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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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30 avril 2015

La Fondation Findhorn , une organisation new Age associée à l'O.N.U

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la Fondation Findhorn 

C'est en 1962 que s'installent dans une simple caravane Peter Caddy et sa femme Eileen, à Findhorn en Écosse. Une amie d'Eileen,Dorothy Maclean, les accompagne. Toutes deux pratiquent la méditation, et c'est une voix céleste qui leur indique un beau jour qu'ils doivent créer là un jardin potager. "Vous serez aidés par les dévas" précise cette "voix". L'appellation "déva" est d'origine sanskrite, mais comme nous l'avons vu, les portes vers l'Orient sont grandes ouvertes. Ces dévas d'un nouveau genre désignent donc ici de petits êtres invisibles qui résident dans la terre, et qui aideront ces pionniers dans leur tâche. Les résultats ne se font pas attendre, et les récoltes sont abondantes. Plusieurs dizaines de personnes ne tardent pas à rejoindre les trois fondateurs, et ainsi naît la Fondation nouvelle, qui devient un lieu de séminaire et un foyer de propagande très actif. Parmi les noms à retenir, passés par Findhorn, citons Sir George Trevelan, expert en agronomie, qui apporta sa caution scientifique: "Ce jardin offre l'image de cette sorte d'action créative que le Nouvel Age émergeant est en train de réaliser. Findhorn commence à établir une nouvelle façon de vivre. Nous sommes appelés à former une nouvelle société qui se consacre vraiment à Dieu et à la survie grâce à la coopération consciente de l'être humain avec des êtres de mondes plus élevés." Citons également David Sprangler, directeur de l'"Initiative Planétaire" (organisation associée à l'O.N.U.), qui fut pendant trois ans co-directeur de la Fondation. Il affirme y avoir reçu de nombreux messages en provenance d'une entité divine qu'il appelle "Amour infini et liberté". Nettement moins poétiques que le nom de cette entité, sont certaines affirmations qu'on lui attribue aujourd'hui, telle "Personne ne pourra entrer dans le Nouvel Age sans avoir subi une initiation luciférienne."… Nous en reparlerons.

 

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La Fondation Findhorn, dont la philosophie est profondément ancrée dans l'animisme, et le panthéisme, fait aujourd'hui référence dans le mouvement New-Age pour tout ce qui touche à l'écologie de la terre. Notre planète - assimilée à l'antique déesse Gaïa – est sacralisée. L'homme en est bien le maître, mais loin de devoir se soumettre au bon vouloir divin, il lui appartient de construire son propre bonheur, ici et maintenant, par une exploitation pacifique de la nature, suivant en cela les conseils prodigués par de mystérieux esprits célestes chargés de le guider dans cette tâche…
La Fondation affirme toujours travailler sur "la rencontre et la coopération entre des êtres humains et les esprits de la nature", et est connue comme "Centre d'éducation holistique" (= "unifiée", "globalisante"). Notons encore que Dorothy Maclean est l'auteur de "La voix des anges", ouvrage dans lequel elle affirme être en contact télépathique "avec les Dévas, ces grands êtres qui imprègnent toute la nature", et qu'Eileen Caddy est l'auteur d'un petit livre mondialement connu, intitulé "La petite voix". Nous en donnerons des extraits au chapitre des "constantes New-Age".

 

L'expansion 

Dans le domaine de l'édition, il faut attendre l'année 1980 pour voir apparaître une première théorisation du mouvement. S'appuyant sur les dogmes véhiculés par la Société Théosophique dont nous avons parlé, Marilyn Ferguson effectue la synthèse des désirs de changement social qui ont caractérisé les années 1960, et des aspirations au changement de conscience typiques des années 1970: elle publie aux Etats-Unis "The Aquarian Conspiracy", livre qui est traduit en français dès l'année suivante sous le titre "Les Enfants du Verseau", dans lequel elle prédit une "Civilisation Planétaire Idéale" qui résulterait des transformations profondes de l'homme et de la société. L'ouvrage connaît un immense succès, et répand le Nouvel Age "à l'image d'un incendie dans une fabrique de feux d'artifices", selon les termes même de l'auteur.

 

En janvier 1990, la revue "20 ans" estimait que 10% de la population des États-Unis était déjà touchée, et le mouvement a profité des nouvelles techniques informatiques (et notamment du réseau internet) pour se répandre à la vitesse grand V à travers le monde. La France n'est pas en reste, avec un nombre croissant d'associations, de "Maîtres spirituels" et de gourous de tous poils, qui profitent d'un recul marqué dans la pratique des religions chrétiennes. Depuis le début des années 1990, de nombreuses maisons d'édition investissent dans ce marché juteux, et rivalisent dans la surenchère du merveilleux et de l'inédit. Dix pour cent des recettes de ce secteur sont assurés par la vente de livres New-Age ! Les domaines couverts par le mouvement sont extrêmement éclectiques, allant de la méditation aux médecines douces, des sciences occultes (astrologie, radiesthésie, etc.) aux spiritualités orientales, du développement personnel à l'écologie. Outre-Atlantique, c'est une trentaine de nouveaux titres qui paraît chaque semaine… Des périodiques ont également fait leur apparition, tels les revues Troisième Millénaire et Nouvelles Clés, dont le tirage peut atteindre 50.000 exemplaires. De nombreux Salons sont devenus les points de rencontre incontournables de ce mouvement, tels le Salon des médecines doucesMarjolaineLa Santé autrementVivre autrement, etc.. En 1991, la ville de Mulhouse a été décrétée première ville du Nouvel Age, à l’occasion du premier festival "pour la défense de la terre, de l’homme et de l’univers" !

 

Portrait du New-Ager potentiel 

Sans aucun doute le New-Age s'est-il engouffré dans la brèche ouverte par les aspirations des hommes en cette fin de XX° siècle. Celles-ci pourraient être ainsi définies :

 

- aspiration au bien-être et à la sérénité - avec un refus catégorique de la souffrance, par définition insupportable, voir toujours "injuste";
- intérêt prononcé pour d'autres cultures que celles véhiculées par les traditions occidentales - et rejet plus ou moins net de la tradition monothéiste;
- recherche incessante de sensations nouvelles (et intérêt marqué pour l'image visuelle), au détriment d'une démarche de raisonnement (et à fortiori de tout ce qui touche à la lecture). C'est ainsi que l'on voit peu à peu la pensée analytique (et l'esprit critique) remplacée par une pensée irrationnelle et intuitive…


Ajoutons à ces remarques une vive curiosité vis-à-vis de ce qui se rapporte à "l'inconnu" et au "mystère"… et voilà brossé le portrait classique du candidat à l'initiation au Nouvel Age. Si nous devions résumer ce qui précède, le maître mot de ces nouveaux états d'esprit pourrait être "évasion": l'homme d'aujourd'hui cherche à tout prix à s'évader, s'évader du monde qui l'entoure, s'évader de l'emprise de la civilisation, s'évader des champs balisés par la tradition et la culture de son pays, s'évader des repères moraux et religieux que lui ont légué les générations qui l'ont précédé. Et pour que cette évasion devienne réalité, il est prêt, nous le verrons, à payer le prix fort…

 

L'on pourrait également s'interroger sur la désacralisation de la pratique religieuse prônée par Vatican II et son Antichrist, et de ses conséquences sur l'éloignement des fidèles, en lesquels cette notion du sacré est intimement inscrite… Mais il faudrait sans doute y consacrer un volume à part entière.

 

Verdana;">Les constants"millenium d'amour et de lumière"annoncé par Marilyn Ferguson, correspondant au retour du "Christ cosmique" prédit par Alice Bailey. L'écologie y trouve une large part, notre terre étant considéré comme une Mère, dont chaque élément est en lui-même partie intégrante du "Divin". Voguant entre panthéisme et philosophies orientales, le New-Age prône une "Nouvelle Alliance" avec la Nature, base d'une nouvelle culture planétaire. Des guides spirituels invisibles sont chargés de guider l'être humain dans cette voie, qui prennent tour à tour le nom de "Grands Initiés", de "Supérieurs Inconnus", de "Maîtres Invisibles" ou "de Sagesse", de "Maîtres Ascensionnés", etc.. Nous y reviendrons.

 

Cela dit, quelques principes de base sont véhiculés par tous les mouvements qui se rattachent à cette philosophie:

 

1. - L'homme y est présenté comme un petit dieu, capable de toutes les merveilles, de toutes les réalisations, de tous les "possibles". L'exploitation de son potentiel le rend radicalement autonome et indépendant. Dieu est remplacé par la "Divinité", "monade suprême", Présence universelle immanente, intérieure et non pas extérieure à l'homme, et donc en aucun cas "Créateur", évidemment encore moins "Père". L'adepte n'entretient pas avec lui un rapport d'altérité, mais de fusion. Il s'agit là d'une déformation de la philosophie hindouiste, qui sera explicitée au chapitre consacré aux techniques de méditation. "Dieu et moi ne nous bornons pas à communiquer; nous communions et nous sommes un" écrivait David Spangler.

 

Par ailleurs, tous les écrits relevant de ce mouvement emploient un vocabulaire commun, utilisé à dessein pour emporter l'adhésion du lecteur: énergie (positive, cosmique), vibration (force vibratoire, vibrer), intuition, souffle, canal, rayon (rayonnement), harmonie (harmonisation), réception (réceptivité), conscience, éveil, réalisation de soi, épanouissement, connaissance, pouvoir, renaissance, et bien sûr les incontournables amour, cœur, lumière, liberté, paix, etc.

 

 

 

Portons une attention particulière aux allusions répétées aux couleurs, et plus précisément à l'arc-en-ciel, car ce symbole semble être la "marque de fabrique" de toute entreprise estampillée New-Age. Il n’est donc pas étrange de voir que ce même symbole fut adopté par le mouvement des Gays (homosexuels et lesbiennes) pour représenter la fierté de leur perversion et leur rébellion contre Dieu. Et de même que l'arc-en-ciel était le symbole dans l'Ancien Testament de l'Alliance de Dieu promise à Noé ("Tel est le signe de l'Alliance que j'établis entre moi et toute chair qui est sur la terre", Gn 9, 12-17), de même il est ici la marque de cette "Nouvelle Alliance" avec un univers totalement divinisé. Une seule moitié en est représentée, qui symbolise le pont entre l'âme humaine individuelle et le "grand esprit universel" (assimilé par certains avec Lucifer). Le théosophisme a ainsi créé un drapeau bouddhiste de couleur arc-en-ciel, qui a inspiré certaines associations gays et même certaines branches de l'O.N.U. à la suite de groupes franc-maçonniques… A propos de l'O.N.U. (et sans développer ici ce sujet… brûlant), signalons que Leland Steward, président du "Conseil de l'Unité dans la Diversité" créé sur une directive de l'Assemblée Générale de l'O.N.U. en 1965, avait déclaré: "L'harmonie de toutes les religions m'intéresse au plus haut point. Il ne s'agit pas simplement de donner naissance à une nouvelle religion, mais plutôt de créer une perspective religieuse universelle, par laquelle toutes les cultures, toutes les religions et toutes les races pourront s'interconnecter"

 

 

 

Ce mélange des références religieuses de toutes les traditions est bien aujourd'hui la "potion magique" habituelle aux divers groupements Nouvel-Age (c'est ce que l'on appelle le syncrétisme).

 

 

 

Voici quelques exemples des caractéristiques qui précèdent:

 

 

 

Sur le site internet qui vante les bienfaits des ouvrages de Daniel Meurois et Anne Givaudan, on lit ainsi: "Nous sommes déjà nombreux à pouvoir témoigner combien les livres de Anne et Daniel sont une excellente nourriture pour l'âme, un excellent remède contre le manque d'amour, et qu'ils sont à la portée de tous ceux qui sentent un appel dans leur cœur ! Les livres de Anne Givaudan et de Daniel Meurois nous aident d'une façon ou d'une autre à découvrir notre vraie nature intérieure, celle qui ne demande qu'une chose: être lumineuse et rayonner. Cette vraie nature, c'est celle de l'Amour..."

 

 

 

De "vibrations", il est beaucoup question sur le site "Magie et Evolution Divines", site "offert à la Divine Mère, à la Divine Providence, à Jésus le Christ, à Urgaya, à Franz Bardon, à Maître Koot-Homi, à Maître Morya et à tous les Frères de la Lumière de la Grande Loge Blanche""Tout est Vibration, tout est Energie !" y lit-on. Et ce site n'est pas avare de conseils… On y apprend que "Dieu ayant un Etat Vibratoire éminemment supérieur à l'humain, celui-ci a tout intérêt à incorporer en lui le maximum d'Energies et de Vibrations Divines." L'intérêt de l'homme est donc là: ressembler à Dieu… devenir Dieu lui-même. "Le meilleur résultat vient sans nul doute d'une purification quotidienne quelles qu'en soient les méthodes. Encore faut-il être initié à ces Sciences Divines." Incontournable initiation, commune à la majorité des mouvements New-Age. Vous êtes encore chrétien ? N'en faites pas une affaire: "Devant la Divine Providence, Dieu Unique, nous affirmons que votre religion ou votre croyance ne gêne en rien la captation et l'efficacité de ces Energies Divines Transcendantes." Nous voilà rassurés ! Bel exemple de récupération de noms familiers aux chrétiens (Dieu, Providence, Jésus…), pour tenter de les emmener sur un chemin qui en est diamétralement opposé ! Ce site étant en lien étroit avec ceux présentant les recherches d'Eileen Caddy et de Franz Bardon (1909-1958), nous aurons l'occasion d'y revenir.

