L’ électrosomatogramme (E.S.G. ) est une nouvelle méthode d’investigation globale du corps electrique
L’ électrosomatogramme (E.S.G. ) est une nouvelle méthode d’investigation globale de la santé qui permet d’objectiver le degré de fonctionnement de chacune des fonctions internes, organiques et émotionnelles en mesurant scientifiquement la conductibilité bioélectrique du corps humain.
Mécanismes de fonctionnement :
Le dépistage et diagnostic fonctionnel assisté par ordinateur est le résultat d’une synthèse des travaux :
- des Théoriciens de la physique quantique (cf. « Données scientifiques »)
- de R. Voll (Organométrie, mesures des résistances des organes et des systèmes du corps humain)
- de T. Graham (physiologie des états colloïdaux de la matière)
- de V. Schmidt et de X. Pflaum (régulation neuro humorale)
- de H. Fröhlich (supraconductivité quantique par champs d’ondes cohérentes)
- de I. Prigogine (organisation spatiale cohérente formant « les structures dissipatives » des systèmes biologiques)
- de R. Sheldrake (champs morphogénétiques et théorie de l’information)
- de R. Damadian (temps de relaxation des protons des molécules d’eau dans les cellules vivantes, par résonance magnétique)
- de M . Bornens ( études du centriole, le microtubule électronique)
Cette synthèse a pu être réalisée grâce à la puissance et aux progrès des techniques électroniques et informatiques, en biologie analytique humaine.
Le système E.S.G. introduit des signaux de faible intensité dans le corps humain
(1.28 V, 100mA) à l’aide de six électrodes contacts latérales : deux au front, deux aux mains et deux aux pieds. L’enregistrement des données sur ordinateur nécessite un temps de 3 minutes.
Émis par les contacteurs sur ces zones , le flux électronique se disperse selon son point de rentrée ( front, main ou pied, gauche ou droit ) selon un circuit de moindre résistance identique chez tous les sujets, et se transforme dans les tissus en un flux ionique, lequel indique en retour le niveau de résistivité ou de conductibilité des zones traversées.
La plus ou moins grande conductibilité des tissus testés se révèle modifiée de façon significative lors de perturbations fonctionnelles, émotionnelles ou organiques.
Grâce à un enregistrement, ces données sont intégrées dans un programme informatique perfectionné qui permet ensuite d’obtenir dans de très brefs délais des tableaux synoptiques du bilan des mesures.
Approche bio-cybernétique du fonctionnement de l’organisme
La cellule effectue 30 000 réactions biochimiques par minute.
L’organisme humain possède en moyenne 6 milliards de cellules ,ce qui représente 180000 milliards de réactions biochimiques chaque minute !
La seule possibilité rationnelle pour que ce chiffre colossal d’opérations se déroulent normalement chaque minute est qu’il s’agit d’un programme extrêmement élaboré vu le nombre de données.
Pour qu’un programme puisse fonctionner il lui faut des circuits électriques ou électroniques
de traitements de données d’entrées et de sorties . Ces circuits représentent la régulation homéostasique du bon déroulement du programme biochimique.
Ainsi l’organisme humain fonctionne de façon cybernétique :
ü Le programme est biochimique (réactions métaboliques cellulaires et humorales, régulations neuro-humorales et régulations psycho-neuro- humorales )
ü l’ordinateur est biophysique (circuits bio-électriques)
Le programme biochimique nécessite un apport de carburant sous forme extérieure (aliments, médicaments si déficient)
Le programme biophysique électrique est autonome.
Mais les deux sont en relation permanente grâce à de nombreux systèmes de liaison dont certains sont déjà reconnus.
Le programme biophysique se charge des ondes électromagnétiques existantes dans notre corps et dans notre environnement mais aussi des émotions (intensité) reçues.
Il régule le langage inter-cellulaire qui se propage au niveau de :
ü La membrane cellulaire
ü De l’ADN
ü Du réseau des centrioles.( certainement le lien majeur entre biochimie et biophysique )
Ce langage intercellulaire détermine la théorie de l’information des neurophysiologistes.
