la vitamine C liposomale Avec un taux d’absorption par les cellules de plus de 90%, on parle d’un véritable bain de vitamine C pour les cellules - de loin supérieur à la vitamine C intraveineuse qui, malgré son efficacité, est une technique très coûteuse en plus d’être habituellement administrée dans les hôpitaux ou les cliniques de santé alternative.Découverte par le Dr. Alec Banham, un hématologue à l’Institut Babraham de Cambridge au Royaume-Uni, la technologie liposomale (du grec « lipo » gras et « soma » corps), plus récente dans son application, est une véritable révélation au niveau des bienfaits sur la santé et de l’assimilation des nutriments.
Pour bien saisir les effets de cette technologie, regardons de plus près le rôle important que jouent les antioxydants dans le corps humain non seulement dans le processus de guérison mais aussi dans le bon fonctionnement du système immunitaire, des articulations et des artères.
Les antioxydants et les pro-oxydants (radicaux libres)
Toute substance, quelle qu’elle soit, est composée d’atomes et ces atomes sont à leur tour composés de protons et de neutrons autour desquels orbitent des électrons. Lorsque deux atomes ou plus se lient ensemble, ils se transforment en molécules. Le corps humain, à sa plus simple expression, est un amas de molécules, elles-mêmes composées de douzaines, centaines et milliers d’atomes.
La vitamine C joue un rôle important, entre autres:
- dans la santé et le fonctionnement des cellules immunitaires;
- dans la survie des globules blancs, et leur capacité à résister aux attaques des pathogènes et des radicaux libres;
- dans son rôle d’antihistaminique : elle soulage de façon importante les conditions inflammatoires associées aux rhumes, fièvres, grippes et allergies (voir les notes 1, 2 et 3);
- dans le bon fonctionnement de vos glandes surrénales. En effet, la vitamine C est absolument indispensable à la fonction surrénalienne. Elle est nécessaire pour la synthèse des catécholamines (par exemple, la création de norépinéphrine, d'épinéphrine et de dopamine) et la synthèse de la testostérone, du cortisol et de l'aldostérone. Elle aide également à régulariser ces niveaux chimiques lorsque le stress augmente. Des études ont montré que la vitamine C aide à réduire la quantité de cortisol et d'épinéphrine produite en réponse à un stress physique lorsqu’elle est prise en quantité adéquate;
- dans la production du collagène, une composante majeure des ligaments, des os, des disques, des tendons et de la peau (voir les notes 4 et 5). Il a été démontré qu’une dose élevée de vitamine C accélère la guérison de brûlures, coupures, blessures, entorses/foulures et fractures (voir les notes 6, 7 et 8);
- dans la santé des yeux. Plusieurs experts croient qu’une consommation quotidienne de 1000 mg de vitamine C liposomale pourrait prévenir l’apparition des cataractes.
Le cancer et la vitamine C
Les toxines environnementales endommagent les organelles intracellulaires qui mènent à une altération du métabolisme cellulaire et des mutations génétiques. La vitamine C, avec ses propriétés antioxydantes puissantes, protègent les cellules des effets du stress oxydatif. Des doses élevées de vitamine C sont d’autant plus recommandées lorsque de larges masses cancéreuses existent déjà à l’intérieur du corps. La vitamine C ingérée oralement ne peut attaquer le cancer directement mais peut renforcir le système immunitaire qui, lui, s’attaquera au cancer (voir note 9).
Sous sa forme intraveineuse, la vitamine C agit comme un pro-oxydant en formant l’hydrogène de peroxyde, un agent ressemblant à de la chimiothérapie, qui peut aider à détruire les formations de cellules cancéreuses.
Sous sa forme liposomale, la vitamine C agit en prévention contre les dommages causés par les toxines environnementales, tel que mentionné précédemment. Elle peut aussi aider à prévenir l’inflammation chronique qui permet aux cellules mutantes de se développer rapidement en tumeurs cancéreuses.
Attention: Il est important de souligner que la vitamine C ne devrait jamais être utilisée seule comme thérapie contre le cancer mais bien parallèlement avec une thérapie naturelle complète ou un protocole médical traditionnel (voir note 10).
