C’est le pétrole qui est la base de l’un des adjuvants des vaccins parmi les plus dévastateurs
C’est le pétrole qui est la base de l’un des adjuvants parmi les plus dévastateurs. Historiquement cet adjuvant a été considéré trop dangereux pour être utilisé dans les vaccins, mais il réapparait dans cette nouvelle ère de vaccins à ADN recombinant. Bien évidemment, le mantra destiné aux relations publiques, c’est que cet adjuvant est sans danger - mais comment se fait-il que l’on n’en parle pas davantage ?
Par Heidi Stevenson,
Tout le battage actuel concernant le nouveau vaccin contre la fièvre aphteuse veut essentiellement faire apparaître le nouveau vaccin comme plus sûr. Mais l’est-il vraiment ? La véritable explication est à chercher dans les adjuvants. PLoS rapporte que l’étude financée par le gouvernement UK (United Kingdom) et Big Pharma a découvert une nouvelle approche en utilisant la technologie de l’ADN recombinant pour créer des capsides vides, c'est-à-dire des coquilles vides de protéines virales comme antigènes contre la fièvre aphteuse.
Antigènes et adjuvants
Seule la surface d’un antigène est nécessaire pour permettre au système immunitaire de produire des anticorps. Cette méthode de mise au point de vaccins rend impossible la propagation de l’infection vu qu’aucune partie active du virus n’est présente. Cela signifie également que les antigènes vaccinaux peuvent être produits plus rapidement à meilleur prix.
Il existe cependant un gros inconvénient. Le système immunitaire n’est pas stupide. Il semble bien qu’il puisse faire la distinction entre les vraies et les fausses menaces. Il faut donc trouver quelque chose qui soit susceptible de le tromper. L’injection d’antigènes synthétiques n’est pas en mesure de déclencher une partie importante de la réponse immunitaire. Il est donc nécessaire de trouver un adjuvant qui soit particulièrement puissant pour que le vaccin puisse déclencher une forte réponse immunitaire qui soit suffisante pour créer des anticorps dirigés contre l’antigène.
Le problème est que tous les adjuvants sont toxiques par définition. Leur fonction est de « lancer » le système immunitaire.
Prenons une analogie :
Photo Njambi Ndiba
Imaginons un tigre qui a passé toute sa vie en cage et qui est bien nourri. Les gardiens du zoo souhaiteraient que le public puisse profiter d’un spectacle et ils décident de lancer des peaux de poulet dans la cage, espérant que le tigre va s’énerver, commencer à grignoter et déchiqueter les morceaux.
Mais les gardiens ne parviennent pas à l’intéresser ; les cris des enfants n’y font rien non plus, pas plus que le public qui jette des objets dans la cage. Le tigre ne bouge pas car il est habitué à ce manège. Finalement, les gardiens ne se souciant guère du respect des animaux, se décident de lui envoyer un spray au poivre.Maintenant, le tigre est véritablement agacé ! Il grogne et montre qu’il est prêt à passer à l’attaque. Il se jette sur les morceaux de poulet et les met en morceaux.
Le poivre de Cayenne est équivalent à un adjuvant de vaccin. Si les gardiens avaient jeté des poulets vivants dans la cage, le tigre se serait jeté dessus et aurait assuré le spectacle que souhaitaient les gardiens. Mais les peaux de poulets n’étaient tout simplement pas assez intéressantes.
Pour le système immunitaire, les capsides vides ressemblent un peu aux peaux de poulet jetées au tigre. On peut les injecter, les réinjecter, mais le système immunitaire n’en à que faire. Il faut donc utiliser un moyen plus efficace. Ce moyen sera un puissant adjuvant. C’est exactement ce qu’il faut au vaccin.
Selon l’étude de PLoS, cet adjuvant proposé est le Seppic 206B. Le fabricant le définit comme suit :
· Adjuvant huileux pour vaccin prêt à l’emploi pour une émulsion « eau- dans- huile- dans –eau (E/H/E)
· Sur base d’huile injectable de haute qualité [2]
L’huile minérale est fabriquée à partir du pétrole. Il s’agit d’une huile semblable à celle qui sert de base à l’adjuvant de Freund destiné à créer, par injection, des maladies auto-immunes chez les animaux de laboratoire. Peu de temps après sa découverte, cet adjuvant a été interdit d’utilisation chez les humains parce que reconnu comme trop dangereux.
Est-ce là un produit que l’on peut considérer comme sans danger ? La publicité donne l’impression que le vaccin lui-même est sûr, mais une lecture attentive montre que l’élément qui est sûr a trait au procédé de fabrication ; donc au fait qu’aucun virus vivant n’est utilisé, il n’y a pas de risque d’infection accidentelle ou de fuite. Ceci n’a rien à voir avec la sécurité de l’injection elle-même.
