Les monuments religieux d’après les lois de la géométrie sacrée
Les monuments religieux d’après
les lois de la géométrie sacrée
Seuls les temples, les pyramides, les cathédrales et les mosquées témoignent de cette volonté de réaliser sur Terre le PRINCIPE UNIVERSEL de vie. Malgré différentes études, très peu, parmi les hommes, ont compris ce témoignage…
Un monument religieux (c’est-à-dire qui relie la Terre au Ciel et le Ciel à l’Homme) satisfait à des normes spécifiques. En premier lieu, il s’agit de l’élaboration d’un plan HORIZONTAL ORIENTÉ et de l’élévation de celui-ci, pour former un volume, sur une SURFACE CHOISIE de l’écorce terrestre.
Ce plan suivra une DOUBLE STRUCTURE DYNAMIQUE :
- les TRACÉS RÉGULATEURS du monument en plan et en élévation ;
- le SYSTÈME ÉNERGÉTIQUE sous-jacent à l’emplacement choisi pour la construction de l’édifice.
Ce SYSTÈME ÉNERGÉTIQUE correspond aux RÉSEAUX MAGNÉTIQUES constitués à partir des trames énergétiques des différents métaux in situ. Le système de failles et les sources souterraines jouent également un rôle prépondérant, rôle reconnu par les géographes-radiesthésistes-bâtisseurs.
Ce plan, dont les dimensions s’inspirent DES PROPRIÉTÉS GÉOMÉTRIQUES DE L’UNIVERS, a des caractéristiques bien définies, d’où les termes : tracés régulateurs. Il respecte la loi de proportionnalité ou loi de symétrie — chaque partie est égale au Tout — suivant un processus homothétique qui induit le rapport de proportion engendré par le Nombre d’Or (Φ 1.618) ; ces calculs valent également lorsqu’il s’agit d’une projection au sol d’une constellation d’étoiles. Autrement dit, les proportions sont toujours respectées que ce soit dans l’élaboration du plan de l’édifice ou lorsqu’il s’agit d’un complexe religieux comprenant plusieurs bâtisses alignées sur un ensemble d’étoiles dont ils forment une projection sur le sol.
De plus ce PLAN ORIENTÉ, aux TRACÉS RÉGULATEURS PRÉCIS, respectera la situation géographique de différents éléments (eau sur faille, sources, cheminées cosmotelluriques etc.), de sorte qu’il y ait correspondance des points énergétiques du bâtiment avec ces points spécifiques de la structure dynamique de l’écorce terrestre. Lorsque LE PLAN N’EST PAS PRÉCISÉMENT ORIENTÉ l’on découvrira, le plus souvent, que les constructeurs ont préféré SUIVRE LA LIGNE DE FAILLE qui dynamisera l’édifice lorsque celui-ci sera mis en charge.
Lorsque nous parlons d’un PLAN ORIENTÉ, nous désignons la situation cardinale de l’édifice futur ; autrement dit, son orientation sur un ou plusieurs points cardinaux. De plus il existe, comme nous l’avons précisé précédemment, une CORRESPONDANCE SIDÉRALE c’est-à-dire une projection au sol d’une ou de plusieurs étoiles comme c’est le cas pour les pyramides du plateau de Gizeh qui dessinent sur Terre les trois étoiles de la ceinture d’Orion. En fait c’est un ensemble complet d’au moins sept pyramides qui représentent, dans la vallée du Nil, les étoiles les plus visibles de la constellation d’Orion. D’après certains astronomes ce plan a été élaboré 10500 ans av. J-C. D’autres constructions, comme un ensemble d’édifices appartenant à la même confession ou au même ordre, peuvent également être agencées de façon à reproduire sur Terre une constellation d’étoiles.
Ce plan, élevé verticalement, permettra la construction des élévations — plans verticaux : coupes et façades — dont les propriétés seront celles du plan horizontal (formant la base de l’édifice) savoir : la symétrie (ou rapport de proportions), l’analogie (ou effet miroir), l’homothétie et l’eurythmie (harmonie par phénomènes de résonance).
