
Selon la loi du 3 avril 1955, Valéry Giscard d’Estaing et Nicolas Sarkozy, mais aussi Jacques Chirac bénéficient d’une « dotation annuelle d’un montant égal à celui du traitement indiciaire brut d’un conseiller d’Etat en service ordinaire ». Soit près de 6.000 euros brut par mois. Cette indemnité n’est soumise à aucune condition d’âge, ni même au nombre de mandats. A cela s’ajoute ce qu’on appelle pudiquement des « primes de sujétions spéciales », dont le montant est tenu secret. (Witt/SIPA)
Une fois...
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