Sa fréquence est contrôlée en permanence par le système limbique ,qui transmet ces informations au système central nerveux (cerveau) qui va lui même réguler par voie biophysique (ondes électromagnétiques) et biochimique (hormones ,neuromédiateurs..)
l’homéostasie de l’organisme.
L’ ESG est le seul système à pouvoir enregistrer la composante biophysique de l’organisme et de ce fait de visualiser la capacité de régulation homéostasique par zones et circuits en relation avec les réactions biochimiques (pH extra et intracellulaire et tissulaire, importance de la consommation d’oxygène et des échanges cellulaires).
La relation connue entre le pH et la bio-conductibilité électrique d’une part et la relation entre la théorie de l’information et la neurophysiologie ,d’autre part, associés à la conception holographique de Grov Stanislas, permet d’affirmer que cette méthode de mesure est le moyen d’apprécier, de valider et d’unifier, la théorie biophysique de « maillage » et de prouver son lien avec le fonctionnement biologique et biochimique.
Il s’agit donc d’un examen complémentaire aux examens biochimiques et lésionnels existants (examens de laboratoire, radiographies, scanner, EEG, ECG,IRM ……)
afin de visualiser le terrain homéostasique de chaque individu et ainsi de déterminer :
ü Le pronostic de guérison d’une maladie ( notion de seuil de réversibilité )
ü Le choix thérapeutique (biochimique, biochimique et biophysique, ou biophysique )
ü Le suivi thérapeutique ( E.S.G. avant et après )
ü La pratique de la médecine préventive : toute pathologie est préexistante à sa manifestation et ce sur un plan vibratoire électro- magnétique ( R. SHELDRAKE, T. MOSS, P. MANDELL)
Analyse des résultats :
Après l’enregistrement des données du patient, l’ E.S.G. propose au praticien de visualiser un ensemble de données qui témoigne de la capacité fonctionnelle et du terrain biophysique du patient.
Les résultats se présentent sous la forme suivante :
1. Une estimation générale du bilan de santé avec des précisions sur :
ü le type de terrain de l’organisme,
ü le mode d’adaptation des mécanismes de régulation,
ü la latéralité (ou le côté fonctionnel prédominant),
ü l’état global du système immunitaire,
ü le degré de stress,
ü le pH extracellulaire (# sanguin) intracellulaire et tissulaire
ü le degré d’oxygénation tissulaire et d’échanges cellulaires (catabolisme),
ü le niveau de perturbation dans la circulation lymphatique,
ü les organes cibles ,
ü le degré de fonctionnement du système neuro-végétatif,
ü le niveau des blocages fonctionnels sur la colonne vertébrale,
ü les relations fonctionnelles entre segments, organes et systèmes.
2. Des images de type “fantôme” pour visualiser :
ü un bilan vertébrotome (visualisation sagittale et dorsale du rachis),
ü un bilan réflexe général d’intégration fonctionnelle le somatotome (96 zones individualisées),
ü un bilan des viscérotomes (correspondances fonctionnelles rachis-organes),
ü un bilan des dermatomes (innervation segmentaire de la peau) .
ü un bilan des foyers dentaires ou odontome
ü un bilan du système lymphatique
Les modifications fonctionnelles sont visualisées sur “l’image fantôme” de chaque bilan au moyen de différentes couleurs (selon une échelle chromatique adjacente), en relation avec le degré d’altération ou pathogénique biophysique de la structure correspondante.
3. Des graphiques linéaires ou circulaires permettant d’analyser les systèmes de régulation de l’organisme.
4. Un bilan de tous les points bioélectriques d’acupuncture avec des mesures précises des :
ü Méridiens principaux
ü Méridiens curieux
ü Méridiens tendineux musculaires
ü Méridiens LO
Ceci représente un diagnostic scientifique de mesure des méridiens dans leur ensemble et non pas sur certains points (méthode de Voll ) unique au monde qui intéresse les acupuncteurs chinois. Qui d’ores et déjà valident la connaissance ancestrale nosographique des syndromes d’atteinte des différents méridiens et la correspondance de ceux ci avec la nosographie occidentale.
