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: les cours de toutes les matières premières, des crédits et des taux d'intérêts sont manipulés sans vergogne par les grandes banques à l'entier détriment des populations, des entreprises et de l'environnement qui est saccagé par le prélèvement incessant de matières premières naturelles.

 

La manipulation des cours de l'or : l'or ne cesse de faire l'objet de manipulation à la baisse depuis de nombreux mois. Mais avant même que ne se produise l'effondrement du marché obligataire (dettes publiques) dont l'onde de choc partira très probablement du Japon, suivie de l'éclatement de bulles hyperspéculatives (marchés des actions), il faut s'attendre prochainement à un premier retournement des cours. Ceci, lorsque les investisseurs trompés par des titres-papier non adossés à l'or physique, inexistant dans la plupart des cas, se rendront réellement compte de cette grossière supercherie. Le 19 juillet, l'agence Reuters confirme cette escroquerie, un lingot physique existant en coffre fort, contre 100 lingots-papier circulant dans le négoce international. D'autre part, si les cours descendent durablement en deçà du prix de revient des minières (énergie et frais généraux d'extraction) 1400 à 1500 $ l'once, un grand nombre de mines fermeront leur porte et la raréfaction du métal jaune par rapport à la demande mondiale provoquera à elle seule l'envolée des cours.

 

Ce grand feu d'artifice multicolore de l'argent roi, faute de poudre et éclaboussé par les eaux agitées des peuples en révolte, va bientôt s'éteindre. La nuit noire qui  s'en suivra semblera interminable pour les non-avertis, qu'ils soient riches ou pauvres. La situation générale de délitement qui ira en augmentant est la résultante de stratégies à long terme conçues par l'ingénierie des cercles de réflexion (think tank), dirigés par la haute finance, sous la supervision du cartel de la véritable gouvernance mondiale. Le but ultime est de contraindre les Etats-nation englués par les conséquences insurmontables de la crise majeure à accepter dans une absolue soumission la totale refonte de l'actuel système financier et économique mondial. Une étape capitale du plan qui introduira les chefs de gouvernement et les peuples dans l'antichambre d'un tout premier gouvernement mondial.

La Chine annonce une croissance de l'ordre de 7,5 % et une hausse des exportations de 21 %. Comment est-ce possible lorsque les chiffres-statistiques des exportations chinoises ne correspondent pas avec ceux des pays importateurs ! En réalité la chute est largement engagée.

 

En fait, ce pays subit un net ralentissement consécutif au grippage d'une économie mondialisée en proie à la récession généralisée. Actuellement, les exportations chinoises sont au plus bas. Depuis 2011, le gouvernement chinois ne cesse d'ouvrir les caisses pour investir à perte dans le secteur de la production plus d'un quart de ses réserves de change (3500 mds) libellées majoritairement en dollars sans valeur. Comme en Occident, l'endettement chinois a doublé en 4 ans. En 2013, les autorités garantissent une prime de 10 % du chiffre d'affaires pour toutes sociétés chinoises qui s'efforcent d'exporter malgré le niveau de récession grandissant chez les importateurs, un dumping opéré en violation des règles pourtant laxistes de l'OMC. Six millions de petites entreprises vont être exonérées du paiement de diverses taxes. Sous la pression du peuple lassé des dérives d'un capitalisme injuste, le pays se recentre sur la préférence des entreprises nationales, des produits chinois, et sur la mise en place de premières mesures de protectionnisme, mais sans que le niveau attendu de consommation soit au rendez-vous.

">Comme en occident, les banques chinoises ne sont pas exemptes des conséquences de l'hyperspéculation, de la bulle immobilière, de la corruption, de la conjoncture descendante. Elles sont à leur tour confrontées aux actifs douteux, aux actifs toxiques (exemple les ignobles subprimes), malgré le soutien financier important du gouvernement, le système bancaire est entré dans une phase de crise aiguë. Fin juin, les banques ne se faisant plus confiance, les taux interbancaires ont bondi de 4 % à 12 % au risque d'assécher le marché du crédit, de bloquer la consommation et l'investissement, in fine d'impacter l'économie mondiale, dont les acteurs s'illusionnent en misant sur l'essor chinois.

