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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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Archives
psychotronique
17 mars 2017

Psychotronique :Transmission de maladies par effet de champ bioplasmique

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 il est un phénomène que je ne pouvais occulter c’est celui de pouvoir communiquer à distance des pathologies voire la mort et ce sans dispersion d’agents pathogènes (virus, bactéries) ou autres moyens “ classiques ”. Les premières démonstrations de transmissions psychophysiques de maladies succèdent aux travaux de l’histologiste soviétique Gurvitch qui démontra la contamination à distance de cultures de tissus (in vitro) sains par des cultures rendues pathologiques par un virus. Schématiquement : un tissu unique est séparé en deux parties qui sont mises en culture dans un milieu approprié. L’infestation soit virale soit bactérienne ou chimique d’une des deux cultures est transmise à l’autre. La transmission optimale se faisant si les récipients sont en quartz (qui lui, laisse passer les rayons U.V et I.R.) . Gurwitch confirmait ainsi ce qui est nommé le rayonnement mitogénétique par photons U.V. Les biologistes Russes parlent d’influence “ télépathique ” cellulaire. Je connais bien les expériences de Vlaïl Kasnachaïev de l’Institut Médical de Novossibirsck (cultures infestées de virus Cocksackie A 13). La recherche militaire a très rapidement compris ce que permettrait le développement maîtrisé de la transmission psychophysique des maladies. Il fut constaté (Krivorotov) que les sujets psi manifestant des capacités de guérisseur, multipliaient par 1.000 l’intensité des photons U.V (bio-photons) lorsqu’ils se concentraient sur leur patient. A l’aide de dispositifs qu’il serait trop complexe d’exposer ici , les sujets psi effectuent un transfert – par transmission psychotronique – de maladies mortelles à d’autres organismes par un processus d’orthorotation (Bearden). Le transfert s’expliquerait par le fait que le schème morbide virtuel qui s’introduit (secrètement) dans l’ensemble conscience-organisme au niveau du biochamp de la “ victime ” est activé par son propre corps physique (résonance morphique) où il exerce une influence destructrice sur des groupements de molécules (clusters) et des structures cellulaires en déclenchant des processus énergétiques et biochimiques dommageables. Ces schèmes morbides sont véhiculés dans la composante temporelle des photons UV, sachant que les “ signaux ” psi choisissent la ligne “ directe à travers l’hyperespace ”.

 

Le Psi perturbera t-il les

codes secrets du 21 ème siècle

comme la Cryptographie Quantique ?

 

Les codes secrets destinés aux espions n’échappent pas aux progrès scientifiques les plus en pointe. Les instructions destinées aux espions intiment de détruire le message après lecture ; les propriétés quantiques comblent le voeu des services secrets : le message est détruit parce qu'il est lu !

 

Le message quantique est constitué de photons - les particules de lumière - envoyés un à un à la suite les uns des autres. Le photon est le support du message, et sa polarisation, c'est-à-dire l'orientation de son champ électrique, la teneur du message. L'essence de la méthode tient à la mesure de la polarisation d'un photon. On utilise pour cette opération un filtre, symbolisé par une grille. Quand la grille est parallèle à la polarisation du photon, le photon traverse et est détecté ; quand la grille est perpendiculaire à la polarisation, le photon est absorbé et ne traverse pas. Lorsque la grille fait un angle de 45 degrés avec la polarisation du photon, celui-ci a une probabilité égale à un demi de traverser, et donc une chance sur deux de donner un signal en sortie.

 

Supposons que j'envoie un message composé de 1 et de 0. Pour envoyer 1, j'envoie un photon de polarisation verticale, et pour envoyer 0 un photon de polarisation perpendiculaire, c'est-à-dire horizontale. Si vous utilisez une grille verticale vous détecterez un photon dans le premier cas et pas de photon dans le second cas et le message sera parfaitement transmis. Le problème est que si un espion sait que le message est envoyé avec ce code de polarisation, il peut le détecter aussi bien que vous. Aussi je décide de compliquer l'émission en envoyant les photons 1 selon un axe de polarisation verticale ou selon un axe à 45 degrés de la verticale, et les photons 0 selon la polarisation horizontale ou à 135 degrés de la verticale. J'envoie ainsi une suite de 0 et de 1 selon une orientation de codage aléatoire, c'est-à-dire que je détermine la direction de polarisation

 

Un cryptage pas si sûr…

 

En cryptographie quantique, reprécisons-le, les photons sont émis un à un et captés après passage à travers une grille. Le photon traverse quand sa polarisation est parallèle à la grille, est absorbé quand il est perpendiculaire et la probabilité de traversée est 112 quand sa polarisation est à 45 degrés (ou 135 degrés) de la grille. À chaque polarisation est associée un bit 0 ou I. Dans la plupart des cas le photon est modifié par son passage à travers la grille, ce qui fait que le message est détruit quand il est lu. Une comparaison des orientations émises et reçues permet à l'émetteur et au récepteur d'établir une suite de bits, suite qui constitue un code secret permettant de coder un message ultérieur vertical ou à 45 degrés en tirant à pile ou face, mais je garde en mémoire la liste de mes tirages, De votre côté vous examinez la polarisation de chaque photon avec un filtre vertical ou à 45 degrés, le choix étant fait là aussi au hasard.

 

Lorsque mon orientation et la votre coïncident, vous avez le bon message, sinon (émetteur et détecteur sont à 45 degrés), le message que vous recevez ne signifie rien puisque, une fois sur deux, et sans que l'on puisse le déterminer, nous enseigne la mécanique quantique, le photon ne passe pas. je vous envoie alors la liste de mes orientations de polarisation : tout le monde peut la lire mais personne ne pourra en tirer profit, car vous avez été le seul à lire la suite de bits codés et qui a été détruite par la mesure. Vous savez alors quels chiffres correspondent à mon émission et vous me transmettez les numéros des bits que vous avez bien déchiffrés. Nous avons ainsi en commun une liste de bits convenablement déchiffrés, que personne d'autre ne peut connaître et qui peut nous servir à coder nos messages futurs. De plus je peux savoir si un intrus a intercepté tout ou partie du message, car tout photon lu est irrémédiablement détruit. Certes, me direz-vous, mais l'espion peut re-émettre les photons une fois qu'il les a lus.

 

Le talon d’Achille : les sujets Psi ?

 

Peut-être mais il se trompera souvent lorsque l'espion oriente mal sa grille, ce qui se produit une fois sur deux, il renvoie un photon mal imité qui n'est pas, une fois sur quatre, celui qui a été envoyé. Pour vérifier la présence ou l'absence d'un espion nous pouvons échanger non seulement le numéro des bits communs, mais aussi la nature du message (pour une partie de celui-ci, sacrifiée) ; si les messages diffèrent entre l'émetteur et le récepteur, c'est qu'un espion a essayé d'intercepter le message. Dans ce cas, nous jetterons nos listes au panier et j'en émettrai une nouvelle. La liste de 0 et de 1 ainsi établie entre nous, me servira à vous envoyer un message que vous seul pourrez reconnaître. La prolifération des communications incite les utilisateurs à coder leurs échanges. La cryptographie quantique est l'un des rares systèmes qui pourrait être absolument sûr, mais non seulement sa réalisation pratique est difficile, mais l’intervention d’un sujet Psi qui peut à un moment donné du processus, modifier l’orientation du photon (collapse Psi ) et rendre le cryptage obsolète au moment de sa « lecture » par le récepteur. En effet, il est délicat d'envoyer des photons isolés sans qu'ils soient absorbés, et le fondement de la méthode tient au fait que chaque photon transmet un message. S'il y avait plusieurs photons munis du même message, il suffirait au sujet d’en « prélever » un à l'insu des utilisateurs. Actuellement le système fonctionne avec un émetteur et un utilisateur distants de quelques dizaines de centimètres. Les progrès technologiques permettront d'augmenter cette distance, et dans le vide intersidéral où émettent les satellites, la méthode semble utilisable. Le talon d’Achille de ce cryptage est bel et bien le (ou les) sujet psi qui, déjà familiarisé aux générateurs de hasard émetteurs de photons, agirait sans trop de difficulté sur ces systèmes qui ne sont sûrs … que pour les promoteurs de ce type de cryptage !

