Bill gates révèle l'objectif de dépopulation par les nouveaux vaccins
Ce genre de personnage ignoble dans son arrogance à parler d'humain comme du bétail que l'on peut réduire juste en le décidant entre milliardaire ,il est clair qu'il ne dépense pas ses milliards par bonté comme les médias veulent bien nous le présenter...... il devrait etre traduit d'urgence devant un tribunal pénal pour crime contre l'humanité ......
BILL GATES admet que les vaccins servent à la... por rikiai
et une conférence ou il nous parle de polution au CO2 comme cause de réchauffement climatique
alors que le Centre de Recherche Langley de la NASA démontre que les gaz à effet de serre, dont le CO2 et le NO, réémettent plus de 95% des dangereux rayonnements solaires qui devraient atteindre notre planète et la réchauffer et les renvoient dans l’espace, contrôlant ainsi la température de notre globe. Plus il y a de CO2 et moins ces rayonnements arrivent à la surface de la Terre. Le CO2 et le NO sont donc des « thermostats naturels » dont l’un des rôles semble être de renvoyer un maximum de chaleur dans l’espace.
Cette observation contredit tout ce que l’on a voulu nous faire croire, à grand renfort d’effets médiatiques, depuis le milieu des années 80 à propos du CO2 et de l’effet de serre ! Ajoutons à cela que la vapeur d’eau, et non pas le CO2, est le gaz à effet de serre de très loin le plus abondant dans notre atmosphère et que sa capacité à agir comme thermostat naturel est en général totalement éclipsée.
sans parler de la quantité infime du CO2 qui compose l'atmosphere 3% , sachant que Les océans absorbent la grande majorité de ce CO2 bref en gros vous polluez la planète va mourir alors on va vous réduire vous les pollueurs mais qu'il commence par lui meme bill gates on le regrettera pas certainement pas ces millions d'enfants africains qui mourront dans 20 OU 30 ans d'une maladie incurable suite à leur vaccination.............
VACCIN A BOYCOTTER D'EXTREME URGENCE! Le vaccin contre le CANCER DU COL DE L'UTERUS".
Les vaccins contre le "cancer du col de l'utérus" (Gardasil et le Cervarix) - c'est à dire les vaccins contre le papillomavirus -, sont :
- dangereux: ils ont occasionné le décés de plusieurs jeunes filles`
- ils ont entrainé des maladies graves chez d'autres jeunes filles: voir le résumé d'une étude très officelle et classique publiée dans la principale source de rechercehs biologique et médicale: PubMed
- et de plus leur efficacité n'est pas prouvée.
Il faut absolument refuser de le faire, même si comme en Angleterre on donne des bons d'achat aux jeunes filles qui se le font faire. C'est un procédé particulièrement ignoble et digne d'une industrie du crime.
Si un médecin vous fait un chantage sur l'inocuité et l'efficacité de ce vaccin: une seule solution le fuir de toute urgence.
Ces vaccins sont indiqués par les autorités française à partir de l'âge de 9 ans! C'est totalement irresponsable et criminel
Dr Jacques Lacaze
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Voici l'étude publiée dans PubMed
Am J Reprod Immunol. 2013 Jul 31. doi: 10.1111/aji.12151. [Epub ahead of print]
Vaccin contre le virus du papillome humain et primaire Insuffisance ovarienne: une autre facette du syndrome auto-immunes / inflammatoires induites par les adjuvants.
Colafrancesco S , Perricone C , Tomljenovic L , Y Shoenfeld .
Source
Zabludowicz Centre pour les maladies autoimmunes Sheba Medical Center, Tel-Hashomer, Israël, Unité de rhumatologie, département de médecine interne et spécialités médicales, Université La Sapienza de Rome, Rome, Italie.
Résumé
PROBLÈME:
Post-vaccination phénomènes auto-immuns sont une facette importante du syndrome auto-immun / inflammatoire induite par des adjuvants (Asie) et les différents vaccins, y compris le VPH, ont été identifiés comme causes possibles.
MÉTHODE D'ÉTUDE:
Les antécédents médicaux de trois jeunes femmes qui ont présenté une aménorrhée secondaire suivant la vaccination contre le VPH ont été recueillis. Les données concernant le type de vaccin, le numéro de la vaccination, les caractéristiques personnelles, cliniques et sérologiques, ainsi que la réponse aux traitements ont été analysés.
