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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
champ de forme
17 juin 2016

le langage vibratoire de la matière”

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« Passionné de radiesthésie, André Bovis était un chaudronnier originaire de Nice.  Dans les années 1930, ses investigations personnelles lui permirent d’établir une échelle de valeur afin de quantifier l’énergie vitale contenue dans les aliments. Ce radiesthésiste, qui cherchait à mesurer la vitalité intrinsèque des aliments, avait conçu une règle graduée de 0 à 10 000, appelée biomètre, dont l’unité de mesure est l’angström. Pour des raison de facilité, ces angströms furent ensuite convertis en « Bovis », ou « unité Bovis »  par les utilisateurs de la règle du même nom. Aujourd’hui, les « unités Bovis » sont souvent dénommées « UB » dans de nombreux ouvrages de  radiesthésie. Ainsi peut-on lire 5000 ou 6500 UB, et non plus 5000 ou 6500 angströms. »  (http://www.conscienceverte.fr)
Echelle_Bovis

Mon échelle de Bovis

Selon mon étalonnage, le cadran possède des « frontières » au-delà desquelles on bascule d’une famille de fréquence à une autre. Ci-dessous ces frontières, nuancées par mes découvertes :
0 – 3000 uB => nocivités abstraites, sur le plan vital et mental (malédictions, sortilèges, possessions…)
3500 – 5500 uB => nocivités physiques, sur le plan vital (ondes telluriques, ondes électromagnétiques, radioactivité, maladies, poisons…)
6000 -10 000 uB => neutre et bénéfique sur le plan vital (10 000 uB étant le champ vital parfait)
10 500 – 13 500 uB => échange cosmo-tellurique, équilibre (échanges équilibrés, vases communicants)
14 000 -18 000 uB => magie « passive » (Talisman de protection, symboles type pentagramme, bague atlante etc…), magie à l’état de « germe » ou de « réminiscence ».
18 500 – 24 000 uB => magie « active » (Certains dessins de radionique, les montages de De la Foye, de Bélizal…)
22 500 uB => Formes pensées ou Egrégores
24 000 uB => J’ai encore du mal à définir ce que c’est mais c’est une sorte de balise de la présence spirituelle, ou d’un lieu bénit… c’est la porte d’entrée des manifestations d’entités (médailles religieuses, photos, statues et icônes)
24 500 uB => Apparitions d’entités résiduelles ou Kâ
26 000 uB => Apparitions d’entités spirituelles désincarnées ou Bâ
28 000 uB => c’est le double du seuil magique, on entre de plus en plus dans ce que Jacques Ravatin appelle la fuite des repères… C’est aussi la fréquence des Entités divines ou Purs Esprits.
Au delà, pour mon étalonnage c’est effectivement la fuite des repères, je pense que je dois éclaircir mon point de vue pour repousser les frontières de ma compréhension… A titre indicatif je crois, selon mes mesures, qu’au delà de 9 000 000 uB on passe du champ « Belizal » au champ « Unité Sprink » définit par Jacques Ravatin.
En plus de l’uB (qui serait l’équivalent du voltage), il semble y avoir une notion de « densité énergétique » (qui serait équivalente à l’intensité). Cette notion de densité, je la mesure au moyen d’un cadran allant de 0 à 100%. Je vois donc les objets comme des « contenants » ayant une plage d’agissement mais ne pouvant agir avec leur environnement que par leur puissance de charge de 0 à 100%. Selon mon étalonnage, un objet ou un lieu ne devient « actif » dans sa plage de fréquence qu’à partir de 50% de densité.

Les fréquences

– Les fréquences abstraites 0 – 3000 uB

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Les mauvais sentiments humains peuvent-ils influencer le cœur de la matière et donc nos propres corps physiques ?

Il s’agit de fréquences engendrées par la pensée négative (méchanceté, haine, colère, chagrin…) ou par des objets dont la forme est contraire à l’harmonie des formes du monde physique. C’est une plage de fréquence dévitalisant, dangereuse et sournoise, car elle influe aussi sur les évènements au niveau quantique, entrainant la « malchance » et les accidents. On trouve dans cette catégorie, les sortilèges néfastes, les maléfices, les malédictions, les possessions démoniques, ainsi que les ondes telluriques néfastes telles que le Ve- ou le Ne-. Le cas de la malédiction templière lancée, par Jacques de Molay, sur la famille royale capétienne en est un exemple puissant. Voir l’état de leur arbre généalogique à partir de Philippe « Le Bel ».
Une poupée maléfisée trouvée par les époux Warren : 0 uB (70% de densité)
Miroir maléfisé : 0uB (50% de densité)
Moais de l’île de Pâques : 2500 uB

 

– Les fréquences nocives physiques 3500 – 5500 uB

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La fée électricité est-elle vraiment une « bonne » fée ?

Il s’agit de fréquences néfastes engendrées par des organismes pathogènes et parasites du « vivant », ainsi que par la technologie humaine : pollution électromagnétique, radioactivité… Elles sont abiotiques. Aujourd’hui, la pollution des courants telluriques naturels (du sous-sol) par les champs électromagnétiques issus de nos centrales électriques et autres pylônes téléphoniques entrainent des territoires entiers dans des conditions néfastes pour la vie, tel est le cas des maisons dites « à cancers » positionnées à côtés de telles nuisances.
Les virus, les bactéries pathogènes : 3500 à 5500 uB
Une arrivée électrique dans une maison : 5000 uB
Un téléphone portable, les téléviseurs : 5000 à 5500 uB
Les êtres vivants ont une certaine capacité à résister à ces lieux néfastes : l’ensemble des cellules vivantes constituant un être vivant synthonisent leurs fréquences à l’unisson, créant une barrière naturelle contre les agressions. Mais cette résistance naturelle ne dure qu’un temps, puis la fréquence nuisible finit pas modifier la fréquence naturelle des cellules et ces dernières perdent leurs coordinations vibratoires et se désorganisent. Elles se calent sur la nouvelle fréquence nuisible, c’est le début de la désorganisation cellulaire par tumeurs et la naissance du cancer… voir les travaux du professeur Lakhovsky et l’utilisation des torques metalliques.

 

– Les fréquences neutres à bénéfiques 6000 -10 000 uB

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Les processus biologiques sont-ils liés à des interactions vibratoires ?  Le cancer est-il l’effet d’un dérèglement de la vibration ? C’est ce que tant à prouver la radiesthésie et la géobiologie.

