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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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27 mars 2013

Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques

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Un réseau de galeries et de cavernes sous l’Equateur et le Pérou renfermerait deux bibliothèques
contenant des livres de métal gravés et des tablettes de cristal. Plusieurs expéditions ont tenté de
découvrir ce trésor, en vain. Un fabuleux défi archéologique. « Pour moi, c’est la plus incroyable, la
plus fantastique histoire du siècle » s’écrit en 1972 l’aventurier suisse Eric Von Däniken dans son
ivre The Gold of the Gods
De quoi s’agit-il ? D’une bibliothèque de livres de métal découverte en 1965 sous le sol du Pérou et
de l’Équateur par l’entrepreneur austro argentin Juan Moricz. Selon Däniken, passionné d’énigmes
archéologiques, Moricz l’aurait accompagné en 1972 au coeur des mystérieuses galeries
souterraines qu’il décrit ainsi: « Tous les couloirs forment des angles droits parfaits, parfois étroits,
parfois larges. Les murs sont lisses et semblent polis. Les plafonds sont plats et on dirait parfois
qu’ils ont été enduits d’une, sorte de vernis... Mes doutes quant à l’existence de galeries
souterraines se sont envolés comme par magie et j’ai ressenti une immense joie. Moricz a affirmé
que les couloirs comme ceux dans lesquels nous passions s’étendaient sur des centaines de
kilomètres sous le sol de l’Équateur et du Pérou. » Cependant, pour des raisons floues, Von Däniken
ne verra pas la bibliothèque tant convoitée...
Peu de temps après, Moricz confie à des journalistes de Der Spiegel et du Stern qu’il n’est jamais
allé dans la caverne avec Däniken... La réputation de ce dernier en prend un coup. L’auteur de best
sellers pour qui les dieux sont d’anciens astronautes et qui voit dans cette bibliothèque, comme dans
Les pyramides ou les statues de l’Île de Pâques, la preuve de l’existence de visiteurs extraterrestres,
ne s’en remettra jamais tout à fait. Personne n’a fait remarquer que si Von Däniken avait menti, il
aurait brouillé les pistes pour éviter que l’on puisse remonter à Moricz aussi facilement.
L’hypothèse la plus vraisemblable est que Moricz a montré au moins l’entrée du souterrain à Von
Däniken, mais qu’il l’a ensuite regretté : peut-être s’était-il engagé à ne jamais dévoiler ce secret.
Plus tard, il confiera avoir emmené l’auteur suisse de Guayaquil à Cuenca, pour y rencontrer le Père
Carlos Crespi et admirer sa collection d’artefacts énigmatiques. Ne disposant pas de suffisamment
de temps pour conduire Von Däniken au «véritable endroit », ils auraient décidé de lui montrer une
petite caverne, à une trentaine de minutes de Cuenca, certifiant qu’elle était reliée au réseau. Cette
révélation mettra un terme à la controverse von Däniken-Moricz, mais pas au mystère entourant la
bibliothèque de livres de métal elle-même.
En 1975, Stanley Hall, un Écossais, décide d’organiser une expédition britannico-équatorienne pour
explorer la Cueva de los Tayos ; il s’agit d’une expédition purement scientifique. S’il y a bien une
bibliothèque de livres de métal issue d’une civilisation perdue, la première étape consistera à
dresser la carte du site. C’est le principal et unique but de l’expédition; il n’est pas question de
chasse aux trésors. Prévue pour trois semaines, l’exploration est une entreprise conjointe des armées
britannique et équatorienne, secondée par une équipe de géologues, botanistes et autres spécialistes.
Sans oublier une figure honorifique: Neil Armstrong, l’astronaute, enchanté de se joindre à cette
mission.
Le 3 août 1976, alors que l’expédition touche à sa fin, Armstrong pénètre enfin dans le réseau de
galeries : aucune trace de livres en métal. Néanmoins, l’équipe répertorie au passage quatre cents
nouvelles espèces végétales ainsi qu’une sépulture abritant un corps en position assise. On établira
par la suite que la tombe remonte à l’an 1 500 av. J.- C., et qu’au solstice d’été, le soleil devait
’illuminer.
