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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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Archives
7 novembre 2013

La relation entre le Mind-Control et les abus rituels, par Ellen P. Lacter, Ph.D.

MIND CONTROL

(Article publié dans le livre 'Forensic Aspects of Dissociative Identity Disorder')

Traduction Mk-Polis  -

____________________________

 Les diverses organisations autant politiques que criminelles ont toujours compté sur les interrogatoires coercitifs ainsi que sur différentes méthodes de lavage de cerveau pour forcer l'ennemi/victimes à la soumission, de soutirer de l'information, d'endoctriner, et d'accroître une coopération. Aujourd'hui, ces techniques sont utilisées par des organisations politiques / militaires / de renseignement,espionnage / groupes racialistes radicaux / criminalité: pornographie, réseaux de prostitution, trafique de femmes et d'enfants, d'armes, de drogues...etc. Mais elles sont également utilisées par des sectes/cultes destructeurs. Les méthodes de "réforme de la pensée" utilisées par ces groupes comprennent l'intimidation, l'isolement social, l'endoctrinement spirituel, les menaces contre les victimes ou leur proches, la torture, le lavage de cerveau à travers l'influence sociale ou la privation des besoins fondamentaux comme le sommeil ou l'alimentation.

Des professionnels de la santé mentale et du droit, ayant travaillé avec des survivants de graves traumatismes, voient de plus en plus  de victimes ayant subit des tortures dont le but était la mise en place d'un contrôle mental discret ayant été "installé" de par un état de profonde dissociation (inconsciemment) et donc ces personnes étaient/sont manipulées à partir de leur inconscient, de cet état dissocié.

(Boyd , 1991; Coleman , 1994; Hersha , Hersha , Griffis , & Schwarz , 2001; Katchen & Sakheim , 1992; Keith , 1998; Marks, 1979; Neswald & Gould 1993 ; Neswald , Gould, et Graham- Costain , 1991; Noblitt & Perskin , 2000; Oksana , 2001; Ross , 2000; Ryder , 1992; Rutz , 2001; Sheflin & Opton , 1978; Smith , 1993; Weinstein , 1990)

La preuve de l'existence d'un contrôle mental secret a commencé à faire surface dans l'arène judiciaire avec par exemple ce dossier: Orlikow v US , 682 FS 77 (DDC 1988) (Mk-Ultra)

La liste suivante décrit 12 formes de contrôle mental, en commençant par le travail sur la pensée et la mémoire de la victime qui en a conscience, jusqu'aux formes les plus cachées/occultes dans lesquelles la victime n'a aucun souvenir de la mise en place de la programmation, c'est un contrôle qui va au-delà de la conscience. Ces différents niveaux de lavages de cerveau et de programmation mentale, du plus simple au plus complexe sont souvent utilisés de manière combinée, en particulier dans les abus rituels.

1/  Soumission à la terreur: gain de respect des bourreaux. La victime garde ses propres croyances et son identité/personnalité est préservée.

2/  Soumission volontaire: un enfant/adolescent maltraité aura en compensation des objets, de la drogue, de l'affection, du sexe, de la "liberté", etc... et il pourra choisir son abuseur.

3/  Syndrôme de Stockholm: terreur (l'agresseur nuit aux victimes ou menace avec violence la victime et sa famille), cela combiné à un isolement de tout soutient extérieur possible, souvent accompagné de mensonges concernant l'abandon de la victime par sa famille. Cela mène à une dépendance et une loyauté envers l'agresseur.

Le 23 août 1973, la "Sveriges Kreditbank" de Stockholm en Suède a été secouée par des tirs de mitraillettes. (1) "Un évadé de prison de 32 ans du nom de Jan-Erik Olsson a prit en otage dans la banque 4 employés pendant 131 heures, soit cinq jours et demi.... Plus tard les 4 victimes/otages ont témoigné de choses surprenantes qui ont été confirmées par les dires de nombreux autres victimes de prises d'otages dans les années suivantes. Même si les captifs n'étaient pas en mesure de l'expliquer, ils faisaient preuve d'un étrange rapprochement avec leurs ravisseurs, cherchant à s'identifier à eux et craignant même ceux qui cherchaient à les délivrer. Dans certains cas, ils ont témoigné en faveur des ravisseurs ou récolté des fonds pour leur défense juridique. C'est la ville ou était située la "Sveriges Kreditbank" qui a donné son nom à cette abérration mentale qu'est le "syndrôme de Stockholm".

