Je suis convaincu qu’il y a un tel complot, d’envergure internationale, en planification depuis plusieurs générations, et de nature incroyablement maléfique. » Lawrence Patton McDonald (1935-1983), congressiste assassiné dans un avion coréen
"Le Mohenjo-Daro se situe au Pakistan et c’est un site de la civilisation de la vallée de l’Indus qui était une civilisation de l’antiquité. Cette métropole était autrefois bâtie sur deux îles artificielles séparées par un bras inondé selon la saison, il y avait la ville haute et la ville basse . Quand le fleuve est en cru en été, on ne peut accéder à la ville que par l’eau, c’est par ce seul moyen qu’elle est encore accessible, le bateau est dès lors tout indiqué. Trente années de fouilles n’ont pas suffi aux chercheurs pour mettre à jour l’ensemble de ces vestiges de pierres.
Remarquer les "petites briques" dont on parles precedement
Squellettes radioactif
" strates de glaise et de verre vert" ?
Mohenjo-Daro
Selon un article du New York Herald Tribune du 16 février 1947 , le rapport de l’explosion d’une bombe atomique dans le désert du nouveau Mexique , a décrit que l’explosion a fait fondre le sable qui s’est transformé en verre de couleur verte
Cela aurait troublé des archéologues qui avaient fouillés des sites datant de plusieurs millénaires dans la vallée de l’Euphrate
Ces sites comportaient des traces de destructions avec du sable fondu transformé en verre de couleur verte
Cela démontre que Yi a poursuivi les atlantes jusqu’à Sumer avec ses armes nucléaires …
Selon un article de la Pravda du 17 janvier 1994 , les archéologues Davenport et Vincenti , auraient découvert à Mohenjo-Daro , des strates comportant de l’argile et du sable fondu à haute température , transformés en verre de couleur verte , similaires aux traces d’explosion nucléaires du désert du Nevada
Ce qui est le plus troublant dans ce dernier article , c’est qu’ils nous précisent que les squelettes trouvés à Mohenjo-Daro , avaient un taux de radioactivité 50 fois supérieur à la normale …
Exactement , la dose de radiations du Gobi …
Davenport et Vincenti sont des archéologues et pas des physiciens …Ils n’avaient aucune raison de rapprocher ce taux de celui du Gobi , probablement pas inconnu à l’époque , mais certainement tenu secret …Il n’y a que quelques petites années , même pas 10 ans , qu’internet est totalement ouvert et permet de tout connaître , ou presque …
Et ce ne peut être un chiffe donné au hasard , car même si ce sont des archéologues et pas des physiciens , ils restent tout de même des scientifiques …Et ils n’auraient jamais inventé un taux représentant une explosion unique aussi puissante que 20 fois toute la radioactivité émise par la terre entière pendant 1 an :
Le Mahabharata nous raconte les effets de l’arme suprême :
C’est une coquille , qui étincelait comme le feu , mais sans dégager de fumée
Quand la coquille a touché le sol , le ciel est devenu obscur , les tornades et les tempêtes ont ravagé les villesUne horrible explosion a brûlé des milliers de gens et d’animaux , les réduisant en cendresUn autre extrait du Mahabharata raconte :
Ghurka surgit dans son puissant vimana et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l’UniversUne colonne incandescente de fumée et de flammes aussi lumineuse que dix mille soleils s’éleva dans toute sa splendeur
C’était une arme inconnue , une foudre de fer , un gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des Vrishis et des Andhakas …
… Les cadavres étaient tellement brûlés qu’ils étaient méconnaissablesLeurs cheveux et leurs ongles tombaient
La poterie se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs
Au bout de quelques heures , toute nourriture était infectée …
…Pour échapper à ce feu les soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur équipement …
Mais dans les védas , le Ramayana , comme dans le Mahabharata , il y a bien d’autres passages qui citent des batailles aériennes et l’utilisation de l’arme nucléaire , avec la description de ses effets et de ses conséquences
Les guerres nucléaires
Tous les textes que nous avons déjà étudiés , et les réalités retrouvées sur le terrain , démontrent une conclusion sans appel :
Les guerres du Ramayana aux environs de -4300 , du Mahabharata aux environs de -3100 , 1ère et 2ème guerre du Gobi aux environs de -2650 et -2350 , sont des guerres nucléaires
Voir dans ce livre la 3ème partie : Les tokhariens , chapitres 4 et 5
La deuxième guerre du Gobi , racontée par les légendes chinoises , nous dit bien que Yi poursuivit ses agresseurs mais ne put détruire le 10ème vaisseau aérien des atlantes lors de la grande bataille , celle du Gobi
La vallée du Thar , domaine des indo-européens , alliés des tokhariens , aurait très bien pu abriter ce 10ème vaisseau …
Il fallait donc détruire cette région aussi …
Et l’on n’a plus jamais entendu parler de ce 10ème vaisseau …
Ni de la Sarasvatî non plus …
C’est pour cela qu’il ne reste aujourd’hui que la vallée de L’Indus et le désert du Thar …
On note d’ailleurs dans ce désert du Thar une radioactivité équivalente à celle du Gobi : un
taux 50 fois supérieur à la normale , soit 82 ms/an …
La légende chinoise précise que l’empereur céleste Huangdi était furieux contre Yi d’avoir fait tant de dégâts et de destructions sur la terre , la rendant inhabitable
En effet il a poursuivi les atlantes avec ses armes nucléaires jusqu’à Sumer , dévastant ainsi une grande partie de terres auparavant fertiles …
Cela a du peser lourd dans la décision des édenistes de repartir vers l’espace et d’abandonner la colonisation de la terre
Et Yi a été puni pour cela : il restera sur terre …
Le désert du Thar
Le désert du Thar , d’une superficie de 200 000 km² , est appelé Mârusthali , le pays de la mort , en Inde
Au Pakistan , il porte le nom de désert du Cholistan
Cette zone est devenue désertique entre 2000 av. J.-C. et 1500 av. J.-C.
À cette époque le fleuve Sarasvatî s’enfonce dans le désert et ne laisse qu’un lit asséché , qui réapparait au Pakistan
Le pétrole du désert du Thar
La compagnie pétrolière indienne Cairn India Ltd , estime les réserves de pétrole dans sa concession du désert du Thar , à 6.5 milliards de barils
Cela représente un peu plus de 0,5% des réserves mondiales et environ un tiers des ressources chinoises
Le total des ressources découvertes va permettre de mettre en œuvre rapidement un pipe line pour acheminer le pétrole extrait
Actuellement l’Inde importe 70 % de son pétrole
Le charbon du désert du Cholistan
Le désert de Thar pakistanais dans la province du Sindh , possède la 5ème plus grande réserve mondiale de charbon , soit 184 milliards de tonnes
Actuellement seulement 4,5 à 5 millions de tonnes en sont extraits annuellement
C’est de la lignite de toute première qualité et qui peut être , sous réserve d’industrialisation adaptée , transformée en tous produits pétroliers …
Bien utilisée , cette ressource pourrait subvenir aux besoins énergétiques du Pakistan pour les 100 prochaines années
Le charbon devrait permettre de construire et alimenter une centrale électrique de capacité suffisante afin d’alimenter la région en énergie et même d’exporter de l’électricité vers l’Inde voisine
Une centrale de 6.000 MW devait être construite par les chinois , mais le projet a été abandonné , probablement à cause du risque terroriste
Malgré la viabilité économique du projet , les étrangers n’investiront que le jour où le Pakistan sera un pays libéral , exempt de risque de terrorisme
La taille de l’investissement est telle que ce n’est qu’avec un financement multinational qu’un tel projet peut être mené à son terme
L’abondance et le faible coût actuel du charbon , le place en tête des candidats pour le remplacement du pétrole
D’ici là , il faudra maîtriser cette nouvelle utilisation en conformité avec les normes de pollutions actuelles , notamment pour limiter l’émission de CO2 dans l’atmosphère
Les estimations actuelles des réserves mondiales de charbon dépassent deux siècles contre une quarantaine d’années seulement pour le pétrole
L’eau du désert du Thar
Sous le désert du Thar , il n’y a pas que du pétrole et du charbon , il y a aussi la 5ème plus grande nappe phréatique d’eau douce du monde …
En fait , selon les endroits , l’eau est potable , saline ou saumâtre
Mais ce n’est pas de l’eau de mer , et moyennant des traitements appropriés et peu couteux , il y a suffisamment d’eau souterraine pour créer un paradis fertile et verdoyant dans ces 200 000 km² …
Lecentral arid zone research institute de Jodhpur affirme , preuves à l’appui , que l’eau souterraine provient principalement des précipitations des glaciers himalayens qui coulent dans l’ancien cours de la Sarasvati
La central ground water commission a creusé le long du lit asséché de la Sarasvati , et sur 24 puits creusés , 23 ont fourni de l’eau potable
L’oil and natural gas corporation , lors des forages de recherches de pétrole dans le désert du Thar , a trouvé des puits d’eau trouvée très peu saline
La compagnie a creusé un puits à 554 mètres de profondeur sur le site Saraswati-1 , situé à environ sept kilomètres de Jaisalmer
Il en est extrait 76.000 litres d’eau à l’heure …
À Myzlar , au sud de Jaisalmer , dans les années 1970 , de l’eau douce potable a été trouvée dans un puits foré par la ONGC, à une profondeur de 1.500 mètres
A Jumman Samoo , village du Pakistan , à 406 mètres de profondeur , le forage a révélé une nappe souterraine d’eau potable d’une hauteur de 400 mètres
Dans toute la zone charbonnière du Cholistan , soit environ 9000 km² , il y a 3 hauteurs de filon de lignite , chacun séparé par une nappe phréatique
La première nappe est à environ 50 mètres de profondeur pour une hauteur de 52 à 94 mètres
La seconde nappe est à environ 120 mètres de profondeur pour une hauteur moyenne de 68 mètres
La troisième nappe est à environ 200 mètres de profondeur pour une hauteur moyenne de 47 mètres
Les recherches ayant été faites pour le charbon , il n’a pas été creusé plus loin , mais tout semble indiquer qu’il existe encore une très grosse nappe sous l’ensemble charbonnier
Les radiations du Thar
Un article du World Island Review de janvier 1992 parle d’une épaisse couche de cendres radioactives qui recouvre , à 16 km à l’est de Jodhpur , une zone de 5 km²
Les archéologues ont découvert dans cette zone les restes d’une ville de la civilisation de la vallée du Thar comportant des traces d’explosion nucléaire survenue il y a plusieurs millénaires
On aurait remarqué dans cette zone une augmentation du nombre d’enfants nés avec des malformations et des cas de cancer
Les niveaux des radiations y serait tellement élevés que les autorités indiennes ont décidé d’interdire la zone
La raison officielle est qu’il s’agit de tenir à l’écart les populations d’une zone militaire
Le désert du Thar a aussi été utilisé par l’armée indienne pour leurs essais nucléaires …
Les essais souterrains ont eu lieu à Pokharan , en 1974 et 1998
En 1998 , le Bhabha atomic research center a mené une série de tests pour juger de l’impact de l’explosion sur la qualité de l’eau dans la région
Les tests et analyses ont confirmé que l’eau était potable et non contaminée
Le rapport public ne comportait pas de données chiffrées …
Au Pakistan , tous les relevés officiels de radioactivité du Thar , indiquent des radiations naturelles de 0.5 mSv
Soit un peu moins que le tiers de la radioactivité normale qui est de 1.64 mSv …
C’est pour eux la preuve que la zone est sans danger
Il n’y a pas eu de contre expertise d’un laboratoire étranger neutre
Mais , vous l’avez bien compris , il y a des raisons économiques majeures à cela …
La fin des indo-européens
Aussi soudainement que la civilisation indo-européenne était apparue , elle déclina et disparut …
Vers 1900 av. J.-C. , les habitants des cités états commencent à quitter les villes
Autour de 1800 av. J.-C. , la plupart des cités de la vallée du Thar ont été abandonnées
Même les grandes villes de Turkménie comme Altyn-depe et Namazga-depe sont abandonnées
Les grandes métropoles de la vallée du Thar disparaissent
Certains scientifiques on voulu expliquer cet effondrement par un changement climatique majeur
Ce fut bien le cas puisque la vallée du Thar était verdoyante et fertile, et qu’elle est devenue un désert aux environs de 1800 av. J.-C.
