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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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30 janvier 2015

Le Grand Echiquier: Ukraine, Brzezinski avait tout prévu

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Zbigniew Kazimierz Brzeziński, conseiller de Jimmy Carter, de 1977 à 1981, d'origine polonaise, il écrit Le Grand Echiquier en 1997.

Citations:

"Quant à la Russie, malgré sa puissance nucléaire elle subit un recul catastrophique. Les États-Unis s’emploient à détacher de l’empire russe ce qu’on dénomme aujourd’hui à Moscou « l’étranger proche », c’est-à-dire les États qui autour de la Fédération de Russie constituaient l'Union soviétique.

A cet égard, l’effort américain porte vers trois régions clefs : l’Ukraine, essentielle avec ses cinquante-deux millions d'habi­tants et dont le renforcement de l’indépendance rejette la Russie à l’extrême est de l’Europe et la condamne à n'être plus, dans l'avenir, qu’une puissance régionale.

 

[...] L’indépendance de l’Ukraine modifie la nature même de l’État russe. De ce seul fait, cette nouvelle case importante sur l’échiquier eurasien devient un pivot géopolitique. Sans l’Ukraine, la Russie cesse d’être un empire en Eurasie. Et quand bien même elle s’efforcerait de recouvrer un tel statut, le centre de gravité en serait alors déplacé, et cet empire pour l’essentiel asiatique serait voué à la faiblesse, entraîné dans des conflits permanents avec ses vassaux agités d’Asie centrale.

 

[...] Pour Moscou, en revanche, rétablir le contrôle sur l’Ukraine - un pays de cinquante-deux millions d’habitants doté de res­sources nombreuses et d’un accès à la mer Noire-, c’est s’assurer les moyens de redevenir un Etat impérial puissant, s’étendant sur l’Europe et l’Asie. La fin de l'indépendance ukrainienne aurait des conséquences immédiates pour l'Europe centrale. La Pologne deviendrait alors le pivot géopolitique sur la bordure orientale de l’Europe unie.

 

[...] Le sort de l'Azerbaïdjan et de l’Asie centrale, à l’égal de celui de l'Ukraine, dictera ce que sera ou ne sera pas la Russie à l’avenir.

 

[...]3. Indépendamment l’une de l’autre, la France et l’Alle­magne ne sont assez fortes ni pour construire l’Europe selon leurs vues propres, ni pour lever les ambiguïtés inhérentes à la définition des limites de l’Europe, cause de tensions avec la Russie. Cela exige une implication énergique et déterminée de l’Amérique pour aider à la définition de ces limites, en parti­culier avec les Allemands, et pour régler des problèmes sen­sibles, surtout pour la Russie, tels que le statut souhaitable dans le système européen des républiques baltes et de l’Ukraine.

 

[...] Dans le meilleur des cas, les candidats de l'Europe centrale ne devraient pas intégrer l’Union européenne avant l’année 2002. Néanmoins, dès que l’adhésion à l’Union euro­péenne des trois nouveaux membres de l’OTAN sera effective, il sera temps pour les deux organisations de se pencher sur le cas des nouveaux aspirants : républiques baltes, Slovénie, Rou­manie, Bulgarie, Slovaquie et peut-être aussi Ukraine.

 

[...] 4. Au cours de la période suivante (soit de 2005 à 2010), l’Ukraine pourrait à son tour être en situation d'entamer des négociations en vue de rejoindre l’UE et I’otan. Cela exige des progrès dans les réformes et, à l’extérieur, une meilleure per­ception de son identité centro-européenne.

 

[...] Quant à l'émancipation de l'Ukraine, elle a privé la Russie de sa mission la plus symbolique, d'une vocation confinant au droit divin : son rôle de champion de l’identité panslave.

 

[...] C’est la perte de l’Ukraine qui a soulevé les questions les plus épineuses. L’apparition d’un Etat ukrainien indépendant constitue une régression géopolitique radicale qui a contraint les Russes à s'interroger sur les fondements de leur identité politique et ethnique. En tirant leur révérence de manière abrupte, les Ukrainiens ont mis un terme à plus de trois cents ans d’histoire impériale. Ils ont dépossédé leurs voisins d'une économie à fort potentiel, riche de son industrie, de son agri­culture et d’une population de cinquante-deux millions d’ha­bitants, dont les origines, la civilisation et la tradition reli­gieuse étaient si proches de celles des Russes, que les liens impériaux ont toujours, pour ces derniers, relevé de l’évi­dence. Par ailleurs, l’indépendance ukrainienne a privé la Russie de sa position dominante sur la mer Noire, alors qu’Odessa servait traditionnellement de point de passage pour tous les échanges commerciaux russes avec le monde médi­terranéen et au-delà.