4/  Endoctrinement spirituel: une personne psychologiquement faible ou dépendante est soumise à un leader charismatique qui prétend être spirituellement relié à une sorte de dieu, professant avoir été choisi pour une mission spirituelle et promettant le salut aux fidèles et la damnation éternelle aux non-adeptes.

5/  Lavage de cerveau par l'influence sociale: un individu se retrouve seul parmis des "convertis" au culte qui ne cesseront de professer les croyances du groupe, tandis que l'individu est isolé de sa famille et de ses activités hors culte.

6/  Lavage de cerveau à travers la privation des besoins essentiels: sommeil, nourriture, eau... cela combiné avec l'isolement social....

Ce système de lavage de cerveau est un processus d'endoctrinement qui a été utilisé chez certains prisonniers américains lors de la guerre de Corée (1950-1953). Le journaliste Edward Hunter a rapporté cela en 1951 sous le terme "réforme de la pensée" grâce à des programmes et des méthodes développées par les communistes chinois après la prise de contrôle de la Chine en 1949. Les communistes chinois tentaient de manipuler ainsi certains de leurs propres citoyens et certains prisonniers de guerre pour les amener à changer leurs croyances et convictions pour accepter comme vrai ce qu'ils considéraient auparavant comme faux. Leurs méthodes comprenaient la privation d'aliments, la privation de sommeil, l'isolement des victimes dans une cellule ou une petite pièce pendant un longue période de temps provoquant une crainte de la mort. Les convictions politiques, religieuses, sociales se conforment alors à celles des ravisseurs.

7/  Se voir soi-même comme complice ou mauvais: les abuseurs forcent les victimes à se retrouver en position de culpabilité en les forçant à commettre des actes répréhensibles.

8/  Des ordres/directives sont données pendant les abus, ce qui a pour but de convaincre la victime que cette même violence se reproduira si l'ordre/programmation est violée. "Rappellez-vous d'oublier", "Ne le dites pas".....Une fonction centrale du contrôle mental est de faire revivre, de répéter une torture physique et psychologique pour installer la programmation des conséquences qu'il y aurait s'il y avait violation de ces ordres/directives. La ré-expérimentation des tortures initiales passe souvent par des manifestations somatiques des blessures d'origines, tels que des echymoses ou des gonflements, mais pas au même degré que la lésion initiale.

9/  Programmation spirituelle: malédictions, alliances etc... rituels de sorcellerie visant à "attacher" des entités maléfiques (esprits des agresseurs et de démons) aux victimes dissociées afin de les harceler et de les contrôler durant leur vie entière. Les malédictions, les pactes, les sortilèges etc... sont utilisés pour rendre la personne mauvaise/malsaine, sorcière, malade physiquement ou mentalement , socialement isolée et dévalorisée, réduite à l'esclavage sexuel, utilisée comme assassin, ...etc.

10/  Conduite psychique: messages enregistrés qui tournent en boucle pendant des heures alors que la personne est dans un état de conscience altéré par le sommeil, par des électrochocs, par de la privation sensorielle, privation d'alimentation-eau-sommeil-oxygène, confinement et autres actes de torture. Cette méthodologie et été utilisée par Ewen Cameron dans les années 50. En 1997, la CIA a été poursuivi par un certain nombre d'anciens patients du Dr Cameron. Le tribunal canadien a statué en faveur des victimes qui ont enduré les tortures du Dr Cameron dans la recherche pour créer un Manchurian Candidate pour la CIA. Projet défendu par Allen Dulles, l'homme à l'origine de MK-Ultra.

Les électrochocs, selon le protocole du Dr Cameron (Emery, 1977):

- Première étape: le premier stade de l'amnésie électrochoc, le sujet perd une grande partie de sa mémoire récente. "Mais elle savait toujours où elle se trouvait, pourquoi elle était là et qui étaient les gens qui la traitaient." (J. Marks 1979. p135). C'est ce qu'on appelle garder votre "image espace-temps". Le sujet sait où il est, pourquoi il est là et il reconnaît les visages familiers. Les noms plus difficilement.