RÉSULTATS:
Les trois patients ont développé une aménorrhée secondaire suite à la vaccination contre le VPH, qui n'a pas résolu lors d'un traitement avec des thérapies de substitution hormonale. Dans les trois cas, le développement sexuel était normal et criblage génétique n'a révélé aucune anomalie pertinentes (ie, le syndrome de Turner, le test du X fragile étaient tous négatifs). Évaluations sérologiques ont montré de faibles niveaux de FSH et estradiol accrue et LH et dans deux cas, l'auto-anticorps spécifiques ont été détectés (thyroïde antiovarian et anti), ce qui suggère que le vaccin contre le VPH a déclenché une réaction auto-immune. L'échographie pelvienne n'a pas révélé d'anomalies dans l'un des trois cas. Les trois patients ont présenté une gamme de symptômes post-vaccinaux non spécifiques communs, y compris les perturbations des nausées, des maux de tête, sommeil, arthralgies et une gamme de troubles cognitifs et psychiatriques. Selon ces caractéristiques cliniques, le diagnostic d'insuffisance ovarienne primaire (POF) a été déterminée qui a également rempli les critères requis pour le syndrome ASIE.
CONCLUSION:
Nous avons documenté ici la preuve du potentiel du vaccin contre le VPH pour déclencher une condition auto-immune invalidante. Le nombre croissant de rapports similaires de poste HPV auto-immunité vaccinale en alternance et l'incertitude des avantages cliniques à long terme de la vaccination contre le VPH sont une question de santé publique qui mérite enquête plus rigoureuse.
© 2013 John Wiley & Sons Ltd
MOTS-CLÉS:
Les auto-anticorps, syndrome auto-immunes / inflammatoires induits par les adjuvants, auto-immunité, le virus du papillome humain, une insuffisance ovarienne primaire
PMID: 23902317 [PubMed - comme fourni par l'éditeur
http://www.jacques-lacaze.com/article-vaccin-a-boycotter-d-extreme-urgence-119553493.html
Aujourd’hui, les enfants reçoivent plus de 12 fois le nombre de doses de vaccins qu’en 1940 !
Il est un fait que les enfants d’aujourd’hui sont beaucoup moins capables de développer leur propre immunité naturelle comme ça devrait normalement être le cas avec une bonne alimentation et des conditions de développement normal. Cette situation est due au fait que la grande majorité d’entre eux, au moins dans les pays industrialisés, sont bombardés de vaccins toxiques avant qu’ils n’aient l’âge de fréquenter l’école maternelle. Les données rassemblées par le Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC - USA) révèlent qu’aujourd’hui, les enfants reçoivent 49 doses de 14 vaccins avant l’âge de 6 ans,, ce qui représente grosso modo 12 fois le nombre de vaccins qu’ils recevaient dans les années 1940.
Depuis 1995, les Centres Américains de Contrôle des Maladies (CDC) ont publié des révisions annuelles du calendrier vaccinal en ajoutant chaque fois l’un ou l’autre nouveau vaccin. Avant 1995, le CDC n’effectuait ses révisions du calendrier vaccinal que tous les 5 ou 6 ans. Mais ces dernières années le nombre des vaccins et la fréquence à laquelle ils étaient administrés n’ont fait qu’augmenter, comme aussi leur combinaison. (vaccins multiples).
Le NVIC montre que « nos enfants sont les plus vaccinés du monde ; ils sont malheureusement aussi les plus malades et les plus handicapés.
Aujourd’hui, le CDC reconnaît qu’en Amérique, un enfant sur six est en retard de développement. Au cours de ce dernier quart de siècle, le nombre des enfants atteints de troubles de l’apprentissage, d’asthme, de diabète a plus que triplé… et le nombre de doses de vaccins administrés aux bébés et aux enfants en-dessous de 6 ans par les pédiatres a plus que doublé.
Nous assistons à une hausse spectaculaire des lésions cérébrales et des troubles neurologiques liés à la multiplication des vaccinations. Il est intéressant de savoir que deux fois plus d’enfants souffrent aujourd’hui de dysfonctionnements cérébraux comme de dysfonctionnements du système immunitaire comparativement au même nombre d’enfants des années 1970 quand il y avait pratiquement deux fois moins de vaccins. Le pourcentage des enfants présentant des troubles cérébraux était encore plus faible dans les années 1940 alors que les enfants ne recevaient que quelques vaccins. Le lien étroit entre l’augmentation du nombre de vaccins et le nombre d’enfants souffrant de troubles cérébraux et neurologiques est difficile à nier et représente un grave sujet de préoccupation.
