La génération adamique , Les Archontes et les deux humanités
Les deux humanités
Même si l’idée peut prêter à sourire ou à polémiquer, une croyance se répand actuellement selon laquelle la race humaine aurait été fondamentalement scindée en deux. Indépendamment des critères biologiques, physiologiques et ethnologiques liés à la couleur de la peau et à la culture d’origine, notre humanité pourrait en réalité être composée de deux races humanoïdes aux origines extraterrestres bien distinctes et destinées chacune à un avenir différent.
Nous sommes tous et depuis notre enfance accoutumés à penser en termes de physionomie et de morphologie. Nous voyons tantôt des Jaunes (de type manchourien, mongolien, malaisien…), tantôt des Blancs (de type caucasien, hyperboréen, méditerranéen…), tantôt des Noirs (de type africain, papouasien, abyssin…) et tantôt des Rouges (de type amérindien, mélanésien…). Nous avons pris l’habitude de répartir l’humanité en plusieurs "races" elles-mêmes fragmentées en groupes identifiables. Les dernières avancées technologiques entourant le génome ont d’ailleurs permis de les catégoriser, d’en établir les caractéristiques et d’en découvrir l’évolution au fil de notre histoire récente.
Mais il existe une connaissance dissimulée dans certains enseignements dits ésotériques ou occultes qui utilise d’autres critères. Selon elle, tous les humains seraient, à la base, issus de seulement deux races bien distinctes. Et l’une de ces races ne serait pas vraiment "humaine", au sens où l’on entend habituellement ce mot, ce qui pourrait expliquer les difficultés actuelles de notre humanité à réaliser collectivement sa transition vers l’Ère Nouvelle. Car il est écrit que cette Ère Nouvelle, dont certains nous avaient promis l’avènement avant la fin de l’année 2012, sera d’abord et avant tout l’Ère de l’Unité et de la Fraternité.
Sous cette apparente diversité, l’humanité ne comporterait en réalité que deux races !
Pour comprendre les événements auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés, il faut prendre en compte les aspects méconnus de notre histoire et se référer à certains textes apocryphes.
Ainsi, l’Évangile de Judas est un manuscrit en papyrus de vingt-six pages écrit dans un antique dialecte copte, le sahidique, et datant du IIIème ou du IVème siècle (entre l’an 220 et l’an 340 après J.C.). Il fait partie d'un codex d'une soixantaine de feuillets contenant aussi deux autres textes apocryphes : l'Épître de Pierre à Philippe et la Première Apocalypse de Jacques. Ce codex a été découvert en 1978, dans les sables du désert égyptien près d’Al Minya, et il est actuellement conservé à New-York.
Judas et son Évangile apocryphe
Dans cet Évangile, Jésus révèle à Judas des informations capitales qui ne pouvaient en leur temps être entendues que par ce dernier car il était son seul disciple à avoir reçu une initiation adaptée à ce niveau de compréhension. Judas était un Iscariote. Les Iscariotes constituaient une élite intellectuelle brillante, mais à l’intelligence froide et ils avaient la réputation d’être dépourvus d’amour altruiste et de compassion. Une partie de leur descendance participa plus tard à la création de la dynastie des Rothschild (alias Bauer), l'une des treize grandes familles régnantes qui se partagent aujourd'hui la gouvernance occulte de notre planète, et dont font également partie les Médicis, les Hanovre, les Habsbourg, les Plantagenet, les Bruce, les Rockefeller, les Romanov, les Sinclair, les Krupp, les Cavendish (alias Kennedy), dont l'héritier, John Fitzgerald, fut assassiné parce qu'il cherchait à échapper à leur contrôle, les Warburg, la plus puissante étant celle des Saxe-Cobourg-Gotha (alias Windsor).
Ces treize familles n'en constituent en réalité qu'une seule qui dirige secrètement la Terre depuis l'époque prébabylonienne. Les membres de ces dynasties possèdent tous dans leurs gènes, à des degrés divers, des particules d'ADN reptilien. Et ils appartiennent tous à la seconde lignée de notre humanité, celle qui est responsable de toutes les abominations qui continuent aujourd’hui à être perpétrées sur cette planète.
Même si leur règne touche à sa fin, ils persistent à vouloir imposer leur domination sur notre monde en pervertissant un maximum d’êtres nobles et désintéressés membres de la première lignée, la lignée originelle de notre humanité, afin de contrecarrer la montée du taux vibratoire de la planète et les ouvertures de conscience.
Mais de quelles "lignées" s’agit-il au juste ? Dans l’Évangile de Judas, Jésus enseigne qu’il existe deux sortes d’êtres humains, en réalité deux lignées humaines : « la grande génération sans Archontes au-dessus d’elle », c’est-à-dire la race antérieure à la prise de contrôle de notre dimension par sept puissants Esprits maléfiques d’essence reptilienne auxquels les Gnostiques ont attribué ce nom "d’Archontes" et « la génération perdue », c’est-à-dire la branche de l’humanité qu’ils ont réussi à manipuler pour introduire la dualité sur la Terre.
Les Archontes ont inspiré les mythologies et l’imagerie de nombreuses religions.
La génération adamique, ceux à qui l’archange Gabriel a accordé l’Esprit éternel et qui appartient par conséquent à « la grande génération sans Archontes » regagnera le Royaume dont elle est issue. Elle retrouvera sa source, toujours porteuse de son âme éternelle. Quant à la seconde génération, elle est, selon Judas, dépourvue d’âme immortelle, mais possède « un esprit à titre temporaire pour le service » reçu de l’archange Mikhaël.
Une forme d’intelligence plus mécanique aurait ainsi été accordée à cette seconde humanité pour un temps déterminé. Certains textes apocryphes auraient pour principal objet de nous informer de l’existence de cette double humanité et de ce double héritage qui est devenu le nôtre, et par conséquent de réfuter l’existence d’une race unique incluant un cercle d’êtres élus, des âmes obéissantes choisies par Dieu en récompense de leur strict respect de ses commandements.
Cette notion d’une double humanité a été relayée par certains chercheurs peu connus mais très en avance sur leur temps, comme le fut Boris Mouravieff, un historien russe extraordinairement intuitif du début du XXème siècle, spécialiste de l’ésotérisme chrétien, qui était enseignant à l’Université de Genève, et ami de Gurdjieff. Il a évoqué à maintes reprises l’existence de cette double humanité où certains seraient dotés d’une âme immortelle tandis que d’autres ne seraient que des sortes de robots, des entités organiques mimant l’activité de l’âme, dotées d’un intellect performant et acéré mais connecté directement à une âme-groupe d’essence reptilienne, alors que l’être humain "adamique" possède une âme individuelle.
http://www.erenouvelle.fr/archives/p15-5.html