24 janvier 2014
Otis reçut un enseignement de Nicolas Tesla pour concevoir un appareil antigravitationnel
Otis Carr au centre
Otis fit la connaissance du solitaire Tesla dans l'hôtel où il résidait. Tesla adorait nourrir les pigeons de New York et demanda un jour à Otis, alors étudiant en art et travaillant dans l'hôtel, d'aller lui acheter deux kilos de cacahuètes non salées. Pendant, trois ans, après chaque livraison des cacahuètes, Otis reçut un enseignement de Tesla. Il devint ainsi inventeur de générateurs à Energie Libre.
En 1947, Carr avait terminé ses recherches sur un véhicule volant (ressemblant au disque à lévitation de Searl). Il a essayé d’intéresser des services gouvernementaux et des universités, en vain car ils étaient tous davantage axés sur la fission atomique. Comme beaucoup d’autres inventeurs, il s’est orienté vers l’aspect éducatif et récréatif de son œuvre. Il a déposé un brevet (n° 2.912.244) d’appareil – jouet qui reflète très fidèlement les proportions et la conception de son véhicule volant à antigravitation. Le principe de fonctionnement énoncé par Carr était que " tout véhicule accéléré vers un axe par rapport à sa masse inertielle d’attraction devient immédiatement activé par l’énergie de l’espace et agit comme une force indépendante."
Otis fit la connaissance du solitaire Tesla dans l'hôtel où il résidait. Tesla adorait nourrir les pigeons de New York et demanda un jour à Otis, alors étudiant en art et travaillant dans l'hôtel, d'aller lui acheter deux kilos de cacahuètes non salées. Pendant, trois ans, après chaque livraison des cacahuètes, Otis reçut un enseignement de Tesla. Il devint ainsi inventeur de générateurs à Energie Libre.
En 1947, Carr avait terminé ses recherches sur un véhicule volant (ressemblant au disque à lévitation de Searl). Il a essayé d’intéresser des services gouvernementaux et des universités, en vain car ils étaient tous davantage axés sur la fission atomique. Comme beaucoup d’autres inventeurs, il s’est orienté vers l’aspect éducatif et récréatif de son œuvre. Il a déposé un brevet (n° 2.912.244) d’appareil – jouet qui reflète très fidèlement les proportions et la conception de son véhicule volant à antigravitation. Le principe de fonctionnement énoncé par Carr était que " tout véhicule accéléré vers un axe par rapport à sa masse inertielle d’attraction devient immédiatement activé par l’énergie de l’espace et agit comme une force indépendante."
Un schéma du brevet de Otis T. Carr
Carr se serait inspiré de la fin du brevet anglais n° 300.311 de T.T. Brown en transformant le moteur cylindrique en un moteur bicônique créant spécialement autour de lui un champ non uniforme grâce à sa forme combinée avec sa rotation. Il a placé au centre un autre bicône plus gros qui pouvait servir à donner une énergie locale et aussi à créer un autre champ non uniforme au centre. Bien que confirmées, les affirmations de Carr n’expliquent pas l’échange et l’extrême polarisation qui se produit entre le disque de fer à segments et les électroaimants du pourtour qui donnent une annulation du champ gravitationnel et permettent un vol antigravitationnel.
Disque volant de Otis T. Carr
Dans le disque de Carr se trouve un composant clé, le Utron, constitué de condensateurs métalliques en rotation dont la forme est inhabituelle, carrée dans un plan et ronde dans un autre plan à 90 °. Cet Utron a la même fonction - composant inductif rotatif à haute vitesse - que les plaques d’acier à segments de Searl.
Cette utilisation d’un composant condensateur en rotation planétaire muni d’une capacité de stockage de charge mesurable et à vitesses périphériques élevées est intéressante.
Dans le disque de Searl comme dans celui de Carr, la charge accumulée provenant de l’élément en rotation est déchargée dans des électroaimants sur le pourtour du disque. Sur le disque de Carr, la zone plate contient des réserves de condensateurs uniformes qui font osciller les charges reçues par les aimants des bords.
L’ajout de l’Utron de Carr paraît améliorer la technologie antigravitationnelle de base de Searl, les deux en obtenant ainsi une crédibilité renforcée. La fonction du condensateur améliore la sortie à sur-unité de ces appareils.
D’autres similarités ont été remarquées entre le fond du disque à 7 côtés et l’antenne à 7 pôles des installations militaires US en Nouvelle-Zélande (voir Bruce Cathie). Pour mémoire, il existait un projet antigravitation américain (pas le disque AVRO). Le disque trouvé par le fermier Royal Douglas près de Horseheads , N.Y, en 1950, était probablement un appareil d’essai de source d’énergie, même si il a été dit qu’il s’agissait de l’œuvre de gamins de dix ans. Libre à chacun de croire qu’ils auraient pu réaliser cet appareil dans les années 50 à l’aide de principes mathématiques publiés dansScientific Americanen 1984 !
http://www.rexresearch.com/carr/1carr.htm
Cette utilisation d’un composant condensateur en rotation planétaire muni d’une capacité de stockage de charge mesurable et à vitesses périphériques élevées est intéressante.
Dans le disque de Searl comme dans celui de Carr, la charge accumulée provenant de l’élément en rotation est déchargée dans des électroaimants sur le pourtour du disque. Sur le disque de Carr, la zone plate contient des réserves de condensateurs uniformes qui font osciller les charges reçues par les aimants des bords.
L’ajout de l’Utron de Carr paraît améliorer la technologie antigravitationnelle de base de Searl, les deux en obtenant ainsi une crédibilité renforcée. La fonction du condensateur améliore la sortie à sur-unité de ces appareils.
D’autres similarités ont été remarquées entre le fond du disque à 7 côtés et l’antenne à 7 pôles des installations militaires US en Nouvelle-Zélande (voir Bruce Cathie). Pour mémoire, il existait un projet antigravitation américain (pas le disque AVRO). Le disque trouvé par le fermier Royal Douglas près de Horseheads , N.Y, en 1950, était probablement un appareil d’essai de source d’énergie, même si il a été dit qu’il s’agissait de l’œuvre de gamins de dix ans. Libre à chacun de croire qu’ils auraient pu réaliser cet appareil dans les années 50 à l’aide de principes mathématiques publiés dansScientific Americanen 1984 !
http://www.rexresearch.com/carr/1carr.htm
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