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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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Archives
24 février 2014

L'Ahnenerbe forteresse SS magique, sur le modèle des Burgs Teutoniques

gihitlerDroite

En 1933, Adolf Hitler arrive au pouvoir en Allemagne et fonde le IIIème Reich Allemand. Sa politique raciale, ses désirs d'expension territoriale, ses rêves de conquête et d'extermination de peuples qu'il juge inférieurs vont conduire l'Allemange, en 1939, à déclencher la Seconde Guerre Mondiale. Celle-ci verra s'affronter pendant 6 années les forces de l'Axe (Allemagne, Italie et Japon) aux forces des Alliés (USA, Grande Bretagne, France, …).

En 1945, enfin vaincue, l'Allemagne capitule et Hitler se suicide dans son bunker de Berlin. La seconde Guerre Mondiale aura causé la perte de 60 millions de personnes, et la politique raciale nazie a conduit à l'extermination massive de 12 millions de personnes, dont 6 millions de Juifs.


Rassemblement Nazi à Strasbourg en 1941 pour célébrer
le retour de l'Alsace et de la Lorraine dans le Reich allemand.
Les deux pays se sont disputés ces provinces frontalières en 1870, 1914 et 1939.


Depuis des décennies, les fantasmes et les spéculations de toutes sortes vont bon train sur les armes secrètes que le IIIème Reich aurait développé pendant cette période afin de s'assurer la victoire finale. Si certains projets sont aujourd'hui avérés, d'autres, qui semblent plus farfelus et qui relèvent souvent de la science-fiction, sont pourtant décrits avec force détail dans certains livres et sur Internet. L'iconographie du domaine réputé public abonde aussi dans ce sens et l'on trouve énormément de documents, prétenduement d'origine nazie, qui illustrent ces thèses.

Parmi les armes secrètes nazies les plus célèbres, on trouve notamment les V1 et V2, véritables missiles balistiques de l'époque, ces avions sans pilote emmenaient des charges explosives de plusieurs centaines de kilos à des distances allant jusqu'à plusieurs centaines de kilomètres.

 

 

Vue d'un V2 prêt à être installé sur sa rampe de lancement. Les Allemands tirèrent quelques V2 sur Londres, depuis la France occupée en 1944, qui firent énormément de dégâts physiques et psychologiques. Heureusement, ces armes, encore lentes, étaient parfois interceptées par l'aviation alliée.


Il y a aussi des projets avérés de chars d'assaut aux dimensions proprement ahurissantes, le Maus E100 (qui pesait 100 tonnes) et le Ratte P1000 (qui pesait... 1000 tonnes !).

Un Maus E100 inspecté par les troupes alliées, probablement abandonné par son équipage, Les Allemands compensaient l'inexpérience de l'équipage par la qualité du matériel, et inversement. On trouvait donc des vétérans avec du matériel obsolète, et des recrues avec un matériel flambant neuf... ces derniers ne savaient donc pas tirer plein profit de la qualité de leur équipement...


Le Ratte P1000 ici en vue d'artiste. Le Pz IV en version approvisionnement de munitions ainsi que les personnages donnent une idée
des dimensions titanesques de cet engin.

 
Développé sur le concept de Landkreuser (croiseur terrestre, concept hérité de la Première Guerre Mondiale), le P1000 devait recevoir une variété d'armes telles que deux canons de 280mm, arme utilisée dans la marine sur le Scharnhorst et le Gneisenau, montés dans une tourelle mobile aux dimensions similaires à celle des navires de guerre, un canon de 128mm antichar, huit canons de 20mm antiaériens, et deux canons Mauser MG 151/15 de 15mm pour sa défense rapprochée ainsi que plusieurs mitrailleuses.

Le projet Landkreuzer fut finalement abandonné après que le général Heinz Guderian, spécialiste des chars, eut fort prosaïquement fait remarquer qu'aucune route et aucun pont n'auraient supporté le poids de ces engins. Un autre problème est qu'ils auraient également constitué une cible facile et de choix lors d'une attaque aérienne...

On connait moins les autres WunderWaffe, les « Armes Formidables », développées en secret par les Nazis et qui devaient leur faire gagner la guerre. Dans le domaine aéronautique, notamment, elles foisonnent. Certaines sont restées à l'état de prototypes, d'autres seraient devenues des modèles produits en série, secrètement récupérés par les Alliés, détruits par les SS avant la fin de la guerre, ou mystérieusement disparus...

 

Parmi elles, citons notamment le projet Arado Ar E-555, une aile volante à réaction capable d'emporter une hypothétique bombe atomique et dotée d'un rayon d'action suffisant pour frapper la Côte Est des Etats Unis. Premier né des Bombardiers Stratégiques à réaction contemporains, ses développeurs furent recrutés par les services secrets US (Opération Paperclip).


La silhouette de l'Arado Ar E-555 n'est pas sans rappeler
celle du célèbre bombardier furtif américain B-2 ...

 

D'autres armes, d'autres engins volants, auraient également été développés dans le plus grand secret. Ces armes, moins conventionnelles mais tout autant destinées à assurer la victoire finale, auraient été conçues d'après des plans et des technologies retrouvés par des équipes de recherches archéologiques et appartenant à des sociétés secrètes nazies.

D'autres sources indiquent que des télépathes, telle que Maria Orsitsch, originaire de Zagreb, auraient été en contact avec des civilisations disparues ou extra terrestres et auraient reçu des indications par télépathie.



Esotérisme et mystique dans l'Allemagne Nazie.

 



Le fait même qu'Adolf Hitler ait choisi la Swastika (croix gammée) comme emblème pour le NSDAP (NationalSozialistische Deutsche ArbeiterPartei, Parti Allemand National Socialiste des Travailleurs, le parti Nazi) est un indice fort de son intérêt pour l'ésotérisme, la mystique et les sciences occultes. Rappelons que la Swastika est un symbole millénaire et qu'on le retrouve dans nombre de civilisations pré chrétiennes (Hindouiste, Indo Européennes, et même en Amérique du Nord dans certaines civilisations pré colombiennes).

 

 

Schémas de Swastikas retrouvées un peu partout autour du globe.


