Big Pharma essaie de mettre fin à l’autorisation parentale pour la vaccination des enfants.
Il est illégal que des enfants puissent voter ; il est illégal que des enfants puissent choisir de boire de l’alcool ; il est illégal que des enfants puissent conduire des voitures ; il est illégal que des enfants puissent donner leur consentement à des procédures médicales. Et cependant New York se propose de permettre aux enfants de donner leur consentement pour recevoir des vaccins, un acte médical qui peut bouleverser, voire même détruire une vie, et tout ceci sans le consentement des parents !
Big Pharma essaie de mettre fin à l’autorisation parentale pour la vaccination des enfants.
Le lundi 6 mai, un nouveau projet de loi doit être présenté à l’Assemblée de New York. Il devrait permettre aux médecins d’administrer des soins préventifs pour les maladies sexuellement transmissibles et de vacciner les mineurs sans l’autorisation des parents.
Ce projet de loi concernerait aussi les vaccinations contre l’hépatite B et le HPV (Cancer du col de l’utérus).
Ne permettez pas que votre enfant soit la prochaine victime
Le site GreenMedinfo a publié un total de 60 articles détaillant les dangers potentiels de la vaccination contre l’hépatite B [2]
Si des lecteurs pensent que la recherche de toute cette information est trop fastidieuse, alors pour se faire une idée de la manière dont cette
vaccination peut affecter un nouveau-né, il suffit de consulter le site « Age of Autism ».[3]http://www.ageofautism.com/2009/02/managing-editors-note-below…
En 2009, le site a mis en évidence l’histoire tragique du petit Ian. Ce petit garçon est né en bonne santé bien qu’il ait avalé une partie du méconium lors de l’accouchement. Après avoir reçu un traitement pour des difficultés respiratoires, il ne fallut pas longtemps avant que les médecins déclarent qu’il était suffisamment bien pour pouvoir sortir de l’hôpital.
Malgré le fait qu’Ian avait de la fièvre et luttait encore contre les effets secondaires de la déglutition de méconium, les médecins invitèrent les parents à signer un formulaire pour les autoriser à administrer le vaccin contre l’hépatite B à leur enfant avant de quitter l’hôpital.
La maman du petit Ian reprend le texte paru sur le site The Age of Autism :
« C’est après avoir reçu le vaccin contre l’hépatite B que ces symptômes commencèrent aussi à apparaître :
- Les plaquettes ont chuté de 248.000 à 131.000 – un cas de grave thrombocytopénie.
- Des éruptions sont apparues sur le corps comme si l’enfant avait été brûlé.
- Crises d’épilepsie.
- Pleurs incessantes, irritation.
- Ian a arrêté de manger
- Symptômes de type viral.
Les photos reprises sur le site [3] valent des millions de mots. Ian a fait une éruption dans les 12 heures qui ont suivi la vaccination et c’est dans les 24 heures qu’est apparue une grave thrombocytopénie. Après cela, il tomba dans un état quasi moribond. AUCUN MEDECIN, AUCUNE INFIRMIERE, AUCUN MEMBRE DU PERSONNEL ne voulut envisager que la vaccination ait pu être la cause de cet état de notre petit garçon.- Ian a vécu 47 jours. Mon petit garçon a souffert presque toute sa vie. Regardez les photos. Imaginez-vous regarder votre propre enfant traversant pareilles souffrances sans que vous puissiez faire quoi que ce soit… Personne ne voulait nous écouter… Nous ne sommes que des parents, qu’est-ce que nous pouvions savoir ? Nous n’avons plus quitté notre enfant un seul instant. Nous avons littéralement vécu à l’hôpital. Je n’ai pas pu sauver mon premier petit enfant. Je suis restée assise à ses côtés en observant que la vaccination détruisait ses organes les uns après les autres.
Les photos du bébé Ian sont probablement les photos les plus horribles que j’aie jamais vues. Ces photos rappellent à quel point les vaccinations peuvent être dangereuses. Et il s’agit là d’une vaccination que le gouvernement américain veut administrer aux enfants mineurs sans consentement parental.
