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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
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30 octobre 2014

Pulvérisation de nanoparticules : un technicien allemand témoigne

avion

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10 février 2014

Sotchi-2014: un avion détourné par un pirate qui portait un numero 11 sur le bras .

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comment pas sourire en voyant ce numero sur le pirate comment le hasard ne joue pas après le 11 sept un symbole occulte et une signature numérique d'un coup organisé décidemment il y avait aussi 11 0 passagers

Pendant que la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques se déroulait dans la féérie des jeux de lumière et des feux d’artifices, un homme, un ukrainien de 45 ans,  tentait de détourner un avion de la compagnie turque Pegasus parti de Kharkov (Ukraine) pour le diriger vers Sotchi.

Bf41xkiCIAENG2h.jpg largeSelon des informations dont nous disposons, l’apprenti pirate a menacé de faire exploser une bombe si l’avion, avec 110 passagers à son bord, ne prenait pas la direction de Sotchi.  Il a tenté de forcer la porte du poste de pilotage mais n’a apparemment pas pu y parvenir. L’alerte a été donnée par le pilote, et l’armée de l’air turque a immédiatement fait décoller un chasseur F16, qui a escorté l’avion jusqu’à Istanbul où les unités d’intervention de la police antiterroriste turque ont immédiatement investi l’appareil. L’homme était, semble-t-il en état d’ébriété ou sous l’effet de la drogue, selon le porte-parole des services de sécurité ukrainiens. L’homme, qui ne portait ni arme, ni bombe sur lui, a été conduit dans un poste de police pour y être interrogé.

4362612_3_c221_l-appareil-de-la-compagnie-pegasus-a-ete_16c90bc5eab33fc64300fce68c8a8090Le dernier paramètre des Jeux de Sotchi vient de se mettre en place. Pour ceux qui pouvaient encore en douter, à Sotchi il n’y a pas que les jeux d’hiver. C’est la guerre qui continue. Ce faux pirate, convenablement drogué, n’est destiné qu’à annoncer la donne. Bien sûr, les médias occidentaux s’en sont emparés. Des ‘’informations’’ concernant le ‘’pirate’’ et ses motivations vont nous être distillées peu à peu dans les jours qui viennent, mais ne nous attendons pas à en avoir du côté russe car, bien que l’affaire les concerne au premier chef, ils n’auront que celles que nous aurons, celles concoctées de ce côté-ci du "nouveau rideau de fer’’.

A suivre…

27 octobre 2013

OMS "la pollution atmosphérique est la première cause environnementale de cancers chez l’être humain"

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Le 17 octobre octobre 2013 marquera peut-être un tournant dans la lutte contre la pollution athmosphérique. En effet, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) vient de reconnaitre officiellement la pollution atmosphérique comme la première cause environnementale de cancers chez l’être humain : antérieurement classée comme “probablement cancérigène”, la pollution de l’air est devenue “cancérigène certain”, une dénomination aux impacts lourds. Nous respirons donc quotidiennement, en particulier ceux habitant les villes, et encore plus ceux habitant Paris et sa région, 12 000 litres par jour d’air, devenu cancérigène du fait de la pollution.

les experts du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), une agence de l’Organisation Mondiale de la santé (OMS), ont effectivement estimé qu’il y avait dorénavant suffisamment de preuves pour affirmer que la pollution de l’air provoque des cancers des poumons mais aussi des cancers de vessie.

Dans leurs analyses les experts ont séparé la pollution liées aux gaz et celle liée aux particules (les fameurse PM 10, 5 et 2.5). Les particules étaient, elles, déjà classées comme polluant cancérigène pour l’homme depuis juin 2012, (tout comme le diesel qui les émet en grande quantité). Selon un autre récent rapport, ces particules ont tué au moins 42 000 personnes en France depuis l’an 2000 (cf. article Docbuzz).

La pollution de l’air était déjà identifiée comme un facteur augmentant le risque de survenue de nombreuses pathologies respiratoires et cardiaques. Ce sont 223 000 personnes dans le monde qui ont été tuées par un cancer des poumons causé par la pollution, selon les données les plus récentes datant de 2010. Mais l’impact négatif de la pollution va bien au-delà, en réduisant par exemple le poids de naissance des bébés.