De manière globale, un ensemble de doctrines florissent en Allemagne avant ou pendant le régime nazi et mêlent le pangermanisme et l'aryanisme à des doctrines ésotériques. Elles s'inspirent de théories développées en Allemagne à partir du début du XIXe siècle.

Le nazisme ne se veut pas seulement une idéologie politique, mais aussi une vision globale du monde. Ses racines plongent en effet pour une bonne part dans un ensemble de mythes raciaux et occultistes (mythes du Nouvel âge, ou de l’âge du verseau) développés à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. Il permettra à Adolf Hitler d'attribuer une signification religieuse à sa personnalité et à sa doctrine.


A : La Société de Thulé.

Parmi les sociétés secrètes qui diffusent ces thèses, la plus notoire est la Société Thulé, fondée à Munich. A l'origine c'était un groupe d'études ethnologiques s'intéressant tout spécialement à l'Antiquité germanique et au pangermanisme aryen. La Société Thulé a été créée par le baron Rudolf von Sebottendorf le 17 août 1918.

Diffusée à Munich, l'idéologie de cette société prônait l'antisémitisme, l'antirépublicanisme, le paganisme et le racisme. Son symbole, la croix de Wotan, n'est pas sans rappeler la croix gammée. Le salut de Thulé « Heil und Sieg » (Salut et victoire) fut repris par Hitler qui le transforma en « Sieg Heil ».

Selon plusieurs auteurs grecs et latins, il aurait existé dans des temps très reculés un continent situé à l'Extrême-Sud, qu'ils appelaient Hyperborée (Ultima Thulé en était la capitale), lequel aurait été peuplé d'hommes transparents (les Hyperboréens). Ceux-ci, en s'alliant aux autres hommes, auraient donné naissance à des êtres humains de plus en plus opaques, mais leurs descendants auraient néanmoins conservé leurs facultés, supérieures à celles des humains ordinaires. Les Nazis sont ainsi persuadés de leur supériorité raciale ancestrale.

 

 

Cette litographie de la société de Thulé
montre l'emploi de certains symboles en 1919.
Les Nazis récupèreront largement ces symboles.



B : La Société du Vril.

Plusieurs auteurs ont affirmé que la Vril-Gesellschaft (Société du Vril) était une communauté secrète d'occultistes dans le Berlin pré-nazi. La société berlinoise du Vril était en fait une sorte de cercle intérieur de la société de l'Ordre de Thulé. On l'a également pensée en contact étroit avec le groupe anglais connu sous le nom d'Ordre Hermétique de l'Aube Dorée. A ce jour, aucune preuve vérifiable de l'existence de la société du Vril n'a jamais été publiée.

Légendaire et mythologique pour certains, bien réel pour d'autres, le Vril est une forme d'énergie possédée par cette race souterraine extrêmement puissante que sont les Hypereboréens qui vivent à Ultima Thulé. Elle a, pour la première fois, été exposée dans The Coming Race (La race à venir), roman écrit par Edward George Earle Bulwer Lytton en 1870.

Il n'existe qu'une seule source primaire d'information sur la société du Vril : Willy Ley, un ingénieur allemand qui s'est enfui aux États-Unis en 1933. En 1947, Ley a édité un article intitulé Pseudoscience in Naziland (Pseudo-science en pays nazi).

Après une description de l'ariosophie, Ley écrit : « Le groupe (...) a été littéralement fondé sur un roman [celui de Lytton - NDR]. Ce groupe s'appelait Wahrheitsgesellschaft - Société pour la Vérité - et se réunissait probablement à Berlin pour se consacrer à la recherche du Vril ».

Un certain Johannes Täufer publia en 1930 deux essais sur le Vril, désigné comme une force primordiale cosmique et reprenant la même trame que le roman de Lytton. Il appartenait à une société « discrète », L'Allemagne à venir. D'autres sources décrivent le Vril comme un artefact, peut être d'origine extra terrestre.

 

 

Schéma annoté de ce qui semble être une tentative de reproduire l'artefact,
ou du moins ses effets en physique appliquée.

 


C : L'Ahnenerbe.

 

L'Ahnenerbe, traduit par « Héritage Ancestral » (ou plus exactement Ahnenerbe Forschungs und Lehrgemeinschaft, c’est-à-dire « Société pour la Recherche et Enseignement sur l'Héritage Ancestral »), était un institut de recherches nazi, créé par le Reichsführer-SS Heinrich Himmler en Juillet 1935 et intégré aux SS en Janvier 1939. L'Ahnenerbe avait son siège dans le château de Wewelsburg en Westphalie.

 

 

Le siège de l'Ahnenerbe, propriété privée de Himmler.
Il avait acquis ce château dans l'idée d'en faire une forteresse SS magique,
sur le modèle des Burgs Teutoniques.


L'institut avait pour objet d'études « la sphère, l'esprit, les hauts faits et le patrimoine de la race indo-européenne nordique » avec comme outils la recherche archéologique, l'anthropologie raciale et l'histoire culturelle de la « race aryenne ». Son but était de prouver la validité des théories nazies sur la supériorité raciale des « Aryens ». En secret, l'Ahnenerbe allait aussi enquêter sur la mythique cité de Thulé ainsi que sur le Vril.

L'organisation, au service des idées mystiques, comptait 137 savants et 82 techniciens. En 1936, l'Ahnenerbe monte une petite expédition en Carélie, région de la Finlande, afin d'étudier et d'enregistrer les chants et incantations des sorciers locaux. Pour Himmler, ces incantations ont une base historique et il espère que leur analyse permettra de recréer le marteau de Thor, qui est d'après lui la plus puissante des armes conçues par les anciennes peuplades nordiques.

L'Ahnenerbe a aussi organisé plusieurs expéditions archéologiques, en Allemagne, mais aussi dans divers pays : France, Italie, Roumanie, Bulgarie, Pologne, Ukraine, Islande, Afghanistan et Tibet. Cette dernière expédition, dirigée par le SS Ernst Schäfer en 1938, était destinée à prouver que le plateau tibétain était le berceau de la « race aryenne. »

 

 

Des membres de l'Institut, en expédition au Tibet en 1938,
rencontrent des chefs de villages locaux.
 