- Deuxième étape: Amnesia électrochoc, le sujet perd cette "image espace-temps" amis il est conscient de cette perte. Cette prise de conscience provoque une extrême anxiété. Le sujet veut se souvenir. À ce stade, il demande à plusieurs reprises: "Où suis-je ?", "Comment suis-je arrivé ici ?", "Pourquoi suis-je ici ?".

- Troisième étape: Dans cette dernière étape, le sujet devient étrangement calme. Toute l'anxiété précédente a disparu. À ce stade, le patient est transféré dans sa chambre, où un magnétophone placé près de son oreillé répètera en boucle une même commande durant des heures. Dans cet état, les victimes présentaient une incontinence urinaire et fécale.

Une grande partie de ces traitements inhumains semblent avoir pris naissance 50 ans plus tôt avec les expériences abusives de Pavlov avec des chiens.

11/  Manipulation machiavélique du monde psychique intérieur de l'enfant: exemple de processus: "Les cinq dernières étapes de la discipline" (Svali 1999)

La troisième étape: Ne plus avoir d'envie. L'enfant est placé dans une chambre avec ses jouets ou objets préférés. Un adulte entre dans la pièce et propose à l'enfant de jouer, cet adulte peut-être un ami, une tante, un parent ou un formateur/programmeur. L'enfant et l'adulte jouent donc ensemble selon l'imaginaire de l'enfant, ses rêves, ses désirs, ses secrets.... Cela sera reproduit à plusieurs reprises et la confiance de l'enfant sera gagnée. Ensuite l'enfant sera sévèrement puni dès qu'il voudra jouer/partager son imaginaire avec l'adulte. Cette étape est répétée de nombreuses fois au cours des années suivantes. Le but de ce traitement est de faire que l'enfant n'ai plus aucuns désirs intérieurs mais qu'il soit totalement tourné vers l'extérieur. En d'autres termes, l'enfant doit se tourner vers l'adulte pour recevoir les autorisations concernant tous les aspects de sa vie, y compris intérieurement. Cette étape détruit tous les endroits sûrs que l'enfant a pu créer intérieurement afin d'échapper aux horreurs qu'il subit. Cela crée également chez l'enfant le sentiment qu'il n'y a pas de véritable lieu (interne ou externe) ou il peut-être en sécurité, que la secte connaît tout ce qu'il pense. Les traitements de ce genre sont également utilisés pour créer de jeunes alters (personnalités) chez l'enfant qui rapporteront aux programmeurs les lieux de refuges intérieurs ou les sentiments cachés étant hostiles au culte. Ensuite commencera à être mis en place le système interne, avec lequel le culte manipulera et contrôlera la personne tout au long de sa vie.

12/  Contrôle mental basé sur le traumatisme: cela peut-être défini comme une torture systématique bloquant la capacité de la victime à prendre conscience du traitement infligé (douleur, terreur, drogue, privation sensorielle, sur-stimulation sensorielle, privation d'oxygène, froid, chaleur, stimulation cérébrale, état proche de la mort....) avec emploi de suggestions et/ou un conditionnement (avec des principes de modification du comportement bien établis) pour implanter des pensées, des directives et des perceptions dans l'inconscient, généralement dans de nouvelles identités dissociées induitent par les traumatismes, ce qui force la victime à agir, ressentir, penser ou percevoir les choses comme le souhaite le programmeur. L'objectif étant que la victime suive des directives sans en avoir conscience. Y compris le fait de faire effectuer des actes à la victime en violation flagrante avec ses principes moraux ou spirituels.