 

 

 

Pour ce qui concerne le domaine du "pouvoir", on en trouve un exemple dans "La petite voix" d'Eileen Caddy, à la date du 15 juin : "Tu détiens un grand pouvoir dans tes mains. Veille à bien l'utiliser pour le bénéfice du tout. Le pouvoir peut être utilisé positivement ou négativement, la façon dont tu l'utilises dépend uniquement de toi. Lorsque tu ne veux voir que les meilleurs résultats, et que tu l'utilises positivement, les évènements les plus merveilleux peuvent arriver. […] Les âmes qui sont prêtes et préparées à utiliser correctement ce pouvoir sont employées, en ce moment, pour participer à l'avènement du nouveau ciel et de la nouvelle terre."

 

 

 

Baird T. Spalding (1857-1937) avait déjà affirmé dans "Treize leçons sur la vie des maîtres": "Dieu est ce Pouvoir vibratoire dont vous pouvez vous entourer. Il vous montre qu'Il est à votre disposition comme toutes vos connaissances. […] L'homme est créé à l'intérieur de Dieu, inclus dans la totalité de Dieu, il est formé de l'essence même de la nature de Dieu. Il n'a pas besoin d'atteindre Dieu: il est Dieu. Dieu et l'homme sont inséparables. L'homme doit se souvenir qu'il est Dieu, et qu'il n'existe donc pas de séparation entre l'individuel et l'universel; qu'il est partie intégrante du Tout et que sa nature est identique à la totalité. "Je suis Dieu" est une des affirmations les plus claires que puisse proclamer l'individu." On ne peut en effet être plus clair, dans cette affirmation du "Tout est un, tout est Dieu, je suis Dieu", que l'on retrouvera comme idée directrice de l'ensemble des mouvements New-Age.

 

 

 

Voici enfin quelques lignes typiquement Nouvel Age que nous devons à El Morya, l'un des membre de la Grande Fraternité Blanche, organisation spirituelle composée de "Maîtres Ascensionnés" venus de notre Terre pour passer dans l'Immortalité - organisation dont feraient également partie Lao Tseu, Bouddha, le comte de Saint-Germain, et… le Christ et Marie, sa mère.

 


"Le rôle des Maîtres Ascensionnés et de leurs enseignements dans vos vies, est d'accroître la prise de conscience de vos âmes en vous léguant les clefs qui mènent à l'ascension. (…) L’Oeil de Shiva, l’Oeil de Dieu envoie son regard perçant en chacun d’entre vousmaintenant et à travers vous sur une ville, sur une nation, sur un continent, en une planète toute entière pour éveiller une fois de plus les consciences. (…) Votre France, votre Terre France renferme cinq avatars, cinq Êtres de Lumière lesquels flamboient comme une Étoile à cinq branches, un merveilleux pentagramme de Lumière d’Or. Leur mission est d’aider votre Entité France à s’aligner sur les nouvelles forces vibratoires. Il faut que l’humain se ressaisisse et je souffle en vous ma volonté, mon Rayon I dont je suis l’Ambassadeur.Laissez descendre en vous le Feu Divin qui est en moi. (restez dans le silence quelques minutes). Je vous entoure maintenant d’une bulle de Lumière bleue laquelle vous place sous la protection de l’Archange Michaël. (restez dans le silence quelques minutes).Et je voudrais que dans cette bulle de Lumière bleue, et par votre Volonté Divine à laquelle vous devez croire, que vous placiez les êtres avec lesquels vous voulez partager cette Flamme Bleue d’Amour…"

 

 

 

Malgré tous les points communs cités plus haut, il apparaît nombre d'incohérences et de contradictions à la lecture de toute cette prose Nouvel Age… Sur ce sujet, Cyrille Odon - créateur du site New-Age L'Homme Multidimensionnel & la Terre Nouvelle - a reçu la réponse suivante de la part d'Yvon Gagné, transmise par son "guide spirituel": "La vérité n'est faite que d'un ensemble de facettes. Et nous pouvons regarder chacune de ces facettes selon notre propre point de vue... Aussi est-il important que chacun approfondisse sa réalité. Plus exactement celle qui correspond à son cheminement et à sa perspective, en fonction de son présent, afin de réaliser la meilleure création qu'il puisse réaliser dans le moment, et en fonction de cette perspective. Elle est bien sûr en correspondance avec notre niveau vibratoire et notre état émotionnel..." Et il ajoute plus loin : "Nous sommes beaucoup enfermés dans les mots et coincés par eux, dans une définition stricte et arrêtée, univoque, de la réalité. [...] La seule démarche véritable est de s'en faire une idée personnelle par expérience propre (aux deux sens du termes), en veillant à ce que cette expérience ne soit pas elle-même gauchie par le langage ou l'émotion négative." Je me garderai bien d'employer l'expression "noyer le poisson", en ce commencement d'ère du Verseau… Mais cette mise au point a le mérite de la clarté: toute expérience propre ouvrant une porte sur la réalité, et la vérité étant personnelle à chaque individu, l'adepte du New-Age n'a plus que faire des enseignements religieux. Et c'est bien finalement ce à quoi tendent en profondeur tous ces mouvements New-Age: éloigner l'être humain de la religion (et surtout de la religion chrétienne et calviniste), pour le mettre à la merci des révélations nouvelles, dont l'origine véritable ne laisse guère de doute.

http://levigilant.com/documents/nouvel_age.html

 

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6 décembre 2014

Le nom jésus est un nom trafiqué ne pouvant provenir ni de l'hébreu ni du grec

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Le nom jésus est un nom trafiqué ne pouvant provenir ni de l'hébreu ni du grec. Origine du nom jésus. Explication du nom mensonger jésus. Remarquons que Beaucoup de ceux qui louent le nom de jésus, le considèrent comme un menteur ! Jésus : un nom honteux pour la Vérité.



Le nom jésus est un nom trafiqué !

Jésus est un nom mensonger qui tente de faire croire que Yah est Zeus !



Le nom jésus n'a pas sa place dans la bible !



Le malin spirituel est à l'origine du nom /sus, C'est lui aussi qui tente de faire associer le Nom de Elohyim au soleil !
Bien évidement Babylone marche à fond dans cette combine: Voyez à quoi ressemblent une hostie et une auréole...

La phonétique des 2 S de yéSouS indique la signature du SatanaS soit le père du mensonge. Ce dernier séduit toute la terre qui a délégué la compréhension des textes de la Bible à des hommes qui ne suivent pas le Premier Grand Commandement de Elohyim de la Bible.

Parmi les Yahoudaïos, qui est étonné de retrouver le nom de Zeus, à peine dissimulé, dans le nom de jésus?

Jésus, soit Jé/sus: Yé/zous en Allemand soit "yé", un diminutif de Yahouh [et de Yahou-Christ] qui est retranscrit par "ya" ou ia [Comme dans Alléluia] [étude sur Alléluia] est aussi retranscrit par "yé" (comme le "Ye" de Yéroushalayim ) et ici comme dans le nom jésus lorsqu'il est associé à zeus, le faux dieu païen ancestral.
 
[ jé/zeus] = [yé/zous] = [ jésus] !

Le son "ya" qui représente Yah correspond au Yod de l'écriture hébraïque et il est transcrit parfois "ia" parfois "ié" par les traducteurs.


Jésus: Jésus : (prononcer Dji/zes en Anglais indique que « dieu est Zeus » ( Dyeus est Zeus ) soit Dji + Zeus soit Jésus, soit  Yésous  en Allemand. (prononcer yé/zous)

Dieu est Zeus en photo: http://images.google.fr/images?hl=fr&q=Dieu+est+Zeus&gbv=2&aq=f&oq



-  Dieu c'est le Zeus mensonger et en opposition, Elohyim c'est  Yahouh, Yahou-Christ, La Vérité, le chemin, La porte, et la Vie spirituelle en PERE Eloïe éternel parfait.

Rappel :
Le père du mensonge se déguise spirituellement en ange de lumière et il fait utiliser le nom jésus par ses supports pour diffuser ses mensonges:

Il tâche toujours de faire passer le mal pour le bien et ses mensonges pour la Vérité.

“ Yahouh, ma force et mon appui, mon refuge au jour de la détresse!
Les nations viendront à toi des extrémités de la terre, et elles diront:
Nos pères n’ont hérité que le mensonge, de vaines idoles [des statues,] qui ne servent à rien.” (Jérémie 16:19 TKCP)

“ Et j’entendis du ciel une autre voix qui disait: Sortez du milieu d’elle, mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés, et que vous n’ayez point de part à ses fléaux.” (Apocalypse 18:4 LSG)

“ Vous avez pour père le diable [Satan l’adversaire spirituel], et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsqu’il profère le mensonge, il parle de son propre fonds; car il est menteur et le père du mensonge .” (Jean 8:44 LSG)

“ Et cela n’est pas étonnant, puisque Satan lui-même se déguise en ange de lumière.”(2 Corinthiens 11:14 LSG)

Le prince de ce monde [le père du mensonge] veut faire croire que le surnaturel repose sur le naturel de la même manière que la lumière spirituelle reposerait sur la lumière naturelle.

...Et pour les "morts-vivants" spirituels: Ca marche !

“ Mais Yahou lui dit: Laisse les morts ensevelir leurs morts; et toi, va annoncer le royaume de Elohyim.” (Luc 9: 60 TKCP)

…Ils suivent le culte solaire au calendrier solaire   des différents sépulcres spirituels blanchis [ceux de Babylone la megas et ceux de ses filles spirituelles] qui évoquent le nom catholique jésus et le nom de dieu sans se poser de questions !

http://www.lettre-chretienne.org/cgi-local/affiche_etudes.pl?Famille=11&action=Detail&ID=481&referer=/Babylone-biblique.htm

Question : "Quelle est l’origine de l’Eglise Catholique ?"

Réponse : L’Eglise Catholique romaine soutient que son origine remonte à la mort, la résurrection et l’ascension de Jésus-Christ autour de l’an 30 de notre ère. L’Eglise Catholique se proclame comme étant l’Eglise pour laquelle Jésus-Christ est mort, l’Eglise établie et bâtie par les Apôtres. Est-ce la vraie origine de l’Eglise Catholique ? Bien au contraire. Même une lecture superficielle du Nouveau Testament montre que l’Eglise Catholique n’a pas ses origines dans les enseignements de Jésus ou de Ses apôtres. Le Nouveau Testament ne fait aucune mention de la papauté, de l’adoration de Marie (ou de l’immaculée conception de Marie, de la virginité perpétuelle de Marie, de l’assomption de Marie, ou de Marie en tant que co-rédemptrice et médiatrice), des requêtes aux saints dans les Cieux afin de bénéficier de leurs prières, de la succession apostolique, des ordonnances dans le fonctionnement de l’église, telles que le baptême des enfants, la confession des péchés à un prêtre, le purgatoire, les indulgences, ou l’égale autorité de la tradition de l’église et des Ecritures. Si donc l’origine de l’Eglise Catholique ne se trouve pas dans les enseignements de Jésus et de Ses apôtres, comme mentionné dans le Nouveau Testament, quelle est la vraie origine de l’Eglise Catholique ?

Au cours des 280 premières années de l’histoire chrétienne, le christianisme était interdit par l’empire romain, et les chrétiens étaient terriblement persécutés. Cette situation a changé après la “conversion” de l’Empereur romain Constantin. Celui-ci a “légalisé” le christianisme à l’Edit de Milan en 313 de notre ère. Plus tard, en 325, Constantin a convoqué le Concile de Nicée, dans une tentative d’unification du christianisme. Constantin percevait le christianisme comme une religion capable d’unir l’Empire romain qui commençait, à cette période, à se fragmenter et à se diviser. Bien que cela aurait semblé être une situation favorable pour l’église chrétienne, les résultats ont été tout sauf positifs. Tout comme Constantin a refusé d’embrasser totalement la foi chrétienne, mais a conservé plusieurs de ses croyances et pratiques païennes, de même l’église qu’il a promue était un mélange de la vraie chrétienté et du paganisme romain.

Constantin a jugé que l’Empire romain étant si vaste, expansif et divers que personne n’accepterait d’abandonner ses croyances religieuses pour embrasser le christianisme. Il a donc autorisé et même encouragé la “Christianisation” des croyances païennes. Des croyances complètement païennes et non bibliques se sont vues attribuer de nouvelles identités “chrétiennes”. En voici quelques exemples clairs :

(1) Le culte d’Isis, une déesse mère égyptienne, a été absorbé dans le christianisme en remplaçant Isis par Marie. Plusieurs des titres utilisés pour Isis, tels que “la Reine du Ciel,” “la Mère de Dieu” et “theotokos” (celle qui a enfanté Dieu) ont été attribués à Marie. Celle-ci a reçu un rôle exalté dans la foi chrétienne, largement au-delà de celui que la Bible lui attribue, afin d’attirer les adorateurs d’Isis vers une religion qu’ils n’auraient autrement pas embrassée. Plusieurs temples d’Isis ont été, en effet, convertis en temples dédiés à Marie. Les premiers indices clairs de la Mariologie catholique figurent dans les écrits d’Origène, qui vécut à Alexandrie en Egypte, ville qui était le point focal de l’adoration d’Isis.