D'autres expéditions furent lancées en Antarctique, dans la région dite de la Nouvelle-Souabe. Officiellement il s'agissait pour l'Allemagne de garantir l'accès de ses navires de pêches à cette zone riche en poissons, officieusement, l'Ahnenerbe était à la recherche de l'Hyperborée, que certaines découvertes situent dans la région de la Terre de la Reine Maud.

Le 17 décembre 1938, le navire Schwabenland part du port de Hambourg avec 33 personnes à bord. Le bateau accoste en janvier 1939 (4° 15´O-69° 10´S) et la reconnaissance du terrain commence. Les semaines suivantes, les 2 hydravions Dornier Do J du navire, le Passat et le Boreas effectuent un quinzaine de vols, quadrillant la zone et réalisant plus de 11 000 photographies aériennes. Une base temporaire est installée et trois drapeaux nazis sont plantés.

 

 

Des membres de l'expédition plantent le drapeau nazi en Antarctique.


Peut être située sous l'écorce terrestre, cette terre mystérieuse est depuis des années déjà un fantasme des sociétés secrètes nazies. En effet les thèses de la Terre Creuse, et de la Terre Creuse Concave, tendent à prouver l'existence d'un monde souterrain peuplé (l'Agartha) que les Nazis auraient réussi à découvrir. Selon les sources, ce monde serait l'héritier des civilisations aryennes descendues sur terre depuis des systèmes solaires lointains, comme Aldebaran. Ces mêmes sources imputent aux propres membres de ces civilisations l'initiative du contact par télépathie avec les membres de la Société de Thulé.

 


D : La Théorie de la Terre Creuse.

 

 

L'expression Terre creuse fait référence à des théories selon lesquelles la planète Terre serait creuse, ces théories étant presque toujours associées à l'idée que la Terre possède une surface interne habitable. La majorité de la communauté scientifique les rejette, considérant qu'il s'agit de théories pseudo-scientifiques mais quelques-uns se montrent ouverts à cette possibilité et présentent des arguments.

Une expédition censée démontrer l'existence d'une terre intérieure est prévue pour août 2012. Elle a déjà été reportée plusieurs fois ; l'explorateur Steve Currey, qui devait la mener à bien étant mort d'un cancer en 2007. Il a brutalement été malade, au moment où il finalisait les préparatifs. Après examens approfondis chez son médecin, on lui diagnostiqua six tumeurs foudroyantes au cerveau. Il décéda rapidement et l'équipe sous le choc décida de stopper le projet.

Des écrivains ont suggéré que des êtres supérieurs possédant une sagesse ésotérique habitaient les cavernes souterraines d'une Terre creuse. Les thèses selon lesquelles l'Antarctique, le Pôle Nord, le Tibet, le Pérou ou le Mont Shasta en Californie  sont l'entrée d'un royaume souterrain connu sous le nom d'Agartha, ont toutes des avocats pour les défendre. Les Sociétés de Thulé et du Vril reprirent ainsi ses thèses à leur compte et lancèrent l'Ahnenerbe à la recherche d'un point d'entrée en Antarctique.

 

 

Agharta, le mystérieux monde souterrain, parfois comparé à l'Atlantide,
que les Nazis auraient découvert dans les entrailles de l'Antarctique.


Ainsi sur la piste d'une civilisation prétendue disparue, et en possession des indications pour reproduire l'énergie du Vril, les Nazis se lancent dans un nouveau projet : Die Vril Glocke Projekt.
E : Le Vril et le Projet Glocke.
   
Le Vril Glocke Projekt (Glocke, « cloche » en Allemand) était destiné à fournir une source d'énergie à certains engins ainsi qu'une capacité anti gravitationnelle, c'est à dire leur conférer la possibilité de vol stationnaire, dans la lignée des projets de Wunderwaffen que nous avons répertoriés au début. Ce projet a été exposé par le journaliste polonais Igor Witkowski dans son livre Prawda O Wunderwaffe sorti en 2000 qui se fonde sur des documents secrets SS retrouvés dans les archives de l’Union soviétique.

 

 

Il n'existe aucune photographie ni plan de la Cloche allemande du Glocke Projekt,
cependant on s'accorde à penser qu'elle devait ressembler,
à l'état de prototype, à cette installation.


Selon Igor Witkowski, Die Glocke était  bien une expérience de construction de système anti-gravité. Le site se situerait près de la mine de charbon de Ludwigsdorf (aujourd'hui Ludwikowice Kłodzkie, en Pologne. Coordonnées exactes : 50° 37' 42.02" N - 16° 29' 39.32" E ). Selon Witkowski, des vestiges de l'expérience seraient encore présents sur le site. Elle aurait nécessité une quantité très forte d'énergie, ce qui explique qu'une centrale électrique thermique ait été construite près de son site en 1941. La cloche était réputée extrêmement dangereuse, causant des pathologies cardiaques, des mutations et la mort des animaux placés trop près d'elle.

 

Le site décrit par Witkowski présente en effet des particularités troublantes. En cherchant facilement sur des vues aériennes de la région mentionnée, il est facile en effet de trouver des installations qui semblent adaptées à des essais sur le matériel décrit ici.

 

 

Vue satellite de la région de  Ludwikowice Kłodzkie, en Pologne.
Encadré en blanc (en haut à droite) le site d'essais des SS.

 

 

Vue satellite du site SS de l'image précédente, notez la forme dans l'encadré blanc.

 

 

Zoom satellite de la zone précédente.
On voit nettement l'installation dont parle Witkowski.

 

ring my bellL'installation circulaire en béton armé, visible sur la vue satellite,
qui pouvait servir d'anneau d'essai ou de zone de test pour la « cloche » nazie.

 

Le Vril devient donc indispensable à la mororisarion et au pilotage des nouveaux appareils volant circulaires  (Flugscheiben), ainsi qu'au fonctionnement d'un prototype de canon à rayons d'énergie (Kraftstrahlkanone). Ce dernier ne dépassa jamais le stade de la planche à dessins.

 

 

Le KFK -  Kraftstrahlkanone ici shématisé par les ingénieurs SS.


