Développement de nouvelles technologies d'interface cerveau-ordinateur : transhumanisme vu par la DARPA
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La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) finance depuis les années 1970 des recherches scientifiques et des développements technologiques innovants dans le domaine des interfaces cerveau-ordinateur (BCI). Cette revue met en évidence certaines des avancées majeures de la DARPA dans le domaine de la BCI, en particulier celles réalisées ces dernières années. Deux grandes catégories de programmes DARPA sont présentées en ce qui concerne les objectifs ultimes de soutien aux combattants du pays : (1) les efforts BCI visant à restaurer la fonction neuronale et/ou comportementale, et (2) les efforts BCI visant à améliorer la formation et les performances humaines. Les programmes abordés sont synergiques et complémentaires les uns des autres et favorisent par ailleurs les collaborations interdisciplinaires entre chercheurs, ingénieurs et cliniciens. Enfin, cette revue comprend un résumé de certains des défis restants dans le domaine de la BCI, ainsi que les objectifs des nouveaux efforts de la DARPA dans ce domaine.
Ces dernières années, les chercheurs se sont davantage intéressés aux applications hybrides de l’informatique quantique et des interfaces cerveau-ordinateur. Avec le développement de la technologie neuronale et de l'intelligence artificielle, les scientifiques effectuent de plus en plus de recherches sur l'interface cerveau-ordinateur, et l'application de la technologie d'interface cerveau-ordinateur à davantage de domaines est progressivement devenue le centre de la recherche. Bien que le domaine de l’interface cerveau-ordinateur ait évolué rapidement au cours des dernières décennies, les technologies de base et les idées innovantes derrière les systèmes d’interface cerveau-ordinateur apparemment sans rapport sont rarement résumées du point de vue de l’intégration avec le quantique. Cet article fournit un rapport détaillé sur les applications hybrides de l'informatique quantique et de l'interface cerveau-ordinateur, indique les problèmes actuels et donne des suggestions sur l'orientation de la recherche sur les applications hybrides.
ompte tenu de notre théologie, nous savons que l’homme ne peut pas effacer le désir de Dieu. Nous avons été créés pour nous reposer en Dieu, comme l’a déclaré Augustin, et jusqu’à ce que nous trouvions notre espoir et notre bonheur en Dieu, nous serons agités. Ainsi, l’impulsion religieuse est réelle et naturelle, en tant qu’êtres créés par Dieu. Ainsi, même si la société désenchantée rejette Dieu, elle aspire toujours à la transcendance.
Selon l'un des dirigeants du mouvement, Nick Bostrom, la vision transhumaniste est l'éternité elle-même, bien qu'en termes humains : « Les transhumanistes espèrent qu'en utilisant de manière responsable la science, la technologie et d'autres moyens rationnels, nous parviendrons un jour à devenir des posthumains, des êtres dotés de capacités humaines. des capacités bien plus grandes que celles dont disposent les êtres humains actuels » [Bostrom, « Transhumanist Values », 3-4]. Nous réaliserons cette vision utopique grâce à des améliorations physiques et intellectuelles et à l’union de la pensée et de l’existence biologiques avec la technologie.
Premier problème théologique et philosophique de la vision transhumaniste : la rage contre le donné .
Comme le dit Vanhoozer de manière colorée, il ne s’agit plus de « survie des plus aptes » mais de « survie des mieux équipés » ; et l’objectif de la vision transhumaniste est allé au-delà de la réparation pour recâbler la nature – un passage de l’amélioration des humains à la « création de créatures meilleures que les humains ». [Vanhoozer, Images d'une exposition théologique , 258].
Ainsi, le premier problème théologique de la vision transhumaniste est sa rage contre le donné . En d’autres termes, la posture de la vision transhumaniste est une « tentative illimitée de maîtrise et de domination » – mais cette posture est moralement et théologiquement problématique, car elle ne parvient pas à cultiver, selon le philosophe politique de Harvard Michael J. Sandel, une « éthique de le don », une éthique qui encourage l'humilité, le respect et la gratitude [Sandel, The Case Against Perfection ].
