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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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sante
9 janvier 2015

Vos « plombages » ne contiennent pas de plomb ! C’est du mercure !

index

Au Japon, les amalgames dentaires au mercure ont été abandonnés depuis trente ans.

En Russie, ils ont été interdits en 1985, au vu de centaines d’études sur les dangers des plombages au mercure.

La Norvège condamne l’usage du mercure dans toutes ses applications et il y est interdit d’obturer les caries avec des amalgames.

En Suède, on ne pose plus d’amalgames depuis 1999. En Allemagne, la pose d’amalgames dentaires n’est même plus enseignée aux étudiants dans les facultés dentaires.

En Californie, les cabinets dentaires qui utilisent l’amalgame dentaire doivent arborer un panneau bien visible avec l’inscription suivante :

« Attention, ce cabinet pose des obturations à l’amalgame. L’amalgame contient du mercure. Les patients traités avec ce matériau d’obturation s’exposent à cette substance chimique toxique. L’Etat de Californie a connaissance du fait que le mercure peut provoquer des déformations à la naissance et d’autres troubles de la reproduction. »

Et en France… En France, on continue à poser des amalgames comme si de rien n’était à des millions de personnes qui ne se doutent de rien.

Vos « plombs » ne contiennent pas de plomb ! C’est du mercure !

Lorsque votre dentiste vous bouche une carie, il n’utilise pas du plomb, mais un mélange de poussière d’argent, de cuivre et d’étain, avec une grosse goutte de mercure.

Le mercure fait fondre, à température ambiante, ces poudres de métal, et les amalgame ensemble. Il donne à la substance ainsi obtenue une consistance malléable, bien pratique pour s’enfoncer dans les trous.

Une fois en place, l’amalgame durcit. C’est la phase de « cristallisation ». Vous pouvez recommencer à mâcher des aliments. Le mercure, qui représentait 50 % du mélange au départ, ne représente déjà plus que 40 à 45 % du total. C’est en effet un métal très « volatil », c’est-à-dire qu’il s’évapore à température ambiante. Et il a instantanément commencé à le faire en arrivant dans votre bouche.

A partir de ce jour, vous retrouvez le plaisir de croquer des pommes et manger des caramels, boire du café chaud comme du thé glacé sans cette affreuse pointe de douleur à l’endroit de votre carie.

Vous êtes donc soulagé.

Ce que vous ne sentez pas, c’est que l’amalgame qui a été posé sur vos dents émet de façon continue des vapeurs de mercure qui, lorsqu’elles sont absorbées par vos muqueuses et, quand elles arrivent par la respiration dans vos poumons, passent à 80 % dans votre sang. De plus, chaque fois que vous mâchez, le frottement de la nourriture contre votre amalgame dentaire accélère les émissions de mercure.

En 1997, une vaste enquête allemande a permis de vérifier que le mercure s’échappe des plombages.

L’équipe de chercheurs de l’université de Tübingen, en Allemagne, fait analyser la salive de 18 000 sujet porteurs de 9 amalgames chacun en moyenne. Elle a rédigé ensuite un rapport de 77 pages, révélant qu’après dix minutes de mastication d’un chewing-gum, la salive renferme une moyenne de 47 microgrammes de mercure par litre. Sachant que la norme utilisée par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour l’eau potable est de 1 microgramme par litre, cela signifie qu’à chaque repas, les porteurs d’amalgames ingèrent environ 47 fois plus de mercure que la norme autorisée.

Sans mastication, au repos donc, la valeur moyenne reste de 27 microgrammes par litre, ce qui reste considérable, puisque cela représente encore 27 fois cette norme. (1)

Lorsque vous portez un amalgame, votre dent plombée se gorge de métaux lourds et devenir grisâtre. Même si vous retirez votre amalgame, c’est désormais la dent elle-même qui est la source d’empoisonnement.

Les autorités françaises sont-elles au courant ?

Oui, bien sûr.

L’AFSSAPS (Agence nationale de sécurité du médicament) a publié un rapport alarmant au sujet du mercure dans les amalgames dentaires en 2005.

Ce rapport décrit d’abord clairement la manière dont le mercure des amalgames est libéré dans le corps humain : « par dissolution (…) et par abrasion (…), le mercure présent dans l’air endo-buccal va être soit exhalé, soit atteindre le poumon, soit encore être dégluti et rejoindre l’appareil digestif. »

« La libération de mercure est favorisée par la mastication. Ainsi, deux études de 1996 ont montré que la mastication régulière de chewing-gum (…) augmente les taux plasmatiques et urinaires de mercure. »

« Au niveau pulmonaire, le mercure sous forme de vapeurs et rapidement absorbé. Une partie (…) pénètre également dans la circulation générale. »

On lit ensuite que les propriétés lipophiles (tendance à se lier aux corps gras) du mercure autorisent sa « diffusion » et « sa distribution dans le cerveau. » (qui est fait essentiellement de graisses). « Les ions mercuriques (…) sont donc piégés et accumulés localement dans les lisosomes. Ce phénomène explique la toxicité du mercure au niveau du cerveau ainsi que sa longue demi-vie dans cet organe. De même, une partie du mercure métallique peut passer la barrière placentaire. » (2)

Et pourtant, elle reste les bras croisés, malgré les ravages largement visibles dans la population :

Les dentistes victimes d’une épidémie de tumeurs

Les dentistes et leurs assistantes respirent au quotidien des vapeurs de mercure et ils sont deux à trois fois plus souvent victimes de tumeurs au cerveau que la moyenne, et quatre fois plus souvent atteints de glioblastome, le cancer du système nerveux. (3)

On sait par ailleurs depuis longtemps que « la dépression, et par conséquent le taux de suicide, est de 60 % plus élevé chez dentistes que dans les autres professions ». (4)

En 1989, le suédois Nylander, mondialement connu pour ses travaux sur le sujet, et son équipe ont autopsié d’anciens dentistes et leur personnel ; les taux de mercure dans leur hypophyse étaient multipliés par 35par rapport à un groupe témoin non exposé. Et pourtant, la plupart de ces personnes décédées ne travaillaient plus depuis plusieurs années.

L’étude du Dr Vimy et al, réalisée en 1990, a consisté à placer des plombages dans les dents de brebis gestantes (enceintes) pour déterminer l’effet sur les mères et les agneaux à naître.

Les autopsies pratiquées dans le cadre de l’étude mettent en évidence une énorme contamination de la mère et de son petit : vingt à quarante jours après la pose des amalgames, c’est le rein qui, chez la mère, montre la plus forte contamination (9000 microgrammes par kg). Le cœur, les muscles, les glandes parotides, les gencives, l’estomac sont également atteints. Le placenta est empoisonné aussi : on y trouve 300 microgrammes/kg de mercure ! C’est énorme. Quant au lait maternel, il est contaminé à raison de 60 microgrammes par litre. Chez le fœtus, le foie, les reins et le cerveau (hypophyse) sont très touchés, à hauteur de 100 microgrammes/kg. Et ce en dépit du fait que les amalgames aient été posés à l’intérieure de cavités dans les dents, pour éviter qu’ils ne s’usent du fait de la rumination. (5)

Ce que fait le mercure

La toxicité du mercure est connue depuis l’Antiquité. C’est un poison qui inhibe les enzymes responsables de la respiration cellulaire.

Non seulement il entrave le fonctionnement de tous les organes, mais il désorganise et perturbe les systèmes endocriniens et hormonaux, nerveux, immunitaires, digestif. Le système immunitaire est si gravement touché qu’on assiste à une plus grande sensibilité aux infections et au cancer. Les détériorations des cellules accélèrent le processus de vieillissement de l’organisme, et favorisent le déclenchement d’affections neuro-dégénératives graves.

Selon Franz-Xavier Reichl, dans son Atlas de poche de médecine de l’environnement, les personnes souffrant d’une contamination au mercure causée par leur amalgame peuvent souffrir de douleurs musculaires et articulaires, abdominales, accès de sueur, céphalées (mal de tête), surpoids, troubles respiratoires, toux, vertiges, nausées, troubles de la vue, de l’audition, chute de cheveux, dépression, épuisement, perturbation du sommeil, irritabilité, anxiété, troubles digestifs, difficultés cognitives. » (6)

Le mercure est en particulier mis en cause dans la multiplication des « maladies émergentes », c’est-à-dire des maladies qui se multiplient depuis les années 1980 : fibromyalgie, syndrome de fatigue chronique (SFC), allergies de toutes sortes, dépression, spasmophilie, troubles de la sensibilité neuro-musculaire, infections chroniques, mycoses récidivantes, troubles du métabolisme, troubles de l’attention et l’hyperactivité chez les enfants, migraines et douleurs diffuses.

Mais la maladie de Parkinson, la sclérose en plaque, l’autisme et de nombreux cas de cancers peuvent aussi être liés à une intoxication au mercure.

Les conséquences sont particulièrement graves pour les 20 % de la population dont l’organisme est incapable de se débarrasser spontanément des métaux lourds. Ces personnes stockent le mercure dans leurs tissus et subissent à plein les conséquences de l’empoisonnement.

Le Dr Mutter souligne que « la perfidie d’une intoxication réside dans le fait qu’il peut s’écouler jusqu’à quinze années ou plus, entre le début de l’intoxication et l’apparition des symptômes. (…), lorsque d’infimes quantités de mercure sont absorbées sur une longue durée, et s’accumulent dans l’organisme, comme c’est le cas pour les porteurs d’amalgames, il survient une intoxication insidieuse et chronique. » (7) Heureusement, on connaît aujourd’hui les moyens de désintoxiquer l’organisme :

Ce qu’il faut faire, vite

L'acteur américain Jeremy Piven, récompensé par trois Emmy Awards et un Golden Globe, a été récemment contraint d'abandonner brusquement son rôle dans la pièce de Broadway, Spee the Plow, parce qu'il souffrait de niveaux élevés de mercure. Le médecin de Piven a indiqué que la toxicité du mercure qui le rendait si malade était probablement due à ses fréquents repas de sushis. Quelques semaines auparavant, j'ai envoyé à Piven une copie de mon nouveau livre, Detox with oral chelation, parce que j'ai pensé que, peut-être, s'il avait été traité par chélation, ces métaux lourds toxiques ne se seraient pas accumulés à des niveaux aussi dangereux dans son organisme. Mais Piven n'est pas la seule personne à risque.

