votre santé
  • Le chardon-marie, riche en silymarine et silybine, est également régulièrement utilisé pour les mêmes qualités. Grâce à ces propriétés, il peut être utile en complément d’un traitement médicamenteux pour une hépatite, mais également en protection du foie contre une chimiothérapie.
  • Le sulforaphane est le principe actif du brocoli dont nous avons parlé précédemment. Certains compléments alimentaires proposent des extraits standardisés et sont souvent associés aux vitamines, minéraux et antioxydants évoqués au cours de cet article. Le glutathion (stocké dans le foie) et l’acide alpha-lipoïque (intervenant dans le recyclage du glutathion) sont des antioxydants naturellement produits par l’organisme et parfois proposés sous forme de complémentation en cas d’atteinte hépatique ou de déficits.
  • L’apport de Taurine peut également être intéressant en cas de besoin accru de soutien des fonctions hépatiques.
  • En cas de sollicitation importante du foie, les besoins en vitamine B3 sont majorés. L’organisme peut en effet fabriquer partiellement cette vitamine en utilisant un acide aminé particulier, le Tryptophane, dont on a déjà évoqué l’intérêt dans la production d’un neuromédiateur, la sérotonine. Dans le cadre d’un programme micronutritionnel, il s’agit d’un point à considérer en cas de troubles de l’humeur notamment (voir cet article).
  • Enfin, le Desmodium (Desmodium adscendens) est une plante d’origine Africaine, particulièrement intéressante en cas d’atteinte des cellules du foie (les hépatocytes) et dont l’importation en France est attribuée au Dr Pierre Tubéry dans les années 1970. A la différence des autres actifs mentionnés précédemment, ce végétal possède la propriété d’intervenir sur la régénération des hépatocytes : il est donc notamment conseillé en cas de cirrhose, d’hépatites ou suite à une chimiothérapie.
  • L’ail des ours, la Coriandre et la Chlorella sont quant à eux davantage utilisés pour favoriser l’élimination des métaux lourds.

Que de solutions pour un seul besoin ! Effectivement, à l’image du travail de votre foie et du nombre de mécanismes impliqués, les actions possibles sont multiples. Mais il existe un besoin essentiel et commun à toutes ces situations : la nécessité de bénéficier d’enzymes fonctionnelles, donc d’une alimentation riche en micronutriments (vitamines, minéraux, oligo-éléments, acides aminés soufrés) et d’une bonne hydratation. Ainsi, le foie assurera ses fonctions efficacement. En fonction des situations, le choix peut alors se porter vers une restauration du statut en micronutriments en priorité, associée à des végétaux à l’action détoxifiante (artichaut par exemple pour les toxines et chlorella pour les métaux lourds) ou soutenant la régénération des hépatocytes (le desmodium) si ces derniers ont été atteints par un traitement médicamenteux ou une hépatite.

Avoir recours à un jeûne ou à une monodiète (de raisin ou de tout autre aliment rendu vertueux par les médias) permet en toute logique d’alléger le travail du foie, la quantité de nutriments et de xénobiotiques étant ainsi considérablement réduite. L’organisme pourra alors naturellement consacrer son énergie à éliminer l’excès de toxiques accumulés antérieurement et à son fonctionnement général. Ces phases de restrictions alimentaires doivent toutefois demeurer ponctuelles : de tels choix doivent en effet s’envisager sur le court terme au risque de générer des déficits nutritionnels, donc une moindre efficacité des réactions enzymatiques et une difficulté à la réintroduction d’une alimentation plus conventionnelle. Jeûner un jour par mois, voire plus fréquemment pour certains, n’entravera pas le statut en micronutriments. Pour autant une telle démarche ne s’avère pas indispensable pour permettre au foie d’assurer ses fonctions.

Et le foie du sportif ? (12)

