Adieu Lucy " l’australopithèque ne pouvait pas être considéré comme l’ancêtre de l’homme
Un fossile de crâne d’espèce d’australopithèque bosei codé en OH-5
DES DESSINS IMAGINAIRES De tels dessins imaginaires représentant l’australopithèque marchant ont été réfutés par les dernières découvertes scientifiques. |
Les créatures, appelées par les évolutionnistes australopithèques, ne sont en fait rien d'autre qu'une espèce de singe disparue.
Australopithèque signifie " singe du sud ". Appartenant à différentes catégories, toutes les espèces d'australopithèques sont des singes disparus qui ressemblent aux singes d'aujourd'hui. Leurs capacités crâniennes sont les mêmes, ou plus petites que les chimpanzés actuels. Il y a des parties saillantes dans leurs mains et pieds qu'ils utilisent pour grimper aux arbres, comme les chimpanzés d'aujourd'hui, et leurs pieds ont des habiletés simiesques pour s'agripper aux branches. Plusieurs caractéristiques comme la proximité des yeux, les molaires pointues, la structure mandibulaire, les longs bras, et les jambes courtes, sont des preuves que ces créatures ne sont pas différentes des singes actuels.
Les évolutionnistes affirment que bien que les australopithèques possèdent l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains.
" ADIEU LUCY ! " Les découvertes scientifiques s’opposèrent aux propositions des évolutionnistes sur " Lucy ", le spécimen le plus célèbre de l’espèce australopithèque. Le fameux journal scientifique français Science&Vie admit ce fait dans son numéro de février 1999 avec le titre " Adieu Lucy " déclarant que l’australopithèque ne pouvait pas être considéré comme l’ancêtre de l’homme. |
Des recherches intensives faites sur différents spécimens d'australopithèque par deux anatomistes de renommée mondiale d'Angleterre et des U.S.A., Lord Solly Zuckerman et le Pr. Charles Oxnard, ont montré que ces créatures n'étaient pas bipèdes et avaient le même mouvement que les singes d'aujourd'hui. Ayant étudié les os de ces fossiles pendant 15 ans, avec un financement du Gouvernement britannique, Lord Zuckerman et son équipe composée de 5 spécialistes sont arrivés à la conclusion - bien que Zuckerman soit lui-même un évolutionniste - que les Australanthropiens étaient seulement une espèce ordinaire de singe et n'étaient absolument pas bipèdes (Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, pp. 75-94) .De même, Oxnard, lui aussi un évolutionniste, a lié la structure squelettique de l'australopithèque à celle des orangs-outans modernes.(Charles E. Oxnard, "The Place of Australopithecines in Human Evolution: Grounds for Doubt", Nature, vol. 258, p. 389)
Les analyses détaillées dirigées par l'anthropologue américain Holly Smith en 1994 sur les dents d'un australopithèque ont indiqué que l'australopithèque était une espèce de singe. (Holly Smith, American Journal of Physical Anthropology, vol. 94, 1994, pp. 307-325)
Durant la même année, Fred Spoor, Bernard Wood et Frans Zonneveld, tous des spécialistes en anatomie, sont arrivés à la même conclusion par une méthode complètement différente. Cette méthode était basée sur l'analyse comparative des canaux semi-circulaires de l'oreille interne des humains et des singes qui subvient au soutien de l'équilibre. Les canaux de l'oreille interne de tous les spécimens d'australopithèques analysés par Spoor, Wood et Zonneveld étaient les mêmes que ceux des singes modernes. (Fred Spoor, Bernard Wood, Frans Zonneveld, "Implication of Early Hominid Labryntine Morphology for Evolution of Human Bipedal Locomotion", Nature, vol. 369, 23 juin 1994, pp. 645-648) Cette découverte a montré encore une fois que l'espèce d'australopithèque est une espèce similaire aux singes modernes.
DART ET SON ENFANT |
L’AUSTRALOPITHEQUE ET LE CHIMPANZE |
Jean B. Lamarck : La science a démenti sa théorie. |
Il a été définitivement vérifié aujourd'hui que l'homme de Neandertal, qui est présenté comme " l'ancêtre primitif de l'homme " par les évolutionnistes, est simplement une race humaine disparue.
DE FAUX MASQUES NEANDERTALIENS ETABLIS PAR LES EVOLUTIONNISTES
Les évolutionnistes ont déployé de grands efforts pour présenter la race néandertalienne comme étant les hommes primitifs des cavernes. Des images imaginaires, comme celle que l’on voit ici, prirent place dans les livres. Cependant, aujourd’hui, les évolutionnistes ont également admis que l’homme de Neandertal avait une culture avancée. |
Les Néandertaliens sont une race humaine et ce fait est aujourd'hui admis par la plupart des gens. Les évolutionnistes ont essayé tant bien que mal de les présenter comme une " espèce primitive ", mais toutes les découvertes indiquent qu'ils n'étaient pas plus différents qu'un homme " robuste " marchant dans la rue aujourd'hui. Une importante autorité sur ce sujet, Erik Trinkaus, un paléontologue de l'Université du Nouveau-Mexique écrit :
Des comparaisons détaillées de restes squelettiques du Neandertal avec ceux des humains modernes ont montré qu'il n'y a rien dans l'anatomie du Neandertal qui indique de façon concluante des habiletés locomotrices, manipulatrices, intellectuelles ou linguistiques inférieures à celles des humains modernes. (Erik Trinkaus, "Hard Times Among the Neanderthals", Nature History, vol. 87, décembre 1978, p. 10 ; R. L. Holloway, "The Neanderthal Brain: What Was Primitive", American Journal of Physical Anthropology Supplement, vol. 12, 1991, p. 94)
Des bijoux faits d’os qui appartenaient aux Néandertaliens |
Plusieurs chercheurs contemporains définissent l'homme de Neandertal comme une " sous-espèce " d'homme moderne et l'appellent " Homo sapiens neandertalensis ". Les découvertes témoignent que les Néandertaliens enterraient leurs morts, façonnaient des instruments de musique, et avaient des affinités culturelles avec l'Homo sapiens qui vivait à la même période. Pour mieux le préciser, les Néandertaliens sont une race humaine " robuste " qui a simplement disparu de nos jours.
UNE FLUTE NEANDERTALIENNE http://www.dieu-existe.com/homme-singe.php |