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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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Archives
7 juin 2013

Emission de formes et mystérieuses émanations spirituelles

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Une nouvelle approche de l’Univers… Un reportage de Joël André

 

Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental : « Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? ».

Dès 1930, André de Bélizal et les ingénieurs Chaumery et Morel abordaient néanmoins la question et aboutissaient, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l’électromagnétisme, à la notion d’Ondes de Forme.


Une seconde génération de chercheurs, entre autres l’archéologue Enel, puis Jean de la Foye et Roger de Lafforest, reprenaient les résultats des pionniers et accumulaient les vérifications expérimentales. On ignorait toujours la nature exacte de ces « Ondes de Forme », mais l’influence de ces mystérieuses émanations sur le végétal et le vivant pouvait être reproduite à partir d’émetteurs artificiels, décelée par des détecteurs et utilisée à des fins précises.

L’entretien qui va suivre évoque, bien entendu, ces étapes préliminaires sans lesquelles les recherches actuelles resteraient incompréhensibles. Sans s’y attarder, toutefois, et ceci pour deux raisons.

 

Il n’est pas souhaitable de donner trop de précisions pratiques sur les dispositifs expérimentaux utilisés dans ce domaine. Leur simplicité apparente dissimule des potentialités redoutables que le débutant enthousiaste (comme parfois le chercheur confirmé) risque de découvrir à ses dépens et… à ceux des autres !

Mais surtout, les travaux menés actuellement par le Groupe ARK’ALL constituent une sorte de révolution par rapport au passé. On ne parle plus d’Ondes de Forme mais d’Émissions dues aux Formes. Pourquoi ? Parce que l’on n’a pas à faire à des ondes, ni celles du spectre électromagnétique, ni celles de tout autre système vibratoire connu. En bref : les Émissions dues aux Formes n’appartiennent pas à notre Univers physique…

 

On trouvera bien d’autres propos « insoutenables » tout au long de cet entretien avec Jacques Ravatin. Les Initiés de l’Antiquité conversaient-ils avec les Dieux ? L’alphabet hébreu recèle-t-il l’état latent de toute réalité ? Les Pyramides, les statues de l’île de Pâques et les Cathédrales sont-elles autant de gigantesques Émetteurs ? Et par-là même des véhicules vers ce que le diagramme relativiste du Temps désigne comme « Ailleurs » ? Encore s’agirait-il d’un Ailleurs… autre que celui des physiciens. Notre univers physique ne serait qu’une restriction de l’univers réel, du Global.

On ne saurait rester insensible aux propos de Jacques Ravatin en tant qu’ils concernent les aspects les plus fondamentaux de. la connaissance. Et des questions plus immédiates telles que l’habitat, l’environnement, la médecine et la technologie du Futur. Même sur ces thèmes de civilisation, on verra que les formulations défient toutes nos habitudes de pensée.

Si les mathématiques, l’architecture et l’esthétique apportent d’innombrables données descriptives et analytiques concernant les Formes, aucune science actuelle ne semble pourtant poser le problème fondamental : « Que sont les Formes ? ». Et surtout : « Que font les Formes ? ».

 

Dès 1930, André de Bélizal et les ingénieurs Chaumery et Morel abordaient néanmoins la question et aboutissaient, dans une sorte de tentative de conciliation entre la radiesthésie et l’électromagnétisme, à la notion d’Ondes de Forme.



Une seconde génération de chercheurs, entre autres l’archéologue Enel, puis Jean de la Foye et Roger de Lafforest, reprenaient les résultats des pionniers et accumulaient les vérifications expérimentales. On ignorait toujours la nature exacte de ces « Ondes de Forme », mais l’influence de ces mystérieuses émanations sur le végétal et le vivant pouvait être reproduite à partir d’émetteurs artificiels, décelée par des détecteurs et utilisée à des fins précises.

 

L’entretien qui va suivre évoque, bien entendu, ces étapes préliminaires sans lesquelles les recherches actuelles resteraient incompréhensibles. Sans s’y attarder, toutefois, et ceci pour deux raisons.

 

Il n’est pas souhaitable de donner trop de précisions pratiques sur les dispositifs expérimentaux utilisés dans ce domaine. Leur simplicité apparente dissimule des potentialités redoutables que le débutant enthousiaste (comme parfois le chercheur confirmé) risque de découvrir à ses dépens et… à ceux des autres !