Il s’agit des fréquences trouvées dans notre vie quotidienne « normale », elles sont biotiques et forment implicitement l’ensemble informationnel du vivant. Le seuil frontière maximum ou champ vital parfait est à 10 000 uB. C’est-à-dire qu’au-delà de 10 000 uB les informations ne sont plus liées au physique et au vivant.
Les matériaux neutres (bois, pierre…) vibrent entre 7000 et 8000 uB
Un silex poli par un homme préhistorique (3000 ans), 7000 uB : il semblerait que les objets lisses permettent une meilleur neutralité alors que les objets poreux, concaves retiennent plus de « fréquences ».
Un silex taillé par un homme préhistorique (3000 ans), 8000 uB
De l’ambre (56 millions d’années), 8000 uB
Gros sel (Guérande), 8000 uB
Une plante verte adulte (d’appartement), 8500 uB
Un jardin au cœur d’une ville : 8500 uB
Un fossile d’oursin (Echinoderme), 9000 uB (réminiscence de son état vivant ?). Utilisés par les celtes en médecines (sous le nom d’œufs de serpents), on comprend pourquoi par cette mesure.
Un arbre adulte en milieu naturel : 9500 uB
Un homme adulte : 9500 uB
Fonds d’une vallée au bord d’une rivière : 10 000 uB
Une jeune plante en croissance : 10 000 uB
Un enfant : 10 000 uB
Une moitié de coquille St Jacques : 10 000 uB (lié à sa forme ?)
Un corps de Saint Catholique miraculeusement conservé (Padre Pio) : 10 000 uB

 

– Les fréquences d’équilibre et d’échange 10 500 – 13 500 uB

sel

Le sel neutre, activé par une cérémonie, devient un véritable purificateur des lieux malsains.

Il s’agit des fréquences d’échanges et de transmissions d’informations entre les objets, les êtres vivants, les énergies cosmiques et telluriques. On y retrouve tout les objets et les lieux d’équilibres et d’échanges « d’informations » permanentes. On trouve aussi une gamme d’objets ou de dessins dit « rééquilibrateurs ». Cette plage de fréquences serait à symboliser par « des vases communicants » :
La bouteille champenoise « De la Foye » et le dessin SCAP : 12 000 uB
Une sphère en bois avec un trou jusqu’à son centre : 12 000 uB
Le sel consacré : 13 500 uB

 

 

  – Les fréquences de « magie » passive et de protection 14 000 -18 000 uB

pentagramme

Le pentagramme serait originaire de Mésopotamie, ces dessins furent notamment retrouvées sur des poteries sumériennes. Il est un puissant émetteur d’ondes de formes ?

Il s’agit du passage en magie dite « passive », c’est-à-dire tous les lieux ou objets contenant un « germe » ou une réminiscence de magie. Se sont aussi les objets, dessins ou actions chargées de protéger une personne ou un lieu contre des actions magiques actives. J’entends par « magie », un acte ou une situation qui bouscule les repères du local (notre univers physique), que nous ne pouvons comprendre par nos sens physiques.
Le « phi » De Lafforest : 14 000 uB
Le pentagramme : 14 000 uB
La bague ou barre « atlante » : 14 000 uB
Une carte du tarot divinatoire de Marseille : 14 000 uB
Une pierre trouée 15 000 uB
Le sceau de Salomon : 17 000 uB
Le pentagramme à 7 branches : 16 000 uB
Le pentagramme d’Agrippa : 18 000 à 19 000 uB
J’ai l’impression que la fréquence 15 000 uB est l’équivalent d’un « lien magique» ou d’un pont entre deux points… Poupée Vaudou, Voults, pierres trouées…

 

– Les fréquences de « magie » actives et d’entités 18 500 – 24 000 uB

egregore

Périsprit, ectoplasme, magnétisme, aura, formes pensées ou égrégores ? Que se cache t-il dans l’éther ?

Il s’agit du passage en magie dite active, c’est-à-dire tous les lieux ou objets contenant une charge ou un sortilège provoquant une action active inexpliquée sur le monde physique ou sur les évènements de notre monde : les phénomènes paranormaux, les sortilèges ainsi que la radionique par exemple. Ces fréquences sont aussi celles qui caractérisent la présence des entités intelligentes ou résiduelles. Jacques Ravatin parle à ce propos de l’incursion du « Global » dans le « Local », d’un changement de nos repères « normaux ou locaux ». A noter la mesure de 24 000 uB qui semble être une véritable «balise du spirituel », une porte ouverte vers « le Global ».
Le pendule égyptien : 20 000 uB
Certains objets cérémoniels : 19 000 – 23 000 uB
Un égrégore : 22 500 uB
Des symboles religieux, objets rééquilibrateurs (Cercles réciproques De La Foye), objets divinatoires (paquet de carte du tarot de Marseille), maquette de la pyramide de Kheops : 24 000 uB
Un spectre résiduel : 24 500 uB puis basculement sous 0 uB (vers l’infini)
Un Esprit désincarné : 26 000 uB
Un pur Esprit : 28 000 uB

 

– Les fréquences « supérieures »

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Les menhirs génèrent « un souffle cosmo-tellurique » entre notre planète et l’Univers. Un pont pour les neutrinos monopoles ?

Mon subconscient trouve ces mesures mais je ne me les explique pas. Veulent-elles signifier une puissance « non manifestée », un peu comme un stock/une pile/ un générateur sur lequel on peut se brancher pour puiser et obtenir des effets manifestés plus mesurable ?
  • Un petit menhir isolé : 200 000 uB
  • Un menhir de Carnac : 6 000 000 uB
  • Une colonne « Taofel » 14 étages et 56 pavés : 40 000 000 uB.
    Un Dolmen : 600 000 000 uB (véritable « aiguillage » des courants telluriques terrestre)
En conclusion, je dirai qu’il semble y avoir une constante dans ces mesures, plus un objet est lisse et uniforme, moins il accroche les émissions dues aux formes. Plus il est rugueux, poreux, cristallin, liquide, visqueux et plus il a le potentiel de capter l’information générée par les neutrinos monopoles ? Les formes géométriques semblent aussi agir comme un « langage de fréquence »… Le plus étrange c’est que ces caractéristiques, vous pouvez les retrouver dans les objets utilisés dans les rituels religieux ou païens… Avant je n’y croyais absolument pas, aujourd’hui j’ai un doute !

Le sel

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Le sel de « Guérande » est un aspirateur d’ondes nocives

Le sel a une structure cristalline, il est  réputé pour « bénir » et « purifier » les lieux. De nombreuses cérémonies de purifications  l’utilisent en ce sens. Si on mesure la fréquence vibratoire d’un sel type de « Guérande » on trouve 8000 uB, soit la fréquence de neutralité. Ce qui peut être décevant de prime abord. Mais là où ça devient intéressant c’est lorsque que l’on pose sur un petit tas de sel une pierre ou un autre objet chargé en dessous de 6000 uB ou au dessus de 10 000 uB, le sel « s’active » est passe automatiquement à 13 500 uB est 55 % de densité énergétique : comme si ses cristaux se mettaient à vibrer. Le sel se cale sur la fréquence d’échange et d’équilibre et répercute cette vibration sur son environnement immédiat : dans le cas de la pierre nocive, elle passe aussitôt à 13 500 uB. Attention, le fait d’utiliser le même sel pour rééquilibrer différents objets provoque, à un certain moment, une saturation du sel et ce dernier émet à son tour les nocivités.