JAY BROWNDavid Jay Brown est un écrivain scientifique américain. Il est coauteur, avec Garry Gordon, MD, de Detox with oral chelation: protecting yourself from lead, mercury, and other environmental toxins (Détoxifier avec la chélation orale : protégez-vous du plomb, du mercure et d'autres toxines environnementales, éditions Smart Publications, 2009) et est l'auteur de six autres ouvrages sur les frontières de la science et de la médecine. David est titulaire d'un master de psychobiologie délivré par l'université de New York, il est également connu pour ses quatre volumes d'interviews qui sont des best-sellers.
Pour en savoir plus : www.mavericksofthemind.com

Chelation


Tout le monde souffre
de la toxicité des métaux lourds

Selon des études de l'école médicale de Harvard et de l'université de Tulane, chacun, sur cette planète - à un degré ou à un autre - souffre d'empoisonnement aux métaux lourds. Chaque personne vivant aujourd'hui a environ près de mille fois plus de plomb dans ses os que n'importe qui vivant avant l'ère industrielle. Des niveaux élevés de plomb et de mercure dans le corps sont associés à de nombreuses maladies, telle la cataracte1, et à une augmentation du risque de maladies cardio-vasculaires2. Une étude troublante réalisée à l'école de santé publique de l'université de Tulane a démontré que le niveau sanguin moyen trouvé chez les habitants des États-Unis est suffisamment élevé pour augmenter le risque d'infarctus et d'accident vasculaire cérébral. En d'autres termes, la toxicité des métaux lourds est partout, cela a pour conséquence de compromettre la santé de chacun.
Les métaux lourds sont des composants naturels de l'écorce terrestre ; ils ne peuvent être ni dégradés ni détruits. Les principaux métaux lourds auxquels je fais référence dans cet article sont le plomb, le mercure, l'aluminium, l'arsenic, le cadmium et le nickel, mais le terme « métaux lourds » évoque tout élément chimique métallique ayant une densité relativement élevée ou une toxicité à de relativement faibles concentrations. Les métaux lourds ont des poids moléculaires plus élevés que la plupart des substances et sont caractérisés par une gravité spécifique au moins cinq fois plus élevée que celle de l'eau. Depuis le xixe siècle, ils ont été largement utilisés par l'industrie et sont maintenant des contaminants fréquents de l'environnement. En d'autres termes, depuis le xixe siècle, les hommes ont assisté à une migration massive des métaux lourds de l'écorce terrestre vers notre air, notre eau, nos aliments et nos organismes.
La plupart des métaux lourds sont extrêmement toxiques pour l'organisme parce qu'ils ont tendance à se mêler au fonctionnement métabolique de certaines enzymes et à l'inhiber. Ils sont particulièrement dangereux parce qu'avec le temps, ils ont tendance à s'accumuler dans l'organisme. Cela veut dire que leur concentration dans le corps augmente avec le temps par rapport à celle dans l'environnement. Les métaux lourds ont tendance à s'accumuler dans nos corps parce qu'ils sont absorbés et stockés plus rapidement qu'ils ne sont éliminés. Dans le monde toxique et pollué que nous avons créé, nos corps ont désespérément besoin d'aide.
L'un des moyens les plus sûrs et les plus efficaces d'éliminer les métaux lourds toxiques de notre corps est le traitement par chélation avec l'EDTA. L'EDTA (acide éthylènediaminetétraacétique) est un acide aminé synthétique essentiellement composé de quatre molécules de vinaigre et souvent utilisé comme conservateur dans l'alimentation. Il a été synthétisé pour la première fois en Allemagne en 1935 et ensuite breveté aux États-Unis en 1941.
Le mot chélation vient du mot grec chele, qui signifie « pince » ou évoque les pinces du crabe ou du homard. La chélation est le processus chimique par lequel un métal ou un minerai, comme le plomb, le mercure ou le calcium, est lié à une autre substance. C'est un processus naturel qui se produit continuellement dans nos organismes. Par exemple, le transport ou la migration du zinc ou du fer dans et en dehors de nos cellules se fait par un processus de chélation ; le fer dans l'hémoglobine est un métal chélaté.
Un chélate est un composant chimique dans lequel l'atome central est attaché à ses atomes voisins par au moins deux liaisons pour former une structure en anneau. Cet atome central est généralement un ion métal ; au cours du processus de chélation, il réagit avec d'autres métaux ou minéraux dans le corps et se lie à eux. Le traitement par chélation emploie généralement l'EDTA mais il existe un grand nombre d'autres chélateurs importants, tels l'ail, la vitamine C ou l'acide malique. Dans le traitement par chélation, l'EDTA est administré par voie orale en gélules ou, au cabinet du médecin, par voie intraveineuse. Une fois entré dans la circulation sanguine, l'EDTA se lie aux métaux lourds et les transporte hors de l'organisme.
Les médecins qui pratiquent le traitement par chélation rapportent que la chélation par voie orale a de nombreux autres effets bénéfiques que la chélation par voie intraveineuse, bien qu'elle soit moins directe et moins puissante. Cent pour cent de l'EDTA sont absorbés par la circulation sanguine lorsqu'il est administré par voie intraveineuse, contre seulement cinq à dix pour cent par voie orale. Un faible pourcentage de la dose prise par voie orale étant absorbé par la circulation sanguine, la durée et les doses nécessaires au traitement sont différentes. La dose moyenne d'EDTA par voie orale se situe entre 1 000 et 2 000 mg pris deux fois par jour. La chélation par voie orale devrait être faite entre les repas et sur un estomac vide, suivie par un bon supplément de multiminéraux environ deux heures plus tard. Elle peut être faite tous les jours. Ce que j'ai le plus souvent entendu dire par des gens en bonne santé qui ont commencé un traitement de chélation par l'EDTA est qu'ils ont maintenant nettement plus d'énergie.
mercureLe traitement de chélation par l'EDTA devrait aujourd'hui être une méthode privilégiée pour les gens qui cherchent simplement à améliorer leurs performances, prévenir les maladies dégénératives liées au vieillissement ou pour ceux dont l'état ne demande pas une intervention rapide. De nombreux médecins rapportent que des résultats peuvent être obtenus en seulement quelques heures avec la chélation par voie intraveineuse mais que cela peut prendre plusieurs semaines ou plusieurs mois avec la chélation par voie orale avec l'EDTA. Du moment que l'on suit un protocole adapté et que l'on prend un bon supplément de multiminéraux quelques heures après la chélation, on peut se chélater en toute sécurité chez soi sans le coût ni la tension de la visite chez le médecin. La chélation orale est très peu coûteuse. L'EDTA ne coûte guère plus cher que la vitamine C et il n'y a donc aucune raison de ne pas envisager de le prendre.

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10 novembre 2014

Une étude de l’Université de Yale rapporte une accentuation de problèmes médicaux aux abords des plateformes de fracking

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Une nouvelle étude de l’Université d’Yale a constaté que les forages de gaz conventionnels et non conventionnels,  peuvent augmenter le risque de symptômes médicaux chez les personnes vivant près des sites d’extraction , d’où la  nécessité de recherches plus approfondies sur le procédé de la fracturation hydraulique.
Cette étude a été menée par l’Université de Yale. Elle démontre une  fréquence plus  élevée de symptômes sanitaires chez les résidents vivant près des puits de gaz naturel, y compris pour les voisins de plateformes  de forages , où ont lieu des opérations de fracturations.

L’étude a été publiée et mise en ligne le 10 septembre 2014, aux Etats-Unis,  dans le journal des Instituts nationaux de Santé, américains, dans la rubrique ” Perspectives de Santé Environnementales”.

Publication: Peter M. Rabinowitz, et al., “Proximity to Natural Gas Wells and Reported Health Status: Results of a Household Survey in Washington County, Pennsylvania,” Environ Health Perspect; DOI:10.1289/ehp.1307732

 

Source: Yale University

Image: Patrick Lynch

http://nofrackingfrance.fr/

 “A l’heure où l’Europe envisage de se lancer dans l’aventure de l’extraction des hydrocarbures de schiste, aux  Etats-Unis où ils sont  exploités  depuis une douzaine d’années, des moratoires et des interdictions de la fracturation hydraulique ,  se multiplient ! Puissions nous être de bon sens et savoir nous inspirer des expériences des autres pour ne pas les reproduire……”  Elisabelle Bourgue, Présidente de l’Association NO Fracking France

 

Mardi 4 novembre 2014, les électeurs de quatre villes du Colorado,  étaient appelés à se prononcer “pour” ou “contre” le fracking, trois communautés sur quatre ont réussi à installer  des moratoires ou interdire même franchement toutes opérations de fracturations hydrauliques pour extraire des hydrocarbures de schistes, sur leurs territoires.
Mercredi matin,  tous les votes avaient été comptabilisés et les mesures “anti-fracturation” sont passées facilement dans les villes de Lafayette, le Rocher et le Fort Collins. Dans la  ville voisine, de Broomfield, l’interdiction n’est pas passée.

La ville du  Rocher a voté , un “Non” écrasant  à la fracturation avec 78 %,  approuvant une extension de cinq ans de ce  moratoire pour la ville.

Pour la Ville de Lafayette,  les électeurs ont appelé à une interdiction complète des forages et de pétrole et de gaz dans des limites de la ville, avec 59 % à l’appui de la mesure. La ville rejoint maintenant Longmont, ou de smesures d’  interdiction de la fracturation sont déjà  en place…..

Source : http://www.huffingtonpost.com/2013/11/06/colorado-anti-fracking-_n_4226712.html

Une première au TEXAS : La Ville de Denton interdit la fracturation !

 

D’après une traduction libre, d ‘Elisabelle Bourgue pour NO Fracking France
Le 5 novembre 2014
Nous AVONS GAGNÉ !  s’écrie Cathy McMullen,  présidente d’une association d’habitants, de la Ville de Denton au Texas. Ceci est une victoire pour les citoyens de la ville de Denton.Pour nos familles, pour notre santé, pour nos maisons et pour notre avenir.
Que signifie cette interdiction de la fracturation :
  • Cela signifie que nous ne devons pas nous inquiéter de ce que nos enfants respirent dans les cours  de récréation de la ville.
  • Cela signifie que nous pouvons encourager la création d’ espaces verts dans la ville.
  • Et cela  signifie que nous ne devons pas nous inquiéter de la perte d’une valeur de notre propriété qui chuterait  brutalement parce que les frackers viendraient s’implanter proche de nos habitations.

Cette interdiction ne serait  pas passé sans les efforts infatigables des innombrables citoyens qui se sont sentis concernés et qui se sont investis pour que cela puisse arriver.
(…)
Source : http://frackfreedenton.com/2014/11/we-won-a-few-thoughts-from-president-cathy-mcmullen/

http://nofrackingfrance.fr/

merci à Franck Veilledesante

3 novembre 2014

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG

UsaUFO


Un programme pour étudier la conception d’un nouveau type d’aéronef à décollage et attérrissage vertical.

Le projet « Silver Bug », « cafard d’argent » (projet n° 9961) avait été développé conjointement par l’ATIC, le « Air Technical Center », le « Centre de Renseignement Technique de l’Air » et le WADC, « Wright Air Developpement Center », le « Centre de recherche et de développement de Wright », en février 1953. En fait, il s’inspirait à l’origine d’un programme Canadien démarré en 1952. C’est le général D.C. Putt de « l’USAF Air Research and Développement », la branche « Recherche et Développement de l’Air Force », qui en prendra la direction.
Ce programme avait pour but d’étudier la possibilité d’une une toute nouvelle conception d’aéronefs tout-à-fait radicale. Pour envisager la réalisation d’un disque volant, qui serait capable à la fois de décollages et d’atterrissages verticaux, et ayant une vitesse de vol supersonique. Au départ, le projet avait mis en concurrence deux types d’engins différents.