Mais cela ne suffit pas pour expliquer l’effondrement de la civilisation indo-européenne
Les indo-européens n’ont pas disparu
Obligés d’abandonner des terres stérilisées par les guerres nucléaires , ils se sont dispersé au nord ouest et à l’ouest , le nord et le sud étant déjà occupés par d’autres peuples atlantes
Et après leur lourde défaite , ils n’ont plus de moyens militaires suffisants pour entamer une nouvelle guerre
Remèdes efficaces contre les radiations nucléaire..
Une explosion nucléaire ne constitue pas la plus grande menace
Contrairement à la croyance populaire, la plus grande menace d'exposition aux radiations n'est pas le souffle de radiations ionisantes provoqué par une explosion nucléaire. Les radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes,provoquent les plus grands dommages au niveau des structures cellulaires. Ces radiations de faible intensité proviennent de l'exposition répétitive aux radiations qui émanent de l'absorption de particules aériennes radioactives se déposant sur les aliments, ou de radiations en provenance de l'eau ou des sols incorporées à la structure cellulaire de l'aliment. Au final, ces radiations de faible intensité, émises pendant de longues périodes, produisent de grandes quantités de radicaux libres. Cette production de radicaux libres provoquent des maladies dues aux radiations mortelles et contribue à l'augmentation du taux de cancers Quand tout le monde s'apprête à consommer des pastilles d'iode, voici un protocole suivi par un médecin qui se trouvait en zone rouge lors de l'explosion nucléaire d'Hiroshima. Refusant de quitter son hôpital et ses malades, il a réalisé un protocole simple contre les radiations. Alors que tous les êtres humains alentour ont été irradiés, totalement brûlés ou morts de leucémie, les malades ont tous survécu. Le nuage de radio-activité est attendu en France par les scientifiques vers le 21 Mars. Sa concentration sera moins élevée qu'au Japon mais...
L' iode radio-actif représente un risque pour toutes les personnes atteintes d'hyperthyroïdie. Alors ne prenons, autant que possible, aucun risque.
Ce protocole est à suivre dès maintenant en préparation puis sur une période de 15 jours.
La seule mise en garde à prendre en compte est la prise de charbon actif qui annule tous les traitements chimiques pendant 4 heures après la prise. Tous les ingrédients ci-dessous proposés ont soit la capacité de contenir les cellules irradiées pour les éliminer avec les selles, soit la capacité d'annuler l'effet négatif des radiations. Essayez de manger des céréales complètes et des fibres, évitez les légumes frits, les viandes rouges, les laitages de vache, les farines blanches et les sucres raffinés.
Ce protocole est valable pour tous: adultes, enfants et animaux. Il suffit de diminuer les doses en fonction du poids de chacun. Pour les animaux, mélanger le miso à la nourriture, mettre un peu d'eau argileuse dans leur eau et de chlorure de magnesium sur le pelage. Ingrédients:
- Miso en poudre - soja fermenté (magasin bio ou sur Internet), 10 sachets.
- Charbon suractivé en granulés 200 grammes (10 jours).
- Chlorella bio 500 mg algues
- Vitamines C 1000 mg 2g/jours
- Calcium
- lecithine de soja 1200 mg qui protège les nerfs, le cerveau et les gonades des radiations.
- Chlorure de Magnésium en sachet ou Nigari (pharmacie, magasin bio ou sur Internet).
- Une bouteille en verre pour le chlorure de magnésium (surtout pas de plastique).
- De l'eau filtrée, ou en bouteille, Mont Roucous, Rosée de la Reine, ou osmosée et régénérée avec un appareil du genre Aqua Avanti, etc...
lécithine qui protège les nerfs, le cerveau et les gonades des radiations. Aliments contenant de la chlorophylle réduisent de 50% les effets secondaires des radiations Betteraves protègent à 97-100% du césium-137 Ail, ginseng et oignon protègent à 97-100% des mutagénèses, riche en sélénium, effet antioxydant Algue bleu-vert protège du krypton-85, césium-137 augmente l'immutabilité cellulaire riche en chlorophylle Cystéine évacue les radicaux libres, protège contre les rayons X, le cobalt- 60 et le soufre-35 Vitamine C et rutine réduit les effets secondaires des radiations de 50%, stimule les vaisseaux sanguins Vitamine A/D évacue le strontium-90 des os Vitamine E protège le foetus du césium-137, stimule le système immunitaire, anticancéreux, protège des radicaux libres
Laver et peler les produits à l'eau oxygénée élimine 100% des retombées radioactives Préparation :
- 1 cuillère à soupe dans un verre d'eau. Mélanger avec une cuillère en bois puis éloignez le verre des sources électriques, téléphones portables, fours à micro ondes, etc...
- Préparation du chlorure de magnesium: Versez un sachet de chlorure de magnésium dans une bouteille en verre. Puis versez-le dans un verre comme du sirop et ajouter de l'eau. Très amer, l'on peut ajouter du sirop mais pas de jus de fruits acides. Il se conserve au réfrigérateur (ce qui enlève un peu d'amertume) et se conserve plus de 3 mois.
- Préparation du Miso: Dans un mug ou un bol verser une cuillerée à café, puis verser de l'eau chaude sans la faire bouillir.
- Préparation du charbon: Dans un verre verser deux cuillères à soupe de charbon, bien mélanger puis boire le mélange et rallonger jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de charbon dans le verre...
Posologie pour un adulte de 65 kg:
Charbon activé: 2 à 3 cuillerées à soupe mélangées dans un verre. Boire beaucoup d'eau si vous avez tendance à la constipation. Le chlorure de magnésium étant un laxatif, tout doit s'équillibrer.
Chlorure de magnésium: 30 ml, toutes les 3 heures.
Miso: 4 mugs par jour.
Gingko Biloba: En comprimés, en cas de sévères séquelles d'irradiations, troubles de la parole, vertiges, etc...
Exemple de protocole:
Au lever: 1 verre d'argile. Les 2 à 3 premiers jours ne pas mélanger le fond et boire l'eau à la surface.
10H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.
11H00 : Boire 1 bol de soupe miso.
13H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.
16H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.
17H00 : Boire un bol de soupe miso.
19H00 : Boire 30 ml de chlorure de magnésium.
20H00 : Boire un bol de soupe miso.
21H00 : Boire un verre de charbon suractivé.
Bain détoxicant 500 g de sel marin, 500 g de bicarbonate de soude
Après c'est à chacun de trouver son protocole en fonction de son ressenti et de son agenda quotidien.
Alors restez à l'écoute! N'hésitez pas à augmenter un peu les doses.
Merci à tous de diffuser ce message à vos proches ainsi qu'à vos contacts au Japon..
Ces essais furent rapidement planifiés suite au rejet par l'Union soviétique du moratoire sur les essais nucléaires en 1958 et en 1961.
L'opération Dominic survient à un moment de fortes tensions pendant la Guerre froide entre les États-Unis et l'Union soviétique, puisque le débarquement de la baie des Cochons est survenu le 17 avril 1961. Nikita Khrouchtchev annonce la fin du moratoire de trois ans sur les essais nucléaires le 30 août 1961, et l'Union soviétique reprend ses essais le 1er septembre, dont celui de la Tsar Bomba.