(2) Le mithraïsme était une religion pratiquée dans l’Empire romain entre le 1er et le 5ème siècle de notre ère. Elle était très populaire chez les Romains, en particulier parmi les soldats romains, et était possiblement la religion de plusieurs empereurs romains. Bien que le Mithraïsme n’ait jamais eu de statut “officiel” dans l’empire romain, il a été de facto la religion officielle jusqu’à son remplacement par le christianisme, pendant le règne de Constantin et des empereurs romains suivants. L’une des principales caractéristiques du Mithraïsme était un repas sacrificiel, au cours duquel l’on mangeait la chair et buvait le sang d’un taureau. Mithra, le dieu du Mithraïsme, était “présent” dans la chair et le sang du taureau qui, lorsque consommé, donnait le salut à ceux qui ont participé au repas sacrificiel (la théophagie, le fait de manger son dieu). Le Mithraïsme possédait également sept “sacrements,” ce qui rend les similarités entre cette religion et le Catholicisme romain trop nombreuses pour être ignorées. Constantin et ses successeurs ont trouvé un substitut facile au repas sacrificiel du Mithraïsme dans le concept de la Sainte Cène / la Communion chrétienne. Malheureusement, certains chrétiens primitifs avaient déjà commencé à associer du mysticisme à la Sainte Cène, rejetant le concept biblique de commémoration simple et respectueuse de la mort de Christ et de son sang versé. La Romanisation de la Sainte Cène est l’accomplissement de la transition vers la consommation sacrificielle de Jésus-Christ, appelée Messe catholique / Eucharistie.

(3) La plupart des empereurs (et citoyens) romains étaient hénothéistes. Un hénothéiste est une personne qui croit en l’existence de plusieurs dieux, mais en se focalisant sur un de ces dieux ou en lui donnant la suprématie sur les autres dieux. Par exemple, le dieu romain Jupiter avait la suprématie sur le panthéon des dieux romains. Les navigateurs romains étaient souvent des adorateurs de Neptune, le dieu des océans. Lorsque l’Eglise catholique a absorbé le paganisme romain, elle a simplement remplacé le panthéon des dieux par les saints. Tout comme le panthéon des dieux romains comprenait un dieu de l’amour, un dieu de la paix, un dieu de la guerre, un dieu de la force, un dieu de la sagesse, etc., l’Eglise catholique possède aussi un saint qui “contrôle” chacun de ces éléments, et plusieurs autres catégories. Tout comme beaucoup de villes romaines avaient leur dieu personnel, l’église catholique a aussi attribué des “saints patrons” aux villes.

(4) La suprématie de l’évêque romain (la papauté) a été créée avec le soutien des empereurs romains. La ville de Rome étant le centre du gouvernement de l’empire romain, et étant donné que les empereurs romains résidaient à Rome, cette ville s’est hissée au premier rang dans toutes les facettes de la vie. Constantin et ses successeurs soutenaient l’évêque de Rome en tant que dirigeant suprême de l’église. Bien évidemment, il était mieux, pour l’unité de l’empire romain, que le gouvernement et la religion d’Etat soient basés dans le même endroit. Bien que la plupart des autres évêques (et chrétiens) aient résisté à l’idée de suprématie de l’évêque de Rome, celui-ci a fini par atteindre la suprématie, grâce au pouvoir et à l’influence des empereurs romains. Après la chute de l’empire romain, les papes on récupéré le titre qui appartenait auparavant aux empereurs romains – Pontificus Maximus.

Il existe beaucoup d’autres exemples, mais ces quatre cas sont suffisants pour démontrer la vraie origine de l’Eglise Catholique. Bien sûr, l’Eglise Catholique romaine nie l’origine païenne de ses croyances et pratiques. Elle déguise ses croyances païennes par des conceptions théologiques compliquées. L’Eglise Catholique excuse et nie son origine païenne sous le masque de la “tradition de l’église.” Reconnaissant que plusieurs de ses croyances et pratiques sont totalement étrangères aux Ecritures, l’Eglise Catholique est obligée de nier l’autorité et la suffisance des Ecritures.

L’Eglise Catholique tire son origine du compromis tragique entre le christianisme et les religions païennes qui l’entouraient. Au lieu de proclamer l’Evangile et de convertir les païens, l’Eglise Catholique a “christianisé” les religions païennes et “paganisé” le christianisme. En brouillant les différences et effaçant les distinctions, oui, l’Eglise Catholique s’est rendue attirante pour le peuple de l’empire romain. L’un des résultats de cette situation est que l’Eglise Catholique est devenue la religion suprême dans le “monde romain” pendant des siècles. Toutefois, un autre résultat est la plus grande forme d’apostasie dans le christianisme vis-à-vis du vrai Evangile de Jésus-Christ et de la proclamation vraie de la Parole de Dieu.

2 Timothée 4:3-4 déclare, “Car il viendra un temps où les hommes ne supporteront pas la saine doctrine; mais, ayant la démangeaison d’entendre des choses agréables, ils se donneront une foule de docteurs selon leurs propres désirs, détourneront l’oreille de la vérité, et se tourneront vers les fables.”

"Celui qui connait la vérité et ne la dit pas devient son complice" RJames

Le but n'est pas d'attaquer les croyants vous l'aurez compris quand a ceux qui se sentiront offensés  par ces textes ,qu'ils sachent que les actions ne valent que par leurs intentions ........le pemier devoir du croyant avant de croire , c'est de s'instruire car uen fois instruit il pourra renforcer sa foi dans ses épreuves ,que Dieu lui assignera suivant le degré de sa comprehension et de son éveil ......


En savoir plus: http://www.gotquestions.org/Francais/origine-eglise-catholique.html#ixzz3L78OU5vc

3 août 2014

Dieudo et Soral ont déplacé la culpabilité antisemite du FN sur les jeunes de banlieue

130308-considere-par-les-historiens-israeliens-comme2

Pour résumer la stratégie du FN qui a enrôlé ou manipulé un humoriste noir populaire en  banlieue pour aspirer les électeurs de banlieue ,en leur faisant croire que seul soral et dieudo etaient anti systeme une belle arnaque ,par le biais de  soral qui a déplacé la culpabilité antisémite sur les banlieues et défalqué le FN de ses anciens demons ,ainsi arabes de banlieues égal antisémites ,de plus en attirant la sympathie des beurres il les récupère pour un vote frontiste qui fait semblant d'être de leur coté avec leur faux combat de quenelle anti systeme sioniste une belle arnaque qui hélas ,n'a pas sauté aux yeux de ces milliers de jeunes  , il est complètement stupide et insultant de le réduire a une quenelle marque deposé à l'inpi par  des impies au service de mondialiste qui assurent  ainsi , la légitimité du criff et du sentiment anti juifs en France ,ce sentiment n'est exacerbé que par les médias pour mieux projeter les maux du fn nouvelle allier du sionisme sur les banlieues et de cibler ainsi les musulmans ,beau travail du FN digne des meilleurs plan des spins doctor atlantistes .. Dieudonné s'est bien fait enflé dur sera son réveil , soit il est complice ? ou un agent  ? Soit il se contente de ramasser les millions d'euros pour une retraite anticipée qui devrait arriver après les élections de 2017 qui marquera la victoire totale de ce qu'ils faisaient semblant de dénoncer .

il suffit de lire les titres des infos distillées sur le net pour comprendre le but de toute cette mascarade .

Oui, il y a un antisémitisme dans ces quartiers. ... musulman et acteurs de terrain jugent « préoccupant » l'antisémitisme qui sévit en banlieue,

Le CRIF, l'antisémitisme et le conflit israélo-palestinien ...

Notamment lorsque l'on entend que : « Les manifestations antisémites se ... à un déchaînement de violences anti-juives dans les banlieues françaises ..

 

Combattre l'antisémitisme - Mediapart

 

blogs.mediapart.fr/blog/vingtras/301213/combattre-lantisemitisme (anti systeme  quelle bonne blague )

30 déc. 2013 - Aujourd'hui où le combat contre l'antisémitisme ne dépasse guère le niveau ...... avec le drapeau algérien, je suis sûr qu'ils adoreraient ça en banlieue

 

La montée de l'antisémitisme en Europe dans les années 2 ...

www.crif.org/fr/tribune/la-montée-de-l’antisémitisme-en.../48989
31 janv. 2014 - La première, peut-être la plus fréquente est le produit d'un transfert ... de la synagogue d'Aubervilliers, dans la banlieue parisienne ; un cocktail ...
(et voici la ligne du FN qui se démarque de ces banlieusards mechant et raciste astucieux non quelle hypocrisie )

Gilbert Collard : L'antisionisme, un moyen de passer en ...

video.lefigaro.fr/figaro/video/...l...antisemitisme/3696687495001/
25 juil. 2014 - ... Collard : L'antisionisme, un moyen de passer en fraude l'antisémitisme ! ... Yvan Attal : « L'antisémitisme se fait vraiment ressentir en France ..

L'antisémitisme fait partie du langage des banlieues : l ...

www.judaicultures.info/...6/L-antisemitisme-fait-partie-du?...
27 mars 2006 - Revue de presse : Source Newsletter du CRIF L'antisémitisme en France : enquête à ... L'antisémitisme fait partie du langage des banlieues : l'international Herald Tribune enquête à Sarcelles ..
bref il yen a des centaines qui vont dans le meme sens pointer du doigt les banlieues et défalquer le FN amis d'israel au parlement europpeens ,
alors mr Dieudonné vous qui vous croyez si malin il est temps que vous repreniez votre liberté de pensée ,à moins que les recettes de vos spectacles  servent d'anesthesiant a votre discernement ,avoir réduit le probleme palestinien a une quenelle est une honte c'est du foutage de gueule de manquer de respect aux deportés c'est une honte , aucun mort ne doit etre insulté ,un dialogue avec les juifs de france dans le respect aurait été beaucoup plus constructif , il ya des millions de juifs ouvert au dialogue et je pense que le respect amène au dialogue  il faut etre deux pour la paix votre démarche est inutile et n'apporte rien a la vie des palestiniens ni a leur souffrance.
la Délégation pour les relations avec Israël du Parlement européen ! Ça tombe bien, Marine Le Pen, elle, est bel et bien élue du ce même parlement. Et après, me direz-vous ?

Marine se gardera probablement d’en faire état, : la Délégation pour les relations avec Israël du Parlement européen (2), elle connait. Plutôt bien d’ailleurs, vu qu’elle en a fait partie. Ce à DEUX reprises :

Très précisément :

Du 15 octobre.2004 au 13 juillet 2007, puis :
Du 14 juillet 2007 au 13 juillet 2009. Soit, en fait, une période interrompue allant d’octobre 2004 à juillet 2009.

maintenant on est en droit de se poser la question qui a instrumentalisé cette mascarade ? et à qui profite le crime la réponse semble souffrir d'aucune ambiguitée , hélas .

 

La nouvelle extrême droite : analyse d’une arnaque du discours de Soral à Dieudonné

Le contexte actuel de crise économique est propice à la propagation de discours fascistes. L’extrême droite française l’a bien compris et tente depuis quelques années un rapprochement de leurs différentes tendances à travers une occupation de l’espace publique : la « manif pour tous » ou les « jour de colère ».
Dans ce contexte de campagne d’extrême droite et de banalisation du discours réactionnaire face à la crise, analyser la pensée d’un de leur théoricien populaire et médiatisé, Alain Bonnet , plus connu sous le nom d’Alain Soral, est important. En effet, ce genre de discours a d’autant plus de risques de gagner en influence que ladite crise a révélé la lâcheté, la veulerie, la trahison des partis de gauche et d’extrême-gauche. En outre, Soral est suffisamment habile pour saupoudrer ses diatribes de réflexions apparemment progressistes et de critiques relativement pertinentes de divers groupements politiques (le NPA, Bertrand Delanoë et son équipe municipale…) ou phénomènes de société (le communautarisme, le « féminisme» de la bourgeoisie…). Ce faisant, il espère endormir la vigilance de son auditoire et, ainsi, faire passer « en fraude » sa camelote d’extrême-droite.