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L’huile végétale

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L’huile végétale possède une capacité de stockage exceptionnelle, à l’image d’un disque dur !

L’huile végétale (olive, tournesol, colza…) est elle aussi une substance utilisée dans le cadre de certaines cérémonies religieuses (ex: la « Sainte Chrême » catholique). Elle a la capacité de se charger des vibrations subtiles de son environnement : vibrations telluriques, pensées humaines ect… Si on mesure la fréquence de l’huile vierge on trouve entre 7000 et 8000 uB selon le lieu de stockage. Mais si on la charge à l’aide d’un pendule égyptien, une prière ou un objet émetteur d’émissions de formes, alors l’huile prend et garde la charge. La tenue de la charge est quasi permanente mais semble avoir un plafond de capacité à 1 500 000 uB.

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L’eau

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La mémoire de l’eau, une caractéristique sur laquelle quelques scientifiques se penchent.

Substance essentielle à la vie, elle est en quelque sorte un cristal à l’état liquide. Elle capterait les informations électromagnétiques et  aurait la capacité de garder en mémoire les informations avec lesquelles elle aurait été en contact : c’est « la fameuse théorie de la mémoire de l’eau » (voir les travaux de Jacques Benveniste et du Professeur Luc Montagnier). Cette capacité à stocker de d’information est cependant moindre qu’avec de l’huile végétale.

Une eau en bouteille vibre à 8500 uB, ce qui prouve qu’une eau en bouteille est une eau qui meurt. Par contre, une eau de source est à 10 000 uB. L’eau se charge facilement, une simple prière peut la faire passer aux fréquences spirituelles supérieures allant de 14 000 uB à 24 000 uB : c’est le principe de l’eau bénite.

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La cire d’abeille

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Si l’huile végétale est un véritable disque dur, la cire d’abeille est quant à elle une  véritable RAM.

C’est une étrange substance qui canalise et condense les vibrations subtiles, à l’image d’un entonnoir. Mais la cire n’a, en quelque sorte, qu’une mémoire vive : une vibration remplaçant une autre vibration, la charge n’est pas stable… Il faut toujours associer la cire à une matière gardant durablement la charge pour la lui transmettre : bois, pierre, huile… Un objet de bois mêlé à une substance telle que la cire, devient un véritable enregistreur de son environnement : un escalier, un meuble, une statuette… Je soupçonne que de nombreux phénomènes paranormaux sont en fait des phénomènes résiduels réémis par les meubles ou les escaliers sous l’influence de champs électromagnétiques émis par des appareils électroménagers, de l’augmentation du débit d’une source d’eau souterraine, de phénomènes météorologiques ou cosmiques.

Il est remarquable de constater que l’abeille est un animal très sensible aux émissions de formes. La cire joue t’elle un rôle d’interface pour les différents membres de l’essaim ? Je vous conseille d’ailleurs la lecture d’un très bon article concernant l’amélioration de la productivité des ruches et de leurs protections contre les varroas, et ce, par les émissions de formes : voir ce lien.

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Les pierres

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La pierre est le matériaux qui, malgré sa charge lente, a la meilleure tenue de charge dans le temps. Rien de surprenant à ce que les manoirs et les châteaux soient des lieux « chargés » d’histoire.

La pierre est naturellement un objet neutre, tournant entre 7000 uB et 8000 uB. Mais il est intéressant de constater que certaines caractéristiques peuvent faire varier cette fréquence :

Une pierre totalement lisse « vibre » à 7000 uB

Une pierre poreuse, granuleuse ou fissurée « vibre » à 8000 uB, comme si les vibrations y étaient plus facilement retenues.

Une pierre trouée, de part en part, génère, au niveau de son trou, entre 13 000 et 15 000 uB comme si ce trou créait une interaction avec le « Global » ou champ H2.

Les pierres avec un « réseau » cristallin tel que les granites ont une meilleure tenue de charge que les pierres calcaires. Les pierres calcaires ne possédant pas ces réseaux.

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La sphère en bois

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Un trou dans un objet, surtout s’il est géométrique, crée un pont vers une autre réalité délocalisée.

Une sphère en bois (ou métal, ou pierre…) de diamètre 3cm est un objet neutre, il possède une fréquence de 8000 uB. Si on perce un trou de diamètre 0.5cm, jusqu’à son centre, la fréquence passe à 12 000 uB.

Un trou de part en part est à 15 000 uB.

Ceci prouve, tout comme les trous dans une pierre, que ceux-ci engendre un « plus » sur l’objet, une interaction avec quelque chose de subtil. Jacques Ravatin explique que l’on ajoute un « Ext » c’est-à-dire un lien délocalisé avec le « Global » ou le fameux champ H2 immatériel. L’objet rentre donc en interaction avec les phénomènes d’ordre spirituel. On rencontre ce genre de trou sur certains menhirs européens et sur de petites pierres africaines appelées « pierres à fées ».

Si j’ajoute à cette dernière sphère de bois 3 autres trous + 1 « anti trou » (trou dans lequel on insert un bâtonnet de bois dépassant de la sphère, on atteint 18 000 uB soit le palier haut de la magie dite « passive ».

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Les tissus et les bijoux

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Ce n’est pas un hasard si des peuples anciens tel que les celtes, portaient des torques (dès le VIème siècle avant JC).

Les tissus et les bijoux, normalement neutres, se chargent de la fréquence énergétique de leurs porteurs. Il est donc courant de trouver des fréquences situées entre 8500 et 9500 uB sur de tels objets portés quotidiennement. Ce qu’il est intéressant de noter, c’est que lorsqu’une personne est malade, les objets qu’elle porte se chargent eux aussi de la fréquence de cette « maladie ». Il peut y avoir un transfert de cette fréquence sur un nouveau porteur, si ce dernier est déjà en état de faiblesse.

Sur la surface extérieure de la petite bourse en tissu blanc contenant mon pendule égyptien, je trouve la fréquence du pendule : 20 000 uB.

Un bijou échappe cependant à cette règle, du fait de sa forme particulière : c’est le torque (tel que le torque gaulois par exemple). Le torque est un bracelet circulaire mais non fermé. De ce fait, il agit comme une antenne et capte un certain « différenciel » ou « potentiel » du flux ambiant des neutrinos (voir l’étude de l’ingénieur Georges Lakhovsky), cela le fait monter à 10 000 uB.

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Les fossiles, les coquillages

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La coquille St Jacques, symbole du pèlerinage de St Jacques de Compostelle. Elle était aussi reconnue pour préserver des mauvais sorts.

