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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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9 janvier 2014

MÉDECINE NOUVELLE GERMANIQUE® (GNM) pour mettre fin à la chimiothérapie .

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MÉDECINE NOUVELLE GERMANIQUE® (GNM) Le nouveau paradigme médical © Par Caroline Markolin, Ph.D., Vancouver, Canada PRÉSENTATION Le 18 août 1978, le docteur Ryke Geerd Hamer, à l'é poque chef interniste de la clinique d'oncologie de l'Université de Munich, en Allemagne, apprend un e terrible nouvelle : son fils Dirk a été atteint p ar une balle. Dirk meurt en décembre 1978. Quelques mo is plus tard, le docteur Hamer reçoit un diagnostic de cancer testiculaire. Comme il n'avait jamais été sérieusement malade, il pense immédiatement que son cancer est directement relié à la perte tragique de son fils. La mort de Dirk et sa propre expérience du cancer i ncitent le docteur Hamer à rechercher l'histoire personnelle des patients atteints de cancer. Il se rend compte rapidement que, comme lui, ils sont passés par une période de stress exceptionnel avant leur cancer. Cette observation concernant le lien entre l'esprit et le corps n'est pas surprenante. D e nombreuses études ont déjà montré que le cancer et d'autres maladies sont souvent précédés d'un évé nement traumatique. Mais la recherche du docteur Hamer franchit une étape supplémentaire déc isive. Prenant pour hypothèse que tous les événements physiques sont contrôlés par le cerveau, il entreprend d'analyser les scanographies cérébrales de ses patients et de les comparer à leu r histoire médicale. Le docteur Hamer découvre alors que chaque maladie – et pas seulement le canc er ! - est contrôlée à partir d'une aire spécifique du cerveau, et qu'elle a un lien avec un « choc con flictuel » identifiable et très précis. Le résultat de sa recherche a donné un tableau scientifique qui illus tre la relation biologique entre le psychisme et le cerveau en corrélation avec les organes et les tiss us du corps humain tout entier (on peut se procurer le Tableau scientifique de la GNM dans sa traductio n anglaise à la Librairie GNM du site internet www.LearningGNM.com) Les 5 lois biologiques de la Médecine Nouvelle : c'est le nom que le docteur Hamer a donné à ses découvertes, parce que ces lois biologiques, applicables à tous cas médical, proposent une compréhension entièrement nouvelle de la cause, du développement et du processus naturel de guérison des maladies. (En réaction au nombre crois sant de représentations dénaturées de ses découvertes, et pour préserver l'intégrité et l'aut henticité de son travail scientifique, le docteur H amer a maintenant protégé légalement l'ensemble de sa re cherche sous l'appellation German New Medicine ® (GNM), l'appellation «Médecine Nouvelle» ne pouvant pas être protégée internationalement par le copyright.) En 1981, le docteur Hamer présente ses découvertes à la Faculté de Médecine de l'université de Tübingen comme thèse postdoctorale. Mais jusqu'à au jourd'hui, l'université a refusé de vérifier la recherche du docteur Hamer malgré l'ordre des tribu naux. C'est un cas sans précédent dans l'histoire des universités. De la même façon, la médecine offi cielle refuse d'approuver ses découvertes malgré 30 vérifications scientifiques par des médecins ind épendants et par des associations professionnelles. Peu après que la soumission de sa thèse, on intime au Dr Hamer de renoncer à ses découvertes, sinon son contrat à la clinique universitaire ne se ra pas reconduit. En 1986, bien que son travail scientifique n'ait jamais été critiqué, encore moin s déclaré invalide, le docteur Hamer est dépouillé de son permis de pratiquer la médecine au motif qu'il refuse de se conformer aux principes de la médecine traditionnelle. Mais il est décidé à conti nuer son travail. En 1987, il est arrivé à étendre ses découvertes à presque toutes les maladies connues e n médecine. 2 Le Dr Hamer a été persécuté et poursuivi pendant pl us de 25 ans, en particulier par les autorités allemandes et françaises. Depuis 1997, le docteur H amer vit en exil en Espagne, où il poursuit ses recherches et où il continue à combattre pour la re connaissance officielle de sa « Médecine Nouvelle ». Mais tant que la Faculté de médecine de l'unive rsité de Tübingen continue ses tactiques dilatoires , les patients du monde entier ne pourront profiter d es découvertes révolutionnaires du docteur Hamer. L'ORIGINE DE LA MALADIE DANS LE CERVEAU Le docteur Hamer a établi que « toute maladie est c ausée par un choc conflictuel qui prend l'individu par surprise » (1ère loi biologique). En l'honneur de son fils, le docteur Hamer a donné le nom de « syndrome Dirk Hame r» (ou DHS) à cet événe ment soudain et générateur d'un stress intense. Sur le plan psychologique, un DHS est un é vénement très personnel conditionné par nos expériences passées, nos vulnérabilités, nos percep tions individuelles, nos valeurs et nos croyances. Mais, un DHS n'est pas que psychologique, il est pl utôt un conflit biologique qui doit être compris da ns le contexte de l'évolution.