Lorsque la prise de conscience touchera l’ensemble de la société, et qu’une majorité d’humains souhaiteront au minimum protéger leurs enfants, les effets de cette pollution pourront enfin être combattues. Selon le directeur du Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC), Christopher wild « il y a des méthodes efficaces de réduire la pollution de l’air et, étant donnée l’importance de l’exposition qui touche les personnes dans le monde entier, ce rapport devrait adresser un signal fort à la communauté intrnationale piur entreprendre des actions sans attendre ».

Les actions à menée devraient cibler bien évidemment la circulation automobile, en particulier au cœur des villes et en particulier les véhicules diesel et les poids lourds grand émetteurs de particules. Les industries sont également visées, en particulier celles moins contrôllées des pays en développement comme la Chine ; les récentes pollutions dramatiques de Pékin sont un exemple des pires conséquences de cette pollution où le niveau de particules dans l’air avait atteint des sommets (Cf. article Docbuzz).

Outre une réduction de l’exposition à un cancérigène dorénavant certain, la lutte contre la pollution atmosphérique réduira le risque d’asthmes, de bronchites, d’hospitalisations et donc réduira également les dépenses de santé (cf article Docbuzz).

Source

 IARC: Outdoor air pollution a leading environmental cause of cancer deaths
International agency For Cancer research
OMS

http://www.docbuzz.fr/2013/10/17/123-oms-lair-pollue-que-nous-respirons-est-cancerigene/

Crédit Photo Creative Commons by  jepoirrier

23 octobre 2013

Géo-ingénierie : scientifiques, milliardaires et militaires s’allient pour manipuler l’atmosphère

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Pulvériser du soufre dans la stratosphère, modifier la chimie des océans… Pour contrer le réchauffement climatique, des techniques de manipulation du climat à grande échelle sont à l’étude. Des projets déjà expérimentés, hors laboratoire et sans aucun contrôle international, qui attirent scientifiques, milliardaires et compagnies pétrolières. Alors que des organisations de la société civile demandent un moratoire, les militaires s’y mettent et appellent à se doter d’armes météorologiques. La « géo-ingénierie », une nouvelle menace environnementale et… anti-démocratique ?

Dans les arcanes gouvernementales, on la surnomme « le plan B ». Son vrai nom, la « géo-ingénierie ». Pour contrer le réchauffement climatique, plutôt que de miser sur les réductions de gaz à effet de serre, des chercheurs étudient des dispositifs de manipulation du climat à grande échelle. Au menu, des techniques allant de l’ensemencement en fer des océans à la gestion du rayonnement solaire. Des expérimentations sont déjà menées. Considérées comme fantaisistes il y a vingt ans, ces recherches sont désormais suivies de près par les gouvernements. L’ONG internationale ETC Group, qui travaille sur les technologies émergentes, a publié une carte de ces expériences de géo-ingénierie et de modifications du climat, depuis 60 ans. L’Amérique du Nord, l’Europe et l’Australie font partie des trois zones les plus actives (en rouge sur la carte) en terme de géo-ingénierie.

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Modifier la composition chimique des océans

Quelque 45 techniques de géo-ingénierie sont recensées dans l’encyclopédie Wikipedia. Clive Hamilton, dans son livre Les apprentis sorciers du climat [1], examine huit d’entre elles, considérant les autres comme « purement imaginatives », voir « spéculatives ». Chercheurs et investisseurs se concentrent principalement sur les techniques de capture du carbone, avec un intérêt particulier pour les océans. Nos océans constituent une formidable éponge à carbone grâce au rôle joué par les phytoplanctons, qui fournissent par photosynthèse plus de la moitié de l’oxygène de la planète. Pour favoriser l’éclosion de ces planctons marins, une douzaine d’expériences de « fertilisation en fer » ont été conduites par les scientifiques depuis le début des années 90.

Une expérience de trois mois conduite dans l’océan Austral en 2009 a refroidi les espoirs placés dans l’ensemencement en fer. Quatre tonnes de poussières de fer ont été éparpillées sur une zone de 300 km2. Rapidement, une efflorescence de phytoplanctons est observée, mais elle s’arrête au bout de deux semaines. La fertilisation des mers grâce au fer ne donnerait donc naissance à du phytoplancton que pour un court laps de temps. « Ensemencer les mers de fer n’est pas non plus sans conséquence écologique, ajoutent les auteurs de l’ouvrage Scénarios d’avenir [2]. Accroitre leur teneur en fer contribue à accélérer le processus déjà en cours d’acidification des océans. » La fertilisation peut aussi avoir des répercussions sur toute la chaine alimentaire marine. Ces risques n’ont toutefois pas empêché un businessman californien de déverser 100 tonnes de sulfate dans l’océan Pacifique, sur une zone de 10 000 km2, en toute illégalité, en juillet 2012 (lire notre article).