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Un fossile d’oursin que l’on peut trouver dans les champs cultivés.

Les coquillages type St Jacques ou certaines « coques marines » ont une fréquence à 10 000 uB, mais je pense que c’est plus lié à la forme spécifique de ces carapaces qu’à la mémoire « de la vie » qu’elles ont portées… A noter, là encore, l’emploi de cette forme pour les bénitiers d’église, contenant de l’eau « bénite »… étrange non !

Les fossiles d’oursins, que l’on trouve dans les plaines du bassin parisien, étaient appelés par les gaulois « œufs de serpents ». Ils les utilisaient comme des objets de guérison… Ces fossiles vibrent non pas à la neutralité mais à 9000 uB. Est-ce, cette fois, le souvenir de leur ancien état « vivant ?

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Le décagone

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Le décagone amplifie la réalité d’un témoin placé en son centre.

Le décagone, dessiné ou imprimé sur une feuille blanche émet à 13 000 uB, il permet un échange permanent entre l’objet s’y trouvant et le « Global ». Comme l’ont expliqués les Frères Servranx, le fait de poser une photo dans un décagone, amplifie et cristallise l’effet « témoin » de ce que représente une photographie, un mot écrit. Le décagone permet donc d’améliorer la notion de témoin d’un objet pour l’utiliser en magie ou en radionique par exemple. Il génère un « pont » entre le témoin et l’objet qu’il représente.

Cela marche avec une photo, mais aussi avec des cheveux, de la peau…

 

 

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La bouteille champenoise et le S.C.A.P

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La bouteille champenoise, le contenu est à consommer avec modération ;)

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Le SCAP

Dessiné par le radiesthésiste André Philippe, ce dessin est censé rééquilibrer un lieu. Je trouve une fréquence à 12 000 uB, soit la fréquence de l’équilibre des échanges cosmo-tellurique. Ce schéma me semble donc bien actif.

Il est intéressant de noter que la bouteille « champenoise » servant à contenir le Champagne, de par sa forme spécifique, proche de la forme d’un pendule égyptien, vibre, elle aussi, à 12 000 uB. C’est un objet qui était utilisé par Jean De La Foye pour rééquilibrer aussi un lieu.

Si je colle un SCAP, comme une étiquette, sur la bouteille champenoise, je trouve 24 000 uB (12 000 + 12 000 uB), soit la fréquence de la balise spirituelle. En doublant la fréquence d’équilibre Cosmo-tellurique on réalise un « appel » vers le spirituelle.

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La barre et la bague « Atlante »

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Une bague atlante en bois de chêne, réalisée par mes soins.

Cette bague, trouvée dans une tombe égyptienne, a été à l’origine même de l’étude des émissions de formes par sont propriétaire : Le Comte André de Bélizal. Elle est un exemple de cette étrange technologie issue de l’Egypte ancienne. Les 3 rectangles et 6 carrés amplifient l’émission de neutrinos arrivant au contact de la bague, puis les 2 triangles canalisent et referment le circuit par 1 trou positionné au sommet de chaque triangle. Ces deux trous amenant sur la face interne de la bague et étant reliés l’un – l’autre par un sillon creusé. L’objet génère un champ de forme protecteur, émettant à 14 000 uB, pour une densité énergétique de 50% environ, peu importe la matière. Elle permet de protéger son porteur contre les agressions de type magie nocive. A noter que j’ai en ma possession une bague achetée chez un bijoutier (en argent) et une bague plus grosse en bois de chêne, réalisé par mes soins… Cette dernière a une meilleure densité (60%), liée à sa masse supérieure. 

Il est intéressant de faire un parallèle entre le dessin de la bague est la structure se trouvant au dessus de la « Chambre du roi », dans la pyramide dite de « Kheops »… Un signe de l’utilisation de règles communes en terme d’émissions dues aux formes ?

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Plan de coupe de la fameuse pyramide de Kheops. On peut y voir, au-dessus de la chambre du roi, des pierres dites « de décharge » dont la ressemblance avec le dessin de la bague « atlante » est troublante

 

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La planchette amplificatrice et les cercles réciproques « De La Foye »

Jean de La Foye a créé une petite planchette de bois (celle au centre, à 23 000 uB, ci-dessous) émettrice d’ondes de formes. Cette amplificateur permet de charger des objets neutres ou d’amplifier des émetteurs d’émissions de formes, afin de les faire basculer dans les fréquences souhaitées. En prenant pour base des planchettes de « Kapla(R) », voici les mesures que j’obtiens en faisant varier les rainurages et les perçages de trous :

Planchettes_comparaisons

Les neutrinos monopôles, en percutant les planchettes, semblent jouer une espèce de partition musicale… un peu comme l’orgue de barbarie !

Les trous noirs sont des perçages de part en part et les trous blanc sont des amorces de trous. Les traites sont des rainurages.

Lorsque l’on perce une planchette de bois avec 5 trous en respectant la proportion : 0 – 1 – 5/4 – 3/2 -2, on amène l’objet, « percuté » par les neutrinos, à émettre « l’accord parfait majeur », le même accord utilisé en musique. La fréquence trouvée est de 10 000 uB soit le champ vital parfait. Comme quoi la musique, c’est la vie ! 10 000 uB est aussi la valeur mesurée sur les dépouilles de Saints Catholiques naturellement préservés de la décomposition (exemple : le Padre Pio ou Catherine Labouré). Eux aussi émettent le champ vital parfait, même sans vie !

En ajoutant un axe vertical passant sur tous les trous, on augmente la fréquence, en la faisant passer au dessus du seuil spirituel, soit 15 000 UB (cette mesure étant pour moi un « pont/lien » retrouvé sur les pierres/sphères trouées). Puis en ajoutant l’axe horizontal, on atteint une fréquence conséquente de 35 000 uB. Enfin, si on trace ce que Jean De La Foye nomme « les axes directeurs du champ de forme », on supprime l’effet d’augmentation de la fréquence et de saturation en la redescendant à 24 000 uB soit la fréquence de la « balise spirituelle ». Ceci donne un bon rééquilibrateur spirituel pour un lieu chargé de nocivités.

Jean De La Foye ne l’explique pas dans son livre mais là c’est clair : les axes directeurs du champ de forme permettent à l’objet de ne pas saturer et de vider le trop plein « d’énergie ». Ils jouent un rôle de « coupe circuit ou de fusible » en évitant une montée en puissance supérieure à 24 000 uB et une saturation à long terme.