 

Si l'Etat a pu jusque-là soutenir les parties les plus faibles de l'économie, il se pourrait bien qu'il soit prochainement dans l'obligation de vendre des actifs tangibles (or, matériaux semi-précieux) pour continuer à les soutenir. Nombre d'infrastructures (complexes industriels, routes, aéroports, bâtiments publics...) devenues inutiles sont à l'état d'abandon et les villes fantômes se multiplient (64 millions de logement vides - 10 fois plus que le désert immobilier espagnol). À cause de la montée du chômage et de l'injustice sociale , des émeutes éclatent partout quasi quotidiennement.

">Les comptes rendus des représentants de l'UE et des Etats concernés se veulent rassurants. Toutefois, dans la réalité rien n'est solutionné en Grèce, ni en Irlande qui diffère sa dette de 35 années, ni au Portugal en état de faillite - vente des infrastructures nationales à des investisseurs privés, comme en Grèce - ni en Espagne en pleine crise de scission avec ses provinces et dont le système bancaire est au bord de l'implosion. Le gouvernement espagnol ne veut plus être contraint de faire appel au fonds de solidarité de l'UE, il préfère se tourner vers d'autres partenaires d'Amérique latine. En Italie, le nouveau gouvernement est confronté à l'aggravation du chômage, notamment celui des jeunes (+ 40 %), à la fermeture de petits commerces (135 par jour) à la diminution des exportations. Ne sachant plus quoi faire, il applique une politique économique totalement contradictoire, diminution des impôts, continuité des autres mesures d'austérité ! En juillet, l'Italie en état de faillite avancée a vu sa note souveraine dégradée en triple B par l'agence Standard and Poor's, pendant que la France également en état de faillite, passait directement de tripe A à triple B après notation de l'agence Egan JONES .

 

Après Chypre, l'on envisage une prochaine crise financière pour la Slovénie. Or, l'économiste allemand Thomas MAYER, ex chef économiste et actuel conseiller de la Deutsch Bank, considère la situation de la France tout aussi fragile que celle de la Grèce. Les apparences d'un relatif bien-être sont donc bien trompeuses pour les français au moment où tous les indicateurs économiques sont au rouge, le réveil sera très brutal ! Les services du Premier ministre contactent toutes les directions de grandes entreprises pour les implorer de ne pas entreprendre de plans de licenciements. Une nouvelle dégradation de la France est inévitable, elle entraînera une hausse des taux d'emprunt obligataire, ce qui amplifiera la spirale de l'endettement (vidéo). Celui-ci pour le moment reste encore supportable du seul fait du flot incessant de liquidités déversées jusque-là par la Banque centrale européenne - voir plus haut à la rubrique "création monétaire " au troisième paragraphe, l'artifice utilisé par la BCE pour permettre à la Banque de France d'imprimer des euros en illimité, mais pour combien de temps encore, d'où viendra le secours puisque le bilan des banques centrales n'est plus composé d'actifs toxiques et douteux et que depuis novembre 2012, le budget de l'UE est exsangue de moyen financier. Sans compter qu'en janvier 2013, 16 milliards € d'arriérés ont dû être payés. Selon le député européen Alain LAMASSOURE, il n'y a pas de marge de manoeuvre.

 

L'Allemagne si réticente jusque-là à accorder une aide financière aux pays en difficulté, revient sur ses positions par la voix du président de la Bundesbank qui le 24 mai dernier a plaidé pour accepter l'idée qu'un Etat de la zone euro puisse faire faillite.