 

Mais surtout, les travaux menés actuellement par le Groupe ARK’ALL constituent une sorte de révolution par rapport au passé. On ne parle plus d’Ondes de Forme mais d’Émissions dues aux Formes. Pourquoi ? Parce que l’on n’a pas à faire à des ondes, ni celles du spectre électromagnétique, ni celles de tout autre système vibratoire connu. En bref : les Émissions dues aux Formes n’appartiennent pas à notre Univers physique…

 

On trouvera bien d’autres propos « insoutenables » tout au long de cet entretien avec Jacques Ravatin. Les Initiés de l’Antiquité conversaient-ils avec les Dieux ? L’alphabet hébreu recèle-t-il l’état latent de toute réalité ? Les Pyramides, les statues de l’île de Pâques et les Cathédrales sont-elles autant de gigantesques Émetteurs ? Et par-là même des véhicules vers ce que le diagramme relativiste du Temps désigne comme « Ailleurs » ? Encore s’agirait-il d’un Ailleurs… autre que celui des physiciens. Notre univers physique ne serait qu’une restriction de l’univers réel, du Global.

 

On ne saurait rester insensible aux propos de Jacques Ravatin en tant qu’ils concernent les aspects les plus fondamentaux de. la connaissance. Et des questions plus immédiates telles que l’habitat, l’environnement, la médecine et la technologie du Futur. Même sur ces thèmes de civilisation, on verra que les formulations défient toutes nos habitudes de pensée.

 

Mais alors, fallait-il publier ces propos, ou encore n’était-il pas trop tôt pour le faire ?

 

De deux choses l’une : ou bien les affirmations de Jacques Ravatin sont exactes et les recherches de son groupe sont en passe de révolutionner la science actuelle. Il serait alors impardonnable de faire obstacle à leur diffusion et à leur libre appréciation par tous. Ou bien elles relèvent d’un enthousiasme exagéré et d’un manque total de prudence scientifique, auquel cas, selon la formule consacrée, elles n’engagent que leur auteur, sa bonne foi et ses compétences universitaires.

 

Dans un cas comme dans l’autre, Jacques Ravatin nous a paru capable de prendre ses responsabilités. Sa carrière universitaire (après un doctorat en physique mathématique, il enseigne aujourd’hui cette discipline à l’Université d’Amiens) ne le laisse pas sans répondant sur le plan polémique. Sa pratique expérimentale (il fut également ingénieur-chimiste au C.N.R.S.) laisse espérer qu’il a su garder les yeux ouverts lors de ses investigations. L’assurance avec laquelle il se propose d’opérer les principales transformations physico-chimiques connues par des voies entièrement ignorées de nos laboratoires serait insensée si elle ne reposait sur un acquis vérifiable. Les thèses et brevets se multiplient d’ailleurs autour des travaux du Groupe Ark’All et l’industrie privée leur accorde déjà un soutien non négligeable.



Mais supposons que les propos qui vont suivre ne relèvent que d’extrapolations sans fondement ou encore d’observations réelles mais hâtivement généralisées, bref d’un abus d’interprétation. Il n’en serait pas moins nécessaire de les lire et de les relire. Einstein ne disait-il pas avoir recueilli certaines idées majeures de ses théories à la lecture… d’ouvrages de science-fiction !

 

 

Question – Joël André : Étant donné le domaine insolite que nous allons aborder, il serait bon de donner une idée de votre formation scientifique et des fondements de vos présentes recherches.

 

 

Réponse – Jacques Ravatin : Dès la fin de mes études secondaires, j’étais préoccupé par l’existence de réalités inconnues de la science classique. Je pensais que certains phénomènes relevaient d’une approche différente.

 

Je me mis à la recherche de ce que j’appelle des Systèmes non-Cartésiens. Dans les milieux universitaires, les avis sur l’existence de tels systèmes étaient très partagés.

 

En 1965, dans ma thèse de physique mathématique, je montrais que certains grands problèmes de la Physique étaient justiciables d’autres systèmes de référence, d’autres approches que celles utilisées jusqu’à présent.

 

Le Jury de Thèse était présidé par le Pr Depommier, aujourd’hui Directeur d’un grand Laboratoire de Physique à Montréal. Il fut très intéressé par la notion de Systèmes non-Cartésiens et m’encouragea à poursuivre mes recherches.

 

Désirant approfondir mes connaissances mathématiques, j’ai travaillé un certain temps sur des algèbres très spéciales. Puis, j’entrepris des recherches au C.N.R.S.

 

Je continuais à penser aux Systèmes non-Cartésiens, jusqu’au jour où j’entendis Roger de Lafforest, au cours d’une émission télévisée, parler de certaines recherches sur les Formes et leurs effets insolites sur les êtres vivants.



R. de Lafforest mentionna mes recherches théoriques comme susceptibles d’éclairer les résultats obtenus par plusieurs chercheurs, dont lui-même, sur le plan expérimental. J’ai donc pris contact avec lui et il m’a permis de faire connaissance avec les travaux dus à André de Bélizal sur ce que l’on appelait alors les « Ondes de Forme ». Il m’a fait découvrir entre autres les curieuses propriétés d’une forme égyptienne dite « Louksor », celle que l’on retrouve sur la bague protectrice que M. de Bélizal avait baptisée « bague atlante ».

