La manière et la technique d'instrumentaliser un individu.
Derrière ces deux noms obscures, se trouve l'un des crimes les plus diaboliques commit sur une partie de la population humaine, une forme de contrôle de l'esprit systématique qui a imprégné tous les aspects de la société sur près de cinquante ans.
Les origines de la recherche "psychologique" et "psychiatrique".
A partir de cette nouvelle organisation, la législation a été mise en œuvre pour protéger un nombre inimaginable d'activités illégales du gouvernement, y compris les programmes clandestins de "contrôle de l'esprit".
L'évolution du programme, avec le projet MK ULTRA.
La CIA a décidée d'intensifier les efforts dans le domaine de la modification du comportement, avec l'avènement du Projet BLUEBIRD, approuvé par le directeur Allen Dulles en 1950. Ses objectifs étaient les suivants:
En août 1951, le Projet BLUEBIRD a été rebaptisé Projet ARTISHOKE, qui a évalué les utilisations des techniques d'interrogatoire, dont l'hypnose et les drogues.
Les différentes possibiltés utilisées pour contrôler le comportement de l'homme en vertu de MK ULTRA inclues plusieurs moyens: Rayonnement, electrochocs, psychologie, psychiatrie, sociologie, anthropologie, graphologie, substances chimiques, harcèlements, dispositifs paramilitaires et la substance "LSD" étant la plus largement administrée.
Le principe du projet MONARCH et la technique utilisée.
La manière et la technique d'instrumentaliser un individu.
Quelques-unes des images internes essentiellement perçue par les victimes sont les suivantes: Arbres, L'Arbre kabbalistique de la Vie, Boucles de l'infini, Anciens symboles et des lettres, Toiles d'araignée, Miroirs ou bris, Masques, Châteaux, Labyrinthes Démons, monstres, Aliens, Coquillages, Papillons, Serpents, Rubans, Archets, Fleurs, Sabliers, Horloges, Robots, Chaîne de commandement des diagrammes, Schémas de circuits de cartes d'ordinateur.
Descendance et lignée "satanique".
De nombreuses victimes de ses abus proviennent de familles qui utilisent en fait, une sorte de "respectabilité culturelle officielle". Ils se disent adeptes du catholicisme, du mormonisme ou du protestantisme. Mais ils utilisent ces religions comme une "couverture" pour cacher leurs activités abominables (même si d'autres groupes religieux sont également impliqués). Les victimes réagissent en général plus facilement à une rigidité religieuse (dogmatique et légale), parce qu'il y a un parallèle par la structure hiérarchique, par rapport à la "programmation" de base. Autorité religieuse qui généralement n'est pas contestée, mais les victimes du Projet MONARCH, ont eu leur volonté usurpée par le biais d'indoctrinnement subjectifs et d'une prétendue autonomie, qui est en fait orienté. La victime se croit libre mais elle ne l'est pas.
Des phénomènes paranormaux tels que la projection astrale, la télépathie, PES..., semblent être plus marquée pour ceux qui ont subi ce processus.
Les différents niveaux de la programmation MONARCH:
ALPHA: Considéré comme étant la programmation de base. Elle est appliqué pour le contrôle de la personnalité, caractérisé par la rétention extrêmement marquée de mémoire, avec une augmentation substantielle de la force physique et de l'acuité visuelle. La programmation Alpha est réalisée par la subdivision délibéré de la personnalité des victimes qui, par essence, provoque une dislassion des hémisphères gauche et droit du cerveau, permettant une union programmée du gauche et du droit grâce à la stimulation des neurones.
BETA: Dénommé programmation "sexuelle". Cette programmation élimine tous sens et convictions morales et stimule l'instinct sexuel primitif, qui de trouve dénué de toutes inhibitions.
DELTA: Celle-ci est la programmation des "tueurs", initialement développés pour la formation des agents spéciaux ou des soldats d'élite dans des opérations secrètes. Une production surrénales optimisée et un développement du contrôle de la violence et de l'agression est mise en place. Les sujets sont alors totalement dépourvues de peur. Un facteur obligatoire pour l'accomplissement de leur mission. Une programmation d'autodestruction et des instructions de suicide volontaire est instauré à ce stade. (4)
THETA: considéré comme la programmation purement "psychique". Les "lignés du sang" (ceux venant de plusieurs générations de familles sataniques) ont été déterminés car ils présenteraient une plus grande propension à avoir des capacités télépathiques que les autres. En raison des limites évidentes de leurs capacités, cependant, diverses formes de contrôle de l'esprit par des systèmes électroniques ont été développés et introduits, à savoir, des dispositifs bio-médical de télémétrie de l'homme ("GPS", sous forme d'implants cérébraux), réalisé par des lasers utilisant l'énergie micro-ondes et électromagnétique. Ceux-ci sont utilisés en conjonction avec des ordinateurs très sophistiqués et des systèmes de suivi par satellite.
OMEGA: Une programmation "d'auto-destruction", aussi connu comme le "Code Green." Les comportements associés incluent les tendances suicidaires et / ou d'auto-mutilation. Ce programme est généralement activé lorsque la victime commence une thérapie suite a des interrogations et réussit à récupéré sa mémoire. Et éviter qu'elle ne dévoile ce qu'elle sait.
GAMMA: Une programmation "de faux souvenirs", qui est en fait une forme de système de protection par "tromperie". Celle-ci suscite la désinformation et les erreurs dans la mémoire. Pour éviter que les vrais souvenirs reviennent, par exemple, grâce à l'hypnose. Ce niveau à tendance à être répété, si de façon malencontreuse, la programmation s'est trouvé "désactivé".
Déstructuration mentale, conditionnement et programmation.
L'étape suivante consiste à intégrer et à faire assimiler la connaissance des commandes et des messages spécifiques pouvant être modifié. Ce résultat est obtenu grâce à l'utilisation de casques neurologiques, en liaison avec des générateurs assisté par ordinateur qui émettent des ondes sonores inaudibles ou des harmoniques qui affectent les liaisons du cerveau, en influençant les liaisons des neurones à l'inconscient et au subconscient. Des dispositifs optiques pour générer une "réalité virtuelle" sont parfois utilisés simultanément avec les générateurs d'harmoniques projetant des lumières colorées, des images réelles ou subliminales sur un écran. Des électrochocs sont ensuite utilisée pour faire oublier le souvenir du conditionnement dans la mémoire.