La concomitance des plans horizontaux et verticaux donnera lieu à une structure dynamique en trois dimensions récréant les différentes figures mathématiques et géométriques liées à la vie universelle.
Cette structure, de par les principes énergétiques qui l’animent, satisfait aux conditions que requiert un monument religieux pour revivifier, c’est-à-dire pour AUGMENTER LE POTENTIEL ÉNERGÉTIQUE des sujets devant subir une initiation au sein de ces édifices sacrés.
LA STRUCTURE APPAREMMENT INERTE DE L’ÉDIFICE RELIGIEUX, construit suivant les différentes étapes du processus de réalisation ci-dessus, DEVIENT — par la réalisation de phénomènes concomitants et harmoniques — UNE STRUCTURE HAUTEMENT ÉNERGÉTIQUE suivant les lois géométriques de la raison universelle, UNE FOIS LE BATIMENT MIS SOUS TENSION. Autrement dit, les édifices au repos (temples, pyramides, cathédrales ou mosquées) deviennent de VÉRITABLES BATTERIES FLUIDIQUES lorsque leur processus énergétique EST ACTIVÉ.
La géométrie sacrée représente le langage universel de la création cosmique. L’univers est construit suivant une harmonie parfaite. Dans toutes les créations, des rapports constants apparaissent : dans les cristaux, dans le développement et l’architecture des plantes, et dans tous les corps, qu’ils soient humains ou animaliers.
Les figures de la géométrie sacrée qui, par définition, tirent leur essence du Nombre d’Or (Φ), reproduisent la structure atomique qui compose toute chose : elles représentent l’intelligence des archétypes de la création.
Le Nombre d’Or est également à l’origine du tracé géométrique des labyrinthes dans les sanctuaires religieux. L’importance du labyrinthe est soulignée par le fait qu’il faut atteindre le Centre pour être délivré des contingences de la condition humaine : atteindre l’Unité par le Centre (rappelons que le Christ est le treizième signe du Zodiaque, donc le Centre). Sortir de la dualité, du combat que se livrent les deux natures de l’homme (sa nature cosmique ou divine, et sa nature terrestre) c’est là, l’Œuvre à accomplir.
Par la géométrie sacrée qui imprègne l’ensemble des monuments religieux, l’initié passait les portes du temps et de l’espace. Il quittait la vision fragmentaire d’un univers à trois dimensions géométriques pour pénétrer le potentiel infini de la vie universelle dans une vision holistique. Conduit dans une spirale énergétique due à la nature géométrique de son environnement (temple, mosquée, église…), l’initié accède à des états de conscience supérieure. Car la propriété majeure de la géométrie sacrée est la reconnexion, par résonance, de nos circuits vitaux et électromagnétiques, rétablissant en nous par gradations successives l’intégrité de notre puissance énergétique. La reconstruction du Corps de lumière atteint son paroxysme et, petit à petit, l’image du Logos transcende l’initié.
Les énergies cosmotelluriques
Les plus vieux peuples de la Terre, non encore immergés dans le matérialisme, cultivaient la SAGESSE SPIRITUELLE. Ils étaient en SYNTONIE avec l’Univers (sur la même fréquence, dans une harmonie parfaite). Les Connaissances qu’ils avaient acquises ainsi leur permirent de construire d’extraordinaires monuments religieux, TÉMOIGNAGES DE CE SAVOIR. Aujourd’hui, nous nous sommes coupés de cette réalité universelle et la maîtrise des énergies cosmotelluriques nous échappe. La Terre, comme toutes les planètes, évolue au milieu de différents champs magnétiques : les champs électromagnétiques propres au cosmos et ceux générés par la Terre elle-même. Ainsi, ces émissions d’ondes terrestres et cosmiques CONDITIONNENT TOUTES FORMES DE VIE. L’examen des lieux de culte et l’implantation des cités antiques créées par d’anciennes civilisations prouvent que non seulement cette connaissance était acquise, mais aussi, que les peuples d’autrefois la maîtrisaient.