John F. Kennedy réplique en autorisant l'opération Dominic. Il s'agit de la plus vaste série d'essais nucléaires réalisés par les États-Unis et la dernière série d'essais atmosphériques des É.-U., puisque le Traité d'interdiction partielle des essais nucléaires est signé à Moscou l'année d'après.
Trente-six essais sont complétés dans l'océan Pacifique près de l'île Christmas et l'atoll Johnston lors de l'opération Dominic I. Même si ces essais ne sont pas menés dans les îles Marshall, ils sont officiellement réalisés sur le Pacific Proving Grounds. Les essais en haute atmosphère font partie de l'opération Fishbowl.
Les essais sur la terre ferme se font au site d'essais du Nevada (opération Dominic II). Deux des essais servent à valider des armes nucléaires en service : une roquette anti-sousmarine ASROC et un missile Polaris.
Starfish Prime…
Starfish Prime est le nom donné à une explosion nucléaire survenue à haute altitude le 9 juillet 1962. Cet essai nucléaire a été préparé par la Commission de l'énergie atomique des États-Unis et de la Defense Atomic Support Agency (qui deviendra la Defense Nuclear Agency en 1971).
Emportée par un missile PGM-17 Thor dans un véhicule de rentrée Mk 4, l'ogive thermonucléaire W49 (conçue et fabriquée par le Laboratoire national de Los Alamos) a explosé à 400 kilomètres au-dessus d'un point situé à 31 kilomètres au sud-ouest de l'atoll Johnston dans l'océan Pacifique.
La puissance explosive était de 1,4 mégatonne. C'était l'un des cinq tests menés par les États-Unis en dehors de l'atmosphère (exoatmosphère telle que définie par la Fédération aéronautique internationale) dans le cadre de l'opération Fishbowl destiné à valider la conception d'un missile antisatellite.La première tentative de lancement de Starfish prime le 20 Juin 1962 a été abandonnée en vol en raison de l'échec du missile Thor véhicule de lancement. Le missile Thor a volé sur une trajectoire normale pendant 59 secondes, puis le moteur de la fusée s’est mis à l'arrêt, et le missile a commencé à se briser. La gamme de sécurité officier a ordonné la destruction du missile et de l'ogive.
Le missile était entre 9,1 et 10,7 km en altitude quand il a été détruit. Les pièces du missile et une contamination radioactive sont tombées sur l'île Johnston et l'île voisine, sur le sable et sur l'océan environnant.Le 2e essai du missile Thor portant les Starfish Prime ogives a ensuite effectivement atteint une hauteur maximale d'environ 1 100 km, et l'ogive a explosé sur sa trajectoire descendante à l'altitude programmée de 400 km. L'ogive nucléaire a explosé à 13 minutes et 41 secondes après le décollage du missile Thor de l'île Johnston.Starfish Prime a provoqué une impulsion électromagnétique qui était beaucoup plus importante que prévu, de sorte que beaucoup plus puissant il a conduit une grande partie de l'instrumentation inopérante, causant de grandes difficultés à obtenir des mesures précises.
L'impulsion électromagnétique Starfish Prime a également fait ces effets connus du public en causant des dommages électriques à Hawaii, à environ 1 445 km du point d’impact, loin du point de détonation, détruisant environ 300 lampadaires, déclenchant de nombreuses alarmes antivol et endommagé une compagnie de téléphone.Un total de 27 petites fusées ont été lancées à partir de l'île Johnston pour obtenir des données expérimentales sur la détonation du Starfish Prime. En outre, un grand nombre d'instruments de roquettes origine ont été lancés à partir d'une zone de tir à Barking Sands , Kauai dans les îles hawaïennes.
Un très grand nombre de navires et les aéronefs militaires des États-Unis ont opéré à l'appui de Starfish prime dans la région de l'île Johnston et dans la région du Pacifique Nord à proximité.Quelques navires et aéronefs militaires ont également été positionnés dans la région de l'océan Pacifique Sud, près des îles Samoa . Cet endroit était à l'extrémité sud de la ligne du champ magnétique de la Terre, par rapport à la position de l'explosion nucléaire, une zone connue comme la région sud conjugué pour le test.
En outre, un navire expéditionnaire scientifique sans y être invité de l’Union soviétique était stationné près de l'île Johnston pour le test et un autre navire expéditionnaire scientifique soviétique était situé dans la région sud conjugué près des îles Samoa. Les Russes ne comptaient pas passer à côté de ce test et profiter pour en apprendre le maximum…
Après la détonation du Starfish Prime, des aurores brillantes ont été observées dans la zone de détonation ainsi que dans la région du sud conjugué de l'autre côté de l'équateur.Selon l'un des premiers rapports techniques, "Les phénomènes visibles en raison de l'explosion étaient très répandus et très intense, une très grande région du Pacifique a été illuminée par les phénomènes auroral, très loin au sud de la zone conjugué sud magnétique ( Tongatapu ), et très loin de la zone d’explosion au nord de la zone conjugué au nord, ou se trouvait une frégate française.Au crépuscule après l'explosion, la diffusion de résonance de la lumière à partir de lithium et d'autres débris a été observée à Johnston et par la frégate française pendant plusieurs jours, confirmant le temps long de la présence de débris dans l'atmosphère.
Le radon, gaz radioactif qui émane des roches du sous-sol, atteint dans certaines maisons des taux alarmants. La France est touchée comme les autres pays, mais sa population n'est pas avertie. Voici les chiffres, et les moyens de remédier à une menace que le monde entier prend enfin au sérieux.
Invisible et inodore, c'est le radon, responsable pour moitié environ de la dose radioactive moyenne que la nature nous inflige, et qui représente quelque 150 à 200 millirems par an. Car il existe aussi une radioactivité naturelle, dont une partie est due aux rayons cosmiques, et l'autre, plus de 80 %, émane des roches qui contiennent des minerais radioactifs, comme l'uranium.
On savait que le radon pouvait déclencher des cancers du poumon. Les études épidémiologiques sur les travailleurs des mines d'uranium l'ont prouvé. Mais il serait, en fait deux à trois fois plus dangereux qu'on le supposait, Ainsi aux Etats-Unis, Il serait responsable de la mort de 10 000 à 20 000 personnes par an; 1000 à 1500 en Grande Bretagne; 900 en Belgique. La France, toujours prudente, n'avance aucun chiffre, mais nous verrons plus loin que les Français ont tout lieu d'être inquiets, car leur sous-sol, riche en uranium, est aussi bien fourni en radon. Dans certaines régions granitiques, comme la Bretagne ou le limousin, on atteint même des chiffres record!
On avait aussi cru que le radon se dégageait principalement des murs et des Matériaux de construction. En effet, ce sont des taux élevés de radon, mesurés il y a une quinzaine d'années, dans des maisons construites avec des déblais de mines d'uranium, qui avaient initialement alarmé les Américains. Mais depuis, on a fait un peu partout des mesures et on s'est aperçu que les matériau jouaient un rôle mineur. Le vrai danger émane du sol.
D'où vient donc le radon ? Lorsque la Terre s'est formée, il y a quatre à cinq milliards d'années, la matière fortement "chahutée" sous forme de protons, de neutrons et d'électrons, s'est assemblée pour former des combinaisons appelées nucléides, dont certaines étaient stables et d'autres instables. Ces derniers, ne répondant pas à certaines grandes lois naturelles, étaient condamnés à disparaître et se sont désintégrés jusqu'à ce qu'ils aient trouvé une forme stable. Certains d'entre eux, plus lents que les autres, n'ont toutefois pas encore achevé leur transformation. Ces corps qui continuent à se désintégrer sont responsables de la radioactivité naturelle du sous-sol. Il existe ainsi dans l'écorce de notre planète quatre retardataires dont certains hanteront encore la Terre dans des milliards d'années: l'uranium 238, l'uranium 235, le thorium 232 et le potassium 40. En réalité, Ils représentent des grandes familles, hormis le potassium 40 qui a perdu ses parents depuis longtemps. Car, ces éléments en se désintégrant, donnent naissance à d'autres éléments, radioactifs eux ami, que l'on nomme leurs descendants. Cette filiation se poursuit jusqu'au dernier maillon de la chaîne de désintégration qui aboutit à un élément stable.
Le radon est l'un des descendants de ces familles. Il donne naissance lui aussi à des fils et des petits fils aussi ravageurs que lui.
Il en existe trois formes, issues chacune d'une des trois grandes familles radioactives. Ce sont des isotopes, puisque seul leur nombre de neutrons varie. Le radon 219, descendant de l'uranium 235 et appelé également "actinon", est, tout comme son père, très peu répandu dans la nature. Il est également très éphémère puisqu'il suffît de moins de quatre secondes pour que sa radioactivité diminue de moitié, de quatre autres secondes pour qu'il n'en reste plus que le quart, et ainsi de suite.
Le radon 220, appelé également "thoron", est, lui, issu du thorium 232. Sa période de demi-vie radioactive est un peu plus longue que celle du radon 219, puisqu'elle frôle la minute. Ce n'est toutefois pas suffisant pour lui permettre de remonter des profondeurs de la terre jusqu'aux pièces de nos maisons, hormis dans certaines zones où des filons de thorium affleurent à la surface. En revanche, ce délai lui suffit quand il est présent dans les matériaux de construction. Il n'est donc pas totalement négligeable: il est responsable d'environ 10 % de la dose infligée aux poumons, alors que son activité représente environ le tiers de l'activité totale.
Mais, le plus vigoureux des trois frères, c'est le radon 222, celui qu'on évoque en général lorsqu'on parle du radon. Son ancêtre est l'uranium 238 et son père direct le radium 226. Or, l'uranium 238 est relativement abondant dans l'écorce terrestre, qui contient en moyenne 3 g par tonne d'uranium naturel formé à 99,27% d'uranium 238 et à 0,73 % d'uranium 235. C'est beaucoup si l'on songe que les minerais d'or dAfrique du Sud ne recèlent pas plus de 6 g d'or par tonne! On pourrait presque exploiter la croûte terrestre, mais l'uranium n'a pas encore la valeur de l'or et on se contente d'exploiter les gisements qui contiennent plusieurs centaines de grames par tonne. Cette abondance d'uranium 238 explique en partie celle du radon.
