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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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Archives
5 octobre 2009

Tesla utilisait une dynamo de charge comme source d'alimentation

Energie radiante - Nikola Tesla

       

Un guide pratique sur  les appareils à " énergie libre "

Mise à jour du 2 décembre 2006
Auteur : Patrick J. Kelly
Traduction en français par : Pascuser

Document original à télécharger ici (en américain)

Version PDF de ce document traduit à télécharger

Expériences de tesla:

En 1989 Tesla a commencé à réaliser des expériences avec des condensateurs chargés à haute tension et déchargés durant des intervalles de temps très courts. Ces très courtes impulsions produisaient des ondes de choc très abruptes qu'il pouvait sentir à travers la partie avant de son corps tout entier. Il était conscient que fermer un interrupteur connecté sur une dynamo à haute tension produisait souvent un choc accompagné d'une sensation de picotement. Ceci était, selon les suppositions, de l'électricité statique et se produisait seulement au moment de la mise sous tension et seulement durant quelques millisecondes. Cependant, durant ces millisecondes, des aiguilles bleuâtres d'énergie sortaient des câbles électriques et elles se connectaient à la terre, souvent à travers les corps des personnes postées debout à côté, causant leur mort instantanée si l'installation était de forte puissance. Alors que les générateurs de l'époque étaient conçus pour délivrer quelques centaines de volts, ces décharges étaient de plusieurs millions de volts. Le problème du générateur a été éliminé par l'utilisation d'interrupteurs fortement isolés qui étaient construits avec une excellente connexion à la terre.

Tesla était intrigué par ce phénomène qui apparaissait correspondre à celui des décharges de ses condensateurs. Il a calculé que les tensions produites étaient des centaines de fois plus grandes que ce que son générateur ou son condensateur pouvait produire. Il apparaissait clairement que la puissance fournie était amplifiée ou augmentée d'une certaine façon, mais la question était de savoir d'où pouvait bien provenir l'énergie supplémentaire arrivant dans le système.

Tesla a continué d'enquêter à travers des expériences, prenant des précautions contre les hautes tensions produites. Il a été très vite capable de produire ces ondes de choc quand il le voulait. Les ondes de choc produisaient une sensation de picotement quel que soit l'endroit où il se trouvait dans son laboratoire, et les mains et le visage étaient particulièrement sensibles aux ondes énergétiques. Ces ondes irradiaient vers l'extérieur et pénétraient le métal, le verre et toute sorte de matériaux. Ce n'était clairement pas une onde électromagnétique, aussi l'a-t-il appelé " Electricité radiante ".

Tesla a mené des recherches dans la littérature scientifique pour trouver des références à propos de cette énergie radiante, mais il n'a rien pu trouver. En 1842, le docteur joseph Henry avait observé que des aiguilles d'acier étaient magnétisées par une étincelle provenant de la décharge d'une Jar de Leyden située à un étage différent de l'immeuble. L'onde magnétisante avait traversé les murs de briques, les portes en chêne, le sol fait de pierre lourde et d'acier et les plafonds en étain pour atteindre les aiguilles situées dans une voûte de la cave.

En 1872, Elihu Thomson a pris une grande bobine à étincelle de Ruhmkorff, a attaché une extrémité de la bobine à un tuyau d'eau froide et l'autre extrémité en haut d'une table métallique. Ceci a produit une série d'étincelles géantes qui ont électrifié le bouton en métal de la porte et ont produit des ondes de choc produisant la sensation de picotement sur lesquelles Tesla enquêtait. Il a pu constater que tout objet en métal isolé n'importe où dans l'immeuble produisait des étincelles blanches longues et continues se déchargeant à la terre. La découverte a été publiée succinctement dans le journal Scientific American plus tard au cours de la même année.

Tesla a conclu que la totalité du phénomène observé impliquait la présence d'un " medium de structure gazeuse, c'est-à-dire constitué de transporteurs indépendants capables de mouvement - en plus de l'air, un autre médium est présent. " Ce médium invisible est capable de transporter des ondes d'énergie à travers toutes les substances, ce qui suggère que, si il est physique, sa structure de base est plus petite que les atomes qui constituent les matériaux communs, permettant au jet de matière de passer librement à travers tous les solides. Il apparaît que tout l'espace est rempli avec cette matière.