Les excipients et les ingrédients des vaccins sous forme de traces ou de quantités plus importantes selon les vaccins comprennent : des bactéries et des virus modifiés, de l’aluminium, du mercure, du formaldéhyde, du phénoxyéthanol, du gluteraldéhyde, du borate de sodium, du chlorure de sodium, de l’acétate de sodium, du glutamate monosodique (MSG) de l’acide chlorhydrique, du peroxyde d’oxygène, du lactose, de la gélatine, des protéines de levures, de l’albumine humaine et bovine, des antibiotiques, des contaminants non identifiés, précise le NVIC.
Il est également à noter que la plupart des vaccins actuels sont administrés en doses multiples et parfois plusieurs en même temps, ce qui ne s’est jamais produit dans les années 1980 ou antérieures. A cette époque, les enfants ne recevaient qu’un seul ou au plus deux vaccins au cours d’une visite médicale. Les parents devaient reprendre rendez-vous pour les autres vaccins. Aujourd’hui, les enfants reçoivent jusqu’à cinq vaccins au cours d’une seule visite ce qui les expose à des niveaux élevés de composants toxiques.
http://www.naturalnews.com/040042_vaccine_schedule_immunizations_children.html
http://expovaccins.over-blog.com/article-aujourd-hui-les-enfants-re-oivent-plus-de-12-fois-plus-de-vaccins-qu-en-1940-117344850.html
Le véritable désastre que représente la polyvaccination pratiquée par des médecins-robots qui n'ont même plus conscience de la démesure avec 4 injections par séance:
Pardonnez-leur parce qu'ils ne savent pas ce qu'ils font?! Pas sûr que pour ces enfants il y ait un jour un possible pardon s'ils en venaient à découvrir le dessous des cartes...
"Cancer, la barbarie de l'incompétence" de Michel Dogna
Dans un récent article de CNN intitulé ''Ma mastectomie préventive : rester en vie pour mes enfants'' une mère fait enlever ses seins et ses ovaires sur simple présomption de terrain favorable à futur cancer.
Déclarant qu'elle a suivi la recommandation pressante de son gynécologue, Allison Gilbert a fait enlever chirurgicalement ses ovaires en 2007 et ses deux seins au début de cette année. Elle déclare :''La décision d'une opération chirurgicale sans avoir de cancer n'a pas été facile, mais elle m'a semblé logique. Ma mère, ma tante et ma grand-mère sont toutes mortes d'un cancer du sein ou des ovaires, et j'étais testée positive pour le gène du cancer du sein.''
Oui, de plus en plus de médecins encouragent maintenant les patients à se faire enlever des parties du corps jugées à risque pour prévenir un cancer éventuel. (y compris un cancer du cerveau ???)
Pour les hommes c’est pareil ; c’est ainsi que l’on estime à un million le nombre d’américains à qui l’on a abusivement enlevé la prostate soit préventivement suite à un adénome soit en faisant croire à un début de cancer. (En France on a du mal à connaitre les chiffres). Tout cela semble insensé, pourtant la communauté médicale dans sa majorité pense que c'est un exploit médical d'accomplir une mutilation physique au nom de la prévention d'un cancer… Cela me fait penser dans Astérix, aux Normands qui coulaient leur propre bateau en voyant seulement s’approcher la barque des gaulois.
Cette nouvelle mode est le critère de la non-reconnaissance de la science officielle à propos de la relation directe du mode d’alimentation avec le cancer. Remarquez que les chattes et les chiennes n’avaient jamais de cancer de la mamelle avant l’apparition des boites et des granulés ; de plus elles partagent souvent nos restes. Aussi aurait –il été intéressant de faire une petite enquête sur les coutumes nutritionnelles de la famille Gilbert…..
Par ailleurs, on reste pantois devant la reprise enthousiaste des médias qui glorifient cet autosacrifice de mutilation en tant que manifestation héroïque d'affection envers la famille et les amis.