Les maladies cardiovasculaires et la vitamine C
La vitamine C aide à protéger les parois artérielles dans tout le corps. Parmi les vaisseaux sanguins les plus importants qui subissent le plus grand stress, sont ceux qui nourrissent le muscle du coeur. La vitamine C aide à réduire les infections et autres formes de stress oxydatif qui touchent ces vaisseaux sanguins (voir note 11). Elle aide aussi à prévenir l’oxydation du cholestérol à l’intérieur du système sanguin (voir note 12).
Elle peut également améliorer la fonction pulmonaire ainsi que l’oxygénation générale à l’intérieur du corps. Les gens souffrant d’asthme ont tendance à avoir un plus grand besoin en vitamine C : des doses de 2000 mg par jour pourraient réduire la production de histamine dans le corps ainsi que l’inflammation associée aux poumons (voir note 13).
Celle-ci peut également améliorer la stabilité du sucre dans le sang ce qui est particulièrement important chez les gens souffrant de maladies cardiovasculaires et de diabète. Lorsque le niveau de sucre dans le sang est élevé, et laissé sans surveillance, les molécules de sucre se lient aux protéines dans le corps et forment ce qu’on appelle les AGEs (« formation de produits finaux de la glycation avancée »). Ces AGEs créent de grandes quantités de stress oxydatif dans le corps qui peuvent endommager les tissus. Des doses quotidiennes de 1000 à 3000 mg peuvent aider à maintenir au minimum la formation de ces AGEs tout en améliorant la circulation et l’oxygénation des tissus.
Les types de vitamines C
Une grande partie de notre chimie biologique repose sur la solubilité de l'eau et des graisses. Tout comme l’eau et l’huile ne peuvent se mélanger, le corps fait face à un défi lorsqu’un nutriment hydrosoluble (soluble dans l’eau) doit s’insérer dans une matrice liposoluble (soluble dans un corps gras) comme la membrane des cellules.
1./ La vitamine C « classique » sous forme de complément ou sous forme alimentaire est une vitamine hydrosoluble, c’est-à-dire soluble dans l’eau. Or, seule 10 à 20 % de cette vitamine hydrosoluble est assimilée, le reste étant éliminé comme déchets par les voies urinaires.
C’est pourquoi la vitamine C, ingérée sous sa forme hydrosoluble (en comprimés par exemple), n’interagit pas particulièrement bien avec les parois de la membrane de la cellule qui elle, est composée d’acides gras. Il a été démontré que l’ingestion orale de la vitamine C a un ratio d’absorption de 20% dans le sang et 80% qui s’accumule dans le côlon. De plus, on note comme effets indésirables des inconforts gastriques tels crampes et diarrhées puisque la vitamine C « tire » l’eau vers le côlon.
Cette incompatibilité mène à une faible absorption et utilisation des nutriments à l’intérieur de la cellule lorsque la vitamine C est consommée sous une forme autre que liposomale. Aujourd’hui, pour tous ceux qui souhaitent augmenter significativement leur taux de vitamine C cellulaire, la forme liposomale mise sur le marché du complément est une vraie « révolution ».
2./ La vitamine C liposomale quant à elle, est composée de vitamine C enveloppée d’un corps gras appelé liposome. Un liposome est une petite bulle appelée vésicule qui comporte deux couches de lipides : tout comme vos cellules. Ces liposomes peuvent donc traverser les membranes cellulaires en emportant avec eux, jusqu’au coeur même des cellules, la vitamine C liposomale.
Les liposomes sous la loupe
Les liposomes sont une micro-particule de graisse. C’est un procédé nanotechnologique qui utilise une machine destinée à créer des particules nanométriques. Ce sont d’infiniment petits « véhicules », responsables d’apporter les nutriments aux cellules du corps. Il s’agit donc d’une double épaisseur de matériau gras similaire à la double membrane phospholipide des cellules du corps.
C’est ce qui permettra à la vitamine C liposomale de passer à travers la barrière digestive et de livrer les nutriments directement dans le système sanguin. Avec un taux d’absorption par les cellules de plus de 90%, on parle d’un véritable bain de vitamine C pour les cellules - de loin supérieur à la vitamine C intraveineuse qui, malgré son efficacité, est une technique très coûteuse en plus d’être habituellement administrée dans les hôpitaux ou les cliniques de santé alternative.