Concluons : Pendant que la communauté scientifique “ civile ” s’échine à combattre l’étude de tout ce qui touche au paranormal, elle ferait mieux de s’y pencher très sérieusement et de ne pas laisser ces recherches uniquement aux militaires et aux politiques. Pour ces derniers, le problème posé n’est plus la réalité du psi mais plutôt de savoir comment le maîtriser pour en faire un instrument de pouvoir !

 

L’idée que les phénomènes Psi puissent être utilisés à des fins militaires ne datent pas d’hier si l’on en juge par l’article publié en 1916 dans les colonnes des « Annales des Sciences Psychiques »

Annales des Sciences Psychiques

REVUE MENSUELLE . 26ème Année - Février 1916 - N°2

Pourrait-on utiliser pour la guerre les phénomènes parapsychiques ?


M. L. Bardonnet a fait sur ce sujet d'actualité, une conférence à l'Hôtel des Sociétés Savantes, le Dimanche 6 février. Le conférencier est auteur d'un ouvrage : L'Univers Organisme, dont M. Emile Boirac a parlé assez favorablement dans la Revue de Philosophie de M. Th. Ribot. Il pense que les théories philosophiques et scientifiques qu'il a développées dans son livre peuvent contribuer puissamment à l'explication et à la systématisation des phénomènes parapsychiques, ou métapsychiques, de telle façon que les facultés de « vision à distance » présentées par quelques sujets pourraient probablement être employées pour découvrir l'emplacement des troupes, des fortifications, des batteries ennemies, etc. Il demande que des expériences soient faites au plus tôt dans ce sens.

L'auditoire, très nombreux, s'intéressa à la conférence de M. Bardonet, aussi bien à cause de l'originalité de ses aperçus que par l'élocution facile et limpide avec laquelle ses pensées furent exposées. M. de Vesme fit observer que tous les psychistes devaient nécessairement accueillir les théories et les projets de M. Bardonnet avec un scepticisme assez justifié par ce qu'ils connaissent de l'imperfection et de l'inconstance des facultés des « clairvoyants ». Il exprima toutefois l'avis que la proposition du conférencier ne devait pas être écartée a priori, ce qui lui paraissait anti-scientifique. M. le colonel Frater proposa la nomination d'une Commission chargée d'entreprendre les expériences réclamées par M. Bardonnet. On décida que la Commission serait constituée par le Comité de Direction de la Société.

Le Comité se réunit, en effet, quelques jours plus tard. Tout en reconnaissant que ce que l'on connaît de la clairvoyance ne permet guère d'envisager avec beaucoup de confiance la réussite de ces expériences, il décida de les entreprendre, en faisant appel aux sujets et opérateurs de bonne volonté. En effet, la Société n'ayant ni la volonté ni la possibilité de faire des expériences sur des buts militaires, ceux-ci ne devront être visés que plus tard, par d'autres groupes autorisés, dans le cas où les premières expériences faites par la Société aboutiraient à un résultat favorable .

Or ces premières expériences devront se borner à constater si, par les systèmes indiqués par M. Bardonnet, des sujets sont à même de décrire avec une fréquence et une uniformité suffisante, des localités et des scènes lointaines. Cela servira du moins à l'étude des phénomènes de « vision supernormale à distance ». Les expériences ont déjà commencé avec divers sujets, dont Madame Camille Hoffmann, la. somnambule bien connue qui a servi aux études, des savants de « l'Ecole de Nancy » et. dont on a beaucoup parlé au moment de l'affaire Cadiou, quand elle fit retrouver le.corps de l'assassiné. Chassée de Nancy par les obus allemands, elle est venue se réfugier à Paris, rue du Mont-Dore, 4. Les personnes qui auraient des communications à faire au sujet de ces expériences sont priées de s'adresser au Secrétariat de la Société.

 

 

Notes

Terme désignant la parapsychologie dans les pays de l’Est.

Defense Intelligence Agency

National Security Agency

Terme général utilisé par les Russes pour désigner la télépathie et l’action d’influence à distance par effet psi.

Sur la cinquantaine, citons : Labo. de Physique Théorique de Moscou (Terletsky), Institut Polytechnique Départ. de cybernétique. St Pétersburg, Institut de Physiologie Clinique de Kiev (A. Podchibiakine), Institut de Médecine Clinique Expérimentale. Novossibirsk ( V. Kanachaïev), Laboratoire Filatov de Physiologie de la vision (A. Chevalev) Odessa. Nous pourrions citer les 42 autres laboratoires dont nous avons connaissance pour les raisons déjà évoquées dans le cadre de l’opération « Stargate ».

Extra Low Frequency. Ondes de très basses fréquences comprises dans le spectre de celles de l’organisme humain et principalement du cerveau : de 7 Hz à 33 Hz.

Sujet récepteur conscient ou inconscient de l’information (message) télépathique

Enregistre la variation de la volémie sensible ici, au taux d’adrénaline libérée sous l’action du SN sympathique.

Leucopénie : diminution pathologie des globules blancs dans le sang.

Celui là même à l’origine l’enquête qui aboutit sur le scandale du Watergate et qui força le Pentagone en 1995 à publier le rôle de la CIA dans l’opération Stargate.

Schème : représentation abstraite, structure d’ensemble d’un objet, d’un processus.

Hyperespace : réunion de toutes les entités provisoirement saisissables par les mathématiques, mais non par la physique, au-delà de notre Univers à trois ou quatre dimensions. Paul Davies, le qualifie d’espace composé d’espaces. Brian Josephson (Prix Nobel) voit dans l’hyperespace détaché de l’espace et du temps le “ champ d’opération ” de tous les effets psychiques paranormaux, étant donné qu’ici, il n’existe plus ni avant, ni après, mais uniquement la simultanéité.

 http://www.girard.fr/textes/actualite-news.htm

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25 novembre 2014

Psychotronique / Ces Sons Inaudibles : l'Arme Infrasonique du Dr. Gavreau

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Ces Sons Inaudibles : l'Arme Infrasonique du Dr. Gavreau

En observant les effets nuisibles de vibrations infrasoniques, le Dr. Vladimir Gavreau, scientifique français spécialisé en robotique, fut amené à mettre au point des détecteurs et des armes à infrasons, ainsi que leurs parades.

C'était magistralement macabre : des fondations noires, des piliers bleus et des plafonds arc-en-ciel ; du son, du rythme et de l'espace. Des blocs d'accords ultra-chromatiques montaient des noires profondeurs comme des murs de roches tandis que d'immenses cristallisations étoilées irradiaient de parfums tonals l'espace noir, profond, rayonnant. De merveilleuses mélodies lyriques plongeaient vers les profondeurs inconnues de l'espace, y prenaient racine dans les plus basses sonorités. Transgressant les limites de performance, les puissants piliers de l'immense architecture trouvaient leur fondation sur la basso profondo d'Olivier Messiaen.
Au grand orgue de la cathédrale parisienne, le maître compositeur utilisait des tonalités à faire vibrer le sol, provoquait des sensations d'un autre monde. Il explorait les racines inaccessibles et profondes des mondes pour assembler ses cathédrales musicales : grandeur et majesté sonore, atmosphère de tons riches de l'intelligence qui fonde, fluidité de la musique et du sens.
Et pourtant, les signaux les plus fondamentaux qui imprègnent ce monde sont inaudibles. Non seulement ils échappent à notre ouïe, mais ils enveloppent notre être. Des infrasons naturels grondent sous notre expérience quotidienne. Heureusement, leur manifestation est occasionnelle et incohérente. Inaudibles pour l'homme, les infrasons se situent sous les 15 cycles par seconde : fondement de la limite humaine. Ils ne se font pas entendre, mais sentir. Dans son rugissement silencieux, l'infrason recèle un secret terrible.
L'infrason éveille des sensations physiologiques diverses qui débutent par de vagues "irritations". A une certaine hauteur, l'infrason produit une pression physique ; à de basses intensités spécifiques, il engendre la peur et la désorientation. La propagande nazie mettait en œuvre des infrasons utilisés méthodi- quement pour éveiller l'hostilité des foules rassemblées pour entendre l'aliéné qui les manipulaient. Le résultat fut des cauchemars historiques. A certaines fréquences précises, l'infrason éclate la matière ; les organismes cèdent sous le souffle. A d'autres fréquences, l'infrason frappe d'incapacité et tue. Des créatures marines utilisent cette force pour assommer et tuer leur proie.
Les notes basses qui enflent dans la cathédrale semblent pouvoir ébranler les piliers qui soutiennent les voûtes. Il est arrivé que la basso profondo de l'orgue pulvérise les vitraux en une pluie de fragments colorés. Il y avait, sous le roulement presque inaudible de ces sonorités basiques, sous ce tonnerre, une puissance terrible, dévastatrice.