Des faits par rapport à une dangereuse vaccination
Le VAERS organisme officiel américain qui enregistre les effets secondaires des vaccinations a reçu, jusqu’à la mi-2012, 119 rapports de décès à la suite de la vaccination HPV (contre le cancer du col de l’utérus), de même que :
- 894 rapports d’invalidité
- 517 réactions indésirables potentiellement mortelles
- 9.889 recours aux urgences
- 2.781 hospitalisations [4]
Diane Harper est expert internationale en matière de HPV, de vaccins HPV, et de traitements des HPV. Elle a également participé aux essais cliniques du vaccin HPV. Elle sait que la durée de protection du vaccin Gardasil est juste de 5 ans. Dans une interview avec Marcia G. Yerman, elle reconnaît :
« Si la personne vaccinée n’est pas sexuellement active pendant les cinq années au cours desquelles le vaccin est actif, le vaccin ne la protégera pas de la maladie ( nous ne possédons pas de preuve que le Gardasil puisse offrir une protection au-delà de cinq ans).Les défauts du vaccin, ce sont de minuscules titres d’anticorps pour tous les types de HPV autres que les HPV16, une protection limitée, une efficacité et une durée limitée et des problèmes de sécurité. (comme indiqué dans ma déclaration d’ouverture). »
« Si ceci est correct, un enfant vacciné à 11 ans, ne sera nullement protégé à moins que cette enfant ne devienne sexuellement active avant l’âge de 16 ans. Tout à fait choquant ! »
Un des faits les plus accablants que Madame Harper a révélé au cours de son interview quand Madame Yerman lui a posé cette question :
« Pensez-vous que le vaccin Gardasil, dans sa forme actuelle, pourrait présenter plus de risques pour une jeune fille ou une femme que la possibilité de faire un cancer du col ? »
Madame Harper a répondu :
« Les frottis n’ont jamais tué personne. Ils représentent un outil de dépistage efficace pour prévenir le cancer du col de l’utérus. Les frottis à eux seuls peuvent éviter plus de cancers du col de l’utérus que ce que pourraient faire les vaccins seuls.
Le Gardasil est associé à de graves effets secondaires indésirables qui peuvent aller jusqu’à des décès. Si le vaccin est administré à 11 ans et comme il n’est pas efficace pour au moins quinze ans, on peut dire qu’il n’y a aucun bénéfice, il n’y a que des risques pour la jeune fille. La vaccination ne pourra pas réduire le nombre de cancers du col si les femmes continuent à faire le frottis tout au cours de leur vie.
Si une femme ne fait jamais de frottis, alors le vaccin HPV pourrait lui offrir une meilleure chance de ne pas développer le cancer du col. Et cette protection peut être considérée comme en valant la peine malgré un petit, mais réel risque d’effets secondaires graves.
D’autre part il y a des femmes qui pourraient considérer que prendre le risque de faire le vaccin Gardasil n’en vaut pas la peine sachant que : 1) elle est à faible risque pour une infection persistante au HPV, 2) la plupart des lésions précancéreuses peuvent être détectées et traitées avec succès. Tout se résume à une appréciation personnelle. » [5]
J’ai également interviewé Madame Harper et j’ai reçu des réponses quasi identiques.
[…]
Conclusion
S’il vous plait, agissez dès maintenant si vous voulez toujours avoir votre mot à dire en ce qui concerne les vaccinations qui sont administrées à vos enfants. Ces vaccinations ne sont pas aussi sûres que veut nous le faire croire le gouvernement.Merci de diffuser au plus grand nombre !!!!!!!
Références
1. http://assembly.state.ny.us/leg/?bn=A00497&term=…
2. http://www.greenmedinfo.com/anti-therapeutic-action/vaccination-hepatitis-b…
3. http://www.ageofautism.com/2009/02/managing-editors-note-below…
4. http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2013/01/24/hpv-vaccine-averting-cancer-unproven.aspx
5. http://www.huffingtonpost.com/marcia-g-yerman/an-interview-with-dr-dian_b_405472.html
6. http://truthaboutgardasil.org/new-york-is-trying-to-take-away-parental-rights-please-help/