Thomas Henry Moray a pu montrer que le flux d'énergie peut passer à travers le verre et éclairer des ampoules électriques classiques. Harold Aspden a réalisé une expérience connue sous le nom de " effet Aspden " qui a aussi indiqué la présence de ce médium. Harold a fait cette découverte en faisant des tests sans rapport avec ce sujet. Il a démarré un moteur électrique qui avait une masse de rotor de 800 grammes et enregistré le fait qu'il consommait une énergie de 300 joules pour l'amener à une vitesse de rotation de 3 250 tours par minute, lorsqu'il tournait sans aucune charge.

Le rotor ayant une masse de 800 grammes et tournant à cette vitesse, son énergie cinétique additionnée à celle du moteur le faisant tourner ne peut pas excéder 15 joules, contrastant avec l'énergie importante de 300 joules nécessaire pour le faire tourner à cette vitesse. Si le moteur est mis en marche pendant 5 minutes ou plus, et que l'interrupteur de mise en route est alors coupé, il s'arrête au bout de quelques secondes. Mais, le moteur peut alors être redémarré de nouveau (dans le même sens ou dans le sens inverse de rotation) et être porté à la même vitesse qu'auparavant avec seulement 30 joules de consommés, à condition que le temps écoulé entre l'arrêt et le redémarrage n'excède pas une minute . Si il y a un délai de plusieurs minutes, alors une énergie consommée de 300 joules est de nouveau nécessaire pour faire tourner le moteur à la même vitesse.

Ce n'est pas un phénomène transitoire de chauffage. A chaque fois, le pallier de rotor se refroidit et tout chauffage du moteur entraîneur induit une augmentation de la résistance et de là un accroissement de la puissance vers un état de stabilité. Il y a preuve expérimentale qu'il y a quelque chose qui n'est pas visible, qui est mis en mouvement par le rotor de la machine. Ce "quelque chose" a une densité massique de 20 fois celle du rotor, mais est quelque chose qui peut se mouvoir indépendamment et prendre plusieurs minutes pour disparaître, alors que le moteur lui s'arrête en quelques secondes.

Deux machines ayant des rotors de taille et de composition différentes révèlent le phénomène et des tests indiquent des variations selon les heures de la journée et l'orientation dans le champ magnétique terrestre de l'axe de rotation. L'une des machines, celle incorporant des aimants plus faibles, a démontré un gain de puissance magnétique durant les tests qui ont été répétés sur une période de plusieurs jours.

Ceci montre clairement qu'il y a un medium invisible qui interagit avec les objets de tous les jours et leurs actions, et confirme les découvertes de Tesla. Tesla a continué à expérimenter et a trouvé qu'une impulsion très brève unidirectionnelle est nécessaire pour générer une onde d'énergie radiante. En d'autres termes, un courant alternatif ne crée pas cet effet, cela doit être une tension continue. Plus brève sera la durée de l'impulsion, et plus grande sera la tension ainsi que l'onde d'énergie radiante. Il a trouvé qu'en utilisant un condensateur et un mécanisme de décharge en arc avec un aimant permanent très puissant placé à angle droit de l'étincelle, il a amélioré la performance de son système par un facteur très important.

Des expériences complémentaires ont montré que les effets étaient modifiés par la durée de l'impulsion électrique. Dans chaque cas, la puissance de l'énergie irradiée semblait être constante indépendamment de la distance le séparant de l'appareil. L'énergie était propagée sous forme d'ondes longitudinales individuelles. Des objets placés près de l'équipement devenaient puissamment électrifiés, retenant leur charge durant de nombreuses minutes après que l'équipement était été coupé.

