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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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1 décembre 2014

Epidemie de peste-a-madagascar-encore-un-coup-de-la-malediction-du-petrole

 

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Le retour de la peste à Madagascar ? une simple coïncidence … alors que le Japon y concurrence les USA pour l’accès à ses nouvelles richesses en pétrole ? …. permettez- moi d’en douter …

Désolée d’être quelque peu « directe » mais avant tout sans langue de bois : pour moi la peste pourrait être à Madagascar ce qu’Ebola est pour l’Afrique : une maladie diffusée par l’oncle Sam pour servir ses intérêts financiers et chasser des territoires terrestres ou off shores – désormais riches en pétrole – les majors pétrolières de Japon, Chine, Inde ou de tout autre pays « concurrent » .

Double peine en quelque sorte pour le peuple malgache qui, au delà des crises politiques elles-même le plus souvent générées pour servir les dieux de la finance – subirait aussi les conséquences des crises économiques et financières.

La peste pourrait en effet s’avérer être une arme redoutable « envoyée » par certains pour chasser certaines majors pétrolières de Madagascar, alors que du pétrole a récemment été découvert. Il est même fort possible que la pandémie actuelle soit le résultat d’un plan machiavélique du même type que celui qui pourrait être mis en oeuvre via Ebola.

Mais revenons aux faits … Après après avoir disparu pendant dix ans, la peste touche à nouveau l’île de Madagascar, où 138 cas suspects ont été recensés depuis le mois de janvier, dont 47 mortels. Les quartiers insalubres de la capitale, Antananarivo, sont les plus touchés. C’est en effet ce qu’annonce une dépêche de l’AFP reprise sur BFM, sans préciser le nombre de décès survenus durant la même période pour cause d’accidents de la circulation, malnutrition, diabète, paludisme.

Selon l’Agence de Presse, la maladie a fait récemment son apparition dans la capitale de l’île,Antananarivo, où la prolifération des rats et des puces, lesquels véhiculent la peste, inquiète.
Le 11 novembre dernier, une jeune femme est morte de la maladie dans un bidonville de la ville, une zone insalubre où les habitations s’empilent entre marécages et rizières.

« Il y a maintenant un risque d’un rapide développement de la maladie » en raison de « la haute densité de population dans la ville » et des « faiblesses du système de santé », avertit quant à elle l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui a fait état de 119 cas de peste dans le pays cette année, dont 40 mortels. Sans préciser toutefois le nombre de décès consécutifs à d’autres maladies, histoire de comparer ce qui est comparable.

Lundi soir, le ministère de la Santé malgache a donné un nouveau chiffre de 138 cas suspects de peste depuis janvier, dont 47 mortels. Un bilan qui pourrait s’alourdir du fait de la « recrudescence saisonnière » observée chaque année « entre octobre et mars » poursuit le communiqué.

Il n’en demeure pas moins que dans le quartier d’Ankasina où vivait la jeune femme de 21 ans, les habitants restent incrédules.

« On vit ici depuis 1975, avec les mêmes conditions de vie, alors pourquoi c’est aujourd’hui qu’on a la peste? », s’interroge Bernadette Rasoarimanana, la mère de la victime.

Selon Christophe Rogier, directeur général de l’Institut Pasteur de Madagascar, le dernier cas de peste dans la capitale remonte à dix ans, « Il est possible que la peste ait continué à circuler à Antananarivo pendant dix ans, sans qu’elle ne touche les humains », avance-t-il. En revanche, les rats qui pullulent dans les bas quartiers de la ville ont pu continuer à être touchés par le virus.

A l’heure actuelle, l’OMS « ne recommande aucune restriction aux voyages et au commerce » à Madagascar, demandant néanmoins à ce que soit mis en place des indicateurs de risques pour les zones urbaines telles qu’Antananarivo. « Il y a eu pendant des années des surveillances qui ont été organisées mais, malheureusement, elles se sont arrêtées depuis 2006 ou 2007, faute de moyens financiers », déplore le directeur de l’Institut Pasteur. Une absence de surveillance autorisant une diffusion de la maladie en toute impunité.