Les animaux font l'expérience de ces chocs biologiq ues de façon concrète, par exemple, la perte soudaine de leur nid ou de leur territoire, la pert e d'un petit, la perte d'un partenaire ou la sépara tion du troupeau, une famine imprévue, ou la peur de mo urir. Comme avec le temps le psychisme humain a développé une pensée abstraite, nous pouvons auss i faire l'expérience de ces conflits biologiques dans leur version transposée. Par exemple, un homme peut souffrir d'un « conflit de perte de territoir e » quand il perd sa maison ou son emploi de façon im prévue; un « conflit territorial du nid », vécu pa r une femme, peut résulter d'un souci pour le bien-ê tre d'un membre de la famille ou d'un proche faisant partie du « nid »; un «conflit d'abandon» peut être déclenché par un divorce qu'on n'a pas vu venir ou par un transfert d'urgence à l'hôpital; le s enfants souffrent souvent d'un « conflit de sépar ation » quand la maman décide de retourner au travail ou quand les parents se séparent. En analysant des milliers de scanographies du cerve au (« CT scans ») mises en relation avec les histoires des patients, le doc teur Hamer a découvert qu'au moment où le DHS se produit, le choc touche u ne aire spécifique et prévisible du cerveau, causant une «lésion» visible sur la scanographie, sous la forme d'une série de cercles concentriques très nets (En 1989, Siemens, le manufacturier allemand des appareils de scanographi e, a certifié que ces formations en cercles n'étaient pas des artéfacts c ausés par l'équipement). Au moment du choc, les cellules cérébrales touchées transmettent le choc à l'organe correspondant, qui à son tour répond par u ne modification précise, et prévisible ! La raison pour laquelle des conflits spécifiques sont liés de façon indissoluble à des zones précises du cerveau est la suivante : durant notre évolution, chaque partie de notre cerveau a été pro grammée pour répondre instantanément aux conflits qui pouvaient menacer notre survie. Le «c erveau ancien» (tronc cérébral et cervelet) porte l es programmes touchant la survie de base, comme la res piration, l'alimentation ou la reproduction ; le «cerveau récent» (t élencéphale ) est relié à des thèmes plus évolués comme les con flits de territoire, les conflits de séparation, les conflits d'identité et les conflits de perte d'estime de soi. La recherche médicale du docteur Hamer est solideme nt ancrée dans la science de l'embryologie, parce que le fait que l'organe réponde à un conflit par la croissance d'une tumeur, par une nécrose du tissu ou par une perte fonctionnelle est déterminé par le feuillet embryonnaire dont à la fois l'organ e et la zone du cerveau correspondante tirent leur origi ne (3ème loi biologique).

