Cette oreillette révolutionnaire traduit les langues étrangères en temps réel
Can You Hear Me in French?
Elle sera en vente en Septembre pour environ 130 €
-Il y a pour le moment le choix entre trois coloris : rouge, blanc et noir.
Can You Hear Me in French?
Il y a pour le moment le choix entre trois coloris : rouge, blanc et noir.
Troy Hurtubise, un inventeur de 41 ans, a fait une chose qui paraît impossible avec sa nouvelle invention qui défie, dit-il, toutes les lois de la physique.
Cette "Angel Light" - Lumière d'ange", qui lui est venue dans un rêve récurrent peut voir à travers les murs comme s'il n'y avait pas de barrière, comme il le dit. Et ce n'est pas tout.
Hurtubise dit que l'appareil détecte la technologie furtive. Il a fait le test sous le contrôle de scientifiques au célèbre M.I.T du Massachusetts. Et comme si cela ne suffisait pas, il dit que le gouvernement français a envoyé une délégation à North Bay pour assister à une démonstration de l'"Angel Light". Hurtubise dit que ces gens ont été si impressionnés par son appareil (plus de de 2,50m de long) qu'ils lui ont donné 40.000 dollars en espèces pour qu'il y mette la touche finale. Et il ajoute que les Français lui ont accordé un financement substantiel pour que cette technologie passe des tests rigoureux en France.
« Ils n’arrivaient pas à croire à ce qu’ils avaient vu » dit Hurtubise à BayToday.ca. , pour l’un d’eux, c’était comme s’il avait découvert un nouvel Univers »
Gary Dryfoss, consultant qui a été longtemps instructeur au M.I.T dit qu'Hurtubise mérite un Prix Nobel si l’Angel Light" fonctionne vraiment comme annoncé " des lois de physique seront à écrire pour les choses décrites par Hurtubise, dit Dryfoss.
Une technologie à bande ultralarge
Dans le même genre de recherche, effectuée par des sociétés high-tech, même si à première vue, ce que dit Hurtubise paraît forcer la crédulité, il est largement en avance.
Motorola, par exemple, selon le Washington Technology Web a des vues sur une technologie émergente qui pourrait permettre aux premiers transpondeurs et aux Forces Spéciales de voir à travers les murs des immeubles.
Une société israélienne fondée par des vétérans du renseignement et des techniciens, a reçu 5 millions de dollars de Motorola et d’autres investisseurs pour développer une imagerie radar portable utilisant la technologie à bande ultra large afin de créer des images en 3D d’objets cachés par des murs ou tout autre obstacle.
Il y a 3 parties dans l’"Angel Light"
- La principale qu’Hurtubise appelle centrifuge contient le cerveau de l’Angel Light" et comprend des sources de lumières noire, blanche, rouge et fluorescentes, et aussi 7 lasers industriels.
- La seconde, ou réseau déflecteur, contient un grand cercle de verre optique, un appareil à micro-ondes et plasma mélangés avec du dioxyde de carbone.
- La troisième contient 8 tubes à plasma, des charges de CO2, des aimants industriels, 108 miroirs, 8 lampes à ionisation industrielles, et d’autres composants pour lesquels Hurtubise préfère rester bouche close.
Pour construire l’"Angel Light", il faut compter 30.000 dollars, pour cela il vend des pourcentages de ses autres innovations, sans compter les 800 à 900 heures de travail.
Il attribue cette idée à son subconscient. " Il y a environ un an et demi, j’ai fait un rêve, comme pour la plupart de mes innovations, juste un rêve, et je l’ai vu, j’ai tout vu, l'habillage aussi et j’ai vu ce qu’il était capable de faire. Ce rêve, je l’ai refait trois fois, et à la troisième, je l’avais bien en tête et j’ai commencé à le construire. "Troy avait rêvé que l’Angel Light pourrait voir à travers les murs comme si c’était des fenêtres, et il l’a alors fabriqué sans plans, ni dessins ou schémas.
