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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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zone euro
19 mai 2014

Bilderberg : Fuite de documents : Plan pour une monnaie unique Européenne dès 1955.

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L’Elite mondialiste avait discuté d’un agenda pour la création de l’Euro près de 40 ans avant que cela ne soit codifié par le Traité de Maastricht en 1992.

Une fuite de documents de la conférence du groupe Bilderberg de 1955 qui s’est tenue en Allemagne, révèle qu’il a été discuté d’un agenda pour créer l’UE et sa monnaie unique l’Euro, des décennies avant que ces plans ne soient présentés, contredisant les affirmations des démystificateurs qui affirment que le groupe Bilderberg n’a aucune influence sur les événements mondiaux.

Une fuite de documents de la rencontre qui a eu lieu les 23-25 Septembre 1955, au Grand Hotel Sonnenbichi à Garmisch-Partenkirchen en Allemagne de l’Ouest, a permis qu’ils soient publiés par le site Wikileaks hier.

Comme nous l’avions d’abord rapporté en 2003, une équipe enquêtant pour la BBC avait été autorisée à avoir accès aux données de Bilderberg confirmant que l’UE et l’Euro ont été les créations intellectuelles de Bilderberg. Ils ont probablement lu les mêmes documents publiés par Wikileaks.

Ce n’est que le mois dernier que le vicomte de Belgique, actuel président du groupe Bilderberg, Etienne Davignon, s’est vanté que Bilderberg avaient aidé à créer l’Euro en introduisant l’agenda politique pour une monnaie unique au début des années 90.

Cependant, les documents montrent que l’agenda pour créer un marché commun européen et une monnaie unique remonte à plusieurs décennies plus tôt.

Le sommaire du rapport des discussions de la rencontre de 1955 parle d’un  » besoin pressant de rassembler le peuple allemand et les autres peuples d’Europe dans un marché commun. »

Le document donne un aperçu du plan  » pour arriver le plus rapidement possible à un degré d’intégration des plus élevés, à commencer par un marché commun européen. »

Juste deux ans plus tard, en 1957, la première incarnation de la Communauté Economique Européenne (CEE) était née, qui créait un marché unique entre la Belgique, la France, l’Allemagne, l’Italie; le Luxembourg, et les Pays Bas. La CEE s’est graduellement élargie les décennies suivantes jusqu’à devenir la Communauté européenne, l’un des trois piliers de l’Union européenne, officiellement créée en 1993.

Le sommaire du texte de Bilderberg 1955, parle brièvement d’un consensus comme quoi  » il serait peut être mieux de procéder au développement d’un marché commun par traité plutôt que par la création de nouvelles institutions supérieures ». La CEE a été effectivement créée via le Traité de Rome, signé le 25 Mars 1957.

Le même processus continue d’être suivi jusqu’à maintenant avec le Traité de Lisbonne, qui livre de vastes pans de souveraineté nationale à l’UE avec l’accord des présidents et premiers ministres des pays européens, plutôt que via la création arbitraire de nouvelles institutions, méthode qui révèlerait le fait que la création d’un super état fédéral de l’UE est de par sa nature même totalitaire.

Malgré cela, les démystificateurs essaieront encore d’affirmer que l’idée d’un marché commun européen était dans l’air dans les années 50 et que Bilderberg ne faisaient que discuter des idées politiques contemporaines.

Cependant, on ne peut pas dire la même chose de la monnaie unique européenne, qui n’a même pas été introduite sous forme de billets et pièces avant Janvier 2002, ayant d’abord été codifiée dans le Traité de Maastricht de 1992. Les documents prouvent que les membres de Bilderberg avaient poussé à son introduction quelque 40 ans plus tôt.

Le sommaire du document stipule que « le porte parole européen a exprimé son inquiétude sur le besoin d’une monnaie unique, et a indiqué que de son point de vue cela impliquerait nécessairement la création d’une autorité politique centrale ».

Effectivement, la monnaie unique européenne, l’Euro, n’a été introduite qu’après la création d’une autorité politique centrale, l’Union européenne.

Le document insiste également sur « la nécessité d’amener le peuple allemand dans un marché commun européen aussi rapidement que possible » ajoutant que le futur était en danger sans une « Europe Unie ».