Après la mort de Moricz en 1991, Hall décide de retrouver le «troisième homme », celui qui a guidé
Moricz sur le site en question et dont l’Austro-Hongrois n’a jamais voulu révéler l’identité. Hall,
lui, le retrouve : Petronio Jaramillo. «J’avais un nom et un annuaire téléphonique, explique-t-il.
Mais il y avait un tas de Jaramillo à Quito. J’ai fini par le trouver — ou, plutôt — sa mère. En
septembre 1991, elle m’a donné le numéro de téléphone de son fils. Je lui ai téléphoné. Il m’a dit
que nos chemins avaient mis seize ans avant de se croiser. Il souhaitait me rencontrer, et a déclaré
qu’il lui fallait trois jours pour me mettre au courant.»
Jaramillo confirme que lorsque Moricz est arrivé à Guayaquil en 1964, il s’est associé à un homme
de loi, Gerardo Pefia Matheus. Moricz aurait parlé à Matheus de sa théorie selon laquelle le peuple
hongrois serait à l’origine de presque toutes les civilisations. Par le biais de connaissances, Moricz
rencontre Jaramillo et s’approprie peu à peu son histoire. Pour Jaramillo et Hall, si Moricz n’avait
pas concentré toute l’attention sur la Cueva de los Tayos (qui n’est pas le véritable emplacement de
la bibliothèque), l’expédition de 1976 aurait pu déboucher sur la découverte du siècle. Nul doute
que Moricz avait décidé dès le départ que la bibliothèque des livres en métal était son héritage.
Lorsque Hall montre à Moricz un manuscrit sur l’expédition de 1976, Moricz refuse tout net de le
Lui rendre ! Cela met un terme à leur amitié, et Hall ne comprendra ce geste qu’en 1991, en
s’apercevant que le manuscrit mentionne le nom de Jaramillo...
Jaramillo et Hall se lient d’amitié et Hall apprend de la bouche même de Jaramillo la véritable
histoire de la bibliothèque de Tayos - qui ne se trouve pas du tout dans la Cueva de los Tayos
Jaramillo raconte avoir pénétré dans la bibliothèque en 1946, à l’âge de 17 ans. Il l’a découverte
grâce à un oncle connu sous le nom de «Blanquito Pelado» à qui la population Shuar locale a confié ce secret. Ce qu’il décrit ferait rêver n’importe quel archéologue: une bibliothèque composée de
milliers de gros livres en métal empilés sur des étagères, chacun pesant en moyenne vingt kilos,chaque page rem plie d’un même côté d’idéogrammes, de dessins géométriques et d’inscriptions
écrites. Il évoque une seconde biblio thèque contenant des petites tablettes dures, lisses, translucides
— ressemblant à du cristal sillonnées de rainures parallèles incrustées, empilées sur des plateaux
inclinés sur des tréteaux couverts de feuille d’or, il décrit des statues humaines et zoomorphiques
certaines sur de lourds socles cylindriques), des barres métalliques de différentes formes, ainsi que
des «portes » scellées — peut- être des tombes — couvertes de mélanges de pierres fines colorées,
l voit un grand sarcophage, sculpté dans un matériau dur translucide, contenant le squelette couvert
de feuille d’or d’un être humain de grande taille.
En résumé, un incroyable trésor, entreposé à l’écart, comme caché en prévision de quelque désastre
imminent. Jaramillo ajoute qu’un jour, il a descendu sept livres des étagères pour les étudier, mais
Ils étaient si lourds qu’il n’a pu les remettre en place. Trop lourds pour être sortis de la bibliothèque
et révélés au monde ? Jaramillo n’a jamais fourni la moindre preuve matérielle de ses affirmations
et souhaite rester dans l’ombre, Quand Hall lui demande pourquoi il n’a jamais pris de photos, il
répond que «cela ne prouverait rien ». D’autres découvertes, telles que la tristement célèbre
Burrows Cave aux États- Unis, démontre qu’il ne suffit pas de voir pour croire. Pourtant, Jaramillo
déclare avoir laissé ses initiales dans les sept livres déplacés pour prouver qu’il a bien pénétré ces
Dieux en personne.