Par ailleurs, le radon 222 ne perd la moitié de sa radioactivité qu'au bout de quatre jours ou presque. C'est plus qu'à n'en faut pour que ce gaz inerte et non réactif se faufile à travers les failles, diffuse à travers certains terrains poreux ou se dissolve dans l'eau avant de gagner la surface du sol.
Il est transporté des profondeurs parfois su plusieurs centaines de mètres, par des masses d'air animées de mouvements de convection, commandés par les conditions météorologiques extérieures et les écarts de température entre le sol et les maisons. Dans certains cas, ces mouvements entraînent un véritable drainage des roches.
Un autre phénomène, encore à l'état d'hypothèse, favoriserait la libération du radon par les roches. Au moment où son père direct le radium, se désintègre pour lui donner naissance en émettant une particule alpha (2 protons et 2 neutrons), le nouveau noyau de radon recule comme la bouche d'un canon qui vient de lancer un obus. Ce mouvement de recul serait, semble-t-il, suffisant pour permettre à un certain nombre d'atomes de radon de s'échapper de ces véritables labyrinthes de pores et de grains que représente un réseau cristallin comme celui du granite par exemple.
Les quantités de radon dégagées diffèrent sensiblement suivant la géologie du heu. L'activité des roches est primordiale, mais d'autres facteurs comme la perméabilité ou la porosité du sol ou encore son degré de fissuration entrent en jeu. Ce qui explique que l'on puisse trouver des régions où le taux d'irradiation naturelle, provenant du rayonnement gamma (photon) dégagé par les roches radioactives, soit parfois très élevé sans que le taux de radon soit proportionnellement aussi élevé et vice versa. Il existe également des fluctuations saisonnières. Ainsi, les taux de radon sont plus élevés en été quen hiver. Au cours d'une même journée, ces taux varient et sont maximaux la nuit.
Quelques données chiffrées, en becquerels (Bq), une unité que les français ont appris à connaître après Tchernobyl. Un becquerel équivaut à une désintégration par seconde, et un becquerel de radon 222 représente 476 000 atomes.
Au niveau du sol, on trouve en moyenne dans l'atmosphère 6 Bq/m3 de radon. Ces concentrations décroissent en altitude, au fur et à mesure que le radon se dilue et que sa vie s'achève. En cas d'inversion de température, ce qui a pour effet de piéger le radon dans une masse d'air stagnante, les concentrations peuvent atteindre, la nuit, dans certaines régions de France 200 à 500 Bq/m3 ! Mais si l'on creusait un simple trou dans un jardin, on s'apercevrait que la terre contient quelque 10 000 Bq/m3! Et nos ancêtres qui vivaient dans des cavernes ont dû respirer des milliers de becquerels/m3. Nous nous contentons aujourd'hui d'en respirer une cinquantaine dans le métro parisien.
Mais ce radon hante aussi nos maisons. Une partie y arrive par simple apport d'air extérieur, mais la majeure partie traverse les dalles de béton, les fissures, les joints, passe par les canalisations et aboutit dans les pièces où nous vivons, et où il est piégé et s'accumule.
Nous le respirons donc, mais comme c'est un gaz inerte, il ne se fixe pas dans les poumons et comme il n'y séjourne pas plus de quelques secondes, il y a peu de chances pour qu'il s'y désintègre et qu'il crée ainsi des dégâts. Il n'en est pas de même en revanche des produits de filiation qu'il engendre. Ce ne sont pas des gaz, mais des métaux, bismuth, plomb et surtout polonium, qui se retrouvent en suspension dans l'air et peuvent aussi être inhalés.
Une partie (30 à 50 %) de ces produits de désintégration, radioactifs eux aussi, restent à l'état libre dans l'air. Très mobiles, ils ont tendance à se déposer rapidement sur les murs ou ailleurs. L'autre partie s'attache aux aérosols ambiants et aura davantage de chance de se fixer sur les parois des poumons comme de vulgaires particules. Là, en se désintégrant, ils relâcheront de petites bouffées d'énergie qui peuvent endommager gravement les tissus pulmonaires, allant jusqu'à déclencher parfois un cancer. Plus le taux de radon est important et plus grand est le risque. Avis aux fumeurs: aux 1000 à 5 000 particules/cm3 habituellement présentes dans l'air d'une pièce, ils ajouteront 100 000 à 1 million de matières particulaires contenues dans la fumée de leurs cigarettes, autant de pièges pour les descendants du radon susceptibles ensuite d'être inhalés. Selon des études américaines récentes, les risques du radon sont encore plus élevés pour les fumeurs, car au lieu de simplement s'ajouter, les deux risques sont multipliés. L'Agence pour la protection de l'environnement (EPA) aux Etats-Unis, évalue ainsi les risques de mort par cancer du poumon après une exposition au radon durant 70 ans: 1 à 5 % pour 150 becquerels par mètre cube ; 6 à 21 % pour 740 Bq/m3; 44 à 77 % pour 7 400 Bq/m3.
Ce qui se traduit par des doses respectives de 2, 10 et 100 rems par an. La norme, rappelons-le, à ne pas dépasser pour l'industrie nucléaire est de 0,5 rem par an pour les populations et 5 rems par an pour les travailleurs en milieu ionisant Les mineurs d'uranium en France reçoivent des doses de 0,5 à 2,5 rems/an.
Or, partout dans le monde, on découvre des maisons où le taux de radon est inquiétant Aux Etats-Unis, où la moyenne nationale se situe autour de 60 Bq/m3 il y aurait un million de maisons qui poseraient problème, certaines dépassant 4 000 Bq/m3 (53 rems/an). L'une d'entre elles, située en Pennsylvanie dans une zone particulièrement critique - elle est traversée par une veine d'uranium -, atteint le taux record jamais encore égalé dans le monde, de 100 000 Bq/m3 ! Y respirer durant une journée équivaut à fumer... 135 paquets de cigarettes, selon les estimations des chercheurs américains. Pas facile à vendre, cette maison! Des centaines de sociétés proposent d'ailleurs, pour 500 à 2 500 dollars, un "diagnostic radon".
En Suède, où 40 000 maisons ont été étudiées, 4 600 dépassaient 400 Bq/m3 (5 rems), ce qui leur a valu d'être déclarées insalubres. Pour plusieurs centaines, le taux était supérieur à 2 000 Bq/m3 (25 rems/an).
En Grande-Bretagne, où 3 000 maisons ont fait l'objet de mesures et où 3 000 autres seront passées au crible au cours des deux prochaines années, la moyenne se situe autour de 22 Bq/m3. Mais dans le Devon et surtout en Cornouailles, il n'est pas rare de rencontrer des taux de radon supérieurs à 100 Bq/m3, voire atteignant 1000 Bq/m3.
Et en France ? Le Service central de protection contre les radiations ionisantes (SCPRI) chargé de tous les problèmes de santé qui touchent le domaine nucléaire, ne semble pas s'être intéressé de très près à la question. A moins qu'il ne garde, comme il l'a fait au moment de Tchernobyl, les données au fond d'un tiroir.
Le Commissariat à l'énergie atomique, en revanche, qui ne l'a pas non plus crié sur les toits, connaît le problème depuis une dizaine d'années. Certaines de ses équipes, chargées d'étudier l'exposition professionnelle des quelque 1500 mineurs d'uranium et qui mesuraient également les environs des mines, avaient relevé dans certaines maisons des valeurs égales ou supérieures à celles rencontrées dans les galeries où l'on ne passe que 8 heures par jour. En 1976, on trouva dans une salle d'eau du Iimousin plus de 50 000 Bq/m3 ! Ce qui se traduirait par 100 fois la dose maximale annuelle tolérée, pour les mineurs!... Idem pour les prospecteurs qui, pour repérer les filons, mesuraient le taux de radon sur de vastes régions. En 1981, une centaine de mesures effectuées dans le Limousin indiquaient une moyenne de 81,4 Bq/m3, tandis qu'on relevait jusqu'à 555 Bq/m3 à Saint-Junien, 592 à Uzerches, 740 à La Souterraine, 851 à Guéret...
Où en est-on dix ans plus tard ? " Il y a peut-être 15 000 ou 150 000 personnes du public qui se situent sans le savoir dans la même gamme que les mineurs, soit 0,5 à 2,5 rems ", a écrit récemment M. Zettwoog du Commissariat à l'énergie atomique " et 1 500 ou 15 000 qui reçoivent sans le savoir des doses supérieures à 5 rems par an ". Peut-être aurait-il fallu le leur faire savoir!
Suscité par les Communautés économiques européennes, un programme national a été lancé. Aujourd'hui, 1 552 habitations situées dans 32 des 95 départements ont fait l'objet de 1 800 mesures de la part du CEA (voir carte ci-dessous). Il nous a été impossible d'obtenir la moyenne de ces valeurs, le CEA ayant refusé de nous la communiquer. En revanche, la valeur médiane, entre la plus petite et la plus grande, est de 44 Bq/m3. La moyenne serait plus élevée. Il y a quelques années, alors que 800 maisons seulement avaient été examinées, cette moyenne était de 76 Bq/m3
Les heureux élus, dont la maison a bénéficié en France d'un diagnostic radon, ont généralement été choisis par la Direction de la protection civile. Pompiers, gendarmes, membres du corps enseignant ou médical, ont été les premiers cobayes. Pas tous consentants si l'on en croit le taux de perte des appareils de détection. Dans certains départements peu coopératifs, il y en aurait eu jusqu'à 30 à 50% qui ne sont jamais revenus...
