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  • Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
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Archives
5 janvier 2017

Blanche Neige et les sept chakras -

Tous les peuples devaient être au fait de l'éminent intérêt du conte, poli par la transmission qui s'en fait de siècle en siècle, structuré pour garder bon pied bon oeil, reflet, non des angoisses d'une époque mais de celles qui subsistent de siècle en siècle, témoin des réponses imaginales de l'humanité aux demandes répétées de ses enfants.

Plus près de nous, Bettelheim ou Von Franz croient y déceler de nouveaux trésors, cachés depuis le commencement, mais actifs depuis toujours. Pas nécessairement la violence du sacré, au moins celle de nos pulsions et l'éblouissement de la sublimation envisageable.

Je tenterai de montrer l'intérêt psychodynamique et anthropologique de Blanche Neige et les sept Nains, à partir du point de vue hindou relatif à l'énergie psychique et à ses avatars, sans omettre une nouvelle donne quant à la nécessaire référence à sa compréhension psychanalytique.

Les contes de fée ont été interprétés de plusieurs manières, selon l'angle de vision du commentateur : points de vue historiques, littéraires ou psychanalytiques. Analyse structuraliste, épanchements sentimentaux sur tout ce qui d'eux fut perdu... J'aimerais, quant à moi, que vous m'accordiez d'en prendre prétexte pour s'envisager soi-même. Un peu comme firent les gourous guérisseurs ou certains directeurs spirituels du bouddhisme. Le conte était donné, choisi et médité longtemps, pour ses vertus propres : il exposait le problème et traçait les voies d'une solution dont l'irréalisme se dissoudra peut-être au regard de l'analyste... D'autant que certains d'entre nous, sous l'égide du Rêve Eveillé, demandent à leur patient plus que d'en user : ils les poussent à fomenter leur propre histoire sans omettre les djinns, les fées et les sorcières, les ogres et les ours ...

 

Le caducée, un symbole du système des chakras ?

   

excerpted from

"Decimus Tomus, Operum Divi Aurelii Augustini Hip., ponensis espiscopi, continens reliqua tractata apud populum, quaerum summam indicabit haec pagina versa."

caducee-aug

N'attendez pas un travail d'ensemble comme le firent Bettelheim, Von Franz ou Propp... Je ne prendrai d'eux que pour servir mon propos relativement à la structure de notre être; dont nous tâcherons de n'exclure, au principe, aucun aspect controversé : organique, psychique, sociologique, spirituel, voire paranormal ! Nous ne les exclurons pas mais nous nous garderons d'en parcourir toutes les allées. Nous sommes pressés de rejoindre notre Mère Grand.

A qui nous envoie notre maman car c'est "le rôle des parents de conduire leurs enfants au seuil de la forêt initiatique" (Simonsen, 38) Mais il ne s'agit pas seulement des enfants. Ni de leurs parents comme tels. Il s'agit aussi du pédagogue pour les enfants et du thérapeute pour leurs ainés ! C'est tardivement (XVIII° s.) qu'on se met à réserver les contes aux petits et à les censurer en conséquence. Leur fonction reparait autrement sous les espèces de toutes sortes de fictions, à présent c'est Indiana Jones, les dents de la mer, etc...

Art de conter sophistiqué qui y perd son retour : rien n'en revient au conteur qu'un audimat ou un chiffre d'affaire. Le club des fans réservé aux héros des contes modernes n'ont de vivant que l'apparence et leur parole est pure statistique. Ainsi la star n'a pas plus d'invention que la pièce de carton qui doit s'encastrer exactement aux autres pièces d'un puzzle plastifié. Nous sommes loin du conteur aux aguets de la brillance des yeux, du sourcil levé, de la bouche bée; aux aguets pour la suite, pour développer la péripétie ou amoindrir l'os du fantasme, ajouter ce qui répond aux inquiétudes du moment, du groupe ici présent ou de tel qu'on discerne à peine dans le coin qui le dérobe aux flamboiements de la cheminée...

Blanche-Neige et les sept Nains

Nous allons parcourir rapidement le conte de Blanche Neige pour nous arrêter sur un point précis : celui des sept nains.