La perte du pivot géopolitique ukrainien réduit les choix géostratégiques de la Russie. Amputée de la Pologne et des Etats baltes, mais contrôlant l’Ukraine, elle pourrait encore tenir un empire eurasien dynamique, s’étendant, vers le sud et le sud-est, sur les domaines non slaves de l’ex-Union soviétique. Sans l’Ukraine et ses cinquante-deux millions de « frères slaves », toute tentative de restauration impériale commandée par Moscou est vouée à rencontrer la résistance prolongée de populations devenues très sourcilleuses sur la question de leur identité nationale et religieuse.

 

[...] Avant 1991, c'est depuis la mer Noire que se déployait la puissance navale russe en Méditerranée. Au milieu de la décennie, la Russie ne contrôle plus qu’une bande côtière réduite et elle n’a pas résolu sa controverse avec l’Ukraine, concernant l’usage des bases navales en Crimée pour ce qu’il reste de sa flotte. Sur ce pro­blème, deux aspects particuliers ont heurté la sensibilité russe : que l’Ukraine ait organisé, en mer Noire, des manœuvres navales et de débarquement conjointes avec I’otan et que, d'autre part, la Turquie affirme sa présence régionale.

 

[...] La question ukrainienne a agi comme un révélateur. Dès 1994, Washington accorde la priorité aux rela­tions américano-ukrainiennes. Sa détermination à soutenir l’in­dépendance du pays est généralement perçue à Moscou - y compris par les « modemisateurs » - comme une intrusion diri­gée contre les intérêts vitaux de la Russie, laquelle n’a jamais abandonné l’idée de recréer un espace commun. Et la « réin­tégration » de l’Ukraine reste, à ce jour, une position de principe qui recueille le consensus de la classe politique. Le refus russe d’entériner le statut d'indépendance de l’Ukraine, pour des rai­sons historiques et politiques, se heurte frontalement aux vues américaines, selon lesquelles la Russie ne peut être à la fois impériale et démocratique.

 

[...] La détermination de l’Ukraine à limiter l’intégration au domaine économique a invalidé tous les projets d’« union slave ». Cette notion, issue du courant slavophile et popularisée par le soutien que lui a apporté Alexandre Soljénitsyne, perd toute pertinence géopolitique, du moment que l’Ukraine refuse d’y adhérer. À moins de se contenter d’un face-à-face avec la Biélorussie, et peut-être avec les populations russes établies dans les régions nord du Kazakhstan, à condition de provoquer une partition du pays. Cette éventualité inquiétante a d’ailleurs contribué à accentuer la dynamique antirusse du nationalisme kazakh. Pour la Biélorussie, une union slave sans l’Ukraine se résume à une réincorporation dans les frontières russes. Cette perspective aiguise un violent ressentiment au sein de certains courants nationalistes.

 

[...] L’Ukraine constitue cependant l’enjeu essentiel. Le processus d’expansion de l’Union européenne et de l’Otan est en cours. À terme, l’Ukraine devra déterminer si elle souhaite rejoindre l’une ou l’autre de ces organisations. Pour renforcer son indé­pendance, il est vraisemblable qu’elle choisira d’adhérer aux deux institutions, dès qu’elles s’étendront jusqu’à ses frontières et à la condition que son évolution intérieure lui permette de répondre aux critères de candidature. Bien que l’échéance soit encore lointaine, l’Ouest pourrait dès à présent annoncer que la décennie 2005-2015 devrait permettre d’impulser ce processus. Ainsi, les Ukrainiens auraient la certitude que l’extension de l’Europe ne s’arrêtera pas à la frontière ukraino-polonaise. Dès à présent, l’Ouest peut renforcer ses liens de coopération et de sécurité avec Kiev.

 

[...] La survie de l'Ukraine comme État indépendant suppose qu’elle s'arrime fermement à l'Europe centrale et s’émancipe de la région eurasienne. En toute logique, il lui revient de partager les liens que l’Europe centrale entre­tient avec I’otan et l'Union européenne. L’attitude de la Russie sur ce sujet servira de révélateur : aura-t-elle choisi de devenir un acteur européen, ou, rejetant cette option, s’entêtera-t-elle à poursuivre une identité eurasienne et un destin solitaire, émaillé de conflits avec son proche voisin ?

