Dissoudre les illusions : les maladies, les vaccins et l’Histoire oubliée.
Jennifer Hutchinson, 2 août 2013
Un nouveau livre vient de paraître. Son titre : Dissoudre les illusions : les maladies, les vaccins et l’Histoire oubliée. La plus grande illusion qui soit est toute simple et c’est de cette illusion que traite tout le livre.
Avant de continuer la lecture, pouvez-vous répondre à cette simple question (vrai ou faux) ?
« Tout au long de l’histoire, on a attribué aux vaccins l’allongement de l’espérance de vie, comme la baisse importante des taux de décès dus aux maladies infectieuses.
Si vous avez répondu « faux », vous avez raison. Ce ne sont pas les vaccins qui sont responsables de l’allongement de l’espérance de vie ou de l’importante réduction de la mortalité due aux maladies infectieuses.
Une autre question.
Vrai ou faux : « l’eau potable, l’alimentation, l’hygiène et l’assainissement ont été responsables de l’éradication de nombreuses maladies infectieuses. »
C’est vrai. C’est aussi ce que démontre clairement le livre « Dissolving Illusions ». Ce simple fait permet de répondre très facilement à la question suivante.
Vrai ou faux : « le programme de vaccinations dans ce pays est basé sur une fausse prémisse.
Absolument vrai. Il s’agit d’y réfléchir sérieusement. Des maladies comme le choléra, la fièvre typhoïde, toutes ont pratiquement disparu avant l’introduction des vaccins. Par conséquent, les vaccins n’auraient pas pu être responsables de l’éradication de ces maladies.
Mais attendez. On m’a dit pendant toute ma vie que les vaccins étaient absolument nécessaires pour nous protéger contre de terribles maladies. Comment cela ne pourrait-il pas être vrai ?
C’est de l’histoire de base
Dans les années 1800 et 1900, beaucoup de gens aux Etats-Unis vivaient dans la pauvreté et la saleté. Ils habitaient trop nombreux dans de petites maisons où l’on trouvait des rats, des cafards, des moustiques et autres vermines. Les eaux usées dévalaient les rues ; on y trouvait des ordures et des cadavres d’animaux ; un bourbier qui atteignait parfois près d’un mètre d’épaisseur dans des lieux comme New York City. La nourriture et l’eau de boisson étaient contaminées.
Les gens étaient sous-alimentés. L’eau courante n’existait pas ; les toilettes ne possédaient pas de chasse d’eau. Quand les gens tombaient malades, ils aboutissaient dans des hôpitaux qui étaient tout aussi sales et insalubres. L’hygiène de base était absente : les gens ne se lavaient pas les mains, les instruments n’étaient souvent pas stérilisés et on n’isolait pas les malades.
Beaucoup de personnes travaillaient de longues heures dans des conditions malsaines, sans air frais, sans exercice et avec trop peu de repos. Même les enfants travaillaient parfois jusqu’à ce qu’ils deviennent malades ou même qu’ils en meurent. Les épidémies faisaient des ravages. Des millions de personnes mouraient de maladies comme la fièvre typhoïde, le choléra, la dysenterie, la diphtérie, la coqueluche, la scarlatine, la rougeole, la fièvre jaune, la tuberculose, la fièvre puerpérale et la variole. Les taux de mortalité étaient élevés et l’espérance de vie très basse.
C’est cela l’histoire que l’on a oubliée. C’est tout cela qui a permis la propagation des maladies. Telle est la pure vérité.
Puis, vint la révolution de l’assainissement. Alors tout commença à changer. Les eaux usées et les ordures furent évacuées de manière appropriée. L’eau potable fut rendue obligatoire. La nourriture était inspectée et manipulée avec des soins appropriés pour éviter toute contamination. Le lait fut pasteurisé. Des lois furent votées pour protéger les travailleurs ; les bases de l’hygiène commencèrent à être mises en place. Dans beaucoup de pays, la vie était devenue plus saine, plus sûre, en un mot meilleure.
Une autre pièce de l’histoire oubliée : la perte des remèdes. Pour traiter les maladies infectieuses certaines régions utilisaient les vitamines, la cannelle, l’ail, l’échinacée, le vinaigre de cidre, les jus frais, l’huile de foie de morue, l’argent et autres remèdes. Et…devinez ? Tout cela marchait bien.
