la lumière est une forme qui informe !
Les travaux du biologiste Popp prouvent de façon irréfutable :
que les cellules communiquent entre elles par des photons corrélés, donc de type laser.
que lorsqu'une cellule meurt elle émet de la lumière, preuve qu'elle en était constituée.
Non seulement le soleil nous envoie de la lumière (donc des photons), mais aussi des particules énigmatiques : les neutrinos qui - contrairement aux photons - ne véhiculent pas d'énergie. Ils sont donc susceptibles de faire de bons candidats au support de la pensée en tant qu'information. Ainsi nous serions bien, comme le prétend Emile Pinel, le résultat de nos pensées passées non adaptées au présent. Dans la crise qu'elle traverse, ces constatations débouchent sur des conséquences fantastiques pour l'humanité.
Il se pourrait fort que nous ne soyons pas fatalement des marionnettes subissant des aléas extérieurs qui déterminent le sens de notre existence. Notre fatum ne serait pas inéluctablement «la faute à pas de chance». Nous aurions donc la maîtrise de notre destin et,comme le dit l'Ecriture, « Ne sais-tu pas que celui qui a fait l'extérieur de la coupe a aussi fait l'intérieur ?»
Nos pensées et nos réactions face aux événements de notre vie sont responsables de la qualité de notre existence. Les thérapeutes issus des sciences de l'homme ont raison. Ils nous proposent de merveilleux outils de développement personnel. Nous apprenons comment l'autre nous renvoie nos dysfonctionnements mentaux, psychologiques et affectifs afin de les corriger et trouver l'harmonie dans notre vie.Ils expliquent comment des réactions inadéquates à des chocs affectifs, mémorisés à notre insu, sont responsables des signaux que nous émettons constamment dans notre environnement. C'est ainsi que, comme dit précédemment, la crainte de la perte nous fait perdre, celle de la souffrance nous fait souffrir, etc. La Tradition corrobore ainsi : Ce que je redoutais m'est arrivé. L'erreur que nous commettons tous est de nous protéger de l'extérieur, en rejetant sur l'autre la responsabilité de nos malheurs. Ce faisant, nous obtenons exactement l'inverse de ce que nous désirons. De ce fonctionnement erroné est née l'approche - parfaitement anti-scientifique - de virus, microbes, et autres bactéries comme agents nous menaçant de l'extérieur alors que c'est l'inverse qui est vrai ! Puis la perversion nous a entraîné dans un délire assassin de tout ce qui nous dérange, que ce soit un insecte, une maladie, une herbe folle, aboutissant la l'euthanasie générale de tout le vivant sur terre
!