Une infirmière dénonce l’obligation de la vaccination contre la grippe
J’ai été infirmière pendant 22 ans. Chaque année quand on me demandait si je voulais me faire vacciner contre la grippe, je refusais. Mais aujourd’hui, l’atmosphère a changé et est devenue très bizarre. Si on refuse, on est traité de façon telle que l’on ne se sent plus respectée.
Après avoir aussi travaillé pendant 10 ans pour l’industrie pharmaceutique, je me dois de dire que je ne puis plus le moins du monde faire confiance à Big Pharma.
Je suis la fille qui est prête et décidée à se lever pour défendre une collègue que l’on voudrait intimider. Dans le domaine de la vaccination, les pressions sont plus courantes que ce que l’on peut imaginer. Dans certains états, les infirmières qui refusent vont jusqu’à perdre leur emploi. Dans certains hôpitaux, celles qui refusent sont obligées de porter un masque : une manière comme une autre de stigmatiser ces personnes, de les culpabiliser parce qu’elles ne font pas ce qu’il faudrait faire vis-à-vis de leurs patients.
Il y a surtout une raison pour laquelle j’ai voulu faire ce témoignage. Il s’agit notamment du cas de ma grand-mère qui a contracté la polio après avoir reçu le vaccin. Elle a été très mal pendant tout le temps que je l’ai connue. C’est moi qui ai dû m’en occuper et la soigner. Avant de recevoir ce vaccin, elle avait toujours été en parfaite santé, débordant d’énergie. C’est finalement ce qui est arrivé à ma grand-mère qui m’a décidé à faire des études d’infirmière. Je n’ai pas tout de suite compris pourquoi sa santé s’était subitement dégradée. Mais aujourd’hui, j’ai d’excellentes raisons de refuser les vaccins et je n’accepte plus qu'on me ridiculise pour la position que j’ai prise. Si quelqu’un veut se faire vacciner, je respecte évidemment son choix. Si la personne y croit, c’est OK, c’est très bien pour elle.
Mais si on me demande mon opinion, si on me demande : « dois-je me faire vacciner ? », Je réponds clairement que je ne crois pas que vous devriez le faire et j’explique pourquoi. On vous prend vraiment pour une conspirationniste quand vous osez poser des questions sur la vaccination !
Je voudrais suggérer que tout un chacun puisse faire ses propres recherches. Il existe une telle quantité d’informations sur le sujet.
Il y aurait aussi quantité de questions à se poser par rapport aux ingrédients que contiennent les vaccins…
J’ai toujours souhaité que les infirmières aient la force de défendre leurs opinions, leurs droits.
Je voudrais demander à tout un chacun de garder l’esprit ouvert, de faire personnellement ses recherches, de ne plus accepter de se laisser mener par le bout du nez dans une atmosphère de troupeau. Je voudrais que chacun puisse prendre conscience qu’il est le premier responsable de sa santé, qu’il a aussi son mot à dire par rapport à tout ce que d’autres veulent lui fourguer. Les pressions sont actuellement si fortes que l’on pourrait se demander si tout cela ne cache pas quelque chose d'autre.
Ce que je veux, c’est que les infirmières puissent s’exprimer, que l’on cesse de les intimider, de les tyranniser.
Tout comme moi, d’autres infirmières n’aiment pas les vaccins et ne veulent donc pas se faire vacciner. Je dois ajouter que ce n’est pas une raison pour nous traiter de folles, d’inconscientes, de méchantes. Je suis vraiment en colère par rapport à la situation que doivent vivre actuellement les infirmières.
Aux Etats-Unis, les infirmières se mobilisent contre l’obligation vaccinale
Et vous, comment vous mobilisez-vous??
Aux Etats-Unis, les infirmières se mobilisent contre l’obligation vaccinale
Et vous, comment vous mobilisez-vous??