Plans de la NASA pour lire l'esprit des terroristes dans les aéroports
LA TYRANNIE SANS LA TERREUR
Pour toute société, le danger est dans les techniques du genre des micro-ondes et des transmissions radio qui peuvent imposer certaines pensées ou humeurs, la complaisance et le contentement, à des cibles ou à des populations, et la surveillance potentielle par EEG (électroencéphalogramme) -- toutes ensemble elles posent la terrifiante menace du contrôle total à distance de la société.
Un article dans le Washington Times du 22 août 2002, Plans de la NASA pour lire l'esprit des terroristes dans les aéroports, révélait que la Northwest Airlines, la NASA et une entité commerciale non identifiée avaient en développement depuis au moins 1995 la surveillance du cerveau (lecture des pensées) par des dispositifs pour aéroports. Trois autres compagnies aériennes ont aussi été impliquées.
Quand les documents du projet de la réunion entre la NASA et la Northwest ont été demandés dans le cadre de la liberté de l'information (FOIA), les résultats ont choqué. Le projet de réunion était en cours depuis 1995. Les passagers étaient surveillés à chaque niveau, plus intensément à chaque étape, à partir du moment de leur réservation, à l'arrivée à l'aéroport, quand ils se faisaient enregistrer. La surveillance comprenait la biométrie, les informations personnelles de la base de données gouvernementale créée par le DARPA, l'ECG (électrocardiogramme) Et l'EEG (électroencéphalogrammes), et elle rédigeait même de plus amples informations dans un rapport qui n'a pas été fourni. Le physicien Robert Park a été interviewé par le Washington Times, le 17 août 2002.
Nous sommes plus près de la lecture de pensée que l'on peut le supposer. Ça met mal à l'aise. C'est à la limite de la violation de la vie privée. Vous ne pouvez pas aller plus loin que ça. (Robert Park, porte-parole de l'American Physical Society).
Park est professeur de physique à l'Université du Maryland, où une « Machine à Pensée » a été développé pour le contrôle de l'esprit, comme cela a été rapporté dans les années 1970 par le South China Morning Post. Robert Park serait forcément réticent à admettre que les physiciens et sa société, APS, ont joué le rôle de collaborateurs (pour la théorie) des ingénieurs électriciens (de l'application) et de l'Institute of Electrical and Electronics Engineers, Inc (IEEE) dans le développement de la technique de contrôle de l'esprit.
Au printemps 1993, Defence Electronics signalait une réunion avec le Dr Igor Smirnov, expert en psychotronique, et les fonctionnaires de l'administration Clinton. La CIA, le FBI, la DIA, et l'ARPA avec les fonctionnaires de Clinton voulaient savoir si les programmes de correction psychosociale pourraient être mis en œuvre par le gouvernement. Cette technologie pouvait servir non seulement pour les émeutes, mais aussi pour modifier l'opinion ou le jugement des décideurs, du personnel clé, ou des populations. Il était déterminé que la technologie psychotronique servirait à étouffer la dissidence politique et les autres menaces potentielles au Nouvel Ordre Mondial.
...En utilisant un électroencephalographe, Smirnov mesure les ondes cérébrales, puis se sert d'ordinateurs pour créer une carte du subconscient et des différentes pulsions, comme la colère ou le désir sexuel. Ensuite, par l'intermédiaire d'une bande de messages subliminaux, il prétend altérer physiquement le paysage avec le pouvoir de la suggestion. (Newsweek Magazine, le 22 août 1994).
LES DISPOSITIFS DE LECTURE DE L'ESPRIT
Alan Yu, ancien lieutenant-colonel du ministère de la défense nationale de Taiwan, affirme que les États-Unis ont non seulement mis au point une machine opérationnelle pour contrôler l'esprit, mais ont aussi distribué des modèles à usage des pays alliés. Yu déclare que ces engins font peser une grande menace sur les droits de l'homme et le mode de vie étasunien. Il appelle le dispositif Mind Reading Machine (machine à lire les pensées).
Au printemps 1984, Yu était lieutenant-colonel siégeant à la commission nationale du ministère de la défense de Taiwan. À cette époque, Yu a pris connaissance d'un document classé confidentiel du ministère. Le document disait que le ministère de la police militaire de Taiwan avait acheté plusieurs Mind Reading Machines aux États-Unis (à Taiwan, elles étaient appelées Psychological Machine Language).
Yu rapporte qu'avant son départ cette machine est devenue l'arme la plus efficace pour assurer la sécurité des ministères à Taiwan ...
Les démonstrations de cet équipement donnaient des résultats encourageants après moins d'une minute d'exposition et donnaient la capacité de modifier le comportement des sujets réticents. (Richard A. Miller, Conference Technologies de la Conscience, juillet 2001.)