Tesla utilisait une dynamo de charge comme source d'alimentation et a vu que si il déplaçait son déchargeur magnétique vers un côté de la dynamo, l'onde radiante était positive. Si il plaçait le déchargeur magnétique vers l'autre côté de la dynamo, l'onde radiante devenait de signe négatif. Ceci était clairement une nouvelle force électrique qui voyageait de la même façon que les rayons de lumière, et de nature différente des ondes électromagnétiques de Maxwell.

En observant les effets du paramétrage de la durée des impulsions, Tesla a trouvé qu'un train d'impulsions qui avaient des durées d'impulsion individuelle excédant les 100 microsecondes produisait de la douleur et des pressions mécaniques. Avec cette durée là, les objets exposés au champ vibraient et étaient souvent poussés vers l'extérieur par le champ. Des fils fins sujets à de soudains éclats violents du champ radiant explosaient en se vaporisant. Quand la durée d'impulsion était réduite à 100 microsecondes ou en dessous, les effets douloureux n'étaient plus ressentis et les ondes étaient sans danger.

Avec des impulsions de durée d'une microseconde, des effets puissants de chauffage physiologique étaient ressentis. Avec des impulsions encore plus courtes, des illuminations spontanées capables de remplir la pièce de lumière blanche étaient produites. Des impulsions encore plus courtes produisaient une brise froide dans la pièce accompagnée d'une élévation de l'humeur et de la conscience des personnes présentes. Ces effets ont été vérifiés par Eric Dollard qui a écrit à leur propos en détail.

En 1890, Tesla a découvert que si il plaçait près de son éclateur magnétique une longue bobine de cuivre de forme hélicoïdale, bobinée avec un seul tour, de deux pieds de long, la dite bobine à paroi fine produisait une gaine d'étincelles blanches avec des flammèches blanches argentées sortant de son sommet. Ces décharges apparaissaient avoir de plus hautes tensions que le circuit les générant. L'effet était fortement décroissant si la bobine était placée à l'intérieur du cercle de fil de l'éclateur. La décharge semblait étreindre la surface de la bobine avec une affinité étrange, et roulait le long de sa surface vers le côté ouvert. L'onde de choc sortait de la bobine à angles droits des enroulements et produisait de très longues décharges depuis le sommet de la bobine. Quand la charge de l'éclateur sautait d'un pouce dans son logement magnétique, les flammèches de la bobine étaient de plus de deux pieds de long. Cet effet était produit au moment où le champ magnétique était en train d'éteindre l'étincelle et était totalement inconnu à l'époque.

Ce train d'impulsions de très courtes durées et unidirectionnelles produisait un champ très étrange qui s'étendait vers l'extérieur. Ce champ ressemble à un genre de champ électrostatique mais a un effet bien plus puissant que celui qui serait attendu d'une charge électrostatique. Tesla était incapable de calculer l'énorme multiplication de tension de son appareil en utilisant les lois de l'électricité connues à son époque. Il a donc présumé que l'effet était entièrement dû à des lois de transformation radiantes qui devraient être déterminées expérimentalement par des mesures. C'est ce qu'il fit.

Tesla a découvert une nouvelle loi d'induction dans laquelle les ondes de choc radiantes s'auto-amplifient quand elles rencontrent des objets segmentés. La segmentation était la clef de déblocage. Les ondes de choc radiantes rencontraient une hélice et fuyaient par-dessus le revêtement extérieur de la bobine d'une extrémité à l'autre directement. Cette onde de choc ne passait pas à travers les enroulements de la bobine mais considéraient la surface de la bobine comme un chemin de conduction. Des mesures ont montré que l'augmentation de tension le long de la surface de la bobine était exactement proportionnelle à la longueur de traversée le long de la bobine, alors que cette augmentation atteignait les 10 000 Volts par pouce le long de la bobine. Les 10 000 volts qui étaient alors mis en entrée de sa bobine de 24 pouces étaient amplifiés jusqu'à 240 000 volts à la sortie de cette dernière. C'était complètement incroyable pour un équipement aussi simple que celui-là. Tesla a aussi découvert que l'augmentation de tension était liée mathématiquement à la résistance de l'enroulement de la bobine, de plus grandes résistances de bobinages produisant de plus hautes tensions.