Beaucoup de films récents de Disney et les dessins animés sont utilisés dans une double manière:
- Désensibiliser la majorité des victimes, en utilisant les images subliminales et la programmation neuro-linguistique;
- Construire délibérément des déclencheurs spécifiques et des clés pour la programmation de base avec des enfants hautement impressionnables.
Un bon exemple de la façon dont fonctionne la programmation subliminale est en regardant, entre autres, le dessin animé Pochahontas de Disney.
Dans le film, la grand-mère est une mystique qui conseille Pochahontas à écouter son cœur. La grand-mère parle constamment un double langage et en utilisant des "inversions": "Parfois, le chemin de droite n'est pas le plus facile", ce qu'il faut comprendre en langage ésotérique: le chemin de gauche (le chemin qui mène à la destruction) est le plus facile.
La musique joue un rôle aussi important dans la programmation, à travers des combinaisons de tonalités variables, des rythmes et des mots.
Une liste partielle des autres fims utilisés pour renforcer la programmation de base sont: Pinnochio, Sleeping Beauty, Blanche-Neige, La Belle et la Bête, Aladdin, The Little Mermaid, Le Roi Lion, Star Wars, Ghost Busters, Trancers II, Batman, Bewitched, Fantasy Island, Reboot, Tiny Toons, Duck Tails, The Dead Sea Scrolls, le Livre Tall, de Make Believe.
Les programmeurs et les lieux.
Les autres prétendues manipulateurs identifiés, passés et présents, sont: Dr. Sydney Gottlieb, Lieutenant-colonel John Alexander, Dabney Richard Anderson (USN), Dr. James Monroe, Dr. John Lilly, Lt. Comdr. Thomas Narut, Dr. William Jennings Bryan, Dr. Bernard L. Diamond, Dr. Martin T. Orne, Dr. Louis J. West, Dr. Robert J. Lifton, Dr. Harris Isbel et Col. Wilson Green.
Le "conditionnement" final a été ou est encore habituellement créé sur des installations et des bases militaires, où la sécurité maximale est requise. Désigné sous la couverture d'un programme concernant "la mort imminente et les traumatismes", les plus sûrement identifiées sont:China Lake Naval Weapons Center, The Presidio, FT. Dietrick, FT. Campbell, FT. Lewis, FT. Hood, Redstone Arsenal, Offutt AFB (Air Force Base), Patrick AFB, McClellan AFB, MacGill AFB, Kirkland AFB, Nellis AFB, Homestead AFB, Grissom AFB, Maxwell AFB, Tinker AFB.
Les autres lieux reconnus comme des sites majeurs de la programmation sont les suivants:Langley Research Center, Los Alamos National Laboratories, Tavistock Institute, des zones à l'intérieur des secteurs du Mont Shasta (Californie), de Lampe (Montana) et Las Vegas (Nevada).
Les témoignages des survivants.
Jones, dont le nom de naissance est Jessica Wilcox, avait apparemment le profil physiologique approprié pour être l'une des premières expériences sur les humains sous le couvert de recherches "scientifiques" avec l'autorisation de gouvernement pour le Projet MK ULTRA.
Le cas le plus médiatisé du projet monarch a refait surface grâce au livre "Trance-Formation of America: the true story".
Déprogrammeurs et enquêteurs.
Les journalistes qui ont récemment exposé dans leurs livres, ou des articles sur le sujet, de manière exemplaire sont Walter Bowart, "Operation Mind Control", Jon Rappoport, "Les expériences du contôle mental du gouvernement sur les enfants" et Alex Constantine, "Dictature Psychic in the USA".
La société, dans son état apparent de vie "normale", est généralement dans la négation la plus écrasante de la preuve de ces choses, qui couvre plusieurs pays, des hommes politiques de hauts rangs, et des programmes secrets.
(1) Pour plus d'informations, voir "Les Black Program: Le Projet PAPERCLIP".
(2) Parmi ceux-ci, les projets: "MK NAOMI" (constitution, stockage et tests d'armes biologiques); "MK DELTA" (tests toxicologiques de drogues sur les êtres humains et les animaux); "THIRD CHANCE" (tests LSD sur la population en Europe. Un exemple concret de ce que pouvait être ce genre de tests, est ce qui s'est passé en France, dans le village de Pont Saint-Esprit, dans le Gard, avec de nombreux cas d'hallucinations parmi les habitants); "DERBY HAT" (tests LSD sur la population en Asie).
(3) Je vous invite, si le sujet vous intèresse, à regarder le film "Un crime dans la tête", avec Denzel Waschington. Ce film est assez "hérmétique", et il pourra en rebuter certain par son ambiance "pesante". Mais c'est un bon exemple de manipulation mentale, à l'image de MK Ultra et du Projet Monarch.
(4) C'est très simple, ils font tuer une personne par le "tueur", en lui donnant l'ordre d'aller, une fois l'élimination faite, par exemple à tel hôtel, dans telle chambre, le plus souvent très haut dans les étages. De là ils lui donne l'ordre (un message préalablement implanté dans le subconscient et devant donner une réaction pré-définie), par téléphone, ou par une émission de télé qui lui auront dit de regarder, tout bêtement, de se jeter par la fenêtre ou bien de s'ouvrir les veines. Si il y a enquête, c'est un simple suicide. Si elle trouve une connexion avec le meurtre commit, la police ne peut identifier le coupable, puisque les sujets "Monarch", sont enlevés très jeunes, ils n'ont jamais eu d'existence légale, pour ainsi dire. Et comme il s'est donné la mort, pas de poursuites possibles. Le dossier est alors classé. C'est un exemple, il y a bien sûr d'innombrables possibilités.
(5) Voir la catégorie "Les sociétés secrètes", pour plus d'informations.
(6) Pour lire des passages du témoignages de Cathy O'Brien, voir "Témoignage sur MK Ultra et Monarch", (plusieurs parties), dans la catégorie "Témoignages et révélations".