Pour doser le radon, il existe plusieurs méthodes. En France on se sert du dosimètre dit "passif", simple rectangle de film Kodak LR-115 15 de 9 cm sur 2,5 cm, qui enregistre les particules alpha. Au bout d'un ou deux mois d'exposition, dans un coin de salle à manger ou sur le haut d'une armoire, il suffit de faire subir au film un traitement chimique qui transformera les traces des particules en minuscules trous. On compte ensuite ces trous au microscope électronique et on en déduit l'activité volumique en radon. Pour vérifier certaines mesures, on se sert parfois d'un dosimètre "actif", plus complexe et plus coûteux, où l'air est prélevé en continu.
Premières observations: certains départements semblent plus défavorisés que d'autres et leurs habitants subissent parfois des taux supérieurs aux normes. C'est le cas notamment de la Loire, de la Haute-Saône, du Doubs, du Finistère et de la HauteVienne, ce dernier département détenant le record avec 4 687 Bq/m3(voir carte ci-dessous),les valeurs minimales de l'ordre de 2 Bq/m3 étant trouvées dans la région parisienne.
Pourtant voisins, ces deux départements, étudiés de plus près que les autres par le Commissariatà l'énergie atomique, sont inégaux devant l'irradiation naturelle. I1 s'agit ici de radioactivité gamma, rayonnée par les roches du sous-sol, sans qu'il y ait transport de matière radioactive (contrairement à la radioactivité bêta, due à l'émanation de radon). Ces disparités s'expliquent : en Haute-Vienne, le sol est gorgé de granite, naturellement radioactif, alors qu'en Dordogne ce sont les roches sédimentaires qui dominent. C'est aux alentours des mines d'uranium que les taux sont les plus élevés. Nous avons également indiqué sur cette carte les quelques mesures concernant le radon (en becquerels par mètre cube) dont nous disposions.
Nul doute que si la Bretagne était passée au peigne fin, on y trouverait des valeurs extrêmes. Une étude indépendante réalisée en 1984 par Erwan Naour, pour le Comité scientifique et technique des industries du chauffage, de la ventilation et du conditionnement d'air, portait sur 180 maisons de Ploumanac'h (Côtes-du-Nord), près de Perros-Guirec. La moyenne y est de 138,6 Bq/m3; 20 % des habitations accusent 500 Bq/m3 et 10 % dépassent 1000 Bq/m3; certaines atteignent le chiffre faramineux de... 8 000 Bq/m3. Le granit rose de La Clarté, extrait des carrières proches, n'y est pas étranger.
On peut d'ailleurs s'étonner que le Commissariat à l'énergie atomique n'ait pas commencé par la Bretagne. Qu'à cela ne tienne. Bientôt nous aurons les chiffres, car une étude régionale a été lancée. Elle est menée par le laboratoire de physique des aérosols et de radioactivité atmosphérique de la Faculté des sciences de Brest (en collaboration avec le CEA). Dans le Finistère, 219 maisons ont été étudiées aboutissant à 300 mesures (voir carte). Une étude similaire sur le Morbihan devrait être publiée bientôt. Ensuite, ce sera le tour des Côtes-du-Nord.
Y a-t-il un réel danger à vivre dans ces maisons à radon ? Selon une étude épidémiologique faite dans certains départements français, que le CEA nous a également refusée, on n'aurait pas observé de taux de cancer du poumon supérieurs dans les départements où les taux de radons sont les plus forts. Ce qui, pour le moment, ne signifie rien. Comment repérer les cancers dus au radon parmi ceux qui sont dus au tabac ?
Ce qui est certain, c'est que depuis septembre dernier, le Centre international de recherche sur le cancer a classé le radon parmi les agents cancérigènes. Par ailleurs, deux études américaines parmi d'autres, ont montré des taux élevés de morts par cancer du poumon chez des mineurs d'uranium. La première, sur 1 415 mineurs suédois, a révélé 50 décès par cancer du poumon là où les statistiques n'en prévoyaient que 12,8. La seconde a révélé que sur 32 Indiens navajos, qui ont pour règle de vie de ne pas fumer, 23 étaient morts par cancer du poumon: c'étaient d'anciens mineurs d'uranium.
Alors que faire ? La plupart des pays ont proposé d'établir des seuils maximaux, au-delà desquels il faudrait agir, car nous verrons qu'il est possible de réduire les doses. Ces seuils se situeraient au-dessus de 200 à 400 Bq/m3. L'Organisation mondiale de la santé et les pays nordiques, plus sévères, fixent cette limite à 100 Bq/m3. En revanche, tous les pays sont plus stricts en ce qui concerne les terrains à bâtir: la construction devrait être interdite si le niveau dépasse 70 à 100 Bq/m3.
Aux Etats-Unis, L'Agence pour la protection de l'environnement conseille d'entreprendre des travaux dans les années qui viennent si le taux de radon dépasse 150 Bq/m3, dans les mois qui suivent au-dessus de 740 Bq/m3 et dans les semaines à venir au-dessus de 7 400 Bq/m3.
En France, aucune recommandation. C'est dommage, car on peut prendre des mesures, parfois simples, parfois plus onéreuses, mais toujours indispensables. La première consiste à aérer, voire ventiler, les pièces "à risque". Une simple dilution suffit parfois à diviser par 2 ou 5 les concentrations de radon. Mais attention, la création d'une dépression à l'intérieur de la maison peut augmenter l'infiltration de l'air contaminé du sous-sol. A revoir: les programmes; visant à économiser l'énergie par calfeutrage des ouvertures, qui ont quadruplé le risque d'accumulation du radon.
Le deuxième type de mesures consiste à empêcher le radon de pénétrer dans la maison. Pour cela, il faut boucher hermétiquement toutes les fissures, les ouvertures ou les murs en contact avec le sol, voire recouvrir le revêtement existant avec une dalle étanche. Il faut parfois songer à installer des siphons sur les drains ou les puisards d'un sous-sol ou encore ventiler le vide sanitaire qui existe sous la plupart des maisons. Enfin, des installations plus étudiées s'imposent dans les cas très critiques; elles consistent à entourer la maison de conduites perforées par lesquelles l'air vicié est évacué à l'aide d'un ventilateur. En Suède, où elles ont été installées, ces méthodes ont permis de diviser le taux de radon par 8 environ. Aux Etats-Unis, des systèmes de dépressurisation installés dans le sous-sol, ont réduit la concentration de radon de 95 %.
Tout cela n'est possible que si l'on est informé. Pour le moment, on ne l'est pas!
Jacqueline Denis-Lempereur, Science & Vie n°846, mars 1988
Les débris des tests d'armes nucléaires réalisés il y plusieurs décennies sont toujours présents dans la haute atmosphère terrestre, affirment des chercheurs suisses.
Jusqu'à ce jour, la communauté scientifique estimait que les concentrations de particules radioactives libérées dans l'atmosphère lors de ces tests devenaient rapidement négligeables.
Pourtant, les données recueillies par le Dr Jose Corcho Alvarado et ses collègues de l'Université de Lausanne montrent que des isotopes du plutonium et du césium sont toujours présents au-dessus de la Suisse, et ce, à des concentrations étonnamment élevées des dizaines d'années après les essais.
« La plupart des particules radioactives sont éliminées dans les premières années après l'explosion, mais une fraction reste dans la stratosphère pendant quelques décennies, voire des centaines ou des milliers d'années. » — Dr Jose Corcho Alvarado
Les niveaux ne sont cependant pas suffisamment élevés pour constituer un risque pour la santé humaine, ajoute le Dr Alvarado.
Si les mesures ont été réalisées au-dessus de la Suisse, les chercheurs affirment que des niveaux similaires sont trouvés à la même latitude partout sur la planète.
Autre constat : la concentration des particules radioactives peut se déplacer dans l'atmosphère à la faveur d'événements naturels comme les éruptions volcaniques.
Par exemple, lors de l'éruption du volcan islandais Eyjafjallajökull en 2010, les concentrations de plutonium par la basse atmosphère avaient augmenté.
Le détail de ces travaux est publié dans la revue Nature Communications.
Le saviez-vous?
Au plus fort de la guerre froide, lorsque la course aux armements était en plein essor, les armes nucléaires ont été développées et testées par l'Union soviétique, les États-Unis, la Chine, la France et le Royaume-Uni. Pas moins de 520 explosions nucléaires expérimentales ont été effectuées dans l'atmosphère entre 1945 et 1980 par ces États.
Le saviez-vous? C'est plus de 2000 tests nucléaires qui ont été effectués par au moins 7 pays. Dans l'air l'eau et la terre.
Cette radio-activité persistante pour des millénaires se répandra (s'est répandue déjà) sur nos zones habitables. Celle qui est dans l'atmosphère peut être rabattue sur terre par nombre d'évènements.
Il ne serait pas faux d'attribuer une partie de l'augmentation des cancers à cette folie apocalyptique.
Saviez-vous que personne au monde ne sait quoi vraiment faire pour se débarrasser des déchets nucléaires des centrales? Et on continue d'en produire de nouveaux à chaque jour... comme si de rien n'était...
Saviez-vous que plus de la moitié des coûts de réfection de Gentilly II était pour ré-emballer de ciment ces déchets? Parce qu'à la longue la radio-activité passe au travers, encore et encore...
«Ce n'est pas quelque chose que nous considérons être un danger immédiat pour la santé publique. Il est même aucune indication que ceci pourrait provenir de Fukushima », a-t-il dit.
« Cela ne veut pas dire que tout va bien. Vous ne voudriez pas laisser votre bébé jouer dans un tel environnement. Tout ce que nous disons, c’est que cette radioactivité ne vient pas de Fukushima », a déclaré Dan Sythe, le CEO de International Medcom, qui s’est rendu neuf fois au Japon pour mesurer les radiations depuis l’accident de la centrale de Fukushima. Ses analyses montrent que la radioactivité de la plage Pacifica ne provient pas du matériau fissile utilisé au Japon, le cesium-137, mais plutôt du radium et du thorium.