Pulvériser du soufre dans la stratosphère

Autre technique en vogue, la pulvérisation d’aérosols soufrés. En 1991, les cendres projetées dans l’atmosphère par le mont Pinutabo assombrissent suffisamment la Terre pour la refroidir d’environ 0,5°C pendant une année. Avant que la situation ne revienne à la normale une fois le nuage de cendres retombé au sol [3]. Partant de ce constat, la Royal Society, l’académie des sciences britanniques, considère la pulvérisation d’aérosols soufrés dans la stratosphère comme « la plus prometteuse » des méthodes de gestion du rayonnement solaire [4]. Ces minuscules particules d’aérosols seraient pulvérisées sous forme de dioxyde de soufre, de sulfure d’hydrogène ou d’acide sulfurique. Paul Crutzen, prix Nobel de chimie, a estimé à 5 millions de tonnes par an la quantité de soufre nécessaire pour bloquer environ 2 % du rayonnement solaire !

Imaginez une flotte d’aéronefs, volant à haute altitude, équipés de réservoirs et de dispositifs de pulvérisation. L’utilisation de canons de l’artillerie navale, de ballons ou d’un tuyau suspendu dans le ciel sont également à l’étude... Si ces aérosols étaient pulvérisés par des avions de chasse, il faudrait chaque année un million de vols d’une durée de 4h chacun ! [5] D’autres études évoquent des impacts sur le niveau des précipitations. Cette technique pourrait gravement perturber la mousson indienne, compromettant les ressources alimentaires de près de 2 milliards de personnes. Dernière objection de taille : « L’impossibilité de tester cette technique sans mise en œuvre grandeur nature », conclut Clive Hamilton.

Des brevets qui attirent les milliardaires

Un duo de scientifiques nord-américains est très impliqué dans la recherche en géo-ingénierie : David Keith, physicien, et Ken Caldeira, spécialiste des sciences de l’atmosphère. David Keith détient avec d’autres le brevet du « Planetary Cooler » (réfrigérateur planétaire), un dispositif d’absorption du carbone. Il a créé une start-up, Carbon Engineering Ltd, pour développer une technique de capture de CO2 dans l’air, à l’échelle industrielle. Parmi les investisseurs de ces sociétés : Bill Gates, mais aussi le milliardaire canadien N. Murray Edwards, magnat du pétrole qui a fait fortune dans les sables bitumineux en Alberta. Quant à Ken Caldeira, il est associé à Bill Gates au sein de la société Intellectual Ventures, qui a fait breveter plusieurs technologies, notamment le « StratoShield » (strato-bouclier) : des tuyaux suspendus à des ballons dirigeables dans le ciel permettant de disperser des aérosols soufrés.

Bill Gates a engagé plusieurs millions de dollars pour financer la recherche en géo-ingénierie [6], et aider au financement d’une série de rencontres sur la géo-ingénierie. La deuxième fortune mondiale a soutenu financièrement deux scientifiques de Harvard pour tester au Nouveau-Mexique du matériel visant à injecter des minuscules particules dans la stratosphère (lire notre article). Il a aussi investi dans la société Silver Lining qui travaille sur les techniques d’éclaircissement des nuages marins. « Pas moins de 10 personnes affiliées à Silver Lining figurent parmi les 25 auteurs d’un des principaux articles sur l’éclaircissement des nuages » relève Clive Hamilton. Richard Branson, un autre milliardaire, propose une récompense de 25 millions de dollars dans le cadre du défi « Virgin Earth Challenge » à quiconque concevra le meilleur plan pour extraire le carbone de l’atmosphère.

Solution miracle pour les pétroliers et les conservateurs

« Ceux-là mêmes qui contestent la réalité du réchauffement montrent un intérêt croissant pour l’ingéniérie du climat », souligne Clive Hamilton (lire notre article sur les climatosceptiques). Quoi de mieux que cette solution miraculeuse permettant de ne pas changer le mode de développement actuel et sa consommation massive d’énergies fossiles ? Plusieurs compagnies sont sur les rangs, à l’instar de la Royal Dutch Shell qui finance une étude sur l’ajout de chaux dans les mers. Steven Koonin, alors directeur scientifique du géant pétrolier BP (avant de travailler au département de l’Énergie des États-Unis), est à l’origine d’une réunion d’experts pour le compte de l’entreprise Novim Group. Elle a abouti en 2009 à un rapport influent sur l’ingénierie du climat.