UNE SOURCE D'INFRASONS : NOTRE ENVIRONNEMENT NATUREL

Les phénomènes naturels - tonnerre, tremblements de terre, éruptions volcaniques, vagues océaniques, chutes d'eau, vents, aurores boréales - sont de prodigieux générateurs d'infrasons.
Les explosions naturelles peuvent générer des effets lointains de puissance légendaire. Lors de l'explosion du Krakatoa, l'onde infrasonique fit voler en éclats des fenêtres à des centaines de kilomètres de l'origine. La terre et l'atmosphère "sonnèrent" encore des heures durant. Il semble que sous le vacarme de cette explosion volcanique, des sons incommensurablement profonds formèrent en fait l'harmonique fondamentale de l'événement. L'île de Krakatoa fut littéralement projetée en orbite par le souffle fatal.
Les analystes affirment que l'infrason est constitué d'une très large bande de fréquences. Ces tons de grande pression et durée s'entretiennent lorsqu'ils passent dans des cavités résonantes. De telles cavités sont "trouvées et détruites" lorsque l'onde de pression entre en phase avec elles. L'infrason est le géant tonal cruel qui déchire tout ce qu'il trouve sur son passage. Des études ont montré que le choc d'une explosion émet un signal infrasonique complexe bien au-delà du périmètre de destruction apparente. Bien que ces ondes de choc soient incohérentes, leur influence destructrice pulvérise des fenêtres et des murs à grande distance, plusieurs secondes après l'événement initial. Des objets de toutes natures, formes et tailles explosent lorsque l'impulsion infrasonique traverse leur espace. Il n'est pas de bouclier qui puisse arrêter l'infrason. Les physiciens ont étudié les déchets laissés par une explosion ; peu de matériaux conservent leur intégrité. Les objets qui survivent sont classés "résistance infrasonique". Le béton armé de treillis résiste assez bien au souffle infrasonique.
Certains séismes engendrent de grands déplacements verticaux de la surface du sol, quasi imperceptibles bien que pouvant atteindre, dans les cas extrêmes, quelques dizaines de centimètres à chaque pulsion. Dans ces cas, le sol agit comme une peau de tambour, martelant sa cadence infrasonique mortelle des heures avant l'événement. Le sol ondule jusqu'à atteindre la limite élastique et se brise sous l'effort. Ces vibrations séismiques extrêmement basses sont vivement ressenties par les animaux et les humains sensibles.
En effet, autant que les structures, les organismes subissent les pressions des chocs infrasoniques. Cela donne l'impression que le corps est aplati ; comme si l'on était heurté par un mur invisible auquel il est impossible d'échapper. Le phénomène désagréable s'accompagne de peur, d'angoisse, de tension émotionnelle extrême et d'incapacité mentale. De nombreux humains, parmi ceux qui ont été exposés aux infrasons issus de séismes, se sont plaints de nausées annonciatrices ; une sensation très forte qui les a laissés sans défense.
Les vagues océaniques qui martèlent l'atmosphère produisent une énergie acoustique d'une fréquence moyenne de 16 cycles par seconde. Il existe une bibliographie bien documentée des phénomènes acoustiques étranges dits : "canons de Barisal", "canons de brume" et "canons de lacs". Certains de ces sons tonitruants se produisent de façon aléatoire, mais d'autres sont périodiques. On a essayé d'élaborer des théorie mécanistes fondées sur les combinaisons de dimensions des baies, de hauteurs des vagues, de nature géologique des rives pour tenter d'expliquer la génération de ces sons mystérieux dans certains environnements. Ces déflagrations sont de nature infrasonique, elles ont fait vibrer des fenêtres et secoué des petites villes.
Cependant, de soudaines et mystérieuses variations barométriques indiquent que la production d'infrasons trouve sa source bien au-delà des couches souterraines ou des masses d'eau. Les explosions solaires et les pulsations des vents solaires produisent des battements infrasoniques dans l'atmosphère. Des observateurs ont noté des bruits aériens de tremblements de terre. Caractéristique remarquable des infrasons : il est impossible d'en localiser exactement la source. Les grésillements aigus des aurores boréales s'accompagnent de battements profonds et menaçants. Ces ondes de chocs ne sont pas audibles, mais très nettement ressenties.
Les infrasons se déplacent sans altérations aux travers des vents et tempêtes, mais ceux-ci peuvent également engendrer des infrasons. Les rotations harmoniques puissantes des tempêtes déchirent l'atmosphère, émettant des séries radiales d'infrasons cycloniques. La sensation d'angoisse annonciatrice d'un ouragan est provoquée par une émission d'infrasons et ceux-ci rendent malades certaines personnes à l'approche des vents et phénomènes climatiques saisonniers. Les symptômes en sont l'angoisse, la dépression, la tension émotionnelle, l'irritabilité, une propension aux accidents, la nausée et la diarrhée.
Les infrasons parcourent de longues distance pratiquement sans atténuation. Leur pression demeure donc aussi forte au loin que près de leur source. Il n'est pas nécessaire que les infrasons aient une grande puissance acoustique pour qu'ils provoquent des symptômes physiologiques et psychologiques extrêmes.

NOS MOYENS DE TRANSPORT ÉMETTENT À NOTRE INSU DE DANGEREUX INFRASONS

Des constructions humaines en vibration favorisent la génération de dangereux infrasons. Le châssis d'une voiture qui prend un virage à 100 km/h produit une brusque émission d'infrasons. Le mal des transports est en relation avec l'immersion prolongée dans les infrasons dus à la vibration du châssis. Les voitures, les autobus, les trains, les motos et les avions à réaction, sont tous susceptibles d'émettre des infrasons d'intensité nocive. Chaque mode de transport possède sa fréquence infrasonique propre, résultat inévitable des frictions mécaniques et des résistances inertielles.
Il est très difficile d'enregistrer et de reproduire, à fin d'étude et d'analyse, les sons extrêmement bas. L'expérimentation doit se faire sur les lieux de leur production. Des systèmes d'émission de sons grands comme des théâtres ne parviennent pas à générer complètement toutes les sensations produites par les infrasons naturels. Mais on connaît des cas où des auditoires se sont trouvés en très grand malaise à cause de l'émission involontaire d'infrasons dans un théâtre.
Il est de première importance d'évaluer la résistance humaine aux infrasons. La médecine militaire s'est trouvée depuis longtemps devant la nécessité d'étudier les effets des vibrations mécaniques sur le jugement et le comportement des hommes. Chez les pilotes de jets ou d'engins spatiaux, la moindre erreur de jugement due aux infrasons peut entraîner des catastrophes. Et, de fait, des erreurs et imprécisions critiques se sont parfois produites. Les corps des pilotes sont littéralement saturés par les puissantes vibrations infrasoniques des châssis de jets. Si cette saturation se prolonge, les réflexes des pilotes s'en trouvent dangereusement réduits. Tenant compte de ce fait, afin d'éviter de mettre en danger le pilote et de compromettre la mission, les procédures militaires imposent des limites aux temps de vol. Les troubles affectent la vision, la parole, l'intelligence, l'orientation, l'équilibre, la capacité d'analyse des situations et de prise de décision adéquate.