Alain Soral, à l’état-civil Alain Bonnet (nom d’usage Bonnet de Soral) est un essayiste, militant politique et chef d’entreprise franco-suisse, né le 2 octobre 1958 à Aix-les-Bains. Militant du Parti communiste dans les années 1990, faisant une première carrière dans le monde du spectacle dans les années 1990 et au début des années 2000, il fonde en juin 2007, avec d’anciens membres du GUD (Le Groupe union défense est une organisation étudiante française d’extrême droite réputée pour son activisme), le mouvement Égalité et Réconciliation (E&R) — association présentée comme « nationaliste de gauche », mais généralement classée à l’extrême droite et considérée comme proche du Front national —, qu’il préside depuis lors. Il devient membre du comité central du FN en novembre 2007 jusqu’à son départ en février 2009. Il se présente ensuite aux élections européennes de 2009 en Île-de-France en cinquième position sur la « liste antisioniste » conduite par Dieudonné, dont il est devenu l’ami et l’« éminence grise », ce qui permet d’observer une continuité entre ses discours et les spectacles de l’humoriste. En mars 2011, il fonde la SARL « Culture pour tous » dont les activités gravitent autour d’E&R. Au cours des années 2000, il devient, aux yeux de la plupart des observateurs, un idéologue proéminent d’extrême droite, oscillant entre un antisémitisme traditionnel et le nouvel antisémitisme. Partageant des thèses à la fois nationalistes et de gauche, lui-même se définit comme « national-socialiste à la française ». Durant l’automne 2005, il rejoint l’équipe de campagne du Front national, où il est chargé des affaires sociales et du problème des banlieues. Ce ralliement n’est révélé par Soral que plus d’un an après, lors d’un entretien paru sur Internet le 29 novembre 2006. Il explique alors sa démarche en affirmant que le Front national constitue le seul parti qui lutte efficacement contre la “déferlante capitaliste et ultralibérale”. Parallèlement à son engagement au FN, Alain Soral lance en juin 2007 son propre mouvement, appelé Égalité et Réconciliation (E&R)[33]. Cette association, qui se présente comme « un club de réflexion politique trans-courants dans la tradition du cercle Proudhon des Berth et Valois », « entend convertir au nationalisme politique les jeunes des milieux populaires, et notamment ceux issus de l’immigration». Avec le soutien financier des anciens membres du GUD Frédéric Chatillon, Gildas Mahé et Philippe Péninque, et la participation de Serge Ayoub (Serge Élie Ayoub, plus connu sous le pseudo « batskin » est le leader du groupe d’extrême droite Jeunesses nationalistes révolutionnaires et du mouvement Troisième Voie des années 2010.), il ouvre Le Local, un bar associatif situé dans le 15e arrondissement de Paris. Néanmoins, cette association entre Soral et Ayoub fait long feu et ce dernier conserve seul la gestion du Local, « les JNR de Batskin n’appréciant pas vraiment les militants arabes d’E&R » selon Frédéric Haziza.
Le 18 novembre 2007, à l’occasion du congrès national du Front national à Bordeaux, Alain Soral, qui n’était pas candidat, est nommé au comité central par Jean-Marie Le Pen, réélu président du parti. Le 19 août 2008, Alain Soral annonce sa candidature à l’investiture comme tête de liste du Front national aux élections européennes de 2009 en Île-de-France. Six mois plus tard, le 1er février 2009, il décide de quitter le FN à la suite de sa relégation à une « place d’honneur » sur la liste. Il présente, avec Dieudonné et Yahia Gouasmi, alors président de la Fédération chiite de France, une « Liste antisioniste » recueillant 1,30 % des suffrages en Île-de-France (2,83 % en Seine-Saint-Denis) au terme d’une campagne émaillée d’incidents et d’échauffourées. La liste aurait été financée par la République islamique d’Iran de Mahmoud Ahmadinejad à hauteur de 3 millions d’euros.

1°) Doubles discours et contradictions

Soral a compris que, s’il veut « ratisser large », il doit avoir un discours flou et changeant, et savoir « s’adapter à son public ». Cette faculté d’adaptation lui permet, certes, d’espérer rencontrer du succès au-delà des seuls nostalgiques du IIIè Reich… mais c’est au prix de ridicules pirouettes théoriques et pratiques. Soral, qui n’hésite pas à se dire « marxiste », considère pourtant qu’il existe un « intérêt général des citoyens du monde » … Une négation en paroles de l’existence de la lutte des classes… Mais aussi et surtout un propos bien dans l’air du temps qui, n’en doutons pas, plaira aussi bien aux citoyennistes d’ATTAC qu’aux fachos partisans de l’association Capital/Travail!

C’est sans doute en qualité de « marxiste » que Soral qualifie le FN de «mouvement qui évolue vers la vraie gauche, la gauche sérieuse, la gauche économique » . Dans la foulée de cette affirmation hasardeuse, Soral conseille de lire « le programme économique » du Front National. Merci du conseil, Alain ! Une petite visite sur le site du FN peut toujours servir, effectivement ! Même si – crise économique oblige – le FN passe désormais sous silence ses propositions les plus ouvertement pro-patronales (sur la Sécurité sociale, notamment), il reste encore largement assez de « matière » sur leur site pour voir que ce parti est à 100% au service de la bourgeoisie. En vrac : « libérer au maximum l’entreprise des contraintes de toute nature qu’elle subit », « libérer le travail et l’entreprise de l’étatisme, du fiscalisme et du réglementarisme », « renégociation de la durée hebdomadaire du temps de travail par branches d’activité. Permettre en particulier de ‘gagner plus à ceux qui travaillent plus’ », «simplification du Code du travail », « créer un cadre favorable à l’entreprise, notamment aux PME », « baisser la pression fiscale » et notamment l’impôt sur la fortune et l’impôt sur les sociétés, développer les «régimes de retraite complémentaire par capitalisation», «assurer un service minimum dans les services publics», «obtenir des économies budgétaires en réorganisant la Fonction publique, par l’introduction du principe de mobilité et le non-remplacement d’une partie des départs en retraite». Ah ! c’est donc ça la « vraie gauche » ! ‘fallait y penser…
Avec une telle conception de la «gauche économique», il n’est pas étonnant que Soral puisse dénoncer la «société d’assistanat» tout en continuant à se prétendre «marxiste»…

Soral affirme, à propos de la police et de l’armée : « il y a très longtemps que ces gens-là n’ont plus aucun pouvoir en France, on peut leur cracher à la gueule tant qu’on veut » et qualifie les flics de « pauvres fonctionnaires qu’ont le plus haut taux de suicide de France » . Mais il affirme par ailleurs « nous sommes dans un régime totalement policier et totalitaire […] on est dans une société intégralement policière et dégueulasse » . La France, « régime totalement policier et totalitaire »… où les flics « n’ont plus aucun pouvoir » depuis « très longtemps » ? La contradiction est évidente, mais Soral espère probablement séduire les jeunes de banlieue et une partie de l’extrême-gauche avec sa rhétorique pseudo-libertaire et anti-keuf, tout en rassurant ses soutiens (et souteneurs) d’extrême-droite avec un discours plus traditionnel sur le thème de l’autorité qui n’est plus respectée. Au passage, nous ne saurions trop conseiller aux partisans d’Alain Soral de tester la validité des assertions de leur Grand Chef en « crachant à la gueule » de tous les flics qu’ils croisent. Avec un peu de chance, à force de coups de tonfa et de GAV, ils deviendront d’authentiques révolutionnaires.

Il y a quelques années, Soral évoquait « l’inculte – et désormais pas drôle – Dieudonné » (Alain Soral, Abécédaire de la bêtise ambiante, Jusqu’où va-t-on descendre ? , Pocket, Paris, 2003, p. 112). Il lui reprochait notamment de ne pas oser montrer du doigt cette « ‘communauté invisible’ certes surreprésentée dans le show-biz en termes de quotas, mais à laquelle il doit aussi son doux statut de rigolo » (Ibid., p. 114). « Communauté invisible », comprendre : les Juifs. Soral fait désormais liste commune avec « l’inculte » Dieudonné aux élections européennes de 2009… L’humoriste ( ?) est pourtant au moins aussi con aujourd’hui qu’en 2002, lorsque Soral écrivait ces lignes… en revanche, il est vrai qu’en matière d’antisémitisme, Dieudonné a accompli d’immenses « progrès » ces derniers temps !

Même type de revirement concernant les Arabes et/ou musulmans. Soral affirmait l’année dernière : « Aujourd’hui, on voit très bien que le Système diabolise les maghrébins. […] Vous Français arabo-musulmans et nous Français du Front National sommes diabolisés par le même système […] Toutes les saloperies qu’on raconte aujourd’hui sur les maghrébins de banlieue, sur les ‘kärchérisables’, c’est les mêmes qu’on a racontées sur Le Pen et les gens du
Front National… et elles sont aussi fausses!»

Soral souffre sans doute d’amnésie, il nous faut donc lui rappeler ses positions antérieures sur le sujet : «Leur seul espoir [aux Algériens], c’est qu’on y retourne [en Algérie]» ou « celui qui se comporte en colon, de plus en plus c’est le Beur » (Ibid., p. 99) ou : la France devient « un pays d’Anglo-Saxons névrosés envahis de Maghrébins hostiles » (Ibid., p. 124) ou encore, à propos de la situation en banlieue populaire dans les années 60 : « Les seuls qui posaient problème, déjà, c’étaient les Algériens qui se tenaient à l’écart dans la solitude, la peur, l’islam et la Sonacotra, et dont les jeunes, peu nombreux encore, foutaient déjà la merde » (Ibid., p. 40). Soral est démasqué par ses propres écrits : il fait partie de ce Système qui « diabolise les maghrébins », qui « raconte des saloperies sur eux » ! …Il est vrai qu’il a, depuis, changé radicalement de stratégie à leur égard : il espère même les incorporer à l’ « avant-garde » des bataillons d’extrême-droite : « Les premiers qui devraient se battre pour la préférence nationale, ça devrait être les Français d’origine immigrée, parce que c’est eux que [l’immigration] met le plus en danger. » Soral se plaît à répéter que leSystème « divise pour mieux régner » : c’est indéniable… Tout aussi indéniable que le fait que lui-même divise pour mieux régner ! Après avoir fait des maghrébins des boucs-émissaires, il leur conseille de se retourner contre les nouveaux arrivants en France et, au passage, il se dédouane de ses propres responsabilités en accusant un « Système » (impersonnel) d’être à l’origine de leur stigmatisation.
Dans cette même optique, lors d’une conférence à Fréjus en 2008, Soral a affirmé à propos des exactions commises aux Invalides lors d’une manifestation le 23 mars 2006 : « Moi j’étais très content de voir, effectivement, le ‘bolossage’ des petits cons du CPE… Tout ça est quelque part bon signe. » Le plus amusant est que les fafs présents dans la salle ont applaudi ces propos d’Alain Soral! Les mêmes qui, en d’autres circonstances, mettent en avant l’existence d’un racisme anti-blanc pour convaincre les électeurs d’accorder leurs suffrages à l’extrême-droite… Bonjour l’hypocrisie…

Ultime contradiction, à propos de ses opposants, Soral affirme : « ces gens-là ne vous sortent que des références des années 30 » … Or, lui-même ne se gêne pas pour « sortir des références des années 30 », en se réclamant notamment des pacifistes de cette période qui, se plaint-il, ont eu de gros problèmes après la guerre. De deux choses l’une. Ou bien les connaissances historiques de Soral sont très limitées (ce qui, après tout, n’est pas à exclure)… Ou bien il n’ose pas se réclamer trop explicitement de Jacques Doriot, Marcel Déat, Fernand de Brinon et autres « pacifistes des années 30 » qui ont été inquiétés à la Libération, non pas pour pacifisme mais… pour collaboration avec les nazis ! Soral fait parfois preuve d’un peu plus de discrétion et brouille les cartes en se faisant passer pour un «homme de progrès»…

2°) Récupération au profit de l’extrême-droite d’auteurs, de pratiques et de combats qui ne sont pas les siens

Les diatribes de Soral sont truffées de références, parfois explicites, à des auteurs qui ne sont pas d’extrême-droite. C’est bien connu : la culture, c’est comme la confiture, moins on en a, plus on l’étale. Soral tient donc à nous faire savoir qu’il a lu Guy Debord (tout en affirmant par ailleurs qu’il est « la partie de l’œuvre de Marx accessible aux publicitaires » , Ibid., p. 96 ), Jean-Claude Michéa, Michel Clouscard (référence à « l’idéologie du désir » ou dénonciation de la récupération de Nietzsche par des intellectuels de gauche), Pier Paolo Pasolini ( « codes intégralement fascistes de la mode » ), Pierre Clastres… De là où ils sont, Debord, Pasolini et Clastres ne risquent pas de protester… Concernant Michéa : les thèses qu’il développe dans ses essais sont contestables, mais il n’en reste pas moins évident que c’est de manière abusive que Soral se sert d’elles comme caution à sa prose d’extrême-droite. Nous ne pouvons que vous inviter à vous faire votre propre opinion en lisant. Quant à Michel Clouscard (dont les thèses sont, là aussi, contestables – mais, présentement, là n’est pas la question), dans une tribune libre dans L’Humanité (30 mars 2007), il a tenu à préciser qu’ « associer […] d’une manière quelconque nos deux noms [le sien et celui de Soral] s’apparente à un détournement de fonds. Il s’avère qu’Alain Soral croit bon de dériver vers l’extrême droite (campagne pour le FN). Il veut y associer ma personne, y compris en utilisant mes photos à ma totale stupéfaction. Je n’ai en aucun cas autorisé Alain Soral à se prévaloir de mon soutien dans ses menées prolepénistes. Le Pen est aux antipodes de ma pensée. » Clouscard étant décédé le 21 février 2009, gageons que le fossoyeur Soral va pouvoir reprendre tranquillement son “détournement de fonds”.

Soral se plaît également à affirmer que « Marx voterait aujourd’hui Le Pen. » Sans doute conscient que cet « argument » est trop visiblement spécieux, il prétend aussi que votent pour le FN « des branchés, des marginaux, […] des anciens d’Action Directe » … A défaut de correspondre à une quelconque réalité, cette façon de présenter l’électorat FN est bien plus sympatoche que celle qui dépeindrait les partisans de Le Pen sous les traits de bourges de la région PACA, de vieilles rentières, de boneheads alcooliques (ah ouais mais nan… eux, ‘faudrait déjà qu’ils trouvent le bureau de veaute) ou encore de petits patrons/commerçants/artisans (qui ont eu l’occasion de montrer, tout au long du XXe siècle, qu’ils constituaient le terreau de toutes les réactions).