Sur le site TheTruthwins.com, Michael Snyder a réuni 36 signes que les médias «mentent sur la façon dont la radioactivité de Fukushima affecte la côte ouest des États-Unis ». La liste complète est ici, mais on note certains éléments remarquables :
S’il apparait que la Côte Ouest des États-Unis est contaminée, cela pourrait entraîner une catastrophe économique, et une possible migration. La Californie, l'État de Washington et la Colombie-Britannique au Canada sont des ‘economic powerhouses' où sont situées les métropoles de San Diego, Los Angeles, San Francisco, Seattle et Vancouver. Les dommages potentiels pour l'économie en général et pour les secteur de l’agro-alimentaire, du tourisme et de l'immobilier en particulier, seraient incalculables. La valeur totale de l’immobilier de la seule Californie a été estimée en 2010 à 4.400 milliards de dollars.
Mais jusqu'ici, il n’en est pas encore question. Comme pour le cas du réchauffement climatique, pour chaque rapport scientifique sur les conséquences catastrophiques de la catastrophe de Fukushima, on trouve également un rapport qui affirme exactement le contraire…
Le quadrillage serré et les tapis de bombes à l'UA par l'armée US sur le côté est de l'Afghanistan commencé en 2001 sont la garantie d'une massive contamination des zones où les neiges éternelles des régions montagneuses fournissent l'eau pour le Pakistan et certaines parties de l'Inde. En contaminant des ressources d'eau vitales dans de vastes régions avec des agents contaminants radioactifs, une guerre secrète de basse intensité et invisible est menée contre l'Asie. Des guerres radioactives avec radiation de basse intensité mutilera l'ADN de toutes les vies exposées. Ce n'est pas seulement une guerre contre les peuples, c'est une guerre contre l'environnement. Peu de ce qui est vivant n'échappera à l'empoisonnement lent radioactif qui mutile l'ADN et se transmet aux futures générations.
Des armes biologiques sont en cours de développement et testées pour le contrôle de la population. La stérilisation forcée comme moyen de contrôler la population a été clandestinement introduite dans les pays du Tiers Monde, où les femmes recevant des vaccins n'ont plus été capables de donner naissance à des nouveaux nés vivants après la vaccination. Cela a été rapporté dans un documentaire de la BBC sur des femmes aux Philippines et au Mexique qui ont été utilisées comme cobayes pour un nouveau vaccin de grossesse.
Le vaccin HCG fait que le corps de la femme rejette de nouvelles grossesses. Des femmes noires ont été stérilisées sans le vouloir dans des hôpitaux d'Afrique du Sud avec le vaccin HCG. On leur a dit après la naissance du bébé qu'elles ne « pouvaient pas quitter l'hôpital tant qu'elle n‘auraient pas eu cette « injection ». » Des nouveaux nés noirs, nés de parents ayant le SIDA, on été vacciné avant de quitter l'hôpital en Afrique du Sud, et on a rapidement trouvé que les bébés avaient le SIDA. Dans certaines tribus amérindiennes, jusqu'à 80 % des femmes sont stériles. Des cultures bios pharmaceutiques représentent un désastre à venir. Le DC Ignacio Chapela a rapporté que du mais spermicide était testé par des multinationales pharmaceutiques au Mexique.
« Certains au Mexique s'inquiètent que le mais bio pharmaceutique pourrait polluer leurs champs de mais. Silvia Ribeiro, qui dirige le bureau du Groupe ETC dans la ville de Mexico a noté que la multinationale basée en Californie Epicyte pousse à la reproduction d'un mais spermicide pour utilisation comme contraceptif. « Le potentiel d'utilisation du mais spermicide comme arme biologique est très élevé » a-t-elle averti et « rappelle l'utilisation forcée des stérilisations contre les populations indigènes » Nous ne pouvons plus faire confiance aux éléments qui autrefois soutenaient la vie. Les armes biologiques de l'élite dirigeante sont dans l'air, la nourriture, dans les vaccins, les procédures médicales, l'eau potable, dans les sols et même dans nos corps pour être transmis aux générations futures. L'ironie dans ce plan démoniaque c'est que nous n'avons jamais été informés. La décision a été prise pour nous - - d'avoir à affronter un génocide et l'extinction de la natalité.
Energie Nucléaire. C'est en Europe, Amérique du Nord, Japon que sont concentrés le plus grand nombre de réacteurs nucléaires - - où sont situés les gouvernements les plus démocratiques dans le monde. Naturellement, des gouvernements démocratiques seraient les premières cibles d'une élite dirigeante pour former un gouvernement multinational mondial.
Pour cette raison, l'énergie nucléaire y a été développée par des forces cachées puissantes, malgré l'opposition largement répandue, et cela depuis longtemps, des citoyens de ces pays « démocratiques ». Le fait que l'énergie nucléaire soit la technologie énergétique la plus coûteuse - - sans solution pour les déchets radioactifs - - a été ignoré. Les centrales nucléaires produisent les mêmes dérivés mortels de fission dans leurs émissions sur des périodes de mois et d'années, comparable a ce qui est produit par une bombe nucléaire au cours d'une nanoseconde. L'exposition chronique à des émissions de bas niveau de radiation émises par les usines de production d'électricité nucléaire peut être plus mortelle, de bien des façons, qu'une exposition sévère à l'explosion d'une bombe nucléaire.
Les productions immédiates de fission nucléaire de courte durée d'une demi vie consécutives à des tests dans l'atmosphère se dégradent dans l'atmosphère. Mais ces produits dangereux de fission nucléaire arrivent en zone habitée au bout de quelques heures après leur émission par les installations nucléaires. L'exposition chronique des populations ces dernières décennies a provoqué des souffrances non rapportées, des dommages en matière de santé publique, et le sacrifice de générations d'enfants - - le futur de nos pays. Radiation La radiation a un pouvoir muta génique très puissant, détruisant l'ADN et le futur génétique des individus et des populations exposées de façon chronique. Elle détruit aussi le fonctionnement du cerveau et est à l'origine de nombreuses maladies en lien avec les radiations.
Un haut taux d'infertilité, lié en particulier aux radiations augmente mondialement depuis 1945. Il y a 20 ans, à l'échelle mondiale, 80 % du sperme des hommes était normal et 20 % présentait des dommages au niveau de l'ADN. Aujourd'hui, c'est l'inverse, avec seulement 20 % du sperme normal et 80 % présentant un dommage de l'ADN. Le but du Nouvel Ordre Mondial c'est de réduire mondialement le taux de fertilité et augmenter celui de la mortalité.
Le DC Ernest Sternglass et le Projet pour la Radiation et la Santé Publique, (26) ont rassemblé indépendamment 6000 dents d'enfants en bas âge vivant autour de centrales nucléaires. Ils ont trouvé que les taux de radiation au Strontium -90 sont aussi élevés ou plus élevés actuellement que ceux lors de tests atmosphériques. Le DC Sternglass à qui le président Kennedy avait demandé de témoigner au Congrès sur le lien entre les radiations des retombées et les cancers chez les enfants, avait aidé à convaincre le Sénat de signer le traité d'interdiction partielle des essais nucléaires en 1963. Il a déclaré récemment que « ce que nous avons fait c'est de remplacer les retombées des tests des bombes par de soi disantes petites émissions autorisées émanant de centrales nucléaires
Sur le plan intérieur, le programme du gouvernement US pour promouvoir l'énergie nucléaire « trop bon marché pour s'en affranchir » sous la présidence d'Eisenhower avait un agenda militaire caché comme seule source connue de plutonium pour des armes nucléaires. En lien avec la politique de dépopulation des élites dirigeantes, de génocide intentionnel et de profits maximums, le programme nucléaire a été utilisé comme une arme secrète et stratégique et comme une forme extrêmement mortelle de guerre nucléaire manigancée.
La Russie et le Japon se distinguent maintenant dans le monde par un taux de natalité inférieur au taux de mortalité. Est-ce que les radiations dans ces pays ont quelque chose à voir avec la distinction d'avoir atteint le but ultime du Nouvel Ordre Mondial ?
L'accident de Tchernobyl, le 26 avril 1986 libérant dans l'atmosphère d'énormes quantités de produits de fission a contribué à la chute de l'Union Soviétique. Les radiations ont voyagé autour du monde provoquant des cancers du sein liés à des particules là ou des produits de fission étaient disséminés dans l'atmosphère. La Russie est un vieillard malade à cause de cet accident.
Un illustrateur scientifique a tracé le chemin des radiations de Tchernobyl à travers l'Europe en dressant la carte des insectes présentant une malformation se trouvant sous le parcours du nuage de Tchernobyl. Aujourd'hui, il y a une pandémie de diabètes en Europe, résultat des radiations des essais nucléaires en atmosphère au Sahara par la France, de Tchernobyl et de l'Uranium Appauvri utilisé sur des champs de bataille depuis 1991.
Le Japon a déjà un taux d'infertilité très élevé, et un taux de mortalité croissant, de même qu'une épidémie de maladies en lien avec les radiations venant des 56 réacteurs nucléaires du Japon. Mais l'ouverture de Rokkasho, le plus grand centre nucléaire de traitement au monde le 1 avril 2006, détruira le Japon. Cela semble prophétique, qu'il ait commencé à être opérationnel un 1er avril ou peut être est ce de l'humour tordue de la CIA.
L'accord pour construire le premier réacteur thermonucléaire mondial, se trouvant maintenant à Rokkasho, dans le nord du Japon, a ironiquement été fait au sommet entre Reagan et Gorbatchev en 1985. Il émettra des émissions équivalentes à celles émises par 365 nouveaux réacteurs nucléaires pendant un an. Il y a seulement environ 411 réacteurs nucléaires commerciaux dans le monde. Le Japon aura bientôt l'équivalent d'émissions radioactives de 419 réacteurs nucléaires, dans un pays grand comme la Californie. Le Japon a les tremblements de terre les plus importants tous les cinq ans de magnitude 8 et plus !
