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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
espaces technologie
15 juillet 2014

L'univers est connecté à tout ce qui est vivant un solfége harmonique divin

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Le paradigme scientifique dominant ne considère pas l'Univers comme un système vivant. Cela provient d'un point de vue que l'Univers n'est pas connecté, mais mécanique. Quelle est la différence entre une conception mécaniste de l'univers (agissant comme des engrenages et rouages d'une machine) par rapport à un système d'auto-organisation dynamique? Informations.

 

 

 

 

 

 


 

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L'information est le tissu de connexion de notre Univers. Que sont des processus dynamiques? Des systèmes avec des opérations de remontée de l'information (comme une fractale), ce qui se traduit par une évolution non linéaire et par l'imprévisibilité locale. L'interactivité (Intercommunication) d'un tel système avec des éléments génératifs et innovants ont pour résultat une intégration exponentielle et de la syntropie. Loin des processus aléatoires et mécaniques envisagées comme la loi de l'entropie - ce qui en soi est un scénario très théorique d'isolement et de disconnectivité. La vision du monde non connecté et mécaniste ne perçoit pas de potentiel pour des communications non-locales (un réseau universel de renseignements) que peuvent engendrer des influences d'ordonnancement spécifiques qui sous-tendent l'ensemble des processus physiques. Cette puissante orchestration déterministe est largement au-delà de la compétence d'une telle vision du monde myope. La nature stochastique de la mécanique quantique - la théorie consensuelle du comportement fondamental de la matière - est le reflet de la fragmentation, de la vision du monde isolationniste. Cependant, même dans cette théorie, il est reconnu qu'un dispositif de mesure de taille infinie pourrait vérifier avec une certitude déterministe complète l'état quantique et les coordonnées de l'espace-temps de chaque particule dans une simple chambre. Hélas, un tel dispositif est impossible, car il s'effondrerait dans un trou noir. Pourtant, il y a un trou noir de cette ampleur qui mesure l'état de tous les quanta fondamentaux à chaque instant - et c'est l'Univers, puisque quand la masse de notre Univers observable est considéré en fonction de son rayon de mesure actuelle - notre Univers obéit à la condition de Schwarzschild, c'est à dire à la condition d'un trou noir.

    
"Chaque chose découle d'un choix binaire"
    
- John Archibald Wheeler

Comment l'information est elle le tissu de connexion du cosmos? N'est-ce juste qu'un résumé - qu'une déclaration non physique? Non-pas. John Archilbald Wheeler, un des physiciens les plus éminents du 20e siècle et collègue d'Einstein, a développé des équations géométriques qui décrivent l'origine des caractéristiques les plus fondamentales de la matière - comme la charge et la masse d'une particule - l'un des domaines les plus actifs de la recherche même aujourd'hui (avec des notions artificielles d'un boson de Higgs). Ses formulations ont produites ces caractéristiques seulement à partir de la géométrie de l'espace-temps, tirant donc ainsi «charge sans charge» et «masse sans masse» - comme des caractéristiques émergentes de la structure et de la dynamique de l'espace-temps. Alors que Wheeler est celui qui, aux côtés d'Einstein, comprennait la primauté de la géométrie - il a réalisé plus tard qu'il y avait une source encore plus fondamentale : c'est l'information - inventant ainsi la formule "it from bit". C'est à dire que tout «ça» (tout objet NdT) vient de «bits» - unités de base de l'information. (Coïncidence, Wheeler a également formulé une solution à la gravité quantique, appelée l'équation de Wheeler-DeWitt - mais comme il n'a pas besoin du temps, les physiciens l'ont considérée comme irréelle - ne réalisant pas que ce que nous expérimentons comme le temps n'est en fait qu'une évolution localisée d'un sous-système à travers le structure de l'espace, mais pas un changement dans la structure de l'espace à l'échelle globale de l'Univers - temps de l'intrication quantique).