Il n’en demeure pas moins que – simple coïncidence ? – le Japon – qui doit faire face à des problèmes d’approvisionnement énergétiques accrus suite à la catastrophe de Fukushima - montre un intérêt grandissant pour le pétrole et le gaz de l’Afrique et tout particulièrement celui de Madagascar.

Fin 2013, le Centre d’information d’exploitation pétrolière (ICEP) nippon a ainsi envoyé une mission sur le territoire malgache en vue de « collecter des informations relatives aux extractions de gaz et d’hydrocarbures en Afrique et à Madagascar », selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères du Madagascar.
Déplacement certes qualifiée alors de visite de courtoisie selon le chef de la diplomatie malgache Ulrich Andriantiana … mais il n’y a pas de fumée sans feu.

Rappelons à cet égard que le gouvernement malgache comprend deux ministères en charge de la politique extractive, le ministère des Mines pour toutes les ressources en amont et le ministère des Hydrocarbures pour celles en aval.

L’Icep, créé quant à lui il y a plus de 20 ans à l’initiative du ministère japonais du Commerce, travaille avec l’organisme du pétrole du Japon. Il est géré par l’ensemble des entreprises oeuvrant dans le secteur pétrolier japonais.

Element notable : cette visite intervenait alors que la major américaine Exxon Mobil avait annoncé quelque semaines auparavant, au début du mois de novembre 2013, que ses filiales à Madagascar avaient obtenu l’extension de leurs licences de partage de production.

Quatre ans après avoir interrompu ses opérations à Madagascar, en raison d’un « cas de force majeure » lié à la suite du coup d’État de 2009, le géant pétrolier et gazier avait également annoncé la reprise de ses opérations dans le pays. Dans un communiqué publié le 06 novembre 2013, Exxon Mobil indiquait ainsi que les licences de ses filiales dans le pays avaient été renouvelées par le président Andry Rajoelina le 17 juillet 2013. L’entreprise peut désormais « reprendre ses travaux d’exploration et d’évaluation environnementale pour les opérations à terre et en mer préalable au forage en eaux profondes » avait ajouté le groupe US.

À travers ses filiales dans le pays, Exxon Mobil détient des participations dans les champs d’exploration de Ampasindava (70%), Majunga (50%) et Cap Saint-André (100%), dont il est également l’opérateur.

A noter que Madagascar partage une frontière maritime avec le Mozambique où le groupe italien ENI a mis à jour des réserves de gaz naturel estimées à plus 1000 milliards de mètres cubes. Au final, Madagascar disposerait de plus de 200 blocs d’exploration offshore non attribués.

Fin septembre 2014, Madagascar Oil SA, groupe pétro-gazier coté à Londres, estimait être en bonne voie pour achever, avant la date butoir du 4 novembre 2014, le plan de développement du bloc 3104 Tsimiroro. Lequel recèlerait 1,7 milliard de barils de pétrole, selon la meilleure estimation,établie en 2011. le chiffre de 2,1 milliards de barils de réserves est également véhiculé par les medias.
Début mai 2014, la compagnie a soumis une déclaration de commercialisation, conformément aux termes de son contrat de partage de production avec l’Office des Mines Nationales et des Industries Stratégiques (OMNIS) portant sur ce bloc. Formalité qui lui imposait une période 180 jours pour fournir le plan de développement de ce bloc onshore situé à 125 km de la côte ouest de Madagascar.

Après dix ans de licence d’exploration sur le bloc, la compagnie souhaite désormais soumettre un plan de développement détaillé en vue de décrocher une licence d’exploitation de 25 ans. Objectif : l’exploration et à la production du pétrole à Tsimiroro.

Madagascar Oil est très active dans le secteur des hydrocarbures de la Grande Ile où la société met déjà en valeur des gisements de pétrole lourd ainsi que du gaz et du pétrole classique sur cinq blocs onshore.

Sources : Jeune Afrique, Agence Ecofin, Exxon Mobil, Presse malgache, AFP, BFM

http://www.leblogfinance.com/2014/11/peste-a-madagascar-encore-un-coup-de-la-malediction-du-petrole.html

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