Voyons maintenant « Les cercles réciproques ». Ils sont là encore tracés sur du bois mais plus sur des planchettes. Cette fois on utilise de véritables planches d’une vingtaine de centimètre de long sur une quinzaine de large et 2.5cm d’épaisseur. Cet « outil » peut faire office d’outil radionique pour émettre à distance sur une cible, il émet aussi les fameuses « couleurs de Bélizal et Chaumery » :

Cercles_reciproques_comparaisons

Décomposition énergétique des cercles réciproques

 

 

La tablette « cercle réciproque » présentée par Jean De La Foye est celle émettant à 24 000 uB (et 55% de densité énergétique) soit la fréquence de balise spirituelle. Il indique qu’elle à la capacité de d’équilibrer un lieu déséquilibré et de ne jamais saturer : il ne le dit pas mais c’est grâce aux traits gravés « axes directeurs du champ de forme » sur le trou du centre.

Si on installe, sur le cercle du centre, une sphère de métal (type boule de pétanque), on augmente le rayon d’influence du rééquilibrateur et ce grâce à la masse supplémentaire et à la forme sphérique.

Si on positionne, sur le trou central du cercle Nord, une tige cuivrée en « L » et qu’on la positionne à un certain degré, on génère le Ve- momificateur sur le cercle sud, ce qui m’a permis, tout comme avec une maquette de la pyramide dite de « Kheops », de momifier avec succès de la matière organique.

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Planchette 17/26eme, émettant à 12 000 uB

 

 

Si je positionne un bout fil de cuivre dans le trou sud d’une première planche « cercle réciproque » et l’autre bout dans le cercle nord d’une seconde planche « cercle réciproque », je trouve sur le cercle sud de ce dernier : 48 000 uB soit 24 000 + 24 000 uB. Si j’ajoute, un fil de cuivre sur le cercle sud du second émetteur et que je mets l’autre bout de fil sur un émetteur 17/26 ème de Jean de La Foye, je monte à 60 000 uB au bout de ce dernier émetteur. J’obtiens donc un circuit en série, et une addition des puissances (c’est vraiment marrant car sur le coups en prenant les notes de ces meures, je n’avais pas remarqué l’addition !). Au bout du circuit, je peux charger tout un tas d’objets neutres. Nous avons sous les yeux un « canon » d’émission d’ondes de formes.

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Un montage « en série », vue de dessus et vu en coupe, de 2 planches « cercles réciproques + une planche 17/26eme en bout de montage… Un véritable « canon » d’émission de formes.

 

 

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Comme tout les montages générant des émissions de forme, celui-ci est orienté sur le champ magnétique terrestre, afin de se charger en neutrinos monopôles.

 

Cette planche émettrice des couleurs de « Belizal et Chaumery » permet aussi d’envoyer une charge sur une cible, via un décagone + une photo par exemple (radionique).

Elle permet aussi de ramener à la neutralité n’importe quel objet si on positionne la petite réglette de cuivre en « L » sur le marqueur 320° du cercle nord.

Vous souhaitez étudier la tablette « Cercle réciproque » mais ne savez pas où vous la procurer ? Contactez-nous à contact@geepi.fr afin de nous passer commande.

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La maquette de la pyramide de Kheops

La Pyramide « de Kheops » est la synthèse des connaissances ésotériques de l’Egypte ancienne… Elle aligne ses couloirs « d’aération » (débouchant sur des « salles » encore secrètes ?) sur des astres symboliques présents dans le ciel nocturne vers moins 10 500 avant J.C et connus par des peuples divers sur toute la surface du globe (Dogons du Mali et Sirius, Toltèques et Orion…). Plus globalement, on retrouve ces pyramides sur la plus part des continents de la planète : Afrique, Asie (Chine), Amérique du Sud (Mexique et au large de Cuba), Europe (Croatie).

On peut aussi signaler que le monument égyptien est orienté, presque à la perfection sur les points cardinaux, se situe aux centre des terres émergées de notre planète, coupant la planète en deux parties égales (nord et sud) et qu’enfin, les trois pyramides du plateau de Gizeh, tout comme celles de la cité de Teotihuacan au Mexique, représentent la projection, sur Terre, du Baudrier d’Orion dans le ciel. Pour en savoir plus, je vous conseille le livre de l’ingénieur civil Robert Bauval : Le Mystère d’Orion.

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En haut, le Baudrier d’Orion, au milieu les 3 pyramides principales du plateau de Gizeh et en bas les pyramides de Teotihuacan.

 

Notons aussi que la pyramide de Kheops ne serait pas faite de morceaux de pierres calcaires naturelles mais de blocs « reconstitués » dans des moules en bois, via un « béton » ou polymère (voir la théorie du Professeur Joseph Davidovits), cette théorie rend la méthode de construction de la pyramide, moins mystérieuse !

Si on construit une réplique de ce monument en simple carton, on peut reproduire une caractéristique énergétique étrange de ce monument :

Maquette_pyramide

Cliquez sur le plan pour l’agrandir.

 

Momification de viandes

image029On place un morceau de viande (steak, boudin noir…), durant 4 à 5 jours, à l’intérieur de la maquette, à 1/3 de sa hauteur, sur un socle en papier cartonné. On place un morceau de viande témoin « A » dans un cube fait du même papier cartonné et un autre morceau témoin « B » à l’air libre.

Au bout de cette période, on ressort le morceau de la pyramide et on observe :

– Il n’a ni pourri, ni moisi ;

– Il est desséché et des gouttes de gras sont à sa surface ;

– Le processus de « momification » continue une fois le morceau de viande sorti de la pyramide ;

– Le morceau de viande restera momifié à moins qu’il soit humidifié de nouveau.

Les 2 témoins « A » et « B » ont pourri et moisi.

Conclusion : Une réaction non mesurable mais cependant concrète et reproductible à volonté a lieu au sein de la pyramide en papier cartonné.

On remarque que l’eau a disparu et que la graisse du morceau de viande a été éjectée sur ses contours. Les bactéries et champignons responsables de la décomposition ne sont pas intervenus. Le morceau de matière a subit un bombardement de Ve-.

Quels sont les effets à l’échelle d’un monument de cette taille ?!

Utilisation d’un pendule (type pendule de l’Abbé Mermet).

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En passant un pendule au-dessus de la pyramide, il se met à tourner en décrivant des « rotations elliptiques » dans le sens des aiguilles d’une montre. Il semble que je détecte les vibrations de la pyramide et que ces dernières suivent une certaine direction.

Rotations elliptiques du pendule au-dessus de la pyramide

Si je déplace le pendule hors du champ d’action de la pyramide, le pendule émet des va et vient en direction de la pyramide.

D’après les rotations elliptiques du pendule, les vibrations de la pyramide ne semblent pas « rayonner » homogènement sur elle. Il semble que les arêtes canalisent une très grande partie de ces « vibrations ».

La forme pyramidale elle-même me conduit à penser que « l’énergie » présente avance de bas en haut, en partant de la base de la pyramide vers son sommet…pour y être projetée vers le ciel. Il me vient en tête l’image d’un entonnoir renversé qui canaliserait ce « courant vibratoire de neutrinos monopôles », comme de l’eau, vers un point de focalisation (sommet de la pyramide).