Sources:
David L. Carrico, "Le maçonnique Egyptien et ses Connections sataniques", 1992;
Walter H. Bowart, "Operation Mind Control", Editions Flatland, 1994, p. 216;
Martin Cannon, Mind Control et le gouvernement américain, les vents dominants Research, 1994, p. 19;
Linda Hunt, Secret Agenda, St. Martin's Press, 1991;
John Marks, "The Search For The Manchurian Candidate", Times Books, 1979, p. 60-61;
Rapport final du Comité spécial d'étude des opérations gouvernementales, US Senate, avril 1976, p. 387 à 422;
Barbara G. Walker, "le Dictionnaire féminin des symboles et des objets sacrés", Harper Collins, 1988;
Marshall Cavendish, Man, Myth and Magic, 1995;
Dr. Corydon Hammond, Le discour Greenbaum 1992; Définitions programmation Monarch, Mark Phillips et Cathy O'Brien 1993;
Fritz Springmeier, "The illuminati formulate for create an Undetectable Total Mind Controlled Slave", 1996;
Gerald L. Posner, "Mengele: The Complete Story", McGraw-Hill, 1986;
Lucette Matalon Lagnado, "Dr Josef Mengele" et "The Untold Story of the Twins of Auschwitz camp", Morrow, 1991;
Gordon Thomas, Journey into Madness: "The True Story of Secret CIA Mind Control and Medical Abuse", Bantam Books, 1989;
Cathy O'Brien et Mark Phillips, "Trance Formation of America" 1995;
DeCamp John, "The Franklin Cover-Up", "l'enfance maltraitée", "le satanisme" et "Assassiner dans le Nebraska", AWT Inc, 1992;
Anton Chaitkin, "Les Témoins de Franklin", "le FBI et des élites américaines impliqué dans la torture" et "Assassiner des enfants", Le Taurillon, 1993;
Jon Rappoport, "Expériences de contrôle mental avec la CIA sur les enfants", Perceptions Magazine, Septembre-Octobre 1995, p. 56;
David E. Rosenbaum, Esq., First Draft Vue d'ensemble des enquêtes sur le groupe, 1983-1993.
Le vrai visage du Docteur Josef Mengele et le Programme Monarch
Le vrai visage du Docteur Josef Mengele et le Programme Monarch
L'un des génies du mal les plus cruels des temps modernes fut le Docteur Josef Mengele. Il utilisa
plus de 3.000 jumeaux pour ses recherches, pour les seules années 1943-1944. La plupart de ces
jumeaux périrent. Ces jumeaux étaient sélectionnés parmi les foules envoyées dans les camps de
concentration allemands. A la fin de la guerre, Mengele avait appris beaucoup de choses sur la
manière de torturer des enfants, pour que ces derniers soient liés à lui d'une manière absolue.
Aujourd'hui encore, beaucoup de survivants de ces horribles expériences restent persuadés que
Mengele aimait beaucoup les enfants. Ils continuent à l'aimer comme s'il était leur père. Mengele
avait également réussi à créer des jumeaux artificiels par la programmation mentale. Quand il se
rendait dans des bases militaires, il apportait toujours son violon avec lui. Il cachait dans son
violon ses codes secrets pour la programmation par les couleurs.
D'autres hommes ont travaillé avec le Docteur Mengele, et sont par la suite devenus des
programmeurs à part entière. Le Docteur Cameron, du Canada, devint ainsi un programmeur
spécialisé dans la création d'esclaves mentaux, dans le cadre du Programme Monarch. Il était aussi
connu sous le nom de "Doctor White". Un autre programmeur, qui n'était pas un sataniste de pure
lignée, était Heinrich Mueller, connu sous le nom de "Doctor Blue". Ce dernier vivait dans le nordouest
des Etats-Unis, et avait deux fils, Theodore (Teddy Bear) et Michael (Robin Hood). Deux des
programmeurs les plus cruels de la côte Ouest sont Jerry Lee Lewis et Michael Aquino. Ces deux
hommes sont des tueurs au sang froid, et valent bien Mengele quant à leur habileté à torturer.
Michael Aquino, qui appartenait aux services de renseignements américains, était en mesure de
transmettre ses compétences diaboliques de programmeur mental à des dizaines d'officiers de
l'armée. Sa femme travaille avec lui, et s'appelle Lilith Sinclair. Michael Aquino a voyagé dans tous
les Etats-Unis pour exercer sa fonction de programmeur. C'est Michael Aquino qui a utilisé Cathy
O'Brien comme star et victime à la fois, dans sa vidéo destinée à former des officiers aux méthodes
de programmation mentale pour créer des esclaves mentaux.
Les principaux programmeurs sont donc connus sous les noms des Docteurs Green, Black, White
et Blue. Ces quatre programmeurs ont ensuite formé des milliers de programmeurs à temps partiel.
Les meilleurs programmeurs sont ceux qui sont capables de pénétrer dans la pensée et l'intellect de
leurs victimes, un peu à l'image de l'inspecteur Colombo, joué par Peter Falk. Ce derniers fait
d'ailleurs partie, dans sa vie privée, du monde des programmeurs. Il faut savoir qu'une victime du
programme de contrôle mental Monarch peut avoir un certain nombre de programmeurs, mais que
cet esclave mental sera formé pour n'obéir qu'à la voix d'un nombre limité de maîtres ou
d'utilisateurs. Si quelqu'un veut utiliser un esclave mental qui n'est pas programmé pour
reconnaître sa voix, cela peut déclencher chez l'esclave un programme de suicide. Mais un robot
humain peut aussi avoir en lui certaines parties de sa personnalité programmées pour empêcher
d'autres parties de sa personnalité de le conduire au suicide. Mais l'esclave mental doit être
clairement programmé pour se tenir à l'écart d'utilisateurs non identifiés, sous peine de devoir se
suicider.
Nous sommes actuellement parvenus à une époque où nous sommes à la deuxième ou troisième
génération d'esclaves mentaux robotisés, qui sont eux-mêmes devenus des programmeurs. Ce sont
des robots humains programmés qui font actuellement la plus grande part du travail de
programmation mentale. Cela signifie que la plupart des programmeurs souffrent eux-mêmes d'une
personnalité fractionnée. Certains de ces programmeurs sont des militaires de carrière, qui
considèrent toute "discipline" ou "méthode de formation" comme bonne, si elle permet d'obtenir des
soldats qui obéissent sans discussion. Ces militaires ont perdu toute notion de limite morale à faire
respecter par les programmes de "formation". Cela explique pourquoi le système de production
d'esclaves mentaux tourne actuellement à plein régime, pour produire toujours plus d'esclaves
mentaux. Ceci est très inquiétant. Ceux qui parviennent à s'échapper, avec beaucoup de peine, de
ce système de programmation mentale, sont en tout petit nombre, par rapport au grand nombre
d'esclaves mentaux qui sont constamment créés. Depuis 1947, plus de deux millions d'Américains
ont subi les méthodes de programmation mentale utilisant la torture. En 1970, la CIA dut admettre
publiquement qu'elle utilisait des méthodes de programmation mentale. Pourtant, le grand public
continue à ignorer largement ce qui se passe dans ce domaine.