La vitamine C par voie intraveineuse ou liposomale
Certains experts dans le domaine de la vitamine C, comme le Dr. Thomas Levy, estiment que 6 grammes de vitamine C liposomale équivalent à 50 grammes de vitamine C intraveineuse. Même si la vitamine C administrée par voie intraveineuse fait grimper les taux de vitamine C dans le sang de façon significative, sans la membrane liposomale, cette vitamine hydrosoluble n’arrive pas à pénétrer efficacement la membrane de la cellule et le surplus sera éliminé par les reins.
Liposomale vs intraveineuse
Administrée de façon orale, la vitamine C liposomale agit tel un antioxydant en réduisant le stress oxydatif à l’intérieur du corps. La vitamine C intraveineuse agit comme une drogue pro-oxydante qui aide à produire le peroxide d’hydrogène qui cible les cellules cancéreuses tout en laissant les cellules normales intactes. Les bienfaits pour les gens atteints de cancer à un stade avancé sont importants. Toutefois, la membrane de la cellule empêche la majorité de la vitamine C qui est dans le sang à infiltrer la cellule.
Tel que mentionné précédemment, la membrane liposomale de par sa composition similaire aux parois de la cellule pourra se fusionner à la cellule réduisant de façon importante la dose minimale requise, et entraînera une réduction des coûts (et du stress!) pour le consommateur.
Il faut prévoir environ deux heures, et de 150$ à 200$ (en argent canadien), pour un seul traitement de vitamine C par voie intraveineuse. Quant à la vitamine C liposomale, le coût pour un dosage quotidien de 6g est d’environ 12$ et ne prend que quelques secondes : aussi simple que d’avaler ce gel, aucune aide médicale requise ou d’aiguille à manipuler.
Les études ont révélé qu'après ingestion de vitamine C liposomale, la concentration sanguine en vitamine C est 1.5 à 2 fois supérieure à la vitamine C classique, mais bien moindre que la vitamine C en intraveineuse. Par contre, il y a d’autres éléments que la concentration sanguine qui entrent en ligne de compte:
L’intérêt du liposome
Le fait que le liposome soit gras, il est dit liposoluble, c’est à dire qu’il se mélange facilement aux corps gras. Cela a d’énormes avantages :
1./ L’assimilation intestinale
La vitamine C est beaucoup mieux absorbée par la paroi intestinale. Celle-ci laisse davantage passer la vitamine C encapsulée dans un corps gras. Du coup, il y a plus de vitamine C qui se retrouve dans le sang. Deux études (1,2) ont montré que l’on retrouvait jusqu’à 2 fois plus de vitamine C dans le sang avec la forme liposomale, comparativement à la vitamine C classique. Etant mieux assimilée, la liposomale offre une tolérance parfaite : aucun trouble digestif, ni acidité, même à fortes doses.
2./ L’assimilation cellulaire
Les parois des cellules étant elles-mêmes composées de phosholipides (de gras), les liposomes présents dans le sang traverseraient facilement les membranes cellulaires, emportant avec eux la vitamine C à l’intérieur de la cellule (notamment avec celles avec lesquelles la vitamine C a une affinité: cerveau, cellules immunitaires, surrénales). Ce n’est pas le cas des vitamines C classiques (surtout solubles dans l’eau) où une grande partie finit dans les urines. Dans le cas de la vitamine C liposomale, la vitamine C à éliminer par les reins est plus faible : c’est pourquoi la vitamine C liposomale ne fatigue pas les reins.
Éléments qui penchent en faveur d’une vraie liposomale
Condition d’efficacité des liposomes
La qualité du liposome est essentielle pour pouvoir bénéficier des bienfaits de la vitamine C liposomale. Il s’agit là du processus de fabrication et de son cahier des charges. La technologie liposomale est coûteuse à mettre en place et nécessite de la recherche et du développement.
Une vitamine C liposomale de qualité se définit par la taille des liposomes, leur encapsulation et leur stabilité. Ces paramètres peuvent être fournis par les fabricants.
1/ La taille nanométrique de chaque liposome.
