La vérité interdite d'un journaliste russe en Libye
LES PREUVES DES MENSONGES DE L’OTAN SUR LE BUT DE SON INTERVENTION EN LIBYE ÉCLATENT COMME DES BOMBES À LA FACE DU MONDE.
Nul n’ignore que l’Otan a déclaré au mois d’avril 2011 que la coalition ne visait pas Kadhafi. Déclaration réitérée au mois de mai et juin de la façon qui suit : " nous ne cherchons pas à tuer kadhafi. " Alors que dans le même temps toutes ses demeures explosaient les une après les autres sous les bombardements de l’Otan ; Pendant que d’autres ténors de l’Otan n’ont pas cessé de chanter à tue-tête le même refrain rengaine qui suit : " nous voulons protéger les civils, " tout en s’imaginant que le monde est trop ignorant pour se rendre compte que les civils ne sont pas du tout en danger dans de nombreuses villes en paix comme Tripoli, dévastées sous un déluge de missiles et de bombes parfois incendiaires, de l’Otan.
En clair, c’est comme si l’Otan avait déclaré haut et fort que les membres de la famille de Kadhafi et des amis à lui, avec 3 de ses petits enfants âgés de 4 ans, 2 ans, et de 4 mois assassinés par les raids sauvages de l’Otan, n’étaient pas des civils, mais tous des militaires qui tuent des civils ; Et que ces jeunes enfants comme des milliers d’autres civils de tout âges, ainsi que tous les militaires en simple maintient de l’ordre dans les villes en paix, entraient dans le cadre d’une exclusion aérienne pour se retrouver sous la guillotine de l’Otan. Les faits démontrent donc clairement qu’il s’agit en réalité d’une épuration aérienne de l’Otan qui ne cherche qu’à cacher ses mensonges et hypocrisies par des fumisteries.
De surcroît, toutes les localités militaires où se sont réfugiés le Colonel Kadhafi et sa famille, comme toutes ses demeures, ont été pulvérisées par les KARCHERS 2000 de l’apocalypse Otantique, qui ont aussi rasé, surtout au cœur des villes en paix, de nombreux bâtiments d’habitations civiles, mosquées avec leurs Imams tant qu’à faire, administrations, écoles, magasins civils de toutes sortes, musés, salles de sport, infirmeries, tous en pleine activités, émetteurs de télévision etc. Jusqu’à oser bombarder comme des ogres déchaînés des conduites d’approvisionnement d’eau pour assoiffer les malheureux Libyens