Tesla a alors commencé à se référer à sa boucle d'éclateur comme étant son " primaire " spécial et la longue bobine hélicoïdale comme étant son " secondaire " spécial mais il n'a jamais eu l'intention de se référer par cette terminologie à des transformateurs électromagnétiques qui fonctionnent eux sur un principe totalement différent.

Il y avait un attribut qui échappait encore à Tesla pendant un certain temps. Ses mesures montraient qu'il n'y avait aucun flux de courant dans le long " secondaire " de cuivre bobiné. La tension était croissante avec chaque pouce de bobine supplémentaire mais il n'y avait aucun courant dans la bobine elle-même. Tesla a commencé à se référer à ses résultats de mesure comme étant ses " lois d'induction électrostatiques ". Il a déterminé que chaque bobine avait ses durées d'impulsion optimales propres et que le circuit qui alimentait le montage avait besoin d'être accordé à la bobine pour ajuster la longueur de l'impulsion pour donner les meilleurs résultats.

Tesla a alors vu que les résultats donnés par ses expériences étaient analogues aux équations de la dynamique des mouvements des gaz, aussi il a commencé à se demander si les décharges de flammes blanches pouvaient être une manifestation gazeuse spontanée d'une force électrostatique. Il a compris que lorsqu'un point en métal était connecté au terminal de haut de sa bobine " secondaire ", les flammèches étaient dirigées de la même manière que de l'eau coulant dans un tuyau. Quand le flux était dirigé vers des plaques métalliques éloignées, il produisait des charges électroniques qui pouvaient être mesurées comme des courants au niveau du site de réception, mais durant le transit aucun courant n'existait. Le courant apparaissait seulement quand le flux était intercepté. Eric Dollard a constaté que ce courant intercepté peut atteindre plusieurs centaines ou bien même plusieurs milliers d'ampères.

Tesla a fait encore d'autres découvertes remarquables. Il a connecté une barre de cuivre très épaisse en forme de U directement à travers le primaire de son éclateur, réalisant ainsi un court-circuit. Il a alors connecté plusieurs ampoules de lampes à filament à incandescence ordinaires entre les jambes de la barre en forme de U. Quand l'équipement était mis sous tension, les lampes se sont allumées avec une lumière froide brillante. Ceci est complètement impossible avec de l'électricité conventionnelle, et cela montre clairement que ce dont Tesla s'occupait était quelque chose de nouveau. Cette nouvelle énergie est quelque fois appelée " électricité froide " et Edwin Gray senior a démontré à quel point elle est différente en allumant des ampoules à filament à incandescence directement à partir de son tube générateur, les submergeant dans l'eau et mettant ses mains dans l'eau aussi. L'électricité froide est en général considérée comme étant sans danger pour les humains. Les tubes générateurs de Ed Gray opèrent en générant des ondes d'électricité radiante en faisant usage d'un éclateur à étincelle, et en collectant l'énergie par le biais de trois cylindres de cuivre fermés entourant le dit éclateur. Les cylindres sont percés de nombreux trous parce que cela améliore la prise et la charge est directement alimentée par le courant des cylindres. Quand les ampoules s'allument, Ed utilise un transformateur sans cœur fait de quelques tours de fil de très grosse section. J'ai personnellement connaissance de deux personnes qui ont reproduit indépendamment le tube générateur de Ed.

Tesla voyait les flammèches venant de ses bobines comme de l'énergie gaspillée, donc il a essayé de les faire disparaître. Il a essayé une bobine conique mais a constaté que cela a accentué le problème. Il a alors essayé de placer une sphère de cuivre au sommet de sa bobine. Cela a stoppé les flammèches mais les électrons étaient délogés de la sphère de cuivre, créant des conditions réellement dangereuses. Ceci demandait que le métal génère des flux d'électrons lorsqu'il est frappé par les flammèches de la bobine (comme cela a été vu quand les flammèches avaient été canalisées vers les plateaux de métal et que du courant en avait résulté).