La Russie ne peut pas être en Europe si l’Ukraine n’y est pas, alors que l’Ukraine peut y être sans la Russie. On ne doit jamais perdre de vue ce constat simple et crucial. Dans le cas où la Russie miserait son avenir sur l’Europe, l’intégration de l’Ukraine servirait ses intérêts. De ce point de vue, les relations entre l’Ukraine et l’Europe peuvent constituer la pierre de touche du destin de la Russie. Cela signifie que Moscou jouit encore d’un court répit avant l’heure des choix.

On doit souhaiter que les liens entre l’Europe élargie et la Russie dépassent le cadre des relations bilatérales et s'orientent vers une coopération plus organique dans tous les domaines. Ainsi, dans les vingt premières années du prochain siècle, on peut envisager son intégration progressive au sein d’une Europe qui non seulement embrasserait l’Ukraine, mais rayonnerait jus­qu’à l’Oural et au-delà. Des formes spécifiques d'association, un statut de membre associé, conçus pour faciliter la partici­pation russe aux structures européennes et atlantistes, prépare­raient l’inclusion future des trois pays caucasiens - la Géorgie, l'Arménie, l’Azerbaïdjan -, si désireux d’entretenir des relations avec l’Europe.

 

[...] Les États qui méritent tout le soutien possible de la part des États-Unis sont l'Azerbaïdjan, l’Ouzbékistan et l’Ukraine, car ce sont tous les trois des pivots géopolitiques. En effet, le rôle de Kiev dans la région vient confirmer l’idée que l’Ukraine représente une menace pour l’évolution future de la Russie.

 

[...] Les incertitudes quant à l'avenir de la Russie sont encore plus grandes et les perspectives d’évolution positive assez sombres. Aussi est-il impératif pour les États-Unis de créer un contexte géopolitique favorable à l’assimilation de la Russie dans un cadre plus large de coopération européenne. Cela encouragerait l’indépendance et l’autonomie de ses voisins nouvellement sou­verains. Cependant, même dans ces conditions, la viabilité de l’Ukraine ou de l’Ouzbékistan (sans parler du Kazakhstan, qui manque d’homogénéité ethnique) resterait incertaine, en parti­culier si les Américains devaient être absorbés par de nouvelles crises intérieures en Europe, par l’élargissement du fossé entre la Turquie et l’Europe ou par l’hostilité toujours plus intense entre leur pays et l’Iran.

 

[...] Aussi le soutien économique et politique accordé aux Etats nouvellement indépendants fait-il partie d'une stratégie plus large concernant toute l'Eurasie. La consolidation d’une Ukraine souveraine, qui se redéfinirait entre-temps comme un Etat d’Europe centrale et s’engagerait dans un processus d’in­tégration plus étroit dans cette région, devient un élément cru­cial de cette politique."

http://www.lesobservateurs.ch/2014/03/17/grand-echiquier-ukraine-brzezinski-avait-prevu/

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30 juillet 2014

L’Allemagne sur le point de rejoindre les BRICS ?

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Par Paul Joseph Watson – 30 juillet 2014

D’après un analyste financier l’Allemagne serait en train de rejoindre secrètement les BRICS. La controverse de la surveillance de la NSA est centralisée sur la peur viscérale américaine que la première puissance économique d’Europe largue le dollar.

L’analyste financier Jim Willie affiirme de manière sensationnelle que l’Allemagne serait en train de se préparer à abandonner le système unipolaire soutenu (et protégé) par l’ et les Etats-Unis pour rejoindre les nations de l’assemblée des BRICS et que ceci serait parce que la NSA a été prise la main dans le sac à espionner Angela Merkel et d’autres leaders politiques .
Dans un entretien avec Greg Hunter de USA Watchdog, Willie, un analyste statisticien ayant un doctorat en la matière, a avancé que la véritable raison derrière le récent scandale de la surveillance de la NSA ciblant l’Allemagne est centrée autour de la peur des Etats-Unis devant le fait que la plus grosse puissance économique européenne cherche à échapper à l’inévitable effondrement du dollar.

“Je pense qu’ils cherchent certains détails pour aider la à larguer le dollar. Ils cherchent des détails pour un mouvement secret pour que l’Allemagne puisse sortir du système du dollar et rejoindre les BRICS (, , Inde, Chine et Afrique du Sud). C’est exactement ce qu’ils sont en train de faire” a dit Willie.