ARMES PSYCHOTRONIQUES

La guerre froide faisait rage. Seuls les Etats-Unis possédaient le redoutable secret. L'arme la plus terrible jamais mise au point était la propriété privée d'un seul gouvernement. La simple existence de la bombe atomique était une menace pour les nations dont les motivations n'étaient pas entièrement altruistes. Pour plusieurs pays impérialistes agressifs et motivés, il était primordial d'acquérir la bombe. Certaines nations ne l'obtinrent qu'en la volant. Lorsque finalement les officiers scientifiques de Staline mirent au point un double de la bombe A américaine, toutes les autres nations européennes éprouvèrent soudain l'urgence d'en créer une semblable ou meilleure. Lorsque l'on cherche à défendre ses frontières, on ne mesure pas les conséquences de la divulgation des armes dévastatrices. Les armements sont, par nature, destinés à tuer ; mais y a-t-il une différence morale entre les armes de défense et les armes d'attaque ?
Avant cette prolifération atomique, les nations en conflit concentrèrent leurs recherches sur des armements bizarres mais tout aussi meurtriers pour défendre leurs frontières. On assista au développement rapide de variations et combinaisons d'armes à base de gaz, d'agents pathogènes et d'engins à radiations. Les équipes de recherche de Staline envisagèrent la puissance psychique comme moyen possible de détruire un ennemi. La guerre psychotronique fut mise au point par plusieurs groupes, privés et nationaux, avec un certain succès. Des informations concernant certaines armes psychotroniques simples ont été obtenues grâce à la perméabilité croissante du régime soviétique.
En fait, le degré de sécurité des frontières s'est avérée inversement proportionnel à l'importance de l'armement. Tandis que les superpuissances orientaient leurs programmes de développement vers des armes nucléaires de destruction massive, d'autres se concentraient sur des armes conventionnelles plus pratiques qui répondaient aux besoins immédiats d'une guerre tactique sur des champs d'action limités.
Tout en mettant au point sa propre arme atomique, la France chercha, dans tous les domaines technologiques, des armes de défense tactiques. Des armes à portée limitée étaient mieux adaptées pour faire face à une attaque conventionnelle aux frontières. Mais on chercha aussi d'autres systèmes qui, bien que non nucléaires, puissent être tout aussi imparables. A l'instar du grand chevalier franc Charles Martel, repoussant les impitoyables envahisseurs venus de l'Est, un nouveau "Marteau" serait mis au point pour défendre la France contre d'éventuels nouveaux envahisseurs. De même que Charles Martel était sortit de l'ombre, cet étrange nouveau "Marteau" allait naître dans une égale obscurité.

COMMENT LE Dr GAVREAU PASSE DE LA ROBOTIQUE AUX INFRASONS

L'objet central de la recherche du Dr. V.Gavreau était la robotique, les automates télécommandés. A cette fin il rassembla, en 1957, un groupe de scientifiques aux Laboratoires Electroacoustiques de Marseille. L'équipe, qui comprenait Marcel Miane, Henri Saul et Raymond Comdat, développa avec succès une grande variété d'engins robots destinés à des usages tant civils que militaires. Au cours de ces activités, le Dr. Gavreau et son équipe firent une surprenante observation qui, non seulement interrompit leurs travaux, mais devint leur principal thème de recherche. Tout le groupe, qui travaillait dans un grand bâtiment en béton, éprouva périodiquement d'inexplicables nausées, souvent plusieurs jours, voire, semaines d'affilée. Des inspecteurs industriels convoqués sur place furent eux-mêmes victimes de ces malaises. On pensa qu'ils étaient dus à un phénomène pathogène, une sorte de "maladie du bâtiment". Aucun agent biologique de ce type ne fut détecté, mais les malaises continuèrent. Comme leur programme de recherche s'en trouva perturbé, l'équipe demanda un examen complet des lieux.
Les experts découvrirent que les mystérieuses nausées cessaient lorsqu'on fermait certaines fenêtres du laboratoire. Ils en conclurent qu'une quelconque émission de "gaz chimique" se produisait et entreprirent une fouille approfondie. Aucune émanation toxique ne fut détectée par aucun moyen technique, mais les ingénieurs purent finalement circonscrire l'origine du problème à un ventilateur électrique incorrectement installé. Ils pensèrent d'abord que le moteur émettait des fumées toxiques, des vapeurs d'huile ou de lubrifiant, mais rien de ce genre ne fut trouvé. Finalement ils découvrirent que ce moteur, à rotation lente, mal fixé à ses supports dans une gaine d'aération de plusieurs étages de haut, produisait des vibrations "écœurantes". Pour le Dr. Gavreau et ses associés, le mystère s'épaissit encore lorsqu'ils tentèrent de mesurer l'intensité et la fréquence de ces vibrations. Ne parvenant pas à obtenir la moindre lecture acoustique, ils se mirent à douter des conclusions des experts. Et cependant, la fermeture des fenêtres mettait fin à la sensation de nausée.
Dans un trait de raisonnement scientifique lumineux, Gavreau et son équipe comprirent qu'ils avaient affaire à un son tellement bas qu'aucun détecteur microphonique courant ne pouvait le mesurer. Cette recherche leur coûta cher, ils leur fut impossible de la poursuivre pendant de longues périodes. En fait, en cherchant à mesurer exactement la source du son, ils y furent tous directement exposés et en furent très malades pendant des heures. Lorsque, finalement, ils parvinrent à obtenir des mesures, ils trouvèrent une fréquence fondamentale de sept cycles par seconde. En outre, la fréquence infrasonique était de faible intensité. Il devint évident que le moteur, en vibrant lentement, induisait une résonance infrasonique dans la longue cheminée en béton. Le moteur branlant fonctionnait comme l'anche d'un énorme tuyau d'orgue aux sons écœurants. Jouxtant l'ensemble de la structure en béton de l'immeuble, une enceinte industrielle caverneuse, la colonne d'air en vibration recevait une amplification infrasonique surprenante.
La compréhension de cette configuration expliquait aussi pourquoi la fermeture de certaines fenêtres atténuait les effets de malaises. Ces ouvertures modifiaient le profil acoustique de l'immeuble et permettaient d'opérer un changement de fréquence et d'intensité. Depuis cette découverte, on a pu observer les effets nocifs d'émissions infrasoniques dans d'autres immeubles de bureaux ou industriels. Les malaises résultants de l'exposition à des sources d'infrasons naturels ou d'origine humaine sont aujourd'hui bien connus. La recherche et l'élimination de cavités résonantes fait maintenant partie des procédures architecturales de routine. De tels défauts apparaissent encore dans certains bâtiments anciens, construits avant que le phénomène soit connu ; ils sont alors corrigés par l'apport de matériaux absorbants acoustiques.

