Végétariens : Manger du soja bio, c’est se tuer à petit feu
Depuis le temps que je m’insurge contre le soja et tous ses dérivés comme étant une mode meurtrière d’alimentation n’ayant jamais existé dans l’histoire de l’alimentation humaine et animale, je me désole de voir des étals toujours grandissants, proposant des formes de plus en plus variées de ce poison silencieux, et ce, comble d’ironie, dans les boutiques diététiques !
Fort heureusement, lors du récent colloque «Octobre rose» organisé au Sénat à Paris sur le cancer du sein, Jean-Marie Bourre, membre de l’Académie de médecine, auteur de «Bien manger: vrais et faux dangers», a déclaré à propos du lait de soja :
«Ce n’est qu’un liquide blanc, un Canada Dry de lait, qui ne contient ni calcium ni oligo-éléments. II est strictement contre-indiqué pour les enfants». De plus, on pensait qu’il diminuait les risques de cancer du sein chez les femmes qui en consomment ; eh bien c’est tout le contraire selon le même spécialiste qui ajoute : «Le lait de soja est une escroquerie nutritionnelle, bourrée de phyto-oestrogènes similaires à l’œstradiol, hormone féminine, qui sont des perturbateurs hormonaux favorisant le développement des cancers hormono-dépendants».
En d’autres lieux, le Dr Mary G Enig, présidente de l’association des nutritionnistes du Maryland a déclaré : «Un bébé nourri avec du lait maternisé à base de soja reçoit l’équivalent en phyto-oestrogènes de cinq pilules contraceptives par jour…». A noter que certains moines bouddhistes mangent du tofu pour faire baisser leur libido (à bon entendeur… messieurs).
Même l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments avait déjà tiré la sonnette d’alarme contre le soja en 2000
En fait, la toxicité du soja qui peut en outre entraîner de graves lésions intestinales surtout chez les enfants, ne peut être neutralisée que par la lacto-fermentation ; c’est ce que font les chinois depuis 3000 ans avec leurs sauces bien connues. En France, seule la marque Sojami propose des barquettes de soja lacto-fermenté en diététique. Mais combien savent tout cela?
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Le soja, un piège à végétariens de Michel Dogna
La première fois que j’ai entendu parler du soja de manière négative, c’était en 2000, dans le n° 9 du magazine Nexus. Je ne voulais pas y croire. J’étais un grand mangeur de soja sous toutes ses formes. Ces derniers mois (2004) je me faisais souvent « réprimander » par certaines petites voix lorsque je mangeais notamment du tofu. J’ai fini par aller faire des recherches sur Internet. Ce que j’ai découvert est encore plus difficile à croire que ce qui était écrit dans le magazine Nexus.
Autant vous dire que j’ai banni le soja cru ainsi que le tofu et autre lait de soja de mon alimentation. Aussi, j’ai très vite senti la différence. Je suis bien sûr passé par une phase de détoxication. Vous pourrez trouver toutes les références Web en fin d’article. Suite à tout ce que j’ai appris sur le soja non fermenté, j’en suis arrivé à une conclusion que certains jugeront extrémiste.
Je suis convaincu que le soja et les aliments comme le tofu ont été introduits dans l’alimentation par le gouvernement mondial pour tout simplement détruire les travailleurs de lumière. Comme ces derniers cherchent naturellement des remplacements à la nourriture carnée, ils tombent naturellement dans le piège du soja.
LE SOJA NON FERMENTE EST VRAIMENT NOCIF
Derrière la gigapromotion du soja à travers toute la planète, on retrouve les grands groupes de la pétrochimie et de la médecine. Ils ouvrent des centaines de sites Web dans toutes les langues pour en faire la promotion.
La « food and Drug Administration » (sorte de ministère de l’alimentation et des médicaments aux U.S.A.) n’a jamais accepté de donner au soja la mention GRAS (Generally Recognize As Safe – en français : « généralement reconnu sans danger »).
Le très sérieux magazine médical britannique The Lancet a fait état en 1997 d’une étude qui démontre que le seul fait de boire 2 verres de lait de soja par jour était suffisant pour perturber les cycles menstruels des femmes. De plus, cette même étude prouverait que chez les enfants testés avec ces 2 verres de lait de soja, la concentration des isoflavones serait de 13 000 à 22 000 fois plus importante que la concentration normale d’œstrogènes.
Les isoflavones peuvent empêcher l’ovulation, favoriser l’apparition de cellules cancéreuses et l’hypothyroïdisme dont les premiers symptômes peuvent être la léthargie, la constipation, la prise de poids et la fatigue.
L’INDISPENSABLE FERMENTATION
Le fait que les Chinois mangent du soja en quantité depuis des millénaires est un mythe. Ils n’en mangent qu’en petite quantité depuis la dynastie Zhou (1134/234 av.J.-C.) lorsqu’ils ont justement découvert une manière de le faire fermenter. Cette fermentation neutralise les toxines qui se trouvent dans les graines. Par ailleurs, les Chinois et les Japonais utilisent surtout le soja comme condiment et non pas comme remplacement des protéines animales.
