Les médichlorelles sont des entités énergétiques subtiles, vivant en symbiose avec nous.
Les médichlorelles sont des entités énergétiques subtiles, vivant en symbiose avec nous. Nous leur apportons certains éléments nécessaires à leur existence, et, en échange, elles nous apportent, si nous en prenons la décision, une expansion de conscience. Elles résident dans les noyaux de nos atomes (bosons-U), donc dans nos cellules. Elles ont la «capacité de nous communiquer», de nous «relier», si nous parvenons à être à leur écoute. Les médichlorelles conservent la mémoire du vécu de tous les humains avec lesquels elles ont cohabité. Dés que nous prenons la décision de nous ouvrir à nous-même, plus nous expansons notre être, plus elles nous envahissent.
Maintien de notre cohérence :
Afin de donner une continuité, une cohérence à notre vie, il y a groupe de médichlorelles «maître», cohérent, chargé de structurer la totalité des médichlorelles. En cas de présence de plusieurs groupes différents de médichlorelles dans une même cellule, il peut y avoir dégénérescence, destruction de la cellule, par manque de cohérence. La réplication de ces cellules devient, dans le temps, anarchique. Les problèmes de dissociation, de dédoublement de personnalité, sont dus à la présence anarchique de 2 groupes «maîtres». Chaque groupe tentant de maintenir sa cohérence propre.
Moyens de communication et de locomotion :
La communication inter-médichlorelles, médichlorelles-corps physique, médichlorelles-monde externe, est réalisée à travers l’ensemble des systèmes énergétiques de notre être, de la terre et des univers. Le temps, pour ces entités, n’existe pas ; ils fonctionnent dans «l’événementiel». Elles sont simultanément dans plusieurs dimensions. La « circulation » des médichlorelles, d’être à être, de planète à planète, de dimension à dimension, s’effectue grâce aux « lignes du monde ». Ces lignes sont constituées par les systèmes énergétiques, qui sont l’essence de tout.
Transmission de la connaissance :
Nous remarquons souvent, que des personnes qui vivent ensembles depuis longtemps, finissent par « déteindre » l'un sur l'autre. Il y a, en effet, migration de médichlorelles d'une personne à l'autre, donc apports mutuels. De même, dans le cas de personnes effectuant un travail «énergétique » sincère et harmonieux, il y a transfert de médichlorelles de l'un à l'autre. D'où le fait, que l'on puisse présenter, après ce genre de travail, des gestes, des traits des personnes du groupe. L'enrichissement mutuel se réalise de façon accélérée.
Mémoire génétique :
Lors de la fécondation de l'ovule, il y a transfert de médichlorelles du père dans l'ovule, au moyen du spermatozoïde, l’ovule recélant déjà des groupes de médichlorelles de la mère. On parle de mémoire génétique. Ensuite, pendant la construction de l'embryon, il y a afflux de groupes de médichlorelles venant d'origines diverses, en fonction de leur travail à effectuer. A la naissance, l'enfant possède un certain quotta de médichlorelles. Ce quotta varie d'un enfant à l'autre, en fonction de la physiologie du bébé.
Mémoire de l’eau :
Les médichlorelles résident, dans notre dimension, au cœur de la structure du noyau des atomes. Elles ont des atomes de prédilection : hydrogène, carbone et silicium. Elles peuvent, bien sur, incarner d’autres atomes. Mais ces atomes sont toujours incarnés prioritairement, leur structure en est la cause. La majorité de ce qui existe, peut donc être incarné par des mémoires. Le vivant, comme l’inerte. Les médichlorelles peuvent s’incarner à n’importe quel moment, en fonction de leur nécessité. Les plantes, les objets, intègrent, sous certaines conditions intenses, ou de duré, des mémoires extérieures et inversement. Ce qui explique la « rémanence » de certains lieux. Les personnes sensibles se connectent aux objets, lieux, plantes aussi, et ressentent les événements qui les ont imprégné. L’homéopathie utilise ce principe. La plus grande prudence est toujours de mise quand on acquière des objets, maison, ayant déjà servi. Les mémoires médichlorelles) peuvent à tout moment intégrer nos atomes, et provoquer, si le transfert est important, des déséquilibres comportementaux. Le groupe de médichlorelles « maître » tentant l’intégration de cette arrivée massive, afin de créer un nouvel équilibre, une nouvelle cohérence qui ne correspond plus à ce que l’on était. Cela ressemble, dans un premier temps à une perte d’identité. Elle peut être fatale à notre santé mentale. Même processus dans les transfusions sanguines importantes.
