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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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19 avril 2011

Chaque cellule forme un émetteur, transformateur et récepteur d’ondes

cropped_wallpaper_129053 Georges Lakhovski (1869-1942) est un ingénieur russe né à Moscou qui a émigré en France en 1913, à la veille de la première guerre mondiale. Vers 1920, il fait des observations qui concernent la désorientation des pigeons voyageurs à l’abord des antennes d’émetteurs d’ondes radiotélégraphiques (TSF). Puis il élabore une théorie selon laquelle les oiseaux se repèrent dans l’espace grâce à la réception de rayons1. Lakhovski commença à s’intéresser à l’influence des ondes hertziennes sur la cellule vivante, puis à l’influence des ondes cosmiques sur les végétaux. Il établit un parallèle entre la qualité des grands millésimes des vins de Bordeaux et les périodes d’activité magnétique intense dues aux éruption solaires.
Il émit alors l’hypothèse que toute cellule vivante fonctionne comme un circuit électromagnétique oscillant, ayant les mêmes propriétés qu’un circuit électrique avec conductance, capacitance et inductance (voltage, ampérage et résistance). Selon lui, la cellule forme un émetteur, transformateur et récepteur d’ondes, dont les interactions avec l’environnement régulent les processus internes. Selon lui, la santé de l’organisme à laquelle appartient la cellule est donc dépendante de facteurs d’ordre vibrationnel.
Il suppose également que lorsque ces trois propriétés électriques vibrent en résonance, la cellule est en santé, alors qu’un déséquilibre vibratoire dans l’un de ces paramètre peut favoriser ou engendrer l’apparition de maladies.
En 1923, il fabrique un Radio-Cellulo-Oscillateur, une première machine thérapeutique, constituée d’un émetteur d’ondes ultracourtes générées à travers un tube à vide (tube de Crookes), une sorte de lampe dont l’ampoule émet des fréquences aux alentours de 150 MHz (150 millions de vibrations par seconde).
L’année suivante, en 1924, il entre en contact avec le Pr. Jacques Arsène D’Arsonval (1851-1940) du Collège de France, qui lui ouvre les portes de l’hôpital de la Pitié Salpetrière à Paris. Ce dernier, véritable sommité médicale dans la France de l’époque, y avait créé un service d’électrothérapie en 1893.
Les premières recherches entreprises par Lakhovski dans cet hôpital sont faites en décembre 1924 sur des végétaux : il inocula la bactérie agrabacterium tumefaciens à des géraniums qui développèrent des tumeurs cancéreuses. Après plusieurs semaines, le plantes traitées avec le système de Lakhovski guérirent, alors que les plantes témoin moururent.
Entre 1924 et 1929, l’appareil thérapeutique de Lakhovski est testé à la Salpêtrière, dans le service du Pr. Antonin Gosset (1872-1944) où ce dernier l’utilise sur des malades incurables et en particulier, sur des cancéreux inopérables, qui sont guéris par ce système : l’état général des patients s’améliore (diminution des douleurs, retour du sommeil et de l’appétit à un niveau normal et il est constaté une grande réduction des tumeurs).
Le Pr. Gosset voulut présenter ces résultats devant l’Académie de Médecine, mais y renonça finalement… (a-t-il subi des pressions pour l’en dissuader…?)
Plusieurs personnes peuvent rester surprises d’apprendre que dans les années 1920, un appareil de médecine énergétique, basé sur l’usage de vibrations électromagnétiques, fût officiellement utilisé dans le service hospitalier d’un chirurgien réputé, dans l’un des plus grands hôpitaux de Paris. Pour bien comprendre cela, il est nécessaire de se resituer dans le contexte de l’époque et de faire un petit historique de l’électromédecine…
De Thalès à Tesla
L’électricité était déjà connue des Grecs, et même bien avant! En 600 avant J.C., le mathématicien grec Thalès a expérimenté que de l’ambre jaune frottée attirait des corps légers. On lui doit l’appellation de cette énergie appelée électricité, car en grec, le mot elektron désigne justement cette célèbre résine jaune fossilisée. Aussi, les Égyptiens, les Romains et les Grecs (pour ne citer qu’eux) utilisaient l’électricité produite par des poissons pour soulager les douleurs…