3 Le Système ontogénétique des tumeurs de la GNM mont re que les organes contrôlés par le «cerveau ancien», qui dérivent de l'endoderme ou du mésoderm e du « cerveau ancien », comme les poumons, le foie, le côlon, la prostate, l'utérus, le derme, la plèvre, le péritoine, le péricarde, les glandes mammaires, etc... produisent toujours une multiplic ation cellulaire quand le conflit correspondant est déclenché. Les tumeurs de ces organes ne se dévelop pent donc que durant la phase active du conflit (mise en route par le DHS). Prenons comme exemple le cancer du poumon : le con flit biologique relié au cancer du poumon est le conflit de «peur de mourir», parce qu'en termes biologiques, la peur panique de la mort est l'équivalent de l'incapacité de respirer. Au moment du choc de la peur de mourir, les cellules des alvéoles pulmonaires, qui règlent la respiration, c ommencent instantanément à se multiplier et à former une tumeur au poumon. Contrairement à la pen sée conventionnelle, cette multiplication des cellules pulmonaires n'est pas un processus dénué d e signification, mais elle a un objectif biologique bien précis, qui est d'augmenter la capacité des po umons et ainsi d'optimiser les chances de survie de l'organisme. Les analyses de scanographies du cerve au faites par le docteur Hamer démontrent que toute personne qui a un cancer du poumon a une conf iguration en forme de cible bien définie dans la zone correspondante du tronc cérébral, et que chacu n de ces patients a subi une peur panique de mourir avant le début de son cancer. Dans la majori té des cas, la peur de mourir a été déclenchée par le choc d'un diagnostic de cancer que la personne a ressenti comme une « sentence de mort ». Comme le tabagisme est en décroissance, cette const atation projette une lumière nouvelle sur la mystérieuse augmentation du cancer du poumon (« le tueur numéro 1 ») et remet en question la responsabilité du fait de fumer comme cause intrins èque du cancer. Le cancer du tissu glandulaire du sein, selon les d écouvertes du docteur Hamer, est le résultat soit d'un conflit «mère-enfant» ou d'un «souci relatif a u partenaire».

Ces conflits touchent toujours le «cerveau ancien» dans une région qui contrôle les g landes qui sécrètent le lait maternel. Une femme peut subir un conflit de souci pour l'enfant lorsqu e celui-ci est subitement blessé ou tombe très malade. Durant la phase active du conflit, les cell ules de la glande mammaire se multiplient sans arrêt, formant une tumeur. La raison biologique de cette prolifération de cellules consiste à rendre l e sein capable de fournir plus de lait pour l'enfant souffrant et d'accélérer ainsi sa guérison. Chaque femme humaine et chaque animal femelle vient au mon de équipé de cette réponse programmée depuis des millénaires. Les nombreux cas étudiés pa r le docteur Hamer montrent que les femmes (même celles qui n'allaitent pas leur enfant) qui s 'inquiétaient de façon extrême et constante du bien - être d'un proche (un enfant en difficulté, un paren t malade, ou un ami dont on se soucie) développent une tumeur dans les glandes mammaires. 4 Ce qui a été dit sur le cancer du poumon et le canc er du sein s'applique également à tous les autres cancers qui ont leur origine dans le «cerveau ancie n». Chacun de ces cancers est déclenché par un choc conflictuel spécifique qui active un «Programm e biologique spécial bien-fondé» (5ème loi biologique) qui permet à l'organisme de se soustrai re au fonctionnement quotidien pour mettre toute son énergie à s'occuper de la situation urgente. P our chaque type de conflit, il existe un relais dan s le cerveau à partir duquel le programme biologique par ticulier est coordonné. Alors que les organes contrôlés par le « cerveau an cien » causent la croissance d'une tumeur, le contraire se produit dans le cas de tous les organe s contrôlés par le cerveau proprement dit («cerveau récent»). En ce qui a trait au feuillet embryonnair e, tous les organes et les tissus contrôlés par le cerveau récent (ovaires, testicules, os, ganglions lymphatiques, épiderme, revêtement du col de l'utérus, tubes bronchiques, coronaires, canaux int ra-glandulaires (ou galactophores), etc...) ont leu r origine dans l'ectoderme ou le mésoderme du «cervea u récent».

