Messages subliminaux et magie noire dans les livres des témoins de jéhovah
Le Moyen Âge est la période où les corporations maçonniques ont vu le jour, sous l’œil attentif des « Chevaliers Templiers ». Une explication historique intéressante nous est fournie dans le livre « Église Catholique et Temple Maçonnique », où Hubert de Thier décrit la présence de ce mot, en ces lieux sacrés, comme une « signature », une authentification de leur œuvre, de la même manière qu’un peintre signe ses toiles. Avant d’être un lieu consacré au culte chrétien, ces endroits étaient des « loges » de travail et de réflexion ésotérique. Les « Moines Templiers » invoquaient ici le « Grand Architecte de l’Univers », et au terme de leur labeur, l’œuvre était dédiée à jamais à celui qui avait contribué à son édification majestueuse. Avez-vous noté que la WT présente ces figures comme des « preuves irréfutables » de la connaissance du nom Jéhovah dans le passé, mais comme elle oublie dans le même temps d’expliquer leur origine. En fait, après un examen attentif de ces dernières, nous remarquons que ce nom se retrouve parfois au centre d’un triangle rayonnant !
Cette symbolique existe encore aujourd’hui dans les loges maçonniques, et avec le même éclat. Alors maintenant, pouvons-nous confirmer l’usage du mot « Jéhovah » dans la littérature maçonnique ? Comment ces gens considèrent-ils ce nom ? A-t-il la signification que nous lui portons ? Enfin, désigne-t-il réellement le Dieu de la Bible ? C’est ce dont nous allons débattre dans le chapitre suivant. II – Explications des francs-maçons Le nom « Jéhovah » n’est pas inconnu de la franc-maçonnerie. Nous dirions même, qu’il correspond à un terme extrêmement important dans leur vocabulaire ésotérique. En effet, ce mot représente une sorte de « clé », une combinaison, un code secret qui s’utilise lors de cérémonie particulière, comme par exemple, lors de la nomination d’un nouveau Maître maçon ou de la montée en grade de l’un d’entre eux. La franc-maçonnerie lui donne, elle aussi, une explication claire et précise, et en fait, c’est la seule à retenir, puisqu’elle s’en sert depuis au moins dix siècles. Les témoins de Jéhovah ne l’on repris que bien plus tard, et d’ailleurs, il ne faut pas oublier qu’ils sont issus de ce milieu.
Pour commencer, nous citerons le « Dictionnaire Universel de la franc-maçonnerie » (Edition Devry, Roger Richard, ISBN 2-54454-000-7), à la page 228, où nous lisons ceci : « … Jéhovah : écriture moderne du nom YHWH…tentative phonétique erronée du nom de Dieu…formulation incorrecte du Tétragramme. Ce mot correspond à une forme de la « parole perdue », la clé d’Hiram Abiff, utilisée par les Maîtres Maçons au 4, 5, 6, 13, 14, 23, 24 et 26ème degré. Il est le mot sacré du degré de Maître Ecossais. »« … Les chrétiens ont maladroitement donné à YHWH le nom de Jéhovah, né d’une lecture fautive des consonnes YHWH mariées aux voyelles d’Adonaï (Seigneur), et de Yahweh, lecture hypothétique du Tétragramme qui, par essence, est ineffable ; un nom qui, par définition, appartient au silence. » Dans son livre « La Franc-maçonnerie, Histoire et Initiation », Christian Jacq appelle les francs-maçons les «Enfants de Jéhovah »
ils véhiculent la doctrine de Baphomet le Dieu des franc maçon sachant que les livres contiennent des actes de magie tres puissant garder de tel livrets chez vous attirera des entités du bas astral dans votre maison a bon entendeur .godbless
ps: je n'ai rien contre les témoins de jéhovahs que je disculpe de telles maneuvres , j'en connais personellement ils sont plein de gentillesse et de foi, mais ce sont bien les hautes spheres des watchtowers qui sont les responsable de cette mascarade retournez repentant vers Dieu vous serez pardonnez maintenant vous savez votre foi n'est pas perdue elle est sincère dirigez là juste vers le veritable Createur vous vous libererez .bon courage........