 

Conclusion : la vie économique et étatique est donc entièrement régie par le milieu de la haute finance ayant tout orchestré pour poser son joug sur les Etats qui désormais à leur tour sont complètement soumis à son emprise. ROTHSCHILD l'un des banquiers les plus puissants au monde aimait à le rappeler "peu importe qu'un gouvernement soit de droite ou de gauche, si c'est nous qui battons monnaie c'est nous qui gouvernons ce

">Le système bancaire proche de l'implosion : les hommes politiques se veulent rassurants alors que les principales banques européennes, notamment les françaises, paralysées par des créances douteuses et toxiques sont près du dépôt de bilan. Le journal les Nouvelles économiques allemandes (DWN) accuse la Banque de France (BF) de soutenir illégalement les banques françaises. Cela s'opère avec l'accord tacite de Mario DRAGHI, président de la BCE qui a autorisé la BF de battre monnaie en complète violation des traités européens. Dans son imprimerie de Vic-le-Comte en Auvergne, l'on produit donc de vrais-faux euros à grand tirage, en illimité, afin d'acheter 300 milliards de produits dérivés véreux qui minent le bilan des banques - voir plus haut, à la rubrique création monétaire, au troisième paragraphe, comment la BF procède de la même manière avec l'Etat français. Alors que la FED ne s'en cache pas, la BCE se lance en catimini dans la création monétaire massive.

 L'une des plus grandes banques de l'hexagone a pu ainsi éviter la faillite. Riez un bon coup ! en découvrant les nouveaux services proposés par la Société générale ! Vidéo. En France, 4 principales banques sont proches de la banqueroute. Elles sont recensées par le G20 comme systémiques car elles peuvent provoquer du jour au lendemain un chaos financier à travers le monde. Aux Etats-Unis, depuis 2008, près de 500 banques de proximité ont fait faillite, pendant que les trusts financiers tels des constrictors insatiables n'ont cessé d'avaler toutes sortes de proies boursières et économiques.

 

Alors que l'on annonce la maîtrise du système bancaire, la France et la Belgique sont plus proches d'une crise financière que la Slovénie dont on parle comme prochain écueil après Chypre. Les banques italiennes ont augmenté leur part de bons du Trésor d'Etat de 25 % depuis mars 2012, sachant qu'elles vont faire faillite, elles se fixent comme une arapède à l'Etat italien, il sera dans l'obligation de les renflouer et fera faillite à son tour.

 

Fait inhabituel, mais non surprenant dans le cours planifié des évènements mondialisés par le cartel de la haute finance, la BIS ou Banque centrale des banques centrales, celle qui est à l'origine des accords internationaux de Bâle III, contrairement aux dires rassurants des politiques, annonce un effondrement prochain des places financières. Pour se conformer aux normes prudentielles de Bâle III sans cesse repoussées, les banques allemandes, prises pour exemple, ont besoin de 14 milliards € pour se recapitaliser ; selon Goldman Sachs  l'ensemble des banques européennes a besoin de 300 milliards €. De surcroît les banques des pays fondateurs de l'UE sont les plus exposées au risque de la dette des pays européens, par exemple, la dette italienne surexpose le risque des banques françaises estimé à 500 milliards €. Avant l'écroulement, le château de ">L'OCDE est très alarmiste et appelle à une restructuration du secteur bancaire. Le constat le plus révélateur est celui de Thomas MAYER, ex chef économiste et actuel Conseiller de la Deutsche Bank (voir plus haut le détail de son analyse au sous-titre les pays européens en difficulté). Cette banque est la plus exposée au risque des produits dérivés à hauteur, tenez-vous bien, de 55 mille milliards d'euros, comparativement au PIB de l'Allemagne de 2644 mds €. C'est dire que le maillon fort de l'Europe est accablé lui aussi par toutes les conséquences de la spéculation outrancière et de la récession mondiale. Ce pays, de plus en plus exposé à une hausse des taux d'intérêt des emprunts obligataires, peut rapidement en devenir le maillon faible. À partir du premier trimestre 2014, il faut s'attendre au vacillement du secteur obligataire, avec une conséquence évidente sur l'envolée de l'endettement des Etats, entraînant aussitôt une violente réaction des marchés financiers. À ce moment-là, les évènements prendront une tournure tout à fait inattendue... Une solution globale semblera à portée de main...

