L’eau cellulaire comme support d’information pour les mécanismes de réparation de l’ADN.
COMMENT FONCTIONNE L'EAU CELLULAIRE ? jacques-collin_160_139_1338573341
Elle est à la base de toutes les réactions biochimiques, enzymatiques et des échanges cellulaires.
L’eau est le milieu réactionnel de tout l’environnement biologique, électrique et vibratoire de la cellule.
De par leur structure et leur conformation, les molécules d’eau agissent sur le système informationnel des cellules.
En fonction des informations qu’elle reçoit, l’eau intra et extra cellulaire adopte des configurations différentes.
Par exemple, les réactions qui se produisent dans l’eau du cytoplasme des cellules, ne sont pas dues au hasard.
Chaque sorte de cellule contient en effet quatre configurations principales d’eau qui constituent les éléments de base de son fonctionnement.
Une partie des molécules d’eau s’agglutine en grappes appelées encore micro-amas ou micro-clusters.
Le Dr Lorenzen, biochimiste et nutritionniste, expert mondialement reconnu en matière de technologie des micro-clusters, a montré que la plupart des cellules du corps humain possédaient une sorte de squelette.
Il est appelé « cytomatrix » ou matrice des protéines.
Ces protéines, qui se comptent par milliers, sont en forme d’hélice.
Elles ne se limitent pas seulement à la cellule, mais vont de son noyau aux autres cellules assurant ainsi la relation à travers la membrane.
C’est un canal d’une très haute complexité qui véhicule ce que l’on considère comme une information à très haute fréquence.
En observant la protéine, on peut constater la présence d’anneaux concentriques d’eau l’entourant sur toute sa longueur.
Il peut y avoir deux, trois, voire jusqu’à neuf anneaux.
Chacun d’eux a une fonction différente dans le transfert de l’information électrique.
La densité de l’eau contenue dans les protéines hélicoïdales est plus faible que celle de l’eau normale, aussi cette eau véhicule-t-elle beaucoup plus d’informations électriques que l’eau normale car elle contient des micro-clusters.
Ce sont eux qui favorisent le passage de cette protéine, et ce qui ne serait donc qu’un hasard, devient en fait un système de transfert d’information bien meilleur que celui des fibres optiques.
Si l’on se place au centre d’une protéine de ce type, de cette eau ainsi structurée, on découvre que cette matrice véhicule des ondes informationnelles très rapides, dont la fréquence est estimée par Herbert Frolich de l’Université de Londres à 10 Hertz.
Celle-ci est bien supérieure à celle des micro-ondes.
Cette information effectue un mouvement de va-et-vient dans les cellules dont les systèmes ne peuvent la transmettre que si l’eau qu’elles contiennent a une structure spécifique.
En 1922 déjà, A. Gurwittsch avait observé que les cellules communiquaient entre elles et s’apportaient une mutuelle assistance à distance.
Ceci est appelé le rayonnement « mitogénétique ».
Ce rayonnement cellulaire a été étudié dernièrement par le Dr Fritz Albert Popp.
Chaque cellule communique et s’informe avec les autres par des flashs de lumière cohérente ultraviolette.
Ce laser biologique ultraviolet utilise l’eau cellulaire comme support d’information pour les mécanismes de réparation de l’ADN.
La cellule est véritablement une microcentrale vibratoire et électrique qui construit toute son organisation et ses échanges atomiques et moléculaires à partir de ces résonances vibratoires.
L’EAU JUVÉNILE ET L’EAU PI
Au Japon, le Dr Kateyama a remarqué que les nouveau-nés étaient dotés d’une eau cellulaire très structurée et mobile dont le mouvement de va-et-vient est très rapide.
Il est évident que cette vitesse favorise le transport normal de l’oxygène et des nutriments ainsi que l’évacuation rapide des déchets (dioxyde de carbone et autres éléments toxiques).
C’est aussi l’avis du Dr Rodbell, Prix Nobel de Médecine.
Il a découvert que cette structure de l’eau se modifie avec l’âge en s’altérant.
Au lieu d’être organisée en petits amas circulant librement, elle était de plus en plus liée aux autres cellules, donc moins capable d’apporter des nutriments et d’évacuer des déchets.
Parce qu’on boit mal, avec l’âge se met en place progressivement un processus de déshydratation.
Selon le Dr Kateyama, à 60 ans, les trois quarts, ou presque, de l’eau contenue dans le sang ont quasiment disparu.
Si ces protéines ne sont plus entourées d’eau et a fortiori structurées, elles ne peuvent ni fonctionner, ni transmettre d’informations correctement.
Avec l’âge, l’eau des structures cellulaires devient plus dense, plus visqueuse et se renouvelle très lentement.
Le Prix Nobel Albert Szent-Györgyi explique que la structure d’espace des protéines cache en réalité une capacité de semi-conducteurs.
Les protéines n’ont cette capacité qu’en présence de l’eau.
L’eau n’est pas seulement le milieu, mais aussi le fondement de la vie.
L’énergie motrice d’enroulement de ces protéines provient de l’eau « ordonnée et structurée ».
Dans les organismes vivants, on évalue la proportion d’eau structurée, véritables cristaux liquides de 30 à 50 %.
Cet état structuré et ordonné facilite ainsi grandement l’échange d’informations.
« Il coule de source » que l’eau nécessaire à nos cellules doit être bue pure ou la plus pure possible.
C’est une eau libre, disponible, non liée par des éléments amorphes ou polluants, qui pourra facilement se configurer en structure organisée et être ainsi le meilleur support pour véhiculer toute l’information cellulaire qu’elle soit électrique, électromagnétique ou encore résultant des hyperfréquences.
Le chercheur japonais, Hideki Yukawa, découvreur en physique quantique de la particule « Meson PI » a permis au Pr Shoji Yamashita de définir le rôle biologique de l’Eau PI.
Cette Eau PI, une eau bioénergétique, est fabriquée maintenant aux USA.
Elle contient ces micro-clusters dont nos cellules ont tant besoin. Elle a un effet anti-viellissement certain.
Actuellement, des découvertes extraordinaires provenant de la physique quantique et transposées à l’eau biologique, prouvent que tous les systèmes vivants « pompent » à travers ces eaux structurées, les « énergies du vide » et alimentent ainsi leur vitalité.
Comment boire correctement ?
La première règle est de boire de l’eau pure au lever (en évitant le café crème) et entre les repas. L’eau gazeuse ou l’eau bue pendant les repas ne sert à rien.
La seconde règle est de ne boire que des eaux idéalement minéralisées ou bien oxygénées . La troisième règle est de choisir des eaux énergétiquement structurées, c’est-à-dire vibratoirement anoblies et si possible magnétisées
Ceci est possible directement à la sortie d’une source ou par l’intermédiaire d’appareils spéciaux. L’eau d’orage est aussi excellente. Les animaux en raffolent.
L’eau magnétisée et l’eau Pi sont idéales et disponibles sur le marché grâce à des filtres très pratiques qui transforment l’eau du robinet.
Jacques Collin
Auteur, conférencier et chercheur.
(Article tiré du Magazine Alternatif Août-sept-octobre 1999)