Dans la même veine, Soral reprend à son compte le concept de décroissance, se dit « assez proche de certains écologistes » . Il évoque aussi « un processus de domination par l’intégration du flic » . Ce qui est juste, seulement voilà : ça sonne très « Mai 68 » (cf. les slogans du style « Tue le flic qui est dans ta tête. ») dont Soral est, comme chacun sait, un contempteur ! Plus fort encore, il s’imagine même rejoindre un jour « les anti-système radicaux qui vivent uniquement de récup’ dans les poubelles, et dans des endroits squattés » et il n’hésite pas à prendre la défense de Julien Coupat. Et puis quoi, ensuite ? Une apologie des black-block ? A un tel stade d’opportunisme et de démagogie, tout est possible… Démagogie toujours, lorsque Soral justifie son soutien aux PME en disant que des « économistes marxistes » prônaient un tel soutien dès les années 90. « Économistes marxistes » que, bien sûr, il ne cite pas. Et pour cause puisque soit ils n’existent pas, soit ils ne sont pas marxistes !

Alain Soral se réclame abusivement de la « dialectique. » En fait, il ne s’agit que d’un artifice rhétorique bien commode dont il use à chaque fois que son arrivisme ou sa médiocrité intellectuelle menacent d’éclater au grand jour. Ainsi, à ceux qui s’étonnent de sa trajectoire politique, Soral répond qu’elle est « dialectique ». Et sa fâcheuse tendance à faire de Karl Marx un apôtre de l’extrême-droite est – devinez quoi ? – « dialectique » !

Notons que cette tendance à la récupération de tout et n’importe quoi va au-delà du seul Alain Soral : c’est une véritable mode à l’extrême-droite depuis quelques temps. Presque tous se disent maintenant « révolutionnaires » (en période de crise économique, ça passe mieux que « contre-révolutionnaires » ou « royalistes »… mais il s’agit de « révolutionnaires » bien particuliers : des « révolutionnaires » qui sont anticommunistes primaires, qui soutiennent les contre-réformes du gouvernement et qui agressent les grévistes). Et pendant que certains fachos se réclament de Che Guevara, d’autres découvrent les situationnistes… Des identitaires se prétendent même « enfants de la Commune et du 6 février 1934 ». Comme s’il était possible d’établir une filiation entre le premier gouvernement prolétarien de l’Histoire et une tentative de coup d’Etat fasciste ! Cela étant dit, le 6 février 34, on leur le laisse et on confirme : ils en sont bien les héritiers!

3°) Fascisme et poujadisme

Dans sa préface à Jusqu’où va-t-on descendre ?, Soral supposait que le « libéral libertaire bourgeois bohème » trouverait ses écrits « poujadistes » ou encore « fascistes » (Ibid., p.12). Eh bien, si tel a vraiment été le cas en 2002 lorsque cet essai est sorti, force est de constater que le « li-li bo-bo » – que pourtant nous n’apprécions pas – aura cette fois-là eu raison. Puisque, quelques années plus tard, Soral se vantera d’avoir écrit certains discours de Jean-Marie Le Pen. Rien d’étonnant quand on voit à quel point les thématiques fascistes et poujadistes sont au cœur de la « pensée » soralienne. Dans une conférence de mars 2009, entre une référence à la propagandiste du IIIe Reich Leni Riefenstahl et une dénonciation de l’ « idéologie maçonnique » , Soral trouve quand même le temps de se montrer choqué par le tribunal de Nuremberg ( « On tue tous les nazis, parce que c’était le Mal donc on les raye de la planète terre.» ) et par l’épuration à la Libération… Cette conférence se déroulait pourtant à l’initiative du Parti Populiste (extrême-droite), dont le programme mentionne le rétablissement de la peine de mort pour les auteurs de « crimes de guerre, […] assassinats, actes de barbarie, tortures d’innocents », donc on ne voit pas trop pourquoi Soral s’indigne des exécutions de nazis et de collabos (à moins qu’il ne considère pas les Juifs, les Tsiganes et autres communistes qui ont été massacrés comme de « vrais » innocents ?). Soral estime aussi que « de toute façon, le métissage c’est la violence » … Assertion guère compatible avec celle-ci, également de son « cru » : « On [le peuple français ?] est un métissage réussi puisque cohérent, lent, accepté, etcetera. » Alors, le métissage c’est la violence, oui ou non ? Comme nous l’avons vu précédemment, Soral se fiche pas mal de s’empêtrer dans ses contradictions puisqu’elles sont « dialectiques ».
Soral nous offre encore un magnifique exemple de « dialectique » quand il déclare : « quand on est marxiste, on doit fonctionner sur des concepts marxistes, quand on abandonne tout ces concepts pour se fonder sur des concepts petits-bourgeois, on se casse la gueule » avant d’affirmer que « pour faire quoi que ce soit de subversif en politique » , il a plus confiance dans les « patrons de bistrot, les chauffeurs de taxi et ce qu’on appelle la petite-bourgeoisie » que dans les profs et les étudiants. Karl Marx voyait-il dans ces catégories de population une force révolutionnaire ? A-t-il prôné la dictature des patrons de bistrot ? Ou bien écrit « petits-bourgeois de tous les pays, unissez-vous » ? Soit Alain Soral a accès à des textes cachés de Marx, soit – c’est plus probable – il se sert, pour appuyer ses théories bancales, de ces mêmes « concepts petits-bourgeois » qu’il reproche à d’autres d’utiliser.Typiquement poujadiste est la défense soralienne du « petit patron », prétendue victime de la « persécution fiscale » et de la « méchanceté des prudhommes » . Soral se livre à cet exercice en se réclamant notamment de « Michéa » … On le comprend : pour réussir la prouesse de défendre ouvertement une fraction du patronat tout en restant « marxiste-compatible », il fallait au moins la caution d’un intellectuel qui se réclame du Socialisme (et pas de la « gauche » : dans l’esprit de Michéa, ce n’est pas la même chose… c’est même antinomique)… Au passage, Soral se livre à des reproches (malheureusement !!) infondés concernant Arlette Laguiller : selon lui, dans ses discours, elle ne ferait pas de différence entre petit patronat et grand patronat… En réalité, dans ses interventions, cette réformiste patentée de Laguiller flétrit presque uniquement le « grand patronat » … comme si les autres patrons étaient plus respectables !
Soral ressort également une ruse habituelle du fascisme pour servir de « paratonnerre » à la bourgeoisie en temps de crise économique : il dénonce régulièrement et avec insistance le « capitalisme financier spéculatif » et la « finance mondiale spéculative » , espérant que les exploités ne s’apercevront pas que le problème est plus global et que c’est toute la société de classe (Alain Soral compris) dont ils doivent se débarrasser. Dans « Qu’est-ce que le national-socialisme ? », texte daté de juin 1933, Trotsky remarquait déjà que « tout en se prosternant devant le capitalisme dans son entier, le petit bourgeois déclare la guerre à l’esprit mauvais de lucre. » Cette autre sentence soralienne participe de la même logique du « paratonnerre » : « Ce monde [du marché] est porté par les élites blanches occidentales judéo-protestantes » Il s’agit ici, en réduisant le capitalisme à ses seuls partisans juifs ou protestants, d’épargner le catholicisme (dont Soral se réclame – entre mille autres « étiquettes », il est vrai !) ainsi que les Arabes et/ou musulmans dont Soral veut se faire de nouveaux alliés, convaincu qu’il est que « dans l’imaginaire politique africain ou maghrébin, c’est un type de gauche Le Pen, hein… et même d’extrême-gauche parce que c’est pas des régimes très cools là-bas. » Au cas où vous en auriez douté, Soral manie fort bien la théorie du complot et a des talents certains en matière de réécriture de l’Histoire : « [Les Noirs] étaient issus de l’empire colonial qu’ils ne détestaient pas particulièrement d’ailleurs, en dehors de certaines élites financées souvent on sait pas trop par qui… » Comme dirait un chanteur sarkozyste : « Ah ! Le temps béni des colonies… » Eh oui, Soral, c’est bien connu : les colonisés ne détestaient pas particulièrement la puissance coloniale, cette dernière a décidé d’elle-même, spontanément et sans pression d’aucune sorte, de quitter le continent africain et, d’ailleurs, depuis la décolonisation, la France a totalement cessé de s’immiscer dans les affaires intérieures du Gabon, de la Côte d’Ivoire, du Tchad ou du Togo…
Enfin, dans la rubrique « comment, par la calomnie, l’extrême-droite assassine Jaurès une seconde fois », cette citation : « La position de Le Pen est très respectable et très cohérente, même sur le plan de l’immigration, du racisme, etcetera, elle est très saine, c’est une position de patriote français de gauche du début du siècle, c’est la position… il serait même à la gauche de Jaurès aujourd’hui ! » … Sûrement, oui !! Le Pen est à peu près autant à la gauche de Jaurès que l’était l’homme qui l’a abattu, Raoul Villain, qui fut membre du mouvement catholique du Sillon et du groupe d’étudiants «nationalistes» de la “Ligue des jeunes amis de l’Alsace-Lorraine”.

4°) Antisémitisme

L’antisémitisme, ce socialisme des imbéciles, est très apprécié d’Alain Soral. Il s’agit, là encore, de détourner la colère populaire vers des boucs-émissaires. Mais ce brave Soral, décidemment très prévoyant, n’a pas attendu la crise économique pour distiller son poison. En 2004, déjà, il déclarait : « Quand avec un Français, Juif sioniste, tu commences à dire ‘y a peut être des problèmes qui viennent de chez vous. Vous avez peut-être fait quelques erreurs. Ce n’est pas systématiquement la faute de l’autre, totalement, si personne ne peut vous blairer partout où vous mettez les pieds.’ Parce qu’en gros c’est à peu près ça leur histoire, tu vois. Ça fait quand même 2500 ans, où chaque fois où ils mettent les pieds quelque part, au bout de cinquante ans ils se font dérouiller. Il faut se dire, c’est bizarre ! C’est que tout le monde a toujours tort, sauf eux.
Le mec, il se met à aboyer, à hurler, à devenir dingue, tu vois. Tu ne peux pas dialoguer. C’est à dire, je pense, c’est qu’il y a une psychopathologie, tu vois, du judaïsme sionisme (sic !) qui confine à la maladie mentale. » …Puis, cette année : «Il y a quand même un milliard de chrétiens qui s’excusent face à 15 millions de Juifs… C’est quand même bizarre, il a dû se passer quelque chose pour qu’on soit obligés de s’humilier à ce point là, que notre pape soit obligé de demander pardon parce qu’il y a un évêque ultra-marginal qui a dit trois conneries » Les « conneries » de Richard Williamson étant « juste », pour rappel, ses déclarations selon lesquelles « 200 000 à 300 000 Juifs ont péri dans les camps de concentration, mais pas un seul dans les chambres à gaz. » Intéressante également, cette déclaration de Soral qui reprend le stéréotype, popularisé par le Protocole des Sages de Sion, du Juif fauteur de guerre : « M. Finkielkraut était pro-croate, M. Bernard Kouchner… euh… M. Cohn-Bendit… euh nan pas Cohn-Bendit… C’était Bernard-Henri Lévy, il était pro-bosniaque, ils ont chacun choisi leur camp afin d’attiser la haine et la violence. On ne sait pas trop pourquoi, ils ont dû tirer ça à pile ou face… » Au risque de décevoir Soral et ses groupies, il est important de souligner que l’anéantissement de la République fédérale socialiste de Yougoslavie a des causes multiples et complexes, n’ayant rien à voir ni avec Finkielkraut ni avec BHL. Pire encore : Finkielkraut et BHL n’auraient jamais existé que cela n’aurait strictement rien changé au sort des peuples des Balkans.
Courageux mais pas téméraire, Soral, peut-être lassé des agressions physiques et des décisions de justice défavorables, se replie la plupart du temps sur des propos plus allusifs visant « l’autre d’une telle communauté que je ne nommerai pas » , stigmatisant Daniel Cohn-Bendit en tant que « parasite de la société française… qu’il insulte ! » ou affirmant : « La France [que les mecs de banlieue] n’aiment pas, je ne l’aime pas non plus… C’est la France de Bernard-Henri Lévy, je ne l’aime pas non plus. » Que l’on soit bien clairs : les personnalités auxquelles Soral s’en prend sont souvent méprisables. Seulement, bien d’autres le sont tout autant et dont Soral ne pipe pourtant pas un mot. Et il n’est pas compliqué de comprendre quel est sans doute le but – et quel sera assurément le résultat – des envolées soraliennes visant Bernard Kouchner, Alexandre Adler, BHL, Jacques Attali, Laurent Fabius, Alain Finkielkraut, Élisabeth Lévy, etcetera. Ces diatribes permettent à Soral de passer pour un type qui ose s’en prendre aux « puissants » alors qu’elles ont pour fonction objective, en ne visant que des personnalités à l’origine ethnico-religieuse (supposée !) commune, d’épargner la bourgeoisie dans son ensemble en détournant le prolétariat des approches strictement classistes.