" Je l’ai mis en marche – il y de cela plus d’un an – et il fonctionnait : c’était réellement impressionnant. Je pouvais voir dans le garage situé derrière le mur de mon labo, je pouvais lire la plaque d’immatriculation de la voiture de ma femme, et même voir le sel dessus. Je me suis presque cassé les articulations 3 ou 4 fois, car c’était comme si on pouvait passer à travers le mur. On peut se faire avoir en croyant que l’on peut réellement traverser le mur pour toucher la voiture. "
Hurtubise appela son contact au M.I.T pour lui parler de ce qu’il avait fait. " Ils m’ont dit que je jouais avec l’électromagnétisme. "
En fin de compte, la conversation conduisit à la découverte d’autres propriétés effrayantes de l’"Angel Light". Hurtubise dit que quelqu’un du M.I.T lui apporta un morceau de 20x20 cm du placage du tout dernier hélicoptère Comanche, dont la construction utilisait la technologie d’invisibilité résistante au radar. "Dans un bus Greyhound, des choses peuvent arriver à passer les frontières, surprenant..." dit Hurtubise.
On avait dit à Hurtubise de préparer une piste extérieure, ce qu’il a fait à First Nations. Il a fixé le morceau de placage à une voiture télécommandée qui descendait la piste. Ensuite, il a pointé l’"Angel Light" sur le placage et activé un fusil radar. " Je pouvais avoir ce morceau de placage avec le fusil ". Mais il s’est alors produit quelque chose d’étrange sur la voiture, une fois touchée par le rayon de l' "Angel Light" elle a cessé de fonctionner.
Hurtubise est revenu à son labo et a testé l’"Angel Light" sur d’autres choses, y compris des postes de radio, des téléviseurs et un four à micro ondes. Et " ils se sont tous arrêtés de fonctionner". Il a dûment signalé tout cela à ses contacts du M.I.T qui lui ont dit : Troy, c’est incroyable.
Hurtubise a acheté un avion télécommandé (1800 dollars) et l’a emporté avec l’"Angel Light" sur un terrain d’aviation sur la route de Powassan. Il a braqué le rayon de l’"Angel Light" vers le ciel, et a fait voler l’avion . " A la première boucle, il est passé dans le rayon de lumière et est tombé directement à terre ".
Poursuivant ses essais sur d’autres matériaux, Hurtubise a découvert qu’il pouvait voir à travers d’autres métaux comme l’acier, l’étain, le titane et contrairement à Superman, le plomb. Le rayon de l’"Angel Light" pénétrait aussi la céramique et le bois. En mettant sa main dans le rayon de lumière, Hurtubise pouvait voir les vaisseaux sanguins, les muscles, "c'était tout à fait comme si j’avais pris un couteau et que j’avais fait une coupure dans la peau et ensuite, l’avais épluchée."
Mais, peu après, il a découvert des effets secondaires diaboliques.
Il perdit la sensibilité dans un doigt de la main exposée et a commencé d’avoir un malaise général. Le M.I.T lui a dit qu’il devait recevoir une sorte de giclée en retour qui le touchait à chaque fois qu’il branchait l’appareil.
Un test sur un bassin de poissons rouges a été plus perturbant : soumis au rayon, tous les poissons sont morts en quelques minutes.
"C’est alors que j’ai réalisé qu’il y avait là un effet Hyde, comme dans Dr Jekyll et Mr Hyde, et j’ai tout démonté. "
Et Hurtubise n'a pas réassemblé l'"Angel Light", jusqu’à ce que les Français l’appellent après avoir vu sur Discovery Channel une émission sur le LIMBC.
hurtubise pense que d’autres personnes plus compétentes que lui peuvent arriver à se débarrasser de l’effet Hyde, mais en même temps, il croit qu’après 17 ans passés à inventer, sa fortune peut se faire avec la France.
" Mon frère m’a dit que la seule façon pour moi de pouvoir vendre mes innovations, c’est de marcher sur l’eau. Eh ! bien, je pense que c’est juste ce que j’ai fait ! "
traduction B. Soarès de l'article de Phil Novak,
source : quanthomme.free.fr
James Bryan eu une brillante idée qui a abouti à quelque chose de brillant. Jardiniers et fanatiques de la récupération regardez, un mini jardin, une cage à tomates, une irrigation goutte à goutte. La configuration est évidemment simple mais très fonctionnelle et efficace. Vous pouvez en concocter une pour presque rien, surtout si vous récupérez le grillage.