Tesla a conçu, construit et utilisé de grandes ampoules de verre qui nécessitaient seulement un seul plateau externe pour la réception de l'énergie radiante. La distance à laquelle ces lampes étaient de la source radiante n'avait aucune importance, elles s'allumaient et brillaient fortement, presque au niveau d'éclairage d'une lampe à arc et bien bien plus brillant que n'importe laquelle des lampes à filaments conventionnelles d'Edison. En ajustant la tension et la durée des impulsions de son appareil, Tesla pouvait aussi chauffer ou refroidir une pièce.

Les expériences de Tesla suggéraient qu'une méthode d'extraction de l'énergie libre est d'utiliser une bobine de Tesla qui a un pic de métal au lieu de la commune sphère de métal placée au bout de la bobine " secondaire ". Si la bobine de Tesla est alimentée avec suffisamment d'impulsions de courte durée et unidirectionnelles et que la bobine " secondaire " était dirigée vers un plateau de métal, alors il devrait être possible de récupérer de fortes puissances depuis le plateau de métal, comme Tesla l'a découvert.



L'énergie provenant du champ environnant n'est pas de l'électricité et ne s'écoule pas à travers les fils du bobinage " secondaire ", mais au lieu de cela, elle s'écoule le long de l'extérieur de la bobine et à travers l'espace pour frapper la surface du plateau de métal, où elle génère du courant électrique conventionnel qui peut avoir un fort ampérage. Thomas Henry Moray a montré que cette énergie qui coule le long de l'extérieur du fil peut passer à travers le verre sans en être aucunement affectée.

Alors que les expériences de Tesla demandaient l'utilisation d'un plateau de métal, il a breveté un type de bobine dont il a dit qu'elle était très efficace pour récupérer cette énergie radiante. Cette bobine est appelée du nom impressionnant de " bobine bifilaire à connexion série " :



Si un champ magnétique puissant est placé à travers l'espace à étincelle comme montré plus haut, il rend plus abrupte la coupure de l'étincelle et améliore le caractère unidirectionnel de l'impulsion de courant. Il faut avoir en mémoire que si une telle impulsion très courte et abrupte de courant unidirectionnel produite par une étincelle traversant un espace à étincelle du type de celui montré auparavant a lieu dans un conducteur, alors une puissance onde d'énergie radiante émane dans un plan à angle droit de l'impulsion de courant, comme montré ici :



L'onde d'énergie radiante est assez différente d'un champ électromagnétique généré autour du fil transportant l'impulsion de courant. Dans le système de la bobine de Tesla présenté auparavant, il devrait être possible de rassembler de l'énergie libre additionnelle à travers une ou plusieurs bobines cylindriques co-axiales (positionnées comme des couches d'un oignon) autour des fils de l'espace à étincelle. Ces bobines seraient plus efficaces si elles étaient enroulées comme des bobines bifilaires connectées en série. La raison de cette disposition est que la composante du champ magnétique de la bobine est de (presque) zéro puisque le flux de courant passant à travers le fil s'écoule dans des directions opposées dans le sens aller et retour, et donc les champs magnétiques produits devraient s'annuler :



Il a été accordé à Tesla le brevet américain n° 685,957 " Appareillage pour l'utilisation de l'Energie Radiante " dans lequel il montre plusieurs moyens permettant de récupérer l'énergie collectée par les plateaux de métal. Il est probable que les techniques de récupération montrées dans le brevet de Hermann Plauston, qui constituent une partie de cet ensemble de documents, marcheraient aussi de manière très efficace avec cette énergie collectée. De vieux brevets mentionnent quelquefois un " condenseur " qui est le terme initial pour ce qui est de nos jours appelé un " condensateur ".