Le Docteur Green, ou Josef Mengele.
C'est le plus important de tous les programmeurs. C'est sans doute lui qui peut être considéré
comme le père de la méthode de programmation Monarch. C'était le "médecin" des camps deconcentration nazis. Il fut le programmeur principal de milliers d'esclaves mentaux aux Etats-Unis.
Le Docteur Mengele était d'assez haute taille. Il avait les cheveux châtain foncé, des yeux d'un brun
vert, et était fort élégant. Son caractère était semblable à celui du Dr Jekyll et M. Hyde. Il désarmait
les gens par son amabilité. Il était apparemment doux, tranquille et intelligent, tout en cachant un
côté profondément sadique et brutal. Il était né dans une riche famille de satanistes depuis des
générations. Il devint l'un des satanistes les plus puissants dans le monde. Il était expert en
démonologie et en Cabale. Il était au moins Grand Maître des Illuminati. Mais nous ignorons
jusqu'à quelle hauteur de la hiérarchie satanique il a pu accéder.
Etant membre des Illuminati, son corps ne devait porter aucune cicatrice visible. Josef Mengele ne
se fit donc pas imprimer le tatouage nazi quand il rejoint les rangs des SS. Mengele devint le
médecin du camp de la mort d'Auschwitz. A cette place, il occupait une position clef. Il put ainsi
utiliser d'innombrables cobayes humains pour ses expériences. L'un de ses sujets de recherche
principaux était de déterminer avec précision le degré de torture que divers êtres humains
pouvaient supporter. Il établit des statistiques et des tableaux précis, qui permirent aux Illuminati
de connaître exactement le degré de torture à appliquer à leurs esclaves mentaux formés par le
programme Monarch.
Mengele grandit à Grunzberg dans une famille connue pour son goût du secret. Sa mère était très
dure. Il fit ses études à Francfort-sur-le-Main, haut lieu du satanisme allemand. Il fit son internat à
Leipzig, ville connue pour héberger de nombreux chercheurs dans le domaine de l'étude du
comportement humain et des méthodes modernes d'apprentissage. Plus tard, il fit partie des SA,
puis des SS. A la fin de la guerre, l'armée américaine prit soin de Mengele. Les satanistes
américains firent secrètement entrer Mengele aux Etats-Unis. Il fut aussi reçu dans divers pays
d'Amérique latine, pour faire croire qu'il s'y était réfugié. Mais, en réalité, Mengele passa une bonne
partie de son temps à voyager dans le monde entier, pour visiter en particulier des établissements
comme l'Institut Tavistock ou la base navale de China Lake, où l'on transformait des enfants
innocents en esclaves mentaux.
Mengele vécut effectivement au Brésil, en Argentine et au Paraguay, mais la CIA et d'autres groupes
travaillant pour les Illuminati en profitèrent pour lancer beaucoup de fausses informations à ce
sujet. Tout au long de sa vie, Mengele continua à aimer la musique et la danse. Il devint un
manipulateur de marionnettes humaines, et il utilisait la musique pour les programmer. Il aimait le
violon et le piano. Il utilisa beaucoup la musique dans ses méthodes de programmation mentale.
Certains de ses élèves ont aussi utilisé la musique dans la programmation mentale. C'est cette
tendance à employer la musique dans la programmation mentale qui a permis à la musique
"western" et "country" américaine de se développer. Ces musiques peuvent être considérées comme
un sous-produit de la programmation mentale Monarch. L'industrie de la musique country n'est
qu'un moyen de couvrir un important trafic de drogue, effectué par des esclaves mentaux.
L'influence de Mengele s'est aussi exercée au niveau des recherches sur les jumeaux. Mengele était
fasciné par les jumeaux. Il a fait des expériences sur des milliers de jumeaux, sont la plupart
périrent sous les tortures employées au cours de ces expériences. Les expériences scientifiques
nécessitent souvent un groupe faisant l'objet des expériences, et un groupe de contrôle. La
recherche était donc facile avec des jumeaux. C'est pourquoi Mengele en utilisait beaucoup. Aidé
d'autres chercheurs Allemands et Italiens, il fit aussi des recherches sur les liens affectifs
traumatiques qui pouvaient lier une victime à son bourreau, au point que ces victimes servaient
leur maître avec une loyauté absolue. Dans les camps de concentration, il arrivait que Mengele
sauve de la mort un certain nombre de condamnés, qui lui restèrent fidèles, malgré le fait que ces
personnes savaient que Mengele torturait à mort des milliers d'autres personnes.
Les esclaves mentaux Monarch sont programmés pour croire qu'ils ont un jumeau quelque part. De
nombreux esclaves mentaux ont même été programmés pour croire qu'ils appartiennent à un
groupe de quadruplés.
Dans les camps de concentration, Mengele était connu sous les noms "d'Ange de la Mort", "Père",
"Papa", ou "Beau Josef". Les esclaves mentaux qui ont été programmés par lui le connaissent sous
les noms de "Docteur Green", "Papa", David", ou "Fairchild". Certains esclaves mentaux se
rappellent encore le bruit de ses bottes brillantes, quand il arpentait la pièce où il les programmait.
Mengele aimait réduire ses victimes à l'état de véritables animaux. Pourtant, ces victimes étaient
formées pour ne jamais pleurer.
Mengele était très connu pour sa méthode de programmation "Marguerite". Il effeuillait une
marguerite en disant : "je t'aime", "je ne t'aime pas"… Si le dernier pétale tombait sur un "je ne
t'aime pas", il mettait à mort le petit enfant, en présence des autres enfants qu'il était en train de
programmer.