 Voyant se profiler le risque, le président de la Bundesbank appelle à une Union bancaire en 2014 pour assurer le découplage entre le système bancaire et les Etats européens, et pour censément discipliner les marchés financiers ! Ceci afin de protéger les Etats des risques systémiques dévastateurs d'un milieu bancaire proche de la banqueroute.

 En Italie, 9 banques viennent d'être dégradées par l'agence Standard and Poor's. Récemment, la troisième banque d'Italie, Monte dei Paschi, a sollicité une deuxième fois (officiellement) l'aide de l'Etat. Elle va pouvoir ainsi émettre 4 milliards € d'obligations que le Trésor italien va aussitôt lui racheter pour la sauver de la faillite. Ce cas est significatif de la faiblesse des actifs bancaires en fonds propres de toutes les banques occidentales. Leur gestion est désormais faussée par les conséquences du panachage de titres toxiques (exemple les ignobles subprimes) hérités de l'ère d'hyperspéculation des années 1990 - 2010 et d'opérations ultra-risquées sur les produits dérivés.

 Chiffres clés : Au plan mondial, le montant de toutes les opérations hyperspéculatives des banques est de 1.600.000 milliards $ à rapprocher du PIB mondial 70.000 milliards $.  Qui pourrait dire que cette pyramide de cartes truquées résistera au souffle de la tempête qui se profile à l'horizon.

 La fin de la sûreté pour les créanciers particuliers : le 27 juin, les Etats membres de l'UE ont décidé qu'en cas de sauvetage ou liquidation de banques en faillite, plutôt qu'impliquer à nouveau les contribuables, les créanciers privés seront mis à contribution en première ligne. Sont inclus forcément les comptes en deçà de 100.000 € puisque les fonds de garantie sont insignifiants, cela au risque de provoquer un bank run et de bloquer l'investissement. Dénués de solution viable, c'est sur cette base qu'ils veulent construire un ordre bancaire nouveau ! C'est bien à cette conclusion que voulait les conduire le cartel de la véritable gouvernance mondiale - voir plus bas - Janvier 2013 - le sous-titre " Voici l'information noyée sous la masse...".

"> L'épargne des particuliers : C'est elle qui à la base permet à l'Etat français d'emprunter à un taux préférentiel, actuellement 2 à 3 %. S'ajoute l'accord secret récent avec la BCE qui permet à la Banque de France d'imprimer des euros en illimité (voir les détails plus haut au sous-titre "la création monétaire"). Si par défiance, ou par vent de panique, les particuliers venaient à retirer ne serait-ce qu'une partie de leur épargne (bank run) les taux des obligations remonteraient aussitôt et l'Etat ferait totalement faillite en quelques semaines.

 En France, les dépôts des particuliers sont de l'ordre de 1800 milliards €, tandis que le fonds d'indemnisation des banques de dépôts en cas de faillite est de 2 milliards €. Le calcul est vite fait, l'épargne des particuliers n'est en aucun cas garantie. Cela d'autant plus qu'en cas de trouble civil, les banques qui échangent des prêts entre-elles (marché interbancaire) n'ayant aucune confiance les unes envers les autres se serviront les premières et le grand public se retrouvera dépouillé et abasourdi. Récemment en Irlande, le défaut bancaire est passé inaperçu, les médias sous influence ont occulté l'information,  l'Etat a imposé à ses créditeurs de ré-étalé la dette sur les 35 ans à venir. En France, l'Etat ne prendra pas ce type de décision, par contre il ira aussitôt se servir directement dans les comptes des citoyens. L'on peut en déduire que les épargnes constituées dans les pays trop endettés n'offrent aucune forme de garantie pour le particulier.

 Depuis 2008, entrée en crise majeure, les banques centrales (BCE - FED) n'ont cessé de faire de la création monétaire (voir plus haut le sous-titre "la création monétaire"). Les monnaies fiduciaires dollars & euros, dont la valeur ne repose que sur  un indice de confiance, se dévalorisent de jour en jour, car plus l'on produit de pièces et de billets, plus l'argent se dévalorise (inflation monétaire). Du fait du faible taux de rémunération de l'épargne et de l'inflation des prix qui ronge à son tour les livrets A - B - C - au total les particuliers qui n'en ont pas conscience perdent la valeur de leurs économies.