Plus tôt ce mois ci, les nations du BRICS ont annoncé la création d’une nouvelle banque au capital de 100 milliards de dollars, comme alternative au FMI et qui sera basée à Shanghaï et présidée par Moscou.

Poutine a lancé le nouveau système financier en disant qu’il était conçu pour “aider à empêcher le harcèlement de pays qui ne sont pas d’accord avec des décisions politiques des Etats-Unis et de leurs alliés”, un signal on ne peut plus clair indiquant que la Russie et les autres nations du BRICS sont en train de construire un système économique et financier qui sera concurrentiel à celui du FMI et de la Banque Mondiale.

Donnant un aperçu de l’attitude générale de l’élite occidentale envers la Russie, des commentaires faits par des gens comme par exemple l’ancien ambassadeur américain en Irak Christopher Hill, suggèrent que Moscou est de plus en plus vu comme un état voyou. En avril dernier, Hill avait dit que la réponse de la Russie à la crise ukrainienne avait trahi le “nouvel ordre mondial” dont elle a été partie prenante ces 25 dernières années.

Donnant un autre signe que les nations du BRICS sont en train de bouger pour créer un modèle multipolaire complètement concurrentiel de celui de l’, les cinq pays sont également en train de construire une nouvelle structure pour l’internet qui va contourner et court-circuiter les Etats-Unis afin de prévenir l’ de la NSA.

Willie fait aussi un lien entre le mouvement de l’Allemagne et l’abattage du vol MH17 de la Malaysia Airline la semaine dernière, évènement qui a été exploité par les Etats-Unis et la GB pour pousser toujours plus de sanctions contre la Russie, malgré le fait que celles-ci n’ont que très peu d’effets et n’apparaissent que toucher et incapaciter les intérêts commerciaux des pays de l’Europe occidentale.

“Voici la grosse, grosse conséquence de tout cela. Les Etats-Unis sont en fait en train de dire à l’Europe qu’elle n’a pas le choix. Rejoignez-nous dans notre contre la Russie, rejoignez-nous dans nos sanctions contre la Russie. Rejoignez-nous dans de constants guerres et conflits, dans l’isolation et la destruction de vos économies, dans le refus de votre approvisionnement en énergie, dans l’annulation de vos contrats. Rejoignez-nous dans la et les sanctions parce que vraiment vous devez garder le dollar et son régime fonctionnels. Ils diront, nous sommes fatigués du dollar… Nous poussons l’Allemagne. Ne vous souciez pas de la , de l’Angleterre, inquiétez-vous de l’Allemagne. L’Allemagne possède 3000 entreprises qui font des affaires très activement maintenant. Elles ne vont pas se joindre aux sanctions… Point final.”

Source : Réseau International

14 avril 2014

la Russie et la Chine sont en train de déconnecter leur commerce international du dollar.

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url de l’article original:

http://www.paulcraigroberts.org/2014/04/09/us-world-coming-end-paul-craig-roberts/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

2014 prend la tournure de l’année du retour de bâton pour les Etats-Unis.

Deux pressions majeures montent sur le dollar US. L’une provient de la capacité diminuée de la réserve fédérale à plomber le prix de l’or alors que les stocks d’or de l’occident se contractent et de la connaissance par le marché du fait de l’élargissement du plombage du prix de l’or illégal par le fed. La preuve en est qu’il y a des sommes très importantes de transactions à très courts termes qui sont larguées dans le marché des futurs papiers de l’or à une période où l’échange est mince et sans équivoque. Il est devenu plus qu’évident que le prix de l’or est truqué dans les marché futurs afin de protéger la valeur du dollar des méfaits des QE (Quantitative Easings).

L’autre pression provient des stupides menaces de sanctions du régime Obama sur la Russie. Les autres pays ne veulent plus supporter l’abus de Washington sur le standard mondial du dollar. Washington utilise le système de paiement international basé sur le dollar pour infliger des dégâts aux pays qui résistent à son hégémonie politique.

La Russie et la Chine en ont assez. Comme je l’ai rapporté ainsi que Peter Koenig ici:http://www.informationclearinghouse.info/article38165.htm

La Russie et la Chine sont en train de déconnecter leur commerce international du dollar. Par conséquent, la Russie fera son commerce, incluant les ventes de pétrole et de gaz naturel à l’Europe, en roubles et dans des monnaies de ses partenaires du BRICS.