Mengele se trouvait à Dallas lors de l'assassinat du Président Kennedy. Ce dernier fut assassiné par
des esclaves mentaux Monarch. Il existe un témoignage formellement établi devant la justice, où un
témoin associe Josef Mengele à l'assassinat de Kennedy, en affirmant avoir vu Mengele dans le
bâtiment où l'un des coups de feu avait été tiré. Ce témoin, Luis Angel Castillo, n'était que l'un des
esclaves mentaux envoyés par les Illuminati pour assassiner Kennedy le 23 novembre 1963.
Madame Krebs, une Allemande résidant en Allemagne, travailla avec Mengele, en compagnie d'un
grand nombre d'autres programmeurs, pour préparer l'assassinat de Kennedy.
En 1956, Josef Mengele demanda, et obtint de l'Argentine, un permis de séjour officiel sous son
propre nom, ce qui prouve l'audace des Illuminati. Cette même année, il voyagea même dans divers
pays d'Europe sous sa véritable identité.
LE PROJET D.S.P. 32 pour trouver une énergie, qui soit plus puissante que l'atome.
Un programme de recherche pour trouver une énergie, qui soit plus puissante que l'atome.
L'armée Américaine lança dans les années soixante-dix un programme classifié, afin de trouver une nouvelle forme d'énergie, "ultime", qui soit bien plus puissante que celle de l'atome. Ce projet prît le nom de "D.S.P. 32", "Defense Support Program 32" (Programme de soutien à la Défense n° 32). (1)
Et la recherche militaire parvint à obtenir une forme d'énergie, qui repoussa alors les limites de la science. Ce fût ce que l'on appela "l'antimatière". D'une puissance phénoménale inouï, dix mille fois plus puissante qu'une la fission nucléaire.
La recherche sur l'antimatière.
Le programme DSP 32 travaillait dans le but d'atteindre deux objectifs. Le premier était de trouver un autre moyen de "fusion", que les accélérateurs de particules, en utilisant les "laser". Et le second, de pousser à leur limite, un certain nombre de paramètres de la Physique nucléaire.
Des laboratoires américain comme Livermore, Sandia, Los-Alamos, Nevada, avaient déjà dirigé leurs recherches vers les très hautes densités, dans le cadre de la maîtrise de la fusion de l'hydrogène (2).
Dans leurs expériences la puissance des lasers s'exprimait en térawatts (mille milliards de watts) et les pressions en millions d'atmosphères. Il leur fallait allait beaucoup plus loin dans les paramètres de la Physique. Et pouvoir dépasser la pression fantastique de cent millions d'atmosphères, pour atteindre le seuil où la matière est en rupture d'équilibre, un seuil où certaines de ses caractéristiques s'inversent, c'est là que nous avons l'antimatière.
Mais pour obtenir cette pression fatidique, une technologie très sophistiquée est bien sûr nécessaire. Et comme elle n'existait pas, ils leur fallut la créée, en partant dans de nouvelles directions. Les lasers gigantesques de l'époque, même à rayons x, n'étaient pas assez puissants. C'est en reprenant certaines des idées de Sakharov (3), que les premiers succès ont étaient obtenu. En effet, dans les années cinquante, le savant Soviétique avait mis au point un système de canon électromagnétique qui, en comprimant un solénoïde à l'aide d'un explosif, permettait d'obtenir une pression magnétique de l'ordre de vingt-cinq millions d'atmosphères. Qui transformait une mini-charge d'aluminium en plasma et l'expulsait à des vitesses vertigineuses de l'ordre de centaines de kilomètres par seconde.
Ils cherchèrent donc à améliorer ce système. Le solénoïde classique a été remplacé par un solénoïde supraconducteur et l'explosif conventionnel, par une petite charge atomique, dite "de laboratoire", permettant ainsi d'atteindre le seuil de pression nécessaire. La cible, aussitôt transformée en plasma, est expulsée dans une "cheminée" où les particules d'antimatière ainsi obtenues sont instantanément triées électromagnétiquement et ensuite récupérées dans une "bouteille magnétique".
Le danger de l'antimatière.
Il faut savoir que, contrairement à une bombe nucléaire qui n'explose que lorsqu'on active le système de mise à feu, l'antimatière, elle, une fois crée, du fait de son extrême instabilité, elle doit être confiné en permanence. Cela se fait à l'aide de champs magnétiques, pour l'empêcher d'entrer en contact avec la matière. Ce qui la ferait exploser ! Et que chacune des charges "à antimatière" fabriqué, possède une puissance égale et souvent supérieure à plusieurs bombes nucléaires.(4)
expérimenter des bombes d’antimatière à grande échelle, des bombes qui soient des milliers de fois plus puissantes que tout ce qui avait été réalisé jusqu’ici. L’espace terrestre étant trop étroit géographiquement et stratégiquement pour ce genre de projet, se tournent donc vers l’espace.
Un premier test "grandeur-nature" en direction du Soleil.
Nous savons qu'un premier test a eu lieu, à l'aide de fusée Titan. Avec une capacité de charge de un "module-bombe" par fusée, plaçait à l'intérieur du dernier étage. Seize premières bombes, donc seize fusées Titan sont parties vers le Soleil et ont explosé dans, ou à l'approche de la couronne solaire. La forte luminosité du Soleil ne leur a sans doute guère permis une observation précise de leurs effets.
Il y eu aussi un test avec envoi d'une cargaison de module-bombes, au cours du second vol de la navette Columbia le 12 novembre 1981 (c'était officiellement, le second vol de ses quatre vols-test de "qualification").
Le test de bombes suivant l'a était à destination de Jupiter où cette fois, les observations des effets pourraient être nettement plus visibles et permettre une bien meilleur analyse.
La "mission scientifique" AMPTE.
Le 16 août 1984, une fusée Delta (n°175), porteuse de la mission AMPTE, "Active Magnetospheric Particle Tracer Explorer", décollait de Cap Canaveral. Ce programme d'une durée d'un an consistait, à l'aide de trois petits satellites, à larguer plusieurs "nuages" de baryum et de lithium en différents endroits de l'espace intra et extra-magnéto-sphérique. Puis d'observer l'évolution de ces éléments traceurs, afin d'étudier les interactions des vents solaires avec notre magnétosphère. Cette expérience avait été réalisée avec la collaboration de plusieurs laboratoires différents (des Etats-Unis, de la R.F.A. et du Royaume-Uni). Si la mission officielle était d'améliorer la connaissance scientifique, le but réel était d'expérimenter en conditions réelles, la création d'un phénomène cométaire, afin d'étudier son évolution dans le temps et dans différentes conditions spatiales. En effet, sous l'action des rayonnements solaires, le Baryum et le Lithium sont rapidement ionisés et ont alors la particularité de devenir fluorescents, créant ainsi une comète artificielle.