Nous apprenons également que  » un participant des US a confirmé que le soutien enthousiaste des Etats Unis pour l’idée d’intégration n’avait pas faibli, bien qu’il y ait eu en Amérique une hésitation considérable sur comment manifester cette enthousiasme. Un autre participant des US a pressé ses collègues européens d’aller de l’avant avec l’unification de l’Europe en s’attachant moins aux considérations idéologiques, et, par dessus tout, en étant concret et en oeuvrant rapidement ».

Malgré une pléthore d’exemples qui s’appuient effectivement sur des preuves de l’implication de l’agenda Bilderberg dans les politiques actuelles et les développements géopolitiques sur la scène mondiale, les démystificateurs des médias de l’establishment continuent de dénigrer des chercheurs indépendants qui osent affirmer que les rencontres secrètes de 150 des personnes les plus influentes et les plus puissantes qui discutent du futur de la planète, ne seraient que des ateliers de débats informels, dénonçant de telles affirmations comme étant des  » théories du complot ».

Pourtant, la « théorie du complot » la plus risible jamais émise c’est bien celle de ces démystificateurs suggérant stupidement qu’un évènement qui attire des titans des gouvernements, de l’industrie, des banques, des affaires et du monde universitaire, où les problèmes mondiaux les plus urgents de l’actualité sont discutés, tout ceci dissimulé derrière un black out médiatique conjointement accepté, n’a rien à voir avec les évènements futurs mondiaux.

L’agenda Bilderberg 2009 a déjà fait surface avant la rencontre du 14-17 Mai, à Vouliagmen en Grèce. Selon le journaliste d’investigation Daniel Estulin, l’un des objectifs de Bilderberg c’est de dénigrer les activistes et politiciens qui s’opposent au Traité de Lisbonne en plantant dans les médias des histoires désobligeantes afin de réduire au silence ceux qui s’opposent à un super état fédéral de l’UE que le groupe Bilderberg a minutieusement cultivé depuis ses premières rencontres dans les années 50, un fait, prouvé par les propres documents internes de Bilderberg, et non pas une théorie du complot.

Paul Joseph Warson

Source : https://wikileaks.org/wiki/Bilderberg_meeting_report_Garmisch-Patenkirchen,_1955

http://www.wikibusterz.com/bilderberg-fuite-de-documents-plan-pour-une-monnaie-unique-europeenne-des-1955/

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18 mai 2014

Où sont passés les 1 000 milliards prêtés par la BCE aux banques ?

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Voilà ce que dit L’Expansion un brin naïf tout de même, on voit que les élections européennes approchent à grands pas !

« L’heure des comptes a enfin sonné : la Commission européenne s’apprête à demander aux banques ce qu’elles ont fait des 1 000 milliards d’euros libérés par la BCE en décembre et février, à l’occasion des deux opérations de refinancement à trois ans. Ces dernières, qui avaient pour but de relancer l’économie et d’inciter les banques à continuer à financer les États en achetant de la dette, n’ont visiblement pas eu l’effet escompté. »

 

Évidemment que cela ne pouvait pas avoir l’effet escompté et la raison est assez facile à comprendre. Lorsque la BCE met en place ce plan d’aide aux banques pour 1 000 milliards d’euros, personne ne croit un seul instant que ce sera pour « financer » l’économie. L’objectif unique était de sauver les banques d’une déroute financière totale sur fond de bilans monumentaux (« too big to fail » cela veut surtout d’abord dire trop gros !) et évidemment de permettre, dans un marché de dupe, aux banques de financer les États en achetant les obligations émises par nos pays surendettés en empochant la différence. Comment croyez-vous que les taux d’intérêt puissent être orientés à la baisse alors que les dettes des pays n’ont jamais été aussi élevées ?

