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rusty james news
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  • Dans la tradition secrète, le corps humain est considéré comme le symbole ultime de l'univers. Chaque partie du corps correspond à un idéal spirituel, une constellation étoilée ou un élément alchimique. De cette manière, les anciens philosophes se connectaient directement à toutes les choses, et par cette connexion, ils pouvaient influencer le monde qui les entourait, rusty james blog
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7 septembre 2013

La "mission scientifique" AMPTE avait pour but de tester la création de fausses cometes

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La "mission scientifique" AMPTE.

Le 16 août 1984, une fusée Delta (n°175), porteuse de la mission AMPTE, "Active Magnetospheric Particle Tracer Explorer", décollait de Cap Canaveral. Ce programme d'une durée d'un an consistait, à l'aide de trois petits satellites, à larguer plusieurs "nuages" de baryum et de lithium en différents endroits de l'espace intra et extra-magnéto-sphérique. Puis d'observer l'évolution de ces éléments traceurs, afin d'étudier les interactions des vents solaires avec notre magnétosphère. Cette expérience avait été réalisée avec la collaboration de plusieurs laboratoires différents (des Etats-Unis, de la R.F.A. et du Royaume-Uni). Si la mission officielle était d'améliorer la connaissance scientifique, le but réel était d'expérimenter en conditions réelles, la création d'un phénomène cométaire, afin d'étudier son évolution dans le temps et dans différentes conditions spatiales. En effet, sous l'action des rayonnements solaires, le Baryum et le Lithium sont rapidement ionisés et ont alors la particularité de devenir fluorescents, créant ainsi une comète artificielle.

La mission AMPTE a été l'une des phases importantes de la préparation du projet d'essai sur Jupiter. Une étape primordiale dans la recherche d'un "système de camouflage", par un nuage de particules, composé d'un alliage de Baryum et de Lithium. Pour que l'on pense à une comète et que personne ne se rende compte de l'origine réelle des impacts et des explosions sur la planète. Avec cette mission spatiale "scientifique", les scientifiques ont en fait étaient manipulés sans le savoir, à des fins militaires. (5)

Ce qu'était vraiment, la "comète" Shoemaker-Levy.

Dans la nuit du 25 mars 1993, trois astronomes amateurs, Eugene et Carolyne Shoemaker et David Levy detectèrent une vingtainne d'objets, s'étalant sur 160 millions de kilomètres. De son observatoire du Mont Palomar (Californie), Carolyn fût la première à observer ce qui deviendra "la comète périodique Shoemaker-Levy 9" (ou "SL9"). "Je suis tombée sur cet objet à l'aspect très étrange. J'ai pensé que ce devait être une comète, mais c'était la comète la plus étrange que j'ai jamais vu", déclara-t-elle.

Effectivement, comme vous pouvez le voir sur cette photo prise le 1er juillet 1993 par le télescope Hubble, c'est une "comète" plutôt bizarre:

L'astronome venait en fait de découvrir les fameux nuages lumineux de Baryum-Lithium, qui étaient générés par les modules-bombes, situés en leurs centres. L'importance des nuages avait été adaptée à la puissance présumée des bombes correspondantes. Dans certains cas, les modules étaient groupés deux par deux, et ont pût soit s'écarter progressivement l'un de l'autre (les "fragments" P et Q), soit rester très proches (les "fragments" G et K) comme vous pouvez le voir sur la photo ci-dessous. Ces derniers provoquant ainsi des explosions à quelques minutes d'intervalle l'une de l'autre. Dont les phases se sont intercalées et chevauchées, peut-être avec des puissances et des épicentres quelque peu différents.(6)

Le test des modules-bombes.

Les modules de "SL9" ont été placés sur une orbite de Jupiter très excentrique d'une période de 2 ans. La forme de cette orbite est donc elliptique. Cette orbite a plusieurs particularités: à l’une de ses extrémités (périastre), elle passe à une distance du centre de Jupiter, qui est inférieure au rayon de la planète elle-même, d'où une collision inéluctable. Alors qu'à l’autre extrémité (apoastre), elle frôle la limite de la zone d'attraction gravitationnelle de Jupiter.

Si "SL9" avait eu une vitesse très légèrement supérieure, elle aurait quitté l'influence de Jupiter et aurait continué son chemin sur une orbite solaire. En regardant cette orbite, on s'aperçoit que c'est le meilleur choix si l'on veut qu'un objet circule un certain temps au large de Jupiter, en ayant le maximum de chances de se faire repérer, avant de revenir ensuite percuter la planète. Les choix de la route orbitale et des autres éléments qui décidèrent des points d'impacts, ont étaient calculés pour que les collisions se produises sur la face cachée de la planète, invisible depuis la Terre. Une précaution indispensable car ces explosions ressemblent aux explosions nucléaires, avec en plus de très puissantes émissions de rayonnements électromagnétiques (principalement des rayons gamma). Et cela aurait pût révélés la véritable nature des explosions. Toutefois, alors qu’aucun observateur ne pouvait voir directement ces événements, depuis la Terre. Mais il y eu tout de même un témoin inattendu des évènements, la sonde Galiléo.

La sonde Galiléo, témoin involontaire de toute l'opération.

Ce programme d'exploration avancée de Jupiter (après plusieurs reports) à finalement était lancé le 8 octobre 1989. La sonde Galiléo partie dans le système solaire, afin de bénéficier de plusieurs réactions gravitationnelles, pour pouvoir atteindre enfin Jupiter en décembre 1995, au terme d'un trajet d'une durée de plus de six années. Curieusement, alors que les impacts de "SL9" étaient sur la face cachée de Jupiter, Galiléo (illustration ci-dessous) se trouvait au même moment, avec une vue directe les événements.De plus, on pourrait rapprocher cette possibilité, avec la curieuse panne d'enregistrement de Galiléo lorsqu'elle a frôlé Io et Europe en décembre 1995 (qui nous a privé d'images rapprochées des deux satellites de Jupiter).

Maintenat on peut se poser la question pourquoi cherche t ils à nous faire croire qu'une comète pourrait nous percutter? Qui ira ensuite les blamer  après ,on dira çà devait arriver avec toute celle qui nous ont  frollé avant .
www.jp.petit.org;
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