La mission AMPTE a été l'une des phases importantes de la préparation du projet d'essai sur Jupiter. Une étape primordiale dans la recherche d'un "système de camouflage", par un nuage de particules, composé d'un alliage de Baryum et de Lithium. Pour que l'on pense à une comète et que personne ne se rende compte de l'origine réelle des impacts et des explosions sur la planète. Avec cette mission spatiale "scientifique", les scientifiques ont en fait étaient manipulés sans le savoir, à des fins militaires. (5)
Ce qu'était vraiment, la "comète" Shoemaker-Levy.
Dans la nuit du 25 mars 1993, trois astronomes amateurs, Eugene et Carolyne Shoemaker et David Levy detectèrent une vingtainne d'objets, s'étalant sur 160 millions de kilomètres. De son observatoire du Mont Palomar (Californie), Carolyn fût la première à observer ce qui deviendra "la comète périodique Shoemaker-Levy 9" (ou "SL9"). "Je suis tombée sur cet objet à l'aspect très étrange. J'ai pensé que ce devait être une comète, mais c'était la comète la plus étrange que j'ai jamais vu", déclara-t-elle.
Effectivement, comme vous pouvez le voir sur cette photo prise le 1er juillet 1993 par le télescope Hubble, c'est une "comète" plutôt bizarre:
L'astronome venait en fait de découvrir les fameux nuages lumineux de Baryum-Lithium, qui étaient générés par les modules-bombes, situés en leurs centres. L'importance des nuages avait été adaptée à la puissance présumée des bombes correspondantes. Dans certains cas, les modules étaient groupés deux par deux, et ont pût soit s'écarter progressivement l'un de l'autre (les "fragments" P et Q), soit rester très proches (les "fragments" G et K) comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous. Ces derniers provoquant ainsi des explosions à quelques minutes d'intervalle l'une de l'autre. Dont les phases se sont intercalées et chevauchées, peut-être avec des puissances et des épicentres quelque peu différents.(6)
Le test des modules-bombes.
Les modules de "SL9" ont été placés sur une orbite de Jupiter très excentrique d'une période de 2 ans. La forme de cette orbite est donc elliptique. Cette orbite a plusieurs particularités: à l’une de ses extrémités (périastre), elle passe à une distance du centre de Jupiter, qui est inférieure au rayon de la planète elle-même, d'où une collision inéluctable. Alors qu'à l’autre extrémité (apoastre), elle frôle la limite de la zone d'attraction gravitationnelle de Jupiter.
Si "SL9" avait eu une vitesse très légèrement supérieure, elle aurait quitté l'influence de Jupiter et aurait continué son chemin sur une orbite solaire. En regardant cette orbite, on s'aperçoit que c'est le meilleur choix si l'on veut qu'un objet circule un certain temps au large de Jupiter, en ayant le maximum de chances de se faire repérer, avant de revenir ensuite percuter la planète. Les choix de la route orbitale et des autres éléments qui décidèrent des points d'impacts, ont étaient calculés pour que les collisions se produises sur la face cachée de la planète, invisible depuis la Terre. Une précaution indispensable car ces explosions ressemblent aux explosions nucléaires, avec en plus de très puissantes émissions de rayonnements électromagnétiques (principalement des rayons gamma). Et cela aurait pût révélés la véritable nature des explosions. Toutefois, alors qu’aucun observateur ne pouvait voir directement ces événements, depuis la Terre. Mais il y eu tout de même un témoin inattendu des évènements, la sonde Galiléo.
La sonde Galiléo, témoin involontaire de toute l'opération.
Ce programme d'exploration avancée de Jupiter (après plusieurs reports) à finalement était lancé le 8 octobre 1989. La sonde Galiléo partie dans le système solaire, afin de bénéficier de plusieurs réactions gravitationnelles, pour pouvoir atteindre enfin Jupiter en décembre 1995, au terme d'un trajet d'une durée de plus de six années. Curieusement, alors que les impacts de "SL9" étaient sur la face cachée de Jupiter, Galiléo (illustration ci-dessous) se trouvait au même moment, avec une vue directe les événements.
Cette sonde, équipée de caméras et de multiples détecteurs hyper sophistiqués, avait connu depuis son départ plusieurs problèmes techniques. Et même si cela est bien-sûr possible dans le vide spatial, il faut sans doute faire le tri. Pour discerner les pannes réelles des pannes "imaginaires", dirons-nous. Qui offraient un bon prétexte technique pour occulter une partie de l'information aux astronomes ainsi qu'au public.
Parmi celles-ci, on peut citer:
- Un retard d'une cinquantaine de secondes dans l'ouverture du parachute du module atmosphérique, qui nous masque la composition des premiers kilomètres de l'atmosphère de Jupiter, et justement à l'altitude où les explosions semblent avoir eu lieu.
- Une panne momentanée des bandes enregistreuses qui nous prive des images rapprochées des satellites de Jupiter "Io" et "Europe".
- Une erreur de programmation qui nous voile certaines données sur les impacts de "SL9", sur Jupiter.
Sans compter la possibilité que des informations recueilles ont dût être filtrées et censurées avant d'être rendue accessible à la presse et à la communauté scientifique, cela est plus que probable (7). En fait, les militaires voulaient avoir l'avantage et bien-sûr la primeur des images de Galiléo. On peut être sûr qu'elles n'ont pas étaient perdues pour tout le monde. Ils avaient bien besoin d'un "visuel" de leur test "grandeur nature".
L'opération "SL9".