5°) Stalinisme

Soral a gardé de graves séquelles de son passage par le Parti dit « Communiste ». Il n’hésite pas à qualifier la CGT de « réseau de résistance ou d’opposition traditionnelle » alors que cela fait au moins sept bonnes décennies que la Confédération Générale de la Trahison est un obstacle aux tentatives d’émancipation des prolétaires. Pour Soral, « tout ce qui est de l’ordre de la violence […] et de la guerre civile, c’est forcément un truc qui affaiblit la France. » Ce Soral qui s’oppose à la violence et à la guerre civile au nom du salut de la France n’a, contrairement à ses prétentions, rien d’un marxiste… mais c’est un parfait stalinien ! C’est avec ce même type d’arguments, avec cette même dévotion envers l’unité nationale que le P « C » F a, à trois reprises, saboté des situations révolutionnaires : en 1936 (Maurice Thorez, secrétaire général du P « C » F : « il faut savoir terminer une grève » ), à la Libération (Thorez, toujours : « produire, produire, encore produire, faire du charbon c’est aujourd’hui la forme la plus élevée de votre devoir de classe, de votre devoir de Français » et « La grève, c’est l’arme des trusts. » ), en Mai 68 (Georges Séguy, secrétaire général de la CGT : « …ce mouvement lancé à grand renfort de publicité qui, à nos yeux, n’a pas d’autre objectif que d’entraîner la classe ouvrière dans des aventures en s’appuyant sur le mouvement des étudiants. » ). Il arrive aussi à Soral de s’attaquer au « Capital apatride » et au « Capital nomade » . C’est cette même idée qu’il développe lorsqu’il affirme dans une interview que « tous les internationalistes aujourd’hui sont des gens de droite, par essence, tu vois… » Notons en passant que, trois minutes plus tôt, dans cette même interview, il affirmait : « Je ne crois pas à l’essentialisme, les gauchistes essentialistes m’emmerdent, ce sont des crétins et des petits cons ». Pour en venir à ce que révèle, sur le fond, cette citation, Soral – ce « crétin » et ce « petit con » d’essentialiste (ce sont ses termes) – reprend à son compte la vieille antienne stalinienne qui affirme que, par opposition au Capital qui n’a pas de frontières, qui est « cosmopolite », les travailleurs se doivent d’être nationalistes. C’est ballot : Soral le stal’ a oublié que le Manifeste du parti communiste se termine par un appel à l’union des prolétaires de tous les pays…

6°) Apologie de régimes répressifs

Il n’y a pas besoin de creuser bien longtemps pour s’apercevoir que Soral est contre-révolutionnaire : il suffit de regarder quels régimes et quels chefs d’Etat il admire ! Saddam Hussein (entre autres) est rangé par ses soins dans la catégorie des « chefs d’Etat locaux de puissances alternatives » . Alternatives à quoi ? Sûrement pas au capitalisme, en tout cas ! Le premier fait d’armes de Saddam Hussein est la participation à une tentative d’assassinat, en 1959, du général et Premier ministre marxisant Abdul Karim Qasim qui, l’année précédente, avec d’autres militaires, avait renversé la monarchie iraquienne. Une fois arrivé au pouvoir (avec le soutien des Etats-Unis), à la tête du parti Baas, Saddam Hussein a réprimé férocement ses opposants, notamment les membres du Parti Communiste Irakien (ce qui n’a pas empêché Moscou de continuer à soutenir le régime baasiste… ça en dit long sur la teneur en socialisme de la bureaucratie stalinienne). Soral fait également l’apologie de Poutine, ex-membre du KGB et bourreau du peuple tchétchène qui, en fait d’« alternative », a surtout parachevé le rétablissement du capitalisme privé en Russie (ouverture à la concurrence du fret ferroviaire, baisse du taux d’imposition sur les sociétés…) et restreint les déjà peu nombreuses libertés démocratiques dont bénéficiaient les Russes ( journalistes assassinés, opposants emprisonnés, désignation par le Président et non plus élection des gouverneurs des sujets de la Fédération de Russie, grande impunité accordée aux membres des groupes fascistes/néonazis qui commettent de nombreuses exactions). Autre objet d’admiration de Soral : la République islamique d’Iran, régime théocratique où les militants des organisations de gauche ont été exécutés par milliers suite à la contre-révolution islamique et où les minorités (kurdes, arabes) sont soumises à de multiples brimades. Ce régime qui tente de fédérer sa population autour de discours hostiles à l’Occident, aux Etats-Unis, à Israël, sait pourtant miser sur plusieurs lièvres à la fois : dans les années 80, il n’a pas hésité à acheter des armes aux Etats-Unis (qui se sont servis de l’argent récolté grâce à ces ventes pour financer une guérilla d’extrême-droite au Nicaragua : c’est la fameuse affaire Iran-Contra) et à Israël. Les dirigeants iraniens sont également ravis de la décision des Etats-Unis et de la dictature européiste de classer comme organisation terroriste l’Organisation des Moudjahiddines du Peuple Iranien (OMPI), et ils ont sûrement vu d’un bon œil les perquisitions visant l’OMPI opérées en France en 2003. La « lutte contre le terrorisme » (c’est-à-dire, en réalité : le terrorisme d’État) est décidemment sans frontières…

7°) Arrivisme et haine de classe

Après avoir “adhéré” au mouvement punk, il rejoint le P « C » F. Il finit par quitter ce parti dans les années 90, une fois que l’Union Soviétique s’est cassé la gueule et qu’il s’est rendu compte – soixante ans après tout le monde, mais mieux vaut tard que jamais – que le P « C » F n’est pas révolutionnaire. Il qualifie son Abécédaire de la bêtise ambiante, paru en 2002, de « national-républicain » et paraît alors proche de Jean-Pierre Chevènement.
Passade de courte durée puisqu’il se rapproche ensuite à grandes enjambées de l’extrême-droite, jusqu’à rejoindre l’équipe de campagne de Jean-Marie Le Pen en vue des présidentielles de 2007. Mais il est vrai que, dans l’interview où il annonçait son rapprochement avec le FN, Soral affirmait que, faisant cela, il rejoignait un parti « qui pèsera demain 25% minimum » (forcément, puisque « Le Pen, c’est le plus grand résistant au Système de France » !!). Quelle déception au soir du premier tour des présidentielles quand Le Pen, doublé sur sa droite (extrême) par un Sarkozy vraiment très décomplexé, n’obtient « que » 10,44% des voix. Pas grave, Soral a l’explication : « Le Pen mérite la France, mais je ne suis pas sûr que la France et les Français tels qu’ils sont aujourd’hui méritent Le Pen. » Dit plus clairement : les Français sont des cons. Venant de quelqu’un qui passe son temps à glorifier démagogiquement le « Peuple » et la « Nation », c’est plutôt cocasse… A l’échec du FN aux présidentielles vient s’ajouter l’échec, plus net encore, des municipales en 2008, ce qui fait que Soral doit commencer à se demander s’il a misé sur le bon cheval (blanc).

http://mars.noblogs.org/post/2014/03/11/la-nouvelle-extreme-droite-analyse-dune-arnaque-du-discours-de-soral-a-dieudonne/

14 mai 2014

L' Abbé Pagès reçoit une gifle spirituelle.par un rabin bien plus savant que lui

 

L’énergie que développe sur internet l’Abbé Pagès pour discréditer l’Islam avec une mauvaise foi évidente est vaine. L’Abbé Pagès reçoit

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une gifle et une leçon spirituelle du Rabbin Ron Chaya. Je nesais pas comment unhommed'eglise peutenarriver là mais au lieu de s'occupperde sa foi il a décidé departir encroisade avec le mensonge et la haine comme seul arme bien eloigner de tout héritage chretien qu'il est censé représenter.ce pretreest dans la pure lignée extreme catholique sans aucune connaissance nirespectdesecritures carils falsifie et interprete a  sa guise pour les faires coincider  avec sa propagande nauséabonde ,si vous traiter de menteur une personne et pour ce faire vous inventez des mensonges sur cette personne c'est qu'aupays des  menteurs cet abbés bete est le roi


Abbépages reçoit une gifle spirituelle... par Manager69
Jésus vous dira : Je ne vous ai jamais connus par El-Akhira

14 mai 2014

Le magnifique documentaire de la BBC "Science et islam" enfin en Français (vidéo)

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Publié par ALERTE TV FRANCE WEB TV

Réalisé en trois parties (Le langage de la science / l'empire de la raison / et le pouvoir du doute), le magnifique documentaire de la BBC "Science et islam" est désormais disponible en Français. Passionnant du début à la fin.

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13 mai 2014

Le pape François baptiserait meme des «Martiens»

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Le pape François ne cesse de surprendre. Et en particulier lors de ses courtes homélies du matin, adressées à un public restreint, dans la chapelle de la maison Sainte Marthe où il habite. Lundi matin il a affirmé qu'il ne refuserait pas le baptême à des martiens!

Même «les hommes verts au long nez et aux grandes oreilles, les Martiens» ont le droit d'être baptisés, a-t-il lancé pour frapper les esprits. François veut ici faire passer l'idée qu'aucun prêtre dans l'Église catholique ne doit «fermer la porte» à qui demanderait le baptême même s'il s'agit de Martiens «comme les dessinent les enfants».

Filant la métaphore pour dénoncer les réticences de rares prêtres à accorder facilement le baptême quand les parents ne sont pas dans une situation régulière avec l'Église, il a posé cette question: «Si demain, par exemple, une expédition de Martiens arrivait et certains se présentaient chez nous (…), et si l'un d'entre eux disaient: Mais moi, je veux le baptême!, que se passerait-il?»

Accéder facilement à l'Église catholique

Au delà d'un langage très imagé qui le caractérise le pape François recourt à l'humour pour faire passer son message qui n'a rien de superficiel. Son idée force -il l'a développée en novembre dernier, dans l'exhortation apostolique La joie de l'Évangile (édition Parole et Silence)- consiste en effet à relancer la politique d'évangélisation dans l'Église catholique.

Il a donc toujours combattu avant de devenir pape ce qui pourrait empêcher l'accès facile à l'Église catholique à tous ceux qui souhaiteraient y entrer même si ces personnes ne se sentent pas dans les clous. C'est le sens même de son appel aux catholiques à «sortir des églises» pour aller «en mission d'évangélisation» vers les «périphéries». Fussent-elles sur la planète Mars...

Petite info qui passerait pour anodine et pas vraiment sérieuse s’il ne s’agissait pas ici d’une répétition, car ces propos ont déjà été tenus dans le passé par Guy Consolmagno

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, scientifique du Vatican, en 2010. Ils y tiennent vraiment au baptême des petits aliens chez les cathos ont dirait…

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Sources: Le Figaro

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 (par Jean-Marie Guénois) / Photo: Chroniques de Rorschach



11 mai 2014

Le culte abominable de Moloch a Ninurta

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Le culte abominable

S’il est vrai que même les dieux meurent, quelques uns d’entre eux, les plus anciens, ont fasciné les civilisations plus longtemps que les autres. Leurs cultes violents, en faisant appel aux plus profondes des pulsions humaines, en remontant dans la partie la plus sombre des psychés de leurs desservants, ont marqué davantage la mémoire des hommes. Rares sont les dieux qui peuvent se targuer d’une telle longévité. Baal, le vieux dieu Sémite, en fait partie : son culte a été célébré de ~ 3000 à l’époque romaine, sans discontinuer. Son nom, (« le maître »ou « l ‘époux » : synonymes révélateurs de sociétés où l’homme est le maître de son épouse) se retrouve dans tout le Moyen Orient, depuis les zones peuplées par les peuples Sémites, jusqu’aux colonies phéniciennes, au premier rang desquels on trouve l’immortelle Carthage, la ville dont le nom est à jamais attaché à celui du Dieu. Il est invariablement accompagné d’une divinité féminine dont les noms changent, Astarté, Ishtar ou Tanit à Carthage, la Tanit évoquée par Flaubert dans son magnifique Salambô. Baal n’est d’ailleurs qu’une appellation générique, c’est le second qualificatif qui révèle quel aspect de Baal est ici adoré : Baal Marcodès, Dieu des danses sacrées, Baal Shamen, Dieu des cieux, Baal Bek, le Baal solaire et surtout Hammon-Baal, le terrible dieu carthaginois…

Du Baal originel, on ne sait que peu de choses, mais des tablettes couvertes de signes cunéiformes, retrouvés dans les années 20 par une équipe d’archéologues français à Ras Shamra, dans l’ancienne Ougarit mésopotamienne, ont permis de retrouver la geste divine, dans ses grandes lignes. Le Dieu, dans un Panthéon dominé par la figure dominatrice du Dieu souverain El, fait d’abord figure d’intrus et doit mériter son rang. Il combat d’abord Yam, dieu des océans néfastes, avec l’aide d’Astarté. Il y gagne un côté très positif, celui de protecteur de la vie. Puis il se fait construire un palais, contre l’avis de El avec qui il s’oppose, avant de plonger dans un combat perdu dans la gueule de Môt, la mort déifiée. C’est la sœur de Baal qui finit par faire rendre gorge à l’infâme Môt, libérant un Baal furieux qui fait éclater sa colère sous la forme d’un orage effrayant mais là encore vivifiant. 7 ans plus tard, un nouveau combat entre les deux divinités tourne à l’avantage de Baal. Le mythe se charge d’épisodes prouvant un anthropisation poussée, et contenant nombres d’anecdotes mettant l’accent sur les faiblesses divines, qui sont les mêmes que celles des hommes : goût pour le vin et l’ivresse, obsession du sexe et de l’impuissance…

Avec l’époque hellénistique, la culture grecque et ses dieux recouvrent souvent les cultes de Baal d’oripeaux grecs, identifiant Astarté à Aphrodite et Baal à Zeus dans tout le monde maîtrisé par Alexandre et ses héritiers. L’hellénisation transforme au passage ces vieux cultes agraires, animistes, en cultes aux cérémonials plus élaboré, comportant des degrés d’initiation et de connaissances, dont nous ne connaîtrons jamais le détail, perdu à jamais. C’est Carthage qui nous laisse deviner avec le plus de précision l’un des aspects qu’eurent ces Baal tardifs. La mieux connue et la plus puissante des colonies phéniciennes rompit en 480 avec sa métropole, au lendemain d’une bataille perdue. Le culte local de Baal refléta cette évolution, se concentrant sur le culte lié des deux divinités Hammon-Baal et Tanit, le Jour et la Nuit, le Soleil et la Lune. Les Grecs ne s’y trompèrent pas et le couple divin des Carthaginois n’est plus associé à Zeus et Aphrodite mais à Saturne (ou Cronos) et Héra, la sauvagerie des temps originels alliée à l’austérité de l’époque de Zeus. Changement significatif pour Baal. Les Grecs ne l’identifient plus comme la sagesse même, mais bien à la violence et aux mythes les plus violents de la théogonie hellène : rappelons que Cronos mangeait ses propres enfants, que Saturne représente toute la sauvagerie originelle, la folie des temps premiers. Les sacrifices que la ville organisait pour le plaisir du Dieu sont les plus connus, parce qu’ils ont marqué la mémoire des contemporains comme au fer rouge. Diodore de Sicile, qui connaît d’autant mieux Carthage que les luttes furent permanentes entre les Grecs et Carthage pour le contrôle de la riche Sicile.