5 Des traitements biophysiques :
Ø Les produits biophysiques :
ü Les produits MAIM de Médibio qui sont une modernisation rationnelle de l’homéopathie et l’acupuncture
ü Les médicaments homéopathiques classiques,
ü Les oligo-éléments,
ü Les points d’acupuncture
Ø Les substances chimiques agissant sur les structures biophysiques :
ü La phytothérapie.
ü Les fleurs de Bach
6.Un diagnostic de probabilité
ü Organique
En fonction des déséquilibres biochimiques(pH et consommation d’oxygène ) de certaines zones.
ü Bioélectrique
En déterminant les valeurs de 10 centres de régulation bioélectronique
ü Psychologique
En fonctions des zones atteintes électriquement.
7. Une diététique personnalisée
ü Aliments conseillés
ü Aliments contre indiqués
Intérêt du DDFAO :
Seul appareil de mesure permettant la détection des dysfonctions biophysiques d’organes ou de systèmes, il permet de réaliser la médecine prédictive, en offrant la possibilité d’anticiper d’éventuelles pathologies, par leur détection fonctionnelle et leur suivi pendant et après le traitement.
Donnant accès à une estimation fonctionnelle infra clinique, il permet aussi d’apprécier les atteintes structurelles, engageant et renforçant le besoin d’investigations médicales complémentaires.
Une comparaison des images obtenues au cours de plusieurs évaluations successives, permet une analyse dynamique de l’état de santé du sujet. Ce suivi offre la possibilité de juger de l’évolution en fonction des éventuels traitements appliqués.
Ainsi ce système d’analyse et de mesure , permet la production d’un véritable Electrosomatogramme (E.S.G.) du corps entier. Par l’analyse des tissus organiques, des systèmes et des métamères, il permet d’apprécier la qualité de l’homéostasie d’un organisme donné, en fonction de ses capacités de régulation et d’adaptation, dans son milieu de vie.
L’originalité du système étant de proposer une lecture nouvelle de l’aspect purement biophysique du fonctionnement du corps, mais aussi d’établir un lien direct entre la régulation neuro-humorale et la régulation informationnelle et de déboucher sur un système ouvert de régulation intégrant l’approche conventionnelle des maladies et une approche biophysique quantifiable, ouvrant ainsi la voie à de nouvelles recherches, mais d’ores et déjà à une compréhension de mécanismes jusqu’à présent ignorés car non mesurables(Acupuncture, homéopathie, ostéopathie…..)
Références :
1) G. Lakhovsky : « Le secret de la vie », Ed. Gauthier-Villars, Paris 1928
2) Harold Saxton Burr : « Blue Print for immortality - The electric pattern of life”, Ed. C.W. Daniel Cy Ltd, Saffron Walden, England
3) Erwin Schrödinger: “ What is life? “, Cambridge University Press, London 1945
4) N.D. Deryatkov, Soviet Physics USPEKHI 16, 568 – 1974
5) H. Fröhlich: “ Biological Coherence and Response to External Stimuli ”, Ed. Springer Heildelberg, 1988
6) I. Progogine et I. Stengers : « La Nouvelle Alliance », Ed. Gallimard, 1979
7) Andreyev Ye. A., Bely M. U., Sit’ko S. P. “Manifestation of characteristic eigenfrequencies of human organism”. Application for the Discovery to the Committee of Inventions and Discovery at the Council of Ministers of the USSR. 32-OT-10609.b May 22, 1982 (in Russian)
8) F. A. Popp; “Biologie de la Lumière”, Ed. Pietteur, Liège, 1989
9) Golant MB. : Acoustico-electric waves in cell membranes of living organisms – a key problem