C'est l'hiver : nous ne serons pas aux fêtes de l'amour ! Engendrée dans le froid Blanche Neige est exposée aux rigueurs d'un foyer ou le sexe n'est pas roi, ou la reine, toute d'absolu, ne connait de couleur que la rouge, celle de l'excitation sans assouvissement.

Tout est déjà dit. Je pourrais vous planter là et vous laisser déduire la suite...

La conception se fait pourtant par pénétration, non de l'oreille comme il advient chez Rabelais, mais du doigt : cette reine-mère ne peut soutenir son désir de l'avoir et se blesse à l'accouplement qui l'endolorit comme à l'accouchement qui la tue.

Au moins pour faire image et séparer le noir du blanc : on la retrouve, un an plus tard (ou peut-être huit mois si nous en appelons à Spitz) sous les traits si beaux, si durs, si implacables de la belle-mère. Elle est la plus belle des mères mais doute tant de l'être, que le miroir, sa propre mère (et nous voici remontés à la troisième génération) doit sans cesse le lui redire !

Jusqu'au jour fatidique ou sa fille la supplante, de l'aveu véridique du miroir froid et objectif qui ne sait dire que la vérité. Est-ce à dire, comme on l'a souvent commenté, qu'il s'agit de l'Oedipe et que les yeux du miroir sont alors devenus ceux du roi ? Probablement que bien des auditeurs, enfants ou plus murs, l'entendront ainsi... A moins qu'ils n'aient quelques relents de ce huitième mois ou l'abandon fut à craindre, ou l'intuition d'une conception par des seins de glace...

Car si la reine est jalouse, c'est peut-être à cause du roi qu'on ne voit guère dans le conte, c'est en tous cas parceque Blanche Neige n'a pas voulu rester petite, rester l'image sans éclat de celle qui la porte : elle grandit, elle embellit, elle se fait fille, on devine la femme. Alors sa maman devient verte (ce qui est toujours mauvais signe) et l'envoie se faire égorger par le chasseur. autant dire papa. Un peu faible sans doute puisqu'il s'exécute; mais un papa quand même : il fera mine d'exécuter la petite mais ne donnera en festin à sa femme qu'un semblant de cette chair rebelle.

Elle ne se sent pas pour autant très à son aise : elle est une fois de plus, abandonnée dans la forêt profonde...

Elle n'a d'autre ressource que la dépersonnalisation, come disent les psychiatres : elle ne saura plus où elle est, que désirer, que faire. Elle ne saura même plus qui elle est, ni même si elle existe !  Le temps est cassé, l'univers brisé et jusqu'à son corps dont elle avait imprudemment anticipé l'unité dans l'amour fallacieux... (un certain narcissisme !).

Comme les bons jouets, elle est cassée. Mais elle n'a pas tout perdu. Sa destruction comme unité reine lui laisse de la santé : les vaillantes pulsions partielles qui vont se mettre à son service et oeuvrer à sa reconstruction. Car les petits nains ne sont pas paresseux : "aï Hi, Aï Ho, On revient du boulot !"; de la mine s'il vous plait ! Un peu d'affollement à la découvrir endormie... mais ils en prendront soin.

Chacun de nous sait bien que lorsqu'il se repose ou se décourage, tout ne s'arrête pas pour autant ! Le bruissement affairé de la vie - souterraine soit-elle - continue. Le sang circule, l'air pénètre, les plexus aiguillent, les hormones modulent...

L'éclatement, le morcellement, la mort ne va pas jusqu'à son terme à chacun des rejets que nous essuyons; il est des ressources profondes, des espérances souterraines...

Vous savez la suite : la reine cherchera en vain à parfaire son oeuvre de mort : par l'étouffement que donne le blanc lacet de l'angoisse, par la séduction du peigne noir, par le poison rouge d'une pomme insincère...

Ce qui tue d'abord Blanche Neige n'est autre que la prise de conscience angoissante de son abandon, elle n'est pas désirée : cela l'étouffe; mais les nains lui apprennent le "release", ils coupent les lacets, lui enseignent la relaxation !...

Le peigne: on sait que le peigne est pour les japonais, un moyen de communication avec les puissances d'en haut ou d'identification à elles; il pénètre la tête d'en haut... Ainsi la mère jalouse fait-elle usage de ce qu'elle est investie des puissances d'en haut, elle use des oripeaux sur-moïques, elle injecte en sa fille le poison délétère de la culpabilisation, de l'idéal spirituel mortifiant, d'une unité de mort basée sur la maitrise abusive et généralisée de toutes les puissances vitales instinctives... Cependant les nains sont encore présents et savent quoi faire : retirer le peigne, renoncer à cette unité d'airain qui n'a rien à faire avec la vie...