Bryan dit:
J’ai commencé le 28 mai à planter 4 tomates autour d’une poubelle avec des trous percés sur le pourtour du bas et une deuxième rangée environ 25 cm au dessus… j’ai enterré la poubelle de sorte que les trous du haut dépassent à peine du sol … j’ai mis dedans deux pelletées de compost… puis j’ai rempli d’eau la poubelle tous les 2 jours en essayant de ne pas arroser les feuilles… ces quatre plants font maintenant 1m 60 en moins d’un mois et demi et sont chargés de tomates vertes et d’une centaine de fleurs de tomates…
28 mai
Fin Juin, cage de 1 mètreTrès grande
« Le 9 Juillet, après une semaine de températures records et très peu de pluie… les plants sont chargés de tomates dans la cage et pleins de fleurs aussi! » -James Bryan via Hometalk
Bryan a utilisé une poubelle de cuisine de 50 litres pour faire pousser les plants de tomates ci-dessus mais est depuis passé à des seaux de 20 litres, car ils sont beaucoup moins chers et plus faciles à trouver en nombre.
Vous pouvez même utiliser une plus grande poubelle aussi longtemps que vous fournissez à chaque plant 20 litres d’eau par semaine. Par exemple, si vous utilisez un seau de 20 litres et plantez 2 plants de tomates autour vous remplissez le seau de 20 litres 2 fois par semaine. Ou une poubelle de 50 litres remplie deux fois donne 100 litres, de sorte que vous pouvez planter jusqu’à 5 plants autour.
«Je fais maintenant pousser des tomates pour le marché, et j’ai un rendement plus élevé par plant que la plupart des autres producteurs», explique Bryan.
Source : hometalk / sante-nutrition
Suite aux progrès du séquençage ADN, l’entreprise californienne TeselaGen a élaboré une plateforme de prototypage pour faciliter les expérimentations de biologie synthétique.
Depuis la récente chute des coûts de séquençage et de synthèse ADN, les startups de science informatique couplées à la biotechnologie surgissent dans la Silicon Valley. Parmi ces nouveaux acteurs, l’entreprise TeselaGen, dont le siège est basé à San Francisco, produit des middlewares (logiciels tiers qui créent des réseaux d'échange d'informations entre différentes applications informatiques) pour des laboratoires de biotechnologie qui veulent concevoir et itérer rapidement des nouvelles combinaisons d’ADN. Forte d'une subvention de 1 million de dollars offerte par la National Science Foundation, l’entreprise construit des outils pour aider les chercheurs à mettre en place et gérer des expériences sur un système informatique et interpréter les données récoltées en laboratoire. D’après le directeur général de TeselaGen, Mike Fero, en élaborant une plateforme de prototypage rapide de biologie synthétique, la vision de l’entreprise est de favoriser et faciliter pour les laboratoires d’analyse, le processus de conception, construction, test et évolution.
La plateforme informatique élaborée par TeselaGen a donc pour objectif de raccourcir le délai nécessaire pour obtenir le séquençage ADN et exécuter facilement de nombreuses expériences. La plateforme comporte ainsi un ensemble d'outils pour aider à rendre le visionnage, la modification et la gestion des séquences, rapides et faciles. Elle permet également de combiner et assembler une multitude de gènes grâce à un canevas de conception intégré et transparent. De plus, elle fournit un protocole nommé J5 qui comporte un système économique d'assemblage génétique, permettant une rotation rapide du cycle de conception, construction, test et évolution. Enfin, TeselaGen a construit un modèle de conception qui s’appuie sur le Synthetic Biology Open Language, un ensemble ouvert de normes qui aide les biologistes synthétiques et les ingénieurs génétiques à partager des conceptions d'ADN. Comme d'autres sociétés dans le domaine, TeselaGen offre gratuitement son produit aux chercheurs universitaires, mais facture des frais d'abonnement annuels aux entreprises clientes.
Un biologiste souhaite tester en général 10.000 variantes d'une conception ADN, avec des modifications mineures dans chaque. À l'heure actuelle, le coût de la synthèse de ces nombreuses constructions serait encore trop coûteux et Mike Fero espère pouvoir offrir à l’avenir, une solution pour réduire encore le coût de ces expérimentations. L’émergence de l'innovation des procédures d'automatisation dans le domaine de la Biotechnologie est représentée par le développement des entreprises telles que Transcriptic qui rend des laboratoires entièrement automatisés grâce à la robotique et des entreprises telles que TeselaGen ou Genome Compiler qui fournissent des outils de conception ou de fabrication assistée par ordinateur (CAM/CAD) pour les biologistes. A la différence que de TeselaGen, l’entreprise Genome Compiler ne s’appuie pas sur le Synthetic Biology Open Langage et ne fournit pas d’équivalent au protocole J5 (automation de l’assemblage et conception d’ADN). De la même façon que l’afflux de données modifie la manière dont nous résolvons les problèmes, la prochaine génération de biologistes pourrait se voir utiliser uniquement des interfaces de programmation pour réaliser leurs expérimentations biologiques.