La géo-ingénierie est aussi appuyée par plusieurs think tanks conservateurs. « La géo-ingénierie apporte la promesse d’une réponse au réchauffement climatique pour seulement quelques milliards de dollars par an. Au lieu de pénaliser les Américains moyens, nous aurions la possibilité de répondre au réchauffement climatique en récompensant l’inventivité scientifique... Stimulons l’ingéniosité américaine. Assez du diktat vert », a déclaré le républicain Newt Gingrich, ancien président de la chambre des représentants des États-Unis. Tout est bon pour maintenir la société de consommation à son niveau actuel. Un intérêt stratégique qui n’a pas échappé aux forces armées.

Développer les « armes météorologiques »

Cela fait des décennies que les stratèges militaires veulent « faire de la météo une arme ». Au milieu du 20ème siècle, Bernard Vonnegut, un physicien américain, découvre la capacité de l’iodure d’argent à agglomérer la vapeur d’eau des nuages en gouttes. II suffit donc d’ensemencer les nuages avec ce composé inorganique pour faire pleuvoir – quasiment – à volonté. En 1967, l’US Air Force lance l’opération Popeye. Chaque jour, des avions bombardent les nuages vietnamiens d’iodure d’argent, modifiant la climatologie locale, pour tenter d’embourber les lignes de communication de la guérilla communiste [7]. Ce premier usage guerrier de la géo-ingénierie sera dévoilé le 3 juillet 1972 par le New York Times. Il faudra quatre ans de négociations pour que les Nations Unies adopte une Convention interdisant la modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles [8]. Mais en 1996, des officiers de l’US Air Force rendent un rapport appelant les États-Unis à de doter d’armes météorologiques d’ici… 2025.

« Parmi les scientifiques travaillant dans l’armement s’est développée l’idée que la compréhension et le contrôle exercé sur la technologie suffiraient à les rendre sûres », analyse Clive Hamilton. Edward Teller, à qui est attribuée la co-paternité de la bombe H, propose en 1997 de prévenir le réchauffement de la planète en bombardant l’atmosphère de particules qui réfléchiraient la lumière incidente du soleil. Coût : un milliard de dollars. « Comme d’autres, Teller ressent la fascination du nucléaire et de la puissance de la technologie moderne, soulignent les auteurs de Scénarios d’avenir. C’est probablement de cet enthousiasme obsessionnel pour les armes atomiques et de cette très puissante "arrogance technologique" que Teller en est venu à la géo-ingénierie ».

En octobre 2011, un autre rapport soutenant fortement la recherche en géo-ingénierie est publié par le think tank Bipartisan Policy Center. Le journaliste du Guardian John Vidal décrit ce groupe de travail comme « la crème du lobby scientifique et militaire émergent en faveur de la gé-oingénierie » [9]. Parmi ce lobby, David Wehlan, directeur des systèmes de défense chez Boeing qui a travaillé pendant de nombreuses années sur des projets d’armement à la DARPA, l’agence de recherche du Pentagone. La DARPA a elle-même convoqué une réunion sur la géo-ingéniérie. Une étude commandée par le Pentagone en 2003 conseillait déjà d’examiner de manière urgente les options de géo-ingénierie pour contrôler le climat... [10]

Quel pays aura la main sur le « thermostat planétaire » ?

Cette arrogance technologique américaine a son pendant en Russie. Le scientifique russe Yuri Izrael, vice-président du Giec jusqu’en 2008, a été le premier à conduire une expérimentation en situation réelle de dispersion d’aérosols, par hélicoptère à basse altitude. Connu pour son climato-scepticisme, il défend la géo-ingénierie plutôt que les réductions d’émissions. « En Chine, des tensions existent déjà entre les provinces au sujet de l’ensemencement des nuages pratiqué depuis longtemps dans le pays, certaines provinces accusant les autres de "voler leur pluie" », pointe également Clive Hamilton. Aujourd’hui, la géo-ingénierie devrait requérir une gouvernance mondiale morale et politique, selon ETC Group. Or, la probabilité que les 193 membres des Nations Unies se mettent d’accord est très faible.