Les enfants nouveaux :
Les enfants baptisés « indigos », ou autres enfants « nouveaux », sont en fait colonisés par une majorité de groupes de médichlorelles d'origines non terrestres. Ces enfants possèdent un taux de médichlorelles élevé, dès la naissance, leurs donnant des possibilités particulières, mais aussi une certaine instabilité, liée à leur manque de mémoire du vécu terrestre.
Doués, surdoués, génies…
Les gens doués, surdoués, les génies, sont le résultat d’une concentration importante, voir extraordinaire, de médichlorelles, ayant des mémoires dans des domaines spécialisés (musique, peinture, mécanique, inconnu, etc.) Cela donne à ces êtres un savoir important, qu’ils peuvent plus ou moins libérer, en fonction de leur contexte de vie. Il existe beaucoup plus de génies inconnus qu’on ne le pense. Tous n’ont pas besoins d’extérioriser leurs facultés. L’éducation, la société, la religion, font que ces êtres sont majoritairement étouffés.
Médiums :
Les médiums sont des êtres ayant établis une connexion importante, une communication très riche avec leurs médichlorelles. Ce qui leurs donnent un accès aux mémoires des autres êtres, les médichlorelles étant tous interconnectées. Elles vivent simultanément dans plusieurs dimensions. Le temps n’existant pas dans certaines dimensions, ils ont accès à tout l’évènementiel. Des évènements futurs existent dans d’autres dimensions, ils sont déjà réalisés. L’interconnexion des médichlorelles leur permet de ramener à la compréhension du médium, de façon plus ou moins exacte, l’évènementiel concernant certains groupes de médichlorelles incarnées dans des humains.
Processus d’incarnation :
Les médichlorelles conservent la mémoire des êtres qu’ils ont occupés avant nous. Les groupes de médichlorelles viennent simultanément d’humains différents. Des groupes de médichlorelles peuvent s’incarner à n’importe quel moment dans notre être, ou en partir, selon leurs nécessités. Cela explique pourquoi plusieurs personnes ont le souvenir d’avoir été incarnés en Napoléon, par exemple. Ou, le fait que l’on puisse avoir des souvenir de vie de personnes décédés, alors que l’on était déjà né. Cela explique aussi les êtres à personnalités multiples. En fait, il n’y a pas une seule âme se réincarnant de vie en vie, mais nous sommes constitués de la synergie des groupes de médichlorelles incarnées en nous. En fait, nous nous incarnons réellement qu’une seule fois, ici et maintenant. Mais nous sommes constitués de la somme des incarnations des groupes de médichlorelles qui nous habitent.
La réincarnation, le système de cause à effet :
Les médichlorelles n’ont d’autre objectif que d’enrichir leur vécu, à travers leur hôte. C’est un peut comme une nourriture pour elles, c’est pourquoi il leur est impératif de s’incarner, elles sont demandeuses. Notre ouverture, la qualité de notre système énergétique déterminent leur densité dans notre corps. Toute chose contient des médichlorelles. Il n’y a pas de dualité pour les médichlorelles, ni bien, ni mal, ni lumière, ni ombre. Elles sont. Elles représentent un quanta de mémoires. Ces mémoires combinées à leur système de perception/communication extrêmement sensible, en font l’essence même de ce que nous appelons « l’ouverture de conscience ». A un stade très avancé, nous percevons la reliance de tous les groupes de médichlorelles. Toutes les médichlorelles existantes sont interconnectées. C’est la « Connaissance ». La totalité des médichlorelles incarnées dans notre corps, forme une synergie, une intention. Cela ce traduit concrètement dans notre vie par un élan, qui nous pousse souvent, dès notre enfance, vers certains buts. Comme si nous devions, à travers notre vie, compléter un vaste puzzle. Nous n’existons réellement qu’une fois ! La, ou les missions, dont se sentent investis certains, sont générées par l’avidité de nos médichlorelles de se nourrir de notre vécu. Elles nous poussent littéralement à vivre tout ce que nous pouvons expérimenter. Cela nous donne l’impression de devoir comprendre, compléter des vécus que nous aurions eus dans d’autres vies. En fait, nous ne faisons qu’enrichir la mémoire de nos médichlorelles, nous la complétons. Nous n’existons qu’une seule fois, ici et maintenant. Il nous est donné une seule vie, précieuse, unique, destinée à être d’une richesse inouïe ! Seules, nos propres limitations, notre ignorance, nous empêchent ce contact avec les mémoires, avec cette somme d’expériences venant de tant d’êtres qui ont été incarnés par nos médichlorelles. A travers nos médichlorelles, nous pouvons, certains disposent, d’une richesse immense.