 

Les propriétés insoupçonnées des Formes me donnaient accès à l’un de ces Systèmes non-Cartésiens dont j’avais cherché si longtemps un exemple réel. De leur côté, les pionniers comme Turenne, de Bélizal, Chaumery, Enel et les chercheurs de la seconde génération tels que Jean de la Foye et R. de Lafforest avaient beaucoup expérimenté et raisonné par analogie. En reprenant leurs résultats à la lumière des modèles non-cartésiens que j’avais élaboré sur le plan abstrait, on pouvait enfin avancer et savoir de quel aspect du réel relevaient les énigmatiques influences émises par les Formes.








 

 

 

 

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La Forme « Louksor ». Elle figurait sur une bague en grès noir retrouvée en Égypte vers la fin du XIXe siècle.


A. de Bélizal avait constaté les effets de cette bague sur divers aspects de sa vie quotidienne, sur le plan tant physique que psychique. Ce fut l’origine de ses recherches sur ce qu’il baptisa par la suite « Ondes de Forme ».



Selon Jacques Ravatin, cette bague compense les effets néfastes de certaines Émissions dues aux Formes. L’archéologue Carter la portait lors de l’ouverture du tombeau de Tout Ankh Amon en 1922. Il fut le seul rescapé de la vague de décès inexpliqués qui frappa dix-huit personnes associées de près aux fouilles de la mission Carter-Carnavon, celle qui devait aboutir à l’invention de la tombe du pharaon et du célèbre trésor. Les chercheurs auraient été atteints par des Émissions nocives dues au déplacement des objets funéraires : la disposition de ces derniers dans les sépultures égyptiennes répond en effet à des notions d’équilibre des Formes et leur agencement très particulier ne peut être bouleversé sans risques.

 

Q – Pouvez-vous, en un bref historique, relater les principales étapes qui ont marqué l’évolution du problème jusqu’à sa forme actuelle ?

 

 

R -Pour ce qui va suivre, il convient d’abord de parer à un argument trop connu dès que l’on parle de radiesthésie. L’usage du pendule est en effet contesté sous prétexte que sa giration serait due à d’imperceptibles mouvements musculaires, conscients ou non, de la part du sujet qui le manipule.

 

Or, dès 1850, le baron de Reichenbach avait mis au point un type de pendule qui excluait l’action musculaire du sujet. Il s’agit d’un pendule dont le fil, à une certaine hauteur, est enroulé un bon nombre de fois autour d’un cylindre fixe. Le sujet n’avait d’autre contact avec le pendule que l’extrémité de l’index posé sur le fil au niveau du cylindre d’enroulement. L’intervention des secousses musculaires, même importantes, était donc exclue, ce qui n’empêchait pas le pendule d’entrer en giration selon les principes habituels.

 

Après cette précision indispensable, j’en viens à une autre expérience due également à Reichenbach et directement liée à ce qui nous intéresse. Sur le pôle positif, orienté au Nord, d’un aimant droit, on plaçait un cylindre en bois. On demandait alors à un clairvoyant, placé dans une chambre noire, de concentrer son attention sur le cylindre. Au bout d’une heure environ, le sujet voyait apparaître autour de la circonférence du cylindre un disque de couleurs rangées dans l’ordre du spectre lumineux que nous connaissons en optique.

 

Vers 1905, le colonel de Rochas avait lui aussi découvert par diverses expériences des émissions n’appartenant pas au spectre électromagnétique connu. Ces expériences furent reprises et développées par l’ingénieur Turenne en 1928, puis par de Bélizal, Chaumery et Morel. Les mêmes émissions furent repérées et comme c’était l’âge d’or des applications de l’électromagnétisme, les chercheurs que je viens de citer ont tenté de concilier leurs découvertes avec les théories régnantes. Ils ont donc baptisé les émissions du nom des couleurs-témoins à partir desquelles le pendule entrait en giration et ils ont distingué deux aspects de ces « ondes de forme », magnétique et électrique. On pensait à l’époque qu’il s’agissait d’une bande encore inexplorée du spectre électromagnétique.



Nous savons aujourd’hui que les prétendues « ondes de forme » ne sont pas des ondes et n’appartiennent pas aux champs électromagnétiques. C’est pourquoi nous parlons à présent des « Émissions dues aux Formes ».





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La « décomposition du spectre des couleurs par la sphère » selon Bélizal et Chaumery. Les abréviations sont les suivantes : V = vert ; Bu = bleu ; I = indigo ; Vi = violet ; UV = ultra-violet ; Bc = blanc ; N = noir ; IR = infra-rouge ; R = rouge ; O = orangé ; J = jaune.