Abus sur animaux
L’objectif initial de cette nouvelle technologie est de produire un nouveau vaccin contre la fièvre aphteuse afin qu’il puisse être utilisé à grande échelle chez les animaux. Le but, évidemment, est d’utiliser ce même type d’adjuvant pour la vente aux laboratoires scientifiques du monde entier dans le but de créer des maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde chez les animaux de laboratoire.
Qui pourra connaître la souffrance de ces animaux touchés par ces terribles maladies ? Dans les maladies auto-immunes, l’une des difficultés, c’est que les signes de la maladie ne se manifestent pas souvent à l’extérieur. On sait que les personnes atteintes d’encéphalite myalgique (syndrome de fatigue chronique) ont été régulièrement accusées de simulation tout simplement parce que leurs souffrances n’apparaissaient pas sur leurs visages.Les animaux élevés pour la consommation de viande, pourraient ne pas être en bonne santé. Qui voudrait manger de la viande provenant d’animaux malades ? Les animaux élevés pour la production de lait ne risquent-ils pas de contenir des agents inflammatoires provenant de maladies auto-immunes ? Il y a lieu de s’interroger…
Le véritable objectif
Les auteurs de l’étude précisent :
Ce que nous venons de démontrer pourrait s’appliquer à un large éventail de picornavirus humains et animaux, y compris le virus de la polio et les virus coxsackie. [1]
Il n’entre pas dans l’intention de ces personnes de n’utiliser cette technologie que sur les animaux. L’objectif est bien de fabriquer des vaccins pour les humains. De par leur nature, ces vaccins auront besoin de puissants adjuvants.
Les adjuvants sont de nature toxique. C’est là ce qui leur permet de fonctionner. Au plus l’antigène est faible, au plus l’adjuvant doit être puissant La nouvelle technologie utilise un adjuvant qui est connu pour être très toxique, au point qu’il est utilisé pour produire des maladies auto-immunes chez les animaux de laboratoire.
Cet adjuvant à base d’huile minérale est déjà utilisé sur des animaux de ferme. Mises à part les conditions déplorables de l’élevage industriel, combien parmi ces pauvres bêtes risquent de souffrir également du simple fait d’avoir été vaccinées ?
Le véritable objectif est d’introduire ces adjuvants à base d’huile minérale pour les humains
Ces adjuvants et d’autres comme le squalène qui est responsable de l’apparition de la narcolepsie débilitante due à la vaccination contre la grippe porcine seront utilisés dans les vaccins afin que Big Pharma puisse produire des vaccins rapidement et à moindre coût. Nous vivons dans l’ère de la vaccination de masse. Les résultats en sont déjà visibles chez nos enfants. Les pays qui ont les taux les plus élevés de vaccinations ont aussi les taux les plus élevés de mortalité infantile. Au lieu de faire des études pour expliquer cette situation, nous voyons apparaître de pseudo études qui tentent de nous convaincre que les vaccins sont tout juste merveilleux. En attendant, même avec de solides preuves que les vaccinations peuvent produire des préjudices, on continue à en produire de plus en plus et de plus en plus vite.
Des vies doivent-elles risquer d’être dévastées ? Eh bien, ce serait dommage…. Et de toute manière ce ne serait que simple coïncidence si un enfant devenait autiste ou souffrait d’arthrite, d’asthme, de cancer, de diabète, d’eczéma, etc.
Remarque : Les bailleurs de fonds de l’étude étaient le Wellcome Trust, une fondation qui a été lancée par la compagnie qui s’appelle aujourd’hui GlaxoSmithKline ; DEFRA, UK une agence qui contrôle les vaccinations animales et qui les encourage ; le Medical Research Council, organisme financé par les contribuables.
Cinq des neuf chercheurs ont des liens étroits avec l’industrie du vaccin, y compris le chercheur principal qui est un chercheur « Jenner », deux étudiants pris en charge par le Wellcome Trust et deux autres pris en charge par le Medical Research Council ».
Sources:
1. Rational Engineering of Recombinant Picornavirus Capsids to Produce Safe, Protective Vaccine Antigen. PLoS Pathog; Porta C, Kotecha A, Burman A, Jackson T, Ren J, et al. (2013) 9(3): e1003255. doi:10.1371/journal.ppat.1003255
3. New foot-and-mouth vaccine is safer and cheaper to produce
4. New hope for safer, more stable foot and mouth disease vaccine
5. Scientists develop new foot and mouth vaccine
7. Aspects of the role of mineral oil as immunological adjuvants in rheumatoid arthritis
8. Autoimmunity induced by adjuvant hydrocarbon oil components of vaccine
http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-04-02/oil-from-petroleum-now-used-as-vaccine-adjuvant/