ison une comète faible qui a de grande chance de se disloquer a l'approche de la péliphélie solaire
d'après mail de l'observatoire de mayhill
traduction RJames
En utilisant des images acquises au cours des deux derniers mois de l'ultraviolet / télescope optique de Swift (UVOT), l'équipe a établi des estimations initiales de l'eau de la comète et la production de poussière et les ont utilisés pour déduire la taille de son noyau de glace.
À la fin de Février, à la demande de la NASA, une équipe d'experts de la comète a lancé la campagne d'observation de la comète ISON (CIOC) pour aider et pour obtenir des données utiles les plus précises .
.2) Nous avons mesuré l'événement de ralentissement (SDE) de C/2011 L4 PANSTARRS, R (SDE) = -4.97 + -0.03 UA (ou t (SDE) = 20120414 + -3 d). (4) Nous avons mesuré la SDE de C/2012 S1 ISON, R (SDE) = -5.07 + -0.03 UA (ou 20130117 + -3 d). Remarquez la coïncidence avec C/2011 L4 PANSTARRS. Pour la magnitude absolue, nous trouvons m (-1,1) = +12,7 + -0.1, une comète intrinsèquement faible. (5) Techniquement parlant, depuis le 17 Janvier -3 + d, 2013, le rayonnement intense de la comète ISON indique qu'elle est entrain de perdre beaucoup d'eau et Il ya une forte probabilité que la comète s'éteigne lors du Changements liés à la rotation , à l'approche du soleil lors du passage au périhélie à venir où son périhélie sera ~ 2,7 rayons solaires. Quand près du soleil, à moins d'une perturbation catastrophique du noyau, l'activité de ISON sera suffisamment forte pour mettre le noyau dans un état de rotation chaotique ' Les noyaux cométaires tournent sur eux-mêmes. La période de rotation a pu être mesurée dans certains cas : soit en étudiant la courbe de lumière du noyau (la brillance du noyau varie périodiquement s'il est irrégulier) ; soit en étudiant les images des jets de poussière qui s'échappent d'un noyau en rotation à la manière d'un tourniquet. Les périodes de rotation observées vont de quelques heures à quelques jours. Parfois on observe un état de rotation complexe : une combinaison de rotation et de précession, voire un mouvement chaotique. et les changements observables à la période de rotation devrait également se produire. Parmi les autres causes de changements d'état de rotation près de la périhélie pour ISON sont les émissions de radiation provoquées par le soleil et la perte de masse importante en raison du soleil entraînant des modifications à des moments d'inertie du noyau. en gros cette comète a de forte chance de se disloquer avant la date butoir de novembre donc disparaitra comme ELENIN
la comète, juste avant qu'elle n'entre dans la région de sublimation rapide de la glace d'eau après avoir passé des millions d'années dans le congélateur du nuage d'Oort. Il est probable que la comète va subir une explosion rapide ,mais ces gesticulations a chaque comète ressemble a du conditionnement pour que l'on finisse par accepter l'idée d'un accident cométaire a venir evidemment se sera une fusée qui sera lançait comme nous le montre ce test :
La "mission scientifique" AMPTE.
Le 16 août 1984, une fusée Delta (n°175), porteuse de la mission AMPTE, "Active Magnetospheric Particle Tracer Explorer", décollait de Cap Canaveral. Ce programme d'une durée d'un an consistait, à l'aide de trois petits satellites, à larguer plusieurs "nuages" de baryum et de lithium en différents endroits de l'espace intra et extra-magnéto-sphérique. Puis d'observer l'évolution de ces éléments traceurs, afin d'étudier les interactions des vents solaires avec notre magnétosphère. Cette expérience avait été réalisée avec la collaboration de plusieurs laboratoires différents (des Etats-Unis, de la R.F.A. et du Royaume-Uni). Si la mission officielle était d'améliorer la connaissance scientifique, le but réel était d'expérimenter en conditions réelles, la création d'un phénomène cométaire, afin d'étudier son évolution dans le temps et dans différentes conditions spatiales. En effet, sous l'action des rayonnements solaires, le Baryum et le Lithium sont rapidement ionisés et ont alors la particularité de devenir fluorescents, créant ainsi une comète artificielle.
ils ont testé ce type de technologie sur jupiter pour calculer la puissance a utiliser et les résultats, de vrais tarés.......
d'après mail de l'observatoire de mayhill
d'après mail de l'observatoire de mayhill