
Il y a presque 400 ans, 18 années après le début de la Guerre de Trente Ans, le poète allemand Andreas Gryphius a écrit son célèbre poème «Les Larmes de la Patrie». D’une façon impressionnante ce poète décrit la destructivité de la guerre, qui s’empare de tout. Le poème se termine par ces trois lignes: «Cependant je ne dirai rien de ce qui est pire que la mort, de ce qui est plus terrible que la peste, la violence, la famine et qui est que tant de gens soient privés des rêves et des trésors de l’âme.» Dans ces semaines-ci, c’est,...
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