Le projet « Silver Bug » avait été lancé, lorsque le renseignement de l’Air Force avait rapporté des informations indiquant un grand intérêt de la part de l’Union Soviétique dans ce domaine d’activité.

Une autre motivation de l’Air Force était de trouver un moyen de limiter au maximum la vulnérabilité des bases aériennes, qui sont toutes tributaires de leurs pistes d’atterrissage. Non seulement les pistes prennent énormément de place de par leur longueur, mais elles seraient tout-à-fait identifiables par des photos aériennes et aussi par des satellites espions (même si l’on en était qu’au début de l’ère spatiale, il y avait bien, pour l’Air Force, un risque pour la sécurité nationale, quand des satellites espions pourraient être mis en orbite par l’URSS). De plus, l’armée de l’air y voyait-là un moyen de ne plus dépendre des pistes d’atterrissage de ses bases (qui bien-sûr deviennent inutilisables, dès qu’elles sont bombardées).

En cas de succès, les nouveaux engins devaient être entreposés en sous-sol, évitant ainsi la nécessité d’avoir des longues pistes.

Un programme conjoint Américano-Canadien.

Le projet Silver Bug, s’appuyait pour ses recherches sur les travaux du contractant de la défense A. V. Roe Limited, une société Canadienne (que l’on appelle plus communément « AVRO ») et qui était une filiale de l’entreprise Américaine « Hawker-Siddley Group ». Le principal objectif était de résoudre les contraintes de ces nouveaux engins et de leur forme, identiques aux « soucoupes volantes ». Pour offrir à la force aérienne Américaine, des systèmes d’armement avancés, capable de décoller et d’atterrir verticalement, avec des capacités et des performances supérieurs aux jets militaires de l’époque. Et pouvoir proposer une utilisation possible dans la majorité des bases déjà existantes.

De plus, les supérieurs de l’Air Force avaient bien définis que:

- « Il ne semble y avoir aucune raison fondamentale, pour laquelle cette étude ne devrait pas donner lieu à un système d’armement. Cependant il existe plusieurs domaines techniques qui doivent être étudiés avant qu’un développement du programme à grande échelle ne soit lancé »;

- « La simplicité de la construction de l’engin devrait atténuer un grand nombre des problèmes logistiques liés à la construction, qui sont normalement associés avec le développement de nouveaux aéronefs »;

- « Se basant sur ces éléments, le double programme de recherche-développement est justifiable »;

- « Les échanges d’informations techniques sur ce projet se feraient en liaison directe, entre le WADC et l’ATIC »;

- « Un effort doit être entrepris, pour déterminer si l’Union Soviétique travaille encore ou a déjà travaillée pour conduire un projet similaire, quand les travaux ont commencés et l’état actuel de l’avancée Soviétique ».

Deux types d’engins seront envisagés, mais un seul sera retenu.

Durant les deux premières années, des études préliminaires pour un modèle d’aéronef à décollage vertical seront lancées. Et parmi eux, deux types de projets (regroupant chacun différents prototypes) se démarqueront:

- L’un appelé « Projet Y », qui visait un engin en forme d’aile volante à pointe fuselée, avec un décollage vertical par l’arrière de l’appareil (procédé de décollage type « tail-sitter »);

- Et un autre, appelé « Projet Y2″, qui visait une plate-forme volante circulaire, qui reste à l’horizontal au moment du décollage (de type dénommé « flat-riser »).

Ils étaient tous les deux classé « secret ». Après étude par les contractants, pour servir de base de travail, le projet Y sera finalement abandonné au profit du projet Y2 (1). L’Air Force désirant un appareil plus maniable, préférait une forme de soucoupe. Les forces Américaines avaient déjà fait l’expérience d’avions supersoniques à décollage vertical dans différents autres programmes, qui avaient posés des problèmes d’aérodynamisme et ils préféreront choisir un engin de forme circulaire (2).

A partir de ce moment, la direction prise par la recherche sera de s’orienter définitivement vers une forme de soucoupe circulaire, pour concevoir un prototype d’engin à décollage vertical. Les prototypes seront au départ appelés « VTO Aircraft », pour « Vertical Take Off Aircraft », « aéronef à décollage vertical ».

Le principe de l’aéronef qu’avait retenu l’Air Force au départ.

La forme générale était celle d’une plate-forme circulaire ayant l’apparence d’un « disque ». Le tout surmonté d’un cockpit central pour le pilote. La première étude du prototype, prévoyait 6 réacteurs Armonstrong-Sidney « Viper 8″ placés en étoile, dans l’épaisseur du fuselage, autour de la partie centrale, avec un système de volet, pour orienter les flux de gaz des réacteurs.   Voilà les plans ci-dessous:

Il y aura une seconde étude de prototype, permettant aussi un large flux radial d’energie sur sa circonférence mais avec un système de motorisation différent. C’est celui-là qui avait été retenu. Il sera appelé le « MX-1794″ aux Etats-Unis et le « PV-704″ au Canada, voilà les plans ci-dessous :

Les caractéristiques de cet engin « Radial-Flow Engine Aircraft »:

Diamètre: 29,20 pieds;
Hauteur: 3,79 pieds;
Poids total du fuselage et du cockpit : 9532 livres;
Poids total du système de propulsion : 10450 livres;
Equipement de vol, radio-électrique, air conditionné et oxygène: 1068 livres;
Capacité du réservoir de fuel: 1140 gallons;
Poids à vide: 21050 livres;
Charges de fuel: 7750 livres;
Equipage (un pilote): 200 livres;
Poids total en chage: 29000 livres.

Un système de propulsion et de contrôle indissociable.

Contrairement à ce que l’on pourrait penser généralement en voyant les plans de cet aéronef, il ne s’agissait pas d’un engin à « antigravité ».

Il utilisait un mode de propulsion disons plus conventionnel, avec des rotors, des réacteurs et des turbines, et une chambre de compression qui étaient alimentées au fuel. Il y aura plusieurs versions étudiées, avec le principe de réacteurs et de turbines, qui comprimait l’air, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil (que l’on appelle « l’effet Coanda »). Exemple avec le plan ci-dessous :

Ce qui pouvait passer pour un avantage, la propulsion et le système de contrôle ne faisant en fait qu’un, deviendra en fait la plus grande difficulté à surmonter. Pour arriver à un engin maneuvrable et capable des performances attendues. Et ce prototype n’aboutira finalement pas.

Les estimations des performances attendues selon le constructeur devaient être:

Plafond maximum à pleine vitesse: 80600 pieds;
Vitesse maximale: 2300 miles;
Vitesse de montée: 1,76 minutes par 36090 pieds.

Le Projet Silver Bug dans les médias.

Effectivement, plusieurs journaux et magazines, aussi bien Américain que Canadien, parleront de ce programme dès le début et ce tout au long des années cinquante. Donnant indifféremment sans même le savoir, des informations sur les différents prototypes du projet Silver Bug.

Le magazine « Look », avait publié un article en juin 1955, disant que AV Roe, Canada, Ltd, le constructeur Canadien, avait en cours un programme de conception de soucoupe qui était en développement depuis 1953. Et qu’il avait été abandonné à cause du coût qui était jugé trop élevé pour obtenir un démonstrateur de vol (il s’agit en fait du projet MX 1794, qui sera bien abandonné). L’article évoquait également une réunion d’ingénieurs, où il avait été annoncé que de nouvelles contraintes de l’Air Force avaient été mise en place, concernant les exigences en matière de performances, qui serait plus satisfaits par un aéronef en forme de soucoupe (ce que confirme le rapport déclassifié).

Le journal Canadien « Toronto Star », avait de son côté écrit dans son édition du 11 février 1953 que Avro-Canada, avait démarré un programme en 1953, pour élaborer une soucoupe volante. Et que leurs équipes travaillaient à l’usine de Malton, en Ontario. Le 16 février 1953, le ministre de la Production de défense a informé la Chambre des communes que Avro avait travaillé sur un « modèle à décollage vertical » d’une soucoupe volante qui serait capable de voler à 1500 miles à l’heure et de voler à la verticale.

Dans le journal de la société, « Avro News », le président de Avro-Canada avait déclaré que le prototype en cours de construction était « …si révolutionnaire que cela rendrait toutes les autres formes d’avions supersoniques obsolètes ».

Et dans un article dans un supplément du mois de décembre de la publication « Air Intelligence Digest », titré « le disque volant », des travaux de AVRO où figurait une illustration inexacte du prototype du projet.

A la suite de toutes ces « fuites » dans la presse le Pentagone fera une conférence de presse dans laquelle l’armée reconnaitra l’existence du projet Silver Bug et qu’ils travaillaient bien sur un engin en forme de soucoupe, et présenteront d’ailleur une illustration officielle du projet MX-1794.

Il faut bien le dire, ces divulgations dans les journaux à l’époque, même si elles ne donnaient pas toutes les informations, avaient entretenu une certaine confusion. Et en voyant l’Avrocar présenté au public, qui n’était pas le modèle présenté officiellement, il y aura une certaine suspicion, sur ce que pourrait cacher l’Air Force (et par certains côtés, on peut dire qu’elle perdure encore aujourd’hui).

Les différents d’aéronefs de la société AVRO.

Avec un même projet, partagé en deux programmes (un aux Etats-Unis et l’autre au Canada), plusieurs prototypes (certains abandonnés, d’autres retenu), le tout se déroulant sur plusieurs années, cela a certainement contribué à tout rendre assez confus, pour qui veut reconstituer les évènements. Et en voyant le résultat final avec l’Avrocar, qui de plus ne ressemblait pas à l’engin présenté dans les articles de presse et par le Pentagone; à l’époque, certains ont pensé qu’il n’aurait pût être en fait qu’un programme secondaire, « de façade ». Et que la recherche sur le prototype de 1955, le MX-1794, aurait peut-être ét poursuivie en secret. Plusieurs personnes à l’époque en avait eu alors la conviction (3).

Il y avait bien plusieurs engins différents à l’étude pour Silver Bug, sur lesquels travaillera la société AVRO. Il y aura:

- Un appareil se type « tail sitter » en forme d’aile volante (projet Y) des études préliminaires qui avait été rejeté et s’appelait l’Oméga;

- Deux appareils de type « flat riser » ou « Radial-Flow Engine Aircraft » en forme de soucoupe (projet Y2), dont un seul sera retenu (le MX 1794/PV 704) mais dont la recherche n’aboutira pas;

- Le « Weapon System 606″, qui était un fuselage classique sur une palte-forme de vol circulaire. Etudié pendant un temps après l’échec (et peut-être au même moment) du MX-1794/PV-704. Mais abandonné également;

- Et un dernier appareil, aussi de type « flat riser » (le VZ-9-AV), mais avec un concept légèrement différent de ce que voulait l’Air Force au dépard et qui donnera naissance à l’Avrocar.