De la superposition des rayonnements cosmiques et telluriques naissent des champs énergétiques appelés : ÉNERGIES COSMOTELLURIQUES. Sans la connaissance des principes complémentaires terrestres et cosmiques, cette énergie est inexploitable, mais pour ceux qui la maîtrisent, cette énergie permet la mise en œuvre de véritables BATTERIES FLUIDIQUES. Celles-ci apparaissent dès LE DÉBUT DU NÉOLITHIQUE. En effet chaque pierre levée (menhir), cromlech ou tumulus pouvaient être activés lors de cérémonies et fournir de grandes quantités d’énergie aux différents participants ; quantités d’énergie que les scientifiques eux-mêmes auraient du mal à imaginer, d’autant qu’au XXIème siècle la nature même de ces principes énergétiques échappe à la plupart d’entre nous. Pourtant Georges Prat[1], l’auteur de « l’Architecture invisible », en a fait l’expérience. De même, pour valider ses dires, j’ai pu à mon humble niveau, car certaines expériences méritent des compétences qui m’échappent et peuvent être dangereuses, vérifier les capacités énergétiques de quelques dolmens du centre de la France.
Le serpent Mound (pour prendre ce seul exemple), situé dans l’Ohio aux États-Unis, témoigne de ce savoir universel que maîtrisaient les tribus Hopewell et Adena quelque sept cent ans avant notre ère. Il possède, comme les pyramides et les autres sanctuaires religieux, des propriétés énergétiques et géobiologiques incontestables. Ce savoir, ainsi que l’utilisation des énergies cosmotelluriques, n’appartenait en propre à aucune civilisation ou peuple particulier, mais touchait, à un moment donné de l’histoire, tous les peuples de la Terre.
Pour conclure nous dirons qu’il est difficile de nier certaines propriétés énergétiques propres aux monuments et aux sanctuaires religieux. Et que ceux-ci, comme il a été dit plus haut, RELIENT BIEN LA TERRE AU CIEL ET LE CIEL A L’HOMME.
La compréhension des principes énergétiques terrestre et cosmique, qui animent lesdits monuments, m’a permis d’entrevoir les mécanismes sous-jacents aux éruptions volcaniques.
Mais avant d’aller plus loin, reprenons ces citations de Georges Prat à qui je dois cette nouvelle connaissance :
« Il y a correspondance, par les oligoéléments, entre les métaux de la Terre et ceux du corps humain, et les flux d’énergies contiennent les métaux de manière homothétique et holographique. »
Il rejoint également certaines théories quantiques :
« Avant le Bing-bang, alors que la matière n’existait pas, l’énergie s’est condensée sous forme de cordes sur lesquelles la matière s’est ensuite formée. Tous les réseaux ont une relation avec les cordes cosmiques et sont des rémanences des cordes originelles. Lorsqu’ils sont en équilibre, ils forment une harmonie musicale. »
Certains savants du siècle dernier ont observé dans le spectre de la lumière, entre deux nuances de couleurs, des zones plus sombres. Après plusieurs examens de ces zones par des savants contemporains, il s’avère que, par le biais des rayons lumineux du soleil, certains apports de matière se réalisent.
La lumière est à l’origine de la vie et de la matière. C’est l’énergie-lumière qui a construit l’univers et toutes formes de vie.
La « Table d’Émeraude »
En comprenant les phénomènes cosmiques à l’origine des constructions volcaniques, peut-être parviendrons-nous à définir à partir de quel moment les volcans peuvent entrer en éruption ?
Une très ancienne citation peut nous venir en aide…
Hermès (Thot pour les égyptiens) fut l’auteur mythique pour qui :
« Id quod inferius quod superius »
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ».
C’est grâce à ce principe que nous avons pu reconstituer les différentes étapes de l’évolution des civilisations et de leur patrimoine religieux. Lorsque l’humanité aura compris les principes d’élaboration des monuments religieux et plus précisément ceux des pyramides de Gizeh, elle verra que CE PRINCIPE FONDAMENTAL ÉNONCÉ PAR HERMÈS TRISMÉGISTE EST VÉRIFIABLE ET QU’IL RÉGIT TOUT L’UNIVERS.