Ceci veut dire une grosse baisse dans la demande pour le dollar et donc une baisse en conséquence de sa valeur.

Comme John Williams de shadowstats.com l’a clarifié, l’économie n’a pas du tout récupéré de la chute de 2008 et s’est même affaiblie plus avant. La vaste majorité de la population américaine est pressurisée par le manque de croissance de revenus depuis des années. Comme les Etats-Unis sont maintenant une économie dépendante de ses importations, une chute de la valeur du dollar va faire augmenter les prix domestiques et pousser les standards de vie et de consommation encore plus à la baisse.

Tous les compteurs pointent vers un échec économique des Etats-Unis en 2014 et ceci constitue la conclusion de rapport économique de John Wiliams du 9 Avril.

Cette année pourra aussi voir l’effondrement de l’OTAN voire même de l’UE. Le coup d’état inconscient de Washington en Ukraine et les menaces de sanctions contre la Russie ont poussé les marionnettes de l’OTAN sur un terrain bien dangereux. Washington a très mal évalué la réaction de l’Ukraine au renversement de son gouvernement élu et l’imposition de sbires comme gouvernement marionnette. La Crimée s’est très vite détachée de l’Ukraine et a rejoint la Russie. D’autres anciens territoires russes en Ukraine vont sans doute bientôt suivre. Des manifestants à Donetsk, Lugansk et Karkhov ont déjà demandé leur regerendum. Les manifestant ont déjà déclaré les républiques populaires de Karkhov et de Donetsk. Le gouvernement fantoche de Washington à Kiev a menacé de réduire ces manifestations par la violence. http://rt.com/news/eastern-ukraine-violence-threats-405/

Washington clâme à qui veut l’entendre que les manifestations sont organisées par la Russie, mais plus personne ne veut croire Washington, même plus ses sbires ukrainiens.

Les rapports d’information russes ont identifié des mercenaires américains parmi la force armée de Kiev qui a été envoyée pour réduire la protestation en Ukraine orientale. Un membre du parti néo-naziPatrie à l’assemblée de Kiev a appelé à faire fusiller les manifestants.

Toute violence envers les manifestants verra sûrement une intervention de l’armée russe et cela aura pour résultat le retour à la Russie de ses anciens territoires donnés à l’Ukraine par le parti communiste de l’URSS.

Avec Washington menaçant à tort et à travers, cela pousse l’Europe vers deux confrontations des plus désagréables et indésirables. Les européens ne veulent pas d’une guerre avec les Russes à cause d’un coup d’état de Washington à Kiev et les Européens comprennent bien que toutes réelles sanctions sur la Russie, si elles sont observées, auront de bien pires répercussions sur l’Europe. Au sein de l’UE, des disparités économiques grandissantes, un taux élevé de chômage et des mesures d’austérité draconniennes imposées aux membres les plus pauvres, ont produit de grosses tensions. Les Européens ne sont pas du tout d’humeur à supporter l’impact d’un conflit avec la Russie orchestré par Washington. Tandis que Washington propose la guerre et le sacrifice aux Européens, la Russie et la Chine offrent le commerce et l’amité. Washington fera de son mieux pour garder les politiciens européens qu’il a acheté dans la ligne du parti de ses politiques, mais l’inconvénient pour l’Europe de demeurer avec Washington est maintenant bien plus grand.

A bien des égards, Washington émerge maintenant de manière très duplicite aux yeux du monde, fourbe et totalement corrompu. Un procureur de la Securities and Exchange Commission (NdT: la SEC de Wall Street, le soi-disant “sheriff” de la finance américaine), James Kidney a profité de son départ à la retraite pour révéler que des gens plus hauts placés ont mis au placard ses accusations et enquêtes sur Goldman Sachs et autres banques “trop grosses pour se planter”, parce que ses patrons à la SEC n’étaient pas concentrés sur la justice mais “sur l’acquisition de boulots hautement payés après la fin de leur temps dans l’administration” en protégeant les banques de toutes poursuites pour leurs actions illégales. http://www.counterpunch.org/2014/04/09/65578/

L’agence américaine internationale pour le développement, l’USAID, a été prise la main dans le sac d’essayer d’utiliser des médias sociaux pour renverser le gouvernement de Cuba. http://rt.com/news/cuba-usaid-senate-zunzuneo-241/