Les documents déclassifiés du projet Silver Bug.

On peut se demander ce que pourrait nous apprendre les documents déclassifiés.
Actuellement, à part quelques documents déclassifiés de la CIA (concernant surtout les possibles recherches Soviétiques dans le même domaine), peu de documents officiels sont disponibles du côté Américain. Il y a un rapport technique sur le projet Silver Bug, publié le 15 février 1955 et qui a été déclassifié le 29 Mars 1995, obtenu suite à une demande du 15 février 1998, par le biais de la loi FOIA, par le CUFON, « The Computer UFO Network » (4).

Questionné à ce sujet, l’Air Force a fait répondre par le service des relations publiques de Wright-Patterson Air Force Base, à Dayton, qu’aucun autre rapport sur ce projet n’était disponible et à ce jour déclassifié (mais il existe un autre rapport, qui doit en fait être le même, mais à la mise en page et à la présentation des informations différentes. Mais le contenu doit être identique).

(1) On présente souvent l’inverse, en disant que c’est le projet Y2 qui avait été abandonné, au profit du Projet Y, mais c’est une erreur. Cela est bien mentionné à la page 1 (Section 1 Caracteristics) dans le dernier paragraphe (B. Description of the proposed Aircraft)  du rapport technique cité dans les sources.  Pour plus d’informations, voir la partie 2.

(2) C’était plusieurs projets de l’US Navy avec les firmes Loockeed et Convair, et un de l’US Air Force avec la firme Ryan Aeronautical Corporation pour les appareil à décollage en ayant une position vertical. Il y avait déjà eu aussi des engin avec une forme plate, par les firmes Roll Royce et Bell.

(3) Encore aujourd’hui, beaucoup le pense.

(4) Pour télécharger le rapport, cliquez sur le lien, link

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.avroarrow.org.

article source: http://actualitedelhistoire.over-blog.com/article-les-black-program-le-projet-silver-bug-partie-1-68928331.html

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET SILVER BUG (Partie 2)

Le projet Y2.

Ce projet était une collaboration entre l’US Air Force et la société AVRO, pour la construction d’un engin à décollage et atterrissage vertical. Ce projet faisait partie du « Projet Silver Bug », mais au Canada il prendra le nom de « Projet Y2″, d’après le nom du projet qui avait été retenu suite aux d’études préliminaires (1). Et au Canada, on le surnomme aussi parfois « Projet Ladybird ».

La recherche Canadienne avait démarrée en 1952 (l’association avec le programme Américain commença en février 1953) et se terminera en 1962. Il était donc aussi constitué de la poursuite des recherches, qui avait été réalisées précédemment par les Canadiens. Le responsable des équipes était l’ingénieur Britannique John Frost qui était aussi conseillé par les anciens ingénieurs en aéronautiques Allemands Miethe et Shiever.

Le projet Y, rejeté par l’Air Force.

Parallèlement au projet Y2, il a existé pendant une courte période un autre projet visant lui aussi le même objectif, c’était le projet Y. Ce dernier proposait un prototype complètement différent. Il s’agissait d’une aile volante arrondie en pointe vers l’avant, propulsée par plusieurs réacteurs. Son mode de décollage devait se faire complètement à la vertical, à l’aide d’un procédé de trains retractables, pour servir de « pieds » à l’engin. Ce système de décollage à la vertical est désigné par le terme « tail-sitter ».

Une forme d’aile allongée devait être utilisé en raison du mode de propulsion par « radiaux de flux » conçus pour l’alimenter. Les moteurs avaient été conçus pour émettre des gaz d’échappement provenant de plusieurs petites turbines, ce qui augmentait la poussée. Il devait voler à 2500 miles à l’heure.

Mais à la suite des études préliminaires, ce prototype ne sera pas retenu par l’Air Force, qui préféra choisir le projet Y2, qui était un prototype de forme circulaire, comme une soucoupe. L’Air Force, tout comme la Navy, expérimentait déjà d’autres modèles d’appareils supersoniques, aux forme plus ou moins classique, pouvant décoller à la vertical. Mais ces projets n’auront pas convaincu, les appareils connaissant régulièrement des problèmes aérodynamique, qui les rendaient insuffisamment maniable (2).

Le prototype, qui avait reçu le nom de code de « Oméga », n’aura existé que sur plan et sa seul réalisation concrète sera une maquette en bois. Dont il existe quelques photographies prises dans un hangar de Malton, près de Toronto, où travaillait la société AVRO. C’est accidentellement qu’elles seront découvertes dans les archives nationales Britanniques au « Public Record Office » de Kew (photos ci-dessous).

   

Même s’il ne sera pas choisit par les Américains, les Canadiens tentèrent tout-de-même de le poursuivre pour leur propre compte, avec des fonds Britanniques. Finalement, l’Oméga sera totalement abandonné. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 6 novembre 1962. C’est le brevet N° 3062482 pour un « aéronef à turbine à gaz » (documents ci-dessous).

L’étude d’un nouveau principe de réacteur.

Cette étude avait été réalisé pour le projet Y, et devait équiper l’aile volante Oméga. Au contraire des réacteurs classiques, dont les rotors sont coaxiaux, et sont placés à l’intérieur du réacteur, le procédé d’AVRO était de placer le rotor du compresseur horizontalement (donc avec un axe de rotation vertical) qui comprime l’air de manière radial, en l’éjectant sur son pourtour. Une partie de l’air comprimé par le compresseur pouvait être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux d’air froid et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil. Indépendamment, ou en association avec les flux chauds venant de la chambre de combustion.
Mais suite aux essais en soufflerie réalisé de 1954 à 1960 qui ne seront pas concluant, durant toute la conception de ce nouveau type de moteur, ils décideront d’utiliser un réacteur classique.

Les différents design envisagés par AVRO.

Depuis 1952, la recherche Canadienne avait étudié plusieurs pistes pour ses prototypes, comme vous pouvez le voir sur les document ci-dessous, récapitulant les différents projets:

Le premier qui aura la préférence, sera le Projet dénommé « PV-704″ au Canada et « MX-1794″ aux Etats-Unis (à droite). C’était celui qu’avait retenu l’Air Force au début et lorsque ce dernier sera abandonné en 1955, ils se rabanteront un temps sur le « Weapon System 606A », avant de choisir définitivement le projet « VZ-9-AV », qui deviendra l’Avrocar (à gauche). Il n’y aura que ces deux engins qui deviendront des prototypes et subiront des essais en soufflerie (maquettes d’origine de la société AVRO ci-dessous):

Le projet PV-704.

Il avait une forme de soucoupe, avec un cockpit central, équipé de plusieurs réacteurs, alimentant plusieurs turbines. Une partie de l’air pouvant être dirigé dans n’importe quels endroits de la périphérie du disque, afin d’assurer l’inclinaison et l’orientation de l’appareil. Le système de pilotage de l’engin se faisant en contrôlant ces flux et leur puissance, qui pouvaient aussi contribuer à la propulsion verticale ou horizontal de l’appareil.

Mais après plusieurs tests de différentes versions en soufflerie (selon le nombre et la position des réacteurs), ce projet sera abandonné, officiellement faute de crédit. Mais le brevet pour cet appareil a bien été déposé aux Etats-Unis le 27 février 1962. C’est le brevet N° 3022963 pour un « aéronef de type disque à jets de contrôle périphérique » (document ci-dessous).

Le Projet WS-606A.

Suite à l’échec du PV-704, AVRO se tournera pendant une durée assez courte vers une autre piste avec le « Weapon System 606A » (dont il y aurait eu plusieurs versions). Qui était une engin de forme circulaire, avec un fuselage central et un cockpit de forme classique (illustration ci-dessous). Il se pourrait aussi qu’AVRO l’ait étudié paraléllement, pendant le projet « V7-9-AV », mais on n’en est pas certain. Lui ne dépassera le stade des plans et sera assez rapidement délaissé.

Le Projet VZ-9-AV.

AVRO poursuivra ses recherches en s’orientant vers le projet « VZ-9-AV ». Cet appareil de forme circulaire avec un moteur à réaction, serait maintenu au-dessus du sol par un « coussin d’air » et tiré vers le haut par « l’effet Coanda » (l’effet Coanda, est un effet aérodynamique mal maîtrisé, née d’un inventeur français, Henri-Marie Coanda, qui avait expérimenté avec un moteur à réaction rudimentaire dans les années trente. Il avait constaté qu’un réacteur horizontal pouvait fournir une poussée des deux côtés simultanément), la propulsion et la sustentation étant obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin (shémas ci-dessous).

D’après l’histoire communément admise, la majorité des participants étaient maintenu au secret le plus total, et seulement quelques-uns savaient exactement, ce sur quoi ils travaillaient (3). Mais cela n’empêcha pas les rumeurs à l’époque, comme se souvient le photographe Verne Morse: « Il y avait une rumeur stupide autour de l’usine disant que nous faisions la construction d’une soucoupe volante, et tout le monde riait à ce sujet ».

La première année de recherche s’avéra difficile. Le réacteur atteignait une température trop élevée, qui faisait fondre la structure d’acier du prototype, et les secousses violentes faisaient sauter les rivets du fuselage. Ce fût à ce moment que le gouvernement Canadien, après avoir dépensé quatre cent mille dollars Canadien sur le projet, décida d’arrêter les frais. L’Air Force reprit alors le financement du programme. Grâce à des nouveaux fonds, l’ingénieur John Frost a repensé le concept original, plaçant trois réacteurs Continental J69-T9 avec chacun 417 kilos de poussée unitaire, autour d’une turbine centrale qui était alimentée en air grâce à un apport circulaire que représentait la turbine au centre de l’engin (plan ci-dessous).

Le pilote serait assis dans un cockpit légèrement ovale, dans une bulle en plexiglas (l’engin n’était encore prévu que pour un seul pilote).

Mais les tests en soufflerie, réalisés sur un premier prototype (immatriculé « S/N 58-7055″), au Canada comme aux Etats-Unis (4), avaient démontrés qu’il y connaissait de graves problèmes de stabilité et qu’il y avait un risque de retournement de l’engin, à chaque accélération des réacteurs (ses problèmes ne seront jamais maîtrisé). L’USAF avait voulu l’équiper d’un empennage pour voir si cela permettrait de corriger le problème, mais Frost, refusera fermement d’approuver l’idée. Ce qui n’empêcha pas l’Air Force de faire une tentative en installant un aileron arrière, pour faire d’autres essais en soufflerie (photo ci-dessous).

 

Un second prototype (immatriculé « S/N 59-4975″), qui deviendra le démonstrateur de vol, fera ses premiers vols d’essais le 12 novembre 1959. Il y en aura d’autre en janvier 1960 et à partir de juillet 1960 jusqu’à la fin de l’année au Canada, pour les poursuivre aux Etats-Unis, jusqu’en juin 1961. Le projet s’arrêa le 30 avril 1962. Il y aura eu 75 heures de vol d’essai en tout. Au Canada, le pilote d’essai était celui de la société, Spud Potoki, un pilote d’origine Polonaise. Aux Etats-Unis il y aura deux pilotes d’essai: le major Walter J. Hodgson, de l’US Air Force et Fred J. Drinkwatter III, de la NASA.