Les volcans eux-mêmes n’échappent pas à cette règle du miroir — ce qui est en bas est comme ce qui est en haut dans la mesure où ce qui est en Haut se reflète en Bas — et nous verrons d’ici peu qu’il ne faut pas chercher LES CAUSES des éruptions volcaniques sur Terre mais plutôt en regardant LE CIEL. Pour autant les phénomènes terrestres sous-jacents aux éruptions existent (tremblements de terre, émission de gaz etc.), mais ils ne sont que LA CONSÉQUENCE de phénomènes observables dans les cieux.
Le Ciel est la matrice, la Terre est sa réalisation.
Conclusion
La Terre est parcourue par « un maillage », une trame très précise que constituent les réseaux naturels d’énergies telluriques. L’homme est partie intégrante de ce système énergétique et sa survie en dépend. C’est pourquoi au fil des siècles, il développa une architecture capable de RENTRER EN RÉSONANCE avec le double potentiel que constituent les énergies terrestre et céleste (cosmotelluriques). Grâce à la maîtrise de cette science, l’homme des civilisations hautement évoluées a su « imprimer » de nouvelles énergies à des RÉSEAUX PRÉEXISTANTS qui ne demandaient qu’à être activés. Ceux-ci suivent un tracé très précis, celui des failles géobiologiques.
LES FAILLES GÉOBIOLOGIQUES, définition : les failles se caractérisent par la rupture d’une ou de plusieurs couches minérales formant les strates de l’écorce terrestre, impliquant LE CHEVAUCHEMENT de celles-ci. Le mouvement des plaques tectoniques et la compression de l’écorce terrestre, inhérente à ce mouvement, explique la création de ces failles. Il ne s’agit donc en aucun cas de crevasses ni de gouffres.
D’après cette étude il semble que ces failles de l’écorce terrestre — comme circuits invisibles des énergies telluriques — correspondent à des courants énergétiques célestes. Il est possible d’imaginer que les éclairs et notamment la foudre servent à alimenter ces réseaux. Ainsi, les très hautes tensions véhiculées par les éclairs serviraient à dynamiser le manteau terrestre.
Correspondance des cartes céleste et terrestre
Une vérification simple consisterait à établir UNE CARTE TERRESTRE des sites religieux LES PLUS ANCIENS (1) — quel que soit le culte pratiqué — qui correspondent, comme nous venons de l’étudier, à des points d’énergie potentiellement élevée. Ce travail effectué, il s’agirait de faire la comparaison avec UNE CARTE DU CIEL (2), avec ses constellations et ses étoiles. S’il y a correspondance entre les deux cartes (terrestre et céleste) la preuve sera faite qu’il existe UNE RÉELLE ANALOGIE des réseaux énergétiques tellurique et cosmique. Et nous vérifierons la loi selon laquelle : « CE QUI EST EN BAS EST COMME CE QUI EST EN HAUT » d’après la formule d’Hermès Trismégistes.
(1) Seule la situation géographique des ANCIENS édifices religieux est concernée pour l’élaboration de la carte terrestre. Les sanctuaires modernes ne correspondent pas aux normes d’antan : ils n’ont aucune propriété énergétique. L’on peut considérer qu’après “le temps des cathédrales” cette science des énergies cosmotelluriques s’est perdue.
(2) En tenant compte de l’époque à laquelle les monuments ont été érigés : le ciel observable depuis un point précis de notre planète, varie d’une époque à une autre. C’est à partir de cette observation que certains astronomes ont pu rétablir la date exacte de l’implantation des pyramides du plateau de Gizeh vidéo]. En étudiant le phénomène de précession, les astronomes se sont arrêtés sur une date qui situerait l’implantation des complexes religieux égyptiens vers 10500 av. J-C. pour ceux dont l’édification est en rapport avec la constellation d’Orion. Les égyptologues et autres historiens semblent ignorer cette science, l’ASTRONOMIE, qui, pourtant, est à l’origine de TOUTES les constructions antiques. Ce qui pose une question…
Comment comprendre les civilisations et leurs patrimoines architectural et culturel, sans parler de leurs cultes, si l’on ignore les sciences fondamentales qui ont permis à ces civilisations d’exister et d’évoluer ?