Louis_VLe mystère de la mort
de Louis V
Louis V (967 à 987), fils de Lorhaire, régna sur le royaume de 986 à 987,
l'année de sa mort. Avec sa mort,s'éteignait la dynastie des Carolingiens.
Une autre allait y succéder durant plus de huit siècles : celle des Capétiens.
Le premier représentant de la branche capétienne à succéder à Louis V, a été Hugues Capet, qui se fit
proclamer Roi le 1er juin 987. Nos historiens qui trafiquent sans
aucun scrupule notre patrimoine, en accord pour cela, avec les divers
groupes occultes qui gouvernent ce pays, possèdent à n'en pas douter, des
informations qui, si elles étaient divulguées aux pauvres “populaces”
que nous sommes, ébranleraient sérieusement les fondements de nos
cro yances et de nos institutions. Bien entendu, ces pontifes arrogants
et poussiéreux, n'avoueront jamais que l'histoire, depuis 3000 ans (et plus peut-
être), est inventée de toutes pièces, lorsqu'il s'agit de masquer certains faits
établis qui les dérang ent. Dans cette optique, les causes réelles
de la mort de Louis V sont passées sous silence. Les livres d'Histoire de France
indiquent simplement de façon
laconique, que le Roi est mort d'un accident de chasse. C'est là une
“commodité” permettant de cacher les curieuses circonstances de la mort du
Roi, lors de cette chasse. Il est inconcevable pour ses pseudo- historiens de relater les faits tels qu'ils
furent, car ce serait admettre qu'il existe bien des phénomènes étranges et
inexpliqués ne pouvant recevoir de réponses concordantes avec leur esprit
cartésien. Il est pour ces gens, beaucoup plus aisé d'ignorer et d'occulter les faits,
lorsque ceux-ci ne cadrent pas avec la vision qu'a la science sur les choses de ce bas-monde.
Mais, revenons-en au Roi Louis V, et aux circonstances étranges qui
accompagnèrent sa mort. Un jour de mai 987, Louis V partit
chasser le loup avec ses seigneurs en forêt de Compiègne et ce, malgré les
mises en garde du seigneur de Senlis. Non pas que les loups soient plus
féroces ici que dans le reste du royaume, mais ils étaient sous la
protection des démons (comme dans l'histoire des menhirs, nous sommes
encore confrontés à des “démons” qui ressemblent plus à des humanoïdes qu'à
de véritables démons, comme vous pourrez le constater). Personne ne
pouvait les traquer sans être aussitôt assailli par une horde hurlante de
monstres au regard vide et luisant comme la braise.

Un bûcheron du nom de Pietard en fit l'amère expérience. De lui, on ne
retrouva que sa hache. Un métayer, Golbert, réussit à s'enfuir grâce à la
longueur de ses jambes. Malibron le charbonnier resta quant à lui terré trois
jours entre les roseaux d'un étang,
terrorisé à l'idée de retomber nez-à-nez avec la horde sauvage qui l'avait
pourchassé toute la nuit. Mais les mises en garde du seigneur
de Senlis et les témoignages des paysans ne dissuadèrent pas le Roi de
participer à cette chasse. En début d'après-midi, ayant débusqué un grand
loup mâle, Louis V se lança à sa poursuite. Lorsque ses compagnons de
chasse le retrouvèrent, le Roi gisait au pied de son cheval, étendu dans une
mare de sang. Transporté dans sa résidence de Compiègne, il y mourut trois jours plus
tard en murmurant à l'Archevêque Adalberon :
“Ils n'ont pas d'yeux mon Père, seul le feu de l'enfer brille derrière  leurs paupières .
” . Ce genre de regard n'est pas sans rappeler l'humanoïde de
Chilcomb et ses yeux rougeâtres sans pupille ni iris
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