Cette audacieuse irresponsabilité survient en plus du scandale de l’espionnage de la NSA, de la publication du rapport d’enquête du journaliste Seymour Hersch sur l’attaque au gaz sarin en Syrie qui était en fait une attaque fausse-bannière de l’OTAN par son membre de la Turquie afin de justifier une attaque militaire des Etats-Unis sur la Syrie, de Washington forçant l’avion du président bolivien Morales d’attérir pour le fouiller (NdT: dans la “chaleur de l’affaire Snowden et du scandale de la NSA), des armes de destruction massive que soi-disant possédait Saddam Hussein, de l’abus dans l’utilisation de la résolution sur la zone d’interdiction aérienne en Libye pour effectuer une attaque militaire sur ce pays et on en passe et des meilleures. De fait, Washington a tellement détruit la confiance des autres pays dans le jugement et l’intégrité du gouvernement américain que le monde a perdu toute croyance dans le leadership des Etats-Unis. Washington est aujourd’hui réduit à proférer sans cesse des menaces et à corrompre et se présente de manière accrue comme un petit caïd de cour de récrée.

4 mars 2014

La pyramide illuminati sur un billet de banque ukrainien

94305252Ce monde pourrait paraître bien compliqué si l’on ne regarde que son avant-scène où les intrigues les plus complexes se jouent devant nous dans le seul but de nous égarer sur le chemin de la vérité.  En fait il faut fouiller dans les loges, littéralement, pour comprendre qui détient le pouvoir et quel objectif il poursuit.  Or à chaque fois qu’il y a un conflit dans le monde on retrouve l’acteur majeur qu’est l’empire Rothschild. Celui-ci s’attaquant aux bastions traditionalistes religieux, économiques, nationalistes et autres qui empêchent sa puissance financière de prospérer. Lorsque l’on a comme ambition de devenir le maître du monde on ne peut voir des pans entiers de minerais, de richesses vous échapper. C’est pourquoi l’empire Rothschild n’a de cesse de s’étendre vers l’est après avoir conquis l’ouest.L’Ukraine en tant que pays regorgeant de richesses agricoles et minières, et pays géostratégique d’importance capitale notamment pour la Russie de par sa complémentarité économique fait l’objet d’affrontement de plus en plus violent pour sa conquête. La révolution orange financée par Soros ayant échoué lamentablement, Poutine ayant même lancé un mandat d’arrêt contre Soros, Rothschild est donc passé à la vitesse supérieure en instaurant via la violence civile une révolution destinée à devenir un coup d’état pour renverser le pouvoir.

3 mars 2014

Les USA ont installé un gouvernement néo-nazi en Ukraine

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Par Michel Chossudovsky, le 2 mars 2014

Selon le New York Times, "Les États-Unis et L’Union Européenne ont embrassé la révolution ici comme le fleurissement d’une autre démocratie, un coup porté à l’autoritarisme et à la kleptocratie de l’ancien espace soviétique." (emphase ajoutée)

"Une démocratie florissante, une Révolution"? Les tristes réalités sont bien différentes. Ce qui est en jeu est un coup d’état sponsorisé par les USA/UE/OTAN, en violation flagrante du droit international.

La vérité interdite c’est que l’Occident a réalisé – à travers une opération secrète soigneusement mise en scène – la formation d’un régime fantoche intégrés par des Néo-Nazis.

 

Fait confirmé par l’assistante du ministre des affaires étrangères US Victoria Nuland, des organisations clé en Ukraine, y compris le parti néo-nazi Svoboda ont été généreusement soutenues par Washington: "Nous avons investi plus de 5 milliards de dollars pour aider l’Ukraine à accomplir ces objectifs et d’autres… Nous continuerons à soutenir l’Ukraine vers l’avenir qu’il mérite."

Les médias occidentaux ont négligemment évité d’analyser la composition et les fondations idéologiques de la coalition gouvernementale. Le mot "Néo-Nazi" est tabou. Il a été exclu du dictionnaire de la narration des médias mainstream. Il n’apparaîtra pas dans les pages du New York Times, du Washington Post ou de The Independent. Les journalistes ont reçu l’instruction de ne pas utiliser le terme "Néo-Nazi" pour désigner Svoboda ou le Secteur Droit.

La composition du gouvernement de coalition

Nous n’avons pas affaire à un gouvernement de transition dans lequel des éléments néo-nazis intègrent les franges de la coalition, dirigée formellement par le parti de la Patrie.