La réalisation finale aura des cocardes Américaines peintes sur le fuselage. Et c’est à ce moment qu’il a été dénommé de ce qui devait être son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ». (photo ci-dessous) aboutira à un engin de forme circulaire bi-place d’un diamètre de 5,50 mètres sur 1,47 de hauteur. Il pesait 2095 kilos à vide et la charge maximum au décollage était de 2563 kilos. La propulsion et la sustentation étaient obtenu par l’aspiration de l’air par le haut et l’orienter ensuite vers le bas et le pourtour de l’engin. Et c’est à ce moment qu’il aura son nom définitif pour l’exploitation commerciale, par le terme « Avrocar ».

La société AVRO y croyait vraiment.

Les responsables de la société était très enthousiaste. Le Département de publicité de la société avait même commencé à concevoir des brochures promotionnelles pour exploiter le potentiel de ce type d’engin volant, pour le jour où il serait dévoilé au public. Il devait d’être appelé le « Avrocar » (la « voiture Avro »), et ils espéraient qu’il y aurait de grandes retombées, pour des utilisations tant civiles que militaires. Il y aurait eu un « Avrowagon » pour les transport en commun, et une « Avroangel » (qui aurait été une ambulance aérienne) et un « Avropelican » air-mer, qui devait être capable de se poser sur l’eau, pour des sauvetages et la guerre anti-sous marine.

Ken Palfrey, un des dessinateur sur le projet, a déclaré que Frost avait de profonds espoirs: « Il avait l’intention d’un faire un, quatre fois plus grand, pour déplacer des troupes dans et hors les zones de combat, comme les hélicoptères font maintenant » (5).

Le bilan du Projet Silver Bug / Y2.

Les résultats ne seront pas à la hauteur de ce qui avait été attendu. Tant au niveau de ce que voulait l’Air Force au début, quand on voit le design des soucoupes étudiées au départ et ce que sera le résultat final avec l’Avrocar. Il planait à tout juste 90 centimètres du sol et devenait totalement et surtout dangereusement incontrôlable, dès que l’on tentait de dépasser un mètre d’altitude. Et sa vitesse maximum ne dépassa jamais 56,3 Km/heure. Mais au cours des années qui suivront et aussi bien des années plus tard, il y aura des retombées plus intéressantes de ce programme bien plus tard, quand d’autres constructeurs aéronautiques chercheront à faire des appareils à décollage vertical. Les résultats de la recherche du projet Y2, apporteront des données exploitables, pour la maîtrise des flux d’air provenant des réacteurs, pour d’autres programmes d’appareils à décollage vertical, qui eux aboutiront (comme par exemple avec le « Sea-Harrier » Britannique).

Le premier prototype pour les essais en soufflerie finira dans un entrepôt du Maryland, qui sert de centre de stockage pour le National Air and Space Museum en 1966 (photo ci-dessous).

Tandis que la version définitive du démonstrateur de vol, qui avait été présenté à la presse, sera restauré (il avait été présenté pendant quelques années à l’extérieur) et puis exposé au Musée de Fort Eustis en Virginie en 1979, où on peut toujours le voir aujourd’hui (photo ci-dessous).

(1) Pour plus d’informations, voir la Partie 1.

(2) Il y avait le XFV-1 (« Pogo ») de Lockheed et le XFY-1 (« Salmon ») de Convair pour la Navy, qui était des avions à double hélice, qui seront abandonné en 1955. Et le X13 de Ryan Aéronauticcal Compagny de l’Air Force qui était à réaction, et sera abandonné en 1957.

(3) En fait, le secret et la sécurité n’était pas si sévère que ça. Jean Pierre Petit, l’astrophysicien Français, s’était rendu aux Etats-Unis en 1961 et avait été au laboratoire de Stanford. Dans son livre « Ovnis et armes secrètes Américaines », il raconte que lorsqu’il s’est présenté à la porte d’entrée, il n’y avait pas de gardes et il était entré dans les bureaux sans le moindre problème, et comme il n’y avait personne, en ouvrant les portes des bureaux, qui n’étaient pas fermées, pour chercher quelqu’un, il se rendra compte qu’il n’y avait personne. Et il verra même l’Avrocar dans un hangar. Quand le personnel revint (il était parti déjeuné), le responsable piquera une colère, parce que Petit, n’aurait jamais dû voir un appareil aussi secret.

(4) En 1959 la Marine américaine viendra prendre le prototype pour des tests en soufflerie au Ames Researh Center de la Nasa à Moffet Field en Californie. Il a été mis dans un camion à plateau en pleine nuit. La police avait arrêté tout le trafic jusque dans le port de Toronto, et arrivé là, le prototype fût alors chargé sur un remorqueur américain. Le remorqueur descendit ensuite le long du canal Érié, le long de la voie pour New York, et ensuite à travers le canal de Panama, jusqu’en Californie.

(5) Frost quittera la société AVRO lorsque celle-ci fermera ses portes pour raisons financières 1962. Frost partira vivre en Nouvelle-Zélande où il mourru en 1979.

http://ufoetscience.wordpress.com/

Sources:
« Technical Report n° TR-AC-47, Joint ATIC-WADC Report on Project Silver Bug », publié le 15 février 1955 par l’Air Technical Intelligence Center de Wright-Patterson Air Force Base, Ohio. Declassifié le 29 mars 1995;
Magazine Top Secret n°12;
http://www.cufon.org;
http://www.lasieworks.com;
www.avroarrow.org.

http://ufoetscience.wordpress.com/

images et article à la source 

Liens externe:

http://icietmaintenant.fr/SMF/index.php?topic=7793.0

http://ovnis-usa.com/2009/04/01/mercredi-1er-avril/

http://ovnis-usa.com/le-projet-avalon/

http://area51blog.wordpress.com/2010/04/12/que-sest-il-reellement-passe-dans-la-

29 septembre 2014

La face cachée du médicament pour enfants

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Pour une grande partie des médicaments utilisés en pédiatrie, aucune étude n’a été réalisée sur l’enfant pour s’assurer de leur efficacité.

http://news360x.fr/face-cachee-du-medicament-enfants/

23 mars 2014

TeselaGen a élaboré une plateforme de prototypage pour expérimentations de biologie synthétique

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Suite aux progrès du séquençage ADN, l’entreprise californienne TeselaGen a élaboré une plateforme de prototypage pour faciliter les expérimentations de biologie synthétique.

Depuis la récente chute des coûts de séquençage et de synthèse ADN, les startups de science informatique couplées à la biotechnologie surgissent dans la Silicon Valley. Parmi ces nouveaux acteurs, l’entreprise TeselaGen, dont le siège est basé à San Francisco, produit des middlewares (logiciels tiers qui créent des réseaux d'échange d'informations entre différentes applications informatiques) pour des laboratoires de biotechnologie qui veulent concevoir et itérer rapidement des nouvelles combinaisons d’ADN. Forte d'une subvention de 1 million de dollars offerte par la National Science Foundation, l’entreprise construit des outils pour aider les chercheurs à mettre en place et gérer des expériences sur un système informatique et interpréter les données récoltées en laboratoire. D’après le directeur général de TeselaGen, Mike Fero, en élaborant une plateforme de prototypage rapide de biologie synthétique, la vision de l’entreprise est de favoriser et faciliter pour les laboratoires d’analyse, le processus de conception, construction, test et évolution.

Une plateforme pour faciliter les expérimentations

La plateforme informatique élaborée par TeselaGen a donc pour objectif de raccourcir le délai nécessaire pour obtenir le séquençage ADN et exécuter facilement de nombreuses expériences. La plateforme comporte ainsi un ensemble d'outils pour aider à rendre le visionnage, la modification et la gestion des séquences, rapides et faciles. Elle permet également de combiner et assembler une multitude de gènes grâce à un canevas de conception intégré et transparent. De plus, elle fournit un protocole nommé J5 qui comporte un système économique d'assemblage génétique, permettant une rotation rapide du cycle de conception, construction, test et évolution. Enfin, TeselaGen a construit un modèle de conception qui s’appuie sur le Synthetic Biology Open Language, un ensemble ouvert de normes qui aide les biologistes synthétiques et les ingénieurs génétiques à partager des conceptions d'ADN. Comme d'autres sociétés dans le domaine, TeselaGen offre gratuitement son produit aux chercheurs universitaires, mais facture des frais d'abonnement annuels aux entreprises clientes.

L’innovation en biotechnologie grâce aux procédures automatisées

Un biologiste souhaite tester en général 10.000 variantes d'une conception ADN, avec des modifications mineures dans chaque. À l'heure actuelle, le coût de la synthèse de ces nombreuses constructions serait encore trop coûteux et Mike Fero espère pouvoir offrir à l’avenir, une solution pour réduire encore le coût de ces expérimentations. L’émergence de l'innovation des procédures d'automatisation dans le domaine de la Biotechnologie est représentée par le développement des entreprises telles que Transcriptic qui rend des laboratoires entièrement automatisés grâce à la robotique et des entreprises telles que TeselaGen ou Genome Compiler qui fournissent des outils de conception ou de fabrication assistée par ordinateur (CAM/CAD) pour les biologistes. A la différence que de TeselaGen, l’entreprise Genome Compiler ne s’appuie pas sur le Synthetic Biology Open Langage et ne fournit pas d’équivalent au protocole J5 (automation de l’assemblage et conception d’ADN). De la même façon que l’afflux de données modifie la manière dont nous résolvons les problèmes, la prochaine génération de biologistes pourrait se voir utiliser uniquement des interfaces de programmation pour réaliser leurs expérimentations biologiques.

http://www.atelier.net/trends/articles/teselagen-accelere-prototypage-de-adn-de-synthese_428069

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8 mars 2014

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

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Pour ceux qui n'ont toujours rien pigé sur les vaccins, voici des aveux supplémentaires et pas n'importe lesquels, ceux de la "grande" OMS, qui devraient faire comprendre à la fois l'ampleur du cynisme et l'irresponsabilité criminelle des prétendus "experts" mondiaux auxquels toutes les nations du monde obéissent pourtant au doigt et à l'oeil. Car il faut appeler un chat un chat et oser voir la responsabilité que nous avons tous vis-à-vis des générations futures dont l'avenir et la qualité de vie sont clairement et directement menacés par ces insoutenables manoeuvres d'apprentis-sorciers. Voici un extrait du rapport du Comité Consultatif sur la sécurité des vaccins de l'OMS (GACVS) de décembre 2013, tel que repris sur le site Mesvaccins.net :

  Vaccin chimère contre l'encéphalite japonaise

 Il s'agit d'un vaccin vivant, produit par recombinaison ciblée de virus de la fièvre jaune atténué (virus 17D utilisé comme vaccin anti-amaril) et de virus de l'encéphalite japonaise également atténué (souche SA-14-14-2). Au cours des essais pré-homologation, le vaccin s'est montré immunogène, y compris lorsqu'il a été administré en même temps que le vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR), et bien toléré, particulièrement chez l'adulte (les effets indésirables ont été moins fréquents qu'avec un vaccin plus ancien préparé sur cerveau de souriceau). Depuis, ce nouveau vaccin a été homologué en Australie, en Malaisie, aux Philippines et en Thaïlande, où il est disponible sous le nom d'Imojev®. Environ 49.000 doses ont à présent été utilisées, mais ce nombre est encore insuffisant pour permettre d'identifier les événements indésirables rares dont le vaccin pourrait être responsable. Il est également trop tôt pour savoir si un vaccin de ce type ne présentera pas un risque dans l'environnement, et le GACVS a exprimé son souhait d'être informé sur ce sujet. En effet, le virus artificiel qui a été créé pourrait évoluer de façon inattendue s'il trouvait à infecter des hôtes nombreux et variés, par exemple en se recombinant.