« Si un filtre solaire était entièrement déployé pour réduire la température de la terre, il faudrait au moins dix ans d’observations climatiques mondiales pour séparer les effets de ce filtre, des autres causes liées à la variabilité climatique », illustre Clive Hamilton. Comment savoir par exemple si une sécheresse en Inde ou au Pakistan est causée par le réchauffement climatique ou par ce filtre solaire ? « Et si l’Inde souffre des effets des variations mondiales, alors que les États-Unis bénéficient d’un temps plus clément, il importe beaucoup de connaitre le pays ayant la main sur le thermostat planétaire ».

Quand la science fiction devient une option politique

Dans les années 90, ces projets de manipulation délibérée du climat étaient majoritairement considérés comme de la sympathique science-fiction, ou comme des diversions détournant des politiques de réduction des émissions. « Ce qu’il y a de nouveau, c’est que la géo-ingénierie est sortie de certains cercles fermés de scientifiques, académiques et autres groupes de recherche pour entrer dans les salles de négociation intergouvernementales », commente Joëlle Deschambault, d’ETC Group. Ces techniques sont ainsi mentionnées dans le « résumé à l’intention des décideurs », du dernier rapport du Giec rendu public le 27 septembre 2013.

Le rapport du Giec évoque deux techniques : la gestion du rayonnement solaire et l’élimination du dioxyde de carbone [11]. Les auteurs conviennent qu’ils disposent d’une mince littérature scientifique pour véritablement évaluer ces techniques et leurs impacts. Selon une source proche du ministère du Développement durable, l’idée d’intégrer la géo-ingénierie dans le dernier rapport du Giec remonte à une réunion de 2010 en Corée du Sud. « Il commençait à y avoir des publications dans ce domaine-là, et les représentants des différents pays ont jugé qu’il valait mieux en parler », précise t-il à Basta !. Pour Geneviève Azam de l’association Attac, cette seule évocation leur donne une légitimité, en dépit du moratoire des Nations unies sur ces technologies adopté en 2011 [12].

Les lacunes du droit international

« Tant que n’aura pas lieu un débat approfondi visant à établir comment les divers pays souhaitent procéder en la matière, un moratoire sur l’ensemble des activités de géo-ingénierie hors laboratoire représente la seule voie sensée »,préconise ETC Group. Un certain nombre de traités stipulent déjà l’interdiction de causer des dommages transfrontaliers. Les pays de la Convention de Londres, qui réglemente les rejets en mer, et ceux de la Convention sur la diversité biologique, ont adopté des résolutions interdisant les expériences d’ensemencement par le fer, sauf sous certaines conditions, des études d’impact préalables et un encadrement strict.

Mais le droit international présente d’énormes lacunes. Aucun texte par exemple n’empêche un individu de déployer un bouclier solaire par dispersion d’aérosols soufrés.... Les pays ne sont pas davantage respectueux du droit international de l’environnement. En 2008, l’Allemagne a déclaré que la résolution de la Convention sur la diversité biologique était « non contraignante », lorsque son ministère de la Recherche a décidé d’approuver une expérience de fertilisation des océans avec du fer.

Les nouveaux apprentis sorciers du climat

Une des options portées par des organisations de la société civile serait de créer un nouveau traité ou une nouvelle agence internationale de supervision des différentes techniques de géo-ingénierie. En attendant, les recherches et expérimentations à ciel ouvert se poursuivent. Le gouvernement chinois a inscrit récemment la géo-ingénierie parmi ses priorités de recherche en géosciences, rappelle Clive Hamilton. En France, l’Agence nationale de la recherche finance un atelier de réflexion prospective sur la géo-ingénierie, qui devrait aboutir à un rapport fin 2013.

« Les travaux récents en sciences du système Terre ont fait progresser notre connaissance de manière significative mais ils ont également révélé l’étendue vertigineuse de notre ignorance », rappelle Clive Hamilton. Les modifications du système climatique ne peuvent être isolées des modifications des autres éléments du système Terre. Quelques individus et institutions aspirent néanmoins à mener des expériences aux conséquences bien incertaines pour l’ensemble de la planète. Et Clive Hamilton d’interroger : « Ne sommes-nous pas en train de jouer à Dieu, avec les risques que cela comporte ? »