L'opération "SL9" était une opération de grande envergure. Ce n'est pas moins que six missions militaires, à l'aide de navettes spatiales, qui furent utilisées. Les lancement de navettes se sont étalés sur trois ans et ont eu lieu depuis Cap Canavéral:
- Le 8 août 1989 (STS 28), avec la navette Columbia;
- Les 22 novembre 1989 (STS 33) et 28 avril 1991 (STS 39) avec la navette Discovery;
- Les 28 février 1990 (STS 36), 15 novembre 1990 (STS 38) et 24 novembre 1991 (STS 44), avec la navette Atlantis;
En outre, on peut aussi remarquer que lors de leur lancement, tous ces vols étaient officiellement pour les médias, des missions militaires pour la mise en place de satellites pour le Département de la Défense.(8)
Chacune des navettes emmenait dans sa soute, une autre capsule spatiale. En quelques sortes, des "cargos" de forme cylindrique et équipé d'un propulseur à l'arrière (9). La technologie ayant beaucoup évolué, depuis les premiers essais réalisé vers le Soleil, les bombes s'étaient fortement miniaturisée et allégée, permettant à chaque navette, d'en transporter un plus grand nombre qu'auparavant (illustration ci-dessous). Les six "vaisseaux-cargo" n'avaient pas tous la même taille. Quatre de ces "vaisseaux" contenaient chacun trois modules-bombes, les deux autres, de taille supérieure, en transportaient six chacun. Ce qui faisait un total de vingt-quatre bombes.
Les quatre petits "vaisseaux-cargo" avaient été fabriqués, pour qu'ils puissent aussi être lancés à partir d'une fusée Titan IV, en cas d'une possible défaillance des vols-navettes. Chacun de ces "vaisseaux" prit la route de Jupiter, d'après une trajectoire adaptée selon la position de la Terre, au moment de son lancement et le temps qu'il mettrait pour arriver à destination.
Il faut préciser que ces vaisseaux-cargo (illustration ci-dessous) ont rejoint directement un point de l'orbite de Jupiter, aux environs du 1er mars 1993. Ainsi le dernier vaisseau-cargo, partie de la Terre le 24 novembre 1991, a effectué ce parcours en guère plus de quinze mois.
L'opération de largage des modules-bombes.
Après avoir fait le trajet en solitaire, les six vaisseaux-cargo se sont donc retrouvés à une quarantaine de millions de kilomètres de Jupiter. De là, ils se sont positionnés et alignés sur l'orbite connue de la "SL9", les portes des soutes furent ouvertes et les modules-bombes ont été éjectés automatiquement (illustration ci-dessous). Une fois la cargaison larguée, les capsules de transport se sont écartées de l'orbite et se sont auto-détruites en explosant.
La technique de camouflage et l'opération de bombardement.
Les modules-bombes se sont ensuite positionnés plus précisément sur leur orbite à l'aide d’un petit propulseur (illustration ci-dessous). C'est là que la méthode de camouflage fût mise en application: le baryum-lithium a été liquéfié par chauffage, puis vaporisé à l'extérieur du module. Dans le froid spatial il s'est re-solidifié, en très fines particules que les rayonnements solaires ont rapidement ionisés.
Grâce à l'énergie de l'antimatière et à la technologie des supraconducteurs, un très puissant champ magnétique externe a alors était activé, créant de ce fait une magnétosphère artificielle autour du module, laquelle a pût ainsi piéger et conserver la plus grande partie de ce nuage de particules ionisées. Faisant alors passer les modules-bombes, pour des "débris cométaires" aux yeux des astronomes (la "SL9").
Durant la phase d'approche de Jupiter, lorsque les modules ont traversé la magnétosphère de la planète, les interactions des deux champs magnétiques ont fait que les modules ont perdu progressivement la partie périphérique externe du nuage, pour ne conserver que le noyau central, qui était plus dense et plus proche des bombes. A l'entrée dans l'atmosphère, c'est donc ce noyau de poussières qui, en entrant en collision avec les molécules de la couche atmosphérique externe, a provoqué la première luminosité visible (et observable depuis la Terre), au delà de l'horizon de Jupiter.
Les modules, avaient tous étaient conçus globalement sur le même principe (illustration ci-dessous). Toutefois, ils comportaient tous, dans un soucis d'expérimentation et de test, un certain nombre de variantes. En taille, en puissance explosive, en système de mise à feu. Ainsi, c'est le module K qui a provoqué les plus fortes interactions avec la magnétosphère de la planète.
Créant de puissantes accélérations de particules, ions et électrons, qui s'y trouvent. Ces particules, voyageant rapidement le long des lignes du champ magnétique de la planète, ont produite des effets dans l'infrarouge, l'ultraviolet et des émissions de rayons x dans l'atmosphère de Jupiter.
Le premier impact de "SL9" (en fait le largage des bombes, illustration ci-dessous) a eu lieu le 16 juillet 1994 et le bombardement de Jupiter s'est poursuivi jusqu'au 22 juillet. Chaque impact se trouvera être visible de la Terre dix minutes plus tard.
Les impacts provoquèrent des boules de feu géantes, des panaches s'élevant à 3300 km d'altitude et des retombées de débris, créant de gigantesques tâches sombres (certaines atteignant parfois quatre fois la taille de notre Terre!).
La puissance du septième impact, le plus important, sera évalué à un million de mégatonne (deux cent fois la puissance de toutes les bombes thermo-nucléaires de la planète !). Les fragments de l'explosion, penetrant dans la haute atmoshère de Jupiter à 60 km/h à la seconde, s'y enfoncèrent à quelques 100 km de profondeur (où la pression atteint un bar). En laissant derrière eux une trainée de gaz ionisé, d'une température de dix mille degrés. Le tout réagit alors à la manière d'un geyser et du gaz provenant des couches profondes de Jupiter, se trouve alors expédié à des milliers de kilomètres de la planète. En formant un nuage opaque. Voilà pourquoi les effets visuels ont étaient si spectaculaire (photo ci-dessous
De nombreux scientifiques furent très intrigué et certains d'entre-eux ne furent pas dupe. La fréquence de collision entre Jupiter et une aussi grosse "comète" est en moyenne de deux mille ans. Pour que cela se produise au moment où le télescope spatial Hubble était réparé, où la sonde Galiléo se trouvait bien placée en vue directe, où les détecteurs infrarouges étaient efficaces, alors que les Etats-Unis voyaient l'aboutissement de leurs recherches sur l'antimatière, cela relève bien plus que d'une synchronicité chanceuse.
De plus, l'analyse par les radios-téléscopes et la sonde Galiléo, qui sont capables de sonder chimiquement l'atmosphère par les ondes radars, afin de déterminer la nature des composants présents sur les planètes, a bien montrée dans ces relevés la présence d'émissions de Tritium sur Jupiter. Emissions qui ont étaient détectées après le bombardement de la planète. Et l'explosion d'une charge "à antimatière", provoque toujours des résidus de Tritium (et aussi de Lithium).
