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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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22 février 2016

888 OU le Secret des Trois Octaves caché dans le labyrinthe de Collemaggio.

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La Basilique de Collemaggio est un exemple d’étude mathématique, à proprement parler, où le chiffre est à la base d’un jeu de symétries magiques bien précis, comme dans la tradition islamique ou la tradition chinoise.
L’édifice est parfaitement orienté. C’est une construction riche en références astrales et significations symboliques qui en font une des expressions les plus significatives de la culture médiévale la plus noble, celle que l’on retrouve dans la tradition ésotérique des Templiers ou des sectes initiant aux mystères de l’Orient et surtout du bassin méditerranéen. Chez les Égyptiens, les Grecs et les Romains, l’expression ésotérique fut tout particulièrement élevée et conduisit à la construction de nombreux temples sacrés de forme octogonale comme la tholos d’Épidaure (360 av J.-.C.), le temple d’Aristarque de Samos (320 av. J.-C.) ou d’autres plus récents et encore en fonction comme

Castel del Monte dans les Pouilles, où l’étoile à huit branches atteint sa plus grande expression symbolique.

Mais il convient de souligner que les figures géométriques constituées par l'octogone et par l’étoile à huit branches présentes dans les églises chrétiennes et islamiques ne se limitent pas à représenter un symbole mandalique, qui évoque le parcours du monde terrestre au monde céleste, un simple « dessin » tracé par terre ou sur des objets consacrés, avec des valeurs purement et exclusivement symboliques.
Elles ont en effet été conçues dans leur structure octogonale, car les maîtres bâtisseurs avaient pu constater – après l’avoir mise en pratique – que cette forme particulière favorisait réellement le contact direct entre le monde visible et le monde invisible. Elle devenait un « maillon de conjonction » effectif entre le ciel et la terre, entre le divin et l’humain, « un pont » qui, équilibrant les deux énergies différentes, permettait « l’échange énergétique ».




C’était la « clé », la combinaison secrète, pour ouvrir « le portail d’accès ».(3)

La puissante énergie électromagnétique qui se dégageait de ces temples montrait en effet des effets significatifs chez ceux qui étaient prédisposés et prêts à l’utiliser.

Ces sites, une fois énergisés et ouverts au culte, agissaient intérieurement sur quelques processus vitaux. Chez l’individu ou le groupe qui entrait en contact direct, des glandes endocrines spécifiques (voir chakras) étaient stimulées. Ainsi fortifiées et vivifiées, elles contribuaient à normaliser le processus vital et procuraient, presque toujours au niveau inconscient, une progressive régénération spirituelle.

Une fois trouvé un site capable d’amplifier les forces géomagnétiques (ley lines) comme dans la Basilique de Chartres en France, il fallait aussi que celui-ci soit riche en eaux souterraines et qu’il ait des caractéristiques vibrationnelles précises liées au magnétisme terrestre.

La Colline de Collemaggio à L’Aquila présentait ces caractéristiques, entre autres à cause de la présence d’un fleuve souterrain où coule une eau très pure et hautement énergétique, qui a montré à l’analyse qu’elle possédait les mêmes propriétés énergétiques et curatives que celle de Lourdes ou de Madjugorie. Ce lieu fut donc jugé adapté pour y ériger un Temple sacré et réaliser un Centre animique énergétique à l’avant-garde, synthèse des études et des recherches des meilleurs architectes, physiciens, mathématiciens et astrologues de l’époque et de maîtres comasques, initiés au très ancien Ars Regia.


Le sol est subdivisé en sept espaces, marqués par des lignes rouges, au-delà desquelles sont représentés 6 cercles concentriques qui forment Trois >888<.

La disposition des couloirs, la superposition chromatique du sol et la disposition des carreaux de pavements, qui changent de dessin et de forme à la fin de chaque série de colonnes orthogonales semblent redessiner et reprendre la disposition et la composition géologique du sous-sol avec les nappes phréatiques.

Sur le sol on dirait qu’un circuit a été imprimé sur la pierre, constamment activé par les courants énergétiques de la Terre. L’homme, en le traversant, forme avec sa position debout une antenne réceptrice et émettrice qui crée la bonne passerelle pour faire la liaison avec les vibrations cosmiques. S’il décide d’emprunter ce parcours énergétique, il peut ainsi s’acheminer vers un processus de purification progressif, en entrant dans un « écrin » qui dévoile un savoir millénaire.