Sophie Chapelle

http://www.bastamag.net/article3404.html

http://lesmoutonsenrages.fr/2013/10/22/geo-ingenierie-scientifiques-milliardaires-et-militaires-sallient-pour-manipuler-latmosphere/#more-53333

une chose faut arrêter de prendre les gens pour des imbéciles çà fait déjà plus de 50 ans qu'ils nous pulvérisent leur poison sur nous ils viennent juste de découvrir la possibilité de le faire et pour notre bien en plus mdr...............article qui a pour but de manipuler non le climat mais vos cerveaux...

ce qui est bien c'est qu'il suffit de voir quels sont les sites qui répandent de telles sornettes ainsi vous venez tout bonnement de comprendre dans quel camps ils sont .......de plus le titre ne dit pas pour manipuler le climat mais l'atmosphère ,comme çà l'idée ne vous viendrait même pas qu'il puisse le faire .................

@Sophie_Chapelle sur twitter

Photo de Une : CC Sascha Pohflepp

P.-S.

A lire sur ce sujet :
- Clive Hamilton, Les Apprentis sorciers du climat : raisons et déraisons de la géo-ingénierie, coll. Anthropocène, Ed. Seuil, 2013.
- ETC Group, Géopiraterie : argumentaire contre la géo-ingénierie, 2010, à télécharger ici.
- Bertrand Guillaume, Valéry Laramée de Tannenberg, Scénarios d’avenir : futurs possibles du climat et de la technologie, Armand Colin, 2012.

Notes

[1Clive Hamilton, Les Apprentis sorciers du climat : raisons et déraisons de la géo-ingénierie, coll. Anthropocène, Ed. Seuil, 2013.

[2Bertrand Guillaume, Valéry Laramée de Tannenberg, Scénarios d’avenir : futurs possibles du climat et de la technologie, Armand Colin, 2012.

[3Alan Robock, Martin Bunzl, Ben Kravitz et Georgiy L. Stenchikov, « A test for geoengineering ? », Science, vol. 327, 29 janvier 2010.

23 octobre 2013

Révélation d'un mécanicien avion sur l'équipement pour pulvériser les chemtrails

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Pour des raisons que vous comprendrez en lisant, je ne puis divulguer mon identité.
Je suis mécanicien d’aviation pour une importante compagnie aérienne.
Je travaille sur l’une de nos bases de maintenance située dans un grand aéroport.
Je pense avoir découvert des informations que vous trouverez importantes.

D’abord je devrais vous parler au sujet de la « hiérarchie » chez les mécaniciens.
C’est important pour mon histoire et pour la cause pour laquelle vous vous êtes consacré.
La mécanique exige de travailler sur trois choses : l’avionique, les moteurs, ou les commandes de vol.

Les mécaniciens qui travaillent sur ces systèmes sont considérés en haut de la « hiérarchie ».
Viennent ensuite les mécaniciens travaillant sur l’hydraulique et les systèmes de climatisation.
Puis viennent ceux travaillant sur le service et les autres systèmes non essentiels.

Mais en bas même de la liste viennent les mécaniciens des systèmes de traitement des déchets... aucun mécanicien ne veut travailler sur les pompes, les réservoirs, et les canalisations servant à stocker les détritus des toilettes... mais dans chaque aéroport où j’ai travaillé il y avait toujours 2 ou 3 mécaniciens se proposant de travailler sur les systèmes des toilettes. 

Les autres mécaniciens les laissent faire de bon cœur.. .pour cette raison vous n’avez que 2 ou 3 mécaniciens travaillant sur ces systèmes dans chaque aéroport.
Personne ne prête beaucoup d’attention à ces types et aucun mécanicien n’en fréquente un qui travaille seulement sur les systèmes des détritus... en fait, je n’avais jamais beaucoup pensé à cette situation jusqu’au mois dernier.

Comme la plupart des compagnies aériennes nous avons des accords réciproques avec les autres compagnies qui utilisent cet aéroport... si elles ont un problème avec un avion, l’un de nos mécaniciens saura se débrouiller avec lui... de même si l’un de nos avions a un problème sur un aéroport où une autre compagnie aérienne a une base de maintenance, elle retapera notre avion... un jour le mois dernier, j’ai été appelé de notre base pour travailler sur un avion pour une autre compagnie aérienne. 

Quand j’ai reçu l’appel l’agent technique d’exploitation ne savait pas quel était le problème.