Il existe en effet certaines espèces de poissons possédant des organes émetteurs et récepteurs de courants électriques. Ces organes fonctionnent comme une sorte de pile volta ou condensateur biologique, qui amplifie l’influx nerveux de l’animal et peut produire des déchargent atteignant 600 volts! Parmi ces poissons, on trouve : le gymnote (600 volts.), le malaptérure (500V.) et la raie torpille (200V.). Des auteurs anciens dont Aristote (384-322 av. J.C.) relèvent que l’usage de la raie torpille peut produire un engourdissement (torpille vient du mot latin torpere et signifie : être engourdi). Ce poisson produit des ondes électriques ayant donc un effet léthargique et Pline l’Ancien (23-79) en relate également l’usage (Histoires naturelles), de même que l’historien grec Plutarque (46-120).
Au premier siècle, le médecin romain Scribonius Largus, conseille l’électrothérapie dans son traité médical Compositionibus Medicamentorum : « Pour toute douleur goutteuse, il faut placer sous son pied une torpille noire vivante. Le patient doit se tenir sur un rivage humide d'eau de mer, et y demeurer jusqu'à ce que son pied et sa jambe jusqu'au genou soient engourdis. Ceci permet de traiter la douleur et de prévenir sa récidive. C'est ainsi que Anteros, affranchi de Tibère, fut guéri... Les céphalées, même chroniques, sont guéries en mettant une torpille noire à l'emplacement douloureux jusqu'à sédation. Il faut n'enlever le remède que lorsque apparaît une certaine torpeur ».
Un peu plus tard, le réputé médecin grec Claude Galien (131-210) étudia le poisson électrique. Il en souligna l’efficacité : « Ce remède semble anodin et susceptible de libérer le patient de sa douleur, tout comme les autres remèdes qui engourdissent les sens ». La raie torpille fut aussi utilisée par Marcellus Empiricus, Aetius d'Amida, Alexandre de Tralles, Paulus Aeginata et bien d'autres. Le poisson électrique était utilisé pour soulager les douleurs rhumatismales (le poisson était plongé dans le même bain que le patient), ainsi que les maux de tête (on appliquait alors le poisson directement sur son crâne).
Il a fallu attendre la 18ème siècle pour que l’humanité comprenne les lois qui régissent l’électricité, avec l’invention du paratonnerre (Benjamin Franklin), du premier condensateur (la bouteille de Leyde découverte par Musschenbroek), de la première machine électrostatique (Guericke). Puis vinrent les découvertes de Galvani, Volta, Coulomb, Ohm, Gramme, Ampère et Faraday… Ce dernier a découvert les lois de l’induction produite par du fil de cuivre placé en boucle, ce qui donna naissance aux fameuses bobines à induction et aux générateurs à hautes fréquences développées par le Dr Oudin, Ruhmkorff et Tesla. Ces courants de hautes fréquences ont la propriété d’illuminer les gaz rares présents dans les tubes à vide de Crookes, ceci à distance, sans aucun fil conducteur.
Dans les années 1890, le physicien Nikola Tesla (1857-1943) s’aperçoit que les effluves électriques s’échappant des condensateurs à hautes fréquences, ne sont pas dangereuses pour le corps humain et qu’elles peuvent même avoir des propriétés thérapeutiques. À cette même époque (1893), le Pr. d’Arsonval généralise l’emploi de ces courants dans le monde médical. Il crée un service d’électrothérapie à la Salpêtrière et nomme darsonvalisation cette nouvelle forme de médecine. Cette thérapie servait notamment à faire baisser la tension artérielle de certains patients, en produisant une dilatation vasculaire.
En 1898, Tesla publia un article intitulé : Oscillateurs à hautes fréquences pour l’électrothérapie et autres usages2. D’Arsonval a expérimenté que les courants à hautes fréquences agissaient sur la vitalité des tissus. Il considérait cette nouvelle thérapeutique «pleine de promesses» et c’est juste avant sa retraite qu’il rencontra Lakhovski et se passionna pour ses recherches.
Tout ceci se passait avant que l’industrie n’impose sa vision mercantile de la santé qui a poussé au dénigrement de toutes les thérapeutiques non médicamenteuses dont l’usage formait un obstacle majeur à la généralisation de l’usage des drogues chimiques… 2

High Frequency Oscillators for Electrotherapy and othe Purpose, in The Electrical Engeneer, Vol. XXVI # 550, 17 nov. 1898, p. 477.Tesla lût cet article lors de la 8ème conférence annuelle de l’ American Electro-Therapeutic Association qui eût lieu à Buffalo, New York, du 13 au 15 Sept.1898.

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