Y-a-t-il eu d'autres tests à destination de Jupiter ?
Après les tests sur Jupiter, qui est un astre froid et gazeux. Il semblerait logique qu'ils aient voulu expérimenter ces bombes sur un astre, non plus gazeux, mais tellurique. C'est-à-dire un astre rocheux, comme la Terre ou la Lune. Il fallait bien sûr que cet astre soit relativement loin de la Terre, ce qui exclurait la Lune, Mars, Vénus et Mercure. Il fallait aussi qu'il y ait la possibilité de bien voir les effets des explosions, c'est-à-dire de disposer d'un moyen d'observation fiable.
Et les satellites de Jupiter, répondent justement à ces conditions, avec la sonde Galiléo qui est en place pour permettre leur observation rapprochée.
De plus, on pourrait rapprocher cette possibilité, avec la curieuse panne d'enregistrement de Galiléo lorsqu'elle a frôlé Io et Europe en décembre 1995 (qui nous a privé d'images rapprochées des deux satellites de Jupiter).
Une des raisons pour lesquels les Etats-Unis acceptent le désarmement nucléaire.
Paradoxalement, c'est grâce à l'antimatière, que les Etats-Unis sont maintenant tout-à-fait d'accord, pour arriver à un désarmement nucléaire (peut-être pas en totalité, mais avec de fortes diminution).(10)
Avec leur armement à "antimatière", ils disposent d'une arme bien plus puissante que la bombe atomique, sans avoir les contraintes de la "radioactivité". De plus, ils sont les seuls à détenir cette technologie. Donc pour les forces Américaines, c'est la suprématie militaire mondiale assurée. C'est bien là le principal avantage de la technologie à antimatière. On a pas besoin d'en mettre beaucoup, donc ça prend moins de place dans la soute des bombardiers, ou dans un missile (par exemple "à tête multiples"), alors ils peuvent en transporter et/ou en mettre beaucoup plus. Tout en gardant, à l'unité, une capacité de destruction énorme.
Mais, comme officiellement, "les Etats-Unis n'ont pas d'armement à antimatière", on peut penser qu'ils garderont une certaine capacité de frappe nucléaire. Ne serait-ce que pour faire illusion auprès des autres pays. Il est vrai que le pays le plus puissant de la planète, "militairement parlant", ne va pas se retrouver comme ça, du jour au lendemain, sans aucune arme atomique. N'oublions qu'elles ont étaient mises en place, comme "armes de dissuasion".
Note:
(1) Les D.S.P. sont des programmes de la Défense existant depuis les années soixante. Ces programmes avaient tous, tout-au-moins au début, une mission "Stratégique et tactique de détection de lancement de missile, et d'explosions nucléaires". C'est pourquoi ils étaient souvent en rapport avec l'espace, surtout par la fabrication, l'amélioration et le lancement de satellites espions. Mais ils peuvent aussi être sous la responsabilité d'un "Department" Américain quelconque: US Army, USAF, US Navy,...etc. Ils n'ont en général pas de "nom de code" et on les identifie par un numéro (possibilité d'une lettre en plus).
(2) Ce programme expérimental était appelé "Centurion-Halite", c'était un programme officiel de recherche sur la maîtrise de la fusion de l'hydrogène.
(3) Andreï Dmitrievitch Sakharov, (21 mai 1921-14 décembre 1989), est un physicien nucléaire Soviétique, qui devint le concepteur (avec Tamm) de la Bombe H. Il fût un militant des Droits de l'Homme, des libertés civiles et pour une ouverture de l'URSS. Il a obtenu le Prix Nobel de la Paix en 1975.
(4) Evidemment, ils "relativisent", si je peux dire, leur extrême puissance, en réduisant la quantité d'antimatière contenue dans les bombes fabriquaient pour une utilisation terrestre. Les bombes utilisables sur Terre sont de la taille d'une balle de golf (avec la force de destruction d'environ une tonne de TNT).
(5) Et utiliser l'espace à des fins militaire est strictement interdit par l'ONU. Les "Traités et principes des Nations Unies relatif à l'espace extra-atmosphérique", adopté à l'unanimité par l'Assemblée Générale, déclarent que toute exploitation militaire de l'espace est interdite.
(6) La "SL9" a été découverte le 24 mars 1993, mais des astronomes l'ont également vue sur des photos du 15 mars 1993. Curieusement, avant cette date, rien n'a été observé, alors que la "SL9" était sensée s'être désintégrée à proximité de Jupiter en juillet 1992 et aurait donc dût voyagé sur cette orbite avec son nuage de poussière, depuis 8 mois (ayant parcouru plus de 40 millions de kilomètres).
(7) C'est ainsi que plusieurs scientifiques se sont étonnés que Galiléo n'est enregistrée que des effets relativement minimes des impacts de "SL9". Alors que les astronomes basés sur Terre, cinq fois plus éloignés et beaucoup plus mal placés, ont eux observés des effets grandioses, qui allaient parfois jusqu'à saturer les détecteurs.
(8) "STS", "Space Transport System", terme utilisé pour désigner un vol-navette. Les missions militaires portent le nom de: "STS Contingency Support Office Departement of Defense". La navette est désignée par le terme "Space Shuttle".
(9) La "charge utile", transportable par une navette est de trente tonnes. Il faut savoir que lors des essais en vol "à vide", il s'avéra que la navette était très difficile à maneuvrer, et devenait presque incontrôlable. Pour rétablir ce problème d'équilibre et pouvoir rétablir son "assiette", comme on dit en jargon aéronautique, et comme cela aurait trop coûteux de la modifier, on décida de toujours charger le satellite, en le plaçant systématiquement le plus à l'arrière de la soute. Une conséquence de cette contrainte est que la soute, ne peut donc pas être utilisée au maximum de sa contenance.
(10) D'autant plus que l'énergie nucléaire présente dans les bombes, peut être reconvertie en nucléaire "civile", et servir à alimenter les centrales nucléaire pour fournir de l'électricité. C'est donc "tous bénéfices" pour eux, maintenant qu'ils ont l'alternative de l'antimatière.
Source: "Ovnis et armes secrètes Américaines", par Jean Claude PETIT, Editions Albin Michel;
http://mystere-des-civilisations.overblog.com/le-projet-d-s-p-32
www.jp.petit.org;
www.2.jpl.nasa.gov