Quand j’ai rejoint l’avion j’ai découvert que le problème était dans le système de traitement des détritus... je n’avais rien d’autre à faire que ramper dedans et arranger le problème.
Quand je suis entré dans le compartiment je me suis rendu compte que quelque chose ne collait pas... il y avait là-dedans plus de réservoirs, de pompes, et de canalisations qu’il en fallait... j’ai d’abord supposé que le système avait été modifié... il y avait 10 ans que j’avais travaillé sur l’un d’eux. 

Pendant que j’essayais de trouver le problème j’ai rapidement réalisé que la tuyauterie et les réservoirs supplémentaires n’étaient pas reliés au système de traitement des ordures.

Je venais juste de découvrir ça quand un autre mécanicien de ma compagnie est venu.
C’était l’un des mécaniciens qui travaillaient d’habitude sur ces systèmes.
J’ai été heureux de lui rendre son job. Pendant que je partais je l’ai interrogé sur l’équipement supplémentaire... il m’a dit de « me préoccuper de ma partie d’avion et de le laisser se décarcasser avec la sienne ! ».

Le jour suivant j’étais sur l’ordinateur de la compagnie pour rechercher un schéma de câblage.
Pendant que j’y étais j’ai décidé de rechercher l’équipement supplémentaire que j’avais trouvé.
À ma stupéfaction les manuels ne montraient aucun des équipements supplémentaires que j’avais vu de mes propres yeux le jour précédant. 

Je me suis même connecté aux dossiers du fabricant et n’ai toujours rien trouvé.
À ce moment-là, j’étais vraiment déterminé à découvrir ce que faisait cet équipement.
La semaine suivante nous avons eu trois de nos avions dans notre hangar principal pour l’inspection périodique... il y avait des mécaniciens rampant partout dans l’avion durant ces inspections... ayant juste fini mon poste, j’ai décidé d’aller voir le système des détritus sur l’un de nos avions.

Avec tous les mécaniciens autour j’estimais que personne ne remarquerait quelqu’un de plus sur l’avion... l’avion que j’ai choisi avait bien l’équipement supplémentaire !
J’ai commencé à suivre le tracé du système de canalisations, des pompes, et des réservoirs.
J’ai trouvé ce qui semblait être l’unité de contrôle du système.

C’était une boîte de commande d’avionique semblant standard sauf qu’elle n’avait aucune sorte d’inscription... je pouvais retrouver les fils de commande de la boîte vers les pompes et les valves mais il n’y avait pas de circuit de commande entrant dans l’unité.
Les seuls fils entrant dans l’unité étaient l’alimentation raccordée au principal bus de distribution de courant de l’avion.

Le système avait un grand réservoir et deux plus petits.
C’était difficile à dire dans le compartiment exigu, mais il semblait que le grand réservoir pouvait contenir 50 gallons (190 litres)... Les réservoirs étaient reliés à un dispositif de remplissage et à une valve de purge qui traversait le fuselage juste derrière la valve de purge du système de détritus... Quand j’ai eu l’occasion de rechercher ce raccordement sous l’avion je l’ai trouvé ingénieusement caché derrière un panneau, sous le panneau servant à accéder à la vidange des déchets. 

J’ai commencé à suivre la tuyauterie des pompes.
Ces tubes mènent à un réseau de petites tubulures qui se terminent sur les rebords arrière des ailes et des stabilisateurs horizontaux.

Si vous regardez de près les ailes d’un gros avion vous verrez un ensemble de fils, d’environ la grosseur de votre doigt, s’étendant du rebord arrière de la surface des ailes.
Ce sont les mèches de décharge statique.
Elles servent à dissiper [dans l'air] la charge d’électricité statique qui s’accumule sur l’avion en vol. 

J’ai découvert que les tubulures de ce mystérieux système mènent à une mèche de décharge statique sur trois.
Ces mèches « avaient été évidées » afin de pouvoir être traversées par ce qui doit être déversé par les tubulures.

C’était pendant que j’étais sur l’aile que l’un des cadres m’a repéré.
Il m’a ordonné de sortir du hangar, me disant que mon poste était fini et que je n’avais été autorisé à aucune heure supplémentaire.
Les deux jours suivants étaient très occupés et je n’avais pas le temps de continuer mes recherches.
En fin d’après-midi, deux jours après ma découverte, j’ai été appelé pour remplacer une sonde de température de moteur sur un avion devant décoller dans deux heures.
J’ai fini le travail et suis retourné à la paperasserie.