Elle doit être entre 100 nm et 300 nm afin d’assurer une absorption optimale par la muqueuse intestinale et les parois cellulaires.
2/ L‘encapsulation.
Il faut que la vitamine C soit correctement entourée par le liposome. Cela nécessite une machine sophistiquée et des heures de réglages pour obtenir de petits liposomes bien encapsulés.
3/ La stabilité des liposomes
Du processus de fabrication et de conservation va dépendre la stabilité des liposomes. Certains fabricants préfèrent les gélules ou les sachets pour conserver les liposomes.
Déterminer si une vitamine C liposomale est de qualité
La qualité de la vitamine C utilisée :
La vitamine C utilisée est soit de l‘acide ascorbique ou de l’ascorbate de sodium. L’acide ascorbique, c’est la vitamine C classique, que l’on retrouve à l’état naturel sous forme acide L-ascorbique. Aujourd’hui, cet acide est synthétisé en Chine et est d’assez mauvaise qualité. L’ascorbate de sodium est une vitamine C liée à du sodium. Sous forme de sel, cette forme n’est pas acide et plus stable. C’est la forme privilégiée utilisée dans les vitamines C liposomales.
La qualité des phospholipides utilisés
Ceux-ci sont obtenus à partir de lécithine (soja ou tournesol) qui doit être purifiée, sinon la qualité du produit fini est médiocre. Plus la lécithine est pure, plus les liposomes seront petits et bien encapsulés. La phosphatidylcholine est le phospholipide qui doit être majoritaire.
Lécithine de soja ou tournesol pour les phospholipides? Au stade de nos investigations et des retours d’expériences de consommateurs, il semblerait que ce paramètre ne soit pas essentiel sur l’efficacité du liposome. C’est davantage la pureté de la lécithine qui prône.
Repérer une fausse liposomale
Certains fabricants nomment leur vitamine C liposomale alors que ça n’en est pas. Depuis 2016, on voit déferler sur le marché des produits en forme liposomale. Nous vous donnons ici les éléments pour repérer la supercherie sur l’étiquette :
1./ Vitamine C sous forme de palmitate d’ascorbyle
C’est une forme de vitamine C qui est liée chimiquement à un corps gras (acide palmitique). L’absorption est peut-être meilleure que la vitamine C classique mais ce n’est pas un procédé liposomal qui aboutit à des micro-gouttelettes de graisses.
2./ Vitamine C sous forme d’Ester-C®
C’est une forme brevetée qui contient de l’ascorbate de calcium avec de l’acide L-ascorbique oxydée et thréonate de calcium. Etant brevetée, elle ne peut être mise en forme liposomale (l’Ester-C® liposomal est impossible, donc ce n’est pas liposomal).
3./ Ajouts d’émulsifiants
Tout pense à croire dans ce cas qu’il s’agit d’une simple émulsion (mélange eau + gras, comme la mayonnaise)
4./ "Lécithine" au lieu de "Phospholipides issus de lécithine"
Si la mention lécithine est dans la composition, alors au mieux il s’agit d’une mauvaise liposomale car la lécithine n’a pas été purifiée. Au pire la lécithine est simplement utilisée comme émulsifiant pour faire une émulsion.
Protocoles suggérés pour la vitamine C liposomale
La concentration sanguine de vitamine C prise par voie orale décline à partir de 3 heures après sa prise. Pour bénéficier pleinement des effets de la vitamine C, il vaut mieux prendre des doses répétées, plutôt qu’une seule « grosse » dose.
:: Pour un individu en quête d’une bonne santé générale et n’affichant aucun symptôme important ou n’ayant reçu aucun diagnostic:
- Prendre 1000 mg, 1 à 2 fois par jour (1000 à 2000 mg/jour)
:: Pour un individu ayant des problèmes de santé majeurs:
- Prendre 2000 mg, 2 à 3 fois par jour (4000 à 6000 mg/jour)
Dès l’apparence de complications (haute ou basse pression, étourdissements, nausée, crampes, diarrhée, etc.), réduire au plus petit dosage et prendre note des effets. Avant d’entamer un protocole de vitamine C liposomale, il est recommandé en tout temps d’en discuter avec un professionnel de la santé.
Sources:
Merci à www.phytonut.com pour certaines infos dans l'article.
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