Ces technologies, acquises par les Nazis grâce à l'immense implication de leurs sociétés secrètes, de leurs groupes d'étude, de leurs scientifiques et de la SS, permirent, selont diverses sources, de développer des engins volants d'un genre nouveau. Par leur forme circulaire ou ovoïde, les premiers à les observer, vraissemblablement des pilotes de bombardiers de l'aviation alliée pendant la guerre, leur donnèrent le nom de « Flying Saucers », ou soucoupes volantes. Le mythe des OVNIS venait de naître et il allait occuper bien des esprits au cours de la seconde moitié du XXème siècle.

En effet, dès 1934, un industriel recommande Viktor Schauberger à Hitler. Au cours d'un entretien, il impressionna fortement celui-ci, qui demanda que ses recherches sur la production d'énergie sans carburant bénéficient de toute l'aide possible. En 1941, le maréchal Ernst Udet, commandant en chef de la Luftwaffe, lui aurait demandé d'aider à résoudre la crise énergétique que connaissait l'Allemagne. En 1943, Himmler lui ordonne d'élaborer un système d'arme secrète avec une équipe d'ingénieurs prisonniers de guerre. Ce sera le projet Haunebu.


 Viktor Schauberger


Les travaux de Schauberger, allaient donner naissance à la Turbine à Vortex de Schauberger. Les composants de la turbine étaient fabriqués par l'usine Koertl, à Vienne. Selon l'un de ses ingénieurs, Aloys Kokaly, il lui aurait été dit qu'un modèle de ces turbines en test avait crevé le plafond de l'usine. Il s'agissait en fait d'un prototype baptisé RFZ 1. Nous y reviendront. Un modèle amélioré aurait été lancé le 6 mai 1945, le jour même les forces américaines arrivaient jusqu'à l'usine de Leonstein (commune de Grünburg) en Haute-Autriche, où Schauberger résidait. Le Maréchal Wilhelm Keitel aurait ensuite ordonné que tous les prototypes soient détruits. Les soviétiques auraient fouillé son appartement de Vienne, en emportant des documents et plans.
   
Un détachement des forces spéciales américaines se serait emparé de tous les appareils présents à son domicile de Leonstein et l'aurait placé en "détention protectrice" durant 9 mois, afin qu'il établisse un bilan de ses recherches aux USA. Il meurt mystérieusement 5 jours après son retour en Europe.

 

 

La Turbine à Vortex, dite à implosion ou encore à rotation auto-entretenue, de Schauberger. Il s'agirait en fait simplement de la concrétisation du Glocke Projekt et des recherches sur le Vril. Schéma de côté réalisé par les équipes américaines après 1945 et d'après les propres travaux de Schauberger.

 

 

La même Turbine, schéma de dessus réalisé par les équipes américaines après 1945 et d'après les propres travaux de Schauberger.


En 1996 Eugene Podkletnov, ingénieur russe, publie des détails concernant un dispositif antigravitationnel. Il se serait procuré de documents originaux de Schauberger par le biais de son père, ingénieur hydraulique, qui serait entré en leur possession dès la fin de la guerre. Ceci provoqua son renvoi de l'université de Tampere en Finlande où il travaillait.

 


Les Travaux Antigravitationnels.

 

 

 

La Thulé gesellshaft et la Vril gesellshaft, grâce à leurs recherches sur le Vril et le Glocke Projekt, font voler de l'été 1922 à 1924 un démonstrateur antigravitationnel non piloté, baptisé "JenseitsFlugMashine" (JFM) qui signifie "machine volante de l'autre côté", qui sera ensuite démonté et stocké dans les usines Messerschmidt. Ce système antigravitationnel électromécanique s'inspire largement des travaux théoriques de Nicolas Tesla et du physicien allemand Levetzow et des théories implosives de Shauberger. Le système comprend deux disques contra-rotatifs (diamètre 6 m 50 et 7 m) encadrant un troisième disque fixe (diamètre 8 m). Les trois disques sont percés en leur centre d'un orifice (diamètre 1 m 80), occupé par un cylindre surmonté d'un cône (hauteur 2 m 40), contenant le système de mise en rotation et de charge magnétique des disques.

De 1922 à 1932 le système est simplifié et n'utilise plus qu'un seul disque. Un appareil piloté, utilisant ce disque, le RFZ 1 sera testé en 1934 mais l'essai se révèlera tellement catastrophique que ce système antigravitationnel électromécanique sera définitivement abandonné la même année.

Dès 1933, le nouveau régime nazi place la Vril gesellshaft et ses travaux de recherche sous le contrôle direct de la SS de Himmler, à l'intérieur d'une section spéciale baptisée "Entvloklungsstelle IV" (groupe de développement numéro quatre) ou SS-E-IV.

Le docteur Walter O. Schumann, un éminent physicien de l'institut technologique de l'université de Munich et membre de la Vril gesellshaft, crée à Munich un premier groupe de travail placé sous la direction technique de l'ingénieur et capitaine SS Hans Kohler. Pour la construction des prototypes, Himmler met à la disposition de Schumann les moyens industriels du constructeur aéronautique Arado à Brandebourg.

Le docteur Victor Shauberger, physicien et ingénieur travaillant pour la société autrichienne Koertl et enseignant à l'université de Vienne, rejoint la Vril gesellshaft en 1934 après son entretien avec Hitler. En juin 1934, après l'essai infructueux du prototype RFZ 1, un deuxième groupe de travail est donc créé à Neustadt près de Vienne et placé sous la direction de Shauberger. Leurs prototypes sont désormais fabriqués par les usines Dornier. L'équipe de Shauberger comprend les ingénieurs aéronautiques Shriever et Habermohl, les ingénieurs spécialisés en électromagnétique Miethe et Belluzo, l'ingénieur spécialiste de la propulsion à réaction Andreas Epp et un physicien métallurgiste le docteur Erich Wang.

Les « Soucoupes Volantes » Nazies sont donc le fruit de plusieurs années de recherches secrètes aux quatre coins du Reich. Une première série, générique, fut baptisée RFZ (Selon les sources, RFZ voudrait dire Rund Flugzeuge (l'avion rond) ou Reichs Flugzeuge (l'avion du Reich). La série des Vril, est aussi parfois appelée Leich Bewapphete Flugscheibe Jager, ce qui traduit mot à mot donnerait à peu près « Chasseur Circulaire Volant Semeur de Cadavres ». Le terme de chasseur est intéressant, car il s'agissait bien, à la base de produire un avion de chasse. Toutes proportions gardées, si les Vril sont des chasseurs, les Haunebu, au vu de leurs capacités théoriques et opérationnelles seraient des bombardiers.