Au moment où le conflit se produit, le tissu correspondant de l'organe concerné répond par une dégénérescence cellulaire. Les nécroses de l'ovaire, ou du testicule, l'ostéoporose, le cancer des os, ou les ulcères d'estomac, par exemple, son t des maladies qui n'arrivent que lorsqu'une personne est dans un état de détresse émotionnelle causé par un conflit. Comme on peut s'y attendre, cette perte de tissu a une signification biologique. Prenons par exemple le tissu du revêtement des cana ux galactophores. Puisque l'épithélium pavimenteux qui recouvre ces canaux s'est développé beaucoup plus tard que les glandes sécrètent du sein, ce tissu plus récent est contrôlé par une partie plus récente du cerveau, soit le cortex cérébral. Le conflit biologique qui atteint le rev êtement des canaux galactophores est un «conflit de séparation», vécu ainsi : « Mon enfant (ou mon part enaire) a été arraché de mon sein ». Un mammifère femelle peut subir un tel conflit quand s on rejeton est perdu ou tué. En accord avec le réflexe naturel dans ce conflit, le tissu des canau x galactophores commence à s'ulcérer. Le but de cette perte de tissu est d'accroître le diamètre de s canaux, parce que ces canaux élargis permettent au lait devenu inutile de se drainer efficacement e t de ne pas congestionner le sein. Le cerveau de chaque femme comporte ce programme biologique. Puis que le sein féminin est, biologiquement parlant, synonyme de «prendre soin» et «nourrir», c 'est de cette façon que les femmes subissent ce conflit de séparation inattendue d'un être aimé don t elles ont pris soin. Il n'y a pas de symptômes physiques durant la phase active du conflit, except é pour une sensation occasionnelle de léger tiraillement dans le sein. LES DEUX PHASES DE LA MALADIE Le docteur Hamer a aussi découvert que si le confli t est résolu, la maladie se déroule en deux phases (2ème loi biologique). Durant la première phase, ou phase active du conflit, l'organisme entier est orienté vers la résolution du conflit. La modificat ion cellulaire se produit sur le plan physique, tan dis que le psychisme et le système nerveux autonome eux aussi essaient de gérer la situation inattendue. Mis en situation de stress (sympathicotonie), le ps ychisme devient totalement préoccupé par le conflit .

Les perturbations du sommeil et le manque d'appétit en sont les symptômes typiques. Biologiquement 5 parlant, ceci est vital, parce que l'attention fixé e sur le conflit et les heures supplémentaires de v eille fournissent les conditions requises pour passer à t ravers le conflit et le résoudre. La phase active d u conflit est aussi appelée la «phase froide». Parce que les vaisseaux sanguins se contractent en situation de stress, les symptômes typiques de l'ac tivité du conflit sont les extrémités froides (particulièrement les mains froides), les frissons, et les sueurs froides. L'intensité des symptômes dépend naturellement de l'intensité du conflit. Si une personne demeure dans cet état de conflit ac tif intense pendant une longue période, la maladie peut être fatale. Mais le Dr Hamer apporte la preuv e formelle qu'un organisme ne peut jamais mourir du cancer lui-même. Une personne peut mourir en rai son de complications mécaniques due à une tumeur, par exemple, lorsqu'un organe vital comme l e côlon ou les voies biliaires est obstrué, mais en aucun cas les cellules cancéreuses par elles-mêmes ne peuvent causer la mort. En Médecine Nouvelle Germanique, la distinction entre cancer «m alin» et «bénin» n'existe pas. Le terme «malin» est un concept artificiel (c'est le cas également d es marqueurs tumoraux) ; il indique seulement que l a reproduction active des cellules a dépassé une cert aine limite arbitraire. Si une personne meurt durant la phase active du con flit, c'est habituellement par perte d'énergie, per te de poids, privation de sommeil et épuisement émotio nnel et mental. Souvent, c'est un diagnostic de cancer dévastateur ou un pronostic négatif - «Vous avez 6 mois à vivre!» - qui amènent les patients atteints de cancer au désespoir. Désespérés, et pri vés de leur force vitale, ils dépérissent et finiss ent par mourir de cachexie, un processus atroce que les traitements conventionnels du cancer ne font qu'accélérer. Si le patient n'a pas commencé de traitement conven tionnel (spécialement la chimiothérapie ou la radiothérapie), la GNM a un taux de succès de 95 à 98%. Ironiquement, ces statistiques sur le taux de succès remarquable du Dr Hamer ont été fournies par les autorités elle-même. Quand le Dr Hamer a été arrêté en 1997 pour avoir donné des conseils mé dicaux à trois personnes sans permis de pratiquer la médecine, la police confisqua ses doss iers patients et les fit analyser. Par la suite, un procureur de la poursuite fut obligé d'admettre pen dant le procès qu'après 5 ans, 6000 des 6500 patients, atteints pour la plupart de cancer en pha se terminale, étaient toujours en vie. Avec un traitement conventionnel, ce taux est en général ex actement l'inverse.