La matière dont est faite la pyramide (papier cartonné) n’a aucune influence car le morceau de viande placé dans un cube de papier a pourri et une expérience réalisée avec une pyramide en bois ou en verre provoque elle aussi la momification de la matière organique. C’est donc bien la forme pyramidale qui provoque cet effet.

J’ai trouvé une fréquence de 24 000 uB et 50% de densité énergétique sur la pyramide. C’est une véritable balise du spirituelle !

Momification d’une cerise

On met une cerise entière, durant 4 à 5 jours, à l’intérieur de la maquette de la pyramide, à 1/3 de sa hauteur. Elle est placée sur un socle en papier cartonné, percé de manière à stabiliser le fruit rond.

Au bout de cette période, le fruit n’a pas évolué, il n’y a aucune trace de momification ni de pourrissement. Volontairement, j’abîme la cerise en la perçant sur toute sa surface avec une aiguille et je la remets 4 à 5 jours dans la pyramide.

Au cinquième jour, je constate que le fruit est rentré dans son processus de momification. Cependant, juste à l’endroit ou la cerise est en contact avec le trou fait dans le socle (pour la stabiliser), je remarque qu’elle  a pourri et que des moisissures s’y développent.

Conclusion : Pour se momifier, la matière organique placée dans la pyramide, doit rentrer dans son processus de pourrissement. Pour la matière vivante, l’effet momification n’a pas lieu.

Le « courant vibratoire momificateur » semble circuler sur et dans la pyramide. Les vibrations suivent les surfaces planes et lisses mais plus encore les arêtes de la forme pyramidale.

Fait important, la cerise a moisi uniquement à l’endroit où elle était en contact avec le trou fait sur le socle. Il me semble donc que le  « courant vibratoire momificateur » est activité par les formes géométriques (notamment pyramidales) et redevient passif au contact d’une rupture brutale de la forme géométrique. C’est donc au contact direct de cette vibration que la matière organique morte se momifie, il ne suffit pas que celle-ci se trouve dans un champ  « d’ambiance ».

image033 - Copie

Cette « Loi » me paraît cohérente et expliquerait notamment les curiosités de la salle (2) dite « inachevée » dans la pyramide de Kheops (voir schéma et numéros ci-contre). En effet le sol de cette salle est resté à l’état brut alors que le plafond est lissé en direction des salles supérieures. Cette salle canaliserait et activerait le  « courant vibratoire » terrestre en direction du grand couloir (4). Ce grand couloir jouerait un rôle de canalisateur/amplicateur de la vibration (il n’y a qu’à regarder ce curieux couloir pour se dire que quelque chose cloche…).  Puis les vibrations étaient conduites dans les deux salles supérieures (5) et (6). A noter que les blocs supposés de soutiens se trouvant au-dessus de la salle (6) dite « Du Roi » sont taillés sur le même modèle (face inférieure lisses/faces supérieures brutes )  pour accumuler le « courant vibratoire » et le projeter par deux blocs en pointe (forme triangulaire).

Insertion d’une chrysalide de papillon

J’ai placé une chrysalide vivante dans la pyramide. Au bout d’une semaine, le papillon est sorti de son cocon : il était en vie. Je l’ai relâché et il s’est envolé.

A première vue, le « courant vibratoire » ne semble pas altérer irrémédiablement les processus biologiques vitaux.

Insertion d’un coléoptère vivant au sein de la pyramide

Ayant trouvé, dans un jardin, un gros coléoptère de 4 cm de diamètre parasité par de petits acariens, semblables à des petites tiques(varroas), j’ai décidé de le placer dans la pyramide à 1/3 de sa hauteur. J’ai ensuite placé mes mains à 1 ou 2 cm au-dessus de la pyramide, imaginant que les parasites se détachaient du coléoptère et séchés.

Au bout de 24 heures, j’ai ouvert la maquette pyramidale et me suis rendu compte que les varroas étaient décrochés et complètement desséchés. Le gros insecte quant à lui était en vie. Je l’ai, ensuite, relâché dans le jardin.

Utilisation de la pyramide sur moi-même

Un soir, avant de dormir, je place la pyramide sur mon front et la laisse environ quinze minutes. Au bout des 2 premières minutes je ressens comme des « fourmillements » entre mon crâne et la peau de mon crâne, cette sensation m’amène facilement dans un état second proche du sommeil conscient.

Une fois la pyramide retirée, il me faudra quelques heures avant de pouvoir m’endormir, je suis « survolté » et le sommeil ne vient pas.

Le « courant vibratoire » semble avoir un effet excitant sur l’organisme et plus particulièrement sur la zone du corps en contact.

L’esprit peut-il entrer dans un état second au moyen de la pyramide ?

Utilisation d’un cristal de quartz piézo-électrique

Le cristal de quartz est connu pour sa capacité à se déformer sous l’action de l’électricité et à produire de l’électricité lorsqu’on lui applique une pression (piézo-électricité). On peut dire en quelque sorte qu’il vibre.

Après avoir constaté que dans la pyramide de Kheops on trouve des blocs de granites uniquement dans les salles dites « de la Reine » et « du Roi » et que le granite est composé en grande partie de cristaux de quartz (rappelons qu’il a fallu une farouche volonté et une utilité reconnu pour  faire venir et faire monter des blocs de granites sur le plateau calcaire de Gizeh) :

 L’idée m’est donc venue d’en placer un morceau de 6 cm de hauteur pour 1 cm d’épaisseur au sein de ma maquette de pyramide, à 1/3 de sa hauteur.

Je laisse le petit cristal de quartz dans la pyramide pendant 4 à 5 jours puis je le ressors. Si je le garde dans ma main durant mon sommeil, je remarque que je n’arrive pas à dormir : je suis comme « survolté », en pleine forme. Si je range le cristal dans un coin éloigné, je retrouve le sommeil une heure après.

Le « courant vibratoire » a été transmis, par la pyramide, au cristal de quartz. Ce dernier a été chargé et provoque les mêmes effets qu’une séance de méditation avec la pyramide.

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Les corps de Saints

Un corps d’être vivant en bonne santé vibre entre 9000 et 9500 uB. Un enfant, un animal ou une plante en cour de croissance est à 10 000 uB, soit la fréquence du champ vital parfait. Ce qui est étonnant c’est qu’un corps de Saint Catholique, préservé miraculeusement vibre à 10 000 uB.

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Les Entités

entite1Il semble qu’il y ait une hiérarchie « vibratoire » lorsque l’on teste certaines entités en photographie ou en témoin « papier » :

Un esprit de la nature ou Dévas : Entre 18 000 et 20 000 uB

Un égrégore ou « Theraphim » : 22 500 uB

Un spectre résiduel : 24 500 uB puis basculement sous 0 uB (vers l’infini)

Un Esprit désincarné : 26 000 uB

Un pur Esprit : 28 000 uB

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Les Moaïs et le phi de « De Lafforest »

Moais

Les moais, tout comme les menhirs, étaient des émetteurs des champs de formes, des balises cosmo-telluriques.