La structure géométrique de l'espace-temps est un moyen de codage d'information - de pixels de Planck. Les dynamiques de l'espace-temps transmettent et traitent l'information. Et la structure et l'évolution de l'espace-temps détermine et engendre les caractéristiques physiques de la matière et des forces dans l'Univers. Physiquement, que sont des pixels de Planck? C'est à dire, de quoi est physiquement fait l'Espace-Temps ? La réponse est de quanta electromagnétiques de point zéro. Il s'agit d'un champ électromagnétique qui remplit tous les modes imaginables. Qu'est-ce que cela a à voir avec la biologie? Outre la conclusion évidente que nous sommes fondamentalement faits de quanta électromagnétiques (d'espace lui-même) - il a une incidence directe sur la nature des processus biologiques de l'information (systèmes d'auto-organisation) et probablement la source de la conscience. Parce que nous sommes chacun une unité fonctionnelle d'un moyen de traitement d'informations qui est le tissu le raccordement de l'univers.

 

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Univers et / ou neurones

Quel est ce une image ? Une tranche de cerveau montrant la vue microscopique de neurones? Une simulation par ordinateur de la distribution de la matière et des galaxies dans l'Univers (basé sur les valeurs observées de la matière noire dite et l'énergie sombre)? Ou peut-être la mousse quantique du vide (espace-temps)? Faites votre choix. ">Est-ce que cela forme la fonction de récapitulation à ces échelles (ce qui arrive à l'échelle dans les 4 dimensions spatiales de l'Univers observable)?

 

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Planck échelle du réseau

L'image ci-dessus donne une idée du réseau de l'espace-temps à l'échelle de Planck. Tout comme les filaments de «matière sombre» qui relient les superamas galactiques ensemble, ou les dendrites qui relient milliards de neurones - des points nodaux en forme de treillis (Le World Cristal de Planck-Kleinert) sont reliés par des filaments constitués de ponts de Planck-Einstein-Rosen (Construisant l'Espace-Temps avec l'intrication quantique). Et tout comme la propagation des signaux électriques à travers le réseau synaptique du cerveau - faisceaux de lignes intenses de flux électrique et magnétique à travers le réseau de Planck de l'espace-temps (champs de vortex de Poynting).

Il y a une réitération de fractale à travers la magnitude de dimension. Tout comme un transistor peut fonctionner comme une unité binaire (par la présence ou l'absence d'une charge électrique), ainsi aussi le peut un seul atome ou une seule particule subatomique - ou, comme Wheeler la exposé - les oscillateurs harmoniques du vide quantique de Planck, l'espace lui-même. Ce n'est pas nouveau, cela est connu comme le principe holographique. Cependant, ce qui est souligné ici est que ce medium d'encodage de l'information peut être connecté dans un réseau de trou de vers continu - permettant des transmissions d'information non locales, c'est à dire supraluminique. ">Cela signifie que tous les secteurs de l'espace-temps agissent comme un volume d'informations de codage - elles ne sont pas isolées - il s'agit d'un réseau de traitement d'informations multiples.

Ce que le lecteur peut retenir de cette discussion, c'est que notre structure biologique et l'environnement de notre biosphère semblent être autre chose qu'un résultat isolé de certaines fluctuation aléatoires (un coup de chance) et beaucoup plus partie d'une autoroute de l'information, d'un incroyable réseau qui relie tous les points de notre Univers et générant des structures d'auto-organisation complexes de multivers très avancées auprès desquelles l'information conduit constamment la transformation à travers toutes les échelles dans une évolution coordonnée et étonnamment rapide. Dans ce point de vue là, ce ne sont pas seulement la physique de notre univers unifiée à la complexité biologique dont nous sommes une partie, mais c'est de l'ensemble de la structure de l'Espace-Temps qui est une manifestation de ce que nous avons appris à décrire en tant que conscience, ou si vous voulez, d'un feedback d'information sur toutes les échelles produisant la conscience de soi.

Par: William Brown & Nassim Haramein

En savoir plus:

Time from quantum entanglement – http://arxiv.org/pdf/1310.4691v1.pdf
The Planck-Kleinert World Crystal – http://users.physik.fu-berlin.de/~kleinert/papers/planckklcZN.pdf
Building up spacetime with quantum entanglement -http://arxiv.org/pdf/1005.3035v1.pdf
Poynting vortex field - http://astroreview.com/issue/2012/article/the-gem-theory-of-the-unification-of-gravitation-and-electro-magnetism

 http://flyingtaurus.over-blog.com/

source : http://resonance.is/spacetime-as-information-an-ordering-principle-for-living-systems/

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20 juillet 2013

La preuve du paradis, Dans le comas le Voyage d'un neurochirurgien dans l'après-vie

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Eben Alexander, neurochirurgien à l'esprit rationnel, nous en donne la preuve, après avoir vécu une NDE (expérience de mort imminente). Cet homme de 52 ans atteste de l'existence du Paradis dans ce livre témoignage, aussi extraordinaire que bouleversant. L'auteur nous invite à partager son voyage dans une autre dimension, là où il a rencontré des êtres de lumière, très différents de tout ce que l'on peut connaître sur notre planète...