En 310, vaincus et assiégés par les Grecs de Sicile, Carthage souffrait de manque d’eau. Les prêtres, pour se faire pardonner leurs péchés par Baal, organisèrent un holocauste, ces sacrifices de grande ampleur (tel est le sens premier du mot) qu’on appelle aussi, dans un vieux terme hébreu passé en langue punique, des Moloch. Selon Diodore, 500 enfants de la noblesse furent exécutés de la plus atroce des façons. Un immense Baal trônait sur la place centrale de la cité. Il était creux, et l’on entretenait à l’intérieur un immense brasier. Les bras de la statue, articulés, emportaient les enfants, encapuchonnés de noir, dans la gorge béante où ils étaient précipités vivants, sous les yeux d’une foule que Diodore de Sicile décrit ivre de joie démente et de folie meurtrière. Selon lui, des hommes et des femmes, rendus fous par la foule surchauffés, se poignardaient mutuellement, se précipitaient dans le bûcher. Baal dut être content : un orage s’abattit sur la ville, noyant la démence collective sous les trombes d’eau et remplissant les citernes. Le plus fou est que ce massacre dément fut fait pour absoudre un péché de la noblesse - toutes les petites victimes, nous l’avons dit, était nobles. Quel péché ? Celui de n’avoir pas perpétué l’antique tradition qui voulait que le premier rejeton de chaque famille noble soit immolé, afin de garantir le destin de la suite de la descendance. Rites de sang et de feu qui choquèrent profondément leurs adversaires grecs - dont les derniers sacrifices humains ne remontaient peut-être pourtant pas si loin. Mais la puissance supposée de ces rites avaient conduit chez les uns comme chez les autres à leur adoucissement, et au remplacement de divinités humaines par des substituts, animaux ou végétaux offerts en ersatz, si l’on ose dire.

Le plus fou est que tout cela recommença, provoquant la même horreur. Si l’histoire ne se répète pas, il lui arrive de bégayer. Au lendemain de la première guerre punique, dans laquelle s’étaient affrontés Carthage et Rome, alors puissance montante en Méditerranée, les mercenaires engagés par Carthage, lassés d’attendre une solde cent fois promise et jamais payée, firent le siège de Carthage, réussissant à prendre la première des trois enceintes. Les mêmes causes produisirent les mêmes effets. Les mercenaires, emmenés par Mâtho - c’est tout le contexte du roman de Flaubert, crevèrent les tuyaux de l’aqueduc qui ravitaillait la cité en eau potable. Plutôt que de payer enfin ses dettes, le Conseil des Anciens décida alors de réitérer le Moloch. Chaque famille de Carthage, et non plus seulement les nobles, dut livrer un enfant pour le sacrifice. Le jour suivant, la foule se pressa en masse sur la place, devant le temple de Moloch. Un pan du mur avait été abattu afin que l’on puisse sortit le Dieu d’airain au grand jour. Le feu avait été entretenu une bonne parti de la nuit. La foule commença à défiler, jetant au feu, à travers l’énorme bouche incandescente, bijoux et richesses. Les offrandes étaient de plus en plus belles, la folie semblait grandir au fur et à mesure. Les prêtres, sur les côtés se balafraient le visage. Des membres du clergé, les Dévoués, s’appliquèrent mille supplices, se perçant la poitrine de pointes de fer, , se fendant les joues, sa lacérant tout le corps. Puis l’on poussa le premier enfant. Un prêtre étendit sa main sur lui, et le chargea de tous les péchés du peuple pour satisfaire la colère de Baal. Partout retentissaient les cris « Seigneur, mange ! », « Verse la pluie, enfante ! »…

Puis tous défilèrent, le visage et le corps masqués pour ne pas voir et pour que dans la foule, aucune mère, aucune sœur ne reconnaisse un fils ou un frère et ne s’effondre en hurlant sa douleur. Il fallait qu’aucun Carthaginois ne faiblisse. On dit qu’il y eut autant de victimes que l’année solaire compte de jours, mais le chiffre fut vite dépassé. Cela dura des heures, et les mercenaires, massés sur la première enceinte, purent voir, horrifiés, le colosse gavé se mettre lentement à rougeoyer, et à vaciller presque, peinant à consumer toutes les victimes de cette folie collective. Les prêtres plongeaient les mains dans les cendres encore chaudes, le rejetant sur la foule amassée au pied de l’édifice. Dans cette frénésie collective, cette ivresse monstrueuse, comme cent ans plus tôt, la soirée ouvrit la voie à une Saint-Barthélémy païenne où les assassinats succédaient aux sacrifices improvisés. Les Carthaginois, gorgés d’horreur, furent là encore récompensés par un orage qui remplit les réservoirs. Le lendemain, les mercenaires levèrent le siège en pataugeant dans la boue. Carthage était sauvée. Baal avait triomphé de ses ennemis.

Il fallut attendre la destruction de la ville, par Scipion, pour que meure le culte de Baal sur la côte africaine autour de Carthage. L’épisode avait tant marqué les esprits que le sol fut maudit, et salé pour que rien, jamais, n’y repousse. Telle était la haine romaine pour la vieille cité punique, qu’il fallut attendre près de 200 ans avant qu’Auguste ne refonde la cité, dont le site était excellent. Ainsi meurent les dieux, quand d’autres dieux plus puissants qu’eux finissent par l’emporter grâce aux peuples qui les révèrent. Mais ils meurent lentement. Combien de pratiques domestiques aujourd’hui disparues perpétuèrent-elle quelque temps les rites maudits de Moloch-Baal ?

Un des points les plus controversés est le shabbat de Ninurta : Le jour sacré de Ninurta était un jour considéré néfaste, portant malheur, durant lequel de nombreuses activités était interdites. Ninurta, Ninib étant synonyme de Saturne, son chiffre était le Sept, ses jours d'interdits était le septième jour .

 

Les cylindres de Gudea évoquent les rites de purifications pratiqués par le prêtre du Temple de Salomon / Ninurta. Le lavement rituel des mains y est omniprésent, la ressemblance avec le culte judaïque est frappante a travers ces paroles du prêtre Gudea : 

 

« J’accomplis correctement le lavement rituel des mains, mes mains levées éveil le saint dieu ( An )... »

 

Une autre similitude indéniable se trouve dans l’évocation, dans les cylindres de Gudea, du sacrifice de la vache parfaite qui est par bien des points analogue au rituel sanglant du sacrifice de la génisse rousse ( vache rousse sans défauts, deux poils noirs suffissent à la disqualifier ) dans le judaïsme :

 

La vache doit être parfaite dans le rite dédié au Démon Ninurta,

 

Ce rituel implique la prise d'un bain rituel par le prêtre qui sacrifie a Ninurta.

Le sacrifice de la vache rousse oblige le prêtre sacrificateur a prendre un bain rituel .

 

Le bois de cèdre est indispensable pour brûler la vache après le sacrifice en l'honneur de Démon Ninurta.

Le bois de cèdre est indispensable pour brûler la vache rousse après le sacrifice .

 

Des enfants sans défauts, rituellement pure sont impliqués dans le culte sanglant voué a Ninurta.

De même dans le culte sacrificielle de la vache rousse du judaïsme, des enfants  sans défauts » était impliqués, ces enfants était entièrement isolés du monde depuis la naissance, pour garantir leur état de pureté complète le jour du sacrifice. Une Michna concernant les-dits sacrifices éclaire ce point :

 

« Des cours avaient été construites à Jérusalem au-dessus d’un rocher, et en dessous desquelles était aménagé un vide afin qu’il ne puisse servir de tombe. On y faisait venir des femmes enceintes pour qu’elles y accouchent et y élèvent leurs enfants. On y faisait venir des bœufs sur lesquels étaient posées des planches sur lesquelles étaient installés les enfants qui tenaient en main une coupe en pierre. Arrivés au Chiloah, [les enfants] descendaient et remplissaient [les coupes avec de l’eau], puis ils remontaient et s’asseyaient (de nouveau) sur les planches » (Michna Para 3, 2).

 

Dans le culte de Ninurta, a quoi servaient ces enfants sans défauts le jour du sacrifice ? Ils était sacrifiés aussi , avec les vaches sans défauts.

A quoi servaient les enfants pures, sans défauts, dans le sacrifice de la vache rousse ? : A rien, ils portaient de l'eau répond un rabbin. Un autre répond : Il est en effet probable que les enfants, d’autant qu’ils étaient très jeunes, n’avaient aucun rôle dans la cérémonie du sacrifice ( Réponses réellement trouvées sur internet !)

 

On a aucune raison de les croire... : Les copistes de l'ancien-Testament ont ( mal ) maquiller les sacrifices d'enfants exiger par Yahweh, ceci est confirmé par la Jewish Encyclopédie, par l'Encyclopédie Biblique, par de nombreux exégètes dont Thomas Römer qui dans ses cours au Collège de France confirme que Moloch est le maquillage « Melek » titre désignant Yahweh. Ce sujet est trop long pour être développé ici, mais le sacrifice des premiers-nés était exigé par les Baal, les Fils du Démiurge, dont Yahweh, et certains passage de la bible garde les preuves très net du sacrifice des premiers-nés exiger par Yahweh :

 

Consacre-moi ( consacre: de l'hebreux Qad-desh: a part, mettre a part ) tout premier-né parmi les enfants d'Israël, tant des hommes que des animaux: il m'appartient.

( exode 13:12 )

 

 «  Car tout premier-né des enfants d'Israël m'appartient, tant des hommes que des animaux; le jour où j'ai frappé tous les premiers-nés dans le pays d’Égypte, je me les suis consacrés »

( Nombres 8:17 )

 

 

Que les mésopotamiens aient adoré Ninurta, dieu de la mort pour lequel était sacrifié des enfants, brûlés vivant, est tout aussi facilement admis par les rationalistes athées que par les croyants de tous bords.

 

Le constat, que ce même Ninurta soit vénéré aujourd’hui sous le nom de Yahweh, semble inadmissible pour la majorité des croyants, surtout les plus sincères, mais laisse indifférent ou peut être même bien accueillit par les rationalistes athées.

 

L' idée que les élites bancaires , dominés par les descendant de Caïn, aient subordonné la politique internationale a l'établissement du Nouvel Ordre Mondial et au redressement du Temple du dieu de la mort, le démon Ninurta, ne peut que sembler être un délire total au yeux des rationalistes, et c'est bien normal. Ils se trompent quand même.

 

Parmi ceux qui ricanent le plus, sont, comble de l'ironie, les adeptes du matérialisme historique de Marx, a qui on a «  oublié » de préciser que le maître en communisme de Marx et Engels était Moses Hess ( encyclopedia universalis ).

 

Premier véritable théoricien du sionisme, Moses Hess considérait que le sens mystique de l'Histoire se joue dans une lutte des races qui aboutirait a la victoire et au règne de Jérusalem et précisait que concernant le troisième Temple de Salomon, la question du rétablissement des sacrifices sanglants dans devrait être réglé plus tard :

 

« Le culte ( sacrifice sanglant ou non ) que nous allons introduire dans la Nouvelle Jérusalem peut et doit, pour le moment, rester une question ouverte. Rome ne s'est pas construite en un jour et la Nouvelle Jérusalem soit prendre le temps nécessaire pour sa construction »

( Moses Hess, Rome et Jérusalem p145 ) .

 

C'est de lui que vient la formule « la religion ( des autres ) c'est l'opium du peuple » . Religions des autres, dont Moses Hess pensait que le plus efficace était d'utiliser la franc-maçonnerie pour les fusionner en une nouvelle religion mondiale :

 

«  Plus raisonnable sont les tentatives des fusionnistes qui, comme mon ami Hirsh, du Luxembourg, utilisent la franc-maçonnerie pour fusionner tout les cultes historiques en un »

-ibid p114 -.