Des gouvernements dans le monde dissimulent le lien entre les radiations et certaines maladies autour des centrales nucléaires, l'accident de Tchernobyl et les radiations de basse intensité. Il y a des gens haut placés au Japon qui connaissent quel est l'impact qu'aura Rokkasho sur l'état de l'environnement et sur la santé publique. L'information est déjà disponible dans des statistiques annuelles vitales publiées chaque année par le gouvernement japonais. Donc pourquoi un gouvernement empoisonnerait –il et détruirait-il ses propres citoyens en connaissance de cause ?
Il existe une alliance internationale nucléaire très puissante cachée. L'énergie nucléaire, les approvisionnements en uranium et les prix sont contrôlés mondialement par le Consortium Rothschild. Ce pouvoir et contrôle n'étaient pas évidents de prime abord.
Dans une série de deux volumes « Les Rothschild » le journaliste japonais Takashi Hirose a exposé les mécanismes bien dissimulés pour le contrôle par le Consortium Rothschild de l'énergie nucléaire. Un Rothschild a servi comme dirigeant d'affaires pour la reine d'Angleterre, qui possède en privé et secrètement des intérêts massifs dans des holdings d'uranium en Afrique, Canada et en Australie via les Rio Tinto Mines.
3 guerres nucléaires secrètes. Sans que la communauté internationale en ait vraiment conscience, l'élite dirigeante mondiale a mené 3 guerres nucléaires secrètes continuelles et se chevauchant partiellement depuis la fin de la seconde guerre mondiale, avec des tests menés en atmosphère, des centrales nucléaires, des armes nucléaires à l'UA. La technologie nucléaire sert certainement les objectifs de leur politique de dépopulation, et en même temps de profits maximums- - puisqu'ils possèdent les sources d'uranium nécessaire pour le combustible nucléaire, et on des intérêts personnels dans la production d'énergie nucléaire.
Il existe aussi des liens avec des entreprises pharmaceutiques qui servent leurs objectifs de profits maximums. Ils sont payés pour le désordre qu'ils engendrent et pour le nettoyer et ils sont payés pour traiter les maladies qu'ils produisent. C'est du biseness à répétition - - le capitalisme extrême dans ce qu'il a de mieux.
Le meilleur moyen de l'arrêter c'est pour les villes, villages de sortir de cette emprise. Les citoyens doivent posséder les entreprises d'énergie et passer à des énergies renouvelables, des formes passives et non destructrices d'énergie. L'économie basée sur le pétrole est un jeu d'arnaque, avec en prime extorsion, raquette et fraude.
Le « pic de pétrole » est un canular, que tout géologue connaît parce qu'il est recyclé tous les 20 ans pour doper les prix du pétrole. Son excellence Shiekh Ahmed Zaki Yamani, le ministre du pétrole saoudien de 1962 à 1986, croit que l'âge du pétrole se terminera non pas par manque de pétrole mais à cause de la technologie : « les prix du pétrole sont destinés à chuter à long terme et le monde n'utilisera pas jusqu'à la dernière goutte de pétrole parce qu'il n'en aura pas besoin : l'âge de pierre ne s'est pas terminée parce que nous manquions de pierre, et l'âge du pétrole ne se terminera pas parce que nous manquerons de pétrole . » Mondialement, des camelots propagandistes de l'establishment tel Al Gore font la promotion de l'énergie nucléaire comme une « énergie propre » et comme une solution au réchauffement climatique, mais elle ne l'est pas. Il y a un agenda caché et un partenariat secret économique entre des membres de l'élite dirigeante avec des intérêts personnels et de vastes profits à faire en faisant la promotion de l'énergie nucléaire.
Le partenariat caché des élites dirigeantes, plus spécifiquement certains membres des empires économiques britannique et américain a été révélé dans « “The Queen's Death Star: Bush, Cheney, Howard and the Queen.” . En son cœur, à proximité, il y a le groupe oligarchique financier concentré à la City de Londres dirigé par l'Epoux Royal le prince Philippe. L'Epoux Royal, de par son opinion et sa pratique est un grand fan de génocide : « si j'étais réincarné, j'aimerai revenir sur terre comme un virus tueur pour baisser le niveau de la population humaine. » a-t-il dit.
L'Epoux Royal ne faisait que refléter les prédictions pessimistes économiques malthusiennes concernant le futur de l'humanité et l' »explosion démographique » au 18ème siècle. Le riche anglais Robert Malthus s'attendait à ce que des forces comme la guerre, la peste, la famine, éliminent une population qui s'accroissait. Des idées de politique de dépopulation pour faire des profits pour l'élite dirigeante étaient bien vivantes même au 18ème siècle. Une guerre nucléaire secrète se développe en Asie, promue par les mêmes élites dirigeantes des empires économiques britannique et américain. Depuis 2003, le président Bush, le vice président Dick Cheney, et le premier ministre australien Howard ont imposé le nucléaire à la Corée du Sud, le Japon, la Chine et l'Inde.
Le programme de développement britannique du nucléaire en Asie est un remake des guerres de l'Opium en Chine il y a plusieurs siècles. Les guerres de l'Opium ont été crées purement pour le profit économique britannique en affaiblissant le gouvernement dirigeant dans le monde pendant un siècle.
L'agenda caché de dépopulation et d'affaiblissement de pays qui posent une menace est entrain de se répéter par impact sur les économies vibrantes qui se développent en Asie avec des maladies qui persistent pendant longtemps par empoisonnement radioactif et mutilation du futur génétique de vastes populations. Rien de neuf, les empires économiques britannique et américain sont infâmes se conduisant comme «hommes de frappe économique » avec une faim insatiable pour les ressources et les richesses des autres.
1 Personal communication, November 1991, Livermore Nuclear Weapons Lab
2 International Criminal Tribunal for Afghanistan at Tokyo: Final Written Opinion of Judge Niloufer Bhagwat, March 10, 2004. http://www.mindfully.org/Reform/2004/Afghanistan-Criminal-Tribunal10mar04.htm
3 Moret, L., “Weapons Used, Targets Hit, Bombing Intensity in Lebanon by the Israeli Military”, Beirut Indymedia, Aug. 26, 2006. http://beirut.indymedia.org/ar/2006/08/5490.shtml
4 Fisk, R., “Robert Fisk: Mystery of Israel's secret uranium bomb – Alarm over radioactive legacy left by attack on Lebanon,” The Independent, Oct. 28, 2006. http://news.independent.co.uk/world/fisk/article1935945.ece
5 Busby, C., Williams D., “Further evidence of enriched uranium in guided weapons employed by the Israeli military in Lebanon in July 2006: Ambulance air filter analysis,” Nov. 3, 2006. http://www.llrc.org
Entre 1956 et 1984, vingt-deux mines d’uranium ont été exploitées entre Guern et Le Faouët, dans le Morbihan. Les déchets ont été déposés sans grande attention de la Cogema ou des autorités, et les remblais radioactifs ont été dispersés. Mais la radioactivité est toujours là...
Photo : Ici, dans un chemin de randonnée près de Ty-Gallen, le scintillomètre de Patrick Boulé affiche 1 075 chocs par seconde... au lieu de 150.
Patrick Boulé, président de l’association Rozglas, sort du coffre de sa voiture un scintillomètre. Un compteur à scintillation, cousin du fameux compteur Geiger-Müller. Nous sommes dans la cour d’une ancienne ferme aujourd’hui inhabitée à quelques centaines de mètres de l’ancienne mine d’uranium de Ty-Gallen, entre Persquen et Bubry.
« C’est là », dit Patrick Boulé en montrant un tas de sable. Il y a encore un an, ce tas de sable devait avoisiner les 15 m3. Aujourd’hui, il en reste à peine un quart. « Presque tout a été volé. » Patrick Boulé met en marche le scintillomètre au-dessus de ce qui reste du tas de sable. L’appareil crépite et marque 1 337 chocs par seconde. « La normale, c’est 150 chocs par seconde. Mieux vaut ne pas s’attarder ici… » Quand bien même, ici tout est contaminé. Et le scintillomètre va aller de surprise en surprise.
A quelques dizaines de mètres du tas de sable, dans un bois, le compteur indique 2 200 chocs par seconde. Et ce n’est pas fini : près de l’ancien potager, au pied d’une source qui alimente le Blavet, c’est le record absolu : 8 000 chocs par seconde. Le compteur s’affole. Patrick Boulé, lui, ne s’éternise pas et s’éloigne illico.
Galeries comblées en 1993
Cette contamination aux particules radioactives trouve son origine de l’autre côté de la butte, à Ty-Gallen. Là, entre 1976 et 1981, une mine d’uranium a été exploitée par la société Simura (Société industrielle des minerais d’uranium). Des galeries ont été creusée sur trois niveaux, compris entre 15 et 50 mètres sous la surface du sol. 18 700 tonnes de minerais ont été extraits de la mine de Ty-Gallen, qui ont fourni 48,7 tonnes d’uranium métal.