La mort :
Lors de notre mort, la totalité de nos médichlorelles nous quittent. Cela prend, selon les êtres, de quelques heures à quelques jours. Au début, la cohésion de nos groupes de médichlorelles est maintenue, d’où l’impression de toujours exister, d’être nous-même. Le fait que nos médichlorelles quittent notre corps donne cette impression de sortie du corps, impression maintenue tant que leur cohésion existe. La dissolution progressive de cette cohésion des médichlorelles, et le fait qu’elles changent progressivement de dimension, s’expriment par le tunnel de lumière perçu dans les NDE. Les NDE sont un redémarrage, souvent artificiel, des fonctions vitales. Le processus de dissolution des médichlorelles est alors inversé. Les médichlorelles ayant quitté le corps se réincarnent, attirant de ce fait, de nouveaux groupes de médichlorelles. Les personnes ayant vécu des NDE peuvent se trouver différentes, avoir de nouvelles connaissances ou aptitudes. Les NDE ne sont pas toujours aussi « lumineuses ». Quand les médichlorelles quittent le corps de façon trop brutale, on peut ressentir une impression de vide, d’angoisse, de néant. Au bout du compte, notre mémoire globale se dissous, des parcelles de notre vécu se réincarnent, à travers les groupes de médichlorelles, dans d’autres humains.
Les âmes errantes :
Suite à la désincarnation des médichlorelles, il existe un cas de figure ou le groupe de médichlorelles « maître » arrête le processus, et continue à maintenir une cohérence. A ce stade, la mémoire n’est plus dans le corps, mais elle conserve notre vécu, le sentiment de qui nous sommes. Le tout, en dehors du corps, dans une forme énergétique ténue, résidu de notre composante humaine. Notre conscience continue « d’être » dans une dimension intermédiaire. Notre expérience de vie continue, moins riche, mais tout de même tentante pour les médichlorelles restantes. La dimension dans laquelle elles se trouvent ne leurs posant aucun problème. Sous certaines conditions énergétiques, le processus de désincarnation peut reprendre, et conduire à la migration des médichlorelles.
Communication avec les morts :
Nous distinguons 2 types de communication post-mortem : celle avec les âmes errantes, celle avec les âmes qui ont passés le stade d’âme errante, et que le système de la réincarnation situe dans une autre dimension, en attente de réincarnation. La communication avec les âmes errantes ne pose pas de problème particulier, ces âmes sont toujours incarnées par des médichlorelles. Les médiums se connectent donc à leurs médichlorelles. Dans le système de la réincarnation, on stipule que des âmes, dans une autre dimension, se trouvent en attente de réincarnation. Des personnes sensibles peuvent donc communiquer avec ces âmes. Le problème est qu’alors que certaines âmes sont déjà réincarnées, des médiums continuent de communiquer avec elles, comme si elles ne l’étaient pas ! En cherchant, nous trouvons beaucoup de cas le confirmant, en particulier avec des personnages connus. Comment expliquer cette contradiction ? Lors de notre mort, au moment de la migration des groupes de médichlorelles, le groupe de médichlorelles « maître », quitte définitivement notre être et conserve sa cohésion. C’est le seul. C’est l’empreinte de ce que nous avons été ici et maintenant. Ce groupe a atteint son accomplissement, il ne se réincarnera plus. Ils rejoignent la Source, il s’intègre à elle. Son vécu, la cohérence de ce que nous étions sont conservés définitivement. Ce groupe de médichlorelles « maître » continue « d’être », intégré à la Source. Les parcelles de notre vécu continuent d’exister dans les autres médichlorelles, qui se sont incarnées, elles, dans d’autres atomes.
Conclusion :
Cette approche, prenant en compte l’existence d’entités intelligentes énergétiques, que sont les médichlorelles, propose une compréhension plus précise de notre existence. Elle apporte des réponses aux nombreuses questions, voir incohérences, qui sont liées au système de la réincarnation et du principe de cause à effet. Elle n’invalide nullement ces principes, mais les précise, les complémente. Les médichlorelles se réincarnent bien d’être à être, accumulant des vécus. Nous, ici et maintenant, sommes la somme des vécus de nos médichlorelles. Mais nous sommes uniques, nous ne nous incarnons en tant que ce que nous sommes, qu’une seule fois ! Notre expérience de cette vie sera dispersée à travers l’éparpillement de nos groupes de médichlorelles, qui s’incarneront dans plusieurs êtres. Notre vie est donc extrêmement précieuse, à nous de lui apporter la plus grande richesse d’expériences. Le passage du groupe de médichlorelles « maître » dans la « Source », est, en quelque sorte « l’ascension ».
merci à chantal Fée des roses pour m'avoir envoyé cet article
Frédéric.
* : Le terme « médichlorelles » est originaire de la saga « La Guerre des Etoiles ».
publié par Paprika
--------http://lumiweb.org-------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Auteur : Frédéric
http://archive.choix-realite.org/?447-principe-des-medichlorelles