"La preuve du paradis, Voyage d'un neurochirurgien dans l'après-vie"... est un récit dont l'authenticité a été reconnue par le Dr Raymond Moody, spécialiste renommé de l'au-delà.

 Odyssée dans l'au-delà

Du trajet entre sa maison, où il a perdu connaissance, jusqu’à l’hôpital, le Dr Alexander a tout oublié. Son premier souvenir, alors qu’il est dans le coma, se rapporte à des sensations visuelles et auditives : « L’obscurité, mais une obscurité visible, comme être pris dans la boue tout en étant capable de voir à travers ;[...] entourés d’objets comme des racines, ou des vaisseaux sanguins [...]. Entendant seulement un son, irritant, mécanique, répétitif. » A ce moment-là, il se sent à la fois immergé dans ce monde flou et vaguement conscient :

« Je suis conscient, mais sans mémoire ni identité. Cette conscience est très limitée, elle n’est pas humaine, pas même animale. Simplement un point de conscience. »

Avec le recul, le Dr Alexander se souvient que cet état avait l’air d’être hors du temps, qui lui a semblé durer « des éons » : « Je n’avais pas du tout la mémoire d’avoir été Eben Alexander, ni d’avoir eu des attributs humains. J’étais juste une tâche de conscience. Et même si je n’avais pas de mots, j’ai quand même commencé à expérimenter une sorte de questionnement : qui ? quoi ? où ? » C’est alors qu’apparaît une chose qui, en tournant lentement, irradie

« de fins filaments de lumière blanche et dorée ».

La vision se conjugue avec « une mélodie absolument parfaite, un son vivant, comparable au morceau de musique le plus beau, le plus riche, et le plus complexe que j’aie jamais entendu ». Sur certains mots qui illustrent une importante qualité de l’expérience, la voix d’Eben Alexander se fait plus intense. « Et comme cette lumière magnifique s’approchait de moi, poursuit-il, elle a ouvert une déchirure dans l’environnement boueux juste devant moi. Très vite, j’ai été tiré au travers de cette ouverture lumineuse, vers le haut dans un monde complètement différent, où je volais au-dessus d’une vallée verdoyante et absolument magnifique. A côté de moi se trouvait une belle jeune fille aux yeux bleus pétillants et au sourire le plus aimable qu’on puisse imaginer. Elle m’a lancé un regard d’un amour indicible, et m’a dit : « Tu es aimé et chéri pour toujours. Il n’y a rien que tu doives craindre. Il n’y a rien que tu puisses faire mal ici. » Tout cela sans mots, l’essentiel de son message pénétrant directement mon être. »

Puis vient une autre phase de l’expérience « Il y a eu comme une chaude brise divine. Cela a tout changé, élevant le monde autour de moi encore une octave au-dessus, à une plus haute vibration. Même si je n’avais pas pleinement la fonction du langage, j’ai commencé à poser des questions à cette brise, et aussi à la présence divine que je sentais derrière (ou dedans).

Où est cet endroit ? Qui suis-je ? Pourquoi suis-je ici ?

A chaque fois que je posais une question, la réponse venait instantanément, dans une explosion de lumière, de couleurs, d’amour et de beauté qui me balayait comme une vague. Les pensées pénétraient en moi directement, pas comme nous l’expérimentons sur terre. Et comme je les recevais, j’étais capable de comprendre instantanément et sans effort des concepts que dans ma vie terrestre, j’aurais mis des années à comprendre. » Présence centrale de l’amour, existence du mal comme conséquence du libre-arbitre, multiplicité des univers et des dimensions… Les connaissances transmises sont multiples. « Il me faudra le reste de ma vie, et plus encore, pour redécouvrir ce que j’ai appris là-haut », écrit-il dans son livre.

Source :  inrees

17 juillet 2013

Discrédit scientifique sans appel contre l’homoparentalité .