Après des considérations minutieuses et plusieurs expériences, Tesla est arrivé à la conclusion que les rayons radiants qu'il utilisait irradiaient vers l'extérieur si rapidement que les électrons étaient incapables de rester avec eux. Les rayons étaient transportées par un médium consistant en des particules presque sans masse et extrêmement mobiles, bien plus petites que les électrons, et qui à cause de leur taille et de leur vitesse, pouvaient facilement traverser la plupart des matériaux. Malgré leur petite taille, leur vitesse extrême leur donne un moment (ndt : moment d'impulsion = quantité de mouvement) considérable. Un élément particulièrement difficile à expliquer est que ses rayons semblent se propager vers l'extérieur instantanément, sans aucun délai de latence, comme s'ils étaient transmis à travers la matière qui est totalement incompressible. Cette énergie est quelquefois appelée " Energie Radiante " ou " ER " en plus court, et apparaît n'avoir aucune charge classique. Ceci est une caractéristique unique dans l'univers ayant des traits particuliers qui, si ils sont utilisés, permettent tout un ensemble de nouvelles applications et de nouvelles possibilités.

Tesla considérait que ce champ nouvellement découvert agissait comme un fluide. Cent quinze ans plus tard, l'article principal de l'édition de décembre 2005 du journal " Scientific American ", constatait que les modèles expérimentaux suggèrent que l'espace-temps pourrait être une sorte de fluide. Cela a pris longtemps pour que la science moderne commence à se préoccuper des travaux de Tesla. En fait, c'était Michael Faraday ( 1781-1867) qui a eu l'idée en premier.

Paulo et Alexandra Correa ont découvert un moyen pour convertir les ondes longitudinales de Tesla en puissance électrique ordinaire. Ils ont déposé le Brevet d'Application américain n° 2006/0,082,334 intitulé " Systèmes de conversion d'énergie " dans lequel ils font état de plusieurs manières de réussir ce type de conversion d'énergie.

Leurs techniques consistent en l'application de l'énergie des ondes longitudinales provenant d'une bobine de Tesla vers deux condensateurs via une diode de rectification et les tensions générées sont directement reliées au potentiel terrestre :



Le Brevet d'application fait partie de cet ensemble de documents et les détails peuvent être examinés dans leur totalité. Une théorie du fonctionnement est présentée, basée sur leurs nombreuses expériences et observations, et la forme concrète de l'un de leurs appareils de conversion est la suivante :



Les plateaux de récupération active R et T sont encastrés dans un cylindre et sont alimentés par une forme conique pour assister la procédure. Le Brevet d'application contient une grande quantité d'informations et vaut le détour de lecture.

Une autre personne clé dans l'avancée de la théorie et de l'analyse du courant est le professeur Konstantin Meyl, qui a décrit comment des vortex de champ produisent des ondes scalaires. Il a décrit la manière dont les ondes électromagnétiques (ondes transverses) et les ondes scalaires (ondes longitudinales) pourraient être représentées ensemble dans des équations d'ondes. Par comparaison, les ondes électromagnétiques transverses ont la meilleure application pour les transmissions télédiffusées comme la télévision, alors que les ondes scalaires longitudinales ont la meilleure application pour les systèmes de communication point à point comme les téléphones cellulaires.

Il a aussi proposé la théorie que les neutrinos sont des ondes scalaires qui se déplacent plus vite que la vitesse de la lumière. Quand ils se déplacent à la vitesse de la lumière, ce sont des photons. Quand un neutrino est ralenti en dessous de la vitesse de la lumière, il devient un électron. Les neutrinos peuvent osciller entre e- et e+ . La fusion nécessite e-, et un flash de lumière nécessite e+. L'énergie dans un vortex agit comme un convertisseur de fréquence. Le mélange de fréquences mesurables est appelé le bruit.

Le docteur Meyl a mis en évidence le fait que Tesla a mesuré la résonance de la Terre à 12 Hz. La résonance Schumann est de 7,8 Hz. Meyl montre comment on peut calculer l'onde scalaire de la Terre comme se propageant à 1,54 fois la vitesse de la lumière. Il a développé un modèle qui donne l'expansion de la Terre comme résultat de l'absorption de l'énergie des neutrinos par la Terre. Les ramifications de ce modèle sont que l'énergie des neutrinos peut être capturée. Il a poussé cela un peu plus loin et a postulé que l'Energie du Point Zéro est la puissance des neutrinos - énergie provenant du champ, disponible n'importe quand et présente partout. Pour mettre en évidence la place importante des neutrinos dans la science conventionnelle, Meyl indique que le Prix Nobel de physique en 2002 a été accordé pour ses travaux sur les neutrinos. Le site Web du docteur Meyl est à l'adresse www.k-meyl.de et vous pouvez y accéder par Google, une traduction approximative en anglais étant disponible.