 

La probabilité d'un tel événement est considérée comme faible, puisque le virus provoque une virémie très brève chez l'homme et qu'il n'est pas capable d'infecter efficacement les moustiques. Son utilisation à grande échelle pourrait toutefois créer des opportunités, et la surveillance des événements indésirables post-vaccinaux est donc nécessaire. Ce risque de voir émerger des virus pathogènes à partir de vaccins se trouverait toutefois accru si d'autres vaccins à très large diffusion conçus sur le modèle de l'Imojev®, tel le candidat vaccin contre la dengue de Sanofi, venaient également à être utilisés (NDR).

 

 

NB: Ce candidat vaccin contre le dengue de Sanofi n'a évidemment pas été développé pour n'être administré qu'à quelques centaines de personnes. On remarquera donc le cynisme de ce Comité disant vouloir être informé des conséquences irresponsables qu'il prend en faveur des industriels mais certainement pas des gens. Il est important de rappeler que le virus de la fièvre jaune n'affecte PAS les pays asiatiques, il ne concerne donc pas cette partie du monde. Epidémiologiquement parlant et selon les climats et les zones, il faut remarquer que le virus de l'encéphalite japonaise n'affecte pas non plus par exemple de pays africains ou de pays d'Amérique du Sud or ici, on mélange des virus qui ne se rencontrent jamais dans la Nature, on crée donc de toutes pièces des combinaisons qui n'auraient jamais pu survenir naturellement. Dieu sait donc sur quelle nouvelle maladie future cela pourra déboucher. Manipuler de la sorte le vivant n'est pas sans conséquence. Le faire de façon aussi légère n'est plus de la Science, c'est du Scientisme. On remarquera enfin que le Comité estime que 49 000 sujets est un nombre trop faible pour pouvoir évaluer les effets secondaires plus rares (mais qui sont aussi souvent plus graves) OR dans les essais cliniques pré-commercialisation donc AVANT la mise sur le marché, les vaccins ne sont administrés en général que dans des groupes de quelques centaines ou quelques milliers de personnes mais jamais autant. Pourtant, cela n'empêche jamais les grands experts nationaux de recommander par principe ces vaccins fraîchement sortis en les déclarant sûrs sur base de ces essais cliniques inconsistants et tout à fait insuffisants. Nous sommes donc ici confrontés à un Xème mensonge, une Xème incohérence de l'idéologie vaccinaliste.

 

Petite sauvegarde par capture d'écran (au cas où):

 

 Rapport-du-GACVS-de-decembre-2013.JPGhttp://www.initiativecitoyenne.be/

21 janvier 2014

Le père d’une petite fille emprisonné à perpétuité pour la mort de sa petite fille qui avait reçu 8 vaccins !

Pere-condamne-a-la-prison-a-perpetuite

« Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. » Dr A. Kalokerinos

 

Le 15 janvier 2014, Monsieur John Sanders a été condamné à la prison à vie sans possibilité de libération pour le meurtre de sa petite fille Ja’Nayah âgée de 12 semaines et qui est décédée 24 heures après avoir reçu 8 vaccins en une seule journée.

 

Quand elle est née, Ja’ Nahah était un bébé normal, en parfaite santé et, avant de quitter l’hôpital, elle a reçu, comme d’ailleurs aussi sa maman Marrie, les vaccinations de routine. Deux jours plus tard, au cours d’un examen de routine, le médecin a dit à Marrie que son bébé avait perdu du poids (quelques livres) depuis la naissance et lui a demandé de ramener l’enfant le lendemain pour effectuer des tests.

 

La maman a préféré ignorer le conseil du médecin jusqu’au prochain rendez-vous, date à laquelle le bébé devait recevoir ses vaccins de routine, car elle pensait qu’il n’y avait aucun problème avec sa petite fille.

 

Une histoire tragique de vaccins ?

 

C’est une décision que Marrie regrette aujourd’hui amèrement, parce que peu de temps avant le rendez-vous suivant, la santé de Ja’Nayah a commencé à se détériorer ; elle n’arrêtait pas de vomir. Comme Marie était fort inquiète au sujet de la santé de l’enfant, elle en fit part au médecin au cours de la visite suivante.

 

Toutefois, le médecin parut quelque peu indifférent et dit à Marrie que sa petite fille mangeait probablement beaucoup trop. Au lieu d’examiner à fond l’enfant, comme on aurait pu s’y attendre, le médecin, ignorant les signes avant-coureurs d’une altération possible de la santé de l’enfant, administra huit vaccins à cet enfant malade comme il était prévu dans le carnet de vaccinations : le triple vaccin DTCa, le vaccin polio, le vaccin contre le Rotavirus, le vaccin contre l’hépatite B, le vaccin contre la méningite et le vaccin Hib.

 

Marrie a expliqué à Vactruth :

 

« Après que Ja’Nayah fut de retour à la maison après avoir reçu ses vaccins, elle n’était plus du tout le même bébé. Avant les vaccins, c’était un bébé heureux et gai. Mais après, elle n’a plus été aussi gaie et rayonnante. Elle a commencé à avoir une respiration sifflante ; elle était congestionnée et n’arrêtait pas de vomir. Quand elle pleurait, elle émettait un cri inhabituel comme si elle pleurait de douleur. Après les vaccins, son père a acheté du Tylénol pour nourrissons. On lui en administrait deux fois par jour. »

 

Une fois encore, Marrie décida de ne pas importuner le médecin parce qu’il lui avait dit que les bébés ne sont souvent pas très bien après les vaccins.

 

Il s’agit ici d’un mythe que l’on répète chaque jour aux mamans au sujet des vaccinations. Selon moi, rien ne peut être plus éloigné de la vérité. Il va de soi que si les vaccins étaient si bons, ils ne provoqueraient pas de la fièvre chez les bébés en bonne santé et ne provoqueraient pas des éruptions cutanées ou des crises.

 

Bien que Marrie s’était séparée de son partenaire, elle décida de lui rendre visite avec Ja’Nayah quelques semaines plus tard.

 

Marrie raconte :

 

« La nuit avant la rencontre avec John, Ja’Nayah avait été très difficile et irritée. Je lui ai finalement donné un biberon et elle a fini par s’endormir. Le lendemain matin je dus m’absenter et je confiai Ja’Nayah à John. Moins d’une heure après mon départ, je reçus un message de John me disant que l’enfant avait cessé de respirer et qu’il avait été transporté à l’hôpital. L’ayant rappelé, il m’expliqua que le bébé s’était réveillé en hurlant. Pendant qu’il se trouvait dans la cuisine pour lui préparer un biberon, le bébé avait cessé de hurler, et quand il s’approcha de l’enfant, celle-ci ne réagissait plus.

 

Quand je l’ai conduite à l’hôpital, où nous sommes restés environ une heure, elle était inconsciente. Elle a ensuite dû être transférée dans un autre hôpital où elle a eu un CT-scan. Le médecin qui l’avait examinée me dit qu’étant donné l’hémorragie qu’il avait vu au cerveau, il avait l’impression que l’enfant avait l’air d’avoir été secoué. J’ai immédiatement téléphoné à John pour lui demander pourquoi il avait secoué notre bébé. Il me répondit qu’il n’avait nullement fait pareille chose.

 

Quand nous étions à l’hôpital, la petite a dû subir une chirurgie du cerveau et recevoir des transfusions sanguines. Elle est finalement morte dans mes bras après avoir passé 12 heures à l’hôpital. »

 

Marrie dit qu’elle croit absolument que John n’a pas secoué Ja’Nayah. Ce n’est qu’après avoir reçu ses vaccins de routine que la petite est devenue malade. Cependant malgré ce fait, John fut immédiatement arrêté pour avoir tué la petite Ja’Nayah de 12 semaines.

 

Depuis, il a été emprisonné à vie  sans possibilité de libération pour avoir commis un meurtre.

 

Qu’est-ce qui a tué la petite Ja’Nayah ?

 

Alors, John est-il responsable du décès de Ja’Nayah, ou l’enfant a-t-elle souffert de graves réactions à la suite des vaccinations, comme le suspecte sa maman ?

 

Quand j’ai pris connaissance du rapport d’autopsie, j’ai réalisé qu’il était rempli d’inexactitudes et soulevait pas mal de questions. A la page1 du rapport, il est précisé :

 

« Ja’Nayah Sanders, un bébé de 3  mois de sexe féminin, aurait été présenté au centre de Santé Mc Laren en arrêt cardio-respiratoire. Après réanimation, le bébé a été transféré à l’hôpital de Sparrow. Un CT Scan a montré une hémorragie sous durale. Au cours d’une craniotomie, il fut noté que le cerveau ne pulsait plus. Les complications des lésions cérébrales ont entraîné l’hypoxie, une coagulation intravasculaire disséminée, une acidose métabolique et une pneumonie. L’enfant est mort au cours de l’hospitalisation. C’est le 04.01.2013 que l’enfant a été admis à l’hôpital. Le bébé a été déclaré mort à 22h.30.

 

Selon les témoignages, Ja’Nayah n’avait pas été malade dans un passé récent. Le bébé n’avait pas reçu de médicaments. Aucune malformation congénitale n’avait été notée ; l’enfant avait reçu les visites appropriées. Dans un passé récent, l’enfant n’avait pas été en contact avec des personnes ou des animaux malades. Il n’avait non plus pas été placé en garderie. La maman a commencé les soins prénataux à 8 semaines de grossesse. A la naissance qui a été normale (vaginale), le bébé n’a pas eu de problèmes de santé. Le bébé est né à terme. Il a été nourri au lait maternisé Enfamil. L’enfant aurait été normal, heureux et ludique 24 heures avant d’être incapable de réagir. La température du corps était de 96 degrés (système américain). Entre 8 et 9 heures du matin, le jour du décès, le père signale avoir été préparer un biberon pour le bébé et pendant qu’il était en train de le remplir, le bébé a cessé de pleurer. Il est allé voir ce qui se passait. C’est à ce moment qu’il s’est aperçu que l’enfant était sans réactions  et ne respirait pas. Le père de Ja’Nayah a de suite appelé son oncle. Ce dernier est arrivé en voiture et a emmené Monsieur Sanders et le bébé à l’hôpital McLaren à Lansing, Michigan. (passages soulignés par l’auteur de l’article). »

 

Le rapport du médecin légiste ne semble pas du tout correspondre à ce qu’a déclaré la maman.