Michele Proclamato, dans un article paru dans >Nuova Aquila< nous montre une photo du sol de Collemaggio, où, si on observe un peu plus attentivement, on voit apparaître « tridimensionnellement » des cubes, des tétraèdres et des losanges assemblés merveilleusement avec un effet bichromatique. Leur sens symbolique reste obscur encore aujourd’hui, surtout celui des «Trois Tours », dont deux Tours de Pise avec les mêmes caractéristiques d’inclinaison vers la tour centrale.

En effet, il a été réalisé à Collemaggio un système héliocentrique, capable de fonctionner à l’instar des supraconducteurs modernes – inventés pour transmettre des millions de données et d’images à la vitesse de la lumière – de façon à concentrer les énergies bio-psychiques de ceux qui comptent s’engager dans la voie de la recherche intérieure, en les aidant à se libérer progressivement des blocages qui les retiennent.



Les anciens bâtisseurs n’ont cependant pas opéré exclusivement en ingénieurs psycho-physiques expérimentés, mais aussi et surtout en « initiés à l'Art royal », confiant aux pierres du carrelage le plus grand message jamais donné à l’homme, celui exprimé par la quadrature du cercle.


Les losanges blancs et rouges qui se développent sur 5 rectangles (le 5 représente Marie) ont des proportions particulières, car chaque pierre peut être inscrite sur la surface donnée par deux cercles de la même superficie, avec le centre du deuxième qui se positionne sur la circonférence du premier, pour former le symbole de la « vescica piscis ».

L’étendue des losanges exprime donc l’idée que l’on traverse l'eau, en dominant les passions, que l’on marche sur un parcours de purification, où la losange, comme le carré, symbolise la matière, c’est-à-dire l’aspect des émotions et des sensations qui doivent être contrôlées et dirigées dans la bonne direction, affrontées et maîtrisées. Mais si ce contrôle n’est pas encore à notre portée en tant qu’êtres humains, il ne nous est pas permis d’aller au-delà et de dépasser le 5e niveau, le cinquième portail.

Ce n’est donc pas étonnant que le 5e niveau a été choisi pour mettre l'adepte devant le choixsi continuer ou s’arrêter et interrompre momentanément le parcours, en retournant en arrière à des niveaux soutenables pour son organisme et sa psyché.

Le > 5 < représente l'homme, mais en même temps il symbolise l'Univers, la Volonté divine, laquelle aspire uniquement à l’ordre et à la perfection. Le 5 est la moitié du >10< et exerce un rôle de médiation entre le ciel et la terre, le point où les énergies célestes se rencontrent et où se manifeste le 5e élément, l’éther, c’est-à-dire l’énergie divine.
Ce passage est signalé sur le sol à travers un usage précis des nombres et des formes. À la fin des cinq premiers niveaux, le dessin en losanges laisse la place à des croix rouges, égales à celles qui ornent la façade de la Basilique.

La croix symbolise l’union du ciel et de la terre, l’espoir de la rencontre entre la dimension de la matière (horizontale) et le ciel (verticale).

À Collemaggio cette rencontre est mise en évidence par la pose d’une pierre différente au centre de la partie avec les croix, où apparaît une croix-fleur, « un omphalos ». Les quatre côtés extérieurs ont une progression circulaire pour montrer que dans ce point-là la croix tourne et suit le mouvement de la Création sous la contrainte de forces opposées, rencontre-heurt qui induit justement la croix à tourner jusqu’à devenir > une croix gammée < et donc > un cercle < comme > les six < qui forment les TROIS>888<.

C’est la pierre philosophale des alchimistes, qui permet à la matière de se transformer, d’impure qu’elle était de devenir pure. Ce symbole très ancien a été placé, en connaissance de cause, juste au centre de la nef, au milieu de l’église, où sur le mur nord il y a « la Sainte Porte », le point de rencontre qui permet à l’homme d’aller > au-delà du cinquième niveau (le niveau terrestre) < au-delà de la limite déterminée par la dimension sur laquelle est ancrée notre conscience, en franchissant >le seuil < entre les deux dimensions.

L'omphalos signale à celui qui a décidé d’entreprendre un parcours évolutif que dans ce -là il vivra l’expérience d’une mort-renaissance. Il entrera directement >dans le suaire < pour ensuite ressusciter. Un suaire qui, au travers des croix, identiques à celles dessinées sur la façade, rappelle les nœuds de la partie centrale du lin sacré, conservé maintenant à Turin.