Le résultat ? En 1940, les décès dus à la rougeole, à la scarlatine, la coqueluche et la diphtérie étaient pratiquement devenus des choses du passé. Au début des années 1900, on n’entendit presque plus parler de décès dus à la scarlatine – une grande tueuse – avant même que les antibiotiques puissent la traiter. La tuberculose, la pneumonie, la grippe… idem. Quand ces maladies réapparaissaient, elles étaient beaucoup moins graves. La mortalité était rare, c’est un fait.
La chose est importante. Tout ceci s’est produit à une époque où le taux de vaccinations était de presque zéro.
Comment pareille vérité fondamentale a-t-elle pu être oubliée (ou ignorée) ?
Jusqu’au début des années 1800, bien avant que l’on nous fourgue quantités de vaccins, de nombreuses revues médicales mettaient en doute leur sûreté et leur efficacité. Ces revues publiaient des statistiques, des taux de mortalité ; elles évoquaient le fait que ces vaccins pouvaient être contaminés et souvent engendrer plus de maladies qu’ils n’étaient supposés empêcher.
Comme le livre du Dr Humphries l’explique très bien, le fait de remettre les vaccins en question n’était pas sans conséquences. Les médecins qui avaient le courage de parler étaient ignorés et parfois menacés. Les parents qui refusaient d’obéir aux lois sur les vaccinations étaient poursuivis, se voyaient infliger des amendes. Il arrivait même que ces parents soient emprisonnés. Finalement les protestations se multiplièrent et les lois commencèrent à changer.
Manifestation de masse contre l’obligation vaccinale : « Arrêtez le massacre des innocents… Plus question d’obligation vaccinale ! » (W.James, City of Toronto Archives, 1919) w (Photo°1)ww.dissolvingillusions.com
« Malheureusement, la croyance erronée que les vaccins et d’autres avancées médicales étaient responsables de cette baisse étonnante des maladies a influencé la manière dont les maladies infectieuses sont traitées aujourd’hui. Au lieu de mettre l’accent sur l’hygiène, l’alimentation, la supplémentation en vitamines ; au lieu de soutenir le système immunitaire par des remèdes naturels, l’accent a été mis sur les antibiotiques coûteux, les vaccins et autres procédures médicales. » (pp. 220-221)
Un autre fait est à signaler : les gens qui bénéficient d’un bon système immunitaire – parce qu’ils respectent les mesures d’hygiène de base : eau pure, alimentation correcte, vie saine… possèdent tout ce qu’il faut pour vaincre les maladies. Les vaccins ne créent pas de véritable et durable immunité vis-à-vis des maladies ; en fait ils dépriment le système immunitaire. Quelle est la chose qui peut vous procurer une immunité contre la maladie ? La maladie elle-même.
La peur est un puissant facteur de motivation. La pensée qu’un enfant puisse attraper une « terrible maladie » est effrayante. Pensez simplement à l’histoire de la polio dont le livre parle abondamment. Les photos d’enfants dans des poumons d’acier – ce rappel effrayant des effets invalidants de la maladie.
Mais, ce qui manque et qu’on ne nous dit pas, c’est que ces personnes handicapées et paralysées souffraient d’autre chose comme de l’empoisonnement au DDT (pesticide), à l’arsenic ou même de syphilis. On ne nous dit pas non plus que la polio n’a jamais été éradiquée par un vaccin.
Pulvérisation de DDT sur une plaine de jeux, région de New-York,(National Geographic Magazine. 1945) www.dissolvingillusions.com (Photo n°38)
L’ironie veut que ce soit l’existence même d’un vaccin qui contribue à augmenter la peur. S’il existe un vaccin pour prévenir une maladie, c’est que la maladie doit être bien effrayante.
« Quand les programmes vaccinaux ne tiennent pas leurs promesses, la faute en incombe toujours aux personnes non vaccinées, ou alors on change de politique « cinq vaccins pour un enfant pourraient ne pas suffire ». Il arrive alors aussi qu’en un tour de main, on modifie l’ancien diagnostic de la poliomyélite pour parler de « Paralysie Flasque Aiguë (PFA) – manière comme une autre de dissimuler les paralysies tout en permettant de continuer à faire rentrer de l’argent. (p.289.)