Le Cabinet n’est pas seulement investi par Svoboda et le Secteur Droit (sans parler d’anciens membres du défunt UNA-UNSO fasciste), les deux principales entités néo-nazies ont été confiées des positions clé qui leur assurent de facto le contrôle sur les forces armées, la police et la sécurité nationale.

Tandis que le parti de la Patrie de Iatséniouk contrôle la majorité des portefeuilles et qu’Oleh Tyahnybok n’a reçu aucun poste ministériel important (apparemment à la demande de l’assistante du Secrétaire d’État Victoria Nuland), des membres de Svoboda et du Secteur Droit occupent des positions clé dans le domaine de la défense, des forces de l’ordre, de l’éducation, de la justice et des affaires économiques.

Le chef du parti néo-nazi Svoboda, Oleh Tyahnybok

L’assistante du Secrétaire d’Etat US Victoria Nuland, avec Oleh Tyahnybok (à gauche)

Andriy Parubiy (à droite), cofondateur du parti néo-nazi National-Socialiste d’Ukraine (par la suite renommé Svoboda), a été nommé Secrétaire du Comité de la Sécurité Nationale et de la Défense Nationale (RNBOU) (Рада національної безпеки і оборони України), une position clé qui supervise le ministère de la défense, les forces armées, les forces de l’ordre, la sécurité nationale et le renseignement. Le RNBOU est le corps central qui prend les décisions. Alors qu’il est formellement dirigé par le président, il est géré par le Secrétariat avec une équipe de 180 personnes comprenant des experts de la défense, du renseignement et de la sécurité nationale.

Parubiy a été l’un des principaux leaders derrière la Révolution Orange en 2004. Son organisation a été financée par l’Occident. Les médias occidentaux parlent de lui comme le "kommandant" du mouvement d’Euro-Maïdan. Andriy Parubiy tout comme le chef de parti Oleh Tyahnybok est un disciple du Nazi ukrainien Stepan Bandera, qui avait collaboré au meurtre en masse de Juifs et de Polonais pendant la Seconde Guerre Mondiale.

Défilé néo-nazi en hommage à Stepan Bandera

De plus, Dmytro Yarosh, leader de la délégation du Secteur Droit au parlement, a été nommé Secrétaire-adjoint de Parubiy au RNBOU.

Yarosh était le chef des paramilitaires néo-nazis à chemises brunes pendant le mouvement "contestataire" de l’Euro-Maïdan. Il a appelé à la dissolution du Parti des régions et du Parti Communiste.

Discours de Dmytro Yarosh à Euro-Maïdan (au centre)

Le parti néo-nazi contrôle également le processus judiciaire avec la nomination d’Oleh Makhnitsky du parti Svoboda au poste de Procureur-Général d’Ukraine. Quelle genre de justice va-t-il y avoir avec un Néo-Nazi notoire en charge du Bureau du Procureur de l’Ukraine?

Des positions du cabinet ont aussi été allouées à d’anciens membres de l’organisation marginale néo-nazie Assemblée Nationale Ukrainienne – Auto-Défense Nationale Ukrainienne (UNA-UNSO):

Tetyana Chernovol, décrite par la presse occidentale comme une journaliste d’investigation en croisade sans mention de son implication passée dans l’UNA-UNSO antisémite, a été nommée à la tête du comité anti-corruption du gouvernement.

Dmytro Bulatov, connu pour avoir à priori été kidnappé par la police, mais aussi avec des connexions à l’UNA-UNSO, a été nommé ministre de la jeunesse et des sports.

Yegor Sobolev, leader d’un groupe civique à l’Euro-Maïdan et politiquement proche de Iatséniouk, a été nommé directeur du Comité de Lustration, chargé de la purge des supporters du Présient Yanoukovitch du gouvernement et de la vie publique.

Le Comité de Lustration doit organiser la chasse aux sorcières néo-nazie contre tous les opposants au nouveau régime néo-nazi. Les cibles de la campagne de "lustration" sont les personnes en position d’autorité au sein des services publics, des gouvernements régionaux et municipaux, de l’éducation, de la recherche, &c. Le terme lustration se réfère à la "disqualification de masse" des personnes associées à l’ancien gouvernement. Il a aussi des tonalités racistes. Ilsera selon toute probabilité dirigé contre les Communistes, les Russes et les membres de la communauté juive.

Il est important de réfléchir au fait que l’Occident, formellement dévoué aux valeurs démocratiques, n’a pas seulement été le fer de lance de la destitution d’un président élu, il a installé un régime politique intégré par des Néo-Nazis.