Selon l'épidémiologiste et biostatisticien allemand Dr Ulrich Abel, « Le taux de succès de la plupart des chimiothérapies est consternant... Il n'y a aucune preuve scientifique de leur capacité à prolonger d'une façon significat ive la vie de patients souffrant des cancers les plus c ourants...La chimiothérapie pour les cancers malins trop développés pour la chirurgie, qui comptent pou r 80% de tous les cancers, est une poubelle scientifique. » (The Lancet, 1991) LE CORPS PEUT GUÉRIR DE LUI-MÊME La résolution du conflit signale le début de la 2èm e phase du programme biologique. Nos émotions et notre organisme passent immédiatement en mode guéri son, à l'aide du système nerveux végétatif qui bascule vers la « vagotonie ». Durant la phase de guérison, l'appétit revient, mais le patient est tr ès fatigué (il peut même avoir de la difficulté à sort ir du lit). Permettre à l'organisme de se reposer e t lui fournir des substances nutritives est essentiel qua nd le corps essaye de guérir. La 2ème phase est aussi appelée la «phase chaude», parce que durant c ette phase de vagotonie, les vaisseaux sanguins se dilatent, réchauffant les mains, les pieds et la peau. À la résolution du conflit, il y a aussi un changem ent instantané au niveau organique. La prolifératio n des cellules (croissance de la tumeur contrôlée par le «cerveau ancien») ou la perte cellulaire (perte de tissu contrôlée par le «cerveau récent») s'arrêt e immédiatement, et le processus de réparation approprié est mis en branle. Une zone qui s'est néc rosée ou ulcérée durant la phase active du conflit est alors réparée et reconstituée grâce à de nouvel les cellules. Ceci s'accompagne habituellement d'un gonflement douloureux, causé par l'œdème qui p rotège le tissu dans la phase de guérison. Les autres symptômes typiques de la réparation sont l'h ypersensibilité, les démangeaisons, les spasmes (si le tissu musculaire est en cause) et l'inflamma tion. Voici quelques exemples de «maladies» qui ne 6 se présentent qu'en phase de guérison : certains pr oblèmes de peau, les hémorroïdes, la laryngite, l'arthrite, l'athérosclérose, les problèmes de vess ie ou de rein, certaines maladies de foie et les infections (lire plus bas). Sur la base de l'observation de la multiplication d es cellules (mitose) et de la distinction standard entre tumeur « bénigne » et « maligne », la médecine conv entionnelle interprète la production naturelle des tissus en voie de guérison comme «maligne». En GNM , nous distinguons également deux types de tumeurs. Mais ces tumeurs ne sont pas divisées en « bonnes» et «mauvaises » ; elles sont plutôt classifiées selon le type de tissu et la partie du cerveau dont elles sont originaires et qui les cont rôle. Il y a des tumeurs qui ne se développent que durant la phase active du conflit (tumeurs du poumon, du côlon, du foie, de l'utérus, de la prostate, etc... ), et inversement, celles qui résultent d'un proces sus de guérison naturel. Comme dans les cancers contrôlés par le «cerveau ancien», la croissance de la tumeur n'est ni accidentelle ni irrationnelle, puis que la prolifération des cellules s'arrête aussitôt que le tissu est réparé.