Dans le langage policé de L’Expansion, cela donne le texte suivant :

« Il faut dire que financièrement l’affaire était plutôt juteuse pour les banques, qui ont emprunté à 1 % auprès de la BCE pour refinancer des États avec des taux compris entre 3 et 6 %. Les établissements espagnols notamment se sont jetés sur cette aubaine : ils ont acheté 32 milliards d’euros d’actifs publics en janvier et 22 milliards en décembre. Mais désormais les tensions sur les taux des obligations d’État des pays fragiles ont refait surface, et remettent donc en cause l’utilité de l’opération. »

Mais il s’agit ici d’un secret de polichinelle ! Tout le monde a bien compris la mécanique et, disons-le, elle arrange bien sûr tout le monde. Alors venir accuser les banques de s’enrichir grâce à un système concocté exprès pour qu’elles puissent le faire et ainsi améliorer leurs bilans sur le dos des contribuables européens, en douceur et sans avoir à signer de gros chèques, c’est un peu fort.

Pourquoi maintenant ?

Reprenons. Les banques vont mal et les États doivent emprunter pas cher. La BCE refile 1 000 milliards d’euros à 1 %, les banques reprêtent ces sous-là aux États en empochant 4 % des 1 000 milliards, ce qui revient à leur donner directement 40 milliards d’euros mais avec cette méthode-là c’est beaucoup plus discret et l’on peut crier que tout va bien, que la crise est réglée et que les bénéfices des banques sont de retour. Les États sont financés et les taux baissent… Youpi tralala, là encore, on peut dire que les États sont sauvés et la crise de l’euro derrière nous.

Et là, patatras, il faudrait faire une enquête ?

« Selon une information du Monde, Michel Barnier, le commissaire au marché intérieur, aurait demandé au président de l’Autorité bancaire européenne, Andrea Enria, de s’intéresser à l’usage qu’ont fait les établissements financiers de ces prêts bonifiés. Il a aussi déposé un amendement à la directive européenne sur les liquidités bancaires qui «impose aux banques d’isoler les profits qu’elles ont réalisés en investissant dans des titres rémunérateurs les liquidités à faible coût de la BCE, et oblige que ces bénéfices ne puissent être inclus dans le calcul des bonus». »

La proximité des élections européennes peut donc et doit être notée car sans nul doute cette annonce est du meilleur effet. Se montrer « méchant » avec les banques c’est toujours populaire ! Mais ce n’est pas tout. Il y a probablement un petit jeu de mise sous pression des banques afin que ces dernières continuent de jouer le jeu. Quel jeu ? Celui de financer des États en faillite pour maintenir les taux au plus bas et reculer le moment de l’inévitable. Ensuite, il serait également bien que les banques financent un peu plus l’économie réelle en augmentant les crédits aux PME qui est en chute dramatique. Hors sans financement, notre tissu d’entreprises se meurt.

Mais n’ayons point trop d’inquiétudes. Normalement, nos banques ne craignent pas grand-chose, elles sont bien trop grosses pour faire faillite et tiennent fermement les rênes des différents pouvoirs.

Finalement, les banques ne sont pas si solides !

Surprise, cet article révèle aussi – alors que, je vous le rappelle, la crise est finie et que Hollandouille voit très clairement venir le retournement) – « qu’il semblerait que les banques françaises, qui ont encore des problèmes de liquidité, soient allées lourdement au guichet de la BCE, juste derrière les espagnoles et les italiennes, explique Christophe Nijdam »…

Allez, dormez tranquilles puisque c’est ce que l’on exige de vous.

Source : Le Contrarien

 

28 février 2013

Documentaire - "Quand l'Europe sauve ses Banques, qui paye ?

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Une documentation complète sur la réalité de l'Union Européenne. 50 milliards d'euros en Grèce, 70 milliards en Irlande, 40 milliards en Espagne : au sein de la zone euro, les États se sont vus contraint les uns après les autres - moyennant des sommes astronomiques - de venir en aide aux banques pour compenser les pertes subies suite à des prêts pourris. Mais qui sont les bénéficiaires de telles opérations ? C'est en posant cette question très simple qu'Harald Schumann, essayiste en économie et brillant journaliste, sillonne l'Europe. Et obtient des réponses pour le moins sidérantes. Car ceux qui ont été "sauvés" ne se trouvent pas - comme on tend à vouloir nous le faire croire - dans les pays en détresse, mais surtout en Allemagne et en France. En effet, une part importante des sommes débloquées finit dans les caisses des créanciers de ces banques sauvées. Quant aux financiers qui ont fait de mauvais investissements, ils se retrouvent protégés contre toute perte aux frais de la collectivité. Et ce contrairement aux règles de l'économie de marché.

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