 

Il est clair que cette petite fille était malade les deux fois qu’elle avait été vue par le médecin. Malgré ce fait, le médecin a omis d’examiner Ja’Nayah et à continué de la vacciner bien que l’enfant était clairement malade.

 

Il est intéressant de relever ce que le rapport d’autopsie précise également :

 

« Système gastro-intestinal : des sections représentatives des petit et gros intestins sont exemptes d’anomalies histopathologiques importantes. La muqueuse superficielle de l’estomac montre que des hémorragies se sont produites assez tôt. » 

 

Cela pourrait vouloir dire que le bébé avait souffert  d’un certain degré de gastrite. Ce fait aurait pu expliquer les vomissements continuels de l’enfant et ultérieurement les saignements de l’estomac. [1]

 

Le médecin légiste a également signalé que les poumons de Ja’Nayah étaient congestionnés. Cela pourrait correspondre aux déclarations de Marrie qui évoquait  la respiration sifflante et la congestion observées après que l’enfant ait reçu ses huit vaccins.

 

Le nom d’une autre enfant apparaît sur les scans

 

Le rapport d’autopsie n’est pas le seul à poser de sérieuses questions sur la manière dont les preuves ont été recueillies et présentées au tribunal. Il est apparu  que plusieurs analyses (scans) utilisées comme preuves pour condamner Monsieur Sanders semblent être au nom d’un autre enfant !!! Comment chose pareille est-elle possible ?

 

Les analyses de Ja ‘Nayah se sont-elles trouvées dans le dossier d’un autre enfant ? Il s’agirait alors d’une faute médicale grave de la part de l’hôpital qui soulève de nombreuses questions à propos de la manière dont cette affaire a été traitée pour préparer le procès.

 

Ja’Nayah souffrait-elle d’un problème de santé sous- jacent ?

 

 

   

La petite Ja’Nayah est morte 24 jours après avoir reçu huit vaccins en un seul jour.

 

Serait-il possible que Ja’Nayah ait souffert d’une carence en vitamine C ? Cette carence est souvent causée par l’administration de plusieurs vaccins.

 

En 2006, le Dr Michael Innis a écrit un article qui a été publié dans le «  Journal des Médecins et des Chirurgiens Américains » dont le titre était : « Les vaccins, menaceraient-ils le pronostic vital ? - Maladie de Barlow et questions au sujet du syndrome du bébé secoué », article dans lequel il se demandait si oui ou non les ecchymoses  inexpliquées, les hémorragies subdurales, les hémorragies rétiniennes actuellement diagnostiquées comme faisant partie du syndrome du bébé secoué, étaient causées par les parents qui secouaient violemment leurs enfants, ou plutôt par une carence en vitamine C, suite à l’administration de plusieurs vaccins. [2]

 

Son article examinait  deux affaires distinctes de bébés qui étaient tombés malades  peu de temps après avoir reçu plusieurs vaccins. Les deux enfants avaient souffert de fractures et d’hémorragies cérébrales.

 

Dans son analyse, le Dr Innis précisait :

 

«  Pour autant que nous sachions, personne n’a mesuré les taux sanguins de vitamine C ou d’histamine dans les cas supposés de mort subite du nourrisson. L’existence possible d’une carence en vitamine C est une hypothèse qui s’appuie sur des résultats cliniques, radiologiques ou de laboratoire. Il y a plusieurs caractéristiques communes aux deux cas qui font penser, et qui sont compatibles  avec un diagnostic de carence en vitamine C :

 

1. Il avait été signalé que les mères avaient eu des problèmes nutritionnels et ne s’étaient pas senties bien au cours de leur grossesse.

 

2. Les mères ont fumé pendant leurs grossesses, ce qui a contribué à réduire leurs taux de vitamine C, comme celui de leurs nourrissons

 

3. Les deux bébés étaient  nourris au biberon (formule pour nourrissons) alors qu’ils étaient malades. On n’a pas invité les mères à donner un supplément de vitamine C.

 

4. Les deux parents ont rapporté les premiers signes compatibles avec la maladie de Barlow : ecchymoses spontanées chez un nourrisson et cicatrisation retardée chez l’autre.

 

5. Les deux enfants avaient des carences en acides aminés essentiels et non essentiels  nécessaires à la production  du collagène, ce qui est vraiment essentiel pour prévenir le scorbut.

 

6. Les deux nourrissons présentaient des signes de dysfonctionnement du foie.

 

7. Des fractures inexpliquées ont été observées chez les deux enfants.

 

En plus des niveaux faibles d’acides aminés pour le deuxième nourrisson, il existait des preuves supplémentaires de malnutrition (l’albumine sérique, les taux de calcium et d’hémoglobine étaient tous peu élevés.)

 

L’expérimentation animale a montré que l’administration de vitamine C peut contrer certains effets néfastes de la nicotine chez les nouveau-nés. Ceci suggère que les mères qui fument peuvent compromettre les taux de vitamine C de leurs enfants. »

 

Le Dr Innis a étudié tout le dossier de Ja’Nayah. Il a confirmé que cet enfant avait une maladie sous-jacente et que les vaccinations auraient pu le conduire à la mort.

Un appel va être lancé pour libérer le père de la prison à vie.

 

D’autres preuves montrent les dangers que représentent les vaccinations multiples

 

Il semble que les recherches et les travaux du Dr Innis rejoignent un article écrit par le regretté Dr A.Kalokerinos, MD intitulé : « Les bébés secoués » dans un passage qui porte le titre : « Le rôle joué par l’administration de vaccins ».

 

Le Dr Kalokerinos précisait :

 

«  Je voudrais pouvoir éviter de parler de ce sujet mais ne le puis. Il n’est pas question de se demander s’il faut oui ou non administrer des vaccins. La question à se poser est la suivante : «  Les vaccins jouent-ils un rôle dans la pathogenèse du syndrome du bébé secoué ?

 

Dans plusieurs cas (probablement un nombre important), l’effondrement final se produit dans un délai assez court après l’administration d’un vaccin. Dans le cas de Sally Clark, la chose s’est produite pour les deux bébés. La mère a refusé que son troisième bébé soit vacciné. Ce bébé est né après qu’elle fut inculpée.

 

Il n’existe pas le moindre doute dans mon esprit (ce que je dis se base sur une très longue expérience) que, malgré les avis contraires, il n’est pas sage d’administrer des vaccins chez des nourrissons malades- y compris chez des enfants qui font un « rhume ». Ceci, parce qu’au cours d’infections (y compris les « rhumes ») des endotoxines sont susceptibles d’être produites dans le tube digestif en quantités excessives et les processus de détoxification du foie sont susceptibles d’être débordés.- Certains praticiens répliqueront que dans de nombreuses situations, les enfants « ont toujours un rhume ». Ceci s’applique tout particulièrement aux aborigènes australiens. La réponse à ce problème est l’administration de vitamine C et de zinc qui permet de réduire énormément les risques (mais pas nécessairement complètement)

 

Les mécanismes impliqués dans l’administration des vaccins comprennent la formation excessive d’endotoxines. Le fait d’avoir connaissance de la chose permet de suivre la voie vers le développement des pathologies rencontrées dans les cas de soi-disant « bébés secoués ». (Souligné par l’auteur de l’article)

 

Il a conclu :

 

«  Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. Et le plus triste dans tout cela est ceci : alors que des médecins de renom s’affairent à rassembler des  « preuves » pour soutenir l’accusation, des questions essentielles qui pourraient sauver de nombreuses vies sont, non seulement ignorées, mais combattues, détruites avec une hostilité redoublée. (Souligné par l’auteur de l’article) [3]

 

Il s’agit d’un excellent article  dans lequel le Dr Kalokerinos explique très clairement son point de vue.

 

 

 

Conclusion

 

Malgré les préoccupations évidentes  de Marrie au sujet de ce que sa petite fille avait peut-être eu à souffrir à la suite des vaccins, ces derniers auraient été la dernière chose qui soit venue à l’esprit de quiconque quant il s’est agi de condamner Monsieur Sanders. En fait, absolument aucun expert de quelque domaine de la médecine que ce soit n’a été invité à témoigner pour la défense de Monsieur Sanders. Cette affaire a été traitée unilatéralement sur base de preuves floues et fragiles.

 

La seule chose qui aurait permis à l’accusation de savoir vraiment si Monsieur Sanders avait secoué sa petite fille à mort aurait été une vidéo ou la version d’un témoin oculaire crédible. Etant donné  qu’il n’y avait ni vidéo, ni récit de témoin crédible, les soi-disant « preuves » ne devraient être considérées que comme de simples rumeurs ou conjectures.

 

Ce cas démontre une fois encore que d’autres causes possibles de la détérioration de la santé de l’enfant, y compris les effets secondaires des vaccins, ont été ignorées pour permettre de rejeter le blâme sur une personne. Monsieur Sanders devrait être libéré immédiatement. Il devrait pouvoir poursuivre cet hôpital  pour incompétence médicale, faute médicale et séquestration abusive.

 

Références

 http://www.initiativecitoyenne.be/article-le-pere-d-une-petite-fille-emprisonne-a-perpetuite-sans-possibilite-de-liberation-conditionnelle-apr-122144785.html

1.http://www.merckmanuals.com/professional/gastrointestinal_disorders/gastritis_and_peptic_ulcer_disease/gastritis.html

2. www.jpands.org/vol11no1/innis.pdf

3. http://www.freeyurko.bizland.com/kaloksb1.html

 

Source: Vactruth 

 

« Il existe des preuves scientifiques qui montrent que les nourrissons peuvent, à des moments critiques, faire de graves réactions aux vaccinations. Les vaccinations sont la cause le plus probable de la mort subite du nourrisson et du syndrome du bébé secoué. » Dr Viera Scheibner, Ph.D

VACCINATION AND THE DYNAMICS OF CRITICAL DAYS by Viera Scheibner, PhD

 

6 janvier 2014

Système d'encodage électronique des vaccinations E-VAX: nouveau scandale en vue?

calendrier-vaccinations

Ce système E-VAX, en vigueur depuis le 1er janvier 2014 sert à faire bonne figure face au système de tracking vaccinal déjà en vigueur en Flandre depuis des années (Vaccinet) mais surtout, ce dispositif s'inscrit dans une perspective de vaccination de plus en plus intensive et totalitaire.

 

Une preuve flagrante de cette situation inacceptable nous est donnée par la teneur surréaliste du courrier-type qui a dû être envoyé à des milliers de parents en Communauté française fin novembre 2013.