Le parcours initiatique

Dans ce un parcours initiatique on est introduit dans un milieu à hautes fréquences et faible magnétisme, où l’énergie polarisée des symboles et des dessins circule à travers 7 secteurs bien précis, délimités par 6 lignes distinctes et des symboles disséminés sur le sol. Elle stimule sept centres différents (voir chakras), ainsi est-on soumis à un flux énergétique progressif et de plus en plus intense dans les points névralgiques du corps, ce qui permet de prendre progressivement conscience et d’atteindre des états de plus en plus intenses et d’accéder au Labyrinthe formé par Trois >888< au bout de la nef. Là, en suivant un parcours marqué par une série de cercles concentriques, les centres moteurs sont portés au plus haut niveau énergétique supportable, après avoir tourné dans le centre horaire et anti-horaire, et on peut entrer en contact avec l’énergie au maximum de sa puissance.

Dans cette dernière phase, à travers la rencontre et l’échange énergétique entre le pôle positif et le pôle négatif que chaque individu (masculin et féminin) porte en soi – même si les rôles sont inversés - se réalise le >Rebis< la conjonction des contraires, la rencontre entre l’énergie solaire (feu - masculin) et l’énergie lunaire (eau - féminin), les noces mystiques du roi et de la reine, le mariage alchimique, de l’union duquel naîtra un fils, l’enfant intérieur (le puer aeternus, le Christ), la résurrection spirituelle de l’homme à partir de l’eau et du feu qui représente la perfection spirituelle atteinte par l’alchimiste à travers le Chemin du Grand Œuvre.[3]


Ayant atteint ce niveau maximum, celui qui doit être initié, étant chargé d’ « énergie primaire », allait inévitablement « en surrégime » et était donc invité à entrer dans le labyrinthe situé à droite, sous la première colonne (qui s’est écroulée pendant le tremblement de terre) devant la nef centrale, qui servait de chambre de compensation. Celui qui avait surmonté l’épreuve avait ainsi la possibilité de revenir au niveau énergétique que son système psychique et corporel pouvait supporter. Les cellules du postulant, si >les travaux rituels < s’étaient déroulés avec efficacité et une intensité particulière, avaient subi une profonde sollicitation et une accélération, qu’il fallait rééquilibrer et abaisser à des niveaux normaux, exactement comme dans le cas des immersions profondes et prolongées.

Le plongeur, s’il veut éviter l’embolie, doit en effet rester pendant un laps de temps plus ou moins long quelques mètres sous la surface de la mer.

Eh bien cette centrale d’accélération des cellules humaines, créée pour permettre à tous ceux qui, s’étant purifiés dans le cœur et dans l’esprit (v. Le Pardon), étaient prêts et disposés à recevoir ces énergies cosmiques particulières et très puissantes, a été pendant des siècles sciemment éteinte.



- Avant 1970 : le plafond a été abaissé ; les colonnes octogonales recouvertes ; le labyrinthe démonté et en partie masqué par le revêtement baroque qui recouvrait la colonne située au-dessus.
- En 2006, avec la publication des livres de M.G. Lopardi [2] et de M.Proclamato [5] sur le «
Secret des Trois Octaves » on a même tenté de recouvrir avec des panneaux de bois le dessin des > Trois huit< et le 7e champ.
- Jusqu’au 6 avril 2009 à 3h32 le Symbole des > Trois 888 < a continué à être délibérément caché par les bancs des fidèles.

- L’accès à la rivière souterraine a été bloqué et caché de manière à ce que personne ne puisse s’approcher et recueillir l’eau très pure qui à l’analyse semble montrer les mêmes propriétés énergétiques et curatives que celle de Lourdes ou de Madjugorie.

- Le Secret des > Trois 888 < visant à transformer « le carré de la matière dans le cercle de l’esprit », est resté, comme dans beaucoup de cathédrales gothiques, délibérément caché et oublié dans la pierre.

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NOTES :http://soscollemaggio.com/fr/component/content/article/162.html
[1] Prospero Calzolari:
Massoneria, Francescanesimo, Alchimia. (SeaR Edizioni).
[2] Maria Grazia Lopardi
I Templari ed il Colle Magico di Celestino. (Ediz. Barbera)
[3] Giannandrea Capecchi - Maria Grazia Lopardi:
Notre Dame di Collemaggio, Conoscenze e misteri degli antichi costruttori. (1e édit. Il Ternario, épuisée ;2e édit. Le Mediterranee.)
[4] Eddy Seferian
La Grande Opera. Ed. Anima
[5] Michelie Proclamato
Il segreto delle Tre Ottave (ed. MelchisedeK)
L'OTTAVA -La scienza degli Dei (ed. MelchisedeK)

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