Jaramillo et Hall préparent activement «l’expédition de l’occupation ». Ils ont pris contact avec
divers ambassadeurs et hommes politiques ; puis ils ont informé la communauté scientifique.
Jaramillo a l’intention de conduire l’équipe sur les lieux, où elle passerait trois à quatre mois (durant
la saison sèche) à répertorier le contenu du site et à s’assurer que rien ne disparaisse. Tout resterait
sur place. Seul un rapport de recommandations résulterait de cette expédition, qui impliquerait
l’Unesco. Mais en 1995, des avions à réaction péruviens bombardent une base militaire
équatorienne et le projet connaît son premier revers. En 1997, Hall profite d’une importante
conférence d’anthropologie pour promouvoir le projet. Six anthropologues s’y intéressent, Mais
Cette même année, le régime politique de l’Équateur change et Hall rentre en Écosse avec sa
famille, Néanmoins, les préparatifs de l’expédition se poursuivent.
Mais c’est en 1998 que l’expédition connaît sa plus grosse déconvenue. La mère de Petronio
Jaramillo annonce, par téléphone, à Hall que son fils avait été assassiné, A-t-il été abattu à cause des
projets qu’il nourrissait ? La vie en Amérique du Sud ne vaut pas cher, comme tous ceux qui y ont
séjourné ou vécu le savent. Ce jour-là, Jaramillo portait sur lui une importante somme d’argent. Un
banal vol de rue, à proximité de chez lui a stoppé dans son élan l’une des plus grandes découvertes
du monde.
Moricz et Jaramillo sont morts. Hall a plus de soixante ans, Va-t-il faire cavalier seul et vouloir’approprier la bibliothèque ? Hall n’est pas un chasseur de trésors, Il souligne que la région est un -
si ce n’est le - véritable El Dorado. Il y a de l’or partout ; les routes en sont presque littéralement
pavées. Même si les livres de la bibliothèque sont en or — bien que Jaramillo n’ait jamais parlé d’or
mais de «métal» (en fait, il semble y avoir eu du cuivre, puisque Jaramillo a vu une couleur verte
sur les livres) — il y a plus d’or à l’extérieur de la bibliothèque qu’à l’intérieur, Si Moricz se
trouvait dans la région, c’est parce qu’il possédait de vastes concessions aurifères ; il s’intéressait à
a bibliothèque non pour sa valeur monétaire mais pour son importance historique.
Par le passé, divers chasseurs de trésors ont tenté de conquérir la caverne. Le Comte Pino Turolla
prend contact avec Jaramillo dans les années 60 grâce aux mêmes intermédiaires que ceux
ntervenus entre Moricz et lui. Turolla était obsédé par la Salle des archives de Cayce, et pour lui, la
bibliothèque de livres en métal serait la preuve absolue de la probité des prophéties de Cayce. Mais
entre Turolla et Jamarillo, le courant ne passe pas. Turolla doit donc se passer de l’aide de
l’Équatorien et décide de fouiller seul autour de la Cueva de los Tayos, mais il en revient bredouille.
L’Indiana Jones le plus actif aujourd’hui est Stan Grist, qui a connu Juan Moricz ainsi que son
confident, Zoltan Czellar, lequel était également un grand ami de Hall. En 2005, Grist témoigne :
«Tandis que j’écris ces mots, je suis en négociations avec le groupe indigène des Shuars qui vit près
de la Cueva de los Tayos et dont il faut la permission pour entrer dans la zone des cavernes et
l’explorer. Je projette d’organiser une expédition dans les mois à venir pour rechercher l’entrée
secrète de la caverne donnant accès à la supposée bibliothèque de livres de métal. Beaucoup de gens
ont pénétré dans la caverne par l’entrée verticale connue, située près du sommet de la montagne.