Mais surtout, nous avons là la preuve éclatante que la médecine officielle avoue implicitement son propre constat d’échec face au cancer, d’autant plus lorsque l’on connait le chiffre officiel à l’échelle mondiale annoncé par l’OMS concernant la survie à 5 ans suite à la recette unique : la chimiothérapie, qui est de 2,2% !
Il se dit même que les gens meurent plus souvent de leur chimio que de leur cancer. Qui tenterait raisonnablement une quelconque action avec 98% de chances d’échouer ? Pourtant il existe depuis longtemps différents traitements naturels et des cures de désintoxication qui, sans pour autant être efficaces à 100% - ce qui est assez normal - offrent statistiquement des résultats infiniment plus satisfaisants que les méthodes traumatisantes des grands labos.
Mais cet « exercice illégal de la guérison » a toujours été sauvagement combattu par la dictature médico-pharmaceutique qui comme toute religion fanatique et intégriste interdit d’aller voir ce qui se passe ailleurs que dans leur chapelle. En attendant, tant pis pour tous ceux qui se laissent embarquer par l’autorité agressive des oncologues qui vont même jusqu’à menacer leurs « victimes » de perdre l’assistance sociale s’ils n’obtempèrent pas à leurs injonctions !!! Je n’exagère pas, cela m’a été rapporté tant de fois….
Un jour, un médecin stomatologue me dit confidentiellement au cours d'une réunion de famille :
- « Entre nous, un cancer, on ne s’en sort jamais, on ne fait que reculer l’échéance… »
- Je lui répondis « Comment cela ? Que fais-tu des légions de gens qui ont été guéris définitivement avec le CARZODELAN, extrait pancréatique d’enzymes (qui curieusement suite à près de 40 années de succès a été interdit), de la CURE BREUSS qui existe depuis plus de 300ans, les résultats par la simple MACROBIOTIQUE, sans compter les différents remèdes pourchassés tels les PEROXYDASES DE SOLOMIDES, le 714 X DE NAESSENS, l’ASIATONIC (champignon chinois), etc. »
- Il me rétorqua la réponse classique «C’est que ce n’étaient pas de vrais cancers…. »
- Je lui dis alors « Tu es gonflé, qui est-ce qui avait dépisté les tumeurs cancéreuses, c’est bien vous les médecins ; donc tu avoues que l’on ne peut pas vous faire plus confiance pour le diagnostic que pour le traitement ! »
Je peux en outre renvoyer à juste titre le même raisonnement à la cancérologie en disant que les seuls succès de leurs traitements « politiquement corrects »ne s’appliquent qu’à des faux diagnostics de cancers…..
Enfin j’en profite ici pour rappeler une fois de plus qu’il existe une cure de désintoxication cellulaire de 60 ans d’âge qui règle de très nombreuses maladies, dont le cancer, et certaines maladies classées orphelines, en quelques mois, c’est la CURE GERSON accompagnée des lavements au café, que j’ai dévoilée en France il y a 4 ans et que j’ai expliquée en détail dans un livret édité par Guy Trédaniel.
C’est une prise en main personnelle assez contraignante, mais les Docteur Gerson et Kelley qui ont sauvé des milliers de personnes promettaient un sauvetage de près de 40% des patients en phase terminale du cancer. Alors avant de vous laisser découper en morceaux, brûler ou chimiquer, renseignez vous d’abord en dehors du menu unique qu’on vous impose, c’est votre droit le plus absolu, et ensuite…..C’est vous qui voyez... Au moins, maintenant, vous êtes informés.
Michel Dogna
Je me suis guérie d'un cancer de la gorge à l'automne 2005 grâce à la cure Breuss, et je viens de me sortir d'un cancer du colon descendant par la cure de Gerson et Kelley, échappant ainsi aux opérations et chimio et autres joyeusetés que la machine allopathique me proposait....!!!!
On pourrait en parler comme preuve irréfutable, une fois pour toutes, de la tromperie de l'industrie conventionnelle du cancer. Non seulement la chimiothérapie, qui est la méthode standard de traitement du cancer aujourd'hui, est, selon l'étude un fiasco total, mais elle est au complet détriment du malade cancéreux. Publiées dans le journal Nature Medicine, les choquantes découvertes qui, sans surprise, ont été ignorées de la communauté scientifique dominante, éclairent en détails la manière dont la chimiothérapie obligent les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.