Tesla a réalisé une expérience dans laquelle il a appliqué un courant alternatif à haute fréquence et haute tension à une paire de plateaux métalliques parallèles. Il a trouvé que l' " espace " entre les plateaux est devenu ce qu'il a décrit comme un " état solide " exhibant les caractéristiques d'une masse : inertie et moment. Cela veut dire, que la zone s'est transformée en un état contre lequel une poussée mécanique pouvait être exercée. Ceci implique que, en utilisant cette technique, il devrait être possible de faire se diriger un vaisseau spatial n'importe où dans l'espace, si le mécanisme de poussée contre " l'état solide " de l'espace pouvait être déterminé. D'autres expériences ont convaincu Tesla que des ondes électromagnétiques puissantes pouvaient être utilisées pour pousser (ou tirer) sur ce qui apparaît être de " l'espace vide ". Le principe de poussée est basé sur l'effet Hall utilisé dans les capteurs magnétiques semi-conducteurs, et est appelé l'effet magnétohydrodynamique ( " MHD "). Ceci pourrait être illustré de la façon suivante :


Ici, une boîte est construite avec deux plateaux de métal disposés sur des faces opposés et deux plateaux isolés les maintiennent en place, délimitant une zone d' " espace ". Un courant à haute tension et haute fréquence est appliqué aux plateaux de métal et ceci crée un champ électrique " E " entre les plateaux, comme dessiné en noir sur la figure précédente. Un champ magnétique " B " est lui aussi créé par le champ électrique. Le champ magnétique agit à angle droit du champ électrique, comme indiqué en bleu. Ces deux champs produisent une force de propulsion " F " dessinée en rouge dans le diagramme. Cette force de propulsion n'est pas produite par l'éjection d'une quelconque matière depuis l'intérieur de la boîte vers l'extérieur, mais est plutôt produite par une réaction contre " l'état solide " de l'espace-temps causé par les pulsations électromagnétiques contenues dans cette zone de l'espace. Ceci est bien plus efficace qu'un moteur à propulsion. L'accroissement de la force se fait selon la puissance quatrième de la fréquence ; donc si vous doublez la fréquence, l'effet est 16 fois plus grand.

Par comparaison, considérez la force appliquée pour soulever un objet en l'air, contre la force de la gravité. La force qui tire l'objet vers le bas est la gravité et sa valeur est donnée par :

Force gravitationnelle :
F=g×M×m/r²


G est la constante gravitationnelle (6,672×10-8 cm3g-1s-2)
M est la masse du premier corps
M est la masse du second corps
R est la distance entre les deux centres de masse

La force qui tend à élever la boîte est donnée par :
Force de Lorentz : Force sur un objet = Force électrique + Force magnétique
F=q×E + q×v×B


Q est la charge de l'objet
B est le champ magnétique
V est la vitesse de l'objet
E est le champ électrique

Quel est le rapport de grandeur entre ces deux forces ? Et bien, la force électromagnétique est plus grande que la force gravitationnelle par un facteur d'environ 2 200 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 000 fois. Ce nombre (2,2×1039) est trop grand pour que quiconque puisse le visualiser concrètement, aussi laisse-moi vous le faire comprendre autrement.

Si la quantité d'énergie utilisée pour soulever mécaniquement un objet d'une hauteur d'un centième de pouce (un quart de millimètre) du sol, avait été utilisée électromagnétiquement pour soulever le même objet, alors cette même quantité d'énergie aurait soulevé l'objet de plus de 3 472 222 000 000 000 000 000 000 miles du sol, ou en unité métrique, de plus de 5 588 001 700 000 000 000 000 000 de kilomètres du sol. Ce type de propulsion est donc d'un genre très différent du premier. Ce type de propulsion par effet Hall, si il était utilisé dans les vaisseaux, ne demanderait qu'une très petite quantité de puissance en entrée pour propulser le vaisseau en question à de grandes vitesses sur de grandes distances.