http://www.atelier.net/trends/articles/teselagen-accelere-prototypage-de-adn-de-synthese_428069
Le concept théorique de VASIMR® a été inventé à la fin des années 1970 par l'astronaute et physicien des plasmas Franklin Chang-Díaz, qui l'étudia d'abord au Charles Stark Draper Laboratory puis au Plasma Fusion Center du MIT (Massachusetts Institute of Technology) et enfin à l'ASPL (Advanced Space Propulsion Laboratory) fondé à cet effet en décembre 1993 au JSC de la NASA, qui détient un prototype expérimental.
En 2007, un nouveau prototype va être construit au Costa Rica, et des expérimentations à bord de la station spatiale internationale sont programmées pour 2010 et 2011[5]. Les premières réalisations industrielles doivent produire des impulsions spécifiques de 1 000 à 30 000 secondes (correspondant à des vitesses d'éjection allant de 10 à 300 km/s), et des poussées de 10 à 500 newtons. Bien que de très grandes poussées puissent potentiellement être atteintes avec VASIMR, le poids important des systèmes d'ionisation et de confinement du plasma semble devoir empêcher son utilisation là où un ratio puissance/poids élevé est nécessaire, par exemple pour le décollage depuis la surface de planètes, zone de forte gravité. Les progrès dans ce domaine sont néanmoins rapides, avec une diminution de la masse des électroaimants d'un facteur de 30 depuis les premières expériences, grâce aux matériaux supraconducteurs à haute température critique.
Les ondes radio et les champs magnétiques sont fournis par une source d'énergie électrique de quelques centaines de kilowatts pour les prototypes, idéalement de plusieurs mégawatts pour un vaisseau interplanétaire. Cette source d'énergie serait en 2008 la fission nucléaire. Avec l'amélioration de ces sources d'énergie compactes, il est envisagé de remplacer les propergols légers que sont l'hydrogène ou l'hélium par un plasma plus dense d'argon ou de xénon (un vaisseau de 20 tonnes, alimentant un propulseur VASIMR avec 200 MW, mettrait Mars à seulement 39 jours de voyage de la Terre[6]). En élargissant cette idée et bien que cela ne soit pas réaliste à court terme, il est également théoriquement possible que le concept VASIMR® puisse un jour s'articuler autour d'un plasma de fusion constituant lui-même le propulsif. L'apport calorique de la fusion, et donc la poussée, serait dans ce cas notablement plus élevé par rapport à un chauffage électrique ou électromagnétique.
VASIMR®, acronyme de Variable specific impulse magnetoplasma rocket : « Fusée magnétoplasma à impulsion spécifique variable », est un type de propulseur spatial à plasma. Il utilise des champs et des rayonnements électromagnétiques variables (sans électrodes) pour chauffer, ioniser et accélérer un propergol vaporisé (hydrogène argon ou hélium).
Principe
VASIMR® a la particularité de faire appel aux trois aspects de la propulsion électrique :
1. chauffage par induction électromagnétique et détente du gaz (propulsion électrothermique) ;
2. ionisation et accélération des ions du plasma dans un champ électrique induit (propulsion ionique) ;
3. confinement de plasma interne, guidage et contrôle du jet externe par champ magnétique (propulsion électromagnétique).
Schéma de VASIMR en coupe :
1. Le gaz neutre (hydrogène ou hélium) est injecté en entrée du dispositif.
2. Un tube en quartz recueille et confine ce gaz neutre avant son ionisation.
3. Une « antenne hélicon » spéciale pré-ionise le gaz (chauffage à 30 000 kelvins) à l'aide de radiofréquences émises dans un champ magnétique axial (rayonnement hélicon excitant les électrons).
4. Le plasma est confiné à distance de la paroi par des solénoïdes entourant la chambre cylindrique, créant un champ magnétique axial dans l'enceinte.
5. Une « antenne ICRH » (Ion Cyclotron Resonant Heating) ionise totalement le plasma en le portant à très haute température (10 megakelvins) et génère un champ électrique induit qui accélère les ions en une trajectoire hélicoïdale vers la sortie. C'est le booster principal.