Les Soucoupes Volantes Nazies.

 


A : Les Soucoupes de la Série RFZ.

RFZ 1 (1934)

Nous l'avons vu, la première soucoupe allemande vit le jour en juin 1934. C'est sous la direction de Dr Walter O. Schumann que naquit le premier avion circulaire expérimental sur le terrain de la fabrique d'avions Arado à Brandebourg : il s'agissait du RFZ 1, doté d'abord d'une hélice puis d'une turbine et aussi d'un réacteur. Les autres modèles du RFZ 2 au RFZ 7 se succèderont jusqu’à la fin de la guerre.

Lors de son premier vol qui fut aussi le dernier, il s'éleva à la verticale à une hauteur d'environ 60 m et se mit alors à tournoyer et à danser dans l’air pendant plusieurs minutes. L'empennage Arado 196 qui devait guider l'appareil s'avéra complètement inefficace. C'est avec grande peine que le pilote Lothar Waiz réussit à le poser au sol, à s'en échapper et à s'en éloigner en courant car l'appareil se mit à tourner comme une toupie avant de capoter et d'être complètement mis en pièces. C'était la fin du RFZ 1 mais le début des engins volants VRIL.


Cliché du RFZ 1 (non confirmé).


D'autres projets RFZ furent cependant mis à l'étude par la première équipe de Walter Schumann.

RFZ 2 (1934)

 

Le RFZ 2 fut terminé avant la fin de l'année 1934, il avait une propulsion Vril et un pilotage à impulsions magnétiques. Les contours de l'appareil s'estompaient quand il prenait de la vitesse, et l’engin s'illuminait de différentes couleurs. Selon la force de propulsion, il devenait rouge, orange, jaune, vert, blanc, bleu ou violet. Il put donc fonctionner et l'année 1941 lui réserva un destin remarquable. Il fut utilisé comme avion de reconnaissance à grande distance pendant la bataille d'Angleterre. On le photographia fin 1941 au-dessus du sud de l'Atlantique alors qu'il se dirigeait vers le croiseur auxiliaire Atlantis se trouvant dans les eaux de l'Antarctique.

Malgré son armement il ne pouvait pas être utilisé comme avion de chasse pour la raison suivante : à cause de son pilotage à impulsions, le RFZ 2 ne pouvait effectuer des changements de direction que de 90°, 45° ou 22,5°.

 

 

Cliché du RFZ 2 au dessus de l'Atlantique Sud.


*Diamètre : 5m
*Moteur : Schuman-levitators
*Commande : Mag-yeld-impulser 3a
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h) (supposé)
*Armement : Mitrailleuse 3 x MK-108
*Blindage : Inconnu
*Equipage : 1 homme
*Durée de vol stable : 12 minutes, jour et nuit par tous temps (supposé)
*Premier vol : 1934
*Mise en service : 1941

RFZ 3 (1934)

Il n'existe que deux photos de cet engin. Ses caractéristiques sont très peu connues, la base où il a été développé a sans doute été intégralement détruite par les SS.


Cliché d'un RFZ 3, lieu inconnu, probablement près de la frontière Tchèque.


RFZ 4 (1935)

 

Encore plus mystérieux que le RFZ 3, tout ce que l'on sait à son sujet est qu’il a été le précurseur de la Haunebu 1.

 

 

Un RFZ 4, photographié probablement en vol d'essai au dessus de l'Atlantique.

 

RFZ 5 (1939)

Le RFZ 5 n'est qu'une amélioration du RFZ 4 et devint par la suite la Haunebu I.


RFZ 6 (1943)

Il s'agissait d'une sorte d'hélicoptère supersonique, plus connu sous le nom de V-7. En 1941, Miethe et Shriever commencent la construction du premier V-7 qui effectue ses premiers vols stationnaires près de Prague en décembre 1942 sous le nom de V-7 FlugKreisel. D'une hauteur de 3m20 et d'un diamètre de 14m40, l'appareil est propulsé par cinq turbines à Vortex de Schauberger, deux d'entre eux assurent la translation horizontale et les trois autres entraînent un rotor à pas variable permettant le décollage vertical et la sustentation.

 

 

Dessins de conception du Rfz 6 / V-7 FlugKreisel.


*Diamètre : 14.40m
*Moteur : 5 turbines à Vortex de Schauberger
*Commande : Inconnu
*Vitesse : Il n'a jamais dépassé les 100km/h
*Armement : Inconnu
*Blindage : Inconnu
*Equipage : 1 homme
*Durée de vol stable : Inconnue (peut être entre 5 et 10min)
*Premier vol : 1942
*Mise en service : Inconnue

RFZ 7 (1945)

Le RFZ 7 est une soucoupe à effet coanda (projet Omega). Ce projet était placé sous la direction des ingénieurs Andréas Epp et Habermohl. Une version drone d'un diamètre de 2 m aurait volé en 1943. Une version monoplace pilotée de 6 m de diamètre fut construite en 1944 et aurait volé sur le site de Peenemünde. La Version RundFlugzeuge 7 (RFZ 7) ou Walkyrie devait avoir des dimensions de 42 m de diamètre pour un poids de plus de cent tonnes et être propulsé par 14 réacteurs BMW pour atteindre les 1 000 km/h.


B : Les Soucoupes de la Série Vril.

VRIL I

Le Vril I, premier de la série des "Vril", fut expérimenté dès le début de 1934 et probablement produit jusqu'en 1942. Il était équipé d'un cockpit en plexiglas sur sa partie supérieure. C'est l'équipe de Schauberger qui fut chargée de sa conception à partir de la motorisation lévitationnelle mise en place par Schumann.

 

 

Croquis du Vril I et liste de ses principales caractéristiques. Document SS classifié.


*Diamètre : 11.50m
*Moteur : Schuman-levitators
*Commande : Mag-yeld-impulser 3a
*Vitesse : 2.900 km/h (théoriquement jusqu'a 12.000km/h)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108
*Blindage : Double Victalen
*Equipage : 1 homme
*Durée de vol stable : 12 minutes, jour et nuit par tous temps
*Premier vol : 1939
*Mise en service : 1944 construite en 18 exemplaires

VRIL II

Le Vril II n'est qu'une version plus puissante du Vril I, mise à l'étude en 1936. Le cockpit fut remplacé par un habitacle pressurisé métallique et surmonté d'un bulbe en plexiglas.