Toutefois, je pense qu’il est quasiment voire totalement impossible de l’atteindre par cette accès- là.
On ne peut accéder à l’entrée secrète qu’en passant sous l’eau »
Hall confirme: « Jaramillo a toujours dit que l’entrée se trouvait sous la rivière
». Mais cette rivière
ne se situe pas à proximité de la Caverne, Il s’agit de la rivière Pastaza. Bien que Hall n’ait jamais
eu connaissance de son emplacement de la bouche même du guide équatorien, il organise un voyage
sur le site avec Mario Petronio, le fils de Jaramillo. Malheureusement, le voyage sera abandonné
avant que le « point zéro
» n’ait pu être atteint. En mai 2000, Hall y retourne: « Pendant que nous
préparions l’expédition, dans les années 90, chaque fois qu’on se disait qu’il fallait impérativement
du matériel de plongée, Petronio répondait que même si elle [ l’entrée de la caverne] était sous la
rivière, nous n’aurions pas à nous mouiller pour autant. » Hall m’a montré des cartes aériennes,
faisant remarquer un virage dans la rivière qui rencontre une ligne de faille, dont on sait qu’elle
s’ouvre dans un réseau de cavernes qui court sur plusieurs kilomètres. Selon lui, cette ligne de faille
 preuve d’un ancien tremblement de terre - a ouvert le réseau souterrain, que quelqu’un a jadis
découvert et utilisé pour y installer la bibliothèque de livres de métal. Hall a visité ce lieu et en
déduit qu’il cadre parfaitement avec la description de Jaramillo.
Hall a 64 ans lorsqu’il se rend dans la région pour la dernière fois ; il en a aujourd’hui 70. Il se dit
qu’il ne connaîtra vraisemblablement jamais le fin mot de l’histoire. Toutefois, il ne la considère pas
comme son histoire et ne veut pas commettre la même erreur que Moricz. C’est pourquoi le
17janvier 2005, Hall a informé le gouvernement équatorien de l’emplacement de la caverne
correspondant à la description de Jaramillo et qui, il l’espère, fera l’objet d’une expédition. Pour
ceux qui sont intéressés, sachez que le site est situé à 77° 47’ 34» de longitude ouest et à 1° 56’ 00»
de latitude sud. GoogleEarth vous en rapproche beaucoup et peut satisfaire une curiosité initiale.
Mais connaître l’emplacement ne signifie pas qu’il sera facile à trouver.
Hall pense qu’il faudra des décennies ou bien un changement de paradigme avant que des gens
puissent coopérer de façon à prendre connaissance fructueusement les lieux, Il affirme que
l’expédition de 1976 n’a réussi que parce qu’un régime militaire était au pouvoir : «une
bureaucratie démocratique submergera l’expédition avant qu’elle ne traverse la moindre rivière
marécageuse ». Ce dont on a besoin, c’est de coopération et de transparence. Trop de gens ont
essayé d’utiliser la bibliothèque pour appuyer leur propre théorie, qu’elle fasse entrer en jeu des
extra-terrestres, des Hongrois à la conquête du globe ou encore Edgar Cayce et sa Salle des
archives. C’est peut- être pour cela que les missions étaient vouées à l’échec. Peut-être devrions-
nous simplement laisser la bibliothèque parler d’elle-même. Les réponses aux questions telles que «
qui l’a bâtie? », «d’où venaient-ils? », « qu’ont-ils accompli?
», etc. se trouveront peut-être à
l’intérieur de la construction elle-même. Après tout, c’est une bibliothèque...
Philip Coppens
Traduction : Jean-Marc Jacot
Source
:
Nexus n°46

La bibliothèque aux livres de métal par FINDECAN0
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