L'installation de ces programmes de contrôle mental repose sur la capacité de la victime à se dissocier, ce qui permet la création de nouvelles personnalités dormantes pouvant servir pour la programmation. Les enfants dissociés sont des "candidats" de premier choix pour la programmation. Les très jeunes enfants seront fractionnés/dissociés par une succession de traumas. Les abus extrêmes infligés aux jeunes enfants dans un cadre intra-familial ou est pratiqué le satanisme et la sorcellerie provoquera une dissociation. Les enfants dans ces cultes seront programmés en fonction du niveau de connaissance et de compréhension que les leader de la secte possèdent sur le contrôle mental. De nombreux survivants d'abus rituels rapportent que d'autres groupes criminels, politiques, militaires infiltrent leurs cultes familiaux afin d'accéder à ces enfants facilement programmables (car dissociés), ceci dans le but de les utiliser pour leurs propres intérêts, en donnant souvent de grosses sommes d'argent aux parents (ou une protection, du chantage.. etc).

Une fonction commune des méthodes de programmation est de répéter une torture physique et psychologique sur la victime pour installer un programme l'empêchant de parler de ce qu'elle subit (décrit plus haut). Les techniques les plus courantes étant de donner des directives/ordres lors des tortures et des états modifiés de conscience.

Le contrôle mental basé sur le traumatisme est nettement plus complexe, plus technologique dans ses méthodes d'installation. Il utilise les identités (personnalités) dissociées de l'individu pour construire des strates/couches psychologiques. Les personnalités sont habituellement programmées pour prendre le contrôle du corps en réponse à des signaux externes (signes de la main, tonalité, mots..etc..), puis de suivre des directives préalablement programmées avec une amnésie complète par la suite. Ceci est illustré par l'assassin programmé du film "The Manchurian Candidate" (1962).

Ces personnalités sont programmées pour être submergées d'anxiété et de pensées suicidaires si jamais elles commencent à prendre conscience de la programmation. Elles sont souvent programmées pour croire qu'il y a des explosifs implantés chirurgicalement dans leurs corps et que ceux-ci exploseront si elles violent les ordres ou commencent à se rappeller de la programmation, des actes traumatiques, ou de l'identité des programmeurs.

Dans ce genre de contrôle mental hautement sophistiqué, l'individu est programmé pour percevoir des structures inanimées dans son monde/paysage intérieur inconscient. Ces "structures" sont des représentations mentales d'objets, de bâtiments, de grilles, d'appareils de torture et autres.... contenant des commandes, des messages, des informations et des personnalités. Dans de nombreux cas, des murs sont également installés pour faire obstacle aux niveaux plus profonds de la programmation et des structures intérieures. Les personnalités inconscientes se percoivent elle-mêmes comme prises au piège ou liées à ces structures, à la fois visuellement (l'imagerie intérieure) mais aussi de façon somatique (en lien aux expériences de douleur, étouffement, électrochocs etc...).

Ces structures internes sont installées durant la petite enfance, généralement entre l'âge de 2 ans et 5 ans. Les tortures et les drogues sont utilisées au-delà de ce que peut endurer un alter/personnalité, ce qui entraine généralement chez l'enfant un état proche de la mort. Le but étant d'enfouir profondément dans l'incosncient toute la mémoire de l'événement, en-dessous du niveau de conscience de toutes les personnalités/alter. Lorsque le traitement conscient de l'information est bloqué, l'enfant n'a plus aucune résistance face au programmeur. Il ne peut pas rejeter ou critiquer quoi que ce soit, tout est accepté en totalité dans son inconscient mais avec aucun souvenir conscient et donc, aucune possibilité de traiter et de pouvoir rejeter tout cela par la suite.

L'enfant pourra être torturé sur un appareil, et la personnalité créée par ce processus se percevra alors elle-même prise au piège sur ces appareils. Un objet peut-être présenté à l'enfant, ou bien l'image de l'objet projetée sur son ou sur un écran. Le programmeur dit alors à l'enfant que ce dispositif ou objet est maintenant à l'intérieur de lui. L'esprit du petit enfant ne discerne pas facilement la réalité de l'imaginaire (Ce processus repose sur l'utilisation de la "pensée magique" chez l'enfant en bas-âge). L'enfant perçoit alors l'objet comme une structure à l'intérieur de lui, ensuite un code est installé afin que le programmeur puisse accéder par la suite à cette structure pour la modifier ou la supprimer.