Bien souvent délaissé au profit des muscles… Le foie est pourtant un organe essentiel en matière de pratique sportive. Il est notamment en charge de stocker, sous forme de glycogène hépatique, le glucose distribué dans le sang entre les repas. Son métabolisme est en étroite relation avec celui de son acolyte, le glycogène musculaire : il est donc impliqué dans la gestion de la performance, notamment à travers les métabolismes de la glycogénolyse, de la néoglucogénèse et du cycle de Cori. Par ailleurs, l’activité physique est responsable d’une production accrue de déchets que le foie va devoir éliminer, d’autant plus que contrairement à d’autres organes, l’entraînement en endurance ne semble pas associé à une adaptation du foie, hormis une légère augmentation de sa taille. Cet organe, bien que fortement irrigué (de l’ordre de 1,5 à 1,8 L par minute au repos) est relativement « bien » protégé au cours de l’effort, malgré une légère diminution du volume sanguin hépatique (de l’ordre de 15%, variable en fonction de l’activité physique). Les pathologies hépatiques liées à la pratique sportive sont avant tout d’origine traumatique (en cyclisme notamment), virale (en cas de ravitaillement douteux) ou secondaires au coup de chaleur à l’effort. Toutefois la prise de médicaments, de compléments alimentaires dont la traçabilité n’est pas garantie, ou de produits dopants augmente de manière significative les risques de toxicité hépatique, au delà de tout débat éthique. Certains écrits mentionnent une légère baisse des taux de glutathion après l’exercice qui, associée aux pertes accrues en oligo-éléments et à la consommation importante d’oxygène, expose le sportif à des risques majorés de stress oxydatif.

En conclusion, faut-il systématiquement réaliser une cure de détoxication ?

Au regard de l’environnement dans lequel nous évoluons et du nombre de xénobiotiques auxquels nous sommes quotidiennement confrontés, oui, j’aurais tendance à conseiller de soutenir la détoxication par une cure de micronutriments et d’extraits végétaux au moins une fois par an. Elle n’est pour autant pas indispensable pour tous et dépend, d’une part de notre phénotype (ou prédisposition génétique) et d’autre part du niveau d’exposition aux toxiques. Si vous êtes sujet(te) aux troubles fonctionnels évoqués précédemment, une telle cure peut s’avérer nécessaire. Et bien entendu, elle ne trouve à mon sens sa pleine légitimité qu’intégrée à une démarche globale de prise en charge de la qualité de l’alimentation et de l’hygiène de vie générale.

Anthony Berthou

Références :

http://www.sante-et-nutrition.com/nutrition-et-detoxication/

  1. Gramlich T, Kleiner DE, McCullough AJ, Matteoni CA, Boparai N, Younossi ZM. Pathologic features associated with fibrosis in nonalcoholic fatty liver disease. Hum Pathol. 2004 Feb;35(2):196-9.
  2. Ludwig DS. Examining the health effects of fructose. JAMA. 2013 Jul 3;310(1):33-4.
  3. Scribner KB, Pawlak DB, Ludwig DS. Hepatic steatosis and increased adiposity in mice consuming rapidly vs. slowly absorbed carbohydrate. Obesity (Silver Spring). 2007 Sep;15(9):2190-9.
  4. Kavanagh K, Wylie AT, Tucker KL, Hamp TJ, Gharaibeh RZ, Fodor AA, Cullen JM. Dietary fructose induces endotoxemia and hepatic injury in calorically controlled primates. Am J Clin Nutr. 2013 Aug;98(2):349-57.
  5. Livesey G, Taylor R. Fructose consumption and consequences for glycation, plasma triacylglycerol, and body weight: meta-analyses and meta-regression models of intervention studies. Am J Clin Nutr. 2008 Nov;88(5):1419-37.
  6. Browning JD, Baker JA, Rogers T, Davis J, Satapati S, Burgess SC. Short-term weight loss and hepatic triglyceride reduction: evidence of a metabolic advantage with dietary carbohydrate restriction. Am J Clin Nutr. 2011 May;93(5):1048-52.
  7. Kall MA, Vang O, Clausen J. Effects of dietary broccoli on human drug metabolizing activity. Cancer Letters. 1997 Mar 19 ; 114 (1-2) : 169-70.
  8. Dosz EB, Jeffery EH. Modifying the processing and handling of frozen broccoli for increased sulforaphane formation. J Food Sci. 2013 Sep;78(9):H1459-63.
  9. Molloy JW, Calcagno CJ, Williams CD, Jones FJ, Torres DM, Harrison SA. Association of coffee and caffeine consumption with fatty liver disease, nonalcoholic steatohepatitis, and degree of hepatic fibrosis. Hepatology. 2012 Feb;55(2):429-36.
  10. Inatania R, Nakatani N, Fuwaa H. Antioxidative effect of the constituents of rosemary (Rosmarinus officinalis L.) and their derivatives. Agric. Biol. Chem. 1983 ; 47 : 51-8.
  11. Chuang SE, Kuo ML, Hsu CH, Chen CR, Lin JK, Lai GM, Hsieh CY, Cheng AL. Curcumin-containing diet inhibits diethylnitrosamine-induced murine hepatocarcinogenesis. Carcinogenesis. 2000 Feb;21(2):331-5.
  12. Moses F. The effect of exercise on the gastrointestinal tract. Sport Med. 1990;9(3):156-72.
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