Le cancer testiculaire et le canc er ovarien, les lymphomes, le lymphome non hodgkinien, différents types de sarcomes, le cancer bronchique, le cancer du larynx, et le cancer du cerveau sont tous de nature curative et ne se prése ntent que durant la phase de guérison. Pourvu que le processus de guérison ne soit pas stoppé par la médication ou une reprise du conflit, ces tumeurs vont se décomposer à la fin de la phase de guérison . Le second type de cancer du sein, le « cancer des c anaux intra-glandulaires » (DCIS), fait aussi parti e de cette catégorie. Alors que le cancer de la gland e mammaire indique que la femme est dans la phase active d'un «conflit de souci », le cancer de s canaux intra-glandulaires (galactophores) est un signe positif qui indique que le conflit de séparat ion en cause (« arraché de mon sein ») a été résolu . Une femme ne développe pas un cancer du sein sans r aison ! Ce n'est pas non plus une coïncidence que ce soit précisément dans le sein droit ou le se in gauche. LA SIGNIFICATION DE LA LATÉRALITÉ BIOLOGIQUE Le Dr Hamer a trouvé que notre latéralité détermine si une maladie, comme le cancer, se développe du côté droit ou gauche du corps. Voici la règle : une personne droitière répond à un conflit avec sa mère ou son enfant dans le côté gauche du corps, ma is si le conflit a rapport à un « partenaire », par exemple le père, un frère ou une sœur, un membre de la famille élargie, un ami ou un collègue, etc... c’est le côté droit qui répond. Pour les gauchers, c'est le contraire qui se produit. Il y a toujours une relation croisée entre le cerveau et le corps, parc e que chaque hémisphère du cerveau (excluant le tronc cérébral) contrôle le côté opposé du corps. La façon la plus simple d'identifier la latéralité biologique est le test de l'applaudissement. La mai n qui se trouve au-dessus de l'autre est la main dominant e et indique si nous sommes droitiers ou gauchers. Ainsi, un cancer du sein droit, un kyste ovarien dans l'ovaire gauche, un problème de peau sur la partie droite ou gauche du corps (ou les deu x), une paralysie du côté gauche (par exemple après un AVC) nous donne une première indication de «qui» était en cause lors du début du conflit. En ce qui concerne les conflits plus avancés (et le urs zones correspondantes dans le cerveau), le statut hormonal doit aussi être pris en compte pour une évaluation exacte. LE RÔLE BÉNÉFIQUE DES MICROBES Un autre aspect de la recherche du Dr Hamer a porté sur le rôle des microbes durant le développement de la maladie. Voici en bref ce qu'il a découvert (4ème loi biologique): les microbes, comme les champignons, les bactéries et les virus n e sont actifs que durant la phase de guérison, et la façon dont ils agissent est totalement en accord avec la logique de l'évolution. Les bactéries de l a tuberculose, par exemple, ne colonisent que les tis sus contrôlés par le «cerveau ancien».

Leur fonction durant la phase de réparation est de décom poser les tumeurs qui sont devenues inutiles, comme les tumeurs du poumon, du côlon, du rein, de la prostate, de l'utérus, de la glande mammaire, les mélanomes, et les mésothéliomes. Les bactéries tuberculeuses sont essentielles pour détruire 7 l'accumulation de «cellules jetables» qui ont proli féré pour une raison biologique durant la phase active du conflit. Si les bactéries requises ne son t pas disponibles, en raison de la vaccination, de l'usage excessif d'antibiotiques ou à la suite d'un traitement de chimiothérapie, la tumeur ne peut êt re désintégrée de façon adéquate. Par conséquent, elle demeure en place et s'encapsule de façon inoffensive. Mais si elle est détectée par un exame n de routine, cette tumeur encapsulée peut conduire à un diagnostic de «cancer» et éventuellem ent à des chocs conflictuels, amenant de nouveaux symptômes. En comprenant les lois biologiq ues du développement de la maladie, cette éventualité peut être éliminée à toute fin pratique . Alors que les bactéries détruisent les cellules dev enues inutiles, les virus semblent participer au processus de guérison des tissus contrôlés exclusiv ement par le cortex cérébral (les bronches, la muqueuse nasale, la muqueuse de l'estomac, des cana ux biliaires, et l'épiderme). L'hépatite, la pneumonie, l'herpès, l'influenza, et la gastro-enté rite indiquent qu'un processus de guérison «virulen t» mais naturel est à l'œuvre. En ce qui concerne le r ôle des virus, le Dr Hamer préfère parler de «virus hypothétiques» depuis que leur existence a été remi se en question récemment. Ceci serait en accord avec les découvertes précédentes du Dr Hamer, qui m ontrent que les processus de reconstruction et de restauration du tissu ulcéré ou nécrosé se produ isent même si les virus correspondant au tissu ne sont pas présents.