 

Les adeptes ne connaissent pas toujours les ambitions du maître... mais c'est un autre sujet.

 

« Al cap dels sèt cent ans, verdejera lo laurel .»

Au cap de sept cent ans, le laurier reverdira.

 

Prediction de l'an 1309 de Bélibaste, dernier des cathare

mort sur le bûcher du château de Villerouge-Termenès.

 

28 avril 2014

Un diplomate américain accuse la Russie d’avoir trahi le Nouvel Ordre Mondial

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Le haut diplomate Christopher R. Hill dit que la réponse de la Russie à la crise ukrainienne signifie que Moscou a trahi le “nouvel ordre mondial” dont elle fut partie intégrante depuis 25 ans.

 

Dans un article pour la publication d’influence Project Syndicate, Hill, un ancien ambassadeur des États-Unis en Irak et en Corée du Sud, écrit que l’annexion de la Crimée par la Russie et la campagne “d’intimidation” contre Kiev a mis fin à cette période historique de 25 années, accusant Moscou de “régression, de récidivisme et de revanche.”

La définition de Hill du “nouvel ordre mondial” est l’implication de la Russie post-Glasnost dans les “institutions occidentales, d’économie de marché et de démocratie parlementaire multi-partite”.

“Ce nouvel ordre mondial a tenu pendant près de 25 ans, mis à part la brève incartade de la Russie en Georgie d’Août 2008 (un conflit généralement vu comme déclenché par le régime géorgien inconscient), l’accord et l’engagement de la Russie au “nouvel ordre mondial”, bien que problématique, fut un des grands accomplissements de l’ère post-guerre froide”, écrit Hill.

Hill, qui est un conseiller avec Albright Stonebridge Group, une “entreprise stratégique globale” avec des tentacules profondément ancrés à la Maison blanche et au ministère des Affaires étrangères, accuse Moscou de faire revivre les jours de l’empire soviétique, ajoutant que “La Russie ne semble plus intéressée à ce que l’occident avait à offrir ces 25 dernières années, un statut spécial avec l’OTAN, des relations privilégiées avec l’Union Européenne et un partenariat dans les réalisations diplomatiques internationales.”

Argumentant que les sanctions occidentales (sur la Russie) ont peu de chance d’avoir un impact, Hill estime que l’OTAN devrait se préparer pour le long terme, avertissant que la Russie “cherchera de causer des troubles similaires parmi ses anciens “alliés” de l’URSS, invoquant l’invasion allemande de la Pologne en 1939 pour suggérer que Moscou pourrait lancer des agressions contre des nations de l’Europe de l’Est.

L’estimation de Hill que la Russie a tourné le dos au “nouvel ordre mondial” illustre comment Moscou recherche à mener une faction alignée sur le BRICS qui posera une menace majeurs au futur unipolaire envisagé par les États-Unis et l’OTAN.

En d’autres termes, que la Russie le veuille ou non, “l’élite” occidentale est en train de façonner une nouvelle guerre froide et le monde entre peut-être dans sa période la plus dangereuse depuis la crise des missiles de Cuba.

 article original:http://www.infowars.com/top-u-s-diplomat-russia-has-betrayed-the-new-world-order/print/ 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

 

27 avril 2014

Une Bible qui serait vieille de 1500 ans a été retrouvée en Turquie à Ankara.

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Une Bible qui serait vieille de 1500 ans a été retrouvée en Turquie à Ankara. Cette précieuse découverte révèlerait l’annonce claire faite par Jésus (saws) de la venue d’un autre Prophète après lui, Muhammad (saws). L’authenticité de ce manuscrit doit être prochainement confirmée avec des analyses scientifiques de sa date précise.

Une précieuse découverte

Cette Bible a été en réalité retrouvée en 2000 par les autorités turques lors d’une saisie de divers objets volés par des contrebandiers en Méditerranée. Cette Bible est ensuite restée longtemps cachée dans un Palais de justice d’Ankara.

Selon des médias turcs, et notamment selon une déclaration du Ministre de la culture turc, Ertugrul Gunay, le Vatican aurait demandé à consulter le précieux ouvrage, information aussitôt démentie par l’église catholique.

Ecrite à la main et en araméen, la langue maternelle de Jésus (‘aleyhi salam), aux lettres dorées sur des pages en peau d’animaux, cette découverte est un véritable trésor de par sa rareté et son contenu. En effet, il s’agirait de l’Évangile de Barnabé où la venue du Prophète Muhammad (salallahou ‘aleyhi wa salam) est clairement annoncée par Jésus (‘aleyhi salam).

Jusqu’à ce jour, la plus vieille Evangile de « Saint-Barnabé » découverte date du XVIème siècle. Barnabé est reconnu comme étant le fondateur de l’Eglise chypriote. Cet écrit, bien que non reconnu comme étant totalement authentique par les musulmans est celui qui se rapproche finalement le plus de principes évoqués dans le Coran et en contradiction avec les autres écrits canoniques : Jésus  (‘saws) est un Prophète mais n’est pas le fils de Dieu, pas de Trinité et ni de crucifixion mentionnés, et Jésus  (saws) annonce la venue du Prophète Muhammad  (saws).

L’Evangile de « Saint-Barnabé » est un écrit qui suscite un débat entre musulmans et chrétiens d’où la portée de cette récente trouvaille.

Des recherches scientifiques décisives relatives à l’authenticité

Cependant, il existe encore des doutes quant à l’âge précis de cette Bible manuscrite. En effet, des analyses scientifiques sont en cours afin de déterminer l’époque précise de son écrit.

Ces recherches seront décisives dans la mesure où selon certains spécialistes il existerait une incohérence entre sa date et l’époque de Saint-Barnabé. A titre d’exemple, selon un Pasteur protestant turc, Ihsan Ozbëk, le livre semble dater du Vème ou du VIème siècle, alors que Saint-Barnabé avait vécu bien avant, à savoir, au Ier siècle.

Mais, cette copie a peut être été rédigée par l’un des disciples de Saint-Barnabé. C’est du moins l’avis d’un grand quotidien turc, Zaman.

En attendant la révélation de son âge réel, le précieux manuscrit est actuellement mis sous haute protection, sa valeur étant estimée à plus de 17 millions d’euros. Le public pourra prochainement venir le voir au Musée d’ethnographie d’Ankara.

http://www.ahmed-deedat.fr/pages/Rencontre_avec_des_missionnaires_chretiens-7940185.html

8 avril 2014

la télépathie est la propagation de l’information à une vitesse infinie

 

La densité zéro, condition de la télépathie

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La densité zéro est la condition de propagation de l’information à une vitesse infinie. Cela révèle un mécanisme qui expliquerait la nonlocalité et la télépathie.

L’information pourrait être transmise instantanément de n’importe quel point de l’univers à n’importe quel autre. Cela veut dire que toute l’information sur tout ce qui arrive, partout dans l’univers, est instantanément disponible n’importe où. Afin d’être protégée de la surcharge d’information,chaque conscience doit donc être enveloppée
d’une barrière filtrante très efficace programmée au sein de la structure calculatrice de l’I-ther. La propagation de l’information n’est donc plus limitée à la vitesse de la lumière, comme dans la relativité.
En fait, certaines expériences de vision à distance permettent de déduire que l’information se déplace plus vite que celle-ci.


Des expériences de vision à distance conduites au cours d’une journée d’étude de la SPR le 24 avril 2004 ont été décrites par Edwin May et publiées plus tard dans la Paranormal Review (2005). Il s’agissait de
la vision de Io, satellite de Jupiter. Le satellite a été observé au moment où il disparaissait dans l’ombre
de la planète. Les phases de cette disparition ont été déterminées à quinze reprises avec une précision de dix secondes, mais l’événement n’a été observé au télescope que quarante minutes plus tard. May avança alors l’hypothèse que la différence de temps pouvait s’expliquer par la précognition et suggéra qu’une nouvelle sorte d’espace était peut-être concerné.


Près de quatre fois la vitesse de la lumière
Mais il y a peut-être une autre explication. Tandis que la Terre et Jupiter parcourent leurs orbites, la distance qui les sépare varie d’un maximum de 967 800 000 km à un minimum de 588 800 000 km. Même lorsqu’elles sont au plus loin, la lumière, qui se déplace à 300 000 km/s, met 53,8 minutes pour parcourir cette distance. Donc le temps maximal de la vision à distance eut été de 53,8 – 40 = 13,8 minutes, ce qui donne une vitesse correspondante de 1 170 000 km/s, soit 3,9 fois la vitesse de la lumière. La Physique de la Sur-vie prédit que la télépathie se propage à une vitesse infiniment grande, ce qui correspondrait à une distance de séparation de 720 000 000 km, soit environ la moyenne entre les deux extrêmes. [NdT : 720 000 000/300 000 = 2 400 sec., soit 40 min.] Si May avait inclus la date de l’expérience,
un astronome aurait pu calculer la distance qui séparait les deux planètes à ce moment. On aurait alors pu comparer avec les valeurs données ici.

Des preuves de la vie après la vie
Victor Zammit (2006) offre quantité de preuves del ’existence de la vie après la vie. Emma Heathcote- James (2004) en apporte d’autres, et de nombreux livres traitent du sujet. J’en apporte davantage dans ma nouvelle vulgarisation (Pearson 2008). Tout celavient appuyer la théorie présentée ici mais avec plus de détails. On y trouve aussi une histoire de la science et les raisons pour lesquelles cette théorie s’est heurtée à une fin de non recevoir. Le lecteur
s’y verra proposé quelques expériences réalisables à domicile, qui sont des répliques de découvertes dues
Fig. E : réseau I-ther avec âme, cerveau et matière
ither
Les âmes (consciences) figurent comme des portions évoluées du réseau structurel de l’I-ther. Chacune possède une barrière informationnelle filtrante, programmée dans l’I-ther, séparant
 e subconscient du conscient. Seul ce dernier agit sur le cerveau présumé fonctionner comme un servomécanisme. La barrière filtrante
garantit que la seule information qui puisse atteindre le conscient soit reflétée par la matière. Des yeux connectés aux cerveaux regardent tous un objet cristallin. C’est ainsi que tous les conscients sont maintenus dans l’illusion qu’ils sont des individus isolés, de sorte qu’ils puissent acquérir de l’expérience en interagissant de manière cohérente. Cependant, tous les subconscients de l’univers  sont inter-connectés par la structure I-ther amorale et c’est cet ensemble qui génère l’univers matériel. Seules des fuites contrôlées dans les
barrières filtrantes de deux personnes – bénéficiant d’une sorte de résonance – permettent un transfert d’information par télépathie.

Le « paranormal » s’explique brièvement comme suit :


le cerveau est entouré d’une âme, fragment hautement évolué de la structure de l’I-ther, et par conséquent immortelle. Chaque âme comporte un sub-conscient et un conscient séparés par une barrière informationnelle filtrante entourant ce dernier. Le conscient enveloppe et régit le cerveau matériel. Cependant, les
sub-conscients de tous les esprits sont inter-connectés par la structure de l’I-ther et forment la supra-conscience génératrice d’univers parallèles interpénétrés ; les mondes de l’esprit et le nôtre. La barrière informationnelle filtrante laisse passer l’information de tous les conscients vers leurs subconscients respectifs dans le but d’enrichir le « tout » des expériences individuelles. Par contre, le flux d’information en sens inverse est inhibé afin d’éviter la
surcharge. Autre facteur important, l’information ne peut accéder au conscient que par l’intermédiaire des cinq sens matériels. C’est ainsi que la matière apparaît en tant que seule réalité et impose à l’esprit un environnement temporaire restrictif. Cela contraint les individus à interagir de façon intelligible au moyen de la compétition et de la coopération qui leur permettent de progresser. Ils le font sans se rendre compte qu’ils ne forment qu’un dans l’I-ther

fleuve

il se pourrait que l'univers ait été créée par la pensée , et quelle a   duré 6 jours ,le temps tel que nous le connaissons n'existe que sur notre terre il est en rapport avec la gravité certaine planète de notre système ,leur  temps est beaucoup plus dense, une année dure 150 ans alors si Dieu existe il est éternel et dans la densité de temps dans laquelle il a crée l'univers , il se peut qu'il soit si dense que 6 jours aurait suffit a la création de la terre ce n'est pas aussi farfelue que l'on puisse  penser ,cela dépend de l'espace temps d'origine de la création qui est loin d'être le notre ou la vie d'un homme ne dure en fait une micro-seconde en comparaison ,alors nos vie sont destinées car facilement observable si je devais anticiper les 3 prochaines seconde ce serait très facile pour un simple homme mais pour un être supérieur je ne peux imaginer le degrés de connaissance de tout en instantané cela dépasse tout ce que l'on pourra jamais imaginer

Avant le Big bang le temps n'existe pas (le notre) ,alors il est évident que les 6 jours font référence aux temps de la création .ou 1; jour représenterait des milliards d'année .De plus la pensée est créatrice ,il se pourrait bien que l'univers ne soit qu'une pensée une vibration que nous percevons comme une réalité cette vision n'existerait que dans notre dimension finie,et notre esprit serait sur un autre plan infini pour cette raison que nous pouvons prévoir et pressentir les évènements à venir ou pratiquer la télépathie et cela en instantané,l'univers serait comme notre esprit le miroir ou se projette une pensée créatrice qui se reflete dans toute chose et cela à l'infini.  R.james

 

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