Théologiquement, l'éthique transhumaniste, avec son élan sans limites vers la perfection et la maîtrise, constitue une tentative d'usurper le rôle de Dieu en devenant Dieu nous-mêmes. C’est la tentation « d’être comme Dieu » qui existait au début de l’humanité et qui a conduit à la Chute dans Genèse 3 : 5. En d’autres termes, la vision transhumaniste est fondée sur l’idolâtrie et la tentation humaine d’être comme Dieu.
Le deuxième problème théologique de la vision transhumaniste est la rage contre la mort .
Encore une fois, l'espoir ultime de la vision transhumaniste ou post-humaniste est la vie éternelle elle-même, bien que selon les conditions de l'homme et non celles de Dieu. Mais c’est là que réside le problème. Dans l’histoire chrétienne, l’objectif de ne jamais mourir entre en conflit avec la croyance en la résurrection des morts.
Pour le chrétien, la mort n’est pas la fin. Nous attendons plutôt avec impatience la transformation de nos corps qui se produira à travers le Christ lors de la résurrection générale. La vision transhumaniste, en revanche, dénigre le corps (avec son espoir de prolonger la vie en téléchargeant l'esprit sur un logiciel ou un avatar, ce qui représente une sorte de gnosticisme) et suppose à tort que la perfectibilité humaine ou post-humaine, y compris la perfectibilité morale, est possible. aux conditions de l'homme (un retour au pélagianisme). La technologie ne peut pas nous sauver ; seul Dieu peut le faire.
- Dieu nous a créés pour « garder et travailler » (Genèse 2 : 15). Plus important encore, retrouver le plan de conception divine nous aide à savoir pourquoi les humains ont été créés .
Quelle est la fin de l'homme : la communion avec Dieu c'est pour cela que l'homme a été créé – non pas la vie éternelle selon les conditions de l'homme, mais l'épanouissement humain tel que Dieu l'a prévu. C’est notre fin la plus noble et la plus appropriée. le transhumanisme et la dernière tentative d’échapper au courroux divin et de ne pas répondre de nos actes bon ou mauvais . Les lignées maudites qui suivent leur maitre depuis le déluge , n’ont eut de cessent de combattre la descendance adamites ;
à travers le monde en falsifiant les religions de moise et jésus ,
par la réécriture systématique des évangiles au point que tout le monde , perdent son latin le seul livre préservé car non traduit : Est le coran, qui dans sa langue d'origine na subit aucune altération malgré les tentatives ,comme les fameux versets sataniques qui ont été ôté de la prophétie car lange Gabriel alerta le messager de l’origine de ces révélation en effet le diable s’immisça dans la révélation pour y planter sa graine mais les anges en alerte prévenir Mohamed que ces versets n’étaient pas Divins . Origine du livre du qui fameux Rushdi
Grand bien lui en a fait, car Ron Evans vient d'avouer que son livre n'était qu'un tissu de mensonge - le mot texte, ne vient-il pas du latin tisser ? - et que de nombreuses modifications y ont été apportées, rapporte l'avocat de Rushdie. On pouvait notamment lire que l'auteur protégé était si arrogant que les agents « tellement excédés de son attitude l'avaient enfermé et verrouillé dans un placard, et partirent pour un pub », histoire de descendre quelques pintes.
Rushdie n'a pas demandé de dommages et intérêts. « Les auteurs ont admis qu'il y avait des mensonges dans le manuscrit original », se satisfait-il simplement.
https://actualitte.com/article/93831/insolite/salman-rushdie-n-est-pas-pretentieux-l-auteur-avait-menti
"en se servant de cet épisode pour salir l’ensemble de la révélation et cela est purements un mensonge, d'ailleurs qu'elle est la seule religion qui soit attaquée chaque jour sur tous les plateaux télévisés si ce n’est l'islam depuis quand attaque t on une fausse religion a t on jamais attaqué le bouddhisme en s’acharnant sur eux non parce qu'ils adorent des idoles comme certaines loges sataniques aux commandes ...
























