6. Une « tuyère magnétique » en sortie contrôle le jet de plasma en modelant axialement la trajectoire des ions.
Cette tuyère à « géométrie magnétique variable », permet de faire varier l'impulsion spécifique et la poussée à puissance constante, en modulant l'intensité du champ magnétique et la géométrie de ses lignes de champ. Une analogie consiste à assimiler cette tuyère magnétique à la boîte de vitesses d'une automobile, dont le moteur serait alimenté en combustible à régime constant.
http://www.mysteredumonde.com/article/wasimr-39-jours-pour-aller-sur-la-planete-mars_4163.html
Directrice de la Darpa, l’agence de recherche de l’armée américaine, de mi-2009 à mars 2012, Regina Dugan l’a quittée l’an dernier pour diriger les "projets spéciaux" chez Motorola, détenu par Google. Elle a exposé le 29 mai à la conférence annuelle All Things Digital quelques-uns de ces projets.
Le premier est un tatouage électronique (en fait plutôt une sorte de patch, l’objet n’étant pas définitivement dans la peau) qui pourrait servir à s’identifier. C’est un projet développé par MC10, une entreprise partenaire de Motorola ; Regina Dugan a montré un de ces tatouages électroniques, qu’elle porte à l’avant-bras.
Une pilule qui émet un signal depuis le tube digestif
L’objet contient une antenne et des capteurs intégrés, et Motorola s’intéresse à l’ajout d’éléments d’identité à cette technologie. Selon Dugan, les jeunes adoreraient porter des tatouages électroniques, "tant que ça n’emmerde pas leurs parents". ben voyons
Dans la même veine de l’authentification intégrée, elle a montré une pilule à avaler, qui réagit à l’acide de l’estomac en produisant assez d’électricité pour produire un signal, qui via le corps deviendrait un mot de passe. Cette pilule est créée par une entreprise nommée Proteus Digital Health ; elle a été autorisée par la Federal Drug Administration (FDA).
Ce genre d’innovations ne sont pas près d’arriver dans le commerce( dit elle ,tu penses ), "mais c’est un signe de la nouvelle audace chez Motorola", a expliqué le patron de Dugan, Dennis Woodside, qui dirige Motorola. "Si vous voulez être sûrs que votre innovation échoue, a déclaré Regina Dugan, essayez d’en exclure le risque. L’ennui est l’ennemi de l’innovation."
Le système qui s’appelle Network Brain Machine Inteface est une sorte de casque doté de capteurs sensoriels. Ces capteurs enregistrent les fluctuations dans la circulation de sang et réagissent aux impulsions du cerveau.
Yukiyasu Kamitani du laboratoire ATR Computational Neuroscience est persuadé que le nouveau système pourra faciliter la vie aux personnes âgées ou aux personnes à mobilité réduite qui sont seules.
« Nous espérons que Network Brain Machine Inteface révolutionnera la gamme des dispositifs destinés à améliorer la qualité de vie des personnes qui, pour des raisons diverses, sont incapables de se déplacer. Nous espérons qu’il sera utilisé dans les établissements de rééducation, mais aussi à la maison ».
Il suffit que l’homme imagine les mouvements qu’il veut faire avec sa main gauche ou droite pour que ces mouvements soient réalisés grâce au système développé par la compagnie ATR. Ainsi, les participants aux expériences ont pu, grâce à leur imagination, allumer ou éteindre un poste de télévision, la lumière dans la chambre, ou faire avancer ou reculer une chaise roulante.
Le mécanisme de Network Brain Machine est à la fois simple et compliqué. Les impulsions provenant du cerveau sont lues par le lecteur, placé dans le casque. Cette information parvient ensuite dans une base de données, où elle est analysée. Ensuite l’ordre est transmis vers l’un des objets équipé avec le même système. Le problème, c’est que le dispositif élaboré par les chercheurs japonais doit être réglé individuellement sur chaque patient pour que le taux d’erreur soit minime.
« C’est sur ce point que nous travaillons actuellement », explique Yukiyasu Kamitani. « J'espère que nous serons bientôt en mesure d’éliminer les défauts existants pour améliorer notre dispositif ».
6 à 12 secondes sont nécessaires au Network Brain Machine actuellement pour transformer les idées de l’homme en actions. Les concepteurs espèrent réduire ce temps à une seconde très bientôt. Et l’exactitude de la réalisation de l’ordre atteint 70-80%. La science-fiction va donc bientôt devenir réalité
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