Tout comme les temples, les cathédrales ou les menhirs, les statues de l’île de Pâques sont émettrices d’émissions dues aux formes. Elles font circuler ces émissions dans un échange cosmo-tellurique. Le fait de placer sur ces structures certains symboles émetteurs en « magie », va déclencher l’envoi (et la réception) de fréquences spéciales vers le cosmos. Les initiateurs de ces structures utilisaient des symboles tel que le « Rongo ».


Roger De Lafforest avait-il conscience des effets de ce petit émetteur de champs de formes sur les symboles ésotériques placés dans la boucle ?

Le phi présenté par Roger de Lafforest, dans un de ses livres, est un petit fil de cuivre enroulé une fois sur lui-même et qui se termine par une droite vers le bas. Ce petit « circuit de forme» est polarisé Vm+ sur le « cercle » et Ve- à la pointe basse. Il a une fréquence de 14 000 uB et agit un peu comme la bague atlante, comme un protecteur spirituel. Ce que j’ai remarqué, c’est sa capacité à « activer » certains dessins émetteurs comme les symboles Rongo ou les dessins de labyrinthe de cathédrale. En plaçant ces dessins dans la boucle du phi, on génère pleinement les potentialités de ces dessins. A savoir que ces dessins étaient utilisés de la même manière mais avec des émetteurs polarisées différents : Les « moais » pour les dessins Rongo-Rongo, les cathédrales et les dolmens/menhirs (placés sur des emplacements géographiques favorables d’échanges cosmo-telluriques).

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Un symbole Rongo


Ce dessin rongo est un micro.

Présenté dans le livre « Ondes de vie – Ondes de mort » de Jean De La Foye, il s’agit d’un pictogramme de l’écriture Rongo- Rongo, présent sur les statues « Moais » de première génération de l’Île Pâques. Ce dessin émet à 12 000 uB, Jean De La Foye le compare à un « Micro » car le cercle récupère toutes les émissions subtiles de son environnement, les trois traits (comme le dessin de la bague atlante) amplifient les émissions captées et le dernier caractère joue un rôle de diapason ou de membrane car il génère une vibration en retour. Lorsque j’ai mesuré ce dessin à 12 000 uB, je n’ai rien remarqué de plus, j’étais très déçu. Mais un jour, en positionnant par hasard ce petit dessin (une petite carte) dans la boucle du phi « De Lafforest » (tige de cuivre en forme de image036 ), le petit montage a généré une autre mesure très étrange : alternativement 14 000 uB – 6000 uB, en va et vient, sans s’arrêter ! C’est comme si le phi avait joué le rôle d’un « Moai » et avait activé le dessin Rongo-Rongo en émetteur/récepteur. En effet le phi et le moai ont un point commun, se sont des générateurs d’ondes de forme. On retrouve dans les 2 cas le Ve- d’un côté et le Vm+ de l’autre… J’ai alors poussé mon étude sur ce petit dessin en le modifiant. Voilà ce que j’ai trouvé en les plaçant sur un phi :

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A noter, la puissance des symboles en croix ou étoilés, l’effet identique des formes géométriques simples (carré, triangle et cercle), la nuisance des formes géométriques tronquées et enfin la puissance des dessins en « labyrinthe ».

 

 

 

 

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A noter, la limitation de la valeur basse par le remplacement d’un des trois traits par un serpentin et l’effet « effondrement » vers l’infini négatif par la continuation des traits Y vers le bas, devenant des M ou des V inversés.

 

Que penser des résultats de mes mesures ?

Premièrement, le dessin situé en haut du pictogramme : c’est lui qui annonce la « couleur », la gamme de fréquence récupérées. On remarque bien que toutes les formes simples : rond, carré, triangle, agissent de la même manière, sur une fréquence haute « spirituelle » de 14 000uB et une fréquence basse à 6000 uB, ils captent les fréquences liant l’esprit à la matière. Si on place une demi forme simple (demi sphère), on gagne en puissance mais pas en qualité d’émission/réception puisque la fréquence basse devient néfaste pour la santé du vivant. La demi sphère (forme n’étant pas en harmonie avec les lois cosmiques) est une génératrice d’ondes nocives (Ve-). Cette forme a été la base des expériences du Comte André de Bélizal… Ses fameuses piles radiesthésiques lui permettant notamment de tuer en quelques jours des arbres adultes.

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Le Comte André de Bélizal et ses fameux empilements de demi sphères (piles radiesthésiques) avec lesquels il momifiait la matière organique !

 

Dès que l’on remplace ces formes simples par des symboles ésotériques classiques : la croix, le sceau de Salomon, un pentagramme, la fréquence haute passe sur des valeurs élevées de la magie passive soit entre 16 000 et 18 000 uB.

Deuxièmement, le dessin du milieu, trois traits amplifiant l’intensité de la fréquence captée… Les trois traits sont des récurrents classiques dans cette « science des émissions de forme », on les retrouve sur la bague atlante et dans la construction de la grande pyramide « de Kheops ». Si je les remplace par un dessin de labyrinthe de cathédrale, la fréquence est complètement amplifiée, à des valeurs quasi infini, par alternance +/-. Il y a perte des repères, on bascule sur un autre champ de compréhension. Ce que cela met en lumière, c’est que les dessins de labyrinthe sont en eux même une espèce de « circuit » canalisant les fréquences et générant des champs d’émissions de formes puissants : mais à la condition de se trouver « insérés » dans un mécanisme émetteur/récepteur type phi de Lafforest, statue de l’île de pâques, cathédrale implantée sur terrain où passe un courant cosmo-tellurique puissant. Voici une incroyable révélation ésotérique selon moi ! Le but de ces montages ? Entrer en contact avec le divin, le cosmique, d’autres mondes, bref le « Global » décrit par Jacques Ravatin.

Si on remplace le trait du milieu par un serpentin, on freine le phénomène d’alternance « Fréquence haute » / « Fréquence basse », on maintient la fréquence dans le cadre « spirituel ».

Troisièmement, le dessin du bas le « Y/T », il joue bien un rôle de membrane ou de diapason, en faisant rebondir la « fréquence haute » puis en renvoyant une « fréquence basse » issue de notre monde physique. Si on remplace ce dessin par une espèce de « M » en prolongeant les traits vers le bas, on perd le phénomène de résonnance ! Il y a bien une première « fréquence haute » à 28 000 uB ! mais aussitôt la « fréquence basse » arrive et descend à l’infini, pour moi on est dans l’émergence du global dans le local, sans échange, c’est une porte sur les phénomènes paranormaux dans notre réalité locale… J’obtiens le même effet en mesurant une photo d’apparition de fantôme ou d’être spirituel (apparition Mariale par exemple).