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« Le lobby homoparental s’appuie sur des études qui, dans leur quasi-totalité, ne sont que pseudo-scientifiques. L’intoxication est suffisamment bien faite pour que tout le monde soit convaincu que ces études prouvent que les enfants élevés par les parents homosexuels vont bien. Pourtant, il suffit de se donner la peine de vérifier la nature des travaux cités pour comprendre leurs faiblesses méthodologiques et leurs biais de recrutement des groupes étudiés [1]». L’auteur de cette charge sans concessions ne saurait laisser nos responsables politiques indifférents au moment où ils s’apprêtent à ouvrir l’adoption, voire l’assistance médicale à la procréation, aux personnes homosexuelles. Maurice Berger est en effet professeur de psychopathologie de l’enfant, chef de service de psychiatrie de l’enfant au CHU de Saint-Etienne et membre de plusieurs commissions interministérielles concernant la protection de l’enfance.

Pour le professeur Berger, « le lobby homoparental utilise une méthode simple, le bluff », tant il « est difficile d’imaginer moins d’objectivité » dans les publications existantes. « No difference ». Telle est la sempiternelle conclusion de l’ensemble des travaux comparant l’épanouissement psychique des enfants issus de couples homosexuels et hétérosexuels. Or, la quasi-totalité ne relève pas de méthodes scientifiques rigoureuses. Aspect clairement militant se fondant sur la parole des « parents » – la plupart du temps volontaires et non tirés au sort, recrutés par les lobbies homosexuels –, absence de groupe de comparaison, défaut d’appareillage entre le groupe étudié et le groupe témoin quand il existe, comparaison avec des enfants issus de couples hétérosexuels mais élevés dans des familles recomposées ou monoparentales, effectifs insuffisants,… Bref, des travaux qui collectionnent des défauts méthodologiques si grossiers qu’ils auraient dû être recalés par n’importe quel comité de lecture digne de ce nom.

Mais il n’y a pas que le caractère erroné des travaux brandis par les lobbies à verser dans le dossier à charge contre l’homoparentalité. Une étude parue au début de l’été remet radicalement en cause la ligne officielle qui prévaut jusqu’ici accréditant la thèse selon laquelle il n’y aurait aucune différence en terme de santé mentale entre les enfants élevés par des couples homosexuels et ceux qui le sont par des parents hétérosexuels[2].

Les recherches du professeur Mark Regnerus de l’Université du Texas tordent le cou à ce discours convenu en s’appuyant sur l’examen de 3000 enfants devenus adultes éduqués au sein de 8 structures familiales différentes à partir de 40 critères sociaux et émotionnels[3]. Les résultats les plus positifs concernent les adultes provenant de familles « traditionnelles » qui se disent plus heureux, sont en meilleure santé mentale et physique et consomment moins de drogues que les autres.

A l’inverse, les enfants élevés par des lesbiennes sont les plus mal lotis avec une augmentation statistique inquiétante des dépressions dans leur groupe. Les adultes  interrogés disent également avoir été plus souvent victimes d’abus sexuels (23% contre 2% chez les enfants issus de couples hétérosexuels mariés) et souffrent plus de précarité économique (69% dépendent de prestations sociales pour 17% de ceux élevés par leurs père et mère)[4].

Pourquoi une telle divergence dans les résultats de ces études de psychologie comportementale ? L’explication tient à la qualité de la démarche de Regnerus qui jette indirectement une lumière crue sur les erreurs méthodologiques des précédentes études. Le professeur texan a pris soin d’effectuer son enquête sur une large cohorte d’adultes contrairement aux anciennes études portant sur des échantillons ridiculement faibles[5]. Par ailleurs, Regnerus s’appuie sur les réponses des enfants eux-mêmes devenus adultes et non sur celles données par les « parents ».

Après analyse de l’ensemble des réponses, la conclusion du professeur Mark Regnerus est imparable : le modèle familial reposant sur l’ « union conjugale stable du père et de la mère biologique » – lequel ressemble de plus en plus à une « espèce menacée » (« like an endangered species ») ajoute-t-il avec un brin de malice –, demeure « l’environnement le plus sécurisé pour le développement de l’enfant »[6]. Toute autre combinaison, selon l’universitaire américain, porte préjudice à moyen et long terme à l’équilibre émotionnel de l’enfant, quelles que soient par ailleurs les qualités humaines et éducatives des homosexuels que personne ne conteste. S’engager dans cette voie reviendrait en effet à heurter de front le principe reconnu par la Convention internationale de l’ONU sur les droits de l’enfant selon lequel l’intérêt supérieur de celui-ci, partie la plus faible et sans défense, doit toujours passer avant toute autre considération.