 Actuellement, à l'insu du grand public, un projet de décret de centralisation de l'épargne populaire est en cours de parution. En août, il permettra à l'Etat français de réorienter 30 milliards € issus du livret A du LEP et du LDD (livret de développement durable), très probablement 20 mds € de plus en octobre, au prétexte d'avantager le crédit aux PME, alors que le but de la manoeuvre est de sauver à tout prix les banques de la faillite. Tandis qu'à l'interne la Caisse d'épargne & Banque populaire se sont fixé pour objectif de collecter, d'immobiliser, 1 milliard € au travers d'une nouvelle série de plans d'épargne logement (PEL).

 Voir plus bas - Février 2013 - Banque grande crise de confiance.. aux sous-titres  "le comble de l'échec"  et "conclusion" comment en 2010 les banques européennes bénéficiaires de la manne du LTRO (1000 milliards € à 1 % d'intérêts) après l'avoir utilisée à nouveau pour faire de l'hyperspéculation sur les marchés financiers, se sont refusées d'accorder des crédits aux entreprises en retournant à la BCE une partie des prêts accordés.

 Les assureurs GAN - CNP - GROUPAMA - ont multiplié leurs provisions pour faire face aux pertes financières subies en Grèce, à Chypre, et parmi d'autres pays au bord de la faillite. Ils ont du mal à régler les sinistres et demandent à ce que les agences de notation ne donnent plus aucune note les concernant ! L'hyperspéculation sur les CDS et produits dérivés a mis en péril de risque systémique 9 compagnies d'assurance : Allianz - Axa - Generalli - Aviva - Prudential - Prudential Financial - MetLife - AIG- Ping An.

 En laissant leur argent sur des livrets et assurances en tout genre, les particuliers s'exposent non seulement au défaut de ces assureurs, mais aussi à ce que l'Etat français en faillite avérée se serve directement sur leurs comptes d'assurance vie.

 En juin, Wolfgang SCHÄUBLE ministre allemand des finances, véritable décideur en Europe, disait que la meilleure façon de sauver les banques consiste à ponctionner 8 % sur les comptes et les actifs des clients, lesquels sont tous placés dans l'obligation de détenir un compte en banque. Il dit que cette ponction leur serait moins dommageable que toutes les conséquences d'une faillite de leur banque respective. Une idée qui n'est pas nouvelle car en 2011, le Boston Consulting Group avait avancé qu'une ponction de 30 % sur tous les actifs des particuliers serait le seul moyen de sortir de la crise de l'euro, ce dernier taux pourrait bien être le bon ! S'ajoute un prochain impôt qui sera calculé sur la valeur de votre habitation. Tout en sachant qu'entre 2008 et 2011, les contribuables européens ont déjà participé à hauteur de 4,5 trillions (un trillion = mille milliards) d'euros, soit un tiers du PIB des pays de l'UE, pour le sauvetage des Etats et des banques,  la ponction ne s'arrêtera pas là !

 En conclusion : Cela signifie qu'à cause de la gestion irresponsable des fonds publics, devenue ingérable en période de récession mondiale, avec son lot de risques systémiques et de répression financière, se profile à court terme l'impossibilité de faire ce que l'on veut avec son argent ! À l'insu des épargnants, la plupart des Etats européens du Sud n'ont cessé de puiser dans les fonds d'épargne par centaines de milliards € pour diverses opérations financières qui s'avèrent aujourd'hui irrécouvrables. Il faut donc s'attendre à ce que de nouvelles ponctions massives sur l'épargne populaire servent cette fois à sauver les Etats eux-mêmes. Voir plus bas - Février 2013 - les sous titres " la mainmise sur votre argent ne va pas tarder " l'autre initiative du gouvernement français de réorienter l'épargne en direction de l'économie asséchée - " Quand-est-ce que les gens bougeront en France ? "