PREMIÈRES EXPÉRIENCES DANS LA RECHERCHE MILITAIRE

Le Dr. Gavreau et son groupe se mirent à examiner prudemment les effets de leur "orgue à infrasons" à diverses intensités et fréquences. En modifiant la tension des supports élastiques du moteur du ventilateur, il était possible de faire varier la fréquence. Des résonances infrasoniques diverses furent produites dans tout l'immeuble. La fermeture des fenêtres stoppait la plupart des symptômes, mais en les ouvrant un tant soit peu, même avec une source très faible, les effets de nausée atteignaient à nouveau l'équipe.
Dans le domaine de la recherche militaire, Gavreau soupçonna qu'il avait trouvé, dans les infrasons, une arme nouvelle et jusqu'ici inconnue. Songeant aux explosifs naturels qui généraient les infrasons, Gavreau spécula sur leur application comme moyen de défense. Les effets explosifs des infrasons naturels dans les coups de tonnerre permettaient d'entrevoir ce que pouvait produire une "machine à coups de tonnerre artificiels" ; mais comment générer des coups de tonnerre dans un système compact ? Ces réflexions stimulèrent un débat théorique sur la possibilité de produire des infrasons cohérents ; une sorte de "laser à infrason". Les premiers mécanismes que Gavreau mit au point cherchaient à imiter "l'accident" qui avait été à l'origine de la découverte. L'équipe conçut de véritables tuyaux d'orgue de sections et de longueurs énormes, le premier d'entre eux ayant 1m83 de diamètre et 22m88 de longueur. On construisit deux types de tuyaux d'orgue infrasonique : le premier utilisait un piston qui pulsait le son produit par le tube, le second, plus conventionnel, fonctionnait à l'air comprimé. Ces machines furent essayées à l'extérieur, solidement appuyées contre des murs de protection absorbants, tandis que les expérimentateurs se tenaient à grande distance.
La principale fréquence résonante de ces tuyaux s'avéra se situer dans la "gamme mortelle", entre trois et sept cycles par seconde. Ces sons ne pouvaient être perçus par l'oreille humaine, un gros avantage pour un système de défense, mais ils étaient très nettement ressentis. Quand bien même les tuyaux ne furent essayés que pendant quelques secondes, chez les chercheurs, les malaises apparurent rapidement et de façon inattendue. Les ondes de pression heurtaient le corps entier dans une étreinte terrible et inévitable ; une pression qui survenait de tous les côtés à la fois, une enveloppe de mort. Ensuite survenait la douleur, une sourde pression sur les yeux et les oreilles. Enfin, un effet terrifiant se produisit sur le support matériel du mécanisme lui-même. Lorsque le fonctionnement des tuyaux fut un peu prolongé, un grondement secoua la zone entière, menaçant de détruire le bâtiment ; il y eut des mouvements dans les piliers et les joints de la structure massive. Un des techniciens parvint à surmonter suffisamment la douleur pour couper l'alimentation du système.
Ces expériences avec les infrasons étaient aussi dangereuses que les premiers essais nucléaires, mais les agressions infrasoniques sur le corps sont d'autant plus redoutables qu'elles viennent dans un silence total. Après ces essais préliminaires, Gavreau et ses associés furent sérieusement malades. Ils eurent des troubles de la vision pendant plusieurs jours et leurs organes internes furent atteints : le cœur, les poumons, l'estomac et les cavités intestinales furent envahis par des spasmes douloureux. Ils eurent des convulsions musculaires, des entorses et des larmes. Toutes les cavités résonantes du corps avaient absorbé l'énergie acoustique destructrice et auraient été déchirées complètement si l'alimentation n'avait été coupée juste à temps.
L'efficacité des infrasons comme arme de défense ayant été démontrée à satiété, bien des questions restaient posées. Après cet accident effrayant, il sembla redoutable de s'approcher encore de ce matériel. Quelle puissance pouvait-on donner à un émetteur d'infrasons avant qu'il ne menace les opérateurs eux-mêmes ? Avec d'extrêmes précautions et du respect pour les forces avec lesquelles il travaillait, Gavreau recalcula tous les paramètres de son projet. Il avait complètement sous-estimé la puissance produite par les tuyaux ; au fait, il avait volontairement réduit le chiffre estimé du rendement afin de s'assurer une lecture significative. Jamais n'aurait-il imaginé que les paramètres, dans le domaine des infrasons, étaient beaucoup trop forts ! La seule façon d'établir les rapports entre l'énergie infrasonique et ses effets biologiques et matériels était d'obtenir et d'analyser une collecte de données empiriques. Pour cela, on refit des essais avec des modèles réduits tant au niveau de leur taille, les grandes dimensions des premiers étant inacceptables, que de leur rendement. Pour s'assurer le contrôle parfait des pulsations dangereuses, on mit au point plusieurs dispositifs de sauvegarde par coupure automatique. Ceux-ci réagissait à l'onde infrasonique rayonnante. Des interrupteurs barométriques limitaient automatiquement l'intensité.
Dans le but de produire des générateurs compactes et contrôlables, Gavreau conçut et essaya des cors et sifflets de diverses tailles. Ces cavités résonantes remarquablement simples étaient plates, circulaires et possédaient un conduit d'émission latéral. C'était simplement les répliques de cornes de brume et de sifflets de police. Les "cornes de brume" infrasoniques produisaient une redoutable énergie de deux kilowatts à une fréquence de 150 cycles/seconde. Il fut plus aisé d'obtenir les spécifications requises avec les "sifflets de police" plats. Leurs caractéristiques générales étaient faciles à déterminer, une formule mathématique ayant été élaborée à cet effet. La fréquence de résonance se déduisait du quotient de la constante numérique 51 par le diamètre du sifflet. L'accroissement de la profondeur correspondait à une augmentation de l'amplitude. Un appareil d'un diamètre de 1m30 donnait une fréquence infrasonique de 37 cycles/seconde. Celui-ci, bien que l'intensité n'excéda pas deux watts, secoua violemment tout le complexe de laboratoires.

LES RECHERCHES DE TESLA ET LES TESTS MÉDICAUS DES MILITAIRES

Il ne faut guère d'amplitude aux infrasons pour qu'ils produisent des malaises physiques. Plusieurs chercheurs se sont accidentellement fait du tort en ayant réussi, intentionnellement ou par inadvertance, à produire des vibrations infrasoniques. Le Dr. Nikola Tesla utilisait des plateaux vibrants pour favoriser la vitalité. Il aimait "tonifier le corps" avec des plates-formes de son invention. Ces plateaux étaient montés sur des blocs en caoutchouc et mis en vibration simplement par des roues excentriques motorisées. Utilisés modérément pendant une minute, ils étaient agréablement stimulants et redonnait au corps du tonus pour plusieurs heures. Par contre, leur usage excessif pouvait rendre gravement malade et s'avérait particulièrement dangereux pour le cœur. Le corps entier "résonnait" pendant des heures, avec une fréquence cardiaque et une tension artérielle augmentées. Ces effets pouvait être mortels.
Il y eut un cas historique où Samuel Clemens, un proche ami de Tesla, refusa, malgré les avertissements répétés, de quitter le plateau vibrant. Tesla regretta de lui en avoir laissé l'accès, mais sa vigilance fut distraite par le bruit du plateau et les exclamations jubilatoires de Clemens. Quelque secondes de plus et Clemens aurait souillé son costume blanc ; les effets des infrasons avaient été mis en évidence. Tesla se donna beaucoup de mal à décrire les effets des infrasons à des journalistes mais, derrière son dos, ceux-ci se gaussaient de ses affirmations ; comment un "petit bruit" pouvait-il être dévastateur ? Néanmoins, c'est précisément avec un tel "petit bruit" que Tesla faillit bien détruire son laboratoire de la Houston Street. Ses générateurs infrasoniques compactes étaient terriblement efficaces. Plus tard, Tesla inventa et essaya des armes à pulsions infrasoniques capables de ruiner, sur commande, des bâtiments et des villes entières.
Un jour, Walt Disney et ses dessinateurs devinrent sérieusement malades lorsqu'un effet sonore, destiné à une scène de dessin animé, fut ralenti sur un magnétophone et amplifié par la sonorisation d'une salle de spectacle. Le son d'origine était celui d'un fer à soudé dont le grésillement à 60 cycles/seconde fut diminué cinq fois pour atteindre 12 cycles. Ce son provoqua, dans l'équipe, des nausées qui perdurèrent plusieurs jours. La physiologie semble se trouver paralysée par les infrasons. Ceux-ci provoquent des perturbations de l'oreille interne, détruisant l'équilibre organique et immobilisant la victime. Cela s'apparente à un mal de mer violent et prolongé. Le retour à une vitalité normale nécessite des heures, voire, des jours. Les infrasons de faible intensité rendent malade, mais les intensités fortes causent la mort.

Les experts médicaux militaires ont enregistré avec précision les réactions inquiétantes à des infrasons situés dans la gamme des 40 à 100 cycles et les résultats font réfléchir. Tandis que les fréquences diminuent, les symptômes mortels augmentent. L'augmentation du rythme cardiaque, le pouls montant à 40% au-dessus de son état de repos, constitue le signal précurseur d'autres états orientés vers la mort. A 100 cycles/seconde on constate une légère nausée, un étourdissement, des rougeurs de peau et des fourmillements. Apparaissent ensuite : vertige, angoisse, extrême fatigue, constriction de la gorge et difficultés respiratoires. Entre 73 et 60 cycles surviennent la toux, forte pression du sternum, étouffement, salivation excessive, déglutition douloureuse, respiration bloquée, mal à la tête et à l'abdomen. La fatigue résiduelle après exposition est importante. Certains sujets continuent à tousser pendant une demi-heure, d'autres ont encore des rougeurs de peau quatre heures après. L'acuité visuelle se trouve affectée par toute exposition entre 73 et 43 cycles/seconde. L'intelligibilité descend à 77% de la normale ; l'orientation spatiale est complètement perturbée ; la coordination musculaire et l'équilibre deviennent incertains. L'absence de dextérité manuelle et une verbalisation brouillée suivie d'incohérence totale précèdent la perte de connaissance.
Les découvertes du Dr. Gavreau dans la gamme infrasonique inférieure à 10 cycles sont vraiment affreuses. La fréquence mortelle se situe autour des sept cycles/seconde. Dans cette fréquence, de faibles augmentations d'amplitude suffisent à modifier le comportement humain. L'activité intellectuelle est d'abord inhibée, puis bloquée et détruite. Lorsque l'amplitude augmente, des réactions déconcertantes se produisent. Cela commence par un désordre neurologique total ; l'action du bulbe rachidien se trouve bloquée et ses fonctions autonomes stoppées.