Conclusion
Même si vous croyez encore que les vaccins sont sans danger « Dissolving Illusions » devrait vous faire clairement comprendre qu’ils ne sont pas nécessaires. S’ils ne sont pas nécessaires, pourquoi nos enfants doivent-ils recevoir plus de quatre douzaines de vaccins avant de pouvoir rentrer à l’école ?
Il y a tant d’explications possibles. Je suppose que certains médecins croient encore aux vaccins. Après tout, ils ont été endoctrinés depuis leurs premières années de médecine. Big Pharma est très riche et très puissante. Même s’il est possible que le CDC, la FDA, comme d’autres Agences de Santé croient en la valeur des études qui leur sont présentées, il convient de se rendre compte que les statistiques sont faussées ; leurs auteurs leur font dire ce qu’ils veulent que le public entende.
Il est aussi possible que certains médecins ne croyant pas du tout aux vaccins, ne vaccinent pas leurs propres enfants, mais continuent de se taire.
Combien de fois n’avez-vous pas entendu ce discours : « Les vaccins préviennent de terribles maladies et parfois la mort » ? Je sais tout cela… mais, jusqu’à ce que mon petit-fils Jake ait régressé dans l’autisme à la suite du vaccin contre la rage, j’avais avais une foi sincère et sans réserve dans les vaccins. Je croyais tout ce que j’avais lu au sujet des maladies horribles, souvent mortelles et, consciencieusement j’ai fait vacciner mes filles quand elles étaient petites. Chaque automne, j’étais pressée de me faire vacciner contre la grippe. J’avais tout accepté sans me poser de questions. A cette époque, je n’avais aucune raison de remettre cette théorie en question. Et ce… jusqu’à ce que ma famille souffre l’agonie indescriptible de voir Jake disparaître dans un trou noir.
Ne permettez pas que votre enfant devienne autiste ou souffre de quelque autre trouble après un vaccin. Puissent ces avertissements être là pour vous inciter à vous interroger sur la sécurité des programmes vaccinaux. Faites-le maintenant. Lisez Dissolving Illusions. Si vous ne faites rien d’autre, donnez-vous au moins la peine d’examiner les graphiques - 51 graphiques disponibles (Vous pouvez les voir sur le site www.dissolvingillusions.com) Réfléchissez à l’histoire, à la science. Ne vous basez pas sur l’opinion des autres, ayez le courage de voir les faits en face. Ce livre est le résultat de 20 années de recherches. Il veut montrer la vérité.
Il faut que vous vous rappeliez ceci : il n’existe aucune preuve pour soutenir la théorie que les vaccins sont nécessaires. Quant aux études sur la « sécurité » des vaccins, elles sont pour la plupart absentes, déficientes et imparfaites. Les médecins ont poussé à la vaccination depuis la fin des années 1700, mais ils n’ont encore jamais étudié des enfants vaccinés en les comparant à des enfants non vaccinés. S’ils sont si sûrs que leurs vaccins sont efficaces, nécessaires et sans danger, pourquoi n’ont-ils jamais réalisé cette étude pour tranquilliser les parents ? La réponse est très simple. Ils n’ont pas besoin de faire l’étude. Ils savent déjà la vérité, mais ils ne veulent pas que nous l’apprenions.
Tirez vos propres conclusions et essayez d’être prêts à accepter le fait que ce que l’on vous a dit tout au cours de votre vie, que ce que vous avez cru sans vous poser de questions, soyez prêts à accepter que tout cela pourrait ne pas être vrai. C’est la vie et la santé de vos enfants qui en dépendent. Il dépend de vous, de prendre des décisions éclairées et sûres. Vos enfants n’en sont pas encore capables. Faites-le pour vos enfants. Lisez Dissolving Illusions.
Référence
Suzanne Humphries, MD, and Roman Bystrianyk. Dissolving Illusions: Disease, Vaccines, and the Forgotten History. Create Space Independent Publishing Platform, July 27, 2013. http://vactruth.com/2013/08/02/dissolving-illusions/