le programme secret des États-Unis. Des armes de contrôle mental implants neuronaux ?
Pour beaucoup de gens, le contrôle mental est un sujet de science-fiction ou de trouble psychiatrique plutôt que scientifique. Cependant, au 21ème siècle , les progrès des neurosciences conduisent à une réalité scientifique opposée à cette perception, une réalité que tout le médecin doit savoir.
« Le contrôle mental est un processus réducteur dans lequel un homme est réduit à un animal ou à une machine »1
Le contrôle mental a été essayé à travers l'histoire de différentes manières, comme la violence physique ou la religion ; Certains gouvernements ont été obsédés par le contrôle mental, en particulier, et ceux qui tendaient vers le fascisme, comme les nazis. 1
Les idées fondamentales du contrôle mental sont nées en 1921, à Tavistock, un centre de recherche du service de renseignement britannique, puis ont été développées en Allemagne, principalement dans le camp de concentration nazi de Dachau. 1 Les principales opérations de contrôle mental ont commencé au XXe siècle à travers des institutions comme la CIA, dédiées à promouvoir le Nouvel Ordre Mondial, le plan à long terme visant à créer un gouvernement oligarchique unique dans le monde1. Les États-Unis d'Amérique du Nord sont la première puissance militaire mondiale. ; il est essentiel pour un tel pays de développer de nouvelles armes de guerre. Parmi les armes que les États-Unis ont tenté de développer figurent les armes de contrôle mental. 2
Les États-Unis, au cours de leur histoire, ont développé différentes expériences de contrôle mental, de 1950 à 1972, avec la participation de scientifiques nazis recrutés par le gouvernement américain : le BLUEBIRD, le MKULTRA et le MKSEARCH.
Le programme MKULTRA développé par la CIA était un programme conçu pour réaliser la plus grande expérience de contrôle mental, un programme illégal et clandestin d'expériences sur des sujets humains. L'expérience a impliqué la participation de scientifiques et de 80 institutions renommées, parmi lesquelles 44 écoles, des universités prestigieuses comme Harvard et Yale, 12 hôpitaux, des sociétés pharmaceutiques et des prisons. 2 C'était un projet qui comprenait 149 sous-projets, tous liés au contrôle mental. Au moins 139 médicaments ont fait l'objet d'une enquête.
Le chimiste Joseph Schneider, connu sous le nom de Sidney Gottlieb, « Docteur de la Mort », était responsable des projets MKULTRA et MKSEARCH, des expériences destinées à affaiblir la résistance mentale humaine ; par différentes méthodes 2 Gottlieb a créé dans la jungle péruvienne, à Iquitos, l'Amazon Natural Drug Company, une société secrète ; son objectif était de compiler les composants hallucinogènes et toxiques des plantes de la jungle péruvienne, pour les laboratoires de la CIA, 3 bien que le projet MKULTRA utilisait principalement des drogues hallucinogènes, le LSD étant l'une des drogues les plus utilisées, 1 des techniques expérimentales de stimulation des zones profondes du cerveau ont également été utilisées . 1
De nos jours, grâce aux progrès scientifiques modernes, le contrôle mental pourrait être développé grâce à des nanobots cérébraux, des micropuces et des implants, qui n'ont été utilisés chez les êtres humains que pour améliorer la santé. Le Département américain de la Défense, par l'intermédiaire de l'agence DARPA, a informé qu'il avait développé des implants cérébraux pour améliorer la santé de son armée.
Le gouvernement américain a nié aujourd’hui l’existence d’un programme d’armes de contrôle mental ; cependant, l'existence d'une technologie capable de la créer suggère l'existence d'un programme d'armes classifié de contrôle mental. 4 Ainsi, l'un des dispositifs développés est un modem cortical 5 qui transforme les signaux numériques en signaux analogiques. Les ordinateurs traitent les informations sous forme numérique, les lignes téléphoniques traitent uniquement les signaux analogiques, ainsi avec l'implantation de ces modems cérébraux, les informations numériques de l'ordinateur du cerveau humain peuvent être transformées en signal analogique et transmises par téléphone, et vice versa, ainsi les images peuvent être envoyés et reçus par le cerveau humain, cependant, ces modems pourraient également être utilisés comme arme de contrôle mental ; l'envoi de signaux audiovisuels au cortex visuel pourrait être utilisé comme torture mentale, la cartographie cérébrale obtenue avec le modem pourrait servir à la lecture mentale et au vol des informations privées d'un citoyen, qui pourraient être utilisées pour extorquer la victime et la contrôler, le grand danger est donc qu'ils pourraient être implantés chez les citoyens secrètement et de force comme arme de contrôle mental.
Récemment, le président des États-Unis d'Amérique du Nord, Barack Obama, a présenté le projet BRAIN. Outre les États-Unis, la Communauté européenne et la Chine développent également des projets de recherche sur le cerveau très similaires. En Chine, on l'appelle également projet BRAIN et en Europe, projet HUMAN BRAIN. Le projet est développé en collaboration avec des sociétés multinationales liées aux puissances économiques ( Figure 1 ).
Rafael Yuste, l'un des principaux scientifiques de l'initiative BRAIN, a déclaré publiquement que les principaux objectifs du projet sont la manipulation des neurones ( Figure 2 ), donc une interprétation différente est que le projet BRAIN serait en réalité un projet organisé par les pouvoirs économiques pour étudier les cerveau afin de développer des armes de contrôle mental, 6 nouvelles armes qui pourraient constituer une menace pour la santé mondiale, et qui chercheraient à établir un futur gouvernement mondial fasciste.
Le public connaît la puissance des armes nucléaires et peut débattre et protester ; d’un autre côté, on sait que des armes de contrôle mental sont en cours de développement, mais elles sont entourées de déni et de désinformation de la part du gouvernement américain, de sorte que la population ne peut pas débattre de leur existence et de leur danger. Les armes américaines de contrôle mental peuvent être plus puissantes que les bombes atomiques ; leur existence reste l’un des plus grands secrets des USA. 4 Le gouvernement américain tente de nier l'existence d'armes de contrôle mental, mais même à l'ère de l'information, des événements inhumains et horribles se produisent avec la complicité de témoins silencieux ; par conséquent, des expériences de contrôle mental pourraient avoir lieu aujourd’hui. L’ Amérique latine a malheureusement une longue histoire d’expérimentations humaines contraires à l’éthique, comme celle qui a eu lieu au Guatemala, que l’administration actuelle du président Barack Obama a qualifiée d’éthiquement impossible. 7
De nos jours, des recherches récentes laissent soupçonner que d'autres projets liés au contrôle mental et à l'intelligence artificielle seraient réalisés sur la base d'expériences humaines illégales avec des nanobots cérébraux réalisées en Amérique latine, comme dans la fabrication de puces neuromorphiques d'IBM et d'INTEL ; ou la création de vrais zombies, 8 à 10, sur la base de ces soupçons, il est probable que ce soit également le programme secret des États-Unis. Des armes de contrôle mental sont développées en Amérique latine. Les médecins et les citoyens doivent être en alerte face à ces mauvaises applications des neurosciences.
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