Reste l'arme qui dépasse leurs ressources, celle de la régression orale, si nous écoutons Bettelheim. Blanche Neige n'est pas dépourvue de nostalgie, elle redemande d'un sein rouge qui l'empoisonne, la voilà inerte pour longtemps, cent ans peut-être, en tous cas jusqu'à l'éveil d'une pulsion vers l'extérieur qui prenne appui sur une image paternelle idéalisée : un charmant garçon vous dis-je...

A moins qu'il ne s'agisse de l'arbre de la connaissance, une forme plus primitive du bien et du mal, du vrai et du faux. Tous les désirs bannis, exclus, éteints : totale aphanisis... Peut-être tout simplement la haine de l'homme que le trébuchement d'un serviteur lui permettra de recracher...

Les petits amis ne peuvent plus rien pour elle, sauf de lui vouer un culte, de l'exposer aux regards admiratifs, au sommet de la montagne... Elle est ainsi exposée au désir d'un autre qui la sauvera de son morcellement et de sa léthargie. La morale est sauve qui punira d'enfer sa méchante mère : elle devra chausser des souliers chauffés à blanc et danser jusqu'à la mort; chatiment ou se lit le sceau final d'un amour maternel qui ne lui permit jamais le repos...

Nous n'avons plus besoin des nains !

Aussi ferons nous leur autopsie :

Les Sept Chakras

Le nombre est magique et placebo, d'où l'abus qu'on peut en faire. Il s'agit peut être là d'un fait de structure; non seulement de celle que Propp discerne en énonçant sept[1][1] personnages répondant à sept fonctions[2][2] et qui seraient présents dans tout conte, mais d'une structure qui précède le langage et ne doit que peu aux avatars culturels : une division dont le fondement serait anatomique, physiologique, psychologique et universel. Autant dire un archétype à remonter jusqu'aux temps les plus primitifs de l'inexistence humaine : les mammifères ou même mes vertébrés si pas les chromosomes tout court...

 Suggestion par trop imprudente à ne pas lui donner de suite ! Mais nous comptons le faire.

 Aujourd'hui je me contenterai de donner à chacun des sept nains, par delà le petit nom dont les a baptisé Walt Disney, une fonction anthropologique précise.

 

Nains

Squelette

Chakra

Organe de perception

Organe d'action

Pulsion

Sephiroths
gauches

Sephiroths
du milieu

Sephiroths
droits

Simplet

Voute du
Crâne

sahasrara

( ? )

 ( ? )

Mystique (?)

 

Keter

 

Prof

Base du Crâne

ajna

E.S.P. (?)

P.K. ( ?)

Epistémophilique

Binah

 

Hochmah

Atchoum

Cervicales

Vishudda

ouie

Voix

invocante

Pechad

 

Hesed

Joyeux

Thorax

Anahata

Tact

Phallus

phallique

 

Tiphereth

 

Timide

Lombaires

Manipoura

Vue

Anus

Anale

Hod

 

Nizah

Grincheux

Sacrées

Svâdhishthâna

Goût

Main

Orale

 

Iesod

 

Dormeur

Coccyx

Muladhara

Odorat

Pied

Sécuritaire

 

Malkhout

 

Pour le Yoga, il existe au moins cinq formes du souffle (vayu) , qu'on fait correspondre aux cinq premiers chakras :

  1. Apana (expiration)      : chakra muladhara (qui siège au niveau de l'anus)
  2. Vyana (distribution)    : chakra svâdhishthâna (all-pervading: It moves all over the body)
  3. Samana (assimilation) : chakra manipura (qui siège au niveau du nombril)
  4. Prâna (inspiration)      : chakra anahata (qui siège au niveau du coeur)
  5. Udana (expression)     : chakra vishudda(qui siège au niveau de la gorge)

Les couleurs et les chakras

Les dessins de lotus représentant chacun des chakras, comportent de nombreux éléments. A chacun de ces éléments on attribue une couleur en harmonie avec sa signification symbolique.