Pour vider l’eau des galeries souterraines, des pompes ont été installées. Mais l’eau ainsi récupérée n’a jamais été stockée et encore moins traitée : elle a été tout simplement rejetée dans la nature, de l’autre côté de butte. Direction, la ferme au tas de sable…
La concession de Ty-Gallen a appartenu à la Simura jusqu’en 1991, puis elle est passée en 2001 dans le giron de la Cogema (Compagnie générale des matières nucléaires), devenue depuis Areva. En 1993, la Cogema a comblé les galeries souterraines. Aujourd’hui, à part un panneau de type tourisme industriel (seules quatre anciens sites sont équipés de ces panneaux), absolument rien ne prévient les promeneurs et les cueilleurs de champignons du danger qu’ils courent. Quant aux riverains…
Une aire de boules radioactive
Le tas de sable provient directement de la mine de Ty-Gallen. Pendant des années, les propriétaires de la ferme ont joué aux boules dessus. « On a découvert que ce sable était radioactif. Le propriétaire en a parlé à une personne d’Areva et ce dernier lui a dit d’en faire un tas et qu’Areva l’enlèverait lorsqu’ils décontamineront le sol. » Areva n’est pas repassé et le sable s’est envolé. « On a même volé la pancarte que j’avais installée pour prévenir du danger !, raconte Patrick Boulé. Plus sérieusement, cela signifie qu’il y a du sable radioactif dans la nature et que des gens s’en servent sans savoir que c’est dangereux pour leur santé. »
Dans les chemins, les cours…
Cette histoire de sable radioactif est l’arbre qui cache la forêt. Si les mines ont été fermées et rebouchées plusieurs années après, si les terrains sont aujourd’hui régulièrement débroussaillés afin de permettre aux techniciens d’Areva d’effectuer des mesures de radioactivité, le danger ne se cantonne pas aux 22 anciens sites miniers.
Pendant des années, les remblais issus de ces mines ont été dispersés ici et là. « On s’est servi de toute cette caillasse sous des routes, pour renforcer des chemins, on en a aussi mis dans des cours de ferme du secteur, comme à Lignol, à Guern ou encore à Bubry… On en retrouve dans des chemins de randonnée… Les exploitants des mines en distribuaient à qui voulait… »
D’où la campagne, en septembre 2010, du recensement de ces remblais effectué par hélicoptère. Areva aurait comptabilisé 87 zones, réparties sur douze communes, contaminées par ces anciens remblais. « Areva doit décontaminer. Mais, elle minimise les facteurs de contamination pour ne pas intervenir sur ces zones », accuse le président de Rozglas. Il y a pourtant urgence… Le scintillomètre de Patrick Boulé n’arrête pas de crépiter.
22 mines exploitées entre 1956 et 1984
Cette carte montre les sites des anciennes mines d’uranium -
L’exploitation des mines d’uranium dans le pays du Roi Morvan remonte à 1952. Le gouvernement Pinay adopte alors un plan quinquennal de développement de l’énergie atomique, avec la participation de l’industrie privée. Résultat : certaines parties du territoire français sont retirées du monopole de Commissariat à l’énergie atomique (CEA). La Bretagne en fait partie. Des prospecteurs privés se lancent dans la recherche et l’exploitation de l’uranium.
Les premiers travaux de prospection débutent en Bretagne en 1954 : Joseph Monpas, originaire de Lignol, découvre le premier gisement de la région, à Kersegalec. Entre 1954 et 1962, les principaux gisements découverts en Bretagne aboutissent à l’exploitation de 22 sites miniers (vingt dans le Morbihan et deux dans le Finistère). De 1956 à 1984, les gisements bretons ont produit 1 108 tonnes d’uranium métal, à partir de 275 974 tonnes de minerai d’une teneur moyenne de 4,01 kg d’uranium par tonne.
La Réserve fédérale américaine va mettre en circulation à partir de mardi un nouveau billet de 100 dollars avec un degré de protection plus élevé.
Les billets porteront un ruban bleu en trois dimensions qui sera inséré dans le papier du billet et non pas imprimé dessus. En tournant le billet, il sera possible de voir que les cloches qui sont représentées sur le billet se transforment en chiffre 100. Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2013_10_08/Les-Etats-Unis-mettent-en-circulation-des-nouveaux-billets-de-100-dollars-5040/ mais ce qu'ils disent pas comme a l'accoutumé des symboles subliminaux se cachent sur ce billet de 100$ la dernière signature avant l'instauration du nwo à venir 2013 EST LE Centenaire de la création de la reserve fédérale .....
Voici l’endroit ou l’eau en provenance des réacteurs endommagés fuit vers l’océan Pacifique…l’eau est en ébullition.
Une photo aérienne montre la centrale nucléaire de Fukushima, dans le nord du Japon. L’eau radioactive déversée lors d’une catastrophe provoquée par le tsunami en 2011 fait tranquillement son chemin vers la zone côtière américaine.Sur cette photo prise en altitude on peut deviner la chaleur et le bouillonnement de l’eau et la différence de couleur.
Unpanache radioactifd’eaudans l’océan Pacifiqueà partir delacentrale nucléairede Fukushima auJapon, qui a été paralyséepar le séismeet le tsunami2011atteindra probablementles eaux côtièresdes États-Unisà partir de 2014, selon une nouvelle étude.Le long voyagedesparticules radioactivespourraitaider les chercheurs àmieux comprendre commentlescourants marinscirculentdans le monde entier.
Les Simulationsde l’océan (par ordinateur) ont montré quele panache decésium-137 radioactiflibéré parla catastrophe de Fukushima ,en 2011, pourraitcommencer à verserdans les eaux côtièresdes États-Unisà compter dedébut 2014et le picde 2016.Heureusement,deuxcourants océaniquesau large de lacôte orientaledu Japon-lecourant de Kuroshioetl’extension du Kuroshio -adiluéla matière radioactivetellement quesa concentrationest tombébien au-dessousdesniveaux de sécuritéde l’Organisationmondiale de la Santédans les quatremois suivant l’incidentde Fukushima.Maisça aurait pu êtreune histoire différentesi une catastrophenucléaire avait frappéde l’autre côtédu Japon.
"L’impact environnemental aurait pu être piresil’eau contaminéeaurait été libérédans un autre environnementocéaniqueoùla circulationétait moinsénergique etturbulent», a déclaré VincentRossi,un océanographeet chercheurpost-doctoral àl’Institut de physiqueinterdisciplinaire etSystèmes complexes,en Espagne.
Communiqué del’eau radioactivedeFukushimaapris son temps,voyageantà travers le Pacifique. Par comparaison, le rayonnement atmosphériquedela centrale de Fukushimaa commencé àatteindrela côte ouest américaineau sein dequelques jours seulement,del’arrièreen cas de catastropheen 2011.
Suivi dela trajectoire dela radioactivité Lepanache radioactifa troissources différentes:des particules radioactivestombentde l’atmosphèredans l’océan, l’eau contaminée directementsortiede l’usine, et l’eau quia été contaminépar des particulesradioactivesde lixiviationdusolcontaminé.
Cette projection informatique montre l’ampleur estimée de la plume de la centrale de Fukushima du déversement d’eau radioactive ,jusqu’en en 2014. L’étendue des eaux côtières américaines est indiquée par une ligne noire, avec une boîte noire renfermant Hawaii (en bas au centre).
La libération de césium 137 de Fukushima en de plus turbulent courants orientale du Japon signifie la matière radioactive est diluée au point de poser peu de danger pour l’homme au moment où il quitte les eaux côtières du Japon . Rossi a travaillé avec d’anciens collègues au changement climatique au Centre de recherche de l’Université de New South Wales en Australie, pour simuler la propagation de la radioactivité de Fukushima dans les océans -( une étude détaillée dans le numéro d’Octobre de la revue Deep-Sea Research Part 1 ).
Les chercheurs ont en moyenne 27 essais expérimentaux de leur modèle – chaque terme de départ dans une année différente – afin de veiller à ce que la propagation simulée du césium -137 comme un «traceur» n’a pas été particulièrement affecté par les conditions initiales de l’océan. De nombreux océanographes préfèrent utiliser le césium -137 pour suivre les courants océaniques , car il agit comme un traceur passif dans l’eau de mer , ce qui signifie qu’elle n’interagit pas beaucoup d’autres choses, et se désintègre lentement avec une longue demi- vie de 30 ans .
«Un des avantages de ce traceur est sa longue demi-vie et notre capacité à mesurer assez précisément , de sorte qu’il peut être utilisé à l’avenir pour tester nos modèles de circulation océanique et de voir comment ils représentent la réalité au fil du temps ", a déclaré Rossi LiveScience . " A l’époque , il y a20 ans, nous pouvions sortir , prenez les mesures partout dans le Pacifique et les comparer à notre modèle. "
Voyagez à travers le Pacifique L’ équipe s’est concentrée sur la prévision de la trajectoire de la radioactivité jusqu’à ce qu’il atteigne les eaux du plateau continental qui s’étend de la côte américaine à environ 180 miles (300 kilomètres) au large des côtes. Environ 10 à 30 becquerels (unités de radioactivité représentant x désintégration par seconde) par mètre cube de césium -137 pourrait atteindre la côte US et les eaux côtières du nord du Canada et de l’Oregon entre 2014 et 2020. ( Ces niveaux sont bien en deçà des limites de la US Environmental Protection Agency pour l’eau potable ).
Par comparaison, la côte de la Californie peut recevoir seulement 10 à 20 becquerels par mètre cube 2016-2025 . C’est plus lent, moins d’impact provient des courants du Pacifique participant du panache radioactif vers le bas en dessous de la surface de l’océan dans un voyage lent vers la côte californienne, ce que Rossi a expliqué .
Une grande partie du panache radioactif de la version initiale de Fukushima ne sera même pas atteindre les eaux côtières américaines sitôt. Au lieu de cela , la majorité de la césium -137 restera dans la gyre du Pacifique Nord – une région de l’océan qui circule lentement dans le sens horaire et a piégé des débris dans son centre pour former le " Garbage Patch Great Pacific " – et continuent d’être dilué pendant environ une dix ans après la publication initiale de Fukushima en 2011. ( On s’attend à L’eau du courant de fuite de la centrale prenne un chemin semblable à long terme pour suivre le panache initial libéré, Rossi a dit. )
Mais le panache finira par échapper à la gyre du Pacifique Nord en une forme encore plus diluée. Environ 25 pour cent de la radioactivité initialement publié se rendra à l’océan Indien et du Pacifique Sud sur deux à trois ans après la catastrophe de Fukushima ,ce que le modèle a montré .