Environ 30 minutes plus tard le haut-parleur m’a appelé pour que j’aille voir le directeur général. Quand je suis entré dans son bureau j’ai constaté que notre représentant syndical et deux autres que je ne connaissais pas m’attendaient.
Il m’a dit qu’un problème sérieux avait été découvert.
Il a dit que j’avais fait l’objet d’un procès-verbal et que j’étais suspendu pour avoir fait de fausses écritures.
Il m’a remis un formulaire disciplinaire déclarant que j’avais fait de fausses écritures sur la sonde de température de moteur que j’avais installée quelques heures avant.

J’étais sidéré et je commençais à protester.
Je leur ai dit que c’était ridicule et que j’avais effectué ce travail.
Le syndicaliste a alors pris la parole, recommandant d’aller jeter un coup d’œil sur l’avion et voir si nous pouvions tout arranger.
C’est à ce moment que j’ai demandé qui étaient les deux autres hommes. Le directeur général m’a dit qu’ils étaient inspecteurs de la sécurité de la ligne aérienne sans me donner leur nom.
Nous sommes allés à l’avion, qui au lieu d’être en l’air était garé sur notre rampe de maintenance.

Nous avons ouvert le capot du moteur et le syndicaliste a retiré la sonde.
Il a vérifié le numéro de série et dit à tout le monde que c’était l’ancien instrument.
Ensuite, nous sommes allés à la baie des casiers où reviennent les pièces.
Le syndicaliste a vérifié mon rapport et a tiré du casier une boîte scellée.
Il a ouvert la boîte et a retiré la sonde de température de moteur avec le numéro de série de celle que j’avais installée.
Il m’a été dit que j’étais suspendu pendant une semaine sans salaire et de partir immédiatement.

Le premier jour de ma suspension, j’étais assis chez moi me demandant que diable m’était-il arrivé... Ce soir-là j’ai reçu un coup de téléphone... La voix m’a dit :
« Maintenant vous savez ce qui arrive aux mécaniciens qui fourrent le nez là où ils ne le devraient pas... La prochaine fois que vous commencerez à travailler sur des systèmes qui ne vous concernent pas vous perdrez votre travail. 

Comme il se trouve que je me sens chevaleresque, je pensent que vous pourrez retourner au travail bientôt » CLIC.
De nouveau je me suis relevé.
J’ai déduit que ce qui était arrivé était directement lié à mon relevé de la mystérieuse tuyauterie.

Le matin suivant le directeur général m’a appelé.
Il a dit qu’en raison de mon excellent dossier pour mon travail passé, la suspension avait été réduite à un jour et que je devais me présenter immédiatement au travail.
La seule chose à laquelle je pouvais penser était qu’est-ce qu’ils essayaient de cacher et qui sont-ils ! 

Ce jour de travail s’est passé comme si rien n’était arrivé... Aucun autre mécanicien n’a mentionné ma suspension et mon syndicaliste m’a dit de ne pas en parler.
Cette nuit-là je me suis connecté sur internet pour essayer de trouver quelques réponses. Je ne me rappelle pas maintenant comment j’y suis arrivé, mais j’ai trouvé votre site.
C’est alors que tout est venu ensemble.

Mais le matin suivant au travail j’ai trouvé une note à l’intérieur de mon casier verrouillé.
Elle disait, « La curiosité a tué le chat. Ne regardez pas les sites internet qui ne vous concernent pas. »... Eh bien c’est ça... ILS me surveillent.
Eh bien vous savez déjà ce qu’ils font.
Je ne sais pas ce qu’ils pulvérisent mais je peux vous dire qu’ils le font.
Je me dis qu’ils utilisent les « camions de douceurs ».
Ce sont les camions qui vident les réservoirs de détritus des toilettes.

Les aéroports sous-traitent habituellement ce travail et personne ne s’approche de ces camions... Qui voudrait se tenir à côté d’un camion plein de merdes.
Pendant que ces types vident les réservoirs de détritus ils remplissent les réservoirs du système de pulvérisation... Ils connaissent le chemin de vol des avions, ainsi ils programment probablement l’unité de commande pour commencer à vaporiser au bout d’un certain temps après que l’avion ait atteint une certaine altitude. 

Les becs de pulvérisation dans les fausses mèches de décharges statiques sont si petits que personne dans l’avion ne verra le truc. Que Dieu nous vienne en aide. Un citoyen !

http://journal100limites.blogspot.ca

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