On peut aussi considérer que chaque chakra correspond à une couleur dominante qui symbolise ses valeurs essentielles.

La tradition en a proposé une grille que les ésotéristes et d'autres auteurs relativement récents ont remplacé souvent par une distribution des septr couleurs de l'arc-en-ciel avec le rouge en bas et le violet en haut, en raison de la longueur d'onde des différentes couleurs. Le seul argument traditionnel en rapport avec cette correspondance pourrait se chercher dans le cheval blanc (Ucchaisshravas), ancêtre de tous les chevaux, issu du barattage de la mer de lait. Ses sept bouches symboliseraient les sept couleurs de l'arc-en-ciel.

 

Chakra

tattva
couleur donnée par la tradition
en fonction du tattva
ésotérisme
    selon Arthur Avalon selon Ajit Mookerjee  

sahasrara

absolu
-
-
violet

ajna

esprit
...
blanc
indigo

Vishudda

espace
blanc
jaune
bleu

Anahata

air
gris-fumée
vert

Manipura

feu
rouge
jaune

Svâdhishthâna

eau
blanc
bleu
orange

Muladhara

terre
jaune
rose
rouge

 

Nous écrivions ailleurs : "Il existe six types de transe qu'on pourrait rapprocher des différents caractères exhibés par différents démons ou esprits évoqués par le biais des verres et des tables tournantes. Les types sont les suivants :

  1. mystique
  2. [???]
  3. furieux, érotique
  4. comique
  5. tragique
  6. amer"
  7. [dogmatique, pontifiant]

Nous pouvons assez facilement les mettre en relation avec les centres pulsionnels et les nains :

 

 

Nains

Squelette

Chakra

Organe de perception

Organe d'action

Pulsion

Souffles

type de transe

Simplet

Voute du
Crâne

sahasrara

( ? )

 ( ? )

Mystique (?)

-
perte de connaissance

Prof

Base du Crâne

ajna

E.S.P. (?)

P.K. ( ?)

Epistémophilique

-

dogmatique, pontifiant

Atchoum

Cervicales

Vishudda

ouie

Voix

invocante

Udana (expression)

amer

Joyeux

Thorax

Anahata

Tact

Phallus

phallique

Prana (inspiration)
tragique

Timide

Lombaires

Manipoura

Vue

Anus

Anale

Samana (assimilation)

comique

Grincheux

Sacrées

Svâdhishthâna

Goût

Main

Orale

Vyana (distribution)
furieux, érotique

Dormeur

Coccyx

Muladhara

Odorat

Pied

Sécuritaire

Apana (expiration)
?

Victor Hugo déjà s'intéressait au Yoga et propose un beau texte que nous pouvons rattacher au Sahasrara chakra : "Suprématie"

 

La ligne latérale des poisssons, une métamérie évidente

 

La ligne latérale (ébauche de l'audition chez les poissons) est métamérisée, comme le seront d'une certaine façon le labyrinthe et la cochlée (d'après Alfred Tomatis).

C’est un tube sur chacun des côtés de l'animal. Elle est munie d'une ou plusieurs ouvertures qui permettent au poisson d'être en communication directe et constante avec le milieu extérieur.
Ces tubes sont tapissés de cellules capables, en fonction de l'existence de leur panache ciliaire, de créer des impulsions d'influx nerveux En réponse aux stimuli de contact et de pression émanant du milieu ou des tissus.

ligne-laterale


activité génératrice d'énergie

si on injecte de l'eau à l'un des bouts du tube-ligne-latérale on voit se mobiliser les nageoires ; une injection en sens inverse engendre leur mobilisation en sens inverse. L'immobilité se rétablit dès que l'injection s'arrête.

Cet appareil est extraordinairement sensible et son activité peut être considérée comme permanente, incessante. obéissant aux mobilisations liquidiennes.

 

Voies de cet effet stimulant

La stimulatioon dépend de l'inclinaison des cils par rapport à la surface, orientation angulaire qui elle-même reste fonction des déplacements liquidiens ou de la pression exercée sur la surface ciliée.

1°) Les cellules ciliées sont les parties essentiellement actives des lignes latérales ; elles agissent tactilement par rapport au milieu liquide environnant. Le rôle de la ligne latérale est de toucher l'eau.