Le dilemme dans lequel se trouve la médecine conven tionnelle est qu'en omettant de reconnaître le modèle biphasique de toute maladie, on ignore souve nt la première phase de conflit actif. Comme les microbes ne sont actifs que durant la phase de guér ison, et comme l'activité des microbes est typiquement accompagnée d'œdème, de fièvre, de pus, de sécrétions et de douleur, les microbes sont considérés comme nuisibles et considérés comme la cause des maladies infectieuses. Mais les microbes ne causent pas la maladie. Après tout, c'e st notre organisme qui utilise les microbes pour optimiser le processus de guérison. Les microbes pe uvent bien sûr être transmis, mais ils restent latents tant que la personne n'est pas en phase de guérison d'un conflit de même type. LES MÉTASTASES EN QUESTION En accord avec le « Système ontogénétique des tumeu rs » de la GNM, la théorie très répandue des métastases qui suggère que les cellules cancéreuses empruntent les vaisseaux sanguins ou lymphatiques et causent des cancers dans d'autres p arties du corps, est selon les mots du Dr Hamer une «pure fiction académique». Les cellules en géné ral, et les cellules cancéreuses en particulier, ne peuvent en aucun cas changer leur structure histolo gique et franchir le seuil des feuillets embryonnaires. Par exemple, une cellule de tumeur d u poumon, qui est d'origine endodermique, contrôlée par le tronc cérébral («cerveau ancien»), et qui prolifère durant la phase active du conflit ne peut se transformer en cellule osseuse, qui est d'o rigine mésodermique, contrôlée par le cerveau proprement dit («cerveau récent»), et qui se détéri ore durant le processus de décalcification de la phase active du conflit. Dans le scénario du «canc er du poumon qui fait des métastases dans les os», les cellules du cancer du poumon devraient fai re un trou (c'est-à-dire une perte de cellules!, le contraire d'un cancer) dans un os quelconque du cor ps. Nous devons aussi nous demander pourquoi les cellules cancéreuses «se propagent» rarement au x tissus adjacents, par exemple de l'utérus au col de l'utérus. Si les cellules cancéreuses se rép andent via la circulation sanguine, pourquoi les do ns de sang ne sont-ils pas testés pour dépister les ce llules cancéreuses ? Pourquoi ne trouve-t-on pas une multitude de tumeurs dans les parois des vaisse aux sanguins des patients cancéreux ? Il y a deux ans, le 19 août 2004, le journal canadi en Globe and Mail a publié un article intitulé «La recherche d'un test sanguin pour le cancer du sein» , qui contient ces affirmations révélatrices : « La chasse aux cellules cancéreuses dans la circulation sanguine a duré 10 ans... » et, « jusqu'à récemment aucune technologie fiable n'existait pour trouver une cellule cancéreuse parmi les millions de globules rouges et de lymphocytes contenus dans un seul échantillon de sang humain. » À part le fait que la «chasse» est loin d'être finie (comme l 'article le souligne), est-ce que ceci n'implique p as 8 qu'avec cette hypothèse des «métastases», on a mal renseigné le public, et qu'on a terrorisé des millions de patients cancéreux pendant plus de 40 a ns ? Bien sûr, le Dr Hamer ne conteste pas l'existence d es cancers secondaires, mais ces tumeurs subséquentes ne sont pas causées par des cellules c ancéreuses vagabondes qui se transforment miraculeusement en un type différent de cellules, m ais plutôt par de nouveaux chocs conflictuels.