Immédiatemment après que la structure soit installée, le programmeur ordonnera généralement à des alters (résultant de traumas) de se rendre dans les structures (par exemple: "allez dans la cage/grille), généralement, le programmeur installera aussi dans le monde intérieur de l'enfant des fils, des bombes, des boutons reset, afin d'empêcher que la structure soit retirée du monde intérieur.

Les programmations fonctionnent avec des "déclencheurs", des "codes d'accès", qui permettent au programmeur un accès facile aux personnalités/alters et aux structures internes afin de pouvoir les modifier ou récupérer de l'information si besoin est. Tout cela sans que la victime en ait conscience.

Les personnalités/alters piégés dans (ou sur) des structures internes obéissent à des directives tant qu'elles ne sont pas libérées de ces structures. Les fonctions préalablement programmées sont effectuées de manière inconsciente, ou avec une certaine conscience d'obligation de faire ou de ne pas faire quelque chose.

Ces types de programmations contrôlent les pensées et les actions de la personne pendant des décennies, généralement sans prise de conscience. Les survivants d'abus rituels commencent à récupérer des mémoires entre l'âge de 30 et 50 ans. Il faut généralement des années de plus avant que la victime devienne consciente de la programmation et de ses effets continus sur elle. Le libre arbitre, la détermination et la foi spirituelle profonde, ne sont généralement pas suffisant à eux seuls pour retrouver ces personnalités inexorablement prises au piège dans la programmation et les structures internes soigneusement cachées. Leur découverte nécessite souvent une aide extérieure pour aider le survivant à accéder à ces informations en toute sécurité. La programmation comprend généralement un système déclenchant une auto-destruction et une dégradation de la santé mentale lorsqu'il y a une tentative de déprogrammation. Trouver, désactiver et supprimer la programmation requiert de contourner habilement les conséquences négatives. Bien que la personnalité principale peut être déterminée à défier toutes ces conséquences, d'autres personnalités, piégées dans un programme complexe se percoivent elles-mêmes incapables de faire face aux conséquences négatives découlant d'une déprogrammation.

 La consultation d'experts en déprogrammation ayant une connaissance appronfondie des différents type de programmation a permit:

a)  La découverte des programmations enfouie dans l'inconscient.

b)  Les techniques pour esquiver les effets des programmations.

c)  La reconnaissance des "diversions" et des désinformations induitent dans la programmation.

 

Les objectifs d'une déprogrammation sont les suivants:

1-  Libérer toutes les personnalités contrôlées par la programmation, afin qu'elles puissent agir de leur plein grés:

a) Décider de ce qu'elles veulent être ou faire.

b) Quitter les lieux où se sont déroulés les traumatismes et abandonner les structures (intérieures) du programme.

c) Aller dans un lieu sécuritaire dans leur monde intérieur pour la guérison, et/ou acquérir une co-conscience avec les autres alters afin de les intégrer dans la personnalité principale.

2-  Retirer toutes les directives/injonctions et implants.

Le libre arbitre des alters/personnalités doit être respecté lors du processus de désactivation/suppression du programme.

Généralement, une déprogrammation est indispensable pour que la victime puisse couper définitivement tout contact avec le groupe/culte/secte.

 

Source  -  Traduction Mk-Polis

 

Bibliographie


Boyd, A. (1991). Blasphemous rumors: Is Satanic ritual abuse fact or fantasy? An investigation. London: HarperCollins.

Coleman, J. (1994). Satanic cult practices. In V. Sinason (Ed.), Treating survivors of satanic abuse (pp. 242-253). London, and New York, NY: Routledge.

Hassan, S. (1990). Combating cult mind control. Rochester, VT: Park Street Press.

Hersha, L., Hersha, C., Griffis, D., & Schwarz, T. (2001). Secret weapons: Two sisters' terrifying true story of sex, spies, and sabotage. Far Hills, New Jersey: New Horizon Press.


Katchen, M., & Sakheim, D. (1992). Satanic beliefs and practices. In D. K. Sakheim, & S. F. Devine, (Eds.), Out of Darkness: Exploring Satanism and Ritual Abuse. (pp. 21-43). New York: Lexington Books.

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Marks, J. (1979). The Search for the Manchurian Candidate: The CIA and mind control. New York: Times Books.

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