2°) La distribution de l'influx nerveux répond à une répartition métamérique.

La ligne latérale grâce permet de connaître certains aspects de l'environnement:

force gravitaire, pressions variables avec la profondeur, déplacements topographiques. La ligne latérale permet, grâce à sa direction antéro-postérieure, de connaître les déplacements, linéaires ou rotatifs, variables ou permanents, en direction latérale droite ou gauche.

Toute mobilisation liquidienne provoque la sensation de déplacement relatif :
- si le liquide bouge sans action musculaire? le milieu est en mouvement, pas l’individu
- s’il y a activité musculaire ? l’individu se perçoit en mouvement actif
- angulation initiale des cils des cellules ciliées ? accélération
- angulation inverse ? décélération
- angulation stable dans une direction ou dans l'autre ?Vitesse de croisière.
- différences d'angulation des cils entre les deux canaux ? Rotation

- contact avec le milieu;
- localiser l'animal dans le milieu
- ébaucher une auto-connaissance du corps.



métamérie


La métamérie va-t-elle persister dans les organismes plus évolués ?

Il semble que oui :

circuits vestibulo-spinaux à l'adresse des racines antérieures qui seront en partie commandées par le vestibule auditif

fonction posturale. Liée à la représentation métamérique vestibulo spinale.

La centralisation du Système nerveux gardera l'architecture de correspondance localisatrice de l'ancienne division métamérique (Tomatis)

 

Système nerveux végétatif et chakras

Au niveau du système nerveux, il convient de s'intéresser aux nerfs responsables de la vie de relation qui nous permettent de recevoir des informations par nos sens et d'agir par nos muscles; c'est le système cérébro-spinal.

On s'intéressera aussi aux systèmes neuro-végétatifs :

  • le système sympathique (ergotrope) dans la moelle thoracique et lombaire; il correspond aux chakras thoracique ou Anahata et lombaire ou Manipura.
  • et para-sympathique (trophotrope) dans le tronc cérébral et la moëlle sacrée. Ces deux sous ensembles comportent aussi des voies réceptrices et des voies effectrices. Il correspond aux chakras Ajna (?), Vishudda, Svadhishthana, muladara.

 

d'après http://www.physiologie.staps.univ-mrs.fr/ImagesIcones/4-SN_Vegetatif.pdf

 

Projections des chakras (projection métamérique) sur des "fragments corporels"

SNV1

A la suite des travaux en acupuncture de l'Ecole de Lyon, on considère qu'il existe une "représentation", une "projection" de l'ensemble du corps sur le pavillon de l'oreille. Cette projection pourrait être assez précise et bien marquée, notamment en cas de souffrance d'un organe particulier. On positionne la tête en bas et les fesses en haut; cette disposition serait vérifiable par détection de points de meilleure conductivité électrique grâce à un appareil convenablement étalonné.

Ce type de projection pourrait se retrouver également au niveau de la plante des pieds, sur les gencives, sur les dessins que présente l'iris, etc...

Selon la tradition indienne, les doigts de la main auraient chacun une fonction symbolique distincte rattachable aux différents chakras :

ainsi :

  • le pouce symboliserait ce qui est le plus élevé (sahasrara et ajna ?)
  • l'index correspondrait à l'âme (vishuddha ? anahata ?)
  • le majeur correspondrait à la colère (manipura ?)
  • l'annulaire à l'envie (svadhishthana ?)
  • et l'auriculaire au désir (muladara ?)

BIBLIOGRAPHIE

 

  1. Auriol  B.       Blanche Neige et les sept chakras,(ouvrage en préparation)
  2. Auriol B. Yoga et Psychothérapie, Privat (épuisé)
  3. Auriol B Introduction aux Méthodes de Relaxation, 2° Edition, Privat
  4. Auriol B.  La Clef des Sons, Eres éd., 1991
  5. Bettelheim B.  Psychanalyse des Contes de Fée,Laffont, 1976
  6. Donnars J. La Transe : Technique d'épanouissement, L'Homme et la Connaissance, 1981
  7. Von Franz M.L. L'interprétation des Contes de Fée, La Fontaine de Pierre, 1978
  8. Jeanperrin M.  Le Conte : Langage transitionnel dans l'institution, DESS, Psychologie Clinique, UTM, 1977
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