MISE AU POINT D'UNE ARME, NÉCÉSSITÉ DE S'EN PROTÉGER

Les autorités françaises publièrent des avis selon lesquels le Dr. Gavreau ne travaillait pas dans le domaine des armements. Cependant un certain nombre de brevets trahissent l'écran de fumée assez évident que constituent ces affirmations. Bien qu'il soit impossible de récupérer les brevets des générateurs à infrasons, Gavreau est réputé avoir largement développé une "armure anti-infrasons". Pourquoi y aurait-il consacré tant de temps et d'argent si non pour un programme de contre-armement ?
Bien entendu, l'usage d'armement infrasonique implique la mise au point et l'installation de boucliers contre cette arme. Gavreau consacra plus de temps à concevoir ces boucliers qu'à développer des cornes à infrasons efficaces. Dés le début de ses recherches, il avait compris que les infrasons ne pouvaient être stoppés efficacement ; les machines à infrasons requièrent d'énormes baffles. D'autre part, personne n'oserait déclencher un barrage infrasonique contre un envahisseur sans une protection adéquate. Les cornes à infrasons peuvent émettre dans des directions déterminées, mais l'environnement naturel laisse "fuir" des sons dans toutes les directions. Les infrasons saturent leurs générateurs, inondant la source qui devient perméable en quelques secondes. Les ondes mortelles reviennent vers ceux qui les ont émises. Les infrasons "collent" au sol et s'étendent autour de leur émetteur. Malheureusement, ceux qui prétendraient déclencher l'énergie infrasonique seraient massacrés par leur propre action.
La première méthode que Gavreau essaya impliquait la conversion des émissions vers des fréquences successives plus élevées, jusqu'à ce que les infrasons soient "perdus". Il réalisa cela par une technique passive "structurelle" : une séries d'énormes baffles juxtaposés en boites à résonance. Cette forme est "passive" puisqu'elle est simplement érigée en attente d'une agression infrasonique qu'elle convertit en sons audibles sans danger. Sa seconde méthode était plus agressive, car elle consistait à rencontrer et neutraliser une agression infrasonique. Elle fait appel à un principe physique bien connu : déterminer la fréquence de l'onde d'attaque et émettre sur la même fréquence, mais à contre-phase. Les attaques sont, si non neutralisées, à tout le moins réduites à un niveau beaucoup plus faible. Cela exige des systèmes de détection et de riposte extrêmement rapides. La méthode de neutralisation active n'est pas totalement précise et loin d'être complètement protectrice. Une source infrasonique mobile et fortement modulée serait quasi impossible à neutraliser avec succès sans recours à un dispositif électronique extrêmement sophistiqué.
Mais Gavreau imagina un système simple et élégant, qui n'impliquerait pas que le défenseur s'expose à ses propres émissions infrasoniques. Gavreau et son équipe avaient été tellement obnubilés par des notions apparentées à l'artillerie classique qu'ils en avaient momentanément oublié leur premier domaine de recherche : la robotique !

ARMEMENT INFRASONIQUE ROBOTISÉ

Rappelons que le Dr. Gavreau et son équipe de pionniers s'occupaient de robotique et étudiaient des automates civils et militaires. Quelle difficulté y aurait-il à associer son nouvel armement à des robots ?
Gavreau réalisa un combiné de tuyau d'orgue et de sifflet et logea l'appareil dans un bloc de béton de moins d'un mètre cube. Le sifflet proprement dit était à l'intérieur ; plusieurs tuyaux de résonance prolongeaient son pavillon évasé ; l'appareil fonctionnait à l'air fortement comprimé et son émission était effrayante. Dans un conflit conventionnel cela pouvait anéantir un agresseur. Une expérience fut conduite où ce sifflet à infrasons fut scellé dans un socle en béton de 400 kg avec, en plus, un baffle du même matériau couvrant ses extrémités protubérantes. Malgré ces précautions, l'appareil parvint à secouer violemment toute une zone en éventail de la ville de Marseille ; il se désolidarisa en un instant de son support en béton et détruisit le baffle. Sinistre détail : on n'entendit même pas un bruit ! Ce modèle se montra très sélectif en fréquence, très puissant et directionnel.
Dans ce dernier projet, Gavreau et son équipe obtinrent un facteur de sécurité de grande valeur. Les armements défensifs à infrasons pouvaient désormais être orientés en sens opposé des opérateurs. Cette arme était remarquablement efficace et compacte ; sa qualité résidait dans un bon rapport entre sa puissance destructrice et son encombrement. Un modèle ultérieur de cette terreur apparut sous la forme d'un autre cube compacte. Le sifflet infrasonique était vraisemblablement noyé dedans. De la plaque frontale émergeaient 60 tubes aux pavillons évasés pointés parallèlement. Il paraît que ce seul engin, téléguidé dans un champ de tir spécialement aménagé, fit exploser sans le moindre effort de grosses casemates et des intérieurs de chars. A chacun de ces essais, on n'entendit pas un bruit. L'engin était monté sur un véhicule robot, propulsé par des moteurs diesel ou à gaz comprimé. Face à une armée, une unité aussi insignifiante serait un adversaire inattendu. Cette arme de défense terrible serait très dissuasive vis à vis d'assaillants assez téméraires pour lancer une attaque au sol. Une fois sonnée la trompe à infrasons, les armées ennemies seraient aplaties et la bataille n'aurait même pas lieu. Impossible aussi de localiser cet engin de guerre. En voyant sa taille, personne n'imaginerait le pouvoir destructeur dont il est capable ; la plupart des observateurs n'y prêteraient pas attention. Un déploiement de tels engins, produisant chacun une gamme particulière d'infrasons hautement modulés, formerait un barrage imparable. Des chars robotisés, équipés de générateurs infrasoniques, balayeraient une zone en détruisant tout adversaire dans un rayon de 8 km. Ces armes terribles pourraient aussi être montée sur des "drones" [avions téléguidés] à réaction et détruire rapidement et méthodiquement, par les airs, une armée en approche offensive.
Il serait aussi possible de parer une attaque aérienne [classique]. Des projecteurs infrasoniques pourrait balayer et fouiller le ciel avec grande précision. Les infrasons passent à travers toute matière avec une égale facilité, dénichant les agresseurs où qu'ils se trouvent. Les intensités émises dans l'environnement par les engins de Gavreau sont effrayantes.
Nous y voyons le perfectionnement de phénomènes qui, dans la nature, ne se produisent jamais avec des intensités aussi dangereuses. C'est pourquoi ces armes, si jamais on les utilisait, devraient être robotisées et téléguidées à grande distance des opérateurs. Selon les termes de Gavreau lui-même : "Il n'existe aucune protection intégrale contre les infrasons. Ils ne sont pas absorbés par les matières habituelles, les murs et les chambres ne suffisent pas à les arrêter".
Et nous voici, une fois de plus, à la croisée des chemins. Nous sommes contraints de choisir entre deux voies. Vers l'une, nous écoutons Messiaen et son message musical de paix ; vers l'autre, Gavreau et les trompettes de la guerre. Quelle sera la musique ?

Traduction André Dufour.