De nouveaux DHS peuvent être causés par de nouvelles e xpériences traumatisantes ou par des chocs dus au diagnostic. Comme mentionné plus tôt, un dia gnostic de cancer inattendu, ou le fait d'entendre qu'il est en train de faire des métastases, peut dé clencher une peur de la mort (qui cause le cancer d u poumon) ou tout autre type de choc relié au diagnos tic, causant à son tour de nouveaux cancers dans d'autres parties du corps. Dans bien des cas, ces p atients ne se rendent pas jusqu'en phase de guérison, parce le stress intense qu'ils ressentent les affaiblit à un point tel qu'ils ont très peu d e chances de survivre au traitement très toxique reçu en chimiothérapie. Le deuxième cancer le plus répandu après le cancer du poumon est le cancer des os. Le Dr Hamer a trouvé que nos os sont liés biologiquement à notre estime de nous-mêmes et à la perception de notre valeur. Lorsqu'on nous dit que nous avons une « mal adie potentiellement mortelle », spécialement une maladie qui «se répand comme un feu de brousse» dans tout le corps, cette annonce est synonyme de : « Je suis devenu inutile », et l'os ( ou les os) à proximité de l'endroit qui est visé pa r ce sentiment d'« inutilité » commence à se décalcifier (dans le cas du cancer du sein, c'est souvent dans la zone du sternum ou des côtes). Tout comme pour les os fracturés, le but du programme biologique (de la «maladie») apparaît à la fin de l a phase de guérison. Quand cette phase est achevée, l'os sera beaucoup plus solide à cet endro it, faisant en sorte que nous soyons mieux équipés dans l'éventualité d'un nouveau «conflit de dévalorisation de soi». LA NATURE DES TUMEURS CÉRÉBRALES Une fois que le conflit a été résolu, la lésion cér ébrale – en même temps que le psychisme et l'organe – entre aussi en phase de guérison. Comme pour tout e blessure qui est en cours de réparation, un œdème (une surabondance de liquide séreux) se dével oppe pour fournir une protection au tissu nerveux qui est en train de récupérer. Sur la scano graphie cérébrale, les changements sont clairement perceptibles : les cercles concentriques en forme de cible sont noyés par l'œdème et ont maintenant une apparence diffuse, indistincte, et u ne couleur foncée. Au point culminant de la phase de guérison, quand l 'œdème du cerveau a atteint son volume maximal, le cerveau déclenche une poussée forte et brève qui chasse l'œdème. Dans la terminologie de la GNM, cette inversion des commandes est appelé e la «crise épileptoïde» (EC). Durant cette crise, l'organisme entier est propulsé dans un état de sympathicotonie, c'est-à-dire qu'il revit les symptômes typiques de la phase active du conflit co mme les sueurs froides, les extrémités froides, des battements cardiaques rapides, et la nausée. L' intensité et la durée de cette crise préprogrammée est déterminée par l'intensité et la durée du confl it qui a précédé. Les crises cardiaques, les AVC, les crises d'asthme, et les crises d'épilepsie ne sont que quelques exemples de ce point tournant crucial. Le type de «crise» dépend toujours de la nature du conflit et de la zone cérébrale qui est concernée. Après la réduction de l'œdème, les névroglies (du t issu conjonctif cérébral qui fournit le support structurel aux neurones) affluent sur le site pour restaurer la fonction des cellules nerveuses affect ées par le choc conflictuel (DHS). C'est cette accumula tion naturelle de glie que la médecine conventionnelle appelle «tumeur cérébrale», avec de s conséquences souvent terribles pour le patient. Le Dr Hamer avait déjà établi en 1981 que la tumeur cérébrale n'est pas une maladie en soi, mais un symptôme de la phase de guérison qui se poursuit pa rallèlement dans l'organe (contrôlée depuis la partie du cerveau correspondante qui est simultaném ent en cours de réparation). Il s'ensuit que les « cancers métastatiques du cerveau » n'existent pas n on plus.

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