Comme le dispositif montré ci-dessus fonctionne directement à partir des champ de l'espace-temps qui pénètrent la matière, il semble n'y avoir aucune raison que ça ne puisse pas être utilisé comme système de propulsion d'un véhicule conventionnel, en le positionnant à l'horizontal plutôt que de façon verticale comme montré dans le diagramme. Le contrôle de navigation pourrait être effectué par des ajustements très fins de la fréquence des pulsations de courant alternatif appliquées aux plateaux de métal. Cependant, Bill Lyne indique que le mouvement horizontal est plus efficacement réalisé par la production de pulsations de courant continu à haute fréquence et haute tension à l'avant du véhicule pendant qu'en même temps on produit des vagues de courant alternatif à haute fréquence et haute tension à l'arrière du véhicule. Ce style de propulsion est sensé tirer le véhicule le long de sa trajectoire plutôt que l'y pousser le long.

La théorie dynamique de la gravitation de Tesla (1897) dit que tous les corps émettent des micro-ondes dont la tension et la fréquence sont déterminées par leur contenu électrique et leur mouvement relatif. Il a mesuré la radiation micro-ondes de la Terre à seulement quelques centimètres de longueur d'onde. Il a dit que la fréquence et la tension étaient influencées par la vitesse et la masse de la Terre, et que l'interaction gravitationnelle avec les autres corps, tels que le Soleil, était déterminée par l'interaction des micro-ondes entre les deux corps.

Si vous pensez que le concept de production d'une force de propulsion par la poussée contre un continuum espace-temps est difficile à accepter, alors peut être que vous devriez vous intéresser au brevet US accordé à Boris Volfson le 1er novembre 2005. La chose importante à savoir concernant ce brevet (qui est rempli de longs mots compliqués) n'est pas de savoir si il propose un mécanisme réaliste pour la propulsion d'un vaisseau spatial, mais le fait que le bureau des brevets US a accordé le brevet courant 2005, après ce qui paraît être des considérations très attentives à son contenu. Avec ceci en vue, il est difficilement possible de considérer que Tesla s'est trompé quand il a conçu (et construit) sa " machine volante électrique " qui fonctionnait en s'appuyant contre le champ espace-temps.

Tesla a utilisé de hautes tensions à des fréquences dans les giga Hertz, pour son système de propulsion. La propulsion d'un véhicule alimenté par un moteur Tesla se fait par l'utilisation d'un générateur alternatif additionnel à l'arrière (qui renforce le continuum espace-temps de face, ayant pour effet de tirer le véhicule vers l'avant).

Tesla était très astucieux. Il a conclu que " l'espace vide " contient en fait :

1) Des transporteurs indépendants qui imprègnent tout l'espace et toute la matière, et desquels toute la matière est constituée. Ils transportent un moment, du magnétisme, de l'électricité ou de la électromagnétique, et peuvent être manipulés artificiellement ou de manière naturelle.

2) " Des rayons solaires primaires (lumière émanant du Soleil) " qui voyagent à la vitesse de la lumière, ont des fréquences bien supérieures aux rayons X, Gamma et ultra-violets.

3) " Des rayons cosmiques ", constitués de particules propulsées dans l'espace par les rayons solaires primaires.

4) Des ondes électromagnétiques UV, Gamma et X ; qui voyagent toutes à la vitesse de la lumière.

5) Des ondes électromagnétiques infrarouges et de la gamme du visible qui voyagent à la vitesse de la lumière.

6) Des forces électrostatiques à variation rapide de potentiel énorme, émanant de la Terre et d'autres corps gravitationnels de l'Espace.

Quand nous saisissons la vraie nature de l'univers, il devient clair que nous avons une plus grande palette de possibilités de production d'énergie utilisable en grande quantité et à coût minime.

Voici l'information contenue dans le brevet de Volfson, que je ne qualifierais pas de facile à lire pour la plupart des gens :

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