 

Vous pouvez lire ce courrier ici. Ce courrier, daté du 29 novembre avertit les parents de la mise en place du système E-VAX dès le 1er janvier 2014 en vantant les prétendus mérites de ce dispositif d'encodage électronique des vaccinations de l'enfant (pour éviter la survaccination disent-ils, sic!). Il s'agit d'une banque de données à laquelle auront à terme accès tous les médecins traitants, les médecins de l'ONE et les gens de Provac dont la responsable, le Dr Swennen, a des liens d'intérêts manifestes avec Big Pharma.

 

Mais surtout, la fin de ce courrier signale aux parents que, s'ils souhaitent s'opposer à cette collecte de données, ils sont "tenus d'en avertir les centres (médico-scolaires) par recommandé et avant le 31 décembre 2013"!

 

Les gens qui ne souhaitent donc pas cautionner un système qu'ils peuvent légitimement estimer autoritaire et superflu (à part pour les profits des pharmas bien sûr) sont donc obligés de payer le prix d'un recommandé et disposent d'un délai ridicule pour envoyer leur lettre!!

 

On croit vraiment rêver. Alors que les autorités ne cessent d'insister sur la prétendue "gratuité" (aux frais du contribuable) des vaccins, ici, les gens doivent payer pour refuser. Un pas de plus donc dans un totalitarisme vaccinal inacceptable et étouffant.

 

C'est d'ailleurs dans ce contexte qu'Initiative Citoyenne vient de saisir la Ministre Laanan sur le sujet ainsi que la Commission de la Vie Privée. Voici ci-dessous le copier-coller du mail qui leur a été envoyé ce matin avec notre lettre en pièce jointe ainsi que le document-type envoyé aux parents incluant la preuve de ce totalitarisme inquiétant. Peut-être ce mail pourrait-il vous inspirer et vous donner à vous aussi l'envie de faire connaître votre avis?

 

From: Initiative Citoyenne

Sent: Monday, January 06, 2014 9:29 AM

To: info.laanan@cfwb.be

Cc: commission@privacycommission.be

Subject: URGENT et IMPORTANT: concerne l'atteinte aux libertés parentales dans la mise en oeuvre du système E-VAX

 

Madame la Ministre, Madame, Monsieur de la Commission de la vie privée,

 

Vous trouverez ci-joint les motifs extrêmement clairs et concrets de notre inquiétude.

Nous attendons donc une réponse de votre part dans les plus brefs délais sur une atteinte aussi grave et flagrante à la liberté parentale et nous vous remercions d'avance pour l'attention que vous porterez à ce dossier.

 

Il va sans dire que plusieurs parlementaires seront tenus informés de ces échanges dans l'intérêt de notre état dit "de droit".

 

Nous vous prions d'agréer, Madame la Ministre, Madame, Monsieur de la Commission de la vie privée, l'expression de nos salutations distinguées.

 

Pour Initiative Citoyenne,

 

Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans, Muriel Desclée.

http://www.initiativecitoyenne.be/

 

12 novembre 2013

La consommation du porc peut être la cause de pas moins de 70 types de maladies.

Suovetaurile_Louvre

Une personne peut avoir plusieurs helminthes comme l'ascaride, l'ankylostome, etc.

L'un des plus dangereux est le Taenia Solium qui, dans la terminologie courante est appelé ténia, ou ver solitaire.

Il se réfugie dans l'intestin et il est très long.

La consommation de porc est mauvaise pour la santé,

quelque soit le produit : côtes de porc, jambon, bacon, etc.

L'acide urique est une substance dangereuse pour le corps humain.

Il est important de noter que le corps du cochon ne se débarrasse que de 2% de son acide urique, les 98% restants ne sortant pas du corps.

Ceci explique le haut pourcentage de rhumatismes trouvé chez ceux qui consomment du porc.

Ses œufs pénètrent le système sanguin et peuvent ainsi atteindre pratiquement tous les organes.

S'ils pénètrent dans le cerveau, ils peuvent provoquer des pertes de mémoire.

S'ils pénètrent dans le cœur, ils peuvent provoquer un arrêt cardiaque.

S'ils pénètrent les yeux, ils peuvent causer la cécité et

s'ils pénètrent le foie, ils peuvent y causer de sérieux dommages.

Ils peuvent endommager presque tous les organes du corps.

Une idée reçue répandue au sujet du porc veut que si celui-ci est bien cuit, les œufs de vers qu'il contient meurent.

Dans un projet de recherche entrepris aux états-Unis, il a été découvert que parmi 24 personnes ayant contracté le Trichura Tichurasis, 22 avaient fait bien cuire leur viande de porc.

Cela indique que les œufs présents dans la viande ne meurent pas lorsque exposés à des températures de cuisson.

Le porc et l’acide urique :

Les recherches scientifiques ont démonté que la consommation de la viande porcine quelque soit (jambes, cuisse, bacon, foie..) est très nocif pour la santé  

En effet, le corps humain contient de l'acide urique, cet acide à un effet très nocif pour la santé.

Pour cette raison, le corps humain en évacua 98 % par voie urinal et en garde 2 % dans le corps.

À l'inverse, le cochon, qui est réputé pour sa grande variété de consommation (foin, viande, herbe, il mange même les hommes) n'évacue pas ces déchets par voie urinal.

Ceci étant stocké dans son corps.

Le corps du cochon garde donc 98 % d'acide urique dans son corps pour n'en évacuer que 2 % !

Nous avons vu que cette acide est très nocif pour la santé !

Donc la viande porcine contient dans toute sa surface de la matière grasse et 98 % d'acide urique.

La viande de porc génère surtout de la graisse :

 

La viande de porc ne génère que très peu de tissus musculaires et contient un excès de gras.

Ce gras se dépose dans les vaisseaux et peut causer de l'hypertension et/ou un arrêt cardiaque.

La gélatine extraite de peaux de porcs est utilisée dans l’industrie alimentaire pour la fabrication de la majorité des confiseries, friandises, bonbons….

Le porc est l'un des animaux les plus sales de la terre.

Il vit dans la boue, le fumier et la saleté.

C'est le meilleur charognard que Dieu ait créé.

Dans les villages où il n'y a pas de toilettes modernes et où les villageois font leurs besoins à l'extérieur, très souvent, ce sont les porcs qui les débarrassent de leurs excréments en les mangeant.

Certains avanceront que dans les pays développés comme l'Australie, les porcs sont élevés dans des conditions on ne peut plus hygiéniques.

Mais même dans ces conditions, les porcs sont confinés à des porcheries et en dépit des efforts déployés pour les garder propres, ils demeurent sales de nature.

Ils mangent avec appétit leurs propres excréments comme ceux de leurs voisins.

la consommation du porc et le cancer :

consommer de la viande de porc une fois ou plus par semaine multiplie chez la femme le risque de cancer du sein par deux (Lubin et al., International Journal of Cancer, 1981, et Kolonel et al., British Journal of Cancer, 1981).

Les nitrates, souvent présents dans les produits carnés (porc principalement), se transforment dans le corps humain en nitrosamines, carcinogènes extrêmement puissants (Académie Nationale Britannique des Sciences, Rapport sur les accumulations de nitrates, 1972).

Le porc et les bactéries :

la streptococcus est une bactérie pathogène du porc.

Chaque année, ce microorganisme est responsable de sévères pertes économiques pour l’industrie porcine du Québec.

La bactérie peut également affecter l’humain, et tout particulièrement les travailleurs de l’industrie porcine.

Ces cas sont peu diagnostiqués étant donné la méconnaissance de ce pathogène dans le domaine de la santé humaine.

Chez le porc, les manifestations cliniques les plus fréquemment observées sont la méningite et la septicémie.

La bactérie est capable de traverser la fine barrière hémato-méningée protégeant le cerveau du porc.

Cette barrière est constituée de cellules endothéliales qui tapissent l’intérieur des minuscules vaisseaux sanguins irriguant le cerveau.

 

Le fait que le porc soit interdit en islam est une chose bien connue.

Le porc est interdit dans la Bible

La Bible interdit la consommation du porc dans le Lévitique:

"Vous tiendrez pour impur le porc parce que tout en ayant le sabot fourchu, fendu en deux ongles, il ne rumine pas."

 "Vous ne mangerez pas de leur chair ni ne toucherez à leur cadavre, vous les tiendrez pour impurs." [Lévitique, 11:7-8]

Sources :

http://www.icsfp.com/FR/Contents.aspx?AID=1620

12 novembre 2013

C'est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès ce jour de Sylvie Simon

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C'est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès ce jour de Sylvie Simon, personnalité d'exception, de par sa lucidité, son courage, sa ténacité et sa détestation des mensonges en tous genres comme elle se plaisait à le dire.

 Des milliers de chercheurs de Vérité sont aujourd’hui dans la peine : ils ont perdu aujourd'hui une très chère amie, une merveilleuse soeur, une exceptionnelle inspiratrice.

 Sylvie Simon, notre toute Grande Dame, vient de passer de l’autre côté du voile… Si elle nous laisse  en quelque sorte orphelins, elle fait aussi de nous les héritiers d’une immense richesse : le fruit de toutes ses recherches, ses nombreux ouvrages qui cernaient toujours l’essentiel pour plus de clarté, plus de vérité, plus de justice, plus de santé,  plus de paix.

Inlassablement, pendant des années et jusque dans les derniers temps, Sylvie Simon aura parcouru les pays et les salles de conférence pour avertir la population en toute indépendance des conséquences graves de la désinformation en matière vaccinale mais aussi en matière de santé en général tant les scandales en tous genres ne manquent malheureusement pas.

 Sylvie Simon laisse un immense vide derrière elle mais il est évident qu'elle aurait souhaité que le combat pour une véritable information juste et équitable se poursuive et c'est là notre tâche à toutes et à tous, par de-là les âges, les pays et les différentes catégories sociales.

 L'oeuvre de Sylvie Simon, immense par sa qualité et son envergure, aura permis de sauver des milliers de vies d'une destruction implaccable par une vaccination pratiquée dans un contexte d'opacité et d'oppression, et bien sûr, elle continuera de le faire car ses ouvrages et ses nombreux articles ne disparaîtront pas de si tôt.

 Chère Sylvie, sache que tu resteras toujours vivante en nos coeurs et reçois notre plus vibrant MERCI au nom de l'humanité toute entière!

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 Voici ci-dessous quelques vidéos importantes de Sylvie Simon (non exhaustif!):

 

 

 

 

 

 etc etc.....

 

 

Voir aussi le site de Sylvie Simon

 

Et puis comme une image vaut parfois mieux qu'un long discours....

 

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PS: La cérémonie religieuse aura lieu mercredi 13 novembre à 10 h 30 en la basilique Ste-Clotilde, 12 rue de Martignac, 75007 Paris. La famille invite ses amis à y participer en grand nombre.

http://www.initiativecitoyenne.be/article-sylvie-simon-est-decedee-une-toute-grande-dame-s-en-est-allee-121023230.html

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