Cette publication – qui confirme le bien-fondé de la structure éthique et anthropologique de l’alliance conjugale entre un homme et une femme pour assurer le plein développement du petit d’homme –  ne saurait être plus longtemps passée sous silence alors que le gouvernement s’obstine à vouloir ouvrir le mariage et l’adoption aux couples homosexuels. Quant aux autres travaux jusqu’ici mis en avant, le professeur Berger enfonce le clou : « La vraie audace de la part du gouvernement n’est pas de soutenir un tel projet de loi, non, ce serait de ne pas avoir peur d’aller vérifier ce qu’il en est réellement, de donner une place au savoir face à l’intimidation et aux études biaisées, et de décider dans un climat plus apaisé. Pourquoi le lobby homoparental ne demande-t-il pas que cette démarche soit entreprise, s’il n’y a rien à cacher ? ». La tenue d’un débat digne de ce nom ne permettrait-elle pas de faire la lumière sur un projet de loi où l’improvisation le dispute à la précipitation ? Dans cette affaire, qui se préoccupe du bien des enfants ? » (source : libertepolitique.com)

[1] Maurice Berger, « Homoparentalité : intimidation et études douteuses », Débats et opinions, Le Figaro, 3 octobre 2012.

[2] Pierre-Olivier Arduin, « L’homoparentalité discréditée », La Nef, septembre 2012.

[3] Mark Regnerus, “How different are the adult children of parents who have same-sex relationships? Findings from the New Family Structures Study”, Social Science Research 41 (2012), 752-770.

[4] Wendy Wright et Lisa Correnti, « L’homoparentalité n’est pas l’égale de la parenté fondée sur le mariage hétérosexuel », www.c-fam.org, 15 juin 2012.

[5] Xavier Lacroix, « Homoparentalité », Lexique des termes ambigus et controversés sur la famille, la vie et les questions éthiques, Conseil pontifical pour la famille, Téqui, p. 595-609.

[6] « The biologically-intact, stable nuclear family (biological mother and father and their marital stability) remains the most secure environment for child development » in Mark Regnerus, “Response to Paul Amato, David Eggebeen and Cynthia Osborne”, Social Science Research 41 (2012) 786-787.

http://enfantsjustice.wordpress.com/2012/10/14/discredit-scientifique-sans-appel-contre-lhomoparentalite-1-quart-23-des-enfants-abuses-sexuellement/

 

Personnellement que des homos lesbiennes veulent se marier pour avoir les mêmes droits que les autres cela me parait normal on est tous égaux en droit ,mais toutefois à mes yeux les droits de l'enfant sont supérieurs, et comme personne ne lui demande son avis son intérêt supérieur n'est plus défendu, et là sa pause un grave problème l'enfant doit être défendu ainsi que son intérêt supérieur.

17 juillet 2013

Les OGM peuvent activer des gènes provoquant le cancer, ou affaiblir notre système immunitaire.

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De nouvelles études en recherche cellulaire soulèvent de nouvelles questions alarmantes concernant les OGM, et l’une d’elles en particulier fait ressembler l'insuffisance hépatique ou le cancer à un jeu d’enfant comparée aux choquantes possibilités soulevées si nous commençons à analyser la manière dont les aliments génétiquement modifiés peuvent altérer notre ADN.

 

D’abord, mettons les choses au clair. Toutes sortes de choses peuvent altérer notre ADN, pour le meilleur ou pour le pire. Bruce Lipton, un scientifique pionnier en biologie, a prouvé que les émotions peuvent altérer l’ADN; la recherche a montré que même l’exercice ou la chimiothérapie peuvent altérer notre ADN. ; les anciennes cultures savaient que le son peut affecter notre ADN, et les recherches les plus récentes déclarent que nous ne sommes pas condamnés à un destin spécifique par nos gènes, mais il semble que nos cerveaux soient reprogrammés via l’ADN pour devenir des humains nouveaux.

