Je suis convaincu qu’il y a un tel complot,
d’envergure internationale, en planification
depuis plusieurs générations, et de nature
incroyablement maléfique. »
Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
n réchauffement du système solaire dans sa totalité, plutôt qu'uniquement à l'échelle terrestre,
Pour
la première fois révélé par Richard C. Hoagland en 2004, la notion d'un
réchauffement du système solaire dans sa totalité, plutôt qu'uniquement
à l'échelle terrestre, demeure un sujet à toutes fins utiles inexistant
auprès de la communauté scientifique actuelle et est tout simplement
inconnu de la population en générale. Dans un article intitulé "Interplanetary "Day after tomorrow"?",
Hoagland explore, avec tout le sérieux, la rigueur scientifique et
l'ouverture d'esprit qui le caractérisent, la réelle possibilité d'un
changement climatique à l'échelle du système solaire. À l'aide de
données officielles de la NASA ainsi que de nombreuses parutions dans
les journaux scientifiques, il a recueilli une panoplie de données
techniques, rendues publiques au compte-gouttes et de façon isolée,
pour en faire un portrait général et compréhensible indiquant
clairement que le "réchauffement de la planète" est, en fait,
indéniablement un "réchauffement du système solaire".
Je ne
ferai ici qu'un bref tour d'horizon de ces changements afin de donner
au lecteur un aperçu de l'ampleur du phénomène ainsi qu'un point de vue
différent de celui que la propagande officielle véhicule à tous vents,
"que ce sont nos utilisations excessives de carburants fossiles et nos
déforestations" qui sont les causes principales des changements
climatiques que nous expérimentons depuis quelques décennies. À noter
que je n'insinue pas que nous n'y contribuons pas par nos pratiques non
environnementales mais, seulement, qu'avec ou sans nous, ces changements se produiraient tout de même.
On assiste, en quelque sorte, à un changement de saison au niveau du
système solaire, à un cycle d'ordre cosmique que nous ne comprenons pas
tout à fait encore.
Voici, en résumé, quelques-unes des données scientifiques existantes :
Le Soleil démontre plus d'activité depuis 1940, en termes d'éruption solaires (nombre et force), que dans les 1 150 dernières années… combinées !
Vénus
présente des changements atmosphériques substantiels et une
augmentation de sa luminosité aurorale de 2500%, et ce, depuis les 30
dernières années seulement.
En ce qui concerne la Terre, est-ce réellement nécessaire de décrire tous les changements géophysiques si évidents ?
Mars
subit un "réchauffement planétaire" semblable au nôtre : disparition
des calottes polaires de glace et augmentation significative des
tempêtes en nombre et en ampleur.
Jupiter
montre une augmentation de 200% de la luminosité de ses nuages de
plasma avoisinants (ce qui est sans aucun doute le résultat de forts
changement intérieurs).
Saturne voit son
"jet stream" équatorial largement décroître depuis environ 20 ans. Ce
phénomène est accompagné d'une surcharge d'émission de rayons X depuis
son équateur (jusqu'à 1000% en ce qui concerne le brillant nuage qui
entoure la planète) ainsi que la disparition des rayons transversaux de
son anneau.
Sur Uranus,
apparition de grands changements au niveau de sa luminosité, liés à
l'émergence de nuages remarquablement lumineux "de la grosseur d'un
continent terrestre", et arrivée nouvelle d'énormes tempêtes. Encore
une fois, tout ceci dans les 20 dernières années.
Sur Neptune, en juin 1994, la grande tache sombre de l'hémisphère sud (comparable à la grande tache rouge de Jupiter) est mystérieusement disparue. En 1995, elle est réapparue, mais dans l'hémisphère nord ! De plus, sa luminosité globale s'est accrue de 40%.
Pluton (rejetée planète !) a subi un accroissement de sa pression atmosphérique de 300%, de 1989 à 2002, malgré le fait qu'elle s'éloigne actuellement du soleil.
Bien
entendu, ceci n'est qu'un bref aperçu de ce qui se trame réellement, et
dans la totalité de notre système solaire présentement. Je conseille
fortement la lecture de l'article (en anglais) cité au bas de la page.
Serait-ce
donc une propagande voulue que de ne parler que des combustibles
fossiles comme source du réchauffement climatique ? N'y a-t-il
réellement personne d'autre qui aurait mis toutes ces données dans un
contexte plus grand ? Quelqu'un saurait-il quelque chose que nous ne
savons pas ?
Peut-être approchons-nous du la fin et/ou commencement d'un cycle cosmique ?