*Diamètre : 10.50m
*Moteur : Schuman-levitators
*Commande : Mag-yeld-impulser 3b
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108
*Blindage : Double Victalen
*Equipage : 2 hommes
*Durée de vol stable : 12 minutes, jour et nuit par tous temps
*Premier vol : 1942
*Mise en service : 1944

VRIL III

Le Vril III n'est qu'une version plus puissante du Vril II, et équipée d'un canon. Mise à l'étude probablement en 1938.

*Diamètre : 10.50m (supposé)
*Moteur : Schuman-levitators (supposé)
*Commande : Mag-yeld-impulser 3b (supposé)
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h) (supposé)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108 ; canon 1 x 75mm sur tourelle tournante située sur le cockpit.
*Blindage : Double Victalen (supposé)
*Equipage : 2 hommes (supposé)
*Durée de vol stable : 12 minutes, jour et nuit par tous temps (supposé)
*Premier vol : 1943
*Mise en service : 1944

VRIL IV

Entré en cabinet d'étude vraissemblablement en 1940, le Vril IV comprend un tube au-dessus du cockpit dont on ignore complètement l'utilité. C’est une variante améliorée des Vril II et III. C'est toujours l'équipe de Shauberger qui est chargée de sa conception.

*Diamètre : 10.50m (supposé)
*Moteur : Schuman-levitators (supposé)
*Commande : Mag-yeld-impulser 3b (supposé)
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 24.000km/h) (supposé)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108 (supposé)
*Blindage : Double Victalen (supposé)
*Equipage : 2 hommes (supposé)
*Durée de vol stable : 12 minutes, jour et nuit par tous temps (supposé)
*Premier vol : 1943
*Mise en service : 1944

D'autres VRIL furent mis à l'étude, souvent restés au rang de prototypes, certains parvinrent tout de même à réussir les tests de vol avec des performances parfois époustouflantes pour l'époque.

VRIL V

Le Vril V est probablement le prototype le plus abouti de l'équipe de Shauberger. Mis à l'étude en 1942, ses premiers vols eurent lieu en 1944. Il atteint la vitesse de 12.000km/h et il semble même que l’engin ait quitté l'atmosphère à plusieurs reprises, se permettant quelques virées en orbite.

 

 

Etude technique non confirmée du Vril V


*Diamètre : 35 mètres (supposé)
*Moteur : Thule Tachyonator (Treibwerk) 7b
*Commande : Mag-yeld-impulser 3c (supposé)
*Vitesse : 12.000km/h (théoriquement jusqu'a 48.000km/h) (supposé)
*Armement : Canons 1 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuse 2 x MK-108 ; canon 1 x 75 mm sur tourelle située sur le cockpit (supposé)
*Blindage : Victalen triple (supposé)
*Equipage : 3 hommes (supposé)
*Durée de vol stable : Inconnue
*Premier vol : 1944
*Mise en service : 1945

 

 

Etude technique du moteur Thule Tachyonator qui devait équiper les engins Vril 5.


VRIL VI

Le Vril VI ne sera jamais construit. Le projet ne dépassa pas la mise à l'étude. La mise en service était prévue pour 1945.

VRIL VII

De toute la série des Vril, le VII est sans doute le plus farfelu, mais il restera a l'état de plans. Il s'agissait d'un projet de vaisseau géant de 120m de diamètre. Nom de code « Projet Andromède ». Sa mise en service était prévue pour 1946. Il devait emporter plusieurs soucoupes Vril et Haunebu ainsi que des centaines d'hommes d'équipage, un peu à la manière d'un vaisseau-mère.

  Plan de la soute et caractéristiques techniques principales du Vril VII.
Document saisi par les troupes américaines dans les archives SS.

 

Croquis légendé du Vril VII – Projet Andromède.


Certaines sources indiquent cependant que le Vril VII – Andromède fut bel et bien construit et qu'il fut susceptible d'exfiltrer des hauts dignitaires Nazis ainsi que quelques savant vers les bases construites en Antarctique par les expéditions successives dans cette région reculée. Nous y reviendront.

VRIL VIII

Le Vril VIII "Odin" ne sera jamais construit à cause de la fin de la guerre. Prévue pour 1946, il semble que sa mise à l'étude ne fut pas réalisée. L’Armistice du 8 mai 1945 ayant coupé court à tous les projets Nazis.

 

 

Etude technique sommaire du Vril VIII "Odin".


VRIL IX

Le Vril IX ne sera jamais construit. Il semblait destiné à un rôle de chasseur intercepteur. Seul une esquisse a été retrouvée.




C : Les Soucoupes de la Série Haunebu.


RFZ 5 - HAUNEBU I - 1939

La Haunebu I est en réalité la 5ème version de la série mystérieuse des RFZ. Equipée des moteurs Thule Tachyonator, elle se montre instable en vol et ne peut voler parfaitement que pendant 8 minutes. Son armement conséquent la rendait instable. Les Nazis projetèrent d'utiliser une espèce de laser appelé "Le rayon de la mort" à la place des canons. Ce « laser », ou KFK – Kraftstrahlkanone était théoriquement capable de percer des blindages de 100mm, soit plus que n'importe lequel des chars alliés engagés à l'époque.

 

 

Une Haunebu I photographiée ici en vol d'essai aux côtés d'un chasseur Messerschmidt BF109.

 

*Diamètre : 24.95m
*Moteur : Thule Tachyonator (Triebwerk) 7b
*Commande : Champs Impulser 4
*Vitesse : 4.800km/h (théoriquement jusqu'a 17.000km/h)
*Armement : Canons 2 x 80 mm KSK sur tourelle tournante ; canons 4 x MK-108
*Blindage : Double Victalen
*Equipage : 8 hommes
*Durée de vol stable : 8 minutes
*Premier vol : 1939
*Mise en service : 1944

Une page d'un document SS où l'on voit les résultats des tests de vol de plusieurs modèles de soucoupes, les quantités d'engins produits et les caractéristiques principales de la Haunebu I.