15 septembre 2012

L'ordinateur : une prison psychotronique de la conscience

prison


Les USA sont à la racine et au centre du réseau informatique mondial. Depuis les années 70, les représentants des nations indiennes commencent à relever la tête, après la terrible répression qu’ils ont subie. En discutant avec certains chefs de tribus amérindiennes (ils sont présents au Canada – et ils parlent très bien le français !), j’ai vu certaines de mes idées sur la destinée du continent nord-américain confirmées par leurs anciennes prophéties. La culture informatique et médiatique est en passe de devenir le passage obligé de toute une génération. Mais le réseau informatique mondial est « une prison pour ton esprit », comme le dit Morpheus à Neo dans le premier film Matrix. Cette prison est construite par une intelligence non-humaine, absolument opposée au plan établi par la Fraternité de la Vie pour l’humanité. Où se trouvent les murs, les barreaux de cette prison, mais aussi la porte qui permet d’en sortir, et d’en sortir avant qu’il ne soit trop tard ? C’est ce que je voudrais montrer ici.


C’est quoi, cette boite noire sur mon bureau ?

Un PC, ou « ordinateur personnel », ce n’est pas comme une machine à laver, une machine dont la fonction est clairement définie par ses concepteurs. Un ordinateur est une matrice vide, une machine conçue pour être programmée de l’extérieur, afin de remplir n’importe quelle fonction. PC veut dire ordinateur personnel. Ce terme a été inventé par les premiers fabricants d’ordinateurs destinés au public. Au départ, les ordinateurs n’étaient pas plus destinés à une utilisation familiale que ne le serait un commutateur téléphonique ou une locomotive de train. Ils n’étaient pas non plus destinés à fonctionner avec des cristaux (les premiers marchaient avec des tubes à vide), ni même avec de l’électricité (on peut fort bien construire une machine à calculer programmable avec des rouages d’horlogerie). Mais les forces qui maintiennent la planète dans son état d’emprisonnement savaient qu’à notre période de développement, c’est par l’électricité et l’électromagnétisme incorporées dans un cristal matériel qu’il est possible de contrôler la conscience. Comme son nom l’indique, la finalité du « personal computer », et bien c’est de pénétrer la personnalité. Et comme la personnalité est quelque chose de très complexe, de mystérieux, avec de nombreux aspects invisibles, l’ordinateur est lui aussi devenu une machine complexe, ésotérique, et basée sur des concepts magiques.

Qu’y a-t-il donc dans cette grosse boite disgracieuse qui trône dans le salon et sur le bureau des enfants ? Et bien, il y a une formule magique puissante, basée sur la magie des cristaux, polarisée pour le contrôle total de la conscience humaine. Cette réalité peut sembler un peu excessive, car « il faut vivre avec son temps ». Mais nous avons tous connu des personnes qui ont une aversion instinctive envers l’ordinateur et ne peuvent pas approcher d’un ordinateur en fonctionnement. Ces personnes sont toujours des sensitifs qui perçoivent l’activité magique en émanation et l’influence des entités qui se tiennent en arrière. L’ordinateur actuel a un fonctionnement basé sur les particularités d’un cristal, le cristal de silicium ou quartz. Dans toutes les « puces » informatiques se trouvent des cristaux de quartz bien particuliers, des cristaux programmés. Ceux qui s’intéressent aux anciennes médecines traditionnelles savent que la science des cristaux est décrite dans les textes médicaux classiques de l’Inde, l’Ayur-Veda. Les cristaux sont le plus souvent mis en relation avec les centres d’énergie subtile du corps, les chakras, les glandes, et les plexus nerveux qui leur correspondent. Il est connu qu’il est possible de « sceller » un cristal par la force de la pensée (on parle d’ailleurs de cristaux programmés). Appliqué d’une certaine manière, un cristal très pur est capable de rétablir le courant d’énergie d’un chakra ou d’une glande en les reliant à la source d’énergie universelle, dont tous les hommes proviennent. Le cristal de silicium, ou « quartz », a le pouvoir de relier l’homme à la force intercosmique, une force indépendante des influences planétaires astrologiques, mais qui existe dans l’espace comme formule de base de la vie. La science des cristaux est aussi connue de nations amérindiennes comme les Navajos et elle commence à être largement diffusée par des livres et des stages.

Mais, dans le cas de l’informatique, les cristaux utilisés sont au contraire dopés, c’est-à-dire qu’on leur injecte un mélange de terres rares pour modifier leurs caractéristiques naturelles. Alors que les cristaux naturels sont de bons isolants électriques, et peuvent agir comme des fusibles sur les centres d’énergie du corps, les cristaux dopés des « puces » informatiques sont semi-conducteurs, ils conduisent l’électricité, et agissent comme des antennes programmées. Alors que le cristal de quartz pur relie l’homme de manière entièrement désintéressée à toutes les possibilités de vie offertes par le cosmos, le cristal « dopé » informatique détermine une liaison forcée avec certains domaines de vie seulement, des domaines habités par des intelligences qui veulent contrôler l’humanité et s’opposent à son développement spirituel.

Les premiers semi-conducteurs , ou « transistors », ont été découverts fortuitement en 1948 par Bardeen, Brattan et Schackley à Palo Alto, au centre de ce qui allait devenir la Silicon Valley, le temple mondial de l’informatique. Dans les transistors, l’énergie électrique est contrôlée et emprisonnée par des conditions physiques terrestres : les transistors, présents à plusieurs millions d’exemplaires microscopiques dans une micropuce informatique, sont un symbole de la conscience de l’humanité emprisonnée dans la matière. Il est intéressant de remarquer qu’il est techniquement possible de fabriquer des transistors ou des semi-conducteurs avec d’autres matières que le silicium, avec des dérivés fluorés, par exemple. Mais, seul le silicium permet de créer la formule magique qui incorpore et emprisonne la force électrique cosmique dans la matière, et donc qui permet d’agir magiquement sur la conscience humaine. Aussi, si c’est le silicium qui s’est universellement imposé dans l’industrie des semi-conducteurs, cela n’est pas par hasard, mais à cause de l’action directe des forces occultes qui ont créé l’intelligence artificielle des ordinateurs. Ces forces occultes vont relier volontairement l’ensemble de l’humanité à des sphères de conscience qui ne sont pas humaines, afin de maintenir les consciences en-dessous du niveau de la pensée libre et indépendante. Le premier domaine avec lequel tout utilisateur d’ordinateur est relié est le domaine dit de « Mammon », la strate inférieure du matérialisme symbolisée par les forces de l’argent. Le sigle IBM est la signature de cette liaison avec les forces les plus basses : « International Business Machines » signifie « machines pour les affaires internationales ». La mondialisation de l’économie est ainsi une des premières conséquences de l’utilisation des ordinateurs, et cela implique l’écrasement du faible par le fort, les guerres économiques, l’uniformisation des consciences, la souffrance de milliards d’individus, pour se terminer par la barbarie économique généralisée que nous vivons. Les disparités sociales entre pauvres et riches ne cessent de croître, et l’écart entre les revenus des plus pauvres et des plus riches atteint à présent des sommets. Les riches, et cela se comprend, ont peur de la masse des pauvres. La seule solution pour assurer la protection des riches et le contrôle des pauvres sera bientôt … d’identifier tout le monde, riches et pauvres, grâce à des puces informatiques implantées. Cela existe déjà, et la technologie des micro puces implantables alimentées par les mouvements musculaires se développe à grande vitesse ! Certains ont vu dans l’Apocalypse une prophétie de la situation actuelle, à cause de la phrase « [la Bête] fait que tous, les petits et les grands, les riches et les pauvres, les hommes libres et les esclaves, reçoivent une marque sur la main droite ou sur le front, et que nul ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le chiffre de son nom » (Apoc. 13.16).