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Le labyrinthe des cathédrales

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Jacques Ravatin, mathématicien et universitaire, en parle comme des dessins permettant de générer des champs de forme « très puissants »… Ils sont mis en guise de pavage sur le sol des cathédrales d’Amiens ou de Chartres par exemple. Pour ma part en les mesurant je ne trouvais rien d’exceptionnel : 10 000 uB tout au plus. Mais remis dans leur contexte, c’est-à-dire dans le cadre d’un générateur polarisé d’ondes de formes, je me suis mis à trouver des chiffres incroyables : En plaçant une carte, sur laquelle est imprimé un labyrinthe, dans un image036 type « De Lafforest », j’obtiens une fréquence de 20 000 000 uB.

On passe alors du champ « Bélizal » nommé ainsi par Jacques Ravatin, au champ supérieur qui est celui appelé « Unité Sprink », qui commence au-dessus de 9 000 000 uB. C’est comme si les neutrinos passaient dans le « circuit du labyrinthe » et que chaque angle en deux dimensions augmentait/accélérait la fréquence du champ : un peu comme des spires de cuivres en trois dimensions.

  • Un phi + 1 labyrinthe : 20 000 000 uB

  • Un phi + 2 labyrinthes collés dos à dos : 120 000 000 uB

  • Un phi + 2 labyrinthes collés dos à dos + devant un miroir : 350 000 000 uB

Que penser alors du savoir des bâtisseurs de cathédrales, est-ce là l’origine de la franc-maçonnerie ? Dans les secrets de « l’Art de bâtir » et  d’atteindre le divin ?

 

Les objets rituels et magiques

  • Chapelet venant d’un temple d’Inde (reconnu comme miraculeux) : 18 000 uB et 80% de densité énergétique

  • Une pierre de sel venue d’un temple d’Inde (Langue de Kali) : 19 000 uB et 50% de densité énergétique

  • Flute d’Amérique du sud en os humain (Quena/Kena Ollantay) : 21 000 uB et 60 % de densité énergétique

  • Chevalière Himalayenne trouvée sur momie :  21 000 uB et 60% de densité énergétique

  • Pierre trouée africaine ou pierre à fée : 23 000 uB et 60% de densité énergétique

  • Bol à démon Babylonnien : 26 000 uB et 45% de densité énergétique

 

Voici plusieurs remarques, suite à toutes ces mesures :

  • Chaque radiesthésiste possède son propre étalonnage, ce qui compte se sont les proportions/écarts entre deux mesures en uB, d’un radiesthésiste à l’autre.

  • En plus de l’uB (qui serait l’équivalent du voltage), il semble y avoir une notion de « densité énergétique » (qui serait équivalente à l’intensité) et qui expliquerait la puissance d’émission et d’interaction.

  • Les vêtements et les bijoux s’imprègnent de l’uB de leur propriétaire.

  • Le fait de dormir avec un objet chargé en dessous de 6000 uB et au-dessus de 18 000 uB, avec une forte densité énergétique, peut être dangereux (dans mon cas : insomnie)

  • Le champ vital en uB ne peut aller au-dessus de 10 000 uB, effectivement il n’y a rien au-dessus de la bonne santé !

  • Il semble que l’uB des objets détermine des seuils ou paliers à partir des quels ils deviennent actifs : en physique, en éthérique et en spirituel

  • La prière semble avoir un impact sur l’uB d’un objet

  • Les symboles religieux ou occultes ont bien une interaction avec leur environnement, par leurs formes, ils répondent à des lois liées aux formes et aux capacités de ces formes à émettre le champ H3

  • Pour déclencher les effets des symboles occultes, il faut les placer au cœur d’un champ de forme, dans un émetteur prévu à cet effet.

  • Un objet peut se saturer d’uB, il est possible de décharger ces objets

  • Il est possible de « charger » un objet neutre (7000-8000 uB) avec un émetteur d’uB ou avec un pendule spécialisé type égyptien.

  • L’homme peut cristalliser sa pensée dans la matière.

  • Certaines matières se chargent lentement (la pierre), d’autres rapidement (l’eau).

  • Certaines matières gardent la totalité de la charge (les huiles, la cire), d’autres non.

  • Il semble que le perçage de trou sur un objet donne une autre « réalité » à l’objet.

  • Trois moyens d’amplifier ces champs en uB et/ou en densité :

    par la masse des objets émetteurs utilisés dans les montages (comme le faisait les constructeurs de mégalithes)

    par le passage de courants électriques puissants, comme le faisait Jacques Ravatin.

    par des symboles/dessins « catalyseurs » comme le faisait les constructeurs de cathédrale ou les mages (égyptiens/sorciers médiévaux…)

  • Un objet avec une certaine uB, ne devient actif qu’à partir d’une certaine densité énergétique

  • Il m’est possible de déterminer l’état (en uB) d’objets ou d’êtres vivants en photo, il y a donc un écho entre la photo et ce qu’elle représente…c’est une des bases de la « magie » mais aussi de la radiesthésie mentale.

  • Je peux transférer une charge d’uB à distance sur une cible, via un témoin (photo par exemple).

    Aux vues des étranges caractéristiques des symboles, des éléments d’architectures et des ingrédients étudiés :  j’imagine donc que les prêtres antiques, les mages ou les constructeurs (de mégalithes ou de cathédrales) devaient maitriser une ou des sciences aujourd’hui perdues et dont les traces écrites ou les ruines ne nous sont pas compréhensibles, du moins pas par les études archéologiques classiques. Notre société actuelle (bien malade), basée sur « un scientisme extrême », se refuse à intégrer la spiritualité (à ne pas confondre avec la religion, interprétation humaine du divin) dans sa vision dogmatique du monde. Pourtant, chaque jour, des faits viennent remplir de zones d’ombres cette vision limitée (artefacts anachroniques, origine inconnue de l’homo sapiens,  hommes aux dons étranges, hantises, ovnis…). Nous pensons vivre dans un monde fait de matière inerte, vide de sens, sans « âme ». Pourtant certains vrais chercheurs (mathématiciens, astrophysiciens, cosmologistes, biologistes et physiciens…), poussant leurs recherches aux frontières des connaissances humaines, en viennent à la conclusions que l’Univers a un sens, une logique, une orientation.  

    Quand on connait l’équilibre subtil des 4 grandes interactions fondamentales de l’Univers et quand on démontre qu’un dérèglement même infime de cet équilibre ferait basculer le cosmos dans le néant… comment en douter  ?

] http://www.geepi.fr/le-grimoire-radiesthesique-ou-le-langage-vibratoire-de-la-matiere/ […]
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