Schéma de Jean de La Foye, paru dans son livre « Ondes de vie, Ondes de mort ».

 



Q – Avant de voir comment vous en êtes venu à cette conclusion, pouvez-vous donner un aperçu de la façon dont les pionniers que vous venez de citer ont en quelque sorte « défriché » la question ?

 

 

R – Aucun détecteur classique n’étant sensible aux émissions dont nous parlons, Chaumery et de Bélizal ont utilisé la méthode radiesthésique, en y apportant d’ailleurs quelques améliorations sensibles.

 

Sur une sphère en bois, ils ont essayé de repérer au pendule des points émetteurs de ce qu’ils appelaient « ondes de forme ». La méthode était celle du « témoin », classique en radiesthésie. Un exemple : tenez de la main gauche un morceau de tissu ou de papier rouge ; de la main droite, lancez le pendule en oscillation rectiligne au-dessus de la sphère. A la verticale d’un point précis, le pendule entre en giration. Le point ainsi repéré est dit « émetteur » de la couleur rouge. Suivant le sens de giration du pendule, la « couleur » sera dite négative ou positive. On aura par exemple au pôle Nord de la sphère un point d’émission faisant tourner le pendule pour un tissu-témoin vert et dans le sens des aiguilles d’une montre : ce point reçoit l’appellation de Vert positif ou V+. Le point diamétralement opposé reçoit le nom de Vert négatif ou V-.

 

Chaumery et Bélizal ont constaté que les points-couleurs se répartissaient à la surface de la sphère selon des spirales régulières qui subissent un certain décalage en fonction du mouvement de la Terre. Pour « fixer » la position de ces spirales, ils ont eu l’idée de percer deux trous diamétralement opposés sur l’équateur de la sphère.

 

 

Q – Ces préliminaires sont à l’origine de l’ingénieux « pendule universel » qui a permis d’étudier bien des propriétés et effets de Forme, sur des objets actuels ou antiques…

 

 

R – Le Pendule universel est en effet constitué d’une masse sphérique en bois sur laquelle sont reportés les points-couleurs identifiés par Bélizal et Chaumery. Le fil coulisse sur une anse mobile fixée au pendule et peut ainsi être réglé au-dessus du point d’émission désiré. La giration se produira à la verticale d’un objet émettant selon les caractéristiques du point émetteur sélectionné sur le pendule.

 

C’est un instrument très utile, tout comme le pendule équatorial mis au point par les mêmes auteurs. Et les acquis des premiers chercheurs n’ont rien perdu de leur valeur pratique. Simplement la terminologie était inadéquate et les Emissions repérées appartenaient à un champ restreint, dont nos investigations actuelles continuent de tenir compte sous le nom de « Champ de Taofel de Bélizal ».



Ce qu’il faut bien comprendre si l’on veut accéder aux recherches actuelles sur les Emissions dues aux Formes, c’est qu’elles n’ont rien à voir avec ce que nous connaissons sous le nom d’ondes ou de vibrations et que les « Couleurs » émises par divers points de la sphère ou d’autres solides sont d’une autre nature que les couleurs perçues par nos sens. Elles n’appartiennent pas à notre univers physique.

 

 

Q – Comment est-on passé des recherches concrètes et des analogies électromagnétiques ou chromatiques aux conceptions infiniment plus abstraites que vous soutenez à présent ?

 

 

R – Je pense que les recherches d’Enel ont été déterminantes. Avant même de s’intéresser aux Émissions dues aux Formes, Enel était initié aux doctrines ésotériques de l’Antiquité. Il a sans doute été le premier à comprendre que les pouvoirs des Formes relevaient d’un mode de pensée radicalement différent du nôtre. Plutôt que de se tourner vers les critères scientifiques du moment, il a considéré le problème du point de vue de la Kabbale hébraïque et des grands systèmes cosmogoniques de l’Inde et de l’Egypte anciennes. Cela lui a permis d’approfondir le sens des architectures sacrées qui sont, pour la pensée matérialiste, rigoureusement incompréhensibles. Enel fut aussi un des premiers à soupçonner la relation entre Emissions dues aux Formes et cancer. Il a même découvert une Émission agissant sur les cellules cancéreuses, celle que nous appelons l’Émission Cancer d ‘Enel.








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Placée sur un disque de bois convenablement percé et orienté, cette figure kabbalistique, dite de la Synthèse, engendre des Émissions Dynamiques dont les effets sont remarquables sur le vivant et les eaux.





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Le Pa-Kua, figure chinoise combinant le cercle Yin/Yang et les trigrammes du Yi-King. Il émet des Émissions au Champ « Bélizal » et d’autres à caractère « Möbius ». Bien que possédant des propriétés thérapeutiques, il est d’un emploi délicat : en état « KSh Ph » ou   Magie, ses effets sont inattendus et puissants.

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