HAUNEBU II (1940)

La Haunebu II est l'engin le plus célèbre de cette série car elle a été souvent photographiée après la guerre, notamment par George Adamski. Lors de ses apparitions, certaines personnes ont estimé à tord qu’elle ne faisait que 10m de diamètre. Mais surtout, c'est le seul engin que les Américains auraient récupéré entier. C'est également la version la plus construite de la série des Haunebu et certaines sources affirment qu’elle a servit de modèle à toutes les soucoupes américaines construites après guerre.

 

 

Schéma et caractéristiques techniques dans un document du Groupe SS IV montrant la Haunebu II.


*Diamètre : 26.30m
*Moteur : Thule Tachyonator (Triebwerk) 7c
*Commande : Champs Impulser 4a
*Vitesse : 6.000km/h (théoriquement jusqu'a 21.000km/h)
*Armement : canons 6 x 80mm KSK sur tourelle 3 tournantes ; canon 1 x 110mm KSK tourelle tournantes
*Blindage : Victalen triple
*Equipage : 9 hommes (peu embarquer 20 personne pour le transport)
*Durée de vol stable : 15 minutes
*Premier vol : 1942
*Mise en service : 1944 (au moins 7 exemplaires seront construits).


Modélisation en 3D d'une Haunebu 2, les équipes sur le tarmac donnent une bonne idée des proportions de l'engin et de son armement.


Une vue de la Haunebu II, dont les demi sphères que constituent ses tourelles ventrales sont caractéristiques.


HAUNEBU III (1944)

La Haunebu III était une version gigantesque de la série des Haunebu. Elle utilisait comme les autres une propulsion antigravitationnelle. Ses dimensions étaient absolument titanesques avec 71m de diamètre.


Son armement était également impressionnant, combinant de simples mitrailleuses et des canons électromagnétiques. Son autonomie était aussi très grande, avant que les matériaux ne soient complètement usés, le pilote pouvait compter sur 7 à 8 semaines de vol. Bien que le projet fut largement étudié, personne ne sait s'il fut réalisé.

*Diamètre : 71m
*Moteur : Thule Tachyonator (Triebwerk) 7c et Shumann-Levitators.
*Commande : Champs Impulser 4a
*Vitesse : 7.000km/h (théoriquement jusqu'a 40.000km/h)
*Armement : Canons 4 x 110mm KSK sur 4 tourelles tournantes ; canons 10 x 80mm KSK sur tourelle tournante ; mitrailleuses 6 x MK-108 ; canons 8 x 50mm KSK
*Blindage : Victalen triple
*Equipage : 32 hommes (peut embarquer 70 personnes pour le transport)
*Durée de vol stable : 25 minutes
*Premier vol : 1945

HAUNEBU IV ( 1945)

Beaucoup plus grande que la Haunebu III, elle était censée être réservée pour le transport de troupes et de matériels. Il ne subsiste de ce projet qu'une seule et unique ébauche. Il semblerait d'autre part que cette Haunebu soit à rapprocher du Projet Andromède et de la Vril VII.

 

 

 

La Fin du Reich, la fin des Soucoupes ?

 


En août 1941, un RFZ 2 est supposé avoir volé vers l'Antarctique, jusqu'au territoire allemand de la Nouvelle-Souabe. Précisément là où l'Ahnenerbe et la Société de Thulé auraient découvert un passage vers un continent sous terrain, l'Agartha.
 

 

Depuis bien avant la guerre, les Allemands auraient construit des bases sous marines et souterrainnes capables d'accueillir leurs engins. Certains auteurs se sont d'ailleurs penchés sur les prétendus compagnons d’Hitler en Antarctique (les Hyperboréens) autant que sur les liens entre le mysticisme nazi et l’énergie Vril, les civilisations cachées de Shambhala et de l’Agartha, et de supposées bases souterraines.

D'autres écrits mettent en relief différents scénarios d’exfiltration de Nazis vers des civilisations de la Terre Creuse. Dans son livre Arktos: The Polar Myth in Science, Symbolism, and Nazi Survival (« Arktos : le Mythe Polaire en Science, le Symbolisme et la Survivance Nazie »), Joscelyn Godwin,  avance des théories au sujet d’une survivance Nazie en Antarctique. Arktos est connu pour son approche érudite et son examen de nombreuses sources actuellement introuvables autrement qu’en traduction anglaise.

Il a également été prétendu que le VRIL VII « Odin », d'un diamètre de 120 m, fut finalement construit dans le plus grand secret et qu'il décolla de Brandenbourg en avril 1945 avec à son bord une partie des scientifiques de la Société du Vril et des dignitaires nazis après avoir détruit les installations techniques au sol.

Après la guerre, des troupes allemandes restées en Nouvelle-Souabe se seraient ralliées aux Américains, leur livrant ainsi des engins de type VRIL, qui auraient été essayés en vol dans le désert de Californie.

C'est d'autant plus crédible que d'après certains témoignages, la Glocke qui générait le Vril aurait été embarquée aussi vers l'Antarctique. En 1965, un OVNI a été observé au dessus de plusieurs Etats américains. Après le crash supposé, des habitants de Kecksburg se seraient rendus dans la forêt voisine pour y chercher des débris de ce qu'ils pensaient être une météorite. A leur retour, ils décrivirent un engin en forme de cloche, avec des inscriptions sur son cercle inférieur. L'armée, qui fut contactée par les pompiers du secteur, investit la forêt et déclara n'avoir absoluement rien trouvé.

 

 

A Kecksburg en 1965 : Cette photographie a tout de même pu être prise avant que
les environs ne soient complètement évacués. L'absence de soldats sur la photo laisse planer le doute quant à son authenticité...


Des disques volants « Made In USA », les savants nazis récupérés par le gouvernement américain dans l'Opération Paperclip auraient livré tous les secrets du IIIè Reich.

Une autre possibilité que la franche et spontanée coopération des scientifiques nazis réfugiés en Antarctique avec les Américains est parfois évoquée.

A la fin de la guerre, en 1945, les Américains ont lancé l'opération Paperclip, afin de récupérer, parfois de force, les savants nazis et leurs travaux sur la propulsion, les moteurs à réaction, les fusées balistiques, etc...