Mais les puces implantables ne sont qu’un début, car il sera toujours possible à un bon bidouilleur informatique de les désactiver, comme on peut déjà désactiver actuellement pratiquement tous les systèmes de contrôle de sécurité informatique, de protection contre les copies, etc. Non, le vrai danger de l’informatique mondiale sera les implants psychiques, dont nous parlerons plus en détail dans un prochain article. Par la miniaturisation, on se rendra compte progressivement qu’il est possible d’utiliser la technologie informatique avec des ordinateurs de plus en plus petits, puis finalement… sans aucun support physique. Ce processus est déjà très avancé : dans les débuts de l’informatique individuelle, chaque ordinateur était indépendant. Mais, rapidement, les connexions réseaux et à haut débit de type ADSL se sont imposées. Actuellement, il est devenu très difficile de faire fonctionner correctement un ordinateur moderne sans connexion Internet à haut débit. Par exemple, dans le système d’exploitation Windows XP, livré avec la plupart des modèles récents, l’enregistrement obligatoire des logiciels, ce qui permet de les activer, les mises à jour et tout le support technique d’installation passent par Internet. On commence à voir apparaître des ordinateurs-écran tactiles simplifiés sans clavier, qui ne contiennent aucun programme, mais qui vont chercher toutes les informations nécessaires à leur fonctionnement sur Internet. Dans le futur (un futur pas si éloigné !) ce seront les réseaux radio des téléphones portables qui seront utilisés pour télécharger en temps réel toutes les informations dont l’utilisateur aura besoin. L’informatique sera alors devenue indispensable dans la plupart des situations de la vie, pour se déplacer dans une ville par exemple. Comme tous les terminaux d’ordinateurs fonctionnent en réseau, tous les cristaux programmés du monde essaient d’entrer en relation, créant ainsi une « onde de forme » géante. Quelle est la nature de cette onde de forme ? C’est ce que nous allons maintenant examiner.


La bête binaire et le sceau au front

L’ordinateur est basé sur un code binaire, cela commence à être connu de tous. Pour pouvoir être utilisé par les puces informatiques, toute donnée est transformée en code binaire. Cela revient à dire que, dans une certaine partie de la puce, un courant électrique passe, ou bien qu’il ne passe pas. En fait, tout ce que l’ordinateur fait avec ses circuits en silicium, c’est de combiner des suites immenses de 1 et de 0. Dans un ordinateur, vote propre nom, comme celui de Dieu, comme le mantra le plus sacré, ne sont que des suites de 1 et de 0. Cela n’est pas sans conséquences du point de vue de l’ésotériste.

Car en effet, c’est par leur nom que les choses sont créées. En attribuant un nouveau nom à une chose, on accomplit un acte créateur, et cela change aussi sa destinée. La valeur numérique des lettres d’un nom est d’une grande importance, et les sages initiés qui ont rédigé certaines parties de l’Ancien Testament, ou du Zohar, en étaient parfaitement conscients. Il est notoire que l’informatique utilise son propre jargon, son propre langage, bien connu pour être particulièrement obscur et incompréhensible aux non-initiés.

Or, la binarité n’est pas prévue dans le plan de développement de l’humanité. Les choses ne sont jamais ni entièrement blanches ni entièrement noires. Certes, les paires d’opposés que sont bien et mal, jour et nuit, vie et mort, existent bien. Mais les opposés sont dans un champ de transformation qui englobe tout, et la nuit se transforme continuellement en jour, la vie en mort et la mort en vie. La langue sacrée parle d’une double polarité, donc de quatre courants : deux polarités positives et deux polarités négatives. Ces courants sont représentés dans le symbole du YIN et du YANG, où à l’intérieur du YIN noir on voit le germe du YANG. Ils sont aussi représentés dans le livre sacré de la Genèse, par les quatre fleuves qui entourent le Paradis, le domaine de vie originel de l’humanité. La binarité est le symbole de la Bête à deux cornes de l’Apocalypse, la force qui nie Dieu et veut se maintenir. Il est techniquement possible de fabriquer des ordinateurs ternaires, fonctionnant avec un code de base 3, c’est-à-dire 1, 0, et « entre les deux ». Ces ordinateurs ont existé, car ils sont très performants pour calculer des courbes complexes, et ils ont été utilisés par la NASA pour calculer les trajectoires des fusées. Mais ils ont été rapidement supplantés par les ordinateurs binaires, qui se sont imposés partout sur Terre sans laisser aucune alternative.

La programmation en langage binaire est tout autre chose que d’écrire des mots en français ou en espagnol. Les langues dites indo européennes, sont issues du sanskrit, un alphabet sacré « donné par les dieux ». Or tout texte émet une vibration correspondant à sa langue. On comprend qu’un texte écrit avec des 1 et des 0 a une vibration tout à fait différente d’un texte calligraphié en caractères sanscrits. Or, en ce moment même, des millions de programmeurs oeuvrent, nuit et jour, sur tous les continents, en accomplissant continuellement le rituel magique de la programmation en langage binaire, un déversement continu d’énergie mentale centrée sur cet unique concept mensonger : les idées peuvent s’écrire par des suites de 0 et de 1. Cette idée, sans cesse répétée, crée une onde de forme immense, un égrégore mondial, sans cesse vitalisé par le tournoiement des programmes dans les mémoires des ordinateurs. C’est cette forme-pensée monstrueuse qui, selon certains, est représentée dans l’Apocalypse par la Bête devant laquelle « tous les habitants de la Terre se prosternent ». Les formes-pensées deviendront dans l’avenir de plus en plus matérielles, jusqu’à complète matérialisation. C’est cette densification des formes-pensées qui est décrite dans l’Apocalypse sous forme de fléaux qui frappent l’humanité. Dans une de ses conférences, Rudolf Steiner disait : « Tous les êtres auxquels les pensées erronées des hommes donnent actuellement naissance […] vont tout d’un coup devenir des réalités. De la Terre, une nuée horrible d’êtres va s’élever. Leur nature les situera entre les règnes minéral et végétal. Ce seront des êtres ressemblant à des automates, possédant une intelligence d’une grande puissance. Par suite de ce développement, la Terre se couvrira comme d’un réseau de toiles d’araignées épouvantables. Pourtant, le niveau de ces êtres ne va même pas atteindre celui des plantes. Ce seront des sortes d’araignées horribles, enchevêtrées les unes dans les autres. Leurs mouvements imiteront tout ce que les humains ont pensé ». Les informaticiens qui, aujourd’hui, connaissent le fonctionnement des serveurs des réseaux automatiques donnent une bonne idée de ce que pourra être l’intelligence à la fois très primaire et extrêmement efficace de ces formes-pensées matérialisées.

On a dit que la signature vibratoire du sigle www (ou World Wide Web) est 666. Rajoutons que le M, l’initiale de Marie, est un symbole très ancien, utilisé par les Cathares pour représenter la force cosmique pure, la force vierge, la Mère du monde. Le M inversé en W, et répété trois fois, est donc le symbole de la force corrompue, déchue et prisonnière de la matière. Remarquons que le prix des premiers ordinateurs personnels, de la marque Apple, était de 666 dollars. Le logo de Apple, la marque mère de la Silicon Valley est d’ailleurs la pomme du péché originel, la pomme de l’arbre de la connaissance binaire du bien et du mal.

On entend souvent dire que l’humanité du futur sera tatouée dès la naissance sur le front ou sur un bras avec un code-barre obligatoire. Mais la marque sur le front ne consistera pas en une marque extérieure, mais en une signature vibratoire. En effet, utiliser quotidiennement les formes-pensées qui viennent d’être décrites a pour conséquence de modifier certains organes du cerveau.

Les organes s’adaptent à la fonction. Aussi, une adaptation est-elle en train de s’effectuer, dans la région du cerveau autour de la glande pinéale et de la quatrième cavité cérébrale. La glande pinéale, en rapport avec le « troisième œil », donc avec la vision mentale, est fortement perturbée par l’informatique. On a démontré que l’usage intensif d’Internet modifie la sécrétion de mélatonine par cette glande. Or, le niveau vibratoire de la conscience est déterminé par la glande pinéale, et on peut dire que celui qui endommage sa glande pinéale ferme lui-même la seule issue de sa prison.

C’est pourquoi, on peut parler de deux voies de développement de la conscience : d’une part, un enfermement qui ira sans cesse croissant, et d’autre part, une libération pour ceux qui se réveillent. Que cet enfermement progressif utilise physiquement l’ordinateur ou non est en fait de peu d’importance, car il s’agit avant tout d’une prison électromagnétique.

23 janvier 2012

Chemtrails des Nano-machines au service de la Matrice

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le Dr Hildegarde Staninger (10), une toxicologue industrielle, et le Dr Mike Castle (11), expert en polyéthylène et militant contre les chemtrails, ont joint leurs efforts afin de déterminer si les nano-fibres qui grandissent depuis la peau des personnes...
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