C’est un gouvernement fantoche qui permet aux USA, à l’OTAN et à l’UE d’interférer avec les affaires internes de l’Ukraine et de démanteler ses relations bilatérales avec la Fédération de Russie. Toutefois, il doit être compris que les Néo-Nazis ne sont pas ceux qui, au bout du compte, donnent les directives: sous un "régime de règne indirect" ils prennent leurs ordres sur les sujets cruciaux militaires et de politique étrangère – y compris le déploiement de troupes dirigées contre la Fédération de Russie – du Secrétariat d’État US, du Pentagone et de l’OTAN.

Le Monde est à un carrefour dangereux: les structures et la composition de ce gouvernement fantoche installé par l’Occident ne favorisent pas le dialogue avec le gouvernement et les militaires russes.

Un scénario d’escalade militaire menant à une confrontation entre la Russie et l’OTAN est une claire possibilité. Le RNBOU ukrainien, contrôlé par les Néo-Nazis joue un rôle central dans les affaires militaires. Dans la confrontation avec Moscou, les décisions prises par le RNBOU dirigé par le néo-nazi Parubiy et son adjoint à chemise brune Dmytro Yarosh – en consultation avec Washington et Bruxelles – pourraient potentiellement avoir des conséquences dévastatrices.

"Le fleurissement de la démocratie" en Ukraine – pour utiliser les mots du New York Times – est appuyé par les Républicains et les Démocrates. C’est un projet bi-partisan. N’oublions pas que le Sénateur John McCain est un ferme soutien et ami du chef néo-nazi de Svoboda Oleh Tyahnybok (photo à droite).

Ceci dit, il va sans dire que le "soutien" à la formation d’un gouvernement néo-nazi n’implique en aucune façon le développement de "tendances fascistes" à l’intérieur de la Maison Blanche, du Département d’État et du Congrès US. (ironie, quand tu nous tiens… ndlr)

Source:http://globalepresse.com/2014/03/03/les-usa-ont-installe-un-gouvernement-neo-nazi-en-ukraine/

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10 février 2014

Sotchi-2014: un avion détourné par un pirate qui portait un numero 11 sur le bras .

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comment pas sourire en voyant ce numero sur le pirate comment le hasard ne joue pas après le 11 sept un symbole occulte et une signature numérique d'un coup organisé décidemment il y avait aussi 11 0 passagers

Pendant que la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques se déroulait dans la féérie des jeux de lumière et des feux d’artifices, un homme, un ukrainien de 45 ans,  tentait de détourner un avion de la compagnie turque Pegasus parti de Kharkov (Ukraine) pour le diriger vers Sotchi.

Bf41xkiCIAENG2h.jpg largeSelon des informations dont nous disposons, l’apprenti pirate a menacé de faire exploser une bombe si l’avion, avec 110 passagers à son bord, ne prenait pas la direction de Sotchi.  Il a tenté de forcer la porte du poste de pilotage mais n’a apparemment pas pu y parvenir. L’alerte a été donnée par le pilote, et l’armée de l’air turque a immédiatement fait décoller un chasseur F16, qui a escorté l’avion jusqu’à Istanbul où les unités d’intervention de la police antiterroriste turque ont immédiatement investi l’appareil. L’homme était, semble-t-il en état d’ébriété ou sous l’effet de la drogue, selon le porte-parole des services de sécurité ukrainiens. L’homme, qui ne portait ni arme, ni bombe sur lui, a été conduit dans un poste de police pour y être interrogé.

4362612_3_c221_l-appareil-de-la-compagnie-pegasus-a-ete_16c90bc5eab33fc64300fce68c8a8090Le dernier paramètre des Jeux de Sotchi vient de se mettre en place. Pour ceux qui pouvaient encore en douter, à Sotchi il n’y a pas que les jeux d’hiver. C’est la guerre qui continue. Ce faux pirate, convenablement drogué, n’est destiné qu’à annoncer la donne. Bien sûr, les médias occidentaux s’en sont emparés. Des ‘’informations’’ concernant le ‘’pirate’’ et ses motivations vont nous être distillées peu à peu dans les jours qui viennent, mais ne nous attendons pas à en avoir du côté russe car, bien que l’affaire les concerne au premier chef, ils n’auront que celles que nous aurons, celles concoctées de ce côté-ci du "nouveau rideau de fer’’.

A suivre…

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