Richard Miethe, le père du V7, a fui l’Allemagne en 1945 pour se rendre aux USA. Les Russes s’emparèrent de 3 ingénieurs et des copies des plans du V7 (partagés avec les Américains). Au procès de Nuremberg, le débat sur la face occulte du nazisme fût clos sans être ouvert et rien ne filtra sur le sujet. R. Miethe confirma en 1953 dans le journal Allemand " Die Welt " avoir participé à la mise au point des fameux disques V7 : « Si des disques volants évoluent dans le ciel, j'ai la prétention de dire qu'ils ont eté construits en Allemagne, mis au point sous mes ordres, et problablement reproduits en série par les Russes ou les Américains. »

Pour ce qui est des scientifiques réfugiés en Antarctique, ceux-ci n'ont peut être pas collaboré de plein gré avec les USA, qui déclenchèrent alors l'Opération Highjump (OpHjp). C'était une opération américaine organisée par l'amiral Richard Byrd en Antarctique. Elle fut lancée le 26 août 1946 et dura jusqu'en 1947. Cet impressionnant déploiement de forces fit appel à 5 000 hommes, 13 navires et 26 avions.

 

 

Trois brises glace de la Navy en déploiement lors de l'opération High Jump.

L'objectif affiché de cette opération était l'exploration de l'Antarctique. Cependant, d'autres projets furent menés parallèlement à cela, notamment :

* faire quelques tests et des expériences sur le matériel et sur la psychologie des soldats sous conditions glaciales
* créer quelques bases pour établir la souveraineté des États-Unis
* en général, explorer la région
* faire des cartes géographiques de cette région

Tous ces objectifs avaient leur importance, mais la raison la plus importante restait de retrouver et détruire d'éventuelles bases nazies.

L'opération elle-même connut quelques « incidents » officiels :

Le 30 décembre 1946, l'avion « George I » entra en collision avec une montagne lors d'un vol de patrouille, alors qu'il photographiait la région. On retrouva les survivants 2 semaines plus tard, mais 3 des 9 occupants de l'appareil étaient déjà décédés (Wendell K. Hendersin, Fredrick W. Williams et Ensign Maxwell A. Lopez).

Le sous-marin USS Sennet a entra en collision avec un grand bloc de glace lors d'une exploration, et dut repartir vers la Nouvelle-Zélande.

La vérité est que l'opération fût un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les Alliés et une perte de matériel énorme.

De plus une grande partie des photographies était sans valeur, car dans cette région les boussoles étaient inutilisables, ce qui rendait impossible la localisation des clichés. Ainsi, de nos jours, cette région reste la plus inconnue du monde : seule la côte est clairement délimitée sur les cartes, les terres intérieures restant inexplorées.

Le plus troublant reste sans doute le récit de Byrd à son retour d'expédition. En 1947, avant d'entamer une nouvelle mission dans l'Antarctique, Byrd dira à la presse : "J'aimerais voir ce pays derrière le pôle. Cet endroit est le centre du Grand Inconnu". Selon les sources officielles, l'expédition fit un vol de sept heures le 19 février 1947. Mais, étrangement, lui qui aimait parler de ses exploits à la presse, ne dit mot à quiconque de son voyage, cette fois-là. D'ailleurs, son comportement changea singulièrement à partir de cette date et pratiquement aucune information ne filtra.

C'est chose acquise aujourd'hui, le Pentagone le mit au secret militaire et lui confisqua son carnet de vol. Par ce fait, il lui fut interdit de s'exprimer en public. De retour aux USA par le Chili, Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que "la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car nous avons observé des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionantes."

Après le retour de l'opération High Jump aux Etats-Unis, une autre expédition de l'US Navy en Antarctique, avec le nom de code de "Opération Windmill", fût mise sur pieds. Les objectifs mis en avant par le chef des opérations navales pour ce projet étaient de compléter celles de Highjump, dans la formation du personnel, d'essai de l'équipement et réaffirmer les intérêts Américains en Antarctique.

L'expédition était aussi chargé d'enquêter sur les conditions de propagation des ondes électromagnétiques et aussi de recueillir des éléments géographiques, hydrographiques, océanographiques, géologiques et météorologiques pour obtenir des informations dans ces domaines. Toutefois, bien que n'étant pas expressément mentionnés dans la liste des objectifs, il fallait prendre pied en Antarctique, pour pouvoir organiser des vols de reconnaissance photographique. Il avait été mentionné que les 70000 photos prises lors de l'opération High Jump avaient été impossible à exploiter, pour constituer des cartes, car il n'y avait pas eu au sol des points de repérage précis (cela nous montre bien que la prétendue "mission de cartographie" devait en fait cacher autre chose).

 

 

Vue d'artiste reconstituant les prétendues installations secrètes nazies au Pole Sud.

Si l'opération Windmill devait secrètement mettre fin aux activités nazies en Antarctique, elle ne fut pas un succès, car le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d'une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell.

La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera lancée par les Américains : l'opération Deep Freeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l'armée US qui se contentera alors de missions géographiques et de reconnaissances simples au Pôle Sud.

Dans un relatif secret, deux autres opérations Deep Freeze furent lancées, dans les rangs desquelles comptaient des bombardiers stratégiques capables d'emporter des ogives nucléaires.

 

 

 

Le 22 septembre 1979 le satellite Vela détecta un double flash lumineux carctéristique d'une explosion nucléaire. Les sondes étant endommagées, il fut impossible de déterminer avec exactitude la localisation de l'explosion. Cependant on sait avec certitude que le satellite survolait le sud du continent africain, c'est à dire les environs de la Nouvelle Souabe. S'il s'agissait d'un essai nucléaire clandestin, celui-ci ne fut jamais revendiqué par aucune nation disposant de la bombe. Dans ce contexte, le plus vraisemblable reste que les Américains, ayant obtenus ce qu'ils voulaient, d'une façon ou d'une autre, achevaient de détruire les preuves du passage des Nazis en Antarctique. Il est curieux aussi de constater que c'est à partir de cette date que sont ressortis la plupart des documents qui nous permettent aujourd'hui d'illustrer ce sujet.

 

http://soldatsminiaturesdusergentgarcia.over-blog.com/pages/ovnis-et-armes-secretes-nazies-6299827.html

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