 

Notre ADN contient deux brins de nucléotides qui lui donnent sa structure en escalier. Chaque nucléotide contient une des quatre bases (adénine, thymine, guanine, cytosine), une molécule formée par un groupe phosphate et un sucre. Les bases contiennent de l'azote, reliée de manière très spécifique. La façon dont les quatre bases vont se connecter pour une espèce donnée sera très différente de celle qui s'organise dans une autre espèce.

 

En fait, un OGM à double hélice d'ARN (ARNd) créé par Monsanto peut censément désactiver certains signaux génétiques et en activer d’autres. Habituellement, en insérant un gène de Roundup Ready dans une plante, il faut une protéine qui peut fabriquer une plante Roundup Ready pouvant résister au Roundup et continuer à grandir. Le nouveau ARNd peut survivre sans synthèse de protéine. Ce qui permet au dARN de modifier les gènes.

 

Chez des souris nourries avec cet ARNd, le foie a complètement changé son organisation cellulaire, et les souris se sont développées bizarrement. On a trouvé cette même désorganisation quand ces ARNd ont été ajoutés à des cellules humaines. On suppose que cette alimentation avec OGM peut activer des gènes provoquant le cancer, ou affaiblir notre système immunitaire. Dans un contexte différent, le blé que nous consommons est tellement différent d'un blé biologique qu'il nous rend "accro". Certains nomment cela du bioterrorisme pour cette raison.

 

Les plantes alimentaires OGM fabriquent ces nouveaux ARNd pour faire taire ou amplifier la structure génétique de manière très spécifique. La FDA (Food and Drug Administration = organisme américain de contrôle des produits alimentaires et pharmaceutiques) n'a pas fait d’évaluation sur ces ARNd et la manière dont ils vont affecter nos gènes, et Monsanto travaille sur la technologie ARNd, en rachetant des compagnies qui l'utilisent pour l'introduire en tant que prochaine série d’aliments OGM à nous balancer contre notre gré.

 

Des chercheurs d'Australie et de Nouvelle Zélande dévoilent ce problème. Une simple inhalation des pulvérisations d'OGM peut changer la manière dont nos corps produisent l’ADN et les protéines associées. Le plus effrayant est le fait que cet ARNd peut se transmettre à la descendance de ceux qui y sont exposés. Au Canada, une nouvelle recherche montre que le sang de femmes enceintes contenait des traces des toxines trouvées dans des produits alimentaires OGM. Qui sait quelles seront les conséquences à long terme du bricolage de notre structure génétique, mais elles ne peuvent pas être prometteuses étant données les performances archivées jusqu'à aujourd'hui de Monsanto.

 

"Découvrir que des toxines génétiquement modifiées et aussi des résidus d’herbicides sont absorbés dans le sang de consommateurs et par des fœtus, montre qu'une alimentation biologique et sans OGM devrait être le premier choix pour les familles et surtout pour les femmes enceintes", a dit Steffan Browning, porte parole de "Terre et Santé – Le Bio".

 

Il y a des projets d'introduction de cet ARNd dans l’alimentation, les médicaments, les vaccins et les épandages de pesticides. A moins de vouloir jouer au jeu de "attendre et voir" avec votre évolution génétique personnelle, il serait temps de passer au tout biologique jusqu’à ce qu’il y ait davantage d’informations données sur le sujet des OGM et de l’altération de l’ADN.

 

Source

 

http://worldtruth.tv/is-gmo-rewiring-our-dna/

 

Traduit par le BBB.

http://bistrobarblog.blogspot.be/2013/07/ogm-et-adn.html


Lepage : "Tout est organisé pour qu'il n'y ait... par LeNouvelObservateur

16 juillet 2013

BIG BROTHER : Barack Obama a annoncé que les USA financeront dès 2014 le projet Brain

 

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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain.

Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère...

Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité.

Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement.

Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux.

Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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A quelles découvertes s'attendre si nous parvenons à craquer un jour le code de notre cerveau ? Barack Obama a annoncé que le gouvernement américain financera dès 2014 le projet Brain, à hauteur de 100 millions de dollars, pour réaliser une cartographie de notre cerveau. Ce projet fait concurrence au programme européen Humain Brain Project. Terra incognita Publié le 28 avril 2013 - Mis à jour le 30 avril 2013 RSS 0 152 14 0 199 Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Crédit Reuters Atlantico : Le récent projet européen Humain Brain Project a l’ambition de comprendre le cerveau humain. Ce programme durera dix ans et regroupe 80 laboratoires dans 16 pays. Sommes-nous sur le point de décoder complètement notre cerveau ? Alain Destexte : Ce projet européen a pour but d’avancer le plus loin possible vers la représentation du cerveau humain. Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. 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C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. 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C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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Les recherches prévoient de simuler certaines de ses fonctions pour mieux les isoler, mais également de participer à la genèse de circuits électroniques qui pourraient fonctionner de façon analogue au cerveau, pour remplacer des fonctions défaillantes par exemple. On est à l’aube de quelque chose, cependant il parait impossible de déterminer de façon précise quand aura lieu le déclic. On ne peut pas dire qu’on est sur le point de décoder notre cerveau, cet organe est certainement le plus complexe de notre corps. Son étude précise va encore nous demander des années de recherches. Personne ne peut déterminer si oui ou non, nous arriverons un jour à décoder entièrement notre activité cérébrale ou bien s’il restera toujours une part de mystère... Que pourrait-on trouver grâce à ces études ? Quels sont les enjeux d’un tel projet pour la médecine ? Plus on implique les neurosciences, plus on va produire des objets artificiels qui vont créer un signal compatible avec notre système nerveux. Dans un avenir assez proche, nous aurons la possibilité d’utiliser des algorithmes similaires à ceux du cerveau. De ces algorithmes vont naître des machines analogues à notre activité cérébrale. D’une certaine façon, les machines pourront communiquer avec notre cerveau et notre corps. Aujourd’hui, les chercheurs arrivent à réaliser des rétines artificielles. Ces dernières permettent non seulement de mieux comprendre la vision, mais également de restaurer la vision pour des personnes aveugles ou de l’améliorer pour des mal-voyants. Il existe également des cochelées artificiels pour remplacer cette partie de l’oreille chez des patients sourds. Grâce à la recherche, les prothèses auditives sont de très bonne qualité. Quelles sont les récentes avancées qui ont amélioré la compréhension de notre cerveau ? Il y a eu des avancées récentes en neuro-imagerie. Des chercheurs ont réussi à déchiffrer une partie de l’activité du cerveau. Ils ont observé qu’en présentant les même images -ou stimuli- à des personnes testées, le cerveau créait les mêmes patrons d’activités, un peu comme une signature correspondant à chaque image. L’expérience prouve également que si le cerveau produit ces signatures pendant le sommeil, cela signifie que la personne rêve de l’image correspondant à la signature. Grâce aux différentes recherches, nous avons pu progresser dans la technique de détermination de la connectivité. La méthode appelée Diffusion Tensor Imaging (DTI) utilise le signal de diffusion de l’eau dans le cerveau pour repérer les fibres et leurs interconnections. Cela a permis d’établir une première cartographie. Donc la recherche avance grandement. Cependant ces expériences regardent l’activité cérébrale : aujourd’hui la science n’est pas encore capable de dire comment ni pourquoi cette activité a été générée. L’observation constitue la première étape avant la compréhension. Pourquoi une cartographie précise de notre cerveau est-elle essentielle pour l'avancée de la médecine ? Avoir la cartographie des connections du cerveau est absolument essentiel pour comprendre son fonctionnement. Non seulement de façon globale, mais aussi de façon locale. Même pour le cortex visuel qui pourtant est l’un des plus connu, il reste des zones d’ombres qu’il faut découvrir pour appréhender entièrement la vision humaine, qui est de loin notre sens le plus sophistiqué. Aujourd’hui on peut envisager la construction d’une cartographie précise, ce qui n’était pas le cas il y a dix ans. Cependant, les outils et les machines sont très onéreux. Ces machines génèrent énormément de données informatiques, il faut donc des programmes spécifiques pour les déchiffrer. La neuro-information doit se développer. L’étude du cerveau fait appel à plusieurs domaines d’expertises : le vivant, l’électronique, les simulations sur ordinateur. C’est pour cela que les mathématiques, et les théoriciens sont essentiels dans le cheminement de la recherche, car il faut lier les différentes découvertes. Les mathématiques sont un pont entre la science et l’ingénierie médicale. Propos recueillis par Manon Hombourge
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