En plus de ne pas être fermentés, les aliments modernes à base de soja dénaturent les protéines et augmentent le taux de cacinogènes.
Selon le Dr Claude Hughes, le soja s’est doté de certains moyens pour lutter contre ses prédateurs naturels. Il est ainsi un contraceptif* oral puissant et contient de nombreuses toxines. De cette manière, les prédateurs qui en mangent diminuent en nombre et en taille.
* Le gouvernement mondial veut réduire la population.
LE LAIT DE SOJA EST DANGEREUX POUR LES ENFANTS
Selon le Dr Mary G. Enig (présidente de l’association des nutritionnistes du Maryland) « un bébé nourri avec du lait maternisé à base de lait de soja reçoit l’équivalent en phyto-oestrogènes de ce que l’on recevrait si on ingurgitait 5 pilules contraceptives par jour. Cela entraîne une puberté précoce chez les filles et une maturation sexuelle retardée chez les garçons ».
Certains moines bouddhistes mangent du tofu pour faire baisser leur libido. Les autorités suisses de la santé recommandent un usage très limité du soja pour les bébés. En Angleterre et en Australie, les agences publiques pour la santé demandent aux parents d’avoir l’avis d’un médecin avant de donner du soja à leurs enfants. Enfin le ministère de la Santé de Nouvelle-Zélande avertit que :
« Les produits au soja ne devraient être utilisés que sous la supervision d’un professionnel de la santé (…). Les cliniciens qui traitent les enfants avec des produits à base de soja pour des raisons médicales devraient être conscients du potentiel d’interaction entre les produits pour enfants à base de soja et le fonctionnement de la thyroïde. »
SOJA ET MATERNITE
J’ose à peine dire les résultats de toutes les études qui prouvent les effets dévastateurs du soja sur les foetus, notamment durant les premiers mois. Si vous ne comprenez pas l’anglais, il va falloir me croire sur parole.
Tout ce que je dirai, c’est pitié pour le fœtus. Ne mangez pas de soja non-fermenté si vous êtes enceinte et ne donnez pas de soja aux enfants. Si vous en avez mangé régulièrement, il ne sert à rien de s’angoisser. Cela peut s’arranger si vous arrêter tout de suite, en mettant votre orgueil en poche. Vos enfants sont très importants pour l’humanité. Le reste concerne votre parcours spirituel et votre santé.
DES PROBLÈMES DE SANTE MULTIPLES
Sachez quand même que selon le Dr Josèphe Mercola, manger du soja non-fermenté entraîne une série impressionnante de conséquences graves. Parmi elles :
– Un taux de maladies d’Alzheimer qui serait 2,4 fois plus important.
– Des cancers de la thyroïde,
– des déficiences du pancréas,
– une déficience en vitamine D et en calcium (ce qui provoque l’ostéoporose, une réduction de la biodisponibilité du fer et du zinc utile à la santé du cerveau),
– une diminution ou un blocage de la métabolisation du fer,
– des problèmes de mémoire,
– des déficiences en acides aminés,
– une augmentation du taux de diabète…
LE MYTHE DES PROTEINES
Le fait que le soja soit une bonne source de protéines est faux car il contient des inhibiteurs de trypsine qui entravent la bonne digestion des protéines et fatiguent le pancréas.
De toute façon, mettons une fois pour toutes quelque chose au clair par rapport à la rengaine : « Si tu ne manges pas de viande, de poisson, ni d’oeufs, ni de produits laitiers, où vas-tu trouver les protéines ? ».
La réponse est simple. Il y a des protéines quasi partout. Regardez sur vos paquets de céréales complètes et vous comprendrez vite de quoi je veux parler. Cette histoire de protéines est un mythe ! Même chose pour le mythe qui nous dit que le soja peut aider les femmes ménopausées.
En résumé, les seuls produits qui semblent sans danger sont à base de soja-fermenté : le miso, le tempeh, le natto et le tamari ; pour peu, bien sûr, qu’ils soient BIO garantis sans OGM.
Nota : il existe aussi en diététique des barquettes de pâte de soja bio lacto-fermenté à tartiner de la marque SOJAMI.
Informations extraites de l’excellent livre de Michel Dogna, naturopathe
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Aujourd’hui, le soja est omniprésent dans l’alimentation industrielle. Oui, mangeons des aliments naturels fruits et légumes crus si possible, graines germées et noix principalement.
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Interview de Corinne Gouget : "Manger du soja bio, c'est se tuer à petit feu"
Interview de Corinne